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cr INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE ET D‘ADMINISTRATION DES ENTREPRISES ANALYSE DES STRUCTURES FINANCIERES DES ENTREPRISES ELABORATION D‘UN GUIDE DE DIAGNOSTIC FINANCIER MEMOIRE PRESENTE POUR L'OBTENTION DU DIPLOME NATIONAL D’EXPERT COMPTABLE PAR MR HASSAN DARBANE Membres du jury Président :kamal KADIRI - Enseignant & ITS.CAE Directeur de recherche : Abdelaziz ALMECHATT, Expert Comptable D.P.L.E Président de Ordre des Experts Comptables. Suffragant ; Mohamed BENTABET, Professeur a IT.S.C.A.E Suffragant : El Mostafa EL ASFARI, Expert Comptable D.P.LE PLAN GENERAL INTRODUCTION PREMIERE PARTIE : LE PLAN COMPTABLE MAROCAIN ET L’ANALYSE FINANCIERE. sees AB Chapitre I - LES APPORTS ET LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN A L/ANALYSE FINANCIRE .. Section 1. LES APPORTS DU PLAN COMPTABLE A L’ANALYSE FINANCIERE. ...caseesne AB Section 2 . LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN 0 2 Chapitre II - L'APPORT DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS LE TRAITEMENT DES INFORMATIONS COMPTABLES ET FINANCIERES voor Section 1. VAPTITUDE OU P.C.M AU TRAITEMENT AUTOMATISE ET LES DIFFICULTES DE LA GENERATION AUTOMATIQUE DES ETATS FINANCIERS. 75 Section 2 . OUTIL INFORMATIQUE ET L'ANALYSE FINANCIERE .. 81 DEUXIEME PARTIE : GUIDE DU DIAGNOSTIC FINANCIER. : 88. Chapitre - APPROCHES, CADRES ET OUTILS DE L’ANALYSE FINANCIERE 89 Section 1 . LES DIFFERENTES APPROCHES ET CADRES DE ANALYSE FINANCIERE sc reeee9 Section 2. QUTILS DE L'ANALYSE FINANCIERE 98 Section 3 . LES SUPPORTS DE L'ANALYSE. 123 Chapitre II - LE GUIDE DU DIAGNOSTIC FINANCIER. 128 TROISIEME PARTIE : ANALYSE DES SITUATIONS FINANCIERES DES ENTREPRISE 165 Chapitre I - METHODOLOGIE ‘ANALYSE 167 Section 1. LA METHODOLOGIE DE L'ETUDE AUPRES DES ENTREPRISES eee 107, Section 2. LA METHODOLOGIE DE L'ENQUETE AUPRES DES CABINETS 176 Chapitre I - RESULTATS DES ENQUETES «..sssssssee 182 Section 1. RESULTATS SECTORIELS DES INDUSTRIES OE TRANSFORMATION ... 182 Section 2 . RESULTATS DE ENQUETE AUPRES DES CABINETS ...s.sstcscisestmenensnennnennne 219 CONCLUSION GENERALE... 225 TABLE DE MATIERE INTRODUCTION E PLAN COMPTABLE MAROCAIN ET L’ANALYSE FINANCIERE 13 PREMIERE PARTI! Chapitre I - LES APPORTS ET LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN A ANALYSE FINANCIERE 13 Section 1. LES APPORTS DU PLAN COMPTABLE A L’ANALYSE FINANCIERE 13 I- AU NIVEAU DU CADRE CONCEPTUEL 13 1-1. Une comptabilité basée sur la notion de flux. wl I- 2. Un cadre de comptabilité analytique offrant_une large gamme eee de cotits - 16 I- 3. Des états diinformations complémentaires constituant une source précieuse information a ‘analyse financiére. 18 A. Principes et méthodes comptables ....ss:sese oo 18 B . informations complémentaires au bilan et au compte ce produits et charges 18 C.. Autres informations complémentaires ........ sesseuneeitmsesnrnsees 19 IT - LES ETATS DE SYNTHESE..... 20 TE 1, Le BiG sc sccsseen : Eee rece erceee : 20 A. Structure générale du bilan en 2020 {Les innovations et améliorations du PCM au niveau du bilan w.sssscneonenn2 IE 2. Le compte de produits et charges... ee ee eee) A. Structure du compte de produits et charges eens B . Les innovations et améliorations du P.C.M au niveau du C.P.C 24 IL- 3. Létat des soldes de gestion ....cscese ssc 25 A, Structure générale de NE.S.G esses E sesesenennens 25) A- 1. Le tableau de formation des résultats (T.F.R) - 225 2030 A-2. Le tableau de calcul de I'autofinancement (A..F) - 4, Le tableau de financement. rr A. Structure du tableau de financement ..... ~ 1. Synthése des masses du bilan A - 2. Tableau des empiois et ressources 232 32) 234 35 B . Examen des questions problématiques 36 C.. Linterprétation du tableau de financement ... 37 n 2. LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN, 42 - EXPOSES DES LIMITES DU P.C.M A L'ANALYSE FINANCIERE 42 1. Limites du P.C.M au niveau du bilan od 2. Limites du P.C.M au niveau du C.P.C 54 3. Limites du P.C.M au niveau de IE.S.G 59 4, Limites du P.C.M au niveau du modéle de tableau de financement adopté ...60 1 1 I 1-3. Limites du P.C.M au niveau de 'E.S.G I 4, Limites du P.C.M au niveau du modéle de tableau de financement adopté I- 5, Limites liées 4 absence de certaines informations au niveau de I'E.T.1.C . [- 6, Les méthodes de calcul des colits dans la comptabilité analytique .... IL - SYNTHESE ET CONCLUSION SUR LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN A. ANALYSE FINANCIERE. eee : co : IT 1, Limites dues aux principes et dispositif de fond prévus par le P.C.M A. Au niveau du bilan pees Poorer 58 8. Au niveau du C.P.C..... : C.. Au niveau de E.S.G et le T.F vee 58 D.. Au niveau de la comptabilité analytique 58 IL 2. Limites dues aux principes de présentation et de classification prévus par le P.M... senses Sec eee 58 A. Au niveau du bilan . 58 B. Au niveau du C.P.C w.. 58 TL 3. Limites relatives 8 ta qualité et a Vexhaustivité de l'information dispensée par le P.CM F 59 A. Auniveau du bilan 59 B. Au niveau de lE.S.Get le TF 59 C. Au niveau de UE.T.IC 59 Chapitre II - L'APPORT DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS LE TRAITEMENT DES INFORMATIONS COMPTABLES ET FINANCIERES. 61 Section 1. L'APTITUDE DU P.C.M AU TRAITEMENT AUTOMATISE ET LES DIFFICULTES DE LA GENERATION AUTOMATIQUE DES ETATS FINANCIERS... 63 1 - LES DIFFICULTES LIEES A LA GENERATION peal DES ETATS FINANCIERS at 63 T- 1, Les difficultés inhérentes la mise en ceuvre et a l'utilisation des logiciels « générateurs d’états de synthése ».. = E 63 1 2, Les solutions pour résoudre ces difficultes 64 Section 2 . L'QUTIL INFORMATIQUE ET L'ANALYSE FINANCIERE...... 1 - DEFINITION, TECHNIQUES ET EVOLUTION DES FONCTIONS DES LOGICIELS DANALYSE FINANCIERE, 7 eee eee cove 1 L. La définition du logiciel d’analyse financiére I 2, Les techniques de traitement des logiciels d’analyse finan A. Les tableurs .. z seseeenen piece neceneenen B . Les logiciels programmés C. Les systémes experts O. Lintelligence artifcielle (réseaux neuronaux) 1 3. L’évolution des fonctions des logiciels d’analyse financiére .. DEUXIEME PARTIE ; GUIDE DU DIAGNOSTIC FINANCIER... Chapitre I - APPROCHES, CADRES ET OUTILS DE L’ANALYSE FINANCIERE.. Section 1. LES DIFFERENTES APPROCHES ET CADRES DE L'ANALYSE FINANCIERE.. [+ LES APPROCHES DE L'ANALYSE FINANCIERE cece nenneeneneeneeen 77 1 1. UAPPROCHE PATRIMONTALE ...scssaneseneeene 7 A. Contexte de la méthode ...... sectnneneneve seca? B . Principes de la méthode == Serer 7 C.. Mise en ceuvre : reclassements et retraitements . 7 D. Limites de la MEthOde ..eeeecetnnene ~ seen TB 1 - 2, VAPPROCHE FONCTIONNELLE........ so T8 A. Contexte de la MEtHOGE se scssennsaenes sevcsnsinnenevesae vee TB B . Principes de la MEthOde -..escscecesneesenee 70) C.. Mise en ceuvre . sense 9 D . Limites de la méthode eee reeennee 79 D- 1. Le principe d’affectation . 79 D -2.. La fonction résiduelie de la trésorerie secesninnnnesnveenesseses 80 1 - LES CADRES D'ANALYSE.. BL Section 2 . OUTILS DE L’ANALYSE FINANCIERE.. 1 - LA METHODE DES RATIOS ooo 84 I 1, Principes généraux de la MEthode «..sssestnsetsnnetanntatnentnse 84 1-2. Les ratios utilisés ....... : eesocennnene 84 1 3. Les précautions d'utilisation de La méthode des ratios ........ 85 1 - LA METHODE DES FLUX soseteseeseencenneeeees BB IL 1, Principes de la MEthOde .sssseesesseesneeseese : seen 88 IL-2. Le tableau de flux de trésorerie 88 II - 3, Vobjet du tableau : eseetaseeseensenes 89 Il - 4, L'élaboration du tableau de AUX «os. cose 89 IL - 5, Portée et signification des grandeurs et des soldes du tableau de flux .........99 IL-6. apport du tableau de flux... cece sv 102 Section 3 . LES SUPPORTS DE L'ANALYSE.. 1 - LES ETATS FINANCIERS STANDARDS RETRAITES 105 IL - LE TABLEAU DE FLUX ET LE BILAN FINANCIER ......cccse0 105 110 Chapitre IT - LE GUIDE DU DIAGNOSTIC FINANCIER Section 1. SCHEMA GENERAL... oom 110 LA DEMARCHE D'ANALYSE ee : a3] I- 1. Prise de connaissance de 'entreprise correc 113 T- 2. Les travaux préparatoires du diagnostic financier 113 A. Préparation des documents ne sesseee 114 A- 1. Nature des JOCUMENtS .sssessneetnnnesenntsenneseeee 114 A- 2. Difficultés d’exploitation des documents comptables ........ 114 B . Etude des points particuli@rs .sseusntseenennerns eee iy) B- 1. Le tableau d’étude Co opera tee Li6 B - 2. Conclusion de l'étude des postes oe 125 C. Les tests de fiabilité des données ; eee 127 C- 1. Tests de concordance sssnnnensnsnne 127 C-2. Tests sur le FRE : cose 128 C-3. Les tests de présence des données - eevee 130 [- 3. Le canevas du diagnostic 131 A. Les fondements de fa méthode : 131 B. La démarche du diagnostic. Geese so 132 B- 1. Le diagnostic financier - seen 2133 1-4. De lanalyse @ la synthase 2135 1-5, Cas particuliers ....... 137 A. Entreprises nouvelles. 137 B . Entreprises saisonniéres........ sess — - 137 C.. Grande distribution alimentaire - cee seseee 138. D.. Autres activités a B.F.G. 5 es 138 E . L85 GrOUP@S .esscsseeseense — esee 138, TROISIEME PARTIE : ANALYSE DES SITUATIONS FINANCIERES DES ENTREPRISES Chapitre I - METHODOLOGIE D'ANALYSE .. 145 Section 1. LA METHODOLOGIE DE L'ETUDE AUPRES DES ENTREPRISES. 1 - DU DIAGNOSTIC AU PROBLEME soe 145 Il - PROTOCOLES D'ENQUETE . a 146 IL-1, Vobjet observer : (La population) —— 146 TT - 2. La constitution de ’échantillon co . 146 IL - 3. Linstrument d'observation ASL IL - 4. Dépouillement et analyse des données . cose 151 Section 2 . LA METHODOLOGIE DE L'ENQUETE AUPRES DES CABINETS.. 1 - DU DIAGNOSTIC AU PROBLEME 153 6 I - PROTOCOLES D'ENQUETE 153 II - 1. Objet a observer ; Population... coon a sesseeeeee 153, II - 2. Linstrument d’enquéte ' A ' 153 II - 3. La méthode d’enquéte 154 1-4, Venquéte pilote ot cadrage définiti .. 154 TT- 5, Recueil et communication des résultats 154 Chapitre II - RESULTATS DES ENQUETES ... Section 1. RESULTATS SECTORIELS DES INDUSTRIES DE TRANSFORMATION .. 1 - SECTEUR CHIMIQUE ET PARACHIMIQUE 159 1-1. La structure... 2 159 A. Les équilibres financiers a 159 B. La liquidité. 160 C . Linvestissement en outi 160 D.. Le rendement apparent des équipements. 161 T+ 2, Va ctivitlssccsesessesseeseesetennn 161 A . Vinvestissement en cycle 161 B. Répartition de la V.A . eves 162 C..E.S.G en pourcentage du C. + 162 1-3. La rentabilité.. 163 A. Rentabilité économique... ; 163 B . Les intéréts en pourcentage du prt global. 163 C. Le taux dintérat. = 163 D - Rentabilité des fonds propres...... - E . Rentabilité des capitaux engages... 164 Il - SECTEUR AGRO-ALIMENTAIRE. 165 I= 1, La structure. A. Les équilibres financiers B. La liquidits C. Linvestissement en outils. D Le rendement apparent des équipement. I - 2. activité. . A. Linvestissement en cycle B . Répartition de la V.A... C. E.S.G en pourcentage du C.A - 3. La rentabilité ... 7 Rentabilité économique Les intéréts en pourcentage du proftt global... Le taux d‘intérét. 7 Rentabilité des fonds propres Rentabilité des capitaux engagés... - Flux de trésorerie (tableau de flux) . nmone> I - SECTEUR DU TEXTILE ET DU CUIR... 171 171 171 172 172 173 2173 173 oo 174 174 Itt - 1. La structure. A. Les équilibres financiers « B. Linvestissement en outils... C.. Le rendement apparent des équipements.... UI - 2. Vactivité . soc A. Linvestissement en cycle. B . Répartition de la V.A. C..E.5.G en pourcentage du C.A It = 3. La rentabilité .. - A. Rentabilité économique... : 174 B . Les intéréts en pourcentage du profit global 175 C. Le taux diintérdt.. . 175 D . Rentabiité des fonds propres et des capitaux engages. ; 175 E.. Flux de trésorerie (tableau de flux)... 176 IV - SECTEUR MECANIQUE ET METALLURGIQUE 77 IV- 1. La structure : 177 A. Les équilibres financiers .. 177 B La liquidité eo 178 ©. Linvestissement en outils... - 178 D - Le rendement apparent des équipements 1178 IV - 2. Lactivité = scene 179 A. Linvestissement en cycle ws 179 B . Répartition de la V.A.. 180 C..ES.G en pourcentage du CA. eee sesseeseeeeeenes 18D IV - 3. La rentabilité.. a peeee iat 181, 181 181 182 182 182 A. Rentabilité économique. 8 . Les intéréts en pourcentage du prot lob. C. Le taux diintérét........ D . Rentabilité des fonds propres... E F Rentabilité des capitaux engages... Flux de trésorerie (tableau de flux) +183 183 oo 83 .. 184 184 184 185 185 V - SECTEUR ELECTRIQUE ET ELECTRONIQUE V1. La Structure esesecu 7 A. Les équilibres financiers «0 8. La liquidité.. C. Linvestissement en outis . D.. Le rendement apparent des équipements V = 2, Vactivité A. Linvestissement en cycle B . Répartition de la V.A.. 186 C.. E.S.G en pourcentage du C.A 186 V- 3. La rentabilité... . 187 A. Rentabilité économique... 187 B . Les intéréts en pourcentage du profit global 187 C. Le taux dintérét.... : 188 D . Rentabilité des fonds propres.......-. oo 1BB E . Rentabilité des capitaux engagés +188 VI - SYNTHESE DE L'ANALYSE SECTORIELLE.. Section 2 . RESULTATS DE L’ENQUETE AUPRES DES CABINETS I - SYNTHESE DU DEPOUILLEMENT ......cscsee eee 191 L- 1. Caractéristiques de l'enquéte z eevee 19M I - 2. Synthése du dépouillement des réponses obtenues auras des cabinets... 192 IL- RAPPORT SYNTHETIQUE DES REPONSES DE VeNQuere AUPRES DES CABINETS 194 CONCLUSION GENERALE.. 197 LISTE DES ABREVIATIONS... 200 BIBLIOGRAPHIE saneneee weve 201 INDEX DES TERMES .... 205 LEXIQUE. 208 9 INTRODUCTION activité legislative de ces dix dermiéres années @ été dominge par un foisonnement de textes 4 caractére économique visant a rattraper le retard que connait la iégislation marocaine par rapport a la pratique économique. Réformes & tous azimuts : marché monétaire, marché financier, code de commerce, la loi sur les sociétés anonymes, etc Dans ce train de mesures réformistes, force est de reconnaitre au législateur le mérite de doter fe Maroc d'un plan comptable des entreprises. En effet, que ce soit au niveau du débat économique ou politique, tout le monde s'accorde sur le rdle que lentreprise est appelée a jouer dans le développement économique et le bien-étre social du pays. ‘fin d'assumer pleinement son rdle, entreprise doit disposer, entre autres, d'un systéme informations financiéres tourné aussi bien vers I'intérieur que vers lextérieur : le gestionnaire doit disposer d'assez de données lui permettant d'agir pour développer et assurer la pérennité de l'entreprise, alors que les tiers pour diverses raisons, souhaiteront tre constamment informés sur les aspects liés a la gestion, et a La situation financiére de lentreprise. A ce stade de la réflexion, if est donc légitime de sinterroger sur la capacité de la comptabilité, en tant que systéme de collecte et de traitement des données financiéres 4 : - Produire une information fiable. ~ Donner une traduction fidéle des faits économiques et financiers mesurables, - Offrir des outils de gestion (agrégats économiques, concepts financiers, états de synthése, etc.) pour la prise de décision. La prédominance du caractére juridique des informations comptables, et le souci d'assurer une cohérence entre la comptabilité nationale et la comptabilité générale sont autant de facteurs qui limitent la portée et la signification des données comptables. Dés lors, les utlisateurs des états financiers se retournent vers d'autres sources susceptibles doffrir des informations & grande valeur d’utilité, Uanalyse financiére, si elle ne peut constituer un préalable a la comptabilité, se situe dans le Erolongement normal de sa mission savoir "informer". En effet, l'analyse financiére puise les données de base de la comptabllité, les retraite, les analyse, et donne une opinion sur la gestion et la situation financiére de lentreprise. De ce fait, elle constitue un outil privilégié des utilisateurs des états financiers. Dans un contexte oli la transparence, la rigueur et l'assainissement constituent 'accroche des campagnes de réformes que connait les secteurs public et privé au Maroc, la comptabilité et I'analyse financiére, en tant que disciplines complémentaires, sont appelées & jouer un rdle important dans l'information des décideurs sur les divers aspects financiers de la vie de nos entreprises. Lobjectif donc de notre travail, est de nous prononcer sur la pertinence de ces deux disciplines en tant que sources d'informations 4 destination des utilisateurs internes et externes de entreprise. 10 Pour ce faire, ia premiére partie de notre travail sera consacrée & mettre en évidence les similitudes et les divergences des principes qui président a la génération de l'information dans analyse financiére et la comptabilité. Nous y mettrons, également, l'accent sur le réle et importance de informatique dans le traitement des données comptables et financiéres. Dans la deuxiéme partie, aprés une présentation des différentes approches, cadres et outils analyse financiére, nous proposerons une démarche pratique de l'analyse financiére sous forme d'un guide susceptible d'aider les professionnels de la comptabilité dans les différentes missions ol le recours aux outils de l'analyse financiére s'avere nécessaire, Nous soumettrons a I'épreuve cette démarche en lappliquant a un échantillon d’entreprises industrielles maracaines pour analyser leur gestion et leur situation financiere. Nous examinerons également a partir d'une enquéte sur le terrain, le degré d'utilisation du diagnostic financier dans les cabinets d’expertise comptable en tant qu‘outil susceptible daaider et éclairer les décisions des dirigeants des entreprises. Notre méthodologie d'enquéte et d’étude aussi bien auprés des entreprises qu‘auprés des cabinets, ainsi que la synthése des résultats de nos travaux feront l'objet de la troisiéme partie. Enfin, et en guise de conclusion, nous ferons l'état de lieu sur l'évolution de l'information comptable et financiére au Maroc. Nous proposerons ainsi, des recommandations susceptibles d'améliorer la qualité et a disponibilité de ces informations afin que, les utilisateurs puissent disposer : d'un cadre comptable évolué ; ¥ dun référentiel comparatif pour apprécier les performances des entreprises. PARTIE I e plan comptable marocain et Il’analyse financiére PREMIERE PARTIE : LE PLAN COMPTABLE MAROCAIN ET L’ANALYSE FINANCIERE Cette partie sera consacrée a mettre en évidence les apports, et les limites du plan comptable a l'analyse financiére, particullérement dans les entreprises industrielles et commerciales. Cette analyse permettra enfin de déboucher sur un certain nombre de propositions d'amélioration du P.C.M pour atténuer les divergences entre les informations d'origine comptable et celles découlant de fanalyse financiére. Chapitre I - LES APPORTS ET LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN A L’ANALYSE FINANCIERE Section 1. LES APPORTS DU PLAN COMPTABLE A L’ANALYSE FINANCIERE Nous développerons, dans cette section, les apports du plan comptable marocain & l'analyse financiére 8 deux niveaux - Le cadre conceptuel Les états de synthése L2 code général de normalisation comptable a été élaboré pour répondre & deux objectifs primordiaux ~ Servir de base & t'information et & la gestion de lentreprise ; ~ Fournir une image, aussi fidéle que possible, de la situation et de la gestion de Ventreprise pour tout utilisateur des états financiers. Ce souci de présenter une information pertinente et fiable aux utilisateurs internes et externes de lentreprise, est mis en évidence dans le cadre conceptuel et les états de synthése. I - AU NIVEAU DU CADRE CONCEPTUEL, Voption pour une information comptable tournée vers la gestion est percue par les choix et mesures pris par le P.C.M dans sa conception : + Une comptabilité basée sur la notion de flux. + Un cadre de comptabilité anaiytique offrant une large gamme d'analyse de coitts. + Des états diinformations complémentaires constituant une source précieuse d'information & V'analyse financiére 1-1. Une comptabilité basée sur la notion de flux * Les flux clés de voiite de la comptabilité moderne : Rendre compte de la maniére la plus fidéle qui puisse étre de la réalité économique et financiére de lentreprise, tel est l'un des objectifs primordiaux du plan comptable 1994, Comment y parvenir dans une éconamie ot le succés de lentreprise moderne n’est plus importance de ces actifs immobilisés (fonciers, et machines productive), mais sa capacité a s‘adapter rapidement aux changements et aux évolutions en combinant de maniére efficiente ses moyens de production. Lfficacité de \'entreprise est mesurée par le degré de son emprise sur 'environnement, par sa capacité 8 optimiser ses échanges internes et externes. Lentreprise est congue = comme un lieu a’échanges et de transformation des éléments oil la primauté est donnée au processus sur la structure, - la maitrise des flux d’échanges avec l'environnement est devenue l'enjeu majeur de la gestion économique au point méme ou les éléments les plus stables de la structure sont progressivement intégrés dans l’analyse des flux, on sintéresse davantage a leurs variations qu’a leurs valeurs absolues. C'est de cette nouvelle vision de lentreprise, en interaction avec son environnement, quiallait emerger le principe d'une comptabilité basée sur les flux. En l'adoptant, le P.CG.E a substitué une approche comptable patrimoniale de lentreprise 8 une approche fonctionnelle ti le recours au concept de flux est plus prononed approche par les flux a été consacrée par (introduction du compte de produits et de charges, de l'état des soldes de gestion et du tableau de financement prévus dans le modéle normal du plan comptable marocain de 1994. Elle a 'avantage Dintégrer la discipline comptable dans le courant dominant de I'analyse de entreprise et faciliter les passerelles avec les disciplines voisines comme la gestion financiére et la gestion de production. Dioffrir une vision dynamique dans le sens ai elle permet de mieux appréhender les diverses décisions de gestion intervenues au cours d’une période donnée. Elle constitue la base des états financiers de l'entreprise et permet d’en décrire la situation financiére, D’appréhender l'analyse de lentreprise sous plusieurs aspects : les flux de résultats, les flux de trésorerie et les flux de fonds + Les types de flux: La distinction entre les flux de résultats, de trésorerie et de fonds financiers permet a tout Lilisateur des états financiers, selon ses besoins, de comprendre et d’apprécier : - Les différents niveaux de résultats : flux de résultats, - La situation de la trésorerie : flux de trésorerie, La nature et origine des fonds ainsi que leurs utilisations : flux de fonds, 14 Les différents niveaux de résultat : Des repéres Clairement mis en valeur, les résultats d’exploitation, financier, non courant et global, lraduisent les points forts de image produite de la firme comme c'est illustré par le tableau suivant, (cf. tableau 1) Tableau 1 : Structure du compte de produits et de charges (C.P.C) Niveau Produits Charges Interprétation pploitation Produits Charges Indique au lecteur ta réussite ou exploitation _d’exploitation Véchec de la firme dans Vexercice de son métier de base indépendamment de tout aspect financier. Financier Produits Charges Informe le lecteur du réle spécifique financiers financiéres Joué par activité financiére dans la formation du résultat global pendant Vexercice. Non courant Produits non Charges non Informe Je lecteur du réle spécifique courants courantes joué par les événements aldatoires dans la formation du résultat global pendant lexercice. Global : Impét sur les Propriété de Ientreprise, il traduit résultats Venrichissement ou |appauvrissement net permis par un exercice. Les flux de trésorerie Ii stagit de toutes les opérations de recettes et de dépenses se traduisant par des mouvements effectifs de trésorerie et dont l'importance peut étre appréhendée, soit par analyse détaillée des mouvements du compte «trésorerie », soit par la variation de trésorerie qui ressort du tableau de financement. Signalons & ce niveau que ¢a aurait été pertinent si le P.C.G.E avait différencié plusieurs niveaux de la trésorerie en permettant au lecteur d’apprécier & titre d’exemple la trésorerie d'exploitation et celle hors dexploitation - Les flux de fonds Les flux de fonds désignent toutes les opérations qui figurent dans le tableau de financement, et peuvent donc recouvrir des flux de fonds d'emplois ou des flux de fonds de ressources. Le T.F met en évidence (’évolution financiére de lentreprise au cours de "exercice en renseignant fe lecteur sur les ressources (par origine) dont elle a disposé et les emplois (par destination) qu’elle en a effectué. Trois niveaux d’analyse y sont exposés : 15 ¥ Les flux des valeurs stables ¥ Les mouvement des actifs et passifs circulants v Les mouvements de trésorerie. Contrairement au bilan, qui revét un caractére statique, le T.F est un document dynamique de premiere importance pour lentreprise, notamment dans ses relations avec les organismes Fanciers. (Voir Chapitre | -Section 1. IT- 4. Le tableau de financement page n° 29) 1-2. Un cadre de comptabilité analytique offrant une large gamme d’analyse de couts Le P.C.G définit un cadre général de comptabilité analytique offrant une large gamme d’analyses de codits susceptible de répondre au mieux aux besoins d'informations de gestion des entreprises industrielles et commerciales. Cette comptabilité analytique a pour objectifs essentiels de = Connaitre les coiits et les résultats des différentes fonctions de Ientreprise ; ~ Permettre d’évaluer certains éléments du bilan de l’entreprise ; ¥ Analyser les résultats aprés calcul des cotits des biens et services et leur comparaison aux prix de vente. De plus le C.G.N.C propose un large éventail de méthodes de calcul des coats permettant ainsi aux entreprises une grande souplesse et liberté de choix des méthodes d’évaluation tenant compte des spécificités et de la situation de chaque entité. Ainsi les méthodes suivantes sont largement commentées et exposées sans ambiguité par le P.C.G.E : Le cout complet : incluant, 8 chaque niveau, toutes les charges directes et une fraction raisonnablement rattachée de charges indirectes ; ~ Le cout variable : jimité aux charges qui varient de fagon sensiblement proportionnelle au volume d'activité de lentreprise, et permettant de dégager une , B 9 «Engagements financiers recus ou donnés hors opérations de crédit-bail», et 813 «Détermination du résultat courant aprés impots>. CC. Autres informations complémentaires : Il comporte des données intéressant la plupart des agents hors entreprises au Maroc. En effet : ¥ Les états C 1 «Etat de répartition du capital social» et C 2 «Tableau d'affectation des résultats intervenue au cours de l'exercicen serviraient, entre autres, pour le contréle fiscal par I'Etat et pour la construction du tableau de financement ou, du moins, pour son contréle ; ¥ Létat C 3 «Résultats et autres éléments caractéristiques de l'entreprise au cours des trois derniers exercices» comporte des indications intéressant les actionnaires, et la Bourse des valeurs pour l'analyse et le suivi des sociétés cotées. Il s'agit, entre autres, de la situation nette, du chiffre d'affaires hors taxes, du résultat de lexercice, et du résultat par titre (résultat net par action ou part sociale, bénéfices distribués par action ou part sociale) ; ¥ Et état C 4 «Tableau des operations en devises comptabilisées pendant I'exercice» permettrait, notamment a |'Etat (& travers la D.E.P.P) de vérifier dans quelle mesure les entreprises publiques marocaines créées dans le but essentiel de réaliser des économies de devises ont atteint leur objectif. Ce tableau serait, par ailleurs, un outil précieux de dialogue et de contréle dans le cadre de la contractualisation des rapports entre I'Etat et les entreprises publiques (en particulier sous forme de contrats de programme). ¥ Quant a l'état C 5 «Datations et événements postérieurs», il permettrait une meilleure transparence de l'information comptable. Le P.C.G.E, en introduisant une comptabilité basée sur les flux, en mettant & la disposition des entreprises une panoplie de méthodes d’évaluation de cotits et en renforgant information financiére par des états complémentaires, affiche une volonté de conduire les entreprises vers une meilleure transparence. Cette tendance se confirme davantage dans les états de synthése. IZ - LES ETATS DE SYNTHESE Les états de synthése prévus dans le modéle normal du C.G.N.C sont en nombres de cing le bilan, le compte de produits et de charges, l'état des soldes de gestion et le tableau de financement. Des innovations marquantes ont été introduites dans la structure du bilan, dans les emplois de actif comme dans les ressources du passif, afin de donner une plus grande homogénéité et une meilleure signification économique et financiére & chaque rubrique. 18 De plus le C.G.N.C prévoit le compte de produits et charges (C.P.C) qui détermine le résultat net de l'exercice. Il réunit en un seul état le compte d'exploitation générale et des pertes et profits du plan 1957. Le C.P.C fait apparaitre trois niveaux de résultats : ploitation : activité normale de t'entreprise > Financier : produits et charges financiers - Non courant : opérations non courantes Uétat des soldes de gestion (E.S.G) détermine les différentes étapes de formation de résultat net. Le tableau de financement quant & lui, détermine comment les emplois d'un exercice ont été financés. En plus de ces états, le C.G.N.C prévoit |'établissement de l'état des informations complémentaires (E.T.IC), document joint de facon indissociable au bilan et aux autres états. Nous analyserons dans ce paragraphe, et pour chacun des cing états de synthése, la structure, les aménagements et innovations introduites par le P.C.G.E par rapport au plan 1957 visant & améliorer information financiére en ne mettant Vaccent que sur ces apports, Stant précisé que les limites seront traitées dans la Chapitre I -Section 2. LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN page n°38. Il- 1. Le bilan (voir « annexe IV ») A. Structure générale du bilan Le bilan est un compte de situation établi a une date déterminge. Lorsqu'll est fiddle et sincére, il donne une image réelle du patrimoine de lentreprise et de sa structure. Le P.C.G impose une présentation du bilan en distinguant actif et passif et en faisant apparaitre, chaque exercice, les montants bruts et nets de l'exercice courant et les montants nets de 'exercice antérieur. Les postes du bilan sont regroupés en rubriques, elles-mémes regroupées en trois Masses constituées : v au passif par le financement permanent, te passif circulant (hors trésorerie), et fa trésorerie passif v Eta lactif, par actif immobilisé, actif circulant (hors trésorerie) et la trésorerie actif, 19 B . Les innovations et améliorations du P.C.M au niveau du bilan : Les principales innovations apportées par le nouveau plan comptable au niveau du bilan se résument comme suit: 1. Les « non-valeurs » qui constituent en général ce qui est communément appelé «actif: fictif» sont isolées sous une rubrique piacée en téte de actif immobilisé. Elles conduiront, le plus souvent, 8 une correction de valeur des capitaux propres dans analyse financiére. 2. Les créances et des dettes sont classées selon leur fonction économique et financiére et non selon leur échéance. 3. Ainsi, les créances et les dettes nées a plus d'un an et figurant respectivement dans actif immobilisé et dans les dettes de financement, restent dans ces masses jusqu’a leur réglement final. Pour les mémes raisons d'analyse fonctionnelle, les créances et les dettes liées 4 I'expioitation sont et restent inscrites respectivement dans I'actif circulant et le passif circulant quelle que soit leur échéance Vorigine, méme supérieure a un an 4. A signaler que l'actif et te passif circulants comportent aussi les créances et les dettes non liées a t'exploitation et non financiéres et dont le délai de recouvrement, a |'origine, est égai ou inférieur & un an, 5. Le passif du bilan est présenté avant répartition du résultat net de l'exercice, Ce résultat Femente du bas de bilan vers le haut du bilan parmi les capitaux propres, Cette présentation élimine tout retraitement de reconstitution de résultat. 6. Le classement des éléments a l'actif et au passif est fait selon leur nature économique ; est ainsi abandonné le critére de classement par liquidité croissante a actif et par exigibilité croissante au passif préconisé par le plan 1957. Cet abandon, qui semble, @ premiére vue, un recul sur le plan financier, reléve au contraire d'un plus grand souci de la qualité de l'information financiére, En effet, fe classement selon le plan 1957 rendait nécessaire la translation, en fin d'exercice, es créances - dettes du « plus d'un an » au « moins d'un an ». Cette opération présentait un grave inconvénient puisqu'elle ne permettait pas de suivre, d'une année a l'autre, les flux de ressources et d'emplois non désignés sous leur appellation originelle. Ainsi, en raison du maintien de la nature originelle des emplois et des ressources du bilan dans le P.C.G, il est Possible de reconstituer les flux qui seront ensuite directement reportés dans le tableau de financement. Cependant le nouveau plan comptable n'abandonne pas totalement I'analyse par liquidité- exigibilité car c'est dans l'état des informations complémentaires, document joint de facon indissociable aux autres états, que l'on trouve une analyse des créances et des dettes selon leur échéance (états B6 et B7 de I'E.T.L.C ). 20 7. Le poste « agencements, aménagements et installations » du plan comptable 1957 est supprimé. Les agencements et aménagements sont compris dans le poste d'immobilisation concernée. 8. Les créances de lactif circulant inciuent des « comptes rattachés » correspondant soit & des modes de financement de ces créances (effets 2 recevoir par exemple), soit & des quasi-créances (produits 4 recevoir ou factures 4 établir par exemple) qui sont mouvementés toutes taxes comprises. Dans le plan 1957, ces éléments étaient inscrits en comptes de régularisation-actif ou effets a recevoir, etc. 9. Jusqu’a leur date d'échéance, les effets remis a 'escompte restent inscrits dans le poste « Clients et comptes rattachés » au méme titre que les effets a recevoir (dans le compte 3425 Clients- effets 4 recevoir). Dans le plan 1957, les effets escomptés étaient sortis de Factif la date de leur négociation, 10.Le poste « Actionnaires, capital souscrit non appelé » n'est plus porté comme dans le plan 1957 a actif du bilan. II vient en soustraction du montant du capital social. 11.Les écarts de réévaluation sont portés non en « réserves » comme dans le plan 1957 mais dans un poste spécifique. 12,Dans le plan 1957, les provisions pour risques et charges aussi bien durables que non Gurables étaient inscrites dans une seule rubrique au passif du bilan intitulée « provisions Pour pertes et charges ». Le P.C.M. distingue entre « provisions durables pour risques et charges > (8 plus d'un an » et « autres provisions pour risques et charges » (a moins d'un an ou a un an) pour un meilleur calcul de la capacité d’autofinancement. Il - 2. Le compte de produits et charges A. Structure du compte de produits et charges Le compte de produits et charges (C.P.C) se démarque nettement des anciennes présentations des résultats. Le C.P.C regroupe, en un seul état, les éléments du compte d'exploitation générale et du compte de pertes et profits du plan 1957, classés en charges (hors taxes récupérables) et produits (hors taxes collectées). A instar du bilan, le C.P.C fait ressortir les montants de I'exercice précédent ce qui facilite analyse de I’évolution de activité et des performances de lentreprise sur deux périades. an Le C.P.C comporte quatre colonnes - Colonne 1 : montant des opérations propres & I'exercice - Colonne 2 : montant des opérations concernant les exercices antérieurs. ~ Colonne 3 : montant total de la colonne 1 et 2 ~ Colonne 4 : montant de I'exercice précédent Dans le plan 1957, le compte d'expioitation générale et le compte de pertes et profits ne permettaient d'obtenir, avant 1a détermination du résultat net, qu'un seul résultat intermédiaire appelé : le résultat d'exploitation. Par sa structure, le C.P.C permet de dégager cing résultats intermédiaires: - le résultat d’exploitation > le résultat financier ~ le résultat courant : égal a la somme des deux précédents - le résuitat non-courant ~ le résultat avant impéts : égal a la somme des deux précédents. Cette analyse est trés intéressante pour la gestion de l'entreprise et pour l'appréciation de ses performances, 8 . Les innovations et améliorations du P.C.M au niveau du C.P.C Les principales innovations apportées par fe nouveau plan comptable au niveau du C.P.C se résument comme suit : 1, Une présentation des produits et charges distinguant les opérations propres & l'exercice, celles des exercices antérieurs, leur total, et rappel de 'exercice précédent, 2. Une variété de résultats intermédiaires + + le résultat d’exploitation - le résultat financier ~ le résultat courant ~ fe résultat non-courant ~ le résultat avant impéts 3. Vintroduction du compte variation de stock qui permet, entre autres, d’obtenir sans calcul les « achats revendus de marchandises » et les « achats cnsommeés de matiéres et fournitures » 4. Les services bancaires tels que les frais d'achat et vente de titres, frais sur effets de commerce, frais et commissions sur services bancaires font partie du poste autres charges externes et ne sont pius considérés comme des charges financieres. 5. Les jetons de présence comptabilisés parmi les frais divers de gestion dans le plan 1957 font dorénavant partie du poste « autres charges d'exploitation ». Reclassements opérés par le P.C.G permettent un calcul correct des soldes de gestion. 6. Les pertes et gains de change sont classés parmi les éléments financiers, solution logique dans le cadre dune analyse par nature 22 7. Les cessions des titres et valeurs de placement sont considérées comme des opérations financiéres ; seuls les plus ou moins values sont constatées. 8. La ventilation des dotations d’amortissements et provisions en éléments d'exploitation, financier et non courant. 9. La ventilation des plus ou moins values (plan 1957) en deux comptes qui font apparaitre distinctement pour chaque type d'immobilisations : ~ La valeur nette comptable des immobilisations cédées - Les produits de cession I - 3. L état des soldes de gestion Il s'agit dun état tout & fait nouveau qui n’existait pas dans le plan 1957 et constitue l'un des epports fondamentaux a analyse de gestion des entreprises. Il explique, @ partir des comptes et sans aucun retraitement préalable, la formation du rsultat final et peut donc &tre élaboré directement & partir des éléments du C.P.C. A. Structure générale de I'E.S.G Liétat de solde de gestion comporte deux tableaux : A- 1. Le tableau de formation des résultats (T.F.R) Il analyse, en cascade, les étapes successives de formation de résultats et dégage les soldes intermédiaires de gestion qui sont au nombre de neuf : Marge brute sur ventes en l'état Production de lexercice Valeur ajoutée Excédent ou insuffisance brut d’exploitation Résultat dexploitation Résultat financier Résultat courant Résultat non courant Résultat de lexercice Ke KR KKK KK Nous analyserons pour chaque grandeur de I'E.S.G_ son mode de calcul, sa signification, ses imperfections en tant que grandeur informative, et la portée de sa contribution a explication de la gestion des entreprises. A-1-a. Marge brute Ele est dégagée par les entreprises commerciales de négace et par les entreprises industrielles pour leur branche « négoce ». Cette marge brute est égale a la différence entre les « ventes » de marchandises (en l'état) et les « achats revendus » de marchandises 23 Marge brute = Ventes marchandises - — Achats revendus de marchandises I est 8 rappeler que: ‘Achats revendus de Achats de _ Variation des stocks de marchandises marchandises marchandises (stock final - stock initial) Signalons que 'évaluation des éléments composant cette marge n’est pas homogéne car les achats sont comptabilisés a leur prix diachat alors que les stocks sont enregistrés & leur cout G'achat (prix d'achat + frais accessoires d'achat). C'est pourquoi, la marge brute ne doit pas étre confondue avec Ia marge commerciale qui est égale & la différence entre les ventes de marchandises et le coat d'achat des marchandises vendues. Le calcul de la marge commerciale (non prévu par le P.C.G) nécessite donc inclusion des frais accessoires d'achat dans les achats. Néanmoins, la marge brute reste un indicateur significatif et essentiel dans les entreprises commerciales. Bans une branche d'activité donnée, le taux de la marge brute est en général assez homogéne, ce qui permet des comparaisons intéressantes dans le temps comme dans espace. La marge brute, sensiblement proportionnelle au chiffre d'affaires, constitue une étepe essentielle du calcul de la marge sur colt variable, partir de laquelle on peut aisément iSterminer le seuil de rentabilité de Ventreprise. A-1-b. Production de I'exercice Ele est égale au total de : - La production vendue : vente de biens et services produits - La production stockée : variation des stocks de produits - La production immobilisée : immobilisations produites par \'entreprise pour elle-méme. La notion de production a une plus grande signification économique que le chiffre d'affaires. Elle permet, surtout pour les entreprises 4 cycle de production long, de faire apparaitre, en plus de ce qui a été produit et vendu, ce qui a été stocké ainsi que ce qui a été immobilisé pour les utilisations propres de entreprise. ‘Svaluation de cette production est cependant hétérogéne. Ainsi - La production vendue est comptabilisée au prix de vente - La production stockée et la production immobilisée sont évaluées au cotit de production. Dans les entreprises mixtes qui ont a la fois une activité industrielle et une activité de negoce, la production ne comprend évidemment pas les ventes de marchandises ni {a marge brute 24 A-1-c. Consommation de I’exercice II s'agit de la consommation de biens et de services. Dans les entreprises commerciales, fa consommation exclut les achats revendus de marchandises déjé soustraits pour le calcul de la marge commerciale et ne comprend donc que Jes autres consommations de biens et services (fournitures et services extérieurs, locations, assurances, etc....) Dans les entreprises industrielles, la consommation est formée des achats consommés de matiéres et fournitures et des autres charges externes réellement consommées, donc corrigées des variations de stocks. A-1-d. Valeur ajoutée Le valeur ajoutée mesure effort d’élaboration apporté par l'entreprise aux biens et services qu'elle a acquis auprés des tiers. La détermination de la valeur ajoutée s'effectue ainsi : Valeur ajoutée = ~~ Marge brute. = + ~—=—Production © - Consommation Le concept de la valeur ajoutée est plus significatif que celui du chiffre d'affaires. Le chiffre affaires d'une entreprise additionne tous les chiffres d'affaires en amont de l'entreprise alors que la valeur ajoutée révéle exactement le réle de l'entreprise et sa contribution dans la formation de la richesse du pays. utilisation de la valeur ajoutée dans une analyse basée sur les ratios permet de renseigner sur 1. La dimension économique de |'entreprise La V.A représente la véritable production économique de lentreprise et son apport @ la production nationale par le ratio VA PIB 2. Le degré d'intégration de l'entreprise Une entreprise totalement intégrée présenterait un ratio : Valeur ajoutée tendant 1 Chiffre d'affaires ou Production ““"“*"* ¥°r® 3. La structure interne de l'entreprise Elle peut étre étudiée & travers la répartition de la valeur ajoutée entre les différents facteurs de production 25 Amor ents Valeur ajoutée Ces deux ratios évoluent généralement en sens contraire : une automatisation exigeant de gros investissements accroit le second ratio mais présente l'avantage pour I'entreprise de réduire sensiblement le premier. La V.A peut étre utilisée comme un instrument de gestion & condition de prendre quelques précautions quant @ son utilisation et son appréciation. En effet, avant de porter un Jugement, il faut vérifier si Ventreprise n’a pas changé ses méthodes de production ou recourus davantage a la sous-traitance, ce qui diminuerait la valeur ajoutée, A-1-e. Excédent brut d'exploitation Crest un solde intermédiaire de gestion qui exprime la ressource interne d'exploitation sécrétée par I'entreprise aprés avoir déduit de la valeur ajoutée de V'exercice, les charges de personnel et les impéts et taxes (les subventions d'exploitation, assimilables a des impéts négatifs viennent en addition dans ce calcul de IE.B.E). Dans le cas oii '€.B.E serait négatif, il devient une Insuffisance Brute d'Exploitation (1.8.E). Cate grandeur exprime le reliquat de fa valeur ajoutée sur les charges de personnel et les impéts et taxes avant la prise en compte. - de sa politique financiére ; - de sa politique d'amortissement ; ~ de incidence des éléments exceptionnels ou inhabituels ; - de lincidence fiscale de limpat sur les sociétés, En effet, 'E.B.E neutralise les effets de distorsion dans les comparaisons dans le temps ou espace que peuvent introduire : ~ la structure financiére : charges financiéres plus ou moins lourdes selon le degré dendettement ; - [a politique dinvestissement et de renouvellement des immobilisation susceptible dinfluer sur les amortissements ; ~ les éléments non - courants qui sont & 'vidence anormaux ou exceptionnels ; ~ Vimpét sur les résultats : En raison des décalages dans l'application de ces impéts (reports déficitaires, amortissement différé, imposition des plus-values, exonérations temporaires ou partielles, etc.) ou en raison des modalités de leur calcul. UE.B.E est lindicateur de performance économique le plus sir, car il permet des comparaisons utiles et significatives entre entreprises d'une méme branche d'activité. 26 L'E.B.E, apparait également comme un cash-flow d'exploitation avant charges financiéres et avant impéts sur les résultats. Il constitue a ce titre une étape importante vers le calcul de la capacité d'autofinancement (C.A.F) A-1-f. Résultat d'exploitation (hors charges et produits financiers) Ce résultat est indépendant de la politique financiére de Ventreprise et utile pour I’analyse financiére 4 Reprises et Dotations aux Résultat ; gerputaton + XCédent brut transfert de - amorissements et - Autres P , ‘exploital charges provisions. varges Les dotations et reprises concernent les amortissements et les provisions ¢’exploitation, A-1-g. Résultat courant avant impéts Ce résultat exclut les charges et produits exceptionnels mais inclut les charges et produits financiers. Ii tient compte de la politique financiére de lentreprise. Résultat courant ——_ Résultat Produits Charges avant impéts dexploitation financiers financieres A-1-h, Résultat non-courant Cesst le résultat des opérations exceptionnelles de lexercice. I! est calculé indépendamment des autres, de facon & mesurer son impact sur le résultat de Vexercice Résultat non courant = Produits non courants - Charges non courantes A-1-i. Résultat net Cest le dernier résultat. II est obtenu en reprenant le résultat courant avant impéts, majoré du résultat non courant et diminué de limpét sur les sociétés Résultat courant, Résultat non Impot sur les Résultat net A a Avant impots courant sociétés A- 2. Le tableau de calcul de l'autofinancement (A.F) : Le tableau de calcul de l'autofinancement de l'exercice passe par la détermination de la capacité d'autofinancement (C.A.F) 7 A-2-a. Capacité d’autofinancement Cest ia ressource de financement générée par l'activité de l'entreprise au cours de l'exercice avant affectation de résultat net. Elle indique la capacité de entreprise financer sa croissance. Elle est définie par la relation Résultat de cessions| CAF = Résultatnet + Dotations —-_——_—Reprrises dimmobilsations 1. Calcul de la C.A.F. a partir du résultat net (Méthode additive) L2 P.C.G. propose le calcul de la C.A.F. 8 partir du résultat net de lexercice. A ce dernier : On ajoute toutes les dotations de lexercice autres que celles relatives aux actifs et passifs Circulants ; il s'agit donc des dotations aux amortissements et des dotations aux provisions sur actif immobilisé, des dotations aux provisions durables pour risques et charges et des dotations aux provisions réglementées. On retranche toutes les reprises sur amortissements, sur provisions (autres que celles relatives aux actifs et passifs circulant y compris la trésorerie) et les reprises sur subventions diinvestissement. On élimine le résultat engendré par les cessions d'immobilisations en retranchant le produit des cessions et en ajoutant la valeur nette d'amortissements des immabilisations cédées ou retirées de l'actif. 2. Calcul de la C.A.F a partir de I'E.B.E (Méthode soustractive) La CAF, peut également étre calculée 4 partir de I'E.B.E en lui ajoutant les produits encaissables et en lui retranchant les charges décaissables selon la méthode suivante : a 1 | CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT Excédent brut d'exploitation : Autres produits d'exploitation | Autres charges d'exploitation | Transferts de charges d'exploitation | Produtsfnanciers(1) | Charges financiéres (2) Produits non-courants (3) Charges non-courantes (4) Impéts sur les résultats 28 (1) Sauf - _ Reprises sur provisions réglementées ou sur provisions durables. - Reprises sur amortissements. (2) Sauf dotations sur actif immobilisé ou financement permanent. (3) saur ~ Produits de cessions dimmobilisations. + Reprises sur subventions d’investissement. = Reprises sur provisions durables ou régiementées. (4) Sauf Valeur nette d’amortissements des immobilisations cédés. + Dotations sur actif immobilisé ou sur financement permanent. La méthode préconisée par le P.C.M a l'avantage d'étre plus simple que cette seconde méthode. La C.A.F. est un solde essentiel dans la gestion financiére car elle) exprime l'aptitude de 'entreprise a générer des ressources en vue de renouveler ses équipements et de nourrir financiérement sa croissance. A-2-b. Autofinancement Cest le surplus monétaire généré par lentreprise et conservé durablement par elle pour assurer le financement de ses activités. II se retrouve en « ressources stables » au niveau du tableau de financement, Uautofinancement est obtenu en retranchant de la C.A.F les distributions ou retraits de bénéfices opérés durant l'exercice, Il est & préciser quil s'agit des bénéfices de lexercice précédent ou d'exercices antérieurs moins quil ne sagisse, & titre exceptionnel, d'acomptes sur les bénéfices de l'exercice en cours. Il - 4, Le tableau de financement Le tableau de financement est I'un des outils les plus prisés des analystes financiers. Naissant de la vision de l'entreprise en tant que lieu d’échange et de flux entre l'entreprise ot son environnement, il met en évidence les ressources nouvelles dont Ventreprise a disposé et les emplois auxquels elle a procédé au cours d'un exercice. Nous présenterons sa structure, ses composantes, quelques questions problématiques pour ‘Sa mise en ceuvre et, les enseignements découlant de son interprétation. 23 A. Structure du tableau de financement : En régle générale, tout accroissement d'un élément de I'actif et toute baisse d'un élément du passif constituent des emplois. A contrario, toute augmentation d'un poste de passif, et toute diminution d'un poste de l'actif représentent une resource. Le T.F siintéresse a l'ensemble des activités de l'entreprise, et permet d’expliquer I’évolution de équilibre financier et de la situation patrimoniale de entreprise, a travers I'évolution de fa variation du fonds de roulement fonctionnel (F.R.F) et celle du besoin de financement global (B.F.G) pour aboutir & la variation de la trésorerie, Les ressources et les emplois sont analysés en trois niveaux et en parfait parallélisme avec les masses du bilan : = es flux des valeurs stables - les mouvements des actifs et passifs circulants - les mouvements de trésorerie. Contrairement au bilan, qui revét un caractére statique, le T.F est un document dynamique de premiére importance pour I'entreprise, notamment dans ses relations avec les organismes financiers. Le T.F. peut étre construit directement a partir des éléments figurant dans les comptes de fin d'exercice ou dans les bilans d’ouverture et de clature. Cette facilité dans I'établissement du T.F résulte de organisation comptable prévue par le P.<.G qui a introduit les moyens d'élaborer une « comptabilité de flux », Notons que le tableau de financement peut étre élaboré & partir des mouvements de Vexercice obtenus a partir de la balance d'un exercice. Ainsi les entreprises utilisant des logiciels de comptabilité peuvent confectionner rapidement le tableau de financement en important directement les seuls mouvements de I'exercice dans un tableur standard. Le tableau de financement est constitué de deux parties : ~ la synthése des masses du bilan ~ le tableau des emplois et ressources. A-1. Synthése des masses du bilan : Cette synthése est établie directement a partir des montants nets figurant dans les bilans de début et de fin d'exercice. A-1-a. Présentation « fonctionnelle » du bilan a arésentation « fonctionnelle » du bilan permet, par simple différence, de dégager: | Celte approche a été élaborée par nos soins et appliquée pour Iéaboration des états de synthése des clients dy cabinet, 30 1. Le fonds de roulement fonctionnel (F.R.F) FRE : Financement permanent - Actif immobilisé En principe positif et représentant alors une ressource (permanente) de financement, ce fonds de roulement peut se révéler négatif dans le cas ou le total de l'actif immobilisé excéderait le total du financement permanent. 2. Le besoin de financement global (B.F.G) BAG = Actif circulant hors trésorerie = _Passif circulant hors trésorerie En principe positive, cette différence peut étre négative dans le cas oi le passif circulant hors trésorerie excéderait le total de l'actif circulant hors trésorerie. Dans ce dernier cas, la différence révéle non un besoin mais une ressource de financement. 3. La trésorerie nette (T.N) Elle correspond a la différence, positive ou négative, entre la trésorerie-actif et la trésorerie- passif TN a Trésorerie-actif : Trésorerie-passif les en analyse financiére, ressortent distinctement de la lecture du Végalité qui formalise équilibre du bilan : Ces trois grandeurs, capit bian ; elles sont reliées par FRE I BG + TN que l'on représente généralement sous la forme « causale » expliquant la nature et le niveau de la T.N FRE B.FG a TN A-1-b. Le tableau de synthase des masses du bilan : En sept lignes, ce tableau permet le calcul ~ du FARF de l'exercice, de l'exercice précédent, et de sa variation ~ du B.F.G de lexercice, de lexercice précédent, et de sa variation ~ dela T.N de lexercice, de lexercice précédent, et de sa variation Légalité () entraine évidemment celle des variations () 31 (E) ORRE : ABF.G = ce) Le F.R.F augmente en « ressources » et diminue en « emplois » ce qui traduit, en principe, respectivement une amélioration ou une détérioration de ce fonds. Le B.F.G augmente en « emplois » et diminue en « ressources », ce qui traduit, en principe, respectivement une dégradation ou une amélioration du niveau de ce besoin. La variation de la trésorerie est calculée a partir des variations du F.R.F et du B.F.G Variation F.R.F : Variation B.F.G = Variation T.N A- 2. Tableau des emplois et ressources : Ce tableau présente, pour I'exercice comme pour le précédent, quatre masses successives ~ Les deux premiéres en termes de flux de l'exercice : ressources stables et emplois stables ; - Les deux dernires en termes de variation nette globale : variation du B.F.G et variation de la T.N A-2-a. Les flux de ressources et d'emplois stables Ils sont obtenus. - Pour l'autofinancement a partir du module de calcul figurant dans I'E.S.G ; Pour les autres flux directement @ partir de la balance ou mieux & partir du grand livre (mouvements débit et mouvements crédit). A-2-b. Variation du B.F.G et variation de la T.N En ce qui concerne ces deux masses, il suffit de reporter en emplois ou en ressources les variations du B.F.G et de la T.N déterminges précédemment dans la «synthése des masses du bilan ». Néanmoins, il est conseillé aux entreprises de pousser l'analyse de la variation nette globale du B.F.G et de la T.N en adjoignant au T.F un tableau permettant de faire ressortir les variations détailiées des postes constituant l'actif et le passif ainsi que la trésorerie. Létablissement du T-F doit aboutir 4 une égalité parfaite entre le total des emplois et le total des ressources. Le TF est un document qui répond davantage & des considérations économiques que comptables. C’est pourquoi certains reclassements doivent étre effectués pour limiter analyse aux seuls flux de fonds qui correspondent a des mouvements financiers réels. 32 B . Examen des questions problématiques : - Les écarts de conversion actif et passif : La constatation de ces plus ou moins values ne correspond a aucun mouvement de fonds réel. En conséquence les dettes et les créances doivent étre ramenées a leur valeur d'origine en dirham. - Les écarts de réévaluation : Cette opération purement patrimoniale n’entraine aucun flux, On diminuera donc @ la fois les capitaux propres de l'entreprise et la valeur nette des immobilisations. - La prime de remboursement des obligations : Le reclassement consiste a diminuer 'e montant des emprunts obligataires au passif de la valeur nette des primes de remboursement inscrite a ‘actif dans les immobilisations en non-valeur. - Les virements de compte 4 compte: Les virements de compte & compte ne traduisant pas des flux réels (exemple : dimmobllisations en cours immobilisations, incorporation des réserves au capital...) ne doivent pas étre pris en compte. ~ Le bilan au 31-12-(n-1) est un bilan aprés répartition : Pour comparer des bilans homogénes les bilans pris en considération doivent étre des bilans avant répartition. ~ Le fonds de roulement fonctionnel : Le concept de F.R.F ne tient pas compte : ¥ des crédits revolving qui sont permanents, ils doivent donc atre intégrés aux dettes de financements ; ¥ [a partie @ moins d’un an d’un emprunt est considérée comme ressource stable, donc un retraitement & ce niveau s'avére nécessaire, C.. Vinterprétation du tableau de financement : Le T.F est donc un document particuliérement important, dans la mesure ot il permet dapprécier la politique d’investissement et de financement de I'entreprise, son apport peut atre_apprécié de diverses_maniéres. Nous étudierons ci-aprés_interprétation des informations dégagées par le T.F. ~ Si la variation du B.F.G est négative, elle traduit une amélioration de fa structure financiére de lentreprise et inversement. ~ Hl est intéressant de comparer l'augmentation des ressources propres l'augmentation des dettes financiéres. En principe l'augmentation des dettes financiéres ne saurait étre, durablement, supérieure a augmentation des capitaux propres. ~ Pour apprécier la C.A.F, on peut la rapporter & ensemble des ressources. Plus la C.A.F est importante, plus grande est 'autonomie financiére de l'entreprise. ~ Il faut également analyser le contenu de la rubrique « cessions et réductions dimmobilisations ». En particulier, sil y a de fortes sommes dans cette rubrique, il est probable que l'entreprise mette en ceuvre une stratégie de recentrage de ses activités, ~ Une analyse fine de ta structure et de l'évolution des emplois en général et des catégories dinvestissement en particulier permet d'identiffer la stratégie de croissance. Si augmentation des immobilisation corporelles_ Yemporte largement sur 33 Yaugmentation des immobilisations financiéres, l'entreprise met en ceuvre une stratégie de croissance interne ; dans le cas contraire il s‘agit d'une stratégie de croissance externa. - Le TF visualise aussi la politique de financement de entreprise, son degré d’autonomie financiére et le taux d’autofinancement de ses investissements. - Il permet également lappréciation de la politique de distribution des dividendes de Ventreprise et corrélativement la politique dautofinancement. ~ La politique d’endettement / désendettement est mise en évidence également. Si les remboursements de dettes sont supérieurs aux augmentation, [entreprise se désendette et inversement. Par ailleurs on peut compléter I'interprétation des grandeurs dégagées par le T.F par la mise en ceuvre de certains ratios tels |Ce ratio permet de mesurer la place qu’occupe la C.A.F dans ensemble des ressources. Plus ce ratio est élevé, plus la j structure financiére de I'entreprise est renforcée et moins de charges financiéres sont a payer. En conséquence l'entreprise | préserve son indépendance financiére et facilite ainsi la discussion avec le banquier. Ce ratio apprécie le degré d'autonomie de lentreprise vis-- | Dettes de financement | vis de ses créanciers. Si ce ratio est élevé, les préteurs | Total des ressources _| supporteraient la majeure partie du risque de l'entreprise, ce gui les inciterait @ ne pas rester neutre égard de ta gestion. Acquisitions et augmentations Ce rapport met en évidence la part des emplois affects des immobilisations acquisition d’immobilisations. Total des empiois i Variation ERE Ce ratio mesure le taux de couverture du B.F.G par le F.R-F, Variation du B.F.G plus ce ratio est élevé plus la trésorerie est aisée. “Ce ratio permet de dégager le pourcentage des bénéfices distribués par rapport aux ressources dégagées au cours de Distribution des bénéfices | exercice, il renseigne sur la politique de dividendes de CAF Ventreprise. 34 Le TF du P.C.M se démarque nettement du T.F traditionnel. En effet lorsque ce dernier centre toute approche sur |'évolution du F.D.R patrimonial pour apprécier le risque de faillite, le T.F du P.C.M, issu de 'approche fonctionnelle, permet de vérifier si les conditions du financement de la croissance de 'entreprise sont satisfaisantes (non détérioration de ta trésorerie, respect de la régle de 'équilibre financier). Néanmoins, le T.F du P.C.M péche par un certain nombre de limites d’abord propres aux grandeurs quil met en ceuvre, et ensuite par des aspects qu'il ne permet pas de mettre en évidence tels : Lanalyse du B.F.G dont il fait uniquement, un élément intermédiaire. y analyse de la trésorerie dont il fait juste un élément résiduel, alors que dans le contexte actuel, elle est placée au coour méme de toute politique financiére (gestion de Vendettement, rentabilisation des actifs financiers) Ces remarques relatives aux limites du T.F sont largement développées dans le Chapitre I - Section 2, LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN, page n° 38, 35 STRUCTURE DU TABLEAU DE FINANCEMENT AUTOFINANCEMENT Emplois stables ee | + Ressources stables LE ¥ Cessions ou réductions: dimmobilisations (prix de cession ou de réduction) ¥ Augmentation des capitaux propres et assimilés y compris prime d'émission, de fusion ou d'apport) ¥ Augmentation des dettes._ de financement (nette des primes de remboursement) + Diminution du B.F.G Acquisition et augmentation | dimmobilisations (coat d'acquisition, d'apport ou de transfert, emplois en non-valeurs) Remboursements des _capitaux propres i Remboursement des dettes de } financement — Augmentation du 8.F, Diminution des dettes d’exploitation | Augmentation des dettes. v dexploitation | I Y Diminution des dettes__hors ¥ Augmentation des dettes hors exploitation exploitation v Augmentation des. actif ¥ Diminution des actifs d'exploitation | d'exploitation ¥ Diminution des —actifs hors } ¥ Augmentation des actifs hors exploitation I exploitation ] — Variation nette de la trésorerie ! CONCLUSION DE LA SECTION A V'examen des principaux apports du C.G.N.C, nous sommes enclin 8 considérer le P.C.M comme une véritable révolution dans l'amélioration de la qualité de {information et Vaffinement des concepts et grandeurs utilisés au niveau du cadre conceptuel et au niveau des états de synthése, Au niveau du cadre conceptuel : - Une comptabilité basée sur la notion de flux. - Une appréciation comparative de la gestion et la structure par le rappel dans tous les états de synthése des données de exercice précédent. Un cadre de comptabilité analytique offrant une large gamme d'analyses de coiits. Des états d'informations complémentaires constituant une source précieuse d'informations a l'analyse financiére v Au niveau des états de synthése > Le bilan Uabandon des critéres de la liquidité et de lexigibilité dans la classification des postes du bilan au profit d'une classification plus économique et fonctionnelle, Le regroupement en masse et une classification fonctionnelle des postes du bilan permettent de dégager directement des grandeurs économiques (fonds de roulement fonctionnel, besoin de financement global, trésorerie nette) et de déterminer, sans retraitement, des ratios financiers liés & la gestion des clients, fournisseurs et trésorerie. > Le Compte de produits et charges Le découpage par activité (exploitation, financier, non courant) et par origine temporelle (N, N-1) des opérations permet d'apprécier Tforigine et les stapes de formation du résultat. Le reclassement de certains comptes permet de dégager, sans retraitements préalables, des enseignements sur la politique commerciale et d'approvisionnement de entreprise > Etat des soldes de gestion Véritable instrument de gestion, il permet de dégager les grandeurs économiques les plus utilisées dans l'analyse financiére pour la mesure des performances d'une entreprise ~ Tableau de financement. - A travers ses deux volets emplois et ressources, Le T.F met en évidence la politique et la structure financiére de I'entreprise. 37 Section 2 . LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN Le plan comptable marocain, en dépit des améliorations notables par rapport & celui de 1957, nécessite un certain nombre d’améliorations tant au niveau de la forme qu’au niveau du fond, Les apports du P.C.M, tels que détaillés dans la section précédente, répondent parfaitement @ux besoins de gestion sans pour autant satisfaire les soucis spécifiques a lanalyse financiére. En effet, 'interprétation du bilan nécessite un certain nombre de reclassements fonctionnels ou financiers. Elle impose également des retraitements économiques visant 4 obtenir une description économiquement plus juste du patrimoine de lentreprise. Les sources de divergence entre réalité économique et description comptable sont de deux ordres * Utilisation des principes comptables fondamentaux qui sont parfois en contradiction avec la réalité économique. I convient ici de rappeler par exemple le principe de nominalisme qui conduit évaluer les biens leurs valeurs historiques sans tenir compte de la variation du pouvoir d'achat ou les phénoménes monétaires et, le principe de prudence qui conduit @ une appréciation raisonnable des faits évitant de transférer sur lavenir les incertitudes pouvant grever le patrimoine et les résultats, * Utilisation de ragles fiscales qui conduisent & privilégier la vision juridique au détriment de la vision économique. II convient ici de rappeler par exemple les méthodes damortissement qui sont impropres a décrire convenablement la dépréciation de actif. Nous présenterons d'abord exposé des limites pour conclure a la fin sur une synthase de ces divergences. 1 - EXPOSES DES LIMITES DU P.C.M A L'ANALYSE FINANCIERE : Ces limites ainsi que leurs incidences sur ’appréciation financiére de la gestion et de la situation financiére des entreprises, seront étudiées au niveau du: Bilan. CP.C et 'ES.G Tableau de financement adopté Modéles et méthodes de calcul des codts dans la comptabilité analytique. v v < Les limites sont présentées sous forme de tableaux synthétiques multicolonnes ot nous mettrons en ceuvre + Vobjectif de l’analyse financiére : c'est (‘aspect que se propose de mettre en évidence l’analyste dans une optique économico ~ financiére. 38 + Nature de Ia limite : traduit la difficulté que présente la comptabilité pour mettre en ceuvre le concept qui permettra d'étudier aspect visé. + Retraitements : propositions de corrections des données comptables afin de permettre la mise en ceuvre du concept pour I'analyse de l'aspect. + Nature de I’analyse: Les aspects que se propose d’étudier ‘analyse financiére peuvent tre mis en évidence selon deux approches qui sont, & notre avis, ‘complémentaires sans étre contradictoires et dépendent largement du but poursuivi par Fanalyste : ¥ Vapproche Patrimoniale : c'est une approche classique centrée sur l'examen des équilibres financiers en termes de liquidité et de solvabilité, Elle est basée essentiellement sur l'étude, & un moment donné, du bilan patrimonial au sens juridique du terme, Cette approche permet l'examen des échéances des ressources et des emplois pour mesurer la solvabilité de l'entreprise et le risque des créanciers. y Lapproche Fonctionnelle : cile est centrée sur le fonctionnement économique de Ventreprise. Elle privilégie objet et la nature des ressources mises a la disposition de Ventreprise et les emplois qui en ont été faits. Lapproche patrimoniale et approche fonctionnelle seront développées dans la deuxiéme Partie, Chapitre I -Section 1. LES DIFFERENTES APPROCHES ET CADRES DE L'ANALYSE FINANCIERE page n° 77. 39 Ob ‘uoneyojdxa,| @ saujessa7—u suONesI|igoww! sainas aj anb quejdwoa au ua asudanua) asodsip yu0p |uonanposd ap jaquayod aj snajen aysnf es e ye Jaunsay ‘(odes ap ajgnauiu) : ajdwaxa) 3 uauiBsueuy 3p aHIMDYWIP ap No es.D ap Lonemys | i 2 |aunp sio} ‘eyagse uos uns aouapiou! sues Jaredgs i 5 | 28 nad esudastua, 3uop ‘uoneyo|dxa sioy asyiqowwt ee “uonenoidxe,,, _-(uogeyojdxe soy) sed quos aj au inb xnap/ ynae,) aquasaudes and spuoy ap aniasau ef Jappiddy | Ble sapeye vou swuauigia 39/12 uoneriojdxas 2902 wasp ual} uN quede J uoneioidxa @ spwaye sUaWiaIP No yUENOIUOD SyIDe sj JoNnBUNsIp ap yauuad snoafgo aiqnop un e uoneslojdxo si0y 3 ua sasijiqowlU! $yn2e sa] Jaye\99| aU UBAOW UNDNe ‘UEIIG NP aumMd—| 2} ¥ | LOREYOKdXa,D syne Ua ssiliqoWWI JRIe) ap JuoWaIeD: | PUORBTOTRS OVERS, P SUTOUT, 4| - = — quawanbuoay} sanbiwouo22 syuawassOWe sap agnulWiD “pigudaid aupo|d uo sinbae syuawadinds | » | Bui6U0,p JnajeA ina} ap esa) anb agg awaw ne asudanua, aso, anau snajen sna] @ sanienp!ap guade, @ qUasno2uo9 5}! 1 UoNanpoId = quois spuianuod syne se] ap je) ap seiuesoduioa sap quamyysuor “suas 3no} ap a9nugp ys2 21127229} aysnf ysa ua Inb/ 3 quawoxapua; ep 39 feq-p9.9|sj,nb ual ajqeidwo> sme, ap snpxe quos| anne sun ye suONesIIqoWUN Ses ap auleyaUdo.d asudanua | © ua spoueuy suaiq sep quewow jleq-up.o Jed spaueuy syuawel saj anbsind aun,p sasuewioyad sap uosievedwo> 2] “aya u: © |np quawangadsas sgquawB6ne!aiaueuy aysoiddey 2 nu sejgerdwo> ‘aagiidoid ap anbipuint aul6o uos ap quawuwepuadspul i jwossssed re asynowu sDe;1/ 7 senbpuntsargHD aa 2 uouonpoid “ep paveiod a] Jepaidy| i FP SMBNUOUOIS FIC] TH i “eakieue,p ~ : - S4INnjeN squswayesjay augioueuy aséjeue, ap 4990190 # Weg Np neoaME ne Wed Mp SOUWIT T - 1 Ib { YSSCO TIERED IB IE SF TIDE WOETBAOD 3D SURI 557 — | 96:22 32 sanbst nod suassiword sauane 97 s20-waqesuemnbgs ap saxdiso2 527» “1ssed-uowesueyn631 ap saydiio $27 sunangap saane sey | uouepoydro sve1sUe2.0 Sauine 537 sinangap spoossep saxdwon 597 (>| si0y syuowsys Sunentpe12 SpD0SsEp saxdu0d 537 swnangep | sunype.n saidiueo sane ~ 1217 “aked ® sexe} 12 sipdu) 1819 |saxdtuo? sone ~ Je ‘vouesmoUNN Ins aqeszdnoe yay ‘spypDeS | wuise Soxea 30 Sled — Jen3: snenpe.> 1137» |s91 40S JealUY ans sezCluode 52 “goHaTES p SUERUENGNS nex 127» 299 VAL BIDE PAL PD IeITT PAL aD TEBID 18 SOLEUS In SGeBTIOB! 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Aprés avoir présenté en détail les limites du pian comptable & analyse financiére, le présent patagraphe passera synthétiquement en revue ces divergences en les classant en trois types limites dues aux principes et dispositifs du fond prévus par le P.C.M ; limites dues aux principes de présentation et de classification prévus par le P.C.M ; ~ limites relatives 8 la qualité et & l'exhaustivité de l'information dispensée par le P.C.M. Il est & signaler que par cette classification que nous avons adoptée, implicitement nous cconnaissons que ces limites ne sont pas toutes des lacunes intrinséques au P,C.M pris dans un référentiel absolu, mais des limites par rapport 4 une discipline (‘analyse financiere) dont les objectifs différent de ceux du P.C.M. Il - 1. Limites dues aux principes et dispositif de fond prévus par le P.C.M : A. Au niveau du bilan : + Persistance du caractére_patrimonial : Les éléments financés par crédit-bail ne figurent pas a l'actif du bilan comptable bien quills constituent des composantes de l'actif de production et concourent & ’activité de l'entreprise + Omission de la fiscalité latente : Les impéts différés ou latents ne sont pas isolés systematiquement. Cette pratique fausse par consequent la mesure des fonds propres. Pour apprécier la vraie valeur de ces derniers, il est nécessaire d’en défalquer impact de la fiscalité latente. + Evaluation basée_sur_un_coiit historique : La valorisation des immobilisations est faite selon le codt historique. Or ce coiit reste inchangé quelle que soit I’évolution du pouvoir d’achat de la monnaie. Il convient de dégager une valeur actuelle du patrimoine en éliminant les distorsions entre valeur comptable et valeur économique. + Mesure arbitraire de la dépréciation : L’évaluation des dotations aux amortissements découle plus de application des régles comptables et fiscales, que d'une appréciation de la dépréciation économique normale de immobilisation. + Flux fictifs: Dictés par des considérations comptables, des opérations telles la constatation des écarts de conversion ou des immobilisations en non-valeur, ne traduisent ni des flux matériels ni des flux financiers pouvant représenter pour l'analyste un intérét_quelconque. Il convient donc, soit de revenir aux opérations dvorigine pour mieux apprécier 'évolution des postes 2 étudier ( écarts de conversion), soit de les défaiquer de la situation nette (les non-valeurs). 57 B . Au niveau du C.P.C + Un classement non orienté vers la gestion : La classification des charges et produits par nature et non pas par fonction soppose @ tout moyen de mesurer les coits et V'efficacité des fonctions de lentreprise. C. Au niveau de ’E.S.G et le T.F + Une évaluation hétérogéne : Les achats sont valorisés au prix d’achat alors que la variation des stocks est valorisée au codt d’achat ceci aboutit 3 une marge brute biaisée. Le mame constat est observé pour la production de lexercice puisque la production vendue est évaluée au prix de vente alors que les productions stockées et immobilisées sont évaluées au cod de production. + La C.A.F un concept limité : D’abord il s‘agit d'un flux potentiel et non d'un flux réel de trésorerie niintégrant pas dans son calcul les décalages entre les produits et les encaissements, d'une part, et les charges et les décaissements, d’autre part. En outre elle est composée d’éléments ayant ou pas supporté Vmpdt ce quil lui dte tout intérét 8 renseigner sur la vraie resource disponible et interne de entreprise D. Auniveau de la comptabilité analytique : Le recours & certaines méthodes recommandées par le P.C.M pour le calcul des covts naboutit pas forcément a la détermination du colt réel en raison d'incertitudes et choix arbitraires liés aux principes et modalités d’application prévues par ces méthodes + Des clés de répartition des charges indirectes dont la détermination n'est pas évidente ; Le choix 4 euvre pour la répartition des charges indirectes n'est pas une mince affaire et pour le gestionnaire et pour le consultant en raison d'une détermination arbitraire et le caractére inconstant des unités d’ceuvre elles-mémes. (Une unité d'ceuvre valable pour une période ne lest pas forcément pour dautres périodes). It- 2. Limites dues aux principes de présentation et de classification prévus par leP.CM: A. Au niveau du bilan : + Les titres et valeurs de placement : Le P.C.M suggére de classer es titres et valeurs de placements dans lactif circulant hors trésorerie. Or, si les titres inscrits sous cette rubrique sont facilement négociables, ils sont donc des liquidités B. Au niveau du C.P.C: * Subventions d’exploitation : Dans la plupart du temps les subventions sont des compléments du prix de vente, donc un complément de chiffre d'affaires. A défaut d'une telle pratique, ceci conduit 4 une formation de V.A erronée. + Crédit-bail ; L’annuité du crédit bail est composée de deux coiits Coit d’exploitation : dotation ; Coiit financier : charges dintérét. Reclasser ces composants respectivement dans les postes de charges d'exploitation et charges financiéres. Les charges de sous-traitance sont classées en charges externes, + La sous-traitance S sont constituées par les achats de matiéres et, des charges de alors qu’en réaiité main d'ceuvre, + Les rémunérations du personnel extérieur: Ces rémunérations sont enregistrées parmi les charges externes alors quill s‘agit de charges de personnel indépendamment de leur statut contractuel. + Produits et charges financiers : Lorsqu'll s‘agit de produits et charges financiers liés directement @ ‘exploitation ; escomptes de réglement et intéréts facturés par les organismes financiers qui concourent directement leur activité principale ; il est nécessaire de faire la distinction entre opérations purement financiéres et celles lides & exploitation, II- 3. Limites relatives 4 la qualité et 4 Vexhaustivité de l'information dispensée parle PCM: A. Au niveau du bilan : + Patrimoine d’exploitation et hors exploitation : le bilan ne distingue pas entre les actifs concourant ou ayant un lien direct avec exploitation et ceux non affectés a exploitation, + Actif et passif circulants d'exploitation et hors exploitation : A défaut de cette différenciation, il serait ardu de repérer la cause d'un déséquilibre structurel dont l'origine est due a un B.F.G disproportionné par rapport la taille et activité de 'entreprise. + Les comptes courants associés : Ils sont souvent inclus sous la rubrique des autres dettes. En effet, le classement de ce compte est fonction de la nature de la dette enregistrée. Il convient de séparer la partie qui revient aux fonds propres de celles qui reviennent aux dettes de financement et a la trésorerie-passif. B . Au niveau de I'E.S.G et le T.F : + Un B.F.G en masse: I! aurait été souhaitable de rendre le T.F plus parlant par ¥ La distinction entre les éléments dexploitation et ceux hors exploitation. v Le détail des flux par postes des éléments du bas de bilan hors trésorerie. ' C. Au niveau de L'E.T.1.C: * Absence d’informations détaillées sur les composantes du chiffre d'affaires et des stocks ; Les composantes prix unitaires et quantités ne sont pas indiquées dans les annexes de I'E.T.I.C pour les stocks et le chiffre d'affaires. De telles informations faciliteraient grandement le travail d’analyse en permettant de mesurer la contribution de chacune de ces composantes dans l’évolution temporelle de ces postes CONCLUSION DU CHAPITRE Au terme de ce chapitre, il apparait que le P.C.M, par sa conception et les outils qu'il propose, centribue largement a 'amélioration de information financiére. Ainsi, ‘information dispensée est plus complete qu’elle était auparavant dans le plan comptable de 1957. A mettre a actif du P.C.M également, la facilité de conception des états de solde de gestion et, le tableau de firancement qui se construisent par un simple regroupement des comptes. Lintroduction et l'adaptation de concepts et de grandeurs macro-économiques empruntés a la comptabilité nationale (Production, V.A, E.B.E, ...) facilitent grandement lappréciation financiére de divers aspects de la vie de lentreprise. Toutefois, toutes ces améliorations ne sauraient assouvir les besoins des utilisateurs aussi bien internes qu’externes de |'information financiére issue de lentreprise. Leurs besoins différent secon la nature des objectifs poursuivis et usage quiils comptent faire de cette information. Uenalyse financiére, par sa finalité est un instrument qui permet d’analyser, approfondir et améliorer l'information comptable pour l'adapter aux divers usages des partenaires de Ventreprise. S‘appuyant sur les données comptables comme premiéres sources d'information, analyse financiére retraite, remodéle et affine les concepts comptabies afin quills traduisent mieux la réalité économique et financiére de Ventreprise saffranchissant ainsi, de toutes Contraintes juridiques auxquelles est tenue la comptabilité, Ces deux disciplines ne sont donc, nullement contradictoires mais complémentaires puisque leurs finalités convergent vers un seul objectif : « informer ». Cette complémentarité nous la retrouvons également entre l'informatique et les deux disciplines comptabilité et analyse financiére et c'est ce que nous mettrons en évidence dans le chapitre suivant. 60 Chapitre II - L'APPORT DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS LE TRAITEMENT DES INFORMATIONS COMPTABLES ET FINANCIERES Au seuil du 21°" siécle, le monde connait une révolution ot les mattres-mots sont « informatique » et « communication ». Pour nous, la cofmunauté comptabie, nous avons Vobligation diintégrer ces techniques dans nos habitudes de travail, au risque de rester en marge du progrés que connaissent tous les domaines. En vue de la conception et Varticulation du plan comptable actuel, on ne peut que saluer les efforts déployés pour faciliter le traitement automatisé de la comptabilité. Seule ombre au tableau ; les difficultés Ses a la génération automatique des états financiers. Afin que nous puissions nous en rendre compte nous-mémes, nous avons procédé en collaboration avec une équipe dingénieurs informaticiens a la conception d'un progiciel qui permet partir d'une balance, de générer les états financiers d'une entreprise avec toutes les variantes possibles : - Modéle norma! ou simplifié (seuil du chiffre d'affaires de 7 500 000 dhs) - Liasse comptable ou fiscale (en signalant avec regret les divergences entre ces deux liasses). Nous livrons dans la premiére section, |'essentiel de nos remarques et conclusions se rapportant aux diverses difficultés que nous avons rencontrées pendant les phases d’analyse, pour la mise en ceuvre des régies de gestion qui président 4 l'laboration des états financiers. Le développement du hardware et le software n'ont pas été sans incidences sur le développement de I'analyse financiére. En effet, l'accroissement vertigineux des capacités de calcul et, apparition de nouveaux langages de programmation ont permis de décharger "'analyste financier de plusieurs téches qu'll assurait lui-méme auparavant, notamment : - Le reclassement des données et la vérification de leur fiabilité. - la mise en forme des comptes par |'établissement des tableaux pluriannuels et la determination de nombreux indicateurs. Ainsi, Hanalyste peut se consacrer a I'étape la plus noble de étude, savoir la réflexion. Pour démontrer cet apport indéniable, nous avons développé & partir d’une plate-forme logiciel ANADEFI, un modéle d’anatyse financiére dans lequel nous avons intégré 1. Une grille de saisie conforme au P.C.M : La grille de saisie permet d’introduire les données comptables a partir de la liasse ainsi que des informations complémentaires utiles pour Vanalyse et les retraitements de certains postes. 61 2. Des grilles de résultats : Les grilles de résultats permettent de générer 8 partir de la liasse saisie des étals contenant : - Des ratios ou des grandeurs financiéres. ~ Des tableaux non prévus par le P.C.M et qui permettent c'approfondir des aspects que les états classiques ne permettent pas, & titre d'exemple : le tableau de flux Nous exposerons, en « annexe T», les fonctionnalités de cette plate-forme ainsi que les services quelle offre en terme d’analyse agrégée ou sectorielle. Il est a signaler que la conception des grilles de résultats est fondée essentiellement sur la démarche danalyse que nous avons développée et qui fait objet de la deuxiéme partie de notre travail « L’ELABORATION DUN GUIDE DE DIAGNOSTIC FINANCIER >, ‘Nous précisons qu’au-dela de lobjectif que se fixe ce chapitre, a savoir mettre en évidence le réle de Foutil informatique dans les disciplines comptable et financiére, nous avons voulu dévoiler des domaines liés 8 notre profession oll Voutil informatique a déja acquis ses titres de noblesse en terme d’efficacité, de simplicité et de rendement. L'enquéte que nous avons menée (cf. Deuxiéme partie) auprés des cabinets pour nous renseigner sur le degré dutlisation de analyse financiére en tant qu’outil de travail nous a révélé que moins de 10% des cabinets ne font pas recours & |'outil informatique dans des missions of un diagnostic financier est ingluctable 62 Section 1. L’APTITUDE DU P.C.M AU TRAITEMENT AUTOMATISE ET LES DIFFICULTES DE LA GENERATION AUTOMATIQUE DES ETATS FINANCIERS Auparavant, la tenue de la comptabilité consistait en une gestion de documents sur supports en papier ou par des procédés mécanographiques difficiles a mettre en ceuvre et consommant beaucoup de temps et dénergie. Depuis la création du transistor, ces achniques n’ont pas cessé de perdre du terrain face a un rival redoutable en terme Crefficacité En se débarrassant de la gestion lente et fastidieuse des supports classiques de tenue et darchivage, {a discipline comptable s’est assignée un réle opérationnel dinstrument de préparation des décisions allant ainsi, au-dela de son réle classique de constateur d'événement. Voulant pousser plus loin les frontiéres de son intervention dans le domaine de la comptabilité, informatique s'est attaquée & toute la chaine des travaux comptables depuis la saisie jusqu'a l'établissement des états de synthése. Mais cette entreprise ambitieuse n’a pas été menée sans embiches eu égards aux difficultés innombrables que les concepteurs de logiciels avaient & surmonter pour assurer une ration automatique, sans intervention humaine, des états de synthése. Le P.C.M en voulant se démarquer des autres plans comptables, a instauré des ragies de structure et d’établissement des comptes annuels qui rendent la téche de la génération automatique des états de synthase plus délicate. Pour s'en rendre compte, le logiciel «ETATS FINANCIERS » que nous présenterons en «annexe I> nous a permis de faire le canstat, grandeur nature, sur ces difficultés et proposer des solutions pour les résoudre. I- LES DIFFICULTES LIEES A LA GENERATION AUTOMATIQUE DES ETATS Nous présenterons dans ce volet sous forme de tableau I- 1. Les difficultés inhérentes 4 la mise en ceuvre et 4 l'utilisation des logiciels « générateurs d’états de synthése » Nous signaions que ces difficultés ont plusieurs origines a savoir : ¥ Des difficultés dont I'origine est due a la conception du P.C.M lui-méme. v_ Des difficultés dont Vorigine est due aux méthodes de codification et de comptabilisation adoptées par les entreprises et qui s’écartent de celles recommandées par le P.C.M ¥ Des difficultés dont l'origine est due aux problames de communication et d’exploitation de données entre les applications de comptabilité et celles des générateurs des états financiers. 63 1-2, Les solutions pour résoudre ces difficultés : lls sont de deux types y Des solutions que nous avons intégrées directement dans l'application et constitueront en conséquence, la référence basique des fonctionnalités dont doit étre doté tout générateur d'état, y Des solutions sous forme de recommandations tenant aux méthodes de codification et de comptabilisation @ adopter pour garantir une génération des états financiers, avec un minimum dntervention des utilisateurs dans la phase de traitement. 64 59 ‘BBengureted ne seo78, erLes21 2s U2 abeIIMOL/2A Np aueD B) wand! aeoKy Asse) e/ ue/B426 Nb SjaDIEO} ap sunENDS sINEISME , “voneyodui,| ap yuaWoW ne 196109 sa] ‘9p aniigissod 2ane sasyodw) sanbugunu saauuop sap ajo.nU09 un (@5eqawered np ainyanno) aasuoyne se SpyoyIDads $90 aiM}oUL |Aanod ‘unayesyan,| sed ‘eseq ap aBexjgweied np uonesyipow ej ‘asudanua,| Je¢ 229)I8P XJOYD UN,p SUIWUEBU ayInsga SIEW 'W'>'d ‘np a1j89 @ BwIOJUOD LOU SB UOReDYIpE? aun NO ainsau! P| sUeg W'D'd al 4ed snagid sayduioo xne yoddes Jed sedi) no sisies saydwio> sap pyluuojuo2 ap aj9.u0> un sagsodoud suonnjos | “uonewues6oid ap sabe6ue] so] sed S9SIIgN SeBUUOP sop SJeULIO} SOP SYSIEAID e| e sanp qUaWaljanuaSsO OS sina S28 “auinpoid 3s qUannad UoWeDUNWWCD ap sinaLia Sap ‘saguUOp sep uoneLoduL| ap S10} axijiqeydulo> e| ap auuIesbo.d ne eaBpqul sed 3sa,u unayesUa6 a] anbsio| “isuly “saiqeidwo> SaguLop | |sap a2unos jan/60; np aquepuadapur uo5e aun, BULONDUO Era, BUN SWID =|anayeigus6 9} anbsioj —aquaspudjuwio 380 ane sjeni60 Sa] sed suaioueuy seI3 sap sanbugni s9j suep quswanbgewo;ne sudes sed juos au saidwo> sa isuty “Wd al Jed snagud uou| s8id\U09 Sap juesiIaN UB seXduoD sap UOReD'Y!pOD ap aIENeW LE W'J'd_ Np suogdiosesd xne quaU0JUOD as inb sasudsqU 59} UOS Seley | | , s1UaI)> 5a) snod uenins ajduexe,) “anuow 3] swuwod S163 suna| Janawered aq “uy es eu aguue, ne Ww suogesiiein6eu sepgoaid au ag ap yueuno> aunonee * sasude.iua xne suo.266ns snoN @WaW a] nod (JISSed) sunayparo 39 (sA2e) saNoUqEp apjos ap s segsodoid suognjos 99 o Q G666620F oovouzry & oO GEEEEZFE o0000z FE aM > OC | ulyerduioy (yedag ayduoy : suag | LYISSeg SWUOID Sap aBenauIered O @ leccsszry looouozr OQ |GG6562rE loovonzre | aR oe 7 ug siduoy—uedag S100 I sus “ABY SwelL Sep abenguered., s ‘wud ua dene dunn aynoy ap snrunodgp aureuauipiddns xneneN sap ‘sasiideniua saj nod auUO|se290 UaWAIEN 2 “4Zhb axGWOI UN e PIA 222 HOP |! snaypEAd 369 1,5 aN S40} ‘eeZHE BYdWO UN SUED auIA ISA INBIIGEP 389 js Jual|a aydwWod 39 3P 8pi0s | “W'9'd @| Jed SagIipp sajBad xne quan as UO Ig “BauUB, JUepuad SUAS ap TUAWUEISUOD abueUD * IOS 81 auop (uoReASNII.P Bn e ) quay adwo> uN e ore asudanUD oUN ela\dope apmmye ajand + I SUUOS2I90 alja,nb ssyin2yyip xne spueBy na sanbyua xne apa(ns! ‘saydwos sap uonequassid ap eianeW UB SdINeAOUU! anbionb ‘uoRDUNSIP aya>| |sulow sed ainawap au e W'D‘d Np ueliq a] suep ajysod aydwoD 59] axnuE UORDUNSIG i sunousia “ — - — _ == “2ue|eq P| ap saguUOD sap anied ® Guawanbaewoyne sagin3je9 aug Juannad salja noe] sayueysuOD |sap sed sueueuy sye1 sap sanbugns so} sauBiasuss ap Jayag ‘saydwo ap suonendwiip sinauia say - 4994 xNY Sap Jed SuaWaANOW sap IpeI9 31 28 2IGBp a] 1aqUEWBNe,p ‘a2uanbysuoD sNOd e nb 29 ‘uoNessed-aNUOD Ua UDLD|249U96 1404 aS sa|geidwo> saunyuda,p sindwe sap syUawassaipas say — i “uoneindwyp sunasia I | | “aypa1s09 aumuna,| sassed ‘ye yausod 3] aiqexdio> | 89] 96109 3e JauIWHD anod soydwo> say qusws|gejeaid sask\euy al Bpuaia amas) Bulesdos ep 268 see es pT MMGS ~ | sjpas so} qwawsayaps iiaou op URI 100s to squaia wocaeineee eel Spuou 24mL29, JaWuddns ap sed yeuwiad au saniqerdwoD SiusWaanous sina) anbsind sagin2je9 sunajen sap sed snbugns sed soumgw-xna quaublasuay sunayesiian sa] uawas;ne quassed as sasoyp sal ‘anbaeid e} sup i 4ed siew uonessed-anuos sed seigdo | sie “aauejeq e| ap Duop 'saydwoa Sap SIUaWAANOW sap ued e YuaWayaJIp |sveuel ang qua/eunap au sasuosia seimUD9 sap squawessaipal S97 »|’sagIMDIe9 3uOs SIB!DUEUY sey $a] suEP saquaseid sanbugns sunaisnig| 2] ap uojeriidde) anbsio} syyeBau swuewow ap uoResiNn) —- rs > SaqueAINS Saj62u saj saq>edsa ap Sinayesiiun sa] suosayasue> snou sayNdyIp sede uaijed inog | SBPT “quawia}2e1109 seu9Ua6 ang seo unone ua JUOLINod au | SvopUeUY S121 S| ‘ABenawesed ja} Un e apg201d ap sayyqissod ap neIap Y xesee@Pb J? te2exZb€ SAGO? 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Dans toute analyse financiére, on distingue généralement trois phases : classement des données et vérification de leur fiabilité ; mise en forme des comptes par I’établissement de tableaux pluriannuels (bilans, C.P.C, T.F...) et mise en évidence de nombreux indicateurs (pourcentage, ratios, taux de rotation..) ; réflexion proprement dite. Or, la plupart des opérations des deux premiéres phases peuvent faire Vobjet d'une definition rigoureuse et peuvent donc étre configes & linformatique. L’analyste financier se concentre alors sur la phase noble : la réflexion. Pour pouvoir faire le point sur analyse financiére et [informatique nous traiterons les aspects relatifs : ¥ aux définitions des logiciels de analyse financiére ; ¥ aux techniques de traitement des logiciels d’analyse financiére ; ¥ 4 lévolution des fonctions des logiciels d’analyse financiere. Nous présenterons, en « annexe I », un type de logiciel d’analyse financiére qui nous a servi e7 tant que plate-forme pour la conduite des travaux d’analyse des structures financiéres des entreprises marocaines objet de la deuxiéme partie de notre travail 1 - DEFINITION, TECHNIQUES ET EVOLUTION DES FONCTIONS DES LOGICIELS D’ANALYSE FINANCIERE. I- 1, La définition du logiciel d’analyse financiére : 1 apparait utile dans un premier temps de rechercher des critéres précis pour distinguer les logiciels d'analyse financiére et ceux appartenant & des domaines proches, en particulier ceux relevant de la gestion financiére, L'analyse financiére d'une entreprise conduit a émettre un jugement sur sa santé financiére passée ainsi que sur le respect des équilibres estimés nécessaires @ la réalisation des performances futures. II ne faut donc pas confondre les progiciels d'analyse financiére et ceux de Ia prévision et de la planification. Les logiciels retenus comme appartenant au domaine de l'analyse financiére sont ceux dont l'objectif apparait étre clairement 'élaboration d'états (tableaux, soldes, ratios,...) ou de commentaires relevant de l'analyse financiere. 69 1- 2. Les techniques de traitement des logiciels d'analyse financiére : Les progiciels d'analyse financiére peuvent étre classés en fonction du processus logique sur lequel iis sont construits. On distingue : les tableurs, les programmes classiques, les systémes experts et intelligence artificielle avec les réseaux neuronaux. A. Les tableurs : Les tableurs sont des feuilles, organisées en cellules, de calculs automatisés. A partir de la saisie de bilans sur une ou plusieurs années, on peut par exemple procéder & une analyse comparative. On peut calculer des soldes, des ratios, des taux d'évolution, effectuer une analyse statique ou encore une analyse prévisionnelle. La principale raison du succés des tableurs tient & leur simplicité d'empioi. Son organisation en cellules sur une feuille de calcul 4 deux dimensions, sa puissance de formalisation, de calcul et de mémorisation. Il semble Dien que l'emploi de ces outils change fe contenu du métier des comptables et des ‘inanciers. Le travail de conception des tableaux augmente et le temps consacré a lanalyse et & la réflexion s'accroit, B . Les logiciels programmés : Un progiciel d'application 2 une vocation spécifique. Il a pour objectif de réaliser_ un ensemble de travaux bien définis correspondant a ses fonctionnalités. Un progiciel est un programme ou un ensemble de programmes, mis a la disposition d'utilisateurs multiples, pouvant satisfaire des besoins équivalents dans différentes entreprises. Ils sont établis en suivant une démarche algorithmique. Les résultats fournis par un progiciel peuvent étre entachés d’erreurs, la moindre imprécision lors de la phase de saisie peut complétement fausser les résultats et les commentaires proposés. C.. Les systémes experts : Un systéme expert est un ensemble constitué d'un logiciel, le « moteur », capable d'exploiter des informations symboliques représentant, sous forme parcellisée, un domaine de connaissances (« molécules » de connaissances), d'une collection diinformations sur la connaissance spécifique d'un domaine, la « base de connaissance » et de données sur un probléme & résoudre, la « base de fats ». Il exploite, @ fa fois, les données et la connaissance permettant, & partir de ces données, de soudre fes problémes. Ainsi, les indicateurs du systéme financier dépendent du systéme économique de I'entreprise ; il cherche a découvrir travers les indicateurs financiers les causes économiques de leur évolution, Le domaine de analyse financiére est un cas typique ou les informations concemant une entreprise sont essentiellement quantitatives et formalisées de facon standard grace notamment @ I'obligation de remplir une liasse fiscale. Un tel systéme permet donc, non seulement de fournir des informations (ratios, calculs, tableaux, etc....), mais encore des juugements argumentés sur la situation qui lui est soumise et de dégager les causes et les conséquences possibles des faits constatés. Se rapprochant du raisonnement humain en suivant un raisonnement heuristique, les systémes experts permettent d’établir des états et des commentaires moins stéréotypés et plus construits qu‘auparavant. La technique de l'informatique classique butait en effet sur ces limites dans ce domaine : lintroduction de systéme expert a permis cette évolution, 70 Foutefois, les systémes experts ne parviennent pas totalement & faire coexister la réflexion stratégique de l'entreprise et l'analyse financiére. Llanalyse des états financiers est un processus en quatre étapes : l'accés & l'information ; le calcul ; Vinterprétation des états financiers et la présentation du rapport d’analyse. La troisiéme constitue le cceur du processus la fois en terme dintérét et de complexité. Linterprétation des stats financiers est une tache qui nécessite une réelle expertise. Ce type de processus intellectuel n‘aurait jamais pu tre reproduit sur un ordinateur il y @ quelques années encore, Les progrés de lintelligence artificielle ont néanmoins permis de proposer ‘utilisation d'un nouvel outil: le systéme expert. D.. L'intelligence artificielle (réseaux neuronaux) : étude des cellules nerveuses (ou neurones) en biologie a conduit les scientifiques & en établir une modélisation simple, décrivant un systéme qui regoit un certain nombre de ignaux d'entrée a l'aide d'autant de connexions. Ce systéme additionne tous ces signaux et delivre en sortie une quantité proportionnelle a cette somme. Le réseau de neurones est trés différent du systéme expert. Ils ne recopient pas lexpérience humaine, mais construisent leur propre expérience : lorsque les conditions de expérience changent, ils continuent leur apprentissage. Contrairement aux systémes experts, les réseaux de neurones sont perticuligrement aptes a traiter des problémes mal structurés, possédant des données incomplétes ou erronées. Ils sont chargés de découvrir les relations entre les entrées et les sorties en observant des exemples, et chaque exemple modifie légérement son comportement, 1- 3. Lévolution des fonctions des logiciels d’analyse financiére : Chaque logiciel posséde ses caractéristiques propres. Toutefois au-dela de leurs différences, il subsiste des similitudes au niveau des éléments saisis (documents de synthase, balance générale), au: niveau de la méthode d'analyse et sur la nature des états édités (ratios de liquiaité et/ou tableaux de flux ...). Is établissent un bilan complet de la santé de lentreprise, fournissant de nombreuses indications qui permettent de juger de la stratégie adoptée, d'une part en mettant en parailéle exercice en cours et lexercice écoulé, d'autre part en établissant une comparaison avec les entreprises concurrentes. Les logiciels d'analyse financiére évaluent la rentabilité, F'squilibre et la croissance de 'entreprise. Pour réaliser cet objectif, les logiciels permettent d'établir tous les documents nécessaires pour cette démarche 8 savoir le compte de produits et charges, les états de soldes de gestion et le tableau de financement. Ils calculent aussi un nombre de ratios classés généralement, dans quatre rubriques (liquidité, structure, rentabilité et rotation). La grande différence entre les systémes experts et les autres logiciels réside dans leur capacité a interpréter et 4 expliquer les interactions entre les différents flux financiers circulant dans l'entreprise. L'analyse a l'aide d'un systéme expert fait apparaitre les pnénoménes et aide en rechercher les causes. Elle met aussi en valeur les conséquences futures de la situation actuelle. Les données comptables sont transférées a partir du logiciel ‘ou saisis 2 l'écran @ partir de la liasse fiscale. 7 Parmi les innovations qu’ont connues les logiciels d'analyse financiére, on constate en premier lieu une ouverture des logiciels avec notamment la création de module d'importation de données (ouverture des produits vers d'autres produits) et de connexion avec des bases de données. Les logiciels évoluent vers une adaptation des formules de calculs et des méthodes d'analyse propres & lentreprise (flux, score, ratios, ...). Ainsi, l'utilisateur a la possibilité dans certains produits de concevoir ses propres tableaux grace a un tableur intégré, Les rapports fournis sont de plus en plus nombreux, détaillés et utiles pour prendre des décisions : rapport d'analyse, rapport d'assistance, fiches points forts/points faibles. Les produits accentuent leurs aspects de conseils et doutil d'aide 2 la décision. La présentation et la pertinence des graphiques se sont considérablement améliorés puisquils sont généralement représentés en trois dimensions et accompagnés de légendes et de commentaires. lls reprennent la plupart des conclusions : activité, structure financiére, gestion courante, flux financiers. 72 CONCLUSION DU CHAPITRE Dans ce chapitre, nous avons démontré le réle indéniable de Voutil informatique dans le traitement et larchivage de ‘information comptable. Si des difficultés inhérentes 4 la conception méme du plan comptable entravent la génération automatique des états de synthéses, elles n’en demeurent pas insurmontables grace & la souplesse et l'efficacité de informatique. Diautre part, les logiciels d'analyse financiére contribuent également au développement de cette discipline a deux niveaux ¥ Des améliorations d'ordre quantitatif (conservation des données, productivité dans la réalisation des états financiers) ; ¥ des améliorations d'ordre qualitatif (diffusion des connaissances, aide a la décision) Le confiit qui existe entre les utilisateurs et les éditeurs permet une évolution incessante des logiciels dédiés 8 I'analyse financiére. La diversité des besoins exprimés par les utilisateurs pousse les éditeurs & améliorer, créer et développer d'autres produits. Toutefois, Vefficacité et la souplesse de loutil informatique n'est pas unique garant du succes et la pertinence du diagnostic financier. Ce dernier, est toute une démarche qui met en jeu ¥ diverses approches d'analyse ; Y différents cadres d'analyse ; Y des outils et des supports ; Y une organisation synchronisée des diverses étapes composant le travail du diagnostic Financier. Ainsi, la deuxiéme partie sera consacrée & exposer la démarche générale de l’élaboration du diagnostic financier. 73 PARTIE II Gree du diagnostic financier DEUXIEME PARTIE : GUIDE DU DIAGNOSTIC FINANCIER INTRODUCTION Si les mémes mécanismes s‘imposent a l'ensemble complexe des entreprises, il est raisonnable de rechercher un modéle général d’analyse de leur fonctionnement. Toutefois, aucune démarche n’a le droit de se dire absolument et rigoureusement efficace dans tous les cas. La démarche que nous allons présenter ci-aprés puise ses fondements dans : - Les concepts théoriques des différentes approches de l'analyse financiére : Patrimoniale et fonctionnelle ; ~ Les différents cadres d’analyse financiére : statique ou dynamique. ~ Les différents supports et outils mis en ceuvre pour analyser les divers aspects de Ventreprise (structure, gestion et rentabilité) : Les états retraités, le bilan financier, tableau des flux et les ratios. ~ La démarche générale adoptée par audit opérationnel et qui consiste a considérer Ventreprise en tant qu'un ensemble de sous-systémes (fonctions). L’analyse done des risques et performances financiers devrait nécessairement passer par l'analyse des différentes fonctions de entreprise. Ainsi, dans un premier chapitre, nous exposerons les appuis théoriques de notre démarche générale du diagnostic financier ou nous présenterons ~ les différentes approches de l'analyse financiéres ; = les cadres danalyse ; ~ Les supports et les outils mis en oeuvre pour appréhender I'analyse des données. Dans le second chapitre, nous présenterons notre démarche générale du diagnostic ol nous exposerons : + Le schéma général de la démarche ; + Le guide du diagnostic financier. Le schéma général de la démarche, les supports opérationnels et, les outils proposés ont été regroupés en annexe pour constituer un guide opérationnel du diagnostic. Voir annexe 2 « Guide opérationnel du diagnostic » 75 Chapitre I - APPROCHES, CADRES ET OUTILS DE L'ANALYSE FINANCIERE Lrobjet du diagnostic financier est de faire le point sur la gestion et fa situation financiére de Yentreprise en mettant en évidence ses forces et faiblesses. La situation financiére de lentreprise est la résultante de ses performances et des décisions financiéres de ses dirigeants. En effet, tout acte de gestion revét un aspect financier qui se manifeste généralement sous la forme d'un décalage entre des besoins financiers et des ressources financiéres. Bien gérer, Crest assurer léquilibre entre ces deux éléments. L'équilibre financier est un état nécessaire & la continuitS de lexploitation. Le déséquilibre financier est la sanction d'un déréglement critique entre prévisions et réalisations. Par conséquent, fa finalité du diagnostic financier consiste & Se demander si a stratégie de I'entreprise est gagnante ou non ; Porter une appréciation sur le degré de résistance financiére de I'entreprise ; ~ Détecter les symptdmes éventuels de dysfonctionnement ; Identifier les causes occasionnelles ou durables, structurelles ou réversibles. En fonction de ses centres diintérét, 'analyste conduira son étude a partir des « chiffres » et mettra en jeu des « techniques » pour émettre un avis sur les divers aspects de la vie de lentreprise, Les chiffres sont fournis par les états de synthése qui sont la principale source d'information de Vanalyste financier qui devra savoir les expioiter d'une maniére intelligente et optimale. Tout dépend évidemment de lobjectif qu'il s'est fixé au départ pour donner un sens et, par conséquent, une interprétation a ces chiffres. Les techniques supposent la définition : ~ Des approches a adopter en fonction des objectits fixés ; Les divers cadres dans lesquels l’analyse est menée ; ~ Les outils mis en ceuvre pour appréhender les faits financiers. Dans fa premiére section, nous allons exposer : + Les différentes approches méthodologiques en soulignant pour chacune d’elles fe contexte, les principes d’application, la mise en oeuvre ainsi que les limites ; + Les différents cadres d’analyse. Dans la deuxiéme section, nous présenterons les outils d’analyse (la méthode des ratios et la méthode des flux) tout en soulignant lintérét de chacune des méthodes, les précautions & prendre quant a leur utilisation et leurs limites. La troisiéme section sera consacrée & la présentation des supports et états d’analyse. 76 Section 1 . LES DIFFERENTES APPROCHES ET CADRES DE L’ANALYSE FINANCIERE 1 - LES APPROCHES DE L‘ANALYSE FINANCIERE : De mémes faits comptables, différentes approches se présentent en fonction de I'orientation donnée a [analyse a mener. Les deux principales approches utilisées dans l'analyse financiére sont : ~ approche patrimoniate ~ Lapproche fonctionnelle approche patrimoniale examine les échéances des ressources et des emplois pour mesurer la solvabilité de l'entreprise et le risque des créanciers. approche fonctionnelle étudie le fonctionnement de lentreprise & travers lorigine des fonds (cycle de financement) et la destination des biens (cycle diinvestissement ou cycle exploitation), Uapproche adoptée se traduit au niveau de la présentation du bilan qui donne une image patrimoniale ou fonctionnelle de entreprise étudiée. I- 1, LAPPROCHE PATRIMONIALE : A. Contexte de la méthode : approche patrimoniale est une méthode souvent utilisée par les banquiers pour étudier les demandes de crédit. En effet, les bailleurs de fonds sont essentiellement intéressés par la liquidité, la solvabilité ainsi que la rentabilité de lentreprise qui conditionnent le paiement des intéréts et le remboursement du capital emprunté, B . Principes de la méthode : approche patrimoniale est une approche classique centrée sur "examen des équilibres financiers en terme de liquidité et de solvabilité. C'est une approche basée essentiellement sur étude, 8 un moment donné, du bilan patrimonial au sens juridique du terme, Cette approche permet donc, examen des échéances, des ressources et des empiois, pour mesurer la solvabilité de lentreprise et le risque des créanciers, C.. Mise en ceuvre : reclassements et retraitements Examiner [a liquidité ou la solvabilité d'une entreprise revient a évaluer son aptitude a faire face ses engagements a court terme. En dlautres termes, analyser la liquidité consiste & comparer ‘+ aptitude des actifs a se transformer en liquidité d'une part, 7 + les échéances des dettes 4 court terme diautre part. Cette confrontation nécessite un reclassement de I'actif et du passif selon le facteur temps, afin de passer du bilan comptable au bilan dit « liquidité », En effet, dans la présentation comptable du bilan, les emplois (I‘actif) sont classés selon un critére fonctionnel et les ressources (Ie passif) selon leur origine, Pour passer du bilan comptable au bilan liquidité, il faudra tenir compte des échéances, c'est a dire du temps nécessaire pour que les éléments de actif se transforment en liquidités et pour que les éléments du passif deviennent exigibles, La reformulation du bilan fonctionnel prévu par le P.C.M sous les critéres dexigibilité et de liquidité est possible en exploitant les indications relatives aux échéances des postes de l'actif et du passif qui figurent dans l'annexe : le tableau des créances (B6) et le tableau des dettes (B7). Par ailleurs, du fait de V'orthodoxie de !a logique comptable et fiscale, bien des points de divergences subsistent par rapport a la logique financiére. Il convient pour lanalyste financier d’apporter un certain nombre de corrections au bilan comptable pour améliorer la qualité de information et adapter aux exigences de l'analyse. Les principales corrections 4 apporter aux états financiers sont exposées en détail dans la premiere partie, Chapitre I -Section 2. LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN, page n°38. D.. Limites de la méthode : Lapproche patrimoniale est une approche privilégiée chez les banquiers. Elle est centrée sur Vexamen des équilibres financiers en termes de liquidité et de solvabilité. C’est une analyse a base de stocks a un instant « t », essentiellement axée sur le haut du bilan. Par conséquent, Cest une approche ou le critére juridique Yemporte sur le critére économique. Par ailleurs, approche patrimoniale est une approche qui n’est pas toujours fiable du fait que : + l'analyste externe ne dispose pas de toutes les informations pour procéder aux retraitements et reclassements nécessaires, afin de pouvoir évaluer la solvabilité et la liquidité de l'entreprise étudiée ; + lanalyste exteme ne dispose d'aucune norme lui permettant de définir le niveau de fond de roulement optimal ; important dans son analyse est le respect de Vorthodoxie financiére qui veut que le fond de roulement soit posit, I- 2, LAPPROCHE FONCTIONNELLE A. Contexte de la méthode : Uapproche fonctionnelle est une approche économique de I'entreprise. Elle distingue entre les différentes fonctions de l'entreprise en cernant les opérations lies 8 son activité de celles qui ne le sont pas. La conception fonctionnelle ne vise pas & déterminer la vaieur du patrimoine de rentreprise mais plutét d'appréhender son fonctionnement en termes d’emplois et de ressources. 78 B . Principes de la méthode : approche fanctionnelle est centrée sur le fonctionnement économique de lentreprise. Elle privilégie ‘objet et la nature des ressources mises & fa disposition de Ventreprise et les emplois qui en ont été faits. C'est ainsi que les éléments d’actif et de passif sontils classés par nature, en fonction du cycle d’exploitation, d'investissement et de financement et non plus par rapport a leur échéance. Vapproche fonctionnelie commence généralement par examen du fond de roulement fonctionne!, le besoin de financement global et la trésorerie. C. Mise en ceuvre : A l'instar de l'approche patrimoniale, l'approche fonctionnelle est menée a partir des états financiers qui du fait de Vorthodoxie entre la logique comptable et fiscale et la logique financiére, il convient pour I'analyste financier d'apporter un certain nombre de corrections au bilan comptable pour améliorer la qualité de l'information et 'adapter aux exigences de analyse financiére, Les principales corrections @ apporter aux états financiers sont exposées en détail dans la premiére partie, Chapitre 1 Section 2 . LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN, page n°38. D.. Limites de la méthode : D-1. Le principe d’affectation : A linstar de lapproche patrimoniale, t'analyse fonctionnelle adopte le principe de lorthodoxie de laffectation des ressources & savoir : + Les emplois stables doivent étre financés par les ressources stables. + Les emplois circulants doivent étre financés par les ressources circulantes. Tout manquement a cette régle est considéré comme une source de dérégiement financier. Or, la réalité en est toute autre. Dans nombre d'entreprises, bien que ces régles déquilibre ne soient pas vérifiées, elles n’en demeurent pas moins des entités structurées, rentables et prospéres, On ne peut que conclure que ces entités ont adopté un comportement financier qui leur permet, & partir d'une politique de + Choix de portefeuille d’actifs ; + Gestion de la dette et de la trésorerie ; ‘+ Arbitrage entre rentabilité et risque ; d’assumer pleinement la réalisation de leurs objectifs sans compromettre pour autant leur pérennité Signalons que ce comportement financier a été déja catalogué par la théorie financiére « Pool de fonds ». Cette conception consacre le principe de lunicité de la caisse et rejette toute démarche d’affectation entre les emplois et ressources selon leur nature ( stable ow circulant). 79 D- 2. La fonction résiduelle de la trésorerie : Cette limite, en fait, n'est que la conséquence directe de la premiére. Le découpage adopté par le principe d'affectation (stable et circulant) réduit le réle de la trésorerie une fonction résiduelle : reliquat de la gestion du fonds de roulement fonctionnel (caractére stable) et le besoin de financement global (caractire circulant). Cette vision réductrice de la trésorerie rest pas concevable eu gard aux faits et mutations que connait le monde contemporait + La multiplicité des sources de financement et de placement sur les marchés financiers internationaux ; + La diversité des produits financiers ; + La vision globaliste qu‘ont les entreprises pour gérer leurs endettements. Ce sont autant de facteurs qui plaident a la réhabilitation du rdle de la trésorerie en tant qu‘instrument principal dans la politique financiére des entreprises. 80 II - LES CADRES D‘ANALYSE Létude du bilan, patrimonial ou fonctionnel, peut s'effectuer dans un cadre statique ou dynamique la démarche adoptée dans un cadre statique est basée sur analyse des données comptables établies & un instant t, fournies par les états financiers. Or, le bilan n’est qu'un egroupement de stocks et le compte de résultat n’est quiun catalogue de produits et charges. Lanalyse de ces états financiers ne permet pas de reconstituer l'essentiel des opérations de gestion qui, toutes, s’ajustent par les vases communicants de la trésorerie et suggérent, pour cette raison, lidée de flux qui est adoptée dans un cadre d'analyse dynamique. En effet, celle-ci met en évidence les liaisons analytiques entre le compte de résultat et le bilan, cest a dire entre les performances économiques et les données de la structure financiere. Nous précisons que ce qui est communément admis est v «Toute analyse portant sur des stocks est statique et toute analyse portant sur des flux est dynamique >. v «Lapproche patrimoniale est statique et lapproche fonctionnelle est dynamique». Nous estimons que les aspects, dynamique et statique, ne sont pas des attributs intrinséques et inhérents & telle ou telle approche et ne constituent, en conséquence, ni limites ni avantages. Ils ne sont en fait que des « Cadres d’analyse » dans lesquels le diagnostic est mene. Nous démontrerons que : ¥ approche, patrimoniale ou fonctionnelle, peuvent porter aussi bien sur ’analyse des flux que des stocks ; ¥ une analyse portant sur des stocks n’est pas nécessairement statique ; ¥ une analyse portant sur des flux n’est pas nécessairement dynamique. Notre argumentation est basée sur les définitions de ces aspects et les concepts qui leur sont ligs, & savoir la notion de stock et de flux. Une donnée financiére ou comptable peut avoir deux états a savoir stock ou flux + Stock :1I s'agit du résidu composé de La valeur iale de la donnée a un instant ty + Le cumul des opérations qui accroissent la valeur de la donnée (mouvements positifs) - Le cumul des opérations qui décroissent la valeur de la donnée (mouvements négatifs) 81 + flux -1 s‘agit du résidu composé exclusivement du : + Cumul des opérations qui accroissent ta valeur de la donnée (mouvements positifs) - Cumul des opérations qui décroissent la valeur de la donnée (mouvements négatifs) Partant de ce constat, I'analyse financiére peut aussi bien porter sur Vanalyse de la valeur stock ou de la valeur flux. Tout dépendra évidemment de Vobjectif poursuivi et le résuitat escompté. Si l'analyste est intéressé, a titre d’exemple, par analyse de I'autonomie financiére de lentreprise, selon une approche patrimoniale ou fonctionnelle, plusieurs cas peuvent étre envisages : Horizon de donnée Vanalyse | Stock A.un instant t | C'est donc une analyse, patrimoniale/fonctionnelle, statique | | de Yautonomie financiére. | Stock A plusieurs | En étudiant 'évolution d'un aspect financier dans le temps, | instants: /cette analyse —_patrimoniale/fonctionnelle devient | ty that | ngcessairement dynamique. Flux ‘Aun instant t | Cest donc une analyse patrimoniale/fonctionnelle statique | | puisquielle apprécie l'aspect de lautonomie financiére & un | instant donné en s‘affranchissant de (état initial des données, permettant ainsi d’éliminer les varators| erratiques ou saisonniéres qui peuvent fausser toute | appréciation. Aplusieurs C'est donc une analyse _patrimoniale/fonctionnelle instants : dynamique puisqu’elle apprécie Vaspect de l'autonomie ty taut) — |financiére 2 différents instants en saffranchissant de état initial des données, permettant ainsi d’éliminer les variations erratiques ou saisonniéres qui peuvent fausser i toute appréciation. LL ___. ae eee nse ues casencee ene eESE| 82 CONCLUSION DE LA SECTION Nous considérons que 4 Uapproche patrimoniale et \‘approche fonctionnelle constituent deux visions différentes pour appréhender les faits financiers. Il my a pas une approche meilleure que autre, elles sont parfois méme complémentaires. Tout dépend des intéréts et objectifs de l'analyse. Les deux approches ne sont qu’un appui, parmi d'autres, pour que lanalyste financier puisse fonder son jugement. La complexité d'une entreprise ne peut étre appréhendée par la seule analyse de ses chiffres. Les dimensions environnement, organisation et contexte sont autant de paramatres quil faut intégrer pour cerner l'entreprise dans sa globalité. Dans multiples ouvrages traitant de l'analyse financiére, certains auteurs qualifient Vapproche patrimoniale d’approche statique et lapproche fonctionnelle d’approche dynamique. Nous réfutons ces qualificatifs et nous pensons que ‘aspect dynamique ou statique n’est pas une propriété intrinséque et inhérente a lapproche pour constituer une limite ou une qualité. Les approches, patrimoniale et fonctionnelle, peuvent étre menées donc, soit dans un cadre dynamique, soit dans un cadre statique, et tout dépendra de l'usage qu’en fait Vanalyste en fonction de ses objectifs et les résultats visés. Crest ainsi que nous avons estimé apportun de séparer les aspects dynamique et statique des approches en tant qu’attributs intrins’ques en les appelant « Cadres danalyse >. 83 "Section 2 , UTILS DE L’ANALYSE FINANCIERE Les outils sont les instruments qui traitent information comptable et financiére et générent des grandeurs synthétiques dont I’analyse, la confrontation et la portée permettent de mieux appréhender et cerner les faits économico-financiers. Ils constituent ainsi, la base de tout travail de diagnostic. Deux grandes méthades se disputent la primauté de lefficience et la pertinence dans la sphére de l'analyse financiére : La méthode des ratios et celle des flux. Toutefois, nous pensons que ces deux méthodes ne sont pas nécessairement contradictoires, mais complémentaires puisque chacune combie les insuffisances de l'autre, et cest ce que nous proposons de montrer ci-aprés. 1 - LA METHODE DES RATIOS : I- 1, Principes généraux de la méthode Les états de synthése sont le résultat des interactions entre divers facteurs (financiers, économiques, humains). Cependant, si l'analyse des données brutes en valeurs absolues peut étre intéressante, elle n'en demeure pas moins insuffisante. C’est pourquoi elle doit Obligatoirement s‘accompagner d'une analyse des valeurs relatives, autrement, il faut procéder & des rapprochements de grandeurs comptables extraites du bilan, du C.P.C ou de YE.S.G pour dégager des relations caractéristiques 8 travers les ratios Un ratio est un rapport logique entre deux grandeurs réputées significatives. Au numérateur, généralement, se situe la grandeur ( stock ou flux) dont on cherche a préciser importance. Le dénominateur constitue la base de référence (stock ou flux) supposée la plus pertinente. Mais on peut aussi inverser les deux termes, de sorte que le quotient se présentera sous ‘Tune des formes de coefficient, de pourcentage ou d'unité de temps Les ratios permettent de rendre compte, tour a tour, de lexploitation, de la rentabilité et des <équilibres financiers Ils se présentent sous une forme qui invite des utilisations tendancielles et a des utilisations sectorielles. Dans le premier cas, analyse financiére consiste & examiner la dynamique temporelle de entreprise @ travers la succession de ses bilans : chaque bilan est considéré ar rapport au précédent, Dans un second stade, entreprise est mise en situation relative ar rapport aux références sectorielles. Dans ce dernier cas, il faut noter le rdle extrémement intéressant des centrales de bilans, qui éditent chaque année, les ratios les plus caractéristiques par secteur diactivité. Il est donc possible @ chaque entreprise de situer exactement sa_ position financiére et ses performances dans son secteur dactivité. Malheureusement, les entreprises marocaines ne disposent pas d'une centrale de bilans émettant des normes seciorielles. L/absence d'un tel organisme réduit l'utilisation de la méthode des ratios seulement a des fins tendancielles, I - 2. Les ratios utilisés Ventreprise peut tre analysée sous plusieurs angles, en l'occurrence, la structure financiére, la liquidité, fa gestion - productivité et la rentabilité, Compte tenu de la quantité d’informations comptables qui peut étre disponible, il est possible diétablir un trés grand nombre de ratios. 84 La présentation qui suit, sera limitée aux ratios que nous avons intégrés dans notre guide de diagnostic et qui nous paraissent étre les plus significatifs et les plus représentatifs des divers aspects de lentreprise. (voir annexe II) 1- 3. Les précautions d'utilisation de La méthode des ratios A partir de rapports entre deux grandeurs, la méthode des ratios permet d’émettre un jugement sur fa situation de l'entreprise. Toutefois, cette méthode présente des particularités dont il faut tenir compte pour garantir sa pertinence. Nombreux sont les ouvrages qui considérent ces particularités comme des limites : 1, La méthode des ratios est une vision & posteriori. En effet, pour une entreprise, le fait davoir de « bons » ratios & la cléture de lexercice n'implique pas un avenir immédiat favorable. Auquel cas, il sera intéressant d’établir sur des graphiques !évolution, année par année, d'un certain nombre de ratios. Mais il est aussi concevable de calculer des ratios 4 partir des données prévisionnelles Pour pouvoir apprécier la structure et la gestion futures en y apportant des mesures correctives. 2, Pour un grand nombre d’actes économiques, les ratios ne sont qu'une premiere étape. Ils ne donnent au gestionnaire qu'un fragment de l'information dont il a besoin pour décider et choisir. La decomposition du ratio, la confrontation de plusieurs ratios ou le recours & d'autres sources diinformations, s'avérent nécessaires pour ne pas aboutir a des conclusions biaisées. 3. Les sociétés sont amenées a exploiter les possibilités que leur offre la flexibilité de la réglementation comptable ou fiscale pour corriger les états financiers. Uerreur comptable peut, en effet, étre aisément affectée a n'importe quel poste du bilan : ¥ Absence d'amortissements pour dégager des bénefices fictifs ; ¥ Constitution de provisions injustifiées pour reporter sur d'autres exercices le paiement de limpét ; ¥ Majoration des stocks pour moduler le résultat de ’exercice ; ¥ Maintien a V'actif de créances irrécouvrables, accroissement des comptes courants diassociés juste avant la cldture des comptes. Cest pour ces raisons que les analystes financiers préférent calculer leurs ratios & partir déétats de synthése certifiés par un commissaire aux comptes ou par des auditeurs externes, 4. La confrontation d'un ratio brut ou sa comparaison avec celui d'une entreprise Concurrente informe pas toujours sur les circonstances dans lesquelles ont. été Glaborées les situations exprimées par les ratios. Ainsi, un décorticage de certains ratios Savére nécessaire et plus pertinent, puisqu'l apporte des faits nouveaux dont il faut tenir compte lors de analyse. A titre d'exemple, deux entreprises peuvent avoir un méme degré de rentabilité mais avec des composantes différentes : 85 Bénéficenet _ _Bénéficenet Chiffre d'affaires, Actif économique Fonds propres ~ Chiffre d'affaires“ Actif économique Fonds propres Société A 10% 17% 150% 40% Société B 10% 21% 140% 33% 5. La méthode des ratios se base sur les états financiers qui occultent les phénoménes saisonniers. En effet, cette illustration montre clairement cette limite : Si une entreprise concentre son chiffre d'affaires en quatriéme trimestre, tandis que durant les autres mois elle ne réalise pas de ventes, son solde du compte client au 31-12-N ne refléte pas alors, ta réalité tout au long de l'année. Néanmoins, si on pousse l'étude en analysant les états de synthése mensuels, on peut pallier alors & cette insuffisance. 6. La notion de production cumule des éléments non homogénes évalués tantét sur la base du prix de vente (chiffre d'affaires), tantdt sur celle du cot de production (variation des stocks en cours et de produits finis). I! en résulte une altération irrationnelie du taux de valeur ajoutée (V.A / production) chaque fois que les variations de la production stockée sont importantes. Pour éviter ces écueils, il faut veiller au respect de I'homogénéité des composantes du ratio avant son utilisation. 86 CONCLUSION DE LA SOUS-SECTION Les ratios sont des instruments d'appréciation trés prisés puisquils permettent de relativiser et de comparer les grandeurs d’une fagon synthétique et plus intelligible a “esprit humain. Toutefois, l'analyse financiére ne peut se contenter uniquement de ces outils pour formuler une opinion qui peut affecter sensiblement l'avenir méme de entité diagnostiquée Le recours & d'autres instruments, tel analyse par les flux, est inévitable pour pouvoir appréhender d'autres aspects que la méthode des ratios n’a pu révéler. 87 II - LA METHODE DES FLUX : II - 1. Principes de la méthode : La méthode des flux analyse essentiellement les mouvements des données et grandeurs financiéres. Les flux financiers n’apparaissent pas explicitement ni dans le bilan, ni dans le C.P.C, ce dernier, regroupe les flux réels de la période. Aussi, les analystes financiers ont-ils recours + Au tableau de financement pour mettre en évidence |évolution financiére de Ventreprise au cours de lexercice, en décrivant les ressources dont elle a disposé et les emplois qu’elle en a effectud, + Adiautres tableaux de flux qui mettent la trésorerie au centre de leur conception tels Le tableau pluriannuel de flux financiers, le tableau d’analyse de la variation de la trésorerie, le tableau de flux de la centrale des bilans ou celui de la banque de France. Nous n’exposerons ci-aprés que le tableau de flux de trésorerie, étant précisé que le tableau de financement a déja fait l'objet de commentaires dans la premiére partie, Chapitre I - Section 1 . II - 4. Le tableau de financement page n°29. IL - 2. Le tableau de flux de trésorerie : Le tableau de financement, dans sa présentation originelle, est un tableau de flux de fonds qui recense, par fonction, des flux d’opérations. U’évolution récente de la pratique et importance de la situation de trésorerie pour les analystes financiers, expliquent apparition des tableaux de flux de liquidités qui présentent non plus des flux d'opérations mais des flux monetaires. Toutes les opérations que l'entreprise réalise avec son environnement se traduisent, immédiatement ou & terme, par des flux de trésorerie. La variation de fa trésorerie peut provenir de deux origines distinctes : Y Les opérations de gestion, qui incluent aussi bien les opérations d’exploitation que les autres opérations ; ¥- Les opérations d’investissement et de financement. 1 existe de nombreux tableaux présentant des structures différentes : (tableau pluriannuel de flux financiers, tableau d’analyse de la variation de la trésorerie, le tableau de flux de la centrale des bilans, de la banque de France...). Les flux pouvant étre regroupés de diverses maniéres. Toutefois, nous ne retiendrons dans I'analyse qu'un modéle de tableau de flux que nous Proposerons dans notre guide de diagnostic. La conception et la mise en ceuvre de ce tableau de flux s‘inspirent de divers modales de tableaux de flux tout en se conformant a Varchitecture générale du P.C.M. 88 IL-3, Lobjet du tableau : Source privilégiée d'informations, le bilan n’est jamais qu'un regroupement de stocks et le C.P.C qu'un catalogue de produits et de charges. L'analyse de ces états financiers n’en permet pas moins de reconstituer l'essentiel des opérations de gestion par I'intégration des flux dans le champ d’analyse. Plusieurs types de flux sont recensés : + Le circuit des échanges de marchandises fournit l'exemple le plus simple pour exposer les mécanismes des flux mixtes physiques et monétaire ‘+ Les flux monétaires sans contrepartie de flux réels (la rémunération du travail) ; ‘+ Diautres flux ni visibles ni monétaires traversent l'entreprise ('usure du matériel) ; + Lanalyse met également en évidence, des flux de revenus lesquels se démarquent des fiux de trésorerie ; + Enfin apparaissent les flux fictifs (réévaluation de bilan, augmentation du capital par incorporation des réserves...). En fait, le terme de flux s‘applique aussi bien & des rotations (achats de marchandises) qu'a des stocks d'entrées-sorties (encours des fournisseurs), de sorte que toutes ies informations comptables de base, combinées, sous-traitées, peuvent étre utilisées. Le cadre de I'analyse consiste a disposer ces flux selon un certain ordre et il est facile dimaginer qu'on peut confectionner autant de modéles de tableaux quil y a de combinaisons possibles de données, mais c'est la démarche conceptuelle de 'analyse qui détermine l'agencement retenu, puisque l'objet du tableau est d'instituer un comportement-type, permettant de mieux situer les performances particuliéres de entreprise. II - 4. £ élaboration du tableau de flux : Le tableau de flux est une analyse qui associe le C.P.C et les deux bilans, de départ et de fin de la période considérée. Tous les postes comptables, éventuellement retraités, sont intégralement intégrés au tableau. Nous exposerons ci-aprés, les différentes rubriques du tableau, leur contenu, les retraitements éventuels et les différentes strates de résultats et de grandeurs qui sont dégagées par le tableau. 89 06 “BBSIIIGOWWH NO/39 39x201S UOKONPOWd e| 8p 18 SauIeye,p a1yIy> NP awILUOS e| @ puodsa.i0> aI'3 | “awiu-ajj9 snod asda.nua, [ed sayinposd suonesijigoww! xne puodsa.uo> 22;04ax@,| 3 uoRINpO4, ‘apsyigowu uoAaNpOs ld id| T + ‘SIuy Syinposd saj ans suoIsiAosd | | ep asudos ajanquana aun a3%2038 UoNIMpoLd Je} suep saiBaquigs e@ ynpuod «sazpiexa| sep aouepuadgpul » ,p adputid np yedsai a7, synpoad ap syp0rs sap uneven e| @ puodsaui09 | | ‘woneyodxe,p suorjueaqns 8842035 UoRINpoO., “ped anne,p saoiuas | ! synpoud sadyues | Pp suonerseid 39 sanbugey sunporg » 79 suaIqG ap sean tanpuaA UORINpold >| ‘ued aunp ancfgu ap sunpoig > | ! saoynuas 38 SudIq Bp SaqUaA se} 39 JeIB| US | ses/u 2p salen :senpuaa sasipueyoiey :ua | SauEYe,D S1yilp aj J2{IUAA ap aujessar9U 39 I] 2 sep 1168s (1 SBuleye,p auyty el _ ! j squawayenay nuaquoy xnig | 3/ 16 | ‘7d | lg « sexe} 3 sigdul! » aysod ne puodsasio) iI Saxe} 39 SjQdu | ‘sausayx9 saBieys senne 591 28 wogerio|dxe,p synpoud sanine sa ‘a01210% @P uonanpoud e| aqua aduarayyp e| auaspidau 21/3 apinote anajen, | | | _ —_ — - — | ‘30UB}Ie:2-snos | 2} 38 aureWUEILI jPUUOSIad ap siey sap ‘eq ¥1p349 | ap arinuue,| ap jUeRUD SeD a] BNUIWIP « sauIa}x9| -syuWay.E.NDI Side J'g°D aydwuoD Np « sawioKa| sabiey sanne » aysod 9] sauodas anes j[|saG1ey> seane» aiduioa ne puodsauo> It seule s06:049 soup sabvew soane sop oeme | 1 souewen-snos a] ap auglew anued e| anole» | £ saumquunoy | ! voneperdap anod suoisinoud sop} SauaNeW ap spMMOSUOD syeyDe soy ,| rap nayed al : quadnou6a1 Sif SputuosuoD sjey>y | -_ a — T ‘« uoneyoidxep « sauiayxe saBiey>» sa) suep annoy as amuedasquoo « sabieys |aunnbsio; quawweyou — ‘« synposd eee uaysuey » saydwor sep amed aun » suinpoid sane» aydwoo np anied aun» §y9 « saBuey> ap suiysuen» sersod sop smued 2 suswayenai $9j Jas 9qu) Ap auiessensu 359 [7 squadnou62u sq} uoneyoidxa,p synpoud sanny. i squawayensy nuaquoa | xml i 7 ney snjd 410A « uoNeJo\dxe,p synpoud sa.agne » anbugns e| suep saubnos squaweyena Sap aye) uononpsp sudas qos saydwor soy “uonewoidxe,p se612u) sauqne ye synpoid sane saysod sap apjos | saqne uoneqoidxa,p sabreys 3 syinpoid— saany “J'd'D Np syuEINd419 syNDe Saf uoneieidap snod uolsinoid @} @ puodsaiod 9j -sanblwouor stuauessnowe | sep gnuluip 383! e& puodssuor SqUEIND4D SyhIe sop uoNEDE.dag (n'a) uonerioidxa,p eN — qUaps9xK3 i ‘pueAeL |1eq-Ip9.0 ap unuue,| ap jerides ua anued e} ap quawajjamuana) a2 anpuaxa,) segiuaul6ne yuos Np suoneIOp $9 ap siuawass;ioWe xne suoKeyOp Sa} UAUBISEP si,| _sanbiwoUo.® sjuawesssiowYy jeuuosiad | ‘ep sa6sey> sap anb sue sexe, 13 sjodu | Sap spnuLUIp apynofe inajen e| g puodsauo> 4! —_uogerioldx3,p ania yuapeoxg “saUs0 | uwiew aged 2 anb isuie auewupu) jauuosiod 3] qwauus2uo) sauiessaz—U sqUaWayea) sey « i | squawayeney ‘squBwiaylesai Sap aylpow 4° Ap jeuuosied ap sabseyd » aysod ne puodsauo> jy nuaquo euuosiad ap sabuey xn £6 “synDe,p qualuE|2,p UoIssaD ins syeyNsg’ sop | { saquesno9 uou sasiides 1@ SuOMeIOp sap» vondaaxa,| e sjueino, squesno> wou saBiey> 3 sunpoid sa| snoy ap apjos a] ysa uoU saBiey> 39 — stinpoig + ‘se]uesn0D UoU suORe}Og sezgpueuy suoneqog £ psiigowu) sn>e,P suaWassmowe |xne suonejop soy uoneyojdxap —suoneiog | :SUORRIOp sap soanuMIp —» { “soB.eyp ap syajsuesy ‘saqueino9 uou sasuday * sabieyp ap Suejsuen ‘seleoueuy sosudoy + 1 (swuosu0> uone}asdap unod uosinoud) aaqeqas uo aiued e sunajer-vou sag» |anod sabi ap suaysued ‘uoneyOjdre>p sosudey saaquawelbps suoisinaid sag + + quawessnsanul inod suonuangns seq rsasudas soy > suotsiaosd + suonelien sap 9611:00 ysa aplos 8) + adnouBou anbugns ane | sane xne suoneyop 3a sasuday “wonerio\dxe,p saBseyp saxyne W Sunpoid saxnne sap apjos np ye Suenos swe | sap suonengidep sap enulwip 3:N'3| @ puodsaso {| anbiwouose apjos| i squawayejoy | nuaquop | xnld | | i T |___"ea-pe19 ap s0Ao} aj suep svepueuy sie 50p Yed @| ap| sasapueuy sabiey> sany + |queayss se2 9] ‘saquawny Ssisaquyp sabiey + sueDUeUY SIe1y | | ‘ wonedoned ap sann sap sunpoig > | sreueUy sinpoig, “siaipueuy SIey 4 Si@DUeUY suNpo.d sap yeYINSg1 Np aydwo> sed quan au [T | “sxpp0 89 =p» ! jgbe,p Squawa|g.p suonesiess sap yeynsau np» 1 a6ueyp ap sarualayip sap» {aney-p 41oA) syuesno UoU sabseyD ya SyNpod sop PQney-0 410A) uonezlo|dxe,p suorsinoid sa.gne xne suoneyop 32 Sasuda sop > 43/2UeUY apjos | 7 | = 4 S839!D0s $9] ins yodwy Sexp}pOs 59] sns YoU 7 'J'4°D NP « spp UAWIAID sap ajqedis0d | aNAU uNa|eA » 39 « SINde Sap UOISSE? ap JINpoid » Ssaysod sap 3PIOS | JNDe,P SuoRestea4 sop aeNSPy I i f ; | yd), | NP « a6ueYD ap Sayed > J « aBuey? ap sUIeD » saysod sap apIos| abuey> ap aovarayi| sjuswoyenoy nuaquod xnig | 6 “(sinajen-uou sap | Je SSIeNe! 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JuawerUeUY 291059 2] 2p | uogepesSap no uojesoi uy abeysniy @7e.QUOD [1eq 3IPe19, sauleyeB1go sjunidw3, use ‘quawaoueuyag xn, LE TABLEAU DE FLUX (4) Marcha vendues ((+)Production vendue (biens ét services) Moyenne ()Subventions d'exploitation CHIFFRE D'AFFAIRES (+) Production stockée ou immobilisée PRODUCTION DE L'EXERCICE = IC) Achats consommés. = (-) Charges externes (hors crédit-bail et personnel extérieur) VALEUR AJOUTEE PRODUITE c oa |(Jimpats et taxes - (-)Charges de personnel (y compris personnel extérieur) EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION |dAmortissements économiques |EXCEDENT NET D'EXPLOITATION [© Dépréciation des actifs circulants i [G/}) Autres produits et autres charges SOLDE ECONOMIQUE a (CH) Reprises et dotations aux autres provisions _ (+/-) Produits et charges non-courantes (45) Differences de change (4) Résultat des réalisations Pactifs [C)impot sur les sociétés t [SOLDE FINANCIER [C+)Produits financiers -)Frais financiers FORMATION INTERNE DE CAPITAUX PROPRES |()Distribution des dividendes ((+/-)Apports, retraits de fonds propres |FONDS PROPRES MIS EN CEUVRE [Ciinvestissements de croissance (y compris crédit-bail [Augmentation (+ réduction) du B.F.G a DEFINANCEMENT (+) FINANCEMENT (-) EXTERNE | +/- Emprunts obligataires |C+/-) Emprunts bancaires/ crédit “+/-) Ajustage ail [AMELIORATION (+) DEGRADATION (-) DE LA TRESORERIE. 98 “squeuno2-Uou sinposd 39 S3BJeUp saj quauAnoDd1 anb ‘uoU no sa|qezoney ‘seaje sag -| AANEDYIUBIS snapues6 BUN 353.3 “4aL!0NUOAU! @ Sa|De ‘sanqza{go sapuUOp ap 'seqUaA - SuonInpoud - sieyse aPAd np and eV, IeINSSJ a] ayUasaudaL | 3 JeuIde9 2] yU0s Inb UoNanpoud ap sunayoey xnap sap yn>adse4 wodde, anossas auley ap Jawad "A C1 ,‘S@9SIIGOWUy 7 S9BY2095 ‘SUOAINPOAd sal anb sioje aysieW np xud ne aasliojen ySa aNpUBA UORINPOLd) e016 ua auBed |.nb 29 sriauaBowoy ua pied yeBaube 12 “apSiIgoww UoA>npod e| 1 apYD0IS UORINpOWd e| B16} ®| nO ainsaw 2} suep Aanad saureys9 ap xud ap sarinesuaduioo suoguangns sap quasuod 3134) pueNd y'D Np UoAewHsa-snos SUN sOAe “axqUOD 4eq “sounqueD0uphy,p anb saxey ap snd dnoonead quaimsey (Sai sn@IeDIpul 729 e eouaHBJp1 e| qUa1Ae IMb sayuasaid es quannad sanbypads seo soq 66 AuawaueUy ap andy 1d 2} ap saauanbasuor sag - ! queurassnisanup anb) 1d 8} ap saauanbasuos seq - uonsensqe ye ajjanbsing UOREHOIdx®,p anaq quapaaxe, ied & Igei9 ws9 3g a1) | ne 3] apanofe anajea ey “quajnas ap 309 Ne qUos a; ‘sioyaano | uononpoid ey ajja 482 SyANde) xnayW aquaspida, ag ‘squesiynsul a]UaA yonad) sesudaqua| SBAEYe,p a4yyys 97 “esudoatue aun p awsiwieusp 2] ans auewsud agp aun auuop ff UNaGNVUD V1 3G JaLyOd ' — wNaanvas + XnIY 8p NeIqEI NP SepIOS Sep 39 sinapuel6 sap UOLReDYIUb)s 38 BPLIOd “S - TE oot yeUUORDe Ye SiNaygid ‘xneyde> ap sinayodde saj sengings e puedes es suep aenaidde ‘esudanua,) ap aouewojied 2] 219494 JDUELY eplos a] ‘sp6ebua xney;e9 sap uOReIpUNUIAL e| e aDEYe yuoWOA!sN|Ixe snjding @19}DUEUY ayTIge Wad e| Je aNb|WOUOD? ayyiqewue. 8] anus aDepalUL| ayuaspudas uapuEUY apjos aj ‘xny sap nea|qey np avalWeyD JUDWAIe alqeweA se1ueuy apjos seuuogdeaxa sunaypey sa ya “AUIaqU | ‘anbjusouose ainyouofuor 2] : sauaboxa sajqeueA xne yop yeINseJ 89 anb ad Jashjeue,p | uodw) |p ‘asiidaque aun,p syyigeyoud e| sa;gidde anod yeu yeynsas nas ne as ap nay ny ‘sin@y2ej Suanip sa9 @ 'snBuo| Zesse apoupd aun ins ‘sajqisuas nad juos sweynsay sas anbsio| sysuayul aiqiey ep uoMeo|dxa,p anbdsu un ayuasaid asudaque aun “2049958050 ‘Saj|eAnoU sa/Sojouyda sap asuAjely ambyuyIa7 anbsiy - “29UaIuNU09 ‘sjUaI}D $3] SYaAUa adUepUAdag : /e;seWULUO? anbsiy ~-sanbaewip seaje ‘savawaud sasanew sap xud ‘esmauolue : anbuwouog anbsiy anbrwouosg apjos 99 NP UoRIUOy 358 INb UoNexI0\dxa,p anbsi1 ap UONOU e} @ aIOnUaL_ uoneuen es “anblwouor® eynyoe,| Jed saygi995 aduNossas ajgeqUEA e| DuNsaUL aNbIWOUOD? apjos a7| “uoyanpoud ap sunajoey sap ajqwasua, aD UONeSIIIN,p S109 sap UONeINdu sede aiqiuodsIp sniduns a} aqussaiday| UOREHOIdxe,p you quapgoxa, UNFGNVUD V1 ad 3aLNOd | ~NaGNVUD | tor 219405921 8 AP UONELIEA e| ap stued @ aaylian 3s0 sino|eo sop ajquiasua, ap apmandexe,1 sissed-o1010s941 i vonepeiSpp oun yos venevaypue | a1osen Jun yos ‘auig qyeuunod inb ayevosp.y e| ap uaWaAnow aj reJaNyASUOD ‘SaYap sep syuawEsinoquIas Pa |s3j 12 Syunudwa xneannou saj aindwi stone in| seude ‘yney-19 a6eB9p viosaq a] no snidins a7| 2P UORePesBep ‘uoneiopUYy “Quewaoueuy) Jeoueuy @ anbuew un se/puabug - “(quaweoueuupp) jnisod snidins un Ja6e69p wx quewaoueuy yuouesuELyag 1 ap Hos yauuad sauiayU! 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Les objectifs principaux sont de porter des jugements sur la performance économique, la rentabilité financiére, la solvabilité et I'autonomie financiére de Fentreprise. Lassemblage des flux dlexploitation dégage des niveaux successifs de résultats essentiels pour analyse : ~ Valeur ajoutée ; ~ Excédent brut d'exploitation ; ~ Excédent net d'exploitation ; + Solde économique ; ~ Solde financier ; - Formation interne des capitaux propres ; et dresse l'état des éléments ~ positifs et négatifs ~ qui sont la source des changements intervenus dans la situation financiére. La strate encadrée du tableau forme & elle seule, un plan de financement complet qui s'appuie sur l'équation : Fonds Besoins Financement ou propres mis en ceuvre financiers de la période définancement externe A limage du tableau de financement, cette partie rassemble les emplois et les ressources qui ‘ont marqué l'exercice, y compris la variation du B.F.G. La variation de la trésorerie est reprise en fin de tableau. Les questions se présentent de la fagon suivante + Dans quelle mesure la croissance est-elle consommatrice de ressources ? + Le surplus dégagé par l'exploitation permet-il de supporter la variation de la dette ? Enfin, le tableau débouche sur une confrontation avec la trésorerie, variable d'ajustement de toutes les opérations d'une période et fonction primordiale dans l'optique de la sécurité financiére immédiate. Faconné de maniére 8 pouvoir étre utilisé commodément, le tableau de flux : + est facile a élaborer. Ce travail peut trés bien slintégrer a une chaine de traitements informatisés des documents comptables ; + incorpore un ensemble de données financiéres éparses ; + est synthétique par la mise en évidence des données utiles ; 102 est pratique, parce quiil raccorde entre trois tableaux proposés par le P.C.M : bilan, C.P.C et E.5.G. Le mixage des états financiers est le moyen d'examiner dans un méme plan, le jeu des facteurs agissant sur I'exploitation, la rentabilité et les besoins financiers ; met en évidence d'une maniére trés claire tout ce qui s'est passé de marquant dans Vntervalle de deux bilans, les différentes opérations qui ont eu pour effet de sécréter au d'absorber des liquidités ; permet d'apprécier I'équilibre de la croissance, de déceler les incohérences inter- exercices par l'analyse historique sur 3 ou 4 exercices ; peut étre construit dans une optique prévisionnelle, il devient alors un outil de gestion. 103 CONCLUSION DE LA SECTION Le tableau de financement du nouveau plan comptable marocain permet de vérifier si les conditions du financement de la croissance de l'entreprise sont satisfaites (non détérioration de la trésorerie, respect de la régle de I'équilibre financier du bilan), Le tableau de financement, centré sur la notion de fond de roulement, complate le diagnostic de l'entreprise en analysant son risque financier. Mais cette démarche fait de la trésorerie un élément résiduel. Or, comme nous lavons déjé souligné, les trésoriers drentreprises évoluent aujourd'hui dans un contexte nouveau qui leur permet de rentabiliser des actifs financiers et d’optimiser la gestion de leur endettement. I apparait. donc nécessaire d'enrichir le diagnostic en placant la notion de trésorerie au coeur d’une étude approfondie de ses composantes. est objet du tableau des flux de trésorerie qui permet donc d'expliquer la variation de la trésorerie constatée entre deux bilans, a travers l'analyse des différents flux engendrés par les différentes fonctions de l’entreprise : exploitation, investissement et financement, 104 Section 3 . LES SUPPORTS DE L’ANALYSE Les différentes appraches de l'analyse financiére utilisent toutes information comptable comme base initiale de travail. Toutefois, des réaménagements sont nécessaires pour pouvoir l'adapter a la vision financiére adoptée par telle ou telle approche (fonctionnelle, et patrimoniale). Ces réaménagements se traduisent par des opérations de retraitement des documents comptables et recouvrent deux aspects fondamentalement différents. Il s‘agit de + Corriger les insuffisances d'une vision trop exclusivement comptable de 'entreprise ; - Souligner les principaux aspects financiers de l'affaire par une présentation adéquate des documents comptables, qui permettent de visualiser, aussi aisément que possible, les grandes fonctions que l'on cherche a cerner. Une fois terminée, l'analyste soumet ces éléments comptables, convenablement retraités, a Youtillage de ratios et tableaux quill s'est forgé pour mesurer les performances économiques et financiéres de lentreprise. Lassise_méthodologique est évidemment sous-jacente & ces supports d'analyse qui se composent done : Des états financiers standards retraités ; - lun bilan financier et d'un tableau de flux, Ces matériaux représentent la préparation directe a 'analyse avec laquelle ils font corps. I- LES ETATS FINANCIERS STANDARDS RETRAITES : Dans la premiére partie de notre mémoire, qui traite les limites de l'analyse financiére, nous avons souligné les principaux retraitements par type d’approche et qui aboutissent aux états financiers retraités soit dans une optique patrimoniale ou fonctionnelle. Les principales corrections & apporter aux états financiers sont exposées en détail dans la premiere partie, Chapitre I -Section 2 . LES LIMITES DU PLAN COMPTABLE MAROCAIN, page n° 38, TI - LE TABLEAU DE FLUX ET LE BILAN FINANCIER. Dans la section 2, « Qutils de l'analyse », nous avons traité en détail la conception du tableau des flux (page n® 89). Nous nous limiterons donc dans cette partie & donner une présentation du bilan financier. Le bilan financier est un instrument opératoire pour analyser les équilibres de structure. Son Evolution dessine la trajectaire financiere de lentreprise Aprés avoir opéré les principaux retraitements (voir ci-aprés page n® 107), la construction du bilan financier procéde une double contraction : ¥ Horizontale : les non-valeurs sont déduites des fonds propres, |'écart de conversion actif s‘annule avec a provision correspondante, les actifs et les passifS circulants sont compensés ; ¥. Verticale : le portefeuille d'actifs, d'une part, et le pool de ressources, d’autre part, sont présentés par nature et sous une forme ultra condensée Actif Passif ACTIF FONDS IMMOBILISE PROPRES i | | | BESOIN DE DETTES | FINANCEMENT 1 | FINANCIERES I GLOBAL NETTES, — J Uanalyste financier devra établir son bilan financier, matrice élémentaire du raisonnement financier. En effet, il permet de visualiser, en lecture instantanée, les composantes financiéres qui caractérisent lentreprise. Il est présenté avant répartition du résultat au motif qu‘en pratique les dividendes constituent une charge supportée par lexercice suivant. Composante Actif économique Dettes financiéres nettes On désigne sous le terme d’actif économique (besoins financiers, capitaux. investis) l'ensemble des moyens | nécessaires & exploitation. Il regroupe uniquement les immobilisations corporelles, incorporelles et financiéres ; le cas échéant, le crédit-bail est réintégré. Les équipements sont retenus pour leurs valeurs nettes parce que la réalité économique est mieux traduite par la valeur d'utilisation des outils aprés usure et | obsolescence, Le B.F.G est la résultante du total du passif diminué de l'actif immobilisé. Les fonds propres correspondent la definition déja donnée des ressources & exigibilité nulle, (II faut alors réintégrer la fiscalité latente se rapportant aux |subventions dinvestissements et les __ provisions | réglementées). Etant donné que les immobilisations en non-valeurs sont [supprimées de l'actif immobilisé le méme reclassement doit étre effectué au niveau des F.P.N Les dettes financiéres reprennent la totalité des ressources d'origine externe. On retiendra lagrégat des| dettes financiéres nettes qui s‘obtient aprés imputation aux dettes financiéres, le olde: Trésorerie passif — Trésorerie actif. La réserve de trésorerie est prise en compte parce quielle ‘peut étre employée a tout moment pour rembourser la dette, en tout ou en partie, | NB: Vu quelques particularités de certains bilans traités, le montant des dettes financiéres nettes peut figurer en signe (-) en raison de limportance de la trésorerie-actif et Ja faiblesse des dettes de financement. 107 L'équilibre de construction : Actif immobilisé BEG = Fonds propres + —_Dettes finan res Il suffit de lire directement le bilan fiscal pour tirer |'actif immobilisé net, les fonds propres et les dettes financiéres. Dés lors, 'évaluation du B.F.G, élément résiduel de la matrice est facile a déterminer. 108 CONCLUSION DU CHAPITRE Les approches, les cadres et les différents outils d’analyse présentés dans ce chapitre sont les substrats de tout travail d’analyse. Is permettent d’apporter_ un éclairage complémentaire pour rendre compte de exploitation, de la rentabilité et des équilibres financiers. lis permettent également, de faire le constat sur les ressources nouvelles dont Ventreprise a disposé ainsi que leur provenance et précisent comment ces ressources ont été utilisées en chiffrant leur impact sur la trésorerie. Cependant, l'utilisation de ces instruments serait dangereuse et inutile sans une bonne connaissance de l'entreprise, de son environnement et de l'information comptable qu'elle produit, Seules la pratique et la connaissance de entreprise et de son environnement permettront de donner sens et consistance aux conclusions financiéres de analyse. Pour bien percevoir la réalité d'une entreprise, c'est donc toute une démarche quil y a lieu de mettre en ceuvre pour y intégrer toutes ces dimensions, et est ce que nous nous proposons d'exposer au chapitre suivant. 109 Chapitre II - LE GUIDE DU DIAGNOSTIC FINANCIER "Section 1. SCHEMA GENERAL Le jugement formule sur une entreprise a partir des seuls documents comptables ne pourrait en aucun cas étre objectif et judicieux dans la mesure ou ces documents ne refiétent qu‘un aspect parcellaire de sa réalité. En effet lentreprise doit &tre congue en tant qu'un ensemble de produits, de machines, de compétences et de concurrents, etc. Afin de pouvoir cerner ces composantes, qui échappent & analyse de l'outil financier, il est nécessaire de procéder & un prédiagnostic qui permettrait de: Recueillir les premiéres impressions par la familiarisation avec entreprise (la connaissance de ses fonctions, ses dirigeants, ses contraintes, ses particularités, sa culture...) et l'étude des postes clés de ses états financiers. ~ _ Détecter les zones a risque, qui feront objet d’un examen exhaustif, par analyse globale de sa structure et de ses résultats partir de documents confectionnés par les soins de l'analyste a savoir + Les états financiers standards auxquels l'analyste aurait apporté des redressements et retraitements afin quills puissent mieux se préter a l'analyse. + Le tableau de flux qui : ¥ Décrira les opérations de gestion, les divers soldes et résultats de lexercice ¥ Etablira la jonction avec le bilan ¥ Evaluera limpact des opérations de gestion et de situation sur la trésorerie. + Le bilan financier qui synthétisera la situation financiére. A ce niveau, l'analyste a forgé déja une idée grace aux investigations préalables et aux états financiers élaborés par ses soins. examen des donnés recueillies consisterait donc 4 déterminer des grandeurs financiéres synthétiques et_mettre en ceuvre une batterie de ratios pour analyser la structure, I'activité et la rentabilité de entreprise pour confirmer ou infirmer ies premiéres impressions dégagées. A lissue de cette phase, lanalyste est en mesure d’élaborer une synthese générale a partir de laquelle il émettra une opinion sur la situation de |'entreprise et formulera ses recommandations d'amélioration. 110 Ainsi le plan de notre démarche générale d'analyse comportera donc les étapes suivantes > La prise de connaissance générale de entreprise : Au cours de cette phase Vanalyste rassemble des informations sur ‘organisation, l'environnement, la structure, le management et la stratégie de lentreprise. * Les travaux préparatoires du diagnostic financier: Dans cette phase du diagnostic, Vanalyste procédera 8 un certain nombre de travaux pour préparer les supports qui lui serviront de base a analyse. Ces travaux sont ¥ La collecte des informations ; ¥ Linspection de ces informations (étude des postes, tests de fiabilité) ; ¥ Les retraitements ; ¥ La confection des supports de I’analyse. > Le diagnostic financier : sur la base des supports confectionnés, I'analyste soumettra a l'examen l'ensemble des données recueillies par : ¥ Le calcul des grandeurs financiéres synthétiques v La mise en oeuvre d'une batterie de ratios. >» Synthéses et recommandations : Cette étape constitue 'aboutissement de tout le process. Elle est trés délicate dans la mesure oU lanalyste devra synthétiser et confronter l'ensemble des données et conclusions afin de dégager une opinion et suggérer des recommandations. Nous présenterons ci-aprés le schéma général de la démarche du diagnostic iL SCHEMA DE LA DEMARCHE D‘ANALYSE Prise de connaissance générale, ~ Quelle entreprise ? ~ Importance de lentreprise, - Organisation ~ Environnement ~ Qualité du management Travaux préparatoires du diagnostic financier ~ La collecte des informations | | ~ inspection de ces informations - les retraitements ~ la confection des supports de analyse Diagnostic financier ~ Calcul des grandeurs financiéres synthétiques - Mise en ceuvre d’une batterie de ratios ‘Synthése et recommandations + Emission d’un jugement - Recommandations Fiche signalétique de oe Vorganisation générale Les fonctions marché gamme de produits position concurrentielle équipe dirigeante diagnostic de gestion Bian] Fentreprise ~T +} | ~ Etude des postes clés + Tests de fiabilité des données [PL_Imeressions [~ Retraitements qt — y CPC retraite | | Bilan financier Bilan retraité J ; | Tableau de flux u Ratios caractéristiques | Confirmations successives des forces et faiblesses de Ventreprise ‘Synthése du diagnostic ep et décision finale = 112 I - LA DEMARCHE D‘ANALYSE 1-1. Prise de connaissance de Ventreprise Un diagnostic efficace suppose un prédiagnostic, une connaissance préalable de I'entreprise et une préparation des questions allant a ressentiel. Le but donc visé n'est pas de faire un diagnostic général et étendu, tel quil pourrait étre mené par un opérateur investi d'un large pouvoir d'investigation pour évaluer organisation, les méthodes de lentreprise et effectuer des contrdles. II ne s'agit en fait que d'un « check- up » rapide qui permettrait & l'analyste de prendre connaissance de faits susceptibles de le guider ou de léclairer sur I'interprétation de données financiéres. Pour la collecte de ces informations, des supports ont été confectionnés pour : ~ _ Prendre connaissance des diverses fonctions de lentreprise ; Constituer une idée sur leurs caractéristiques principales ; Confronter ces caractéristiques avec des références communément admises pour pouvoir les évaluer ~ _ Détecter les risques intrinséques & chaque fonction Ces supports sont en nombre de sept La fiche signalétique ; - Lorganisation générale ; - La fonction commerciale ; - La fonction production ; - La fonction achats ; - La fonction informatique ; 7 La fonction stocks. Ces supports sont présentés en annexe II « Guide opérationnel du diagnostic financier ». 1 - 2. Les travaux préparatoires du diagnostic financier : Nous présenterons ci-aprés les divers travaux préparatoires préalables au diagnostic + La préparation des documents : Elle consiste 4 faire l'inventaire des documents de base du diagnostic, les mettre 8 épreuve en les soumettant des analyses préalables et des tests pour s‘assurer de leur fiabilité par la mise en ceuvre de deux ‘outils Y Le tableau d'étude des points particuliers ; ¥ Les tests de fiabilité des données + La confection des supports de I'analyse : Les supports sont les assises du diagnostic financier qui permettent de dégager les grandeurs financiéres qui seront soumises a l'examen par le dispositif d'outils mis en oeuvre par l'analyste afin de tirer des conclusions sur la gestion et la situation financiére de l'entreprise. Ces divers supports sont 113 Les états financiers standards retraités. v Le bilan financier et le tableau de flux. Ces matériaux représentent la préparation directe a l'analyse avec laquelle ils font corps. La confection de ces supports ainsi que les techniques de leur mise en ceuvre ont été développées ci-haut. Chapitre I -Section 3 . LES SUPPORTS DE L'ANALYSE page 11°15). Nous exposerons ci-aprés les modalités de préparation des documents. A. Préparation des documents : A- 1. Nature des documents : Uanalyse financiére se fait principalement & partir de "étude de deux types de documents, internes et externes, » Les documents internes sont les états financiers et comptables de l'entreprise tels que le bilan, le compte de produits et charges, ‘annexe, le rapport des commissaires aux comptes. > Ces documents peuvent étre complétés par d'autres supports externes fournis par les banquiers, les organismes de crédit, assureurs, agences de renseignements, qui mettent le point sur la place de lentreprise dans sa branche industrielle, la valeur de ses dirigeants, la qéographie du capital. Done la collecte des données nécessaires @ I’analyse financiére passe par {'obtention des comptes ; bilans, compte des produits et charges et ses annexes. De quel bilan s‘agit-il ? Pour plus d’assurance, ranalyste préfére baser son étude sur un bilan arrété par Vorgane Compétent (conseil de surveillance ou conseil d’administration) de la société, avec certification du commissaire aux comptes. Au cas ol la société aurait subi un audit externe cela donnerait encore plus de crécibilité a l'étude. A-2. ifficultés d’exploitation des documents comptables : Dans la pratique, l'analyste trouve des difficultés face aux regroupements de certains postes et absence du détail concernant quelques éléments. A titre d'exemple, ne pas informer 'analyste des montants de la sous-traitance, des frais de personnel extérieur, entrainent une véritable pollution du calcul de la V.A et une surévaluation du crédit fournisseur, 2. Contrairement au plan comptable francais, on reléve l'absence au C.P.C du P.C.M du poste «redevance du crédit bail » qui est enregistré parmi les « autres charges externes ». Une note concernant le crédit bail en bas du C.P.C sera d'une grande utilité pour Vanalyste surtout s'il ne dispose pas des autres tableaux de la liasse fiscale. 3. Linscription de charges de natures différentes sous une méme rubrique de compte entache souvent en erreurs les conclusions portées par 'analyste sur l'étude des comptes. En effet, lorsque le comptable regroupe sous un méme intitulé de compte les intéréts des emprunts, les charges nettes sur cession des titres et valeurs de ila placement, les pertes de changes et les escomptes accordés, il masque la réalité des charges financiéres. Une telle pratique peut entrainer une surévaluation du taux de frais financiers bruts calculé par l'analyste en réunissant sous le méme vocable de charges financiéres, des éléments courants, et des éléments non courants. 4. Aces difficultés, s'ajoutent les erreurs commises et échappant & la vigilance du contréle fégal ou contractuel. Cest ainsi que certaines entreprises ne croient pas nécessaire détablir une note expliquant les écarts éventuels existant entre la redevance au tableau de crédit bail et celle inscrite au « détail du C.P.C ». 5. Il faudrait aussi contréler la qualité des informations financiéres sur lesquelles le diagnostic sera établi et de déceier les tendances sous-jacentes aux résultats nets affichés. Les confusions, volontaires ou non, sont fréquentes entre les dépenses d¥équipement et les dépenses d'exploitation (le renouvellent d'un moteur d'une voiture est souvent inscrit en charges dans le poste « entretien et réparation », alors qu'l s‘agit, bien d'une dépense dinvestissement qui doit étre inscrite en « Actif immobilisé » ; la méme confusion existe entre les charges d'exploitation et les charges non courantes 6. Bien souvent, la comptabilité des PME présente des anomalies ou des lacunes et seul le dialogue permettra de combler les vides et de corriger certaines des interprétations de Fanalyste. 7. La plupart des entreprises céturent leur exercice au 31 décembre. Toutefois certaines entreprises cldturent leurs exercices 4 une date différente, Dans ce cas, Varrété des comptes répond & un souci de présentation au moment de l'année oli sa situation financiére est la plus favorable. Inversement, ta date d’arrété des comptes peut coincider avec {a situation financiére la plus lourde. L’analyste saura si la date a été choisie pour présenter les comptes de l'entreprise sous fa forme la plus avantageuse ou, au contraire, fa pius défavorable, Pour les sociétés appartenant & un groupe, il y a lieu de vérifier si les bilans (mére et filiale) sont bien arrétés aux mémes dates. Varrété & des dates différentes nuit "homogénéité des comptes et attire |'attention de l'analyste sur les comptes réciproques de la société quil étudie. C'est pourquoi il doit examiner pour ce cas (titres de participations, stocks, fournisseurs, clients, achats, ventes...). Dans le but de pallier 4 de tels inconvénients, lorsque lanalyste se procure les documents et renseignements faisant lobjet de étude, il est nécessaire de procéder a : ~ _Liétude de principaux postes « points clés > qui résument eux seuls ensemble des options sous-jacentes 4 I’arrété, donc a la détermination du résultat. + Des tests de fiabilité des données, 1l est souhaitable de collecter au minimum les trois derniers bilans. B . Etude des points particuliers : Une fois t’analyste s'est procuré les états financiers, il faudrait passer en revue les postes des états financiers pour déceler les éventuelles anomalies, Dans une premiére étape, l'analyste examine les postes du bilan et du C.P.C pour déceler les éléments susceptibles de contenir des plus ou moins-values latentes, ou les postes pouvant 1s correspondre & une sur ou a une sous-évaluation du résultat et de noter les rectfications quil souhaite faire dans fes rubriques. En second lieu, il faut noter les modifications a opérer dans la présentation des comptes. Lattention que 'analyste portera @ chacun des postes dans son étude sera proportionnée & importance relative des postes dans l'ensemble des comptes. C'est pourquoi, on exprime tout d'abord en pourcentage du total du bilan toutes les sommes figurant dans chaque poste du bilan et du C.P.C. B- 1. Le tableau d’étud: Les postes-clés sont les postes du bilan et du C.P.C présentant une importance relative par rapport & l'ensemble des comptes. Ainsi, le temps et l'envergure des travaux a mener pour analyse d'un compte seront proportionnels & son importance. On pourra utiliser des tableaux d'un modéle analogue a celui proposé ci-dessous. Ce modéle permet de noter pour chaque poste du bilan et duC.P.C : + importance du total du bilan (21) ~ les plus-values latentes (2) ~ les moins-values latentes (3) ~ les postes pouvant comporter a son sens une surévaluation du résultat (4) ~ les postes sous évaluant le résultat (5) = les rectfications (6) Le tableau proposé ci-aprés reprend ensemble des postes du bilan. Il propose en outre, au niveau du C.P.C, étude de la variation de chaque poste, ainsi que son poids par rapport & sa Catégorie (charge ou produit). Des analyses particuliéres sont proposées pour approfondir le comportement des cotits. 116 “eynsga np uonenjergans no snog ! saqUa}e| San|eA suIOW yaaa “sanbneid squewessmowe -|sep ssa uMeN - ! pjauuapuy | | (¢) yodsuen ap = jeupleW ‘sebeynqno Ja sjeuaey = |sanbiuyaey suoweyensut “gaisiGaiue uou yissed SoUaye| senjen sujow no snid “vonevioidxay @ uou no voneweuy “yeqnspu np uonenjengins no snos { saquare| San|eA suloW no snig Squenas6 -|s3] sanbaurodAy no saxauns | aquanas ap = Mo quawarejdiual ap ajjapu anajen, “snuanas sap jueuUop asiidagua, Jed s9pi0 siAau 38 sanbiew : saansibaiua {NOU sajsodioou) suonesiyqowsuy Psapnause sanbuew j@ sjanaig : sansibaua SqUWaIB Sep UoReN|end 39 aMeEN @ i | | | “sayad sap 21210 { app1ngp quawasstuowe,p azinp Bas 22UNSB! 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Conclusion de l'étude des postes : A ce niveau, lanalyste a examiné 27 « postes clés » et noté au fur et & mesure de ses investigations importance du poste, en pourcentage du total du bilan et du C.P.C. Ayant terminé son premier examen des postes, 'analyste va récapituler ses conclusions : les postes étudiés représentent au total X % du bilan et Y % du compte de produits et charges parmi ces postes, des modifications ont été nécessaires : tel et tel ont été remontés en haut du bilan, tel autre descendu dans lexigible etc. en outre, n postes représentant n1% du total du bilan, du compte de produits et charges contiennent probablement des plus-values : ¥ nL poste représentant n'1% des moins-values ¥ 112 poste représentant n’2% une sur évaluation du résultat ¥ 113 poste représentant n’3 % une sous évaluation du résultat. 125 CONCLUSION Si la plupart des remarques concordent ou tendent vers l@ méme conclusion, l'analyste tentera d'approfondir ses bases de connaissance sur chaque poste. En réalité, étude des postes est la premire base solide de l'étude financiére. Les analyses successives ultérieures ne font bien souvent que confirmer les premiéres conclusions tirées de l'étude des postes. C.. Les tests de fiabilité des données : De méme qu'on arrive rarement des résultats satisfaisants en raisonnant mal sur des données exactes, de méme il est rare d’aboutir 4 des conclusions pertinentes en raisonnant bien sur des données erronées. Afin que Vanalyste puisse dégager des conclusions pertinentes, ii doit s‘assurer de la fiabilité des données 4 partir desquelles il effectue son étude en effectuant des tests. Ces tests peuvent étre classés en quatre catégories C- 1. Tests de concordance : Deux tests simples, mais nécessaires, sont a effectuer * Actif = Passif + RésultatCP.C = —- Résultat du bilan Le signe du résultat au passif du bilan doit étre le méme signe que celui du compte des produits et charges, quil s'agisse d'un bénéfice au d'une perte. 127 C-2. Tests sur le F.R.F: A (Réserves + Report & nouveau ) Résultat n-1 Dividendes payés en n A (Réserves + Report & nouveau) réserves Résultat n-1 Dividendes payés en n Réserves incorporées en capital Les A (Réserves + Report & nouveau) Résultat n-1 dividendes + Mouvement direct sur réserves 128 Observations | Entre deux bilans successifs fin n-1 et n, jles seules modifications _affectant jl'ensemble des postes «Réserves et Report & nouveau» — sont celles! décidées par Assemblée Générale Ordinaire statuant sur les comptes de n-1 qui décide l'affectation des résultats soit en distribution de dividendes soit en augmentation des réserves ou du report a nouveau. Dans ce cas, le montant des réserves incorporées au capital doit correspondre exactement & la variation du poste capital qui ne résulte pas d’un apport en espéces ou en nature ou une conversion de créances, Méme si cette pratique n’est pas conforme @ lorthadoxie comptable, on remarque parfois__ que —_certaines entreprises imputent directement en réserves, sans les réincorporer au C.P.C, des provisions 8 caractére de réserve définitivement libérées dimpat. Composantes du} Test a effectuer Observations Variation Immobilisations Investissements | Dotation aux amortissements/aux provisions Valeur nette des immobilisations cédées | Les dotations concernent la fois les _|dotations normales que les dotations exceptionnelles. $ Immobilisations g 5 2 é 3 3 z g = z Variation Immobilisations | financiéres Addition Immobilisations financiéres Dotation aux provisions Valeur nette immobilisations financiéres cédées/remboursement des créances inanciéres Immobilisations Variation Emprunts L.T. | Conformément au plan comptable marocain, les montants inclus dans les Addition Emprunts L.T. emprunts L.T. incluent fa totalité des ~ emprunts quelle que soit la date Remboursement d'emprunts | d’échéance (plus ou moins d'un an). Emprunts Variation des provisions Dotations aux provisions Reprises de provisions Provisions & | caractére de réserves ou provisions a long | terme fi { 129 C-3. Les tests de présence des données : Toutes les données ne figurent pas dans chaque dossier d'analyse financiére, Exemple toute entreprise ne passéde pas nécessairement de filiale : "absence de montants sur le poste « titres de participations » ne signifie donc pas obligatoirement que des données sont manquantes. En revanche, certaines données doivent nécessairement figurer. Citons par exemple la T.V.A sur C.A ¢ Le ratio durée du crédit client (client/C.A TTC) qui ne tient pas compte de la T.V.A va induire les dirigeants en erreur parce quiils décideront de prendre des mesures correctrices sur la base d'un ratio erroné en l'absence ‘informations sur la TVA sur le chiffre d'affaires. Par conséquent, l’analyste doit vérifier existence de toutes les informations nécessaires & son étude. Il pourra demander par exemple |'état des informations complémentaires (E.T.L.C) et s‘assurer quill a été diiment renseigné : tableau crédit- bail, tableau de TVA, Une erreur de classement des données est toujours possible. On peut aisément détecter ce type d'erreur par la méthode indiciaire. Pour tous les postes du compte de produits et charges ou du bilan, on examine la croissance par rapport & l'année précédente : tout pourcentage s‘écartant par trop du pourcentage moyen constaté indique quil y a peut-étre une erreur sur ce poste. Il n'est pas inutile de calculer par exemple + le pourcentage : .V.A sur C.A C.A total — C.A Export et de s'assurer que le taux qui en résulte n'est pas trop différent du taux de T.V.A. en vigueur ; il est généralement un peu inférieur car certaines ventes a Vintérieur du pays peuvent s'effectuer en hors taxes (ventes 4 des exportateurs). L'évolution sur plusieurs années du taux de T.V.A calculé permet de détecter une éventuelle erreur. + le pourcentage : LV.A sur achats et frai Achats et frais + Variation stocks matiéres et m/ses et de s'assurer que le taux qui en résulte n'est pas trop different du taux de T.V.A, en vigueur; il est généralement un peu plus faible car certains achats (cas des exportateurs) ou frais (frais de déplacement du personnel) peuvent s'effectuer en hors taxes (ou sans taxes récupérables). 130 1-3. Le canevas du diagnostic A. Les fondements de la méthode Deux attitudes sont envisageables pour diagnostiquer une entreprise : Soit rechercher un référentiel comparatif auquel il faudrait confronter les grandeurs d'une entreprise pour pouvoir les apprécier en plagant lentité dans son contexte (secteur, taille...). On est ainsi confronté aux difficultés liées a la construction d'un tel référentiel qui exigerait des efforts considérables de : ¥ Collecte des données financiéres sur les entreprises. Tache ardue surtout dans le contexte de notre pays dominé par «la culture du secret » qui rend trés difficile la procuration des données financiéres ; Traitement de l'ensemble des données ; Détermination des tendances sectorielles ; Comparaison de tentreprise dans son secteur. v v v Soit le jugement d'une entreprise sans avoir recours a une base de données. Auquel cas, Nentreprise devrait étre vue en tant qu'un sous-systéme, intégré 8 un ensemble économique finalisé et elle apparait alors, régie par des principes généraux qui occultent toutes les disparités. est la seconde approche que nous avons retenue et ce, pour deux raisons : Uabsence d'une centrale de bilans ou de bases de données aptes & fournir des références sectorielles auxquelles on peut confronter les données recueillies. Uexistence d'un certain nombre de références universelles qui fournissent les repéres d'un cadre de référence commun. Ces références nous les présentons ci-aprés sous forme de constats + Référence universelle — Constat | | Toute entreprise est un centre de production ‘de valeur ajoutée, que! que soit son domaine | d’activité (négoce, métallurgie, high-tech...) II est donc obligatoire quielle produise plus qu'elle ne consomme. Chaque entreprise met en jeu une combinaison de capital physique et humain qui a pour finalité de générer un revenu. Ce revenu doit dégager un surplus ou, le cas échéant, doit couvrir le capital investi. Une activité trés rentable va attirer de nouveaux investisseurs. Une rentabilité défavorable déclenchera une remise en ordre dans le secteur. Les entreprises sont confrontées aux chocs denvironnement, 8 des techniques en constante évolution et a un monde de marchés universels et trés erratiques. Cette tendance aura pour effet de baisser les marges dans cette activité. Ceci contribuera au r avec les autres secteur. quilibre et 8 l'égalité La survie passe nécessairement par une capacits de —variabilité: innovation, opportunisme. | | Il est ainsi possible de dégager tout un systéme de régles normatives devant lesquelles les disparités entre les entreprises s’estompent. Ainsi, si les mémes mécanismes siimposent & ensemble complexe des entreprises, il est donc raisonnable de construire un modéle général de leur fonctionnement. La diversité des parties prenantes au diagnostic n'est pas synonyme de multitude d’analyses (banquiers, actionnaires, fournisseurs...). La pluralité des angles c'approches ne change rien a la finalité de l'analyse financiére qui consiste toujours & porter une appréciation sur le degré de résistance financiére de l'entreprise. Cest a la base de ces postulats de travail que nous avons construit notre canevas d’analyse que nous examinerons par la présentation de notre démarche de diagnostic. B . La démarche du diagnostic La démarche proposée se base sur une combinaison d'instruments d'analyse de stocks et de flux. Le centre du raisonnement prend appui sur la rentabilité qui est la clé du Fenouvellement du capital productif et de la croissance. S'agissant de la structure, il convient de s'en tenir & des principes simples privilégiant les fonds propres en tant que surface financiére responsable. La présentation de la méthode exige la répartition de l'analyse en deux péles : Confection des supports d’analyse : La démarche proposée privilégie observation des flux financiers, mais n’hésite pas 8 recourir aux grandeurs financiéres stocks construites selon les diverses approches patrimoniale ou fonctionnelle pour éclaircir des aspects que I'analyse par les flux n’a pu révéler. Pour mettre en évidence un certain nombre de caractéristiques, I faut d’abord corriger information comptable par un certain nombre de retraitements et aboutir aux supports de I'analyse a savoir : ~ Des états financiers standards retraités. - Dun bilan financier et du tableau de flux. * Le diagnostic : Il se base essentiellement sur les supports d’analyse confectionnés qui sont des instruments opérationnels permettant de juger avec netteté, le degré de sécurité d'une entreprise (tirer de l'exploitation la substance nécessaire, d'une part, a la rémunération de ses pourvoyeurs de capitaux, d'autre part, l'équilibre de sa croissance). La confection des supports ainsi que les techniques de leur mise en oeuvre ont été développées ci-haut. Nous exposerons ci-aprés les différents volets du diagnostic. 132 B - 1. Le diagnostic financier Notre démarche siintéressera a l'analyse des trois volets suivants + - La structure financiére de l'entreprise ; ~ — Lactivité de lentreprise ; - La rentabilité. Pour pouvoir se prononcer sur ces volets, et a I'appui des supports confectionnés, analyse tendancielles des diverses grandeurs dégagées permet d'apprécier dans un premier temps leur Evolution et constituera pour l’analyste une premiére vision qui lui permettra de reconstituer le profil de entreprise. Cette premiére vision doit &tre complétée par la mise en ceuvre d'un ensemble de ratios qui permettraient de mieux approfondir les divers aspects de Ventreprise. Pour l'appréciation des résultats dégagés par les ratios, et en V'absence de références sectorielles, nous recommandons les modes d'appréciation suivants : + Lanalyse tendancielle des ratios : Cette technique permet d'apprécier un ratio a travers son évolution dans le temps. * Par référence & des normes universelles dégagées par ¥ [a législation commerciale des entreprises, v les pratiques d’analyse et d'appréciation adoptées par les banques dans (valuation des dossiers de crédit, ¥ des niveaux d'optimums qui puisent leurs fondements dans la littérature et la théorie de analyse financiére. 133 Exemple : | Source |Lelégisiateur | En matiére de droit commercial il existe un ratio dont linobservation [entraine la dissolution de la société, En effet l'article 357 de la loi sur les sociétés anonyme stipule que si ia situation nette devient inférieure au quart | du capital social, le conseil d'administration est tenu, dans les trois mois qui | [suivent de convaquer I'assemblée. | Le législateur a retenu comme limite admissible de la dégradation de la/ | situation financiére de l'entreprise, une situation nette aux moins égale au | Ys du capital nominal La pratique La structure financiére est généralement considérée par les banquiers | bancaire comme satisfaisante si les dettes bancaires ne dépassent pas les capitaux propres et si leur remboursement mesuré & aune de la capacité d’autofinancement peut intervenir en trois ou quatre ans. La pratique de Vanalyse financiére ‘Avec ‘accumulation des missions, les praticiens développent des principes, conventions ; profondément marqués par les conditions économiques et les particularités du pays. Ainsi un taux de rentabilité supérieur 2 11% est le “fruit d'une longue expérience. 1! faut bien reconnaitre que ces normes ne. [ont qu'une généralisation de la pratique de fanalyse financiére. | La batterie de ratios que nous proposons est présentée en annexe 2 « Guide opérationnel du diagnostic ». Nous avons groupé par catégorie, les ratios qui analysent respectivement les trois volets (structure, activité et, rentabilité) en mettant en évidence : - Laspect analyse. - Le ratio. - Linterprétation du ratio et éventuellement les normes communes de son appréciation. 134 I- 4. De analyse 4 la synthése : Le terme d'analyse évoque, ici comme ailleurs, la résolution de l'entreprise en ses parties les, plus caractéristiques, dans le but d’accéder plus alsément & sa connaissance. La tache de lanalyste est de décrire, expliquer et éclairer l'avenir immédiat. La mise en forme du diagnostic est un exercice difficile mais capital. I! consiste tout & la fois & trouver le fil conducteur et dégager les traits essentiels. La mise en forme de la conclusion consiste a ne retenir que les traits portant un certain intérét pour I'établissement de la synthése. Pour le corps social qu'est l'entreprise, un certain nombre de paramétres sont conditionnels, aléatoires, occasionnels ou contingents. Ne retenant que les caractéristiques utiles, il faut savoir qu'elles ne valent elles-mémes que si elles sont ressoudées au tout. En effet, la superposition d'éléments isolés les uns des autres ne suffit pas & établir une Conclusion. Le travail de synthése consiste dabord a rétablir les liaisons fondamentales entre les éléments de l’analyse pour pouvoir formuler les conclusions. Nous proposons ci-aprés une méthode parmi dautres, permettant de visualiser les paramétres importants de notre diagnostic. 1 s‘agit du graphique en étoile (voir graphique du tableau de bord page n° 136), qui affiche la pente de lentreprise a partir d'indicateurs— clés représentés sur des échelles graduées. Sur la médiane de ces échelles seront indiquées des normes retenues et on situera les indicateurs propres & 'entreprise étudiée Nous avons retenu 8 indicateurs-clés qui sont : - Indépendance financiére ; ~ Taux des charges financiéres ; + Risque diliquidité ; = Capacité de désendettement ; + Taux de croissance ; - Taux d‘investissement ; + Taux de marge ; + Rentabilité financiére. On reliera par la suite, les différents indicateurs entre eux, de sorte que l'on trace un cercle. Lorsque le cercle tracé s‘inscrit en dehors du cercle médian, on dira que la situation est globalement satisfaisante. Dans le cas contraire, on dira que la situation de lentreprise n'est Pas satisfaisante et on pourra le démontrer & travers les indicateurs calculés. Par ailleurs, les tracés successifs, exercice par exercice, fournissent une perception instantanée du sens de I'évolution générale. En fait, 'analyste dispose d'une bonne marge dinitiative. Il pourra mettre en forme ses conclusions de la maniére pouvant le mieux concevoir et fonder ses jugements en fonction de repéres judicieusement choisis. 135 TABLEAU DE BORD Insepedane inanciove 160% 20% Rertabitsnanciere 807A nargs finances LANORME Taux de marge 50 Ligue 90% investiscement Desendettement Sans Cralssance 136 1-5. Cas particuliers Les entreprises ne sont pas les mémes, il convient alors de tenir compte des spécificités de quelques situations que nous analyserons ci-aprés : > Les entreprises nouvelles. ~ Les entreprises & activité saisonniare, ~ La grande distribution. ~ Activité 2 B.F.G. Les groupes. A. Entreprises nouvelles Les premiers exercices d'une entreprise nouvelle sont souvent financiérement difficiles avec des moyens financiers limités et qui ne permettent pas une grande marge de manceuvre. Les résultats initiaux tirent inévitablement vers le rouge ou médiocre sils découlent de contraintes techniques prévisibles et prévues dés le départ en matiére de premiers investissements, de frais d'installation, etc. Ainsi, lessentiel est d'éviter les dérapages par rapport aux objectifs chiffrés. Sinon, la réussite sera compromise. L’équilibre financier ne repose donc pas tant sur des standards de comparaison que sur la confiance des partenaires financiers et commerciaux. B.. Entreprises saisonniéres Linfluence de la saisonnalité peut s'exercer soit sur la production (les entreprises de conserves au Maroc par exemple), soit sur la commercialisation (industrie des jouets), le négoce pouvant également étre concemné. Les bilans ne représentent pour ces affaires ‘qu'une vue tronquée de lexpioitation, laquelle se caractérise par de fortes variations en cours d'exercice des composants de son B.F.G. On peut néanmoins, & partir de l'analyse de la saisonnalité, reconstituer des bilans financiers moyens et raisonner comme pour une entreprise a cycle court. Dans les entreprises industrielles, le risque d'exploitation est fonction de l'irrégularité de activité. Ces entreprises se caractérisent par I'existence d'un B.F.G permanent et d'un B.F.G cyclique. Classiquement, on considére que : ~ le besoin structure! doit étre pris en charge par le fonds de roulement. ~ _ les besoins temporaires peuvent étre couverts par des crédits spécifiques. En pratique, le fonds de roulement minimum est celui qui est nécessaire pour que Ventreprise soit en situation de trésorerie positive en fin de campagne, ce sera souvent equivalent d'un mois environ de chiffre d'affaires. Sagissant du négoce, un cas typique est fourni par le stockage des céréales. L'analyse basée sur les frais financiers s‘avére un peu fruste puisque leur niveau dépend en partie de la durée du stockage qui constitue précisément fa raison diétre de lentreprise. On contourne habituellement la difficulté, en ajustant les frais financiers par les majorations mensuelles qui en constituent la contrepartie. En outre, l'appréciation des fonds propres est biaisée par la sous-évaluation quasi générale des actifs immobilisés. Le meilleur indicateur est en définitive, le fonds de roulement pour lequel un seuil de 15 jours de chiffre d'affaires représente une sécurité convenable & la lumiére de l'expérience. 137 C. Grande distribution alimentaire Uanalyse des bilans des deux principales surfaces au Maroc nous a permis de constater quelques grandes modalités d'exploitation bien connues des hypermarchés occidentaux a savoir : - Ces entreprises dégagent une ressource de roulement (passif exigible > actifs circulant). ~ Cette ressource est habituellement convertie en placements de trésorerie et contribue largement a I'amélioration des profits de la grande distribution. Certaines firmes emploient ces fonds pour couvrir les investissements en actif immobilisé exposant leurs créanciers 4 des désagréments de retard de paiement. Cette typologie sollicite le concept de fonds propres passifs (servant de réserve de sécurité) ar opposition aux fonds propres actifs (utilisés en tant qu'instrument de financement). C'est donc le stock de fonds propres qui opére le clivage entre les entreprises saines et les autres, suivant une ligne qui se situe aux environs de 15 jours d'activité a condition que 'entreprise dégage une rentabilité bien établie et ne sollicite aucun concours bancaire D. Autres activités a B.F.G Nous nous intéresserons aux entreprises exposées 4 des risques techniques mais qui, parce que peu capitalistiques, pourraient théoriquement fonctionner sans fonds propres : ~ Entreprises bénéficiant d'avances pour la réalisation de grands contrats (ensembliers industriels, travaux publics), - Entreprises bénéficiant d'un financement permanent de Etat (commandes publiques). Elles se caractérisent par un total « avances + fourisseurs > qui surfinance le stock et permet de nourrir les créances clients. Cet état de fait comporte un risque latent parce que tout échec est une perte nette et qu'un financement sur avances est constamment vulnérable. On peut imaginer, par exemple, I'Etat restreignant ce type de « train de vie » ou réduisant ses programmes. La aussi, les fonds propres sont la bonne mesure de la crédibilité de ces firmes. Un seuil équivalent 8 un mois de chiffre d'affaires constitue un repére général quill convient de ‘moduler au cas par cas en fonction de lanalyse du risque. E. Les groupes + Au niveau locai, les analystes se heurtent souvent aux problémes issus de l'absence de la consolidation. Certains groupes se distinguent aussi par des montages financiers trés complexes qui entravent 'analyse, Chaque groupe doit étre analysé dans sa spécificité & aide des notes annexes et des rapports publiés : précisions comptables, portefeuille stratégique, choix technologiques, internationalisation, technostructure et projets. 138 + La démuttiptication des entités juridiques entraine des effets de structure qui accumulent les capacités d'endettement qui fausse toute appréciation. il importe donc de connaitre : ¥ la politique générale du groupe : degré d'indépendance octroyée & chaque entité ; va politique financiére : centralisation de la trésorerie, contribution aux services communs, autres redevances et royalties, politique de dividendes ; ¥ [a politique commerciale entre sociétés liées : prix de facturation (qui déterminent le lieu de sortie des résultats), délais de réglement intergroupe, refacturation de travaux, ete. 139 CONCLUSION Au terme de cette partie, il apparait clairement que la construction d'un outil de diagnostic Qui permettrait la conduite d'une analyse fiable obéit 8 des impératifs incontournables. La demarche danalyse est une démarche multidimensionnelle et ne peut se suffire a la seule analyse des données financiéres, en occultant les données de l'environnement externe et interne de entreprise. Aussi, la démarche d’analyse que nous avons exposé, se veut étre un diagnostic général de Ventreprise, partant de l'étude de son organisation interne et de ses relations avec ses partenaires, passant par analyse de ses performances & travers les résultats dégagés par ses états financiers pour enfin aboutir & une appréciation générale sur sa structure et sa stratégie ainsi que ses performances financiéres et économiques. Dans cette seconde partie de notre mémoire nous avons présenté les différentes approches, cadres et outils d'analyse que nous avons articule a travers un guide de diagnostic général Aussi, en guise de conclusion, nous donnons un schéma de l'articulation des différentes phases que nous proposons de suivre pour mener une analyse financiére. 140 PRINCIPALES PHASES DU DIAGNOSTIC FINANCIER | Définition des objectifs de Vanalyse ] eee ery ee cee OO “| Choix de I'approche d’analyse : | | Choix du cadre d’analyse : | Approche patrimoniale | | - Cadre statique | - Apprache fonctionnelle | - Cadre dynamique Prise de connaissance générale de l'entreprise: |__| Premiéres impressions : ~ Fiche signalétique | |. Détection des risques | | - Organisation générale >| inhérents a lentreprise et - Fonctions de entreprise : commercial, | | & son organisation approvisionnement. générale Lo Travaux préparatoires : ~ Collecte des documents | | + Inspection | - Retraitements - Bilan et CPC retraités Bilan financier + Tableaux des flux — yo Travaux d’analyse : | Résultat des travaux | ~ Calcul des grandeurs | ~ Mise en couvre des ratios Synthése et | recommandations 141 | PARTIE III A nalyse des situations financiéres des entreprises TROISIEME PARTIE : ANALYSE DES SITUATIONS FINANCIERES DES ENTREPRISES INTRODUCTION Les mutations que connait "économie mondiale a la fin de ce siécle ont entraing des changements radicaux dans l'environnement de lentreprise marocaine, rendant ainsi sa situation plus précaire qu’elle ne I'a jamais été. En témoigne les difficultés des produits marocains a slimposer sur des marchés étrangers qui leur étaient acquis auparavant, Les causes en sont multiples ~ L’émergence de nouveaux pays tels les pays asiatiques qui offrent des produits devangant les ndtres, aussi bien sur le plan de la qualité que sur celui du prix ; ~ Labsence, dans les entreprises marocaines, d'une stratégie commerciale planifi¢e pour préserver les acquis et conquérir d'autres marchés étrangers ; ~ Le manque d'innovation et 'absence de standards de qualité au niveau du processus de production, etc A cété de ces problémes d'ordres technique et commercial qui handicapent nos entreprises, il en existe d'autres, dordre structurel, qui empéchent tout autant leur développement, savoir ~ La fragilité des structures financiéres ; ~ Labsence d'indicateurs monétaires et physiques susceptibles d’éclairer les décisions des managers. Dans cette partie, nous mettrons l'accent sur ces deux problémes pour faire le constat partir des résultats de deux enquétes sur 1. Les principaux problémes de structure et de gestion a partir d'une étude menée sur un échantillon dentreprises industrielles marocaines ; 2, Lusage que fait la profession comptable de Vanalyse financiére, en tant quoutil puissant permettant Y De révéler tes forces et faiblesses des entreprises ; vy Daider les dirigeants des entreprises & forger des décisions fondées et, prises en connaissance de causes, Nos conclusions seront également fondées sur les résultats d'une enquéte menée auprés des experts comptables membres de /Ordre. 143 Pour pouvoir faire le constat actuel sur la situation et la gestion financiére des entreprises marocaines et sur les outils du diagnostic, et d'aide la décision que mettent en ceuvre les cabinets, nous avons privilégié l'étude sur le terrain. Pour ce faire, nous exposerons, dans cette partie : ~ Les méthodologies de l'étude auprés des entreprises ainsi quauprés des cabinets ; + Les résultats de ces études ; A lumiére de ces études, nous émettrons également un certain nombre de recommandations our suggérer des solutions aux problémes relatifs & I'évolution de linformation comptable et financiére au Maroc. 144 Chapitre I - METHODOLOGIE D'ANALYSE La collecte dinformations relatives 4 une population statistique peut étre effectuée soit sur une base exhaustive, soit seulement, sur une fraction de la population. Les enquétes exhaustives ou recensements consistent dans l’observation de la totalité des individus composant la population. Naturellement, lorsque la taille de celle-ci est élevée, de telles enquétes prennent énormément de temps et sont extrémement cotteuses. Dans notre méthodologie, nous avons opté pour les enquétes par sondage qui consistent en "observation d’uniquement une partie de cette Population. Cette technique est utilisée généralement lors de la réalisation d'études inductives, c'est 4 dire qui visent 4 observer le Comportement d'un échantilion vis-a-vis du phénoméne étudié pour en généraliser les résultats sur ensemble de la population. Les enquétes par sondage n’ont dintérét que si cette fraction est choisie de telle sorte qu‘elle soit représentative, autrement dit, de facon Que les informations collectées puissent étre étendues & l'ensemble de la population. On est ainsi confronté & une multitude de questions ~ Comment définir I’échantillon pour quill fournisse des informations s'apparentant a celles que l'on aurait obtenues par un recensement de la population entiére ? ~ quel degré de confiance peut-on accorder a ces informations ? ~ et quelle sera la qualité des résultats. Nous présenterons ci-aprés les méthodologies d’approches que nous avons adoptées pour la réalisation des deux enquétes Section 1. LA METHODOLOGIE DE L'ETUDE AUPRES DES ENTREPRISES I - DU DIAGNOSTIC AU PROBLEME : Cette étude se fixe comme objectif de corroborer un certain nombre de constats déja observés dans les entreprises marocaines, savoir + Une sous capitalisation : Les fonds propres sont trop limités pour garantir la survie de lentreprise en cas de difficultés financiéres. + Un financement peu diversifié : La prédominance d'un financement bancaire, en grande partie ou en totalité, & court terme. + Peu d'autonomie financiére : Due la prépondérance d'un financement externe qui limite la marge de manceuyre des dirigeants, + Une grande dépendance : \ 'égard du marché intérieur national. + Labsence de diversification : Les produits, les activités et la clientéle sont peu diversifiés, augmentant ainsi le degré de dépendance de lentreprise et Ie risque de cessation d'activité * 4a non maitrise des cotits : Difficultés de maitriser les diverses composantes du codt de evient dues a linexistence d'une comptabilité tournée vers la gestion. 145 I- ROTOCOLES D'ENQUETE : Il - 1. L objet 4 observer : (La population) Il s‘agit de déterminer la population a étudier. Venquéte porte sur une population de 6 250 entreprises recensées dans l'étude annuelle sur les industries de transformation de 'exercice 1997." Le choix de cette population est dicté par les motivations suivantes : 1. La possibilité de pouvoir tester la validité de notre canevas du diagnostic financier @laboré dans la deuxiéme partie de notre travail. Ce canevas a été concu pour étre appliqué a toutes tes activités. En outre, les entreprises industrielles intégrent accessoirement, les activités de négoce. Nous pourrons donc, a travers Vanalyse des structures des entreprises industrielles, tester la validité de cet outil pour les deux activités simultanément. 2. La disponibilité de données sectorielles sur les industries de transformation au Maroc, 8 partir de Venquéte menée par le MCI. Cette étude nous a servi comme repére pour vérifier la cohérence des résultats dégagés par notre enquéte. 3. Lindustrie de transformation est fa plus représentative du tissu industriel marocain, elle en constitue la majeure partie. II - 2. La constitution de l’échantillon : Les entreprises ont été regroupées en 18 branches d'activité (habillement, alimentation, Chimie, boissons, cuir...) et stratifiées par paliers de chiffre d'affaires allant de 100.000 a plus de 20.000.000 Dhs. Chaque branche d'activité est décrite par cing caractéres - le nombre d’entreprises ; - Veffectif des employés ; - le chiffre d'affaires ; - la valeur ajoutée ; - linvestissement. A titre d’exemple la branche de «Ihabillement » représente 25% de leffectif total des empioyés et 8% de Investissement contre seulement 2% et 4% respectivement, pour la branche du « matériel électrique et électronique ». Nous avons ainsi pour les 18 branches dactivité, 5 types dobservations correspondant au nombre de caractéres d’appréciation choisis. Nous aboutissons ainsi a une série statistique multidimensionnelle, a (18; 5) dimensions. Pour pouvoir s‘assurer de la représentativité de notre échantillon dont nous avons fixé la taille 4 100 entreprises, nous avons procédé a sa répartition sur les branches qui composent la population en appliquant la méthode des quotas qui permet de retrouver dans léchantillon fa méme structure que celle de la population. * Enquéte menée par le ministére de commerce et de lindustrie 146 Partant de lidée que tous tes critéres ont le méme degré dimportance, cst & dire quill n'y a as un critére dominant par rapport aux autres, la part de chaque branche (exprimée en Pourcentage) pour chaque critere sera considérée comme une sorte de note altribuée & cette branche. La somme des notes attribuées 8 une branche pour l'ensemble des criteres constituera « le score de la branche » : ( voir tableau page n° 148) Cest en fonction de ce score que nous allons pouvoir classer les branches et déterminer le Poids de chacune delles dans l'ensemble de la population. Notre échantillon sera alors sélectionné compte tenu du poids de chaque branche mesuré Par la combinaison des cing critéres. Le critére de volume du chiffre d'affaires a été retenu comme indicateur de la taille de Ventreprise (micro, petite, moyenne, grande). Il va nous servir done, pour opérer une seconde répartition de échantillon & lintérieur de la branche: Cette répartition permet de ventiler Veffectif de ’échantillon selon la taille des entreprises de la population. Ainsi, les entreprises de la population seront classées par strates du chiffre daffaires et par branche, la taille de échantillon par strate du chiffre daffaires sera proportionnelle a celle de la taille de la population. (voir tableau page n°148) 147 bt [oot | 00s | oor | enoo | oor %e00T yooot | ren : 0 lama %0 0 ~ | %0 |__sesaunpesnuew saunsnpui sanny, Sie yaeea C hb [me | we | ms = HE “__aabsetd no snowpinoe> us sajaniy 1 | wt %9T wot | Ke Gl aiwiypeied 79 a]WIYD e| ap suNpoug Lo z | xo %0 wo | mt! %0 | suewnsui a neaing ap saunsep| Loe Tw Geom |e ll | None 2 __ me [__anbluonsar ve anbusse auoren) | dee st | %e | %S %E We __ %e __bodsuey ap reuse) aS %I %T Ht ms | set [_ auewodinbayp jaupew 29 sounpen s | %S | %b %S Sol | _%S | xneyewi ua saBesnno) i ’ %0 i Tie sale %O | %0 | seq ap sanbijex9w saunsnpuy uw ee wor | %e we | we | ne UN Sap STs) spo (arcane %S _% | %s |} bb 2uewiudiu ‘uoLeD selded Lo %t we we | KS oz BUBUUER no 510g Ue SaPILE sIO | %t | | Ob %E no ua seunssneup 9 sapaie un9) ict etc HE we | me | met | 652 |__saunssney so} nes quewayiqeH| Lom | ss | wer |e |e wrt | %S1 __aua.@UUOG 39 aIRXa} SMpOLg, | se |e | wer | me %t we = Ege 38 suossiog zt 09 | OT sot Lt soot | met [ Seueiuauune saiasnpul sonny 6 | el me | wer | %ST { %9 [ auewaune ainsnpuyy 2p sunpoid) quowessnsonut| wa | w9__|sas/a aiquion| spAojdwio synooya | | _vourweyoa] a1095 SOI0N saypuerg SUIALLOV.G SHONVYG YVd NOTILLNVHD3,1 3G 41193443,7 3d NOLLWNIWYaLaG eet [ieesres [eee a saat ee zs ce | “ a d sap snssi_—_sunpoug| fos | +t | o [oo oo cee eee a | Tor ss ot 6b os [ws | d usu! ‘vowed saideg _z 0 o 9 | 0 [4 1 o 2 auauuer eve Ed a 9% BE | a d___|ho_stoq ua samme siog z 0 “0 o | o | + | 4 to] oa | sino ay osz az 8z cc | bb so | om | lcs d ‘somnssneu> 19 ‘sajae sind) z L z 2 é 2 fot a lg saunssney tee 8 66 ft | ost | mt | ews nes auawiayiqely w]e | ee ee os aaa | vee zr +8. oor set | sor | tg og omer sunpoug “ 9 Tt aio o | 0 ° o 32 oc | a 1 Cie eee o | ft a | Dege1 12 suossiogl La e | 2 | 2 [iz 1 r I af cove Tom | os se se eevee |eeares @ —_|sarsnpur _ 6 soto I tof 4 o | o | 3 a cemeal Eeter st § a 4 2p _sinporg sje) j 1 —— uowmaerpa WAIOL 3° 00007 |66661-0000T 6666-0005 666r-0007 | 666T-000T | 666-005 | 66b-00T eed a ee | SaUIVdAV, FY4dTHO NG Y3IITIVd Yd NOTILLNVHDA,1 3G 41193443,1 3d NOLLVNIWYaLaG ost 0 | 0 o [To To [oa sarqumpeynueul t los s 8 s | os 4 /sausnpur senny| 0 [oot r r | oo 0 a anbaseyd z _% | os & 62d ho anoymnoes ua samy) s zo| 1 7] ey | anuypered 8 sx | ow | « | os [| o 4 B2 aiuuiy> ©} ap synposg) o o io | o [| o | o 3 s TESs cee |= | | d 8_nesing_ap_sauypen| 1 ° a [ot 0 ° 3 anbyuo2a ze | st ow | oe fe 9 | 4 pe enbupai —_jausren) 1 {4 I ° 0 o 3 ze [ a aw | a 6 | __vodsuea ap rouse o 0 0 T | o | 4 2 vont oz | EeemnTe) ss $s & | 6s | d upIeW 1 seuIUDe, L poi eer 1 I o J o | 3 sor 6s sw | ss oo | ow Zz L —o {| o | o | » Foo [6 a | aseq] ome tlt EG 1 t | oo d lap _sanbyrerpw saynsnpur) (said 7 — T aueID3 : 3 | |_IWLOL | 3° 00002 '66661-0000T| 6666-0005 | 666>-0007 666T-000T 666-005 | 66¥-00T |uoneIndog: | euanse.p sayouerg (4LINS) Sautvadv.G 344TH Na UIITIVd Yd NOTILINWHDA,1 3a 41193443/7 3d NOLLWNIWYaLIG II - 3. L instrument dobservation : Vanalyse de la situation financiére des entreprises de 'échantillon a été faite & partir des données de leurs états de synthése comptables sur une période de trois années (de 1996 4 1998), La saisie et analyse ont été faites 4 partir d'une plate-forme logiciel (voir annexe 1) dans laquelle nous avons intégré Des grilles de saisie conformes @ la liasse du plan comptable marocain ; ~ Des grilles de saisie pour introduire des données et des informations complémentaires Pour effectuer des retraitements sur les comptes ; ~ Des grilles de résultats qui permettent de concevoir des états complémentaires, autres que ceux prévus par le P.C.M, pour les besoins de l'analyse ou, pour calculer des ratios ou grandeurs; Un modéle d’agrégation de données qui nous permet, a titre d’exemple, de mener des analyses sectorielles. II - 4. Dépouitlement et analyse des données : Les données introduites dans la plate-forme logiciel nous ont permis de générer pour chaque entreprise les états suivants - Le tableau de flux ~ Le bilan financier + Le tableau des grandeurs financiéres - Les ratios. Les objectifs et les modalités de construction de ces états, les grandeurs et ratios ont été exposées dans la deuxiéme partie de notre mémoire, Chapitre I - Elaboration d'un guide de diagnostic financier, page n° 110. Uinterprétation des résultats a été faite 4 partir des données agrégées par secteur d’activité selon les modalités suivantes : ~ Groupement des entreprises par branche d'activité. ~ Groupement des branches d’activité par secteur (voir tableau page n° 152). Les états de sortie agrégés par secteur d’activité (Le tableau de flux, le bilan financier, le tableau des grandeurs financiéres et les ratios) sont exposés dans l'annexe II Le nombre d’entreprises par branches et par secteur d’activité "Nombre | Noi | Branches d'entreprise | d'entreprise { pee par branche _| par secteur Produits de la chimie et de la parachimie | iL Papier, carton et imprimerie — Y 22 Articles en caouttchouc et plastique | Bois articles en bois ou vannerie ~~ [Produits des industries alimentaires | Secteur agro- -—— Se , v4 Boisson et tabac 39 alimentaire a Autres industries alimentaires | | Produits issus des minéraux | ~ | Habillement Textile, confection 25 Cuir articles et chaussures en cuir | Ouvrages en métaux oO Secteur fo mécanique et | tel de transport wu métallurgie Industries métalliques de base Machines et matériel d’&quip. Autres industries manufacturieres oO [Secteur i - a électrique et }——4—-— 3 électronique Total 100 100 Les résultats de Vanalyse font objet de la troisiéme partie, Chapitre II -Section 1 . RESULTATS SECTORIELS DES INDUSTRIES DE TRANSFORMATION page n°159. 152 Section 2. LA METHODOLOGIE DE L'ENQUETE AUPRES DES CABINETS I - DU DIAGNOSTIC AU PROBLEME : Les cabinets d'expertise comptable se sont longtemps cantonnés dans un réle de production de comptes et de traitement des événements historiques. Les attentes et les besoins des clients ont beaucoup évolué, en témoigne les appels doffres se rapportant & des missions d'audit dont les cahiers de charge intégrent, en plus de la mission d'audit, des missions spécifiques telles étude du systéme dinformation comptable et la proposition de recommandations pour son amelioration, analyse des performances techniques, commerciales et financiéres... Dun autre coté, et d'aprés des entretiens avec des chefs d'entreprises, nombreux ceux qui estiment que les cabinets dlexpertise comptable ne devraient pas se limiter uniquement & produire ou & émettre une opinion sur les comptes, ils souhaitent que les cabinets jouent également le réle de conseil et siimpliquent plus dans la gestion, notamment par la mise en place de systémes informations sur lequel, ils pourront s'appuyer pour forger leurs décisions. Conscients de la mutation qui doit s'opérer dans la profession, dans le sens oii elle est appelée @ slinvestir davantage dans le conseil en gestion et tre plus 8 l'écoute des problémes des clients, nous avons mené une enquéte auprés des cabinets d'expertise comptable afin - Diapprécier le degré de recours au diagnostic financier comme outil de travail pour la réalisation des missions de nature financiére ; Collecter des informations sur la contribution de l'analyse financiére en tant qu’outil mis en ceuvre pour conseiller et éclairer les clients sur la gestion et la situation financiere antérieure et future de leurs entreprises ; - _Recenser les moyens humains et matériels dont disposent les cabinets pour la réalisation d'un diagnostic financier. Notre enquéte a porté sur 220 cabinets d’expertise comptable (données tirées & partir des listes établies par "Ordre des Experts Comptables au Maroc) répartis sur les principales villes du royaume (Tanger, Rabat, Casablanca, Salé, Kénitra, Fés, Meknes, Oujda, Marrakech et Agadir) II - PROTOCOLES D’ENQUETE : IL- 1. Objet 4 observer : Population Vu le nombre assez réduit de ces demiers, la constitution d’un échantillon ne sera pas nécessaire, nous avons étendu 'enquéte a l'ensemble de la population des cabinets. IL - 2. Linstrument d’enquéte : Notre instrument d’observation est le questionnaire. II comprend 9 questions de différents types : 153 Fermées dichotomiques (réponse par oui, non ou sans opinion), Fermées aux choix multiples sous forme de cases & cocher par le répondant. Semi-fermées aux choix multiples avec réponses ouvertes 8 compléter. (Voir le texte du questionnaire page n? 156) 11 - 3. La méthode d'enquéte : Nous avons utilisé un mailing pour faire parvenir les questionnaires aux cabinets. Il - 4. L enquéte pilote et cadrage définitif : Dans une premiére étape, le questionnaire a été envoyé a un nombre réduit de cabinets qui ont accepté de se soumettre aux tests de vérification de la formulation et de la compréhension des questions, puis, l'envoi a été généralisé & ensemble des cabinets aprés réajustement du questionnaire Il - 5. Recueil et communication des résultats : Le dépouillement des réponses ainsi que les résultats sont exposés dans le Chapitre I - Section 2 . RESULTATS DE L’/ENQUETE AUPRES DES CABINETSpage n° 191 154 ‘Schéma de la démarche adoptée pour I'enquéte auprés des cabinets Du RECHERCHES PREALABLES Exi x LOBJET A OBSERVER | La population eee) |_ on ee i | RECUEIL DES INFORMATIONS BRUTES ENQUETE PILOTE ET CADRE DEFINITIF DEPOUILLEMENT ELEMENTAIRE INTERPRETATION DES RESULTATS : DIAGNOSTIC AU PROBLEME Objectifs de t'enquéte atoires/documentaires a — LIINSTRUMENT | Le questionnaire Ly 7 r t _ lees LA METHODE | Le mailing y Tri | Wd Rapports 155 LE QUESTIONNAIRE 1. Dans quelle mission avez-vous recours au diagnostic financier comme outils de travail ? 1. Conseil de direction (commentaires résultats et gestion) 2, Definition et suivi des outils de comptabilité de gestion 3. Business plan 4. Etablissement des situations comptables intermédiaires 5. Etablissement budget prévisionnel 6. Amélioration de la performance opérationnelle d'une structure 7. Audit des assurances de lentreprise 8. Montage des dossiers de financement 9. Audit d'acquisition 10,Réalisation d'études économiques sectorielles 11.Diagnostic concurrentiel / stratégique 12.Mise en place d'un systéme de gestion de trésorerie 13.Reporting des états financiers anglo-saxons 14,Consolidation des comptes 15.Mission de transmission / restructuration 16.Audit financier 17.Redressement d'entreprises on difficultés 18.Les arrétés de comptes de fin d’année comptable 19.L’analyse financiére des entreprises 20.Mise en place d'un tableau de bord 21.Contréle de gestion 22.Dossier financier 156 Oui Non Sans opinion a c goa 2. Fournissez-vous 4 vos clients, 4 partir d'une analyse de leurs comptes, des informations susceptibles de les éclairer sur la gestion et la situation financiéres de leurs entreprises J Systématiquement 1) souvent i Sur demande du client i Pas du tout (1 Non appliqué 3. Si vous disposez d'un canevas ou grille de diagnostic financier que vous utilisez lors des missions, votre canevas est-il : Modulable a la nature de la mission Modulable a activité du client Standard Non appliqué. Oooo 4. Si vous disposez d'un programme ou progiciel d’analyse financiére, ce progiciel est-il | Intégré a votre programme ou progiciel de comptabilité 1 ‘Adapté au plan comptable marocain Génére-til un rapport financier comprenant les commentaires et les grandeurs a calculées. Non appliqué. ao Pour déterminer des grandeurs financiéres 4 partir des comptes du plan comptable marocain, préalablement, procédez-vous (Beaucoup de retraitements t Peu de retraitements a Pas de retraitements o Non appliqué. 6. Les résultats dégagés par votre diagnostic financier font-ils objet d'une comparaison aux résultats Des autres années du méme client D’autres clients ayant une activité similaire Non appliqué. 7. Quels sont les outils que vous utilisez lors du diagnostic financier ? ag Ratio Qo Tableaux des flux (tableau de financement...) C Grandeurs financiéres (Fonds de roulement, Besoin de financement global, Trésorerie ..) Autres a préciser oO Non appliqué. 8. Disposez-vous de compétences humaines au sein de votre cabinet pour mener a bien un diagnostic financier Q Oui a Non Oo Non applique. 9. Lors d'une mission, si un diagnostic financier doit étre mené, est-il confié 4: Réalisation Interprétation Assistant c Responsable de mission Directeur de mission ‘Autre a préciser Non appliqué 158 " Chapitre It - RESULTATS DES ENQUETES Section 1, RESULTATS SECTORIELS DES INDUSTRIES DE TRANSFORMATION I - SECTEUR CHIMIQUE ET PARACHIMIQUE Notre analyse des performances des entreprises du secteur chimique et parachimique fait ressortir les caractéristiques suivantes : + Secteur en phase de développement : Stratégie axée sur l'amélioration et la croissance des investissements ; + Assise financiére satisfaisante en terme de fonds propres nets ce qui induit un faible| recours a 'endettement extérieur ; * Conditions d'exploitation satisfaisantes qui se manifestent & travers une bonne gestion des actifs 8 court terme ; + Faible intégration des activités du secteur. + Les activités d'exploitation dégagent peu de ressources internes d’ou une rentabilité des fonds propres nets trés faibles par rapport au taux de placement. I-41. La structure A.. Les équilibres financiers : La part des fonds propres [ 1996 | 1997 | 1998 | Moyenne nets dans le total bilan -——————|—____. a ap = (R1) a enregistré une io [ B% econ ious amélioration en 1998, 42% a% 5% 4% | 4% | contre 35% en 1996. — oc R19 45% salaire, est pratiquement la _| méme sur les trois années, | R20 nae 19% en moyenne. Située 2 R24 5% | un niveau plus bas que le - = ——t a seuil optimum de 33%, elle | R22 46% 64% 57% =| 56% nous permet de constater '—-R2q | 33% | 33%) 38% | ern que cette industrie ne consomme pas beaucoup Tableau 6 : Les ratios de la répartition de la V.A de main d’ceuvre. En effet sur la période 1996-1998 ce secteur n’emploie que 9% de I'effectif total de l'industrie marocaine.? Le coefficient de productivité globale (R19) (humain et machines) est de 45% en moyenne. Ce niveau est jugé satisfaisant puisqu'l permet de constater que la rétribution des deux facteurs travail et équipements n’absorbe que 45% de la V.A. La rémunération des capitaux externes (R20) absorbe 10% de la V.A indiquant par ailleurs une importance relative du service de la dette Dans le méme sens ’autofinancement (R22) représente 56% de la V.A ce qui démontre la capacité de ces entreprises & dégager des ressources internes subséquentes. En se situant @ 34% en moyenne, le taux de la V.A par rapport & la production (R24) démontre importance de la consommation qui absorbe 66% de la production. L’analyse de la consommation permet également de constater que le cot des mati¢res premiéres représente plus de 94% de la consommation ce qui est jugée normale pour une telle activité. C.E.S.G en pourcentage du C.A Situé @ environ 34%, le 1996 [| 1997 | ratio (R26) qui mesure le | —_._— = sat} aa) degrédiintégration des Eze eel | ccacce moos Soom opérations de production en R27 26% 26% 27% | 26% rapportant la VA a la —__ 1998 | Moyenne production, est. jugé_ trés | aa i faible et dénote une faible "R29 3%) 10% | a intégration des diverses —— activités du secteur. L R30 13% 18% 16% 16% Tableau 7 : Les ratios des E5G en pourcentage du CA Le taux de marge brute sur la période 1996-1998 d'exploitation (R27) qui mesure la part de I'E.B.E dans le chiffre d'affaires est jugé 4 un niveau normal (26%). Cet indicateur démontre que le secteur arrive 4 dégager des ressources internes a partir de ses activités principales. Le méme constat est a faire 4 propos des trois ratios (R28), (R29) et * Statistiques du MCI (1997) 180 (R30) qui rapportent respectivement le résultat d’exploitation, le résultat net et la C.A.F au chiffre d'affaires. IV - 3. La rentabilité A. Rentabilité économique Le taux (R31), appelé le [ 1996 | 1997 | 1998 ' Moyenne taux de marge, rapporte |— ee VEB.E la V.A, Ce ratio en | cee (Eee s'établissant & 77%, permet R32 27% | 19% 21% | de constater importance —t |_| | — des ressources internes He | 9% | Fl | 92% sécrétées par exploitation Tableau 8 : Les ratios de la rentabilité économique Ii est @ signaler que cette sur la période 1996-1998 situation s‘explique par le faible poids des charges du personnel situées en aval de la V.A et en amont de IE.B.E. VE.N.E (voir le tableau de flux page n° 98) qui représente le surplus disponible aprés rémunération de ensemble des facteurs de production rapporté au capital économique, permet de mesurer la rentabilité des emplois investis (R32). Ce ratio est jugé satisfaisant (22%) Le ratio (R33) rend compte de la stabilité des performances des entreprises du secteur par la mesure du risque économique. Situé a 91% en 1998, soit un niveau de risque plus élevé que le seuil (100%), elle traduit lincapacité du secteur a améliorer ses performances globales, B . Les intéréts en pourcentage du profit global Le (R34) mesure Le poids | 1996 | 1997 1998 | Moyenne | des charges _ financiéres ; 130967} agsg dans IE, BE En baissant au Le ae aus oo | ee fil des années sans franchir Tableau 9 : Le ratio charges financiéres en % de VE.B.E le cap de 50% (19% en sur la période 1996-1998 moyenne), il démontre le niveau raisonnable du service de la dette. Uamélioration de ce taux s‘explique aussi bien par la bonne tenue de la marge brute (R31) que par le niveau constant des charges financiéres (R20). C. Le taux d‘intérét Vu le niveau du taux 1998 | Moyenne | dintérét_ (R35), 18% en —— a a moyenne, on esten mesure | _R35_— [19% | ToH [Tae | Ta daffirmer que le coat de Tableau 10 : Le ratio du taux d'intérét Vendettement est trés sur la période 1996-1998 élevé, voire méme anormal comparativement aux taux pratiqués. 181 D.. Rentabilité des fonds propres Le (R36) mesurant laf “1996 | 1997 1998 | Moyenne | a S des ig |__| a 7 rentabilité des fonds nae Ae ia io oe propres par rapport au | _| résultat net dégagé, est ; satisfaisant par comparaison aux taux de placement des marchés bancaire et financier. E.. Rentabilité des capitaux engagés Le ratio (R38) qui mesure [ 1996 1997 1998 | Moyenne | la rentabilité des capitaux |-—— et ag tt engagés (internes_— at a externes) nous semble We 41% 32% aussi encourageant quil est an 7 5 saa le ratio (R36). Situé a | [eee a eee ee Buk 14%, il traduit la capacite Tableau 11 : La rentabilité des fonds propres du secteur a rétribuer aussi sur la période 1996-1998 bien les préteurs internes quiexternes. La décomposition de ce ratio comme suit : | ~~ Solde financier ~~ Solde financier x Capital économique VA Capital économique (R38) (R37) Ra) - Solde financier / V.A est un taux de marge, - VA / Capital économique constitue le coefficient de l'efficacité économique. permet d’expliquer cette rentabilité par la conjugaison des deux facteurs suivants : Une rotation du capital économique moyenne (43%) + Un taux de marge confortable dégagé par I'activité hors charges financiéres (33%). F . Flux de trésorerie (tableau de flux) (R39) signifie que les fonds [7 __ | 4996 | 1997 | 1998 | Moyenne Propres mis en ceuvre |p ga} oe ge | Sop cowwrent."Targement. tes | R39 | 742% | @H [3 | HI | besoins de lexercice (B.F.G “Tableau 12 ; Le ratio de flux sur la période 1996-1998 et investissements), 113% en 1998. 182 V - SECTEUR ELECTRIQUE ET ELECTRONIQUE Notre analyse des entreprises du secteur fait ressortir les caractéristiques suivantes : + Une assise financiére peu satisfaisante qui se manifeste par la faiblesse des fonds propres nets ; + Un équipement vétuste mais avec une tendance de renouvellement ; * Des conditions ¢’exploitation difficiles qui se traduisent par une gestion a court terme ot la marge de manceuvre est tres faible et, par conséquent des besoins dexploitation importants ; * La prédominance du financement a court terme ; + Une faible intégration des activités du secteur caractérisé par ‘importance et la cherté de la matiére premiere ; * Des ressources internes dégagées par exploitation non négligeabies ; + Une rentabilité des fonds propres nets trés importante. V- 1. La structure A. Les équilibres financiers : La part des fonds propres [~ 1997 | 1998 | Moyenne | nets dans fe total bilan (R1) est quasiment | 4 coe ees | stagnante sur les_trois | R2 8% 8% années de référence (21%). | fe ae a » R3 37% | 39%) 37% | Ce ratio est jugé trés faible Raq} a 20% | 16% | 18% | Lannée 1 1 1 fixé par les créanciers ou bailleurs de fonds (25%) es ratios de Féquilibre financier Par extrapolation, nous sur la période 1996-1998 Pouvons conclure que les sociétés de ce secteur ne disposent pas d'une assise financiére satisfaisante, Tl est fait référence ici au statut sécurisant de la surface financiére de ces entreprises. Le taux de dépendance financiére, (R3) qui permet de comparer entre endettement a terme et les fonds propres nets ne dépasse méme pas les 40% ce qui est loin du seuil limite de 100%. Le ratio (R4) que nous avons intégré comme barométre dappréciation de I'endettement Global (tous termes confondus) par rapport au total bilan se situe 8 18%. 183 La combinaison des deux ratios (R4) et (R1) permet de comparer 'endettement global par rapport aux capitaux propres nets. Ce ratio est de ordre de 85% en moyenne. Nous Pouvons done déduire les types de financements adoptés par le secteur 43% du financement est assuré par des crédits & L.M.T. 57% du financement est assuré par des dettes a court terme. Le financement des emplois toute origine confondue est assuré par des crédits & court terme, d’o la caractéristique principale et dominante du financement utilisé par les entreprises marocaines B. La liquidité Le ratio (R6) confirme le recours & l'endettement @ - court terme pour le R6 7 | eo financement partiel du Tableau 2; Les ratios de risques d'illiquidité BAG. La couverture du ‘sur la période 1996-1998 financement du B.F.G par le F.R.F ne dépasse guere les 74%. L’ajustement des équilibres financiers est fait par le recours aux diverses lignes de crédit de trésorerie (escompte, découvert etc....). Notons par ailleurs l'excellente tenue du ratio qui démontre un faible risque d'lliquidité face aux contre-coups éventuels de lexploitation. Ainsi le F.R.F en tant que ressource stable permet de couvrir plus de 70% du B.F.G. C. Liinvestissement en outils Le ratio (R7) permet | 1996 1997 1998 | Moyenne dapprécier. le degr dinvestissement en rapportant' le cumul des "7 p/eau 3: Les ratios de mesure des investissements amortissements aux total bei 1996-1 des immobilisations brutes. eee Il permet par ailleurs de mesurer le degré de vétusté des équipements. Ce ratio accuse un recul soutenu sur la période de référence, de 62% a 56%. Cette évolution permet de conclure que les équipements : 56% 58% - Sont d'un age relativement avancé ( plus de fa moitié de leur durée de vie) = Se renouvellent constamment (8 partir de 1997), vu la tendance baissiére de ce ratio D. Le rendement apparent des équipements Le taux de Tintensité [ 1996 1997 1998 | Moyenne | capitalistique (R10) est de — boar aT — Yordre de 49% en 1998 R40 ees eon accusant ainsi une baisse | R14 | 63% 70% [ 63% | 65% de 5 points par rapport a | 1997 (54%). La faible es ratios du rendement des équipements intensité capitalistique peut (ta période 1996-1998) nous renseigner sur la faible densité du capital immobilisations et, sur la nature des Squipements (Iégers) dans l'industrie du secteur électrique et électronique au Maroc. 184 Le taux de rotation du capital économique (R411) se situe 8 65% en moyenne (inférieur au seuil de 100%). A. L'investissement en cycle Uanalyse de activité 1996 | 1997 montre que si les délais de réglements —_ fournisseurs R12 113) 80) (R15) se situent a un R130 15) 9 niveau trés _ satisfaisant | ——______} — esp (entre 4 et 5 mois) ceux | R14 124} 152) des clients (R14) R15 181 i593 | observent las méme s tendance et se situent | R16 pa] | toa) i quasiment au méme niveau "Tableau 5: Les ratios de délais moyens (4a 5 mois). sur la période 1996-1998 Diapres notre connaissance du secteur, ces délais, sils apparaissent longs, ne nous semblent pas anormaux vu Vimportance en valeurs des transactions et la faible surface financiére des entreprises du secteur, La vitesse de rotation des stocks des produits finis (R13) est sensiblement constante ne épassant pas 1 mois. Ce délai trés court de rotation de stock des produits finis nous permet de penser que les entreprises de ce secteur adoptent une gestion commerciale par commande, Toutefois, la vitesse de rotation des stocks de matiéres premiéres (R12) est plus lente Puisqu’elle est de Vordre de 86 j. Ces tendances confondues permettent de constater que le secteur affiche : ~ des conditions d’exploitation difficilement gérables. ~ Une gestion & court terme ol, ja marge de manceuvre est trés faible. Cette situation se confirme par 'analyse de 'évolution du B.F,G qui représente en moyenne Presque 100 j de chiffre d'affaires (R16). 185 B . Répartition de la V.A 1997 | 1998 La productivité apparente Moyenne du travail (R18) mesurée 8 partir de la valeur ajoutée dégagée par unité de salaire, est de ordre de 50%, dépassant largement le niveau souhaitable de 33%. Toutefois et par R24 32% 29% 29% | 30% | comparaison aux autres _ : . 7 secteurs de l'industrie de Tableau 6: Les ratios de la répartition de la V.A transformation marocaine, sur la période 1996-1998 ce taux est jugé moyen puisque le secteur n’emploie que 8% de la main d’ceuvre totale ! Le coefficient de productivité globale (R19) (humain et machines) est de 70% en moyenne. Ce niveau est jugé élevépuisqu'il permet de constater que la rétribution des deux facteurs travail et équipements absorbe 70% de la V.A, La rémunération des capitaux externes (R20) absorbe 8% de la V.A, indiquant par ailleurs un niveau raisonnable du service de la dette. Dans le méme sens lautofinancement (R22) représente 31% de fa V.A ce qui démontre la capacité de ces entreprises 4 dégager des ressources internes, En se situant @ 30% en moyenne, fe taux de la V.A par rapport & la production (R24) démontre l'importance de |a consommation qui absorbe 70% de la production. L’analyse de la consommation permet également de constater que le colt des matiéres premigres représente plus de 87% de la consommation, ce qui est normale pour une activité industrielle de ce type. C.E.S.G en pourcentage du C.A T1998 | Moyenne 29% 23% Situs & environ 29%, le ratio (R26) qui mesure le -— degré diintégration des operations de productionen | R27 15% | 14% rapportant la V.A a la a ——_— production, est jugé tas, R28 11% faible et dénote une faible R29 x intégration des diverses activités du secteur. ool | Tableau . Le taux de marge brute ‘sur la période 1996-1998 exploitation (R27) qui * Statistiques du MCI (1997) 186 mesure la part de ('€.8.E dans le chiffre d'affaires est jugé satisfaisant (14%). Cet indicateur démontre que le secteur arrive 4 dégager assez de ressources internes 8 partir de ses activités principales. Le méme constat est & faire 4 propos des trois ratios (R28), (R29) et (R30) qui rapportent respectivement le résultat d'exploitation, le résultat net et la C.A.F au chiffre d'affaires. Ils démontrent un niveau appréciable de ~ la profitabilité (11%) (R28). La rentabilité commerciale (6%) (R29). - La part du chiffre d'affaires consacrée a 'autofinancement (8%) (R30). V- 3. La rentabilité A. Rentabilité économique Le taux (R31), appelé le | 1996 | 1997 1998 | Moyenne | taux de marge, rapporte | TEBE ala V.A. Ce ratioen | R32 | 53% a7 ea uae emcee sétablissant 4 48%, permet | RBZ 21% | 13% | 20% | 18% de constat importance }——____ 4—__ —+——___ ——__ A elas R33 125% | 72% | 122% | 106% | des ressources internes | iL | sécrétées par l'exploitation Tableau 8 : Les ratios de la rental Il est a signaler que cette sur la période 1996-1998 situation s'explique par le niveau moyen des charges de personnel situées en aval de la V.A et en amont de I'E.B.E UE.N.E (voir le tableau de flux page n° 98) qui représente le surplus disponible aprés rémunération de ensemble des facteurs de production rapporté au capital économique, permet de mesurer la rentabilité des emplois investis (R32). Ce ratio est jugé satisfaisant (18%). Le ratio (R33) rend compte de la stabilité des performances des entreprises du secteur par la mesure du risque économique. Situé 4 121% en 1998, soit 4 un niveau de risque plus bas que le seuil (100%) et le plus faible par rapport & tous les secteurs confondus, il traduit la capacité du secteur a maintenir, voire méme a améliorer ses performances globales. B . Les intéréts en pourcentage du profit global Le (R34) mesure Le poids | 1996 | 1997 | i998 | Moyenne | des charges _financiéres | ar dans '€.B.E. En baissant au NM | Be | fil des années sans franchir ratio des charges financiéres en % de le cap de 50% (24% en VE.B.E sur la période 1996-1998 moyenne), il traduit un niveau d’endettement raisonnable. 24% =| 25% | 22% | 187 C. Le taux d'intérét Va le niveau du taux [ 1996 | 1997 1998 | Moyenne dintérét (R35) 11% en —— gp a} sy — moyenne, on est en mesure | _ R35 foe ee | eco | daffirmer que le codt de Tableau 10: Le fu taux dintérét - lendettement est situé & un sur la période 1996-1998 niveau normal comparativement aux taux pratiqués D . Rentabilité des fonds propres 98 | Moyenne Le (R36) mesurant | : ‘1996 | i997 rentabilité des fonds -— GB gy, ae propres par rapport au| R36 eo libero a | ne résultat net dégagé, est excellent (23%) et dépasse largement les taux de placement des marchés bancaires et financiers. E. Rentabilité des capitaux engagés Le ratio (R38) qui mesure - | 1996 | 1997 | 1998 | Moyenne la rentabilité des capitaux foe ee bee cragie titemes et | RAL | [|| es) externes) nous semble R37 24% 29% 35% 29% | aussi encourageant que le —-| ratio (R36). Situé 4 19%, il R38 traduit la capacité du | Fableaw 1. secteur rétribuer aussi | bien les préteurs internes qu’externes. "15% | 20% [22% | 19% —_ _ nee .a rentabilité des fonds propres | sur fa période 1996-1998 | La décomposition de ce ratio comme suit [Se cier = Solde | | Capital économique Capital économique | (R38) __ (R11). | - Solde financier / V.A est un taux de marge, - V.A/ Capital économique constitue le coefficient de l'efficacité économique. permet d’expliquer cette rentabilité par la conjugaison des deux facteurs suivants Une rotation du capital économique moyenne (65%) Un taux de marge confortable dégagé par lactivité hors charges financiéres (29%). 188 VI - SYNTHESE DE L’ANALYSE SECTORIELLE La synthése de nos travaux d’analyse par secteur d’activité nous a permis de cerner les principales caractéristiques des industries de transformation dans i’économie marocaine. Lanalyse des différents secteurs a savoir, la chimie et la parachimie, l'agro-alimentaire, le textile, Ja mécanique et I'électrique, a porté essentiellement sur les aspects suivants ~ Assise financiere ; ~ Etat de léquipement ; - Degré dinvestissement - Mode de financement ; - Conditions d'expioitation ; - _Intégration des activités ; - Importance des ressources internes dégagées par ‘exploitation ; - Rentabilité des fonds propres nets. A issu de ce classement, nous avons abouti aux conclusions suivantes : 1. Les entreprises marocaines ne disposent pas d’une assise financiére solide (faiblesse des fonds propres), l'exception des secteurs de chimie et parachimie et la mécanique. Le financement de l'activité et de linvestissement est fait principalement par des capitaux externes bancaires majoritairement 8 court terme. 2. Loutil de production, dans la plus part des entreprises est vétuste. La cadence de Vinvestissement est lente dans tous les secteurs sauf celui de la chimie-parachimie. Dans le méme ordre d'idée, les secteurs de la chimie-parachimie et la mécanique présentent les investissements [es plus importants par rapport aux autres secteurs oli leffort dinvestissement ne semble pas une priorité stratégique de leur développement. 3. La faible intégration des activités est une caractéristique commune a tous les secteurs. Si {a taille des entités est un facteur déterminant dans Iimportance du degré dintégration, {a faible intégration dans I'industrie marocaine s'explique aisément, puisque 92% des entreprises sont des PME. 4. Par leur seule activité, les secteurs mécanique et électrique arrivent 4 dégager assez de ressources internes pour assurer le financement de leur croissance et développement. Cette capacité de générer des ressources internes satisfaisante sfexplique tantét par un coitt relativement faible de la main d'ceuvre (secteur mécanique : grande intensité capitalistique), tantét par des dotations aux amortissements faibles (secteur de Vélectricité : faible intensité capitalistique). Si les autres secteurs n’arrivent pas & dégager assez de ressources c'est parce que la rétribution des deux facteurs : travail ou machine est onéreuse. Nous estimons que cette situation peut s‘expliquer, du moins partiellement, par: - Lanon maitrise des coats : des coiits de fonctionnement et de production démesurés amputant a tous les stades du processus industriel les marges dégagées (charges de personnel représentant plus des deux tiers de la VA), - absence de tout dispositif permettant 4 ces entreprises le contrdle et le suivi de leurs cots de production pour pouvoir assurer un minimum de rentabilité et, anticiper tout dérapage de coats. 189 + Elevé dans les secteurs de la mécanique, Vagro-alimentaire et de 'électricité, ces performances s'expiiquent d'avantage par importance des capitaux engagés (fonds propres tras limités dans les secteurs agro-alimentaire et électrique) et par les codts relativement faibles des facteurs de production (secteur mécanique). Si les autres secteurs n’arrivent pas a afficher de telles performances c'est aussi dai a limportance des deux facteurs cités ci-dessus Les industries de transformation restent trés dépendantes du marché national. En effet, en 1997, elles n’ont exports que 24% de leur production vendues, soit 0.5 points moins quien 1996". (voir graphe ci-dessous). Le ratio (Exportations / CA), qui exprime la part des exportations dans le chiffre d'affaires des industries de transformation, tous secteurs confondus, a accusé une baisse entre 1996 et 1997 (passant de 24.5% a 24%). TAUX D'EXPORTATIONS Fy 2 EXPORTATIONSICA 23 225 1983) 1998 1995 1996 1987 ANNEES 6. Linstabilité des performances des industries de la transformation est trés caractérisée. En témoigne le ratio du risque économique (R33). Ce ratio est constamment inférieur & 1 dans tous les secteurs 8 l'exception de celui de Wélectricité et de électronique. Ceci démontre la vuinérabilité des entreprises & 'égard des fluctuations conjoncturelles telles : * Statistiques du MCI (1997). 190 | Risque Illustration Activités eycliques |Saisonnalits de certaines industries de | |Yagro-alimentaire | Instabilité des prix des matiéres premiéres. |Industrie de la chimie-parachimie : } | (pétrochimie) Courbe de vie des produits Industrie de la chimie-parachimie : | | (pharmacie) Aléas climatiques Lagro-alimentaire Risque commercial - la dépendance a légard d'un client unique, Produits peu diversifié. | Section 2 . RESULTATS DE L’'ENQUETE AUPRES DES CABINETS Nous présenterons d'abord dans un premier temps les dépouillements des réponses de Venquéte puis le rapport de synthése et commentaires des résultats. 1 - SYNTHESE DU DEPOUILLEMENT : I- 1. Caractéristiques de renquéte : + Effectif de la population : 220 + Effectif de 'échantillon =: 220 + Population questionnée : 207 + Réponses recues 1 84 + Taux de réponses 40.45% 191 I - 2. Synthése du dépouillement des réponses obtenues auprés des cabinets TABLEAU DE Questions 1. Cadre d'utilisation du 2 i diagnostic financier en tant qu’outil de travail. Communica aux clients, a partir de leurs analyses de comptes, des informations susceptibles de les éclairer sur la gestion et la situation financiére de leurs entreprises. 3YNTHESE DU DEPOUILLEMENT | Résultats | = Entre [0 et 10%] dans les missions dauelt des assurances de | Tentreprise et les missions de consoldation des comptes; | + Entre [10 et 20%] dans les missions de business plan, Gétablissement des budgets prévisionnels, de diagnostic concurrentiel/stratégique et de reporting des états financiers anglo-saxons ; > Entre [20 et 30%] pour fa défintion et fe suivi des outils de comptabilité de gestion, Tameélioration de la performance opérationnelle d'une structure, la réalisation d'études Economiques sectorielles, la_mise en place d'un systéme de | gestion de trésorerie, les missions de transmission/restructuration, daucit financier, de contréle de gestion et de redressement d'entreprises en dificult Entre [30 et 40%] pour les arrétés de comptes de fin d'années, "établissement de situations comptables intermédiaires, la mise } en place dun tableau de bord, Yaudit dacquisition et le dossier financier ; ~ Entre [40 et S0%6] Gans les misions de consi! de decton| | (Commentaires, résutats et gestion) et de montage de dossiers | de financement ; | = Entre [50 et 60%] pour analyse financiére des entreprises ; | [> 5% des cabinets déclarent quis les fournissent | ; 10% ne font « pas de retraitements > 50% sans réponse. —| 50% déclarent que les résultats dégagés font objet d'une comparaison temporelle & partir des états financiers du méme client ; 15% le font avec les résultats dégagés pour d'autres clients ayant une activité similaire ; 35% ne font aucune comparaison, 193 Questions Résultats 7. Outils utilisés lors du)- 50% utilsent les ratios ; diagnostic financier. = 25% utilsent les tableaux des flux ; 50% utilisent les grandeurs financiéres (F.D.R , B.F.G, T.N) ; i | |- 5% ublisent d'autres outils. humaines au sein du] mener a bien un diagnostic financier ; | cabinet pour mener un diagnostic financier : 75% des cabinets n’en disposent pas. 9. Les responsables du diagnostic financier. 8. Compétences 25% des cabinets disposent de compétences nécessaires pour 5% déclarent que lors d'une mission od un diagnostic financier est meneé, il est réalisé par « un assistant » ; 20% Si la loi n’en fait pas une obligation, intervention de expert ne demeure pas moins fortement et chaudement recommandée : qui d'autre pourrait mieux faire évoluer la comptabilité que celui qui en a fait métier ? Conscient de importance de cette mission, !'0.£.C dans son projet relatif a la réglementation et organisation de la profession « Code Des Devoirs Professionnels » rappelle dans Varticle 10 le réle que la profession est amenée remplir en matire de développement et amélioration de l'information comptable et financiére. Nous souhaiterions & cet égard, que L'0.£.C ouvre un espace déchange aux utilisateurs de la comptabilité, Cet espace aurait un double objectif : + Permettre aux utilisateurs d’exposer les problémes quis rencontrent dans la pratique de la comptabilté. + Permettre 8 la profession d’étudier et affiner les besoins par profil d'utilisateur et formuler des avis et recommandations susceptibles de faire évoluer l'information comptable. La réalisation d'un tel espace de rencontre est facilement abordable avec le développement des technologies de 'information et notamment I"interet « le réseau des réseaux ». En effet la création d'un site WEB" et son hébergement auprés d'une institution voire méme chez un « provider > permettrait & la profession d’étre mieux a 'écoute des utllisateurs augmentant ainsi sa capacité réactive vis-a-vis de l'environnement. 2. Pour une mise en place d’un systéme d'information financiére Les divers probiémes que nous avons rencontrés pendant notre analyse des situations financiéres des entreprises industrielles marocaines sont de deux ordres : + La_disponibilité de Information comptable et financiére sur les entreprises; cette difficulté est liée d’abord a un facteur culturel qui veut que toute information financiére soit sceliée sous le seau du secret. | LO.EC francais dispose de son site Web dont laccés est autorisé 4 tout le public 4 ladresse électronique : http://www.oec paris.fr 198 + Llabsence de normes sectorielles nous permettant de crédibiliser les conclusions dégagées par le diagnostic financier. Ces difficultés ne sont en fait, que des conséquences directes et logiques d'un état de lieu gui continue & marquer notre pays : la défaillance de nos systémes d'information et dans le meilleur des cas, un décalage temporel entre le besoin et la disponibilité de information. Si les pouvoirs publics tardent a mettre en place des bases de données susceptibles de combler ce manque cruel en de telles informations financiéres, il est de notre devoir d'agir Pour changer cette situation. Ainsi O.£,C pourrait bien mettre en place un systéme de collecte de l'information comptable 4 partir des états de synthése des clients de la profession, sous réserve de se conformer aux ragles d’étique en matiére de secret professionnel. Cette collecte pourrait se faire sous le couvert d’anonymat en escamotant tout elément relatif a Vdentité juridique du client. Ainsi, la base de données reconstituée pourrait fournir des indications sectorielles permettant aux membres de fournir a leurs clients de précieuses informations leurs permettant de situer leurs performances par rapport a celles du secteur. 199 AF BEG CAF CNC COB CPR.C conc DEPP EBE ETE ETIC FPN ERE LBE LMT MCL O.E.C POM, P.CGE TF TER VA LISTE DES ABREVIATIONS Autofinancement Besoin de financement global Capacité d’autofinancement Conseil national de la comptabilité Commission des opérateurs de la bourse Compte des produits et charges Code général de normalisation comptable Direction des établissements publics et des participations Excédent brut déexploitation Excédent de trésorerie dexploitation Etat des informations complémentaires Fonds propres nets Fonds de roulement fonctionnel Insuffisance brute dexploitation Long et moyen terme Ministére de commerce et de lindustrie Ordre des experts comptables Plan comptable marocain Plan comptable général des entreprises Tableau de financement Tableau de formation des résultats Trésorerie nette Valeur ajoutée 200 BIBLIOGRAPHIE COMPTABILITE Quvrages : Kessab El Bekkai, Le code général de la normalisation comptable, Arabian al hilali, 1991 Pierre Mévellec - Guy Rochery , Eléments fondamentaux de comptabilité, Vuibert gestion, Aotit 1990 Mohamed Bentabet, Comptabilité générale c'aprés le plan comptable des entreprises, Rita, 1994 Farhat Medi Comptabilité générale, Ecole nationale d'administration, 1994 Fouguig Brahim - Fechtali Abderrazak, La comptabilté générale des entreprises marocaines conforme au code général de la normalisation comptable et de la loi, Edit consulting, 1995 Claude Lavabre - Gilles Lavabre, Manuel de comptabilité des sociétés : fusion, consolidation, Litec, 1993 Jean Claude Dormagen, La comptabilité intégrée, La Villeguérin, 1990 Laurent Bailly - Bernard Colasse, Compiabilité générale : questions et applications, Economica, 1990 Georges Langlois - Micheline Friederich, Comptabilté et gestion : études de cas, Foucher, 1990 Erik Gabison, Gestion comptable d'entreprise, Eska, 1990 Saci - Djelloul, Comptabilité de lentreprise et systéme économique, Alger : Office des publications universitaires, 1991 Béatrice Grandguillot - Francis Grandguillot, Comptabilité générale, Clet, 1991 Christine Collette - Jacques Richard, Comptabilité générale par ia méthode des flux, Dunod, 1991 Daniel Boussard, Guide de comptabilité générale, Organisation, 1990 Jean Louis Malo, Comptabilité générale, Eyrolles, 1991 Membres de BEFEC et associés, Mémento pratique comptable, Francis lefébvre, Septembre 1992. Revue: Max Dusart, Quelle qualité pour /a fonction comptable ?, Revue frangaise de comptabilité, Juillet - aodt 1995 Philippe Chapelier, Le consei/ de expert comptable aux PME : une enquéte, Revue francaise de comptabilité, Octobre 1996 201 GESTION FINANCIERE Quvrages Rachid M'rabet, La cécision cinvestissement de /entreprise, Edit consulting, 1996 Rachid Belkahia - Hassan Oudad, Finance déentreprise, Tome 1, Gaétan Morin éditeur - Maghreb, 1997 Jean Yves Saulquin, Les images financiéres de Ientreprise, Vuibert gestion, septembre 1992 J.J. Pchon - Poncet - Hachette, Comptabilité et administration financiére, Les déchabies, 1995 Raimboult Guy, Gestion financiére d'entreprise, Ecole nationale des ponts et chaussées, 1993 Daniel Boussard, Ftats financiers et comptabilité, Organisation, 1990 Bernard Belletante, Comptabilité et finance, Hatier, 1990 Pierre Conso, La gestion financiéve de 'entreprise. Pierre Vernimmen, finance d'entreprise logique et politique. C.Guyon - C. Rozsa, La fonction financiére dans /'entreprise. Georges Depalleur, Gestion financiére de /entreprise. Revue: René Ricol, £ expert comptable face a la gestion du crédit-clients des PME, Revue frangaise de comptabilité, Décembre 1996 ANALYSE FINANCIERE Ouvrages Laurent BATSCH, Le Diagnostic Financier, Economica, Janvier 1995 Roger DORNIER, De /analyse financiére é expertise financiére, Les éditions d’organisation universitaire, Aogt 1991 Bernard Manceau, Analyse financiére normative des entreprises, La revue banque éditeur, 3éme trimestre 1992 Najib Ibn Abdeljalil, Diagnostic financier de entreprise, Edit consulting, 1998 Guy Raimbault, Comptabilité générale et analyse fineaciére : outils de gestion, Eyrolles, 1990 Serge Evraret, Analyse et diagnostic financier. G.Alfonsi - P.Grandjean, Pratique de gestion et d’analyse financiére. Bernard Meheut, Analyse financiére, Eric Manchon, Analyse bancaire de Ventreprise. Revues : Daniel Gugenheim, Entreprises en difficulté et modéles d'analyse financiére, Banque : gestion et technique bancaire, Juin 1985 202 COMPTABILITE ANALYTIQUE ET CONTROLE DE GESTION Ouvrages : Bouquin Henri, Comptabilité de gestion, Sirey, 1993, Thierry Cuyaubere - Jacques Muller, Contrdle de gestion, La Villeguérin, 1990 Catherine Deshayes, Contrdle de gestion, Clet, 1990 Francis Grandguillot, Comptabilité analytique et gestion prévisionnelle, Clet, 1991 Didier Leclere, Comptabilité analytique, Eyrolles, 1991 AUDIT ET ORGANISATION Quvrages : Jean charles Bécour - Henri Bouquin, Auait Qoérationnel, Economica, 1991 Olivier Lemant - Pierre Schick, Guide de Self-Audit, Les éaitions d'organisation, 1995 Alain Desreumant, Structure d'entreprise, Vuibert gestion, Février 1992 Association technique d'harmonisation de cabinets d’audit et conseil, Audit Financier ; Les outils de Audit, Centre deLlibrairie et d'Editions Techniques, Juillet 1983 TECHNIQUES D’ENQUETES Quvrage: Jean Moscarola, Enquéte et analyse de données, Vuibert gestion, Février 1990 Mohamed Dahami, Pratique du marketing, Sodipress, 1993 Omar Bajjou, Plans de sondage des enquétes sur fe secteur non organisé Au Maroc, des micro-entreprises de production destinées 4 rester petites, Imprimerie el Maarif al Jadida, 1991 INFORMATIQUE Quvrages : Bruno Bousqui - Hubert d'Hondt, Les systémes d'information des groupes, Economica, 1992 Revues : Stéphan Gash, L expert, informatique et avent, Revue francaise de comptabilité, Janvier 1995 203 DIVERS Quvrages Ministére de l'industrie, du Commerce et de lartisanat, Lindustrie de transformation en 1997, MCI, Décembre 1998 Ahmed M'raber - Driss Jetou - Mohamed Hama - Fouad Zaim, L‘entreprise marocaine entre les exigences de Vorganisation mondiale du commerce et les défis de libre échange, Elite, 1996 Hassan Rifki, Comment créer votre entreprise au Maroc, Experdata, 1992 Rémi Leurion - Abdelouahed Hafaoui - Ahmed Hammoumi, Economie générale, Foucher, 1995 Ministére du plan, Gestion de projets » Manuels a'analyse économique, Ministére du plan, 1991 ALE. El Alami, La recherche scientifique en gestion : un impératif pour le développement du Maroc, Gestion et société, 1995 Rachid M'rabet, 4 propos de /a recherche en gestion, Gestion et société, 1995 Najib Akesbi, La fonction commerciale dans les entreprises industrielles au Maroc, Gestion et société, 1990 Revues M.J.Khayatei, Profession dexpert comptable : Pourquoi la rectification d'une foi fait-elle peur ?, revue de stratégie, 1996 Bulletin d'information périodique, Le Conseil en management, 1995 Mehdi Tahiri, La franchise au service des jeunes entrepreneurs, L’événement magazine + mensuet dinformation générale, 1995 Georges Guibert, Le risque qualité, Le magazine de l'entreprise et de l'économie, 1994 Le magazine de l'entreprise et de l'économie, La concertation 4 l’orare du jour, 1994 Luc Bajan-banaszak, £ expert comptable et le conseil de gestion en PME, Revue francaise de comptabilité, octobre 1993 Nicole Saunier - Gormezano, Jmplanter e¢ pérenniser 'activité conseil, Revue francaise de comptabilité, Janvier 1995 204 INDEX DES TERMES A Actif 38 Actif circulant. 16, 17, 18, 28, 40, 50, 55 Actif fictif. . eee Actif immobilisé16, 17, 25, 28, 37, 91, 94, 105, 106, 165 Analyse comparative. 67 Analyse financiére7, 8, 10, 14, 17, 24, 28, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 58, 59, 66, 67, 68, 69, 70, 72, 74, 76, 80, 82, 103, 127, 142, 144, 145, 146, 170, 180, 183, 184, 219, 220, 229 Analyse statique 267 Autofinancement 1.26, 47, 155 Autonomie financiére30, 31, 80, 100, 148, 172 Besoin de financement global27, 28, 50, 76, 77, 150 Bilan financier72, 94, 103, 104, 108, 127, 144, 147, 178 Bilan fonctionnel eevee 75) Budget ....c.s 124, 183 a C.G.NC 13, 14, 15, 16, 44, 224 CP.C12, 14, 16, 18, 19, 20, 35, 44, 55, 66, 82, 86, 87, 89, 90, 92, 101, 128, 129, 137, 139, 140 Capacité d'autofina 24 Capacité de désend: 162 Capital économiquel51, 158, 191, 197, 209, 215 Capitaux propresi7, 30, 39, 42, 93, 99, 146, 147, 148, 161, 187, 193, 199, 205, 2u Cash flow ... 161 Charges d’exploitation44, 46, 56, 90, 91, 156 Charges de personnel23, 45, 56, 90, 154, 192, 198, 201, 204, 216 205 Charges financiéres19, 23, 24, 31, 44, 46, 56, 92, 128, 134, 160, 190, 196, 202, 208, 209, 214, 215 Charges variables eo 13 Coefficient de Fefficacité économique. 191, 197, 209, 215 Coefficient de productivté globale. 195, 201, 207, 213 CorreCtiON eso Coit complet... Cott dimputation rationnelie Colit direct... Cotit historique. Cofit marginal Coit variable... Créances commerciale: Crédit-bail.... ; Crédits fournisseurs .. Cycle d’exploitation +189, D Découvert... 187, 193, 205, 211 Définancement 99, 100 Dépréciation économique 43, 54 Dettes de financementi7, 30, 42, 56, 95, 105, 134 Dettes fiscales..... 142, 94 Diagnostic financier8, 15, 59, 70, 72, 73, 109, 127, 145, 178, 180, 183, 184, 185, 219, 220, 221, 222, 226, 229 Dotations aux amortissements25, 43, 54, 90, 91, 216 Dotations aux provisions durables .......25 Dotations et reprises non courantes ......91 & Ecarts de réévaluation..... 18, 30 Effet de levier. . 147, 148 Effets remis a l'escompte.. AB Emploisi2, 15, 16, 17, 26, 27, 29, 30, 31, 36, 49, 50, 74, 75, 76, 86, 100, 158, 208, 211, 214 Emprunts obligataires .... seeensees 30 Endettement23, 31, 32, 37, 44, 147, 148, 166, 186, 187, 190, 192, 193, 196, 198, 199, 202, 204, 205, 208, 210, 211, 214, 215 Endettement a terme148, 187, 192, 198, 205, 210 Engagements hors bilan 43, 135 Equilibre financier27, 32, 49, 73, 149, 164, 186, 192, 198, 204, 210 Escompte.......41, 46, 187, 193, 205, 211 ESC eceen pert 189) 195-207) Etats de synthése7, 10, 15, 16, 27, 44, 60, 70, 73, 82, 83, 84, 178, 226 Excédent brut d'exploitation Excédent de trésorerie d'expioitation Excédent net d’exploitation «ease. ..17, 40, 75, 105, 150 Exigibilité Exploitation, 38, 46, 48 F Faciltés de caisse 148, Factoring ... ceenee AL Failte 2.32, 48, 135, 147, 150 41, 48 148, Financement.. Financement permanent16, 26, 28, 165 Flux de trésoreriel 1, 12, 48, 49, 86, 87, 161 Flux fictifs 64, 87 Flux financiers 54, 68, 69, 86, 144 5 17, 27, 32, 72, 74, 75, Flux matériel .. Fonctionnellet 1, 76, 82, 103, 144 Fonds de roulement.. 48 Fonds de roulement financier 150 Fonds de roulement fonctionnel27, 28, 30, 7 Fonds propres mis en O2uvre ........ 93, 99 Fonds propres nets...... 147, 148, 159, 160 Formation interne de capitaux propres .93, 99, 100 Frais préliminaires ... 130 7-7 Immobilisations corporelles 131 Immobilisations financiéres 141 Immobilisations incorporelles. 131 Impét sur les sociétés..23, 24, 38, 92, 156 Indépendance financiére.... .. 162 Insolvabilité 153 206 intensité capitalistique151, 205, 211, 216 188, 194, 199, Liquidité17, 36, 68, 74, 75, 83, 187, 193, 205, 211 m Marge brute... Marge commerciale. +1120, 21, 22, 156 21, 22 Masses du bilan eevee 27 Méthode des flux 73, 86, 228 Méthode des ratios +73, 82, 83, 84 Méthode d'évaluation 132 Moins-values ...... - 129, 136, 137 N Non-valeurs14, 104, 105 17, 39, 54, 91, 93, 94, o Obligations cautionnées «cesses Pp ~ PaSSIF seu Patrimonialel1, 27, 30, 39, 74, 75, 76, 60, 82, 103, 144 Plan comntable marocain10, 11, 35, 141, 178, 1, 220 Plus-values, .23, 129, 136, 137 Pool de: fords se. 76 Préts immobilisés. 131 Prévisionnelle 14, 52, 67, 101, 230 Prime de remboursement des obligation: 30 Production ... 248 Production immobilisée -21, 97 sesenne21, 84, 88, 97 21, 55, 97, 152, 217 154, 156, 189, 194, Production stockée ... Production vendue Productivité70, 83, 200, 207, 213 Produits d’exploitation 89, 90 Produits des titres de participation ........92 Produits financiers .......24, 77, 92, 93, 160 Provision pour dépréciation ...........90, 91 R Ratio de profitabilité .....sccsteseeseees 156 Reclassement... °°30, 40, 58, 75, 105 Recouvrement, 17, 39 Réévaluation : 42, 87 Rentabilté commerciale . 157 Rentabilité économique98, 151, 158, 190, 195, 201, 208, 214 Rentabilté financiere .. 159, 162 Répartition du résultat.... 17, 104 Reprises .. 24, 25, 91, 92 Ressource23, 25, 27, 28, 30, 40, 47, 48, 55, 94, 98, 150, 165, 187, 193, 205, 211 Résultat avant impéts . 19 Résultat courant.. 15, 19, 24 Résultat financier wecereees 20 Résultat net .24, 25, 157, 159 Résultat non courant 24 Résultats sur cession d’éléments d’actifs 91 Retraitement, 17, 20, 30, 103 Risque commercial. 98, 218 Risque économique ...... 298 Risque technique....... 98 Rotation des crEances...ussessenereneneees 39 Rotation des stocks125, 188, 194, 200, 206, 212 Rotation du crédit fournisseur. Rupture de stock... .39 126 $ Situation nette .. 7 15, 54, 146 Solde financier92, 98, 100, 160, 191, 197, 209, 215 Solvabilté......c..036, 74, 75, 100, 132 Sous capitalisation... sssssseses 172 Sous-traitance23, 45, 52, 56, 89, 90, 128, 155) Structure financiére23, 30, 31, 69, 79, 83, 100, 145, 146, 148 Subventions d’expicitation... 44 207 synthése des masses du bilan....27, 28, 29 T Tableau d’analyse de la variation de la trésorerie... zi 86 Tableau de calcul de autofinancement .24 Tableau de financement11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 26, 27, 30, 48, 50, 68, 86, 100, 185 Tableau de flux 96 Tableau de formation des résultats .....20 Tableau des emplois et ressources .......29 Tableau pluriannuel de flux financiers....86 Taux dexcédent net de trésorerie ...... 161 Taux dintégration... 1 156 Taux dintérét. 159 Taux dinvestissement oe 162 Taux de croissance «162 Taux de dépendance financierei87, 192, 198, 205, 210 Taux de marge brute d’exploitation..... 189, 195, 201, 207, 213 Taux de marge brute d'exploitation ....156 Taux de rentabilité des fonds propres.. 160 Taux de rentabilité financiére............ 160 Taux de rotation66, 188, 194, 200, 206, 212 Taux des charges financiéres... 162 Transferts de charges... 45, 89, 91 Trésorerie actif... 16 16 Trésorerie passif : 38, 142 TWA ssoceseseen v Valeur ajoutée20, 22, 89, 100, 151, 154, 155, 156, 158, 160 Valeur ajoutée Economique sees 44, 45 Valeur comptable... 42, 54 Valeur économique..... 42, 54 Variation du B.F.G 9, 31, 94 LEXIQUE A Acti Actif circulant Actif fictif Acti immobilisé Analyse comparative Analyse financiére Analyse statique Autofinancement Autonomie financiére B Besoin de financement global Bilan financier Bitan fonctionnel Budget c cane cpc Capacité dautofinancement Capacité de désendettement Capital économique Capitaux propres Cash flow Charges d'exploitationn Charges de personnel Charges financiéres Charges variables Coefficient de réficacité économique Coefficient de productivté global Correction Coat complet Coat dimputation rationnelle Coat direct Coat historique Coat marginal Coat variable Creances commerciales Crédit-bail Crédits fournisseurs Cycle d'exploitationn D Découvert Définancement Dépréciation économique 208 Sa Bla haga ye Sky Sogn ihe age oie Ss lbs Be a ag fs Di Lg SAI date aus kas petal Lovaas ae ats ae tis Aycale tls ipa tS lt oe pas od Bs DRL Ea sy Ug ghet Dettes de financement Dettes fiscales Diagnostic financier Dotations aux amortissements Dotations aux provisions durables Dotations et reprises non courantes E Ecarts de reevaluation Effet de levier Effets remis & fescompte Emplois Emprunts obligataires Endettement Endettement a terme Engagements hors bilan Equilbre financier Escompte ESG Etats de synthase Excédent brut dexplotation Excédent de trésorerie dexploitation Excédent net exploitation Exigibiite Exploitation F Facilités de caisse Factoring Financement Financement permanent Flux de trésorerie Flux fitifs Flux financiers Flux matériels, Fonctionnelle Fonds de roulement Fonds de roulement financier Fonds de roulement fonctionne! Fonds propres mis en oeuvre Fonds propres nets Formation interne de capitaux propres Frais préliminaires: Immobilisations corporelles Immobilisations financiéres Immobilisations incorporelles Impot sur les sociétes Indépendance financiére Insolvabilité 209 Rio oe eli yuan td el SIS EH Sie 5 patie dat gad an ie al 5 anid Saha Se Jem diss Pe dips ays cis yay clas 2 cts ie ih ids sh Da i Sit gil Jit Da i aod dee Id SB Jp gil GS Al oe cia SSH oe gl Foren | non | : | J Compte | | Libene Report Débit Report Crédit Mouvement Débit Mouvement Crédit Solde Debit | Solde Crédit Annulet od Pour chaque champ Exempl Corapte : N* I [ae eeten —-Selde__|sélectionnez la colonne | | footespendante que vous |e oui | identiié dans votre balance! b. La saisie d'une balance : Eventuellement, lorsque l'utilisateur souhaite saisir sa balance directement, ie programme tui donne la main pour saisir toutes les lignes de sa balance : comptes, libellés du compte, reports, mouvements et soldes) . La correction des erreurs : Pendant les opérations d'importation ou de saisie de la balance, le programme procéde a des Contréles qui permettent de signaler a 'utiisateur les erreurs qui ont été détectées. Deux types d'erreurs sont signalés ¥ Les erreurs de comptes v Les erreurs de valeurs Le Balance Importée contient 750 enregistiements dont [ Certeetion | ompte | Correction Valeur | tk €-3. Les erreurs de comptes : Le programme est muni en standard d'un pian comptable conforme au P.C.M comportant tous les postes (3 chiffres). Au cours de importation l'application vérifie la concordance des comptes de la balance (importée ou saisie) avec ceux du plan comptable, Si une anomalic est détectée, il signale la discordance et propose trois options ~ La suppression : suppression de la ligne importée ou saisie de la balance > La’ modification : remplacement du compte erroné par un autre que Futilisateur peut hoisir dans une fenétre que le programme ouvre sur le plan comptable standard. ~ Lajout du compte: Dans la mesure oii f'utllisateur, aprés avertissement du Programme sur lnexistence du compte, tient comme méme & le garder le programme lui Propose de l'ajouter dans le plan comptable du dossier. | Cres Te Compte S15 ~~ nrexiste pas dane le plan Complable Consukter_: pour Consulter le plan comptable Créer: _-pour ajouter le compte dans le plan comptable Annuler our retourner & fa balance Consulter Créer [_ tarnaten | 12 EE es Mouvement Solde Tibet [babi] coed [Dab | Cia] ] CHBRGES DE STR T ui ae hit | TRAVEL feei2 fo oy eC a ba a ico Leesa [ine ea ieee EE [ea 00 lca [Mee fa Mae oy 00 (Eee a WM COMMEROELE ct) jer fo0 TION EGNME I par ae 000 (Nareaa se lee Actualiser Aout Fermer ©-4. Les erreurs de valeurs : Elles sont signalées lorsqu‘on saisi des caractéres alphanumériques dans des champs de type numérique par exemple ; débit ou crédit [N*Compie| Libellé Crédit (eieh2_ PETENTE 7 a (00. etort ITS DENFEGISTREMENT ET DE [oi 5089, a0 UR LES VEHICLES | eee |0.00 i TARES ET a Toon TEMES EX aT {¢ joao - ENTS ET SALA i GRATFI Supprimer aes Fermer 13 d_. Le contréle de l’équilibre de la balance : Aprés le contréle et la correction des erreurs de comptes et de valeurs, le programme affiche la balance comme suit : Feat —prsoorar cea TES oT RESLLIAT DESFLOTATON = Ca 2 resuLTaT_ cm Acre MIOATIORS PERC MTER at ION ERC ANTER Tat isto SE SUAPROVEKAMT. on 0G GANS OE CRNGE FROPRATERER om oa NTERETSPRETS I ERETS DES FRETS AUPERSONN | AES PRODUITS FRERCERS | i ail [rei eo Fn ?Seenio0_~ JWTEAETS aT PROD DES EXRCANT T2) “HnTOo_— REFFISE SUR PROVISIONS T0272 [soo P00 OES cess cone CORPO Tis ‘ont [E=TIG00_—_[PENLTES RECUES SUR MARCHES LEI DeorsRECUS aoe ‘mt a7era On The sia IENTES DE Wal oo ot Ta arr i i tnt erat [DOTATONSOESALOTAInaNORT | a0 aa Taree > ra am — Troma Roo TATA ‘at Tite ome Sr Fu iar UOT ERT Da a0 z a aM Un message signale a l'utilisateur l'état de 'équilibre de la balance entre le solde débiteur et le solde créditeur, deux cas peuvent se présenter d-5. La balance est non équilibrée : Débit - crédit + 0 ; dans ce cas, la balance n'est pas enregistrée et par conséquent les états de synthése ne peuvent étre élaborés. Llutilisateur est invité & contrdler sa balance pour rétablir I'équilibre : débit = crédit. 14 d-6. La balance est équilibrée ; Débit ~ crédit = 0; dans ce cas, la balance est enregistrée et le calcul des différentes rubriques des états financiers est opéré. er | ewener fe | tmesisrer| regis re aaa e équilibree I- 3. LE PARAMETRAGE a. Les rubriques Vanalyse des états financiers nous a permis de faire les constats suivants : toutes ies informations dans les états financiers peuvent étre classées en six : compte, total, constant date, texte et formule, Une rubrique est toute information contenue dans les états financiers, elle est identifiée par un numéro, un nom et un type. a-1. La rubrique compte : Crest le montant comptable d'un compte, d'une fourchette de comptes ou de plusieurs comptes, a | RUBRIQUE 1 i | UIBELLE [Cession dimmob. comorelles i jr Beei TTT fea ‘AiTiehe ge Ga cues || C0 ae Vedioure.| cos BE em eae ic) Pe ewe on omes || \ | __ Compte Départ! _Compte Fin | _>0 . Dy 7ers0000 SeileareT as T999g ok Anne ¥ Le numéro de rubrique ; Le numéro permet cidentifier la rubrique au niveau du programme (63007). ¥ Le libellé: Cest le nom de la rubrique (cession dimmobilisations corporelles) qui est dans ‘exemple le libellé du poste de la ligne 7 dans I'état « tableau de financeme" v Le type de montant : Lutiisateur peut choisir entre trois types de montant a affecter a la rubrique, + Le montant report: prévu pour les rubriques comptes indiquant le montant de Vexercice précédent. Exemple : colonne de l'exercice (N-1) dans le bilan + Le montant mouvement : prévu pour les rubriques comptes indiquant le montant des Mouvements de V'exercice. Exemple : montant des acquisitions dimmobilisation dans le tableau de financement, + Le montant solde : prévu pour le rubriques comptes indiquant le solde de la rubrique de Vexercice ¥ Lanature du montant : Vutilsateur peut choisir entre trois types de montant a affecter a fa rubrique + Débit : seul ie montant débiteur du compte est affecté a la rubrique. ‘+ Crédit: seu! le montant créditeur du compte est affecté a la rubrique. + Mixte: le montant compensé du débit et du crédit du compte est affects & la rubrique. v La condition d’affichage : elle consiste & déterminer la condition pour que cette rubrique soit affichée, trois choix sont proposés + « >0> la rubrique ne peut étre affichée que si son montant est supérieur a 2éro. * «<0» la rubrique ne peut étre affichée que si son montant est inférieur a zéro. + « Toujours » dans ce dernier cas fa rubrique s’affichera quelque soit son signe. nple : Liexcédent brut d’exploitation et l'insuffisance brut d'exploitation dans Etat des Saides de Gestion sont deux rubriques qui s'affichent en fonction de leur signe. ioe] (FG) Peurracr rem ceroraren Négatit ~ Signe inverse ; Fiachage 1 © Toujous © Montent>0 © Montantea coma | es v Les régles d’affichage du signe : Selon la présentation souhaitée, l'utilisateur peut préciser le signe qui sera affecté a la rabrique, Exemple : Pour certaines entreprises, les comptes débiteurs prennent le signe (+) et les comptes créditeurs apparaissent avec un signe (-) dans leurs états de synthése ; pour dautres, tous les comptes s'affichent avec le signe (+). Cing choix sont proposés : ‘* « Garde le signe» : |a tubrique apparaitra avec son signe dorigine, + « Positif» : a rubrique apparaitra sans quel que soit son signe d'origine. + « Négatif : la rubrique apparaitra avec un signe (-) quel que soit son signe dorigine + « Nul» : la rubrique n’apparaitra pas quel que soit son signe d'origine. * « Signe inverse » : la rubrique apparaitra avec un signe opposé au signe dorigine. ¥ Compte départ : Cest le premier compte qui rentre dans la fourchette de la rubrique ¥ Compte fin : C'est le dernier compte qui rentre dans la fourchette de la rubrique a-2. La rubrique Total : Lé rubrique de type total est utilisée lorsquiil s‘agit de calculer la somme de plusieurs autres ubriques, ses attributs sont les mémes que la rubrique compte. Le programme permet de Choisir directement les différentes rubriques qui vont étre intégrées dans le calcul du total. = RUBRIQU aoe i RESULTAT D EXPLOITATION [el] Libetle: Montant [Coeificier] Total: IPROOUITS DEXPLOITATION 2295 265 151,88 -100,00% 2295 26615168 CHARGES DEXPLOITATK 9.273.831,85 ~100,n00, “9273 831,66 _ 100,008 Rubrique] | | [3300 saa oR ST Ferner t 7 a-3. La rubrique constante : Cest une donnée exogéne & la balance et que l'utilisateur doit fournir au programme ; c’est le cas par exemple de la valeur nominale des parts sociales ou le nombre de parts sociales composant le capital E01 Eee “I Tat | pa ee | _tonstane |} | nouvete | a-4. La rubrique texte : Cest une rubrique utilisée pour la saisie des informations alphanumériques dans les états financiers telles le nom des associés ou les adresses. cy 7 [eicias] Jason patie Teste flEAN TORRES Nouvelle mubrique Fermer a-5. La rubrique date: synthese. jans les états Cette rubrique sert & renseigner les champs de type dat de cléture de Exemple : les dates d'acquisitions des immobilisations, les dates d'ouverture Vexercice. 18 a6. La rubrique formule : Cette rubrique est utilisée lorsquiil s‘agit de calculer une rubrique 4 partir de plusieurs autres Tubriques qui figurent sur divers états financiers ; c'est le cas par exemple de la capacité dautofinancement et la variation du Besoin de Financement Global. a a RUBRIQUE: © BST Rubrique: Tibetie: Montant (Coeiticie r =| =Besoin de fnancemert cobal 5) 4968 506 S01 18] 100,00%| % [Postion [Livete [Moriant—[ROBRIQUE] Etat =a] B47 Caisse, reaies Favences el accrSaiif 0 14083 ACTF | pastoral’ a 44054 ACTF 802 Capital social cu personne! 1] ° 21002 PASSF | Guyvtir Modéle Aiout Modéle Supprimer Modéle Lorsque l'utilisateur a modifié le modéle standard du paramétrage fourni par défaut avec le Programme |'application lui permet de. * sauvegarder ce modéle pour lui permettre de utiliser ultérieurem + Festaurer le modéle par défaut ou un autre modéle quil a déja enregistré si) souhaite renoncer au modifications de paramétrage qu'il a effectué sue le modéle standard. tt. I- 4, ELABORATION DES ETATS FINANCIERS : Le programme permet ¢'établir l'ensemble des états financiers prévus dans le cadre du plan comptable général marocain, selon les deux modéles : le normal et le simplifié. 19 Gn présentera ici un exemple d'un état fourni par le programme (C.P.C) : COMPTE DE PRODUITS ET CHARGES {hots taxes} Exereice du au OPERATIONS TOTAUX | TOTAUX ] Propies @ [Conceinant | DE DE e | exercice |L'EXERCICE /L'EXERCICE | [ea] Une fois la balance est saisie ou importée, lutiisateur peut ouvrir I'état quil souhaite afficher. II pourra & tous moment visualiser le contenu d'une rubrique par un simple clique pour Y _visualiser le nom, le type, le numéro et l'ensemble de son paramétrage. Y _ visualiser le contenu de la rubrique a savoir les soldes des comptes qui composent le montant de la rubrique. 2 Eo S LIBELLE MONTANT >| - | | (VaRIAT fac [acra: MATERIEL IN DES STOCKS SESSION Total [AT 256 842.17 Quite: Boe tT Tb tf sur 18 i) 24 La liste des états financiers fournis par le programme est la suivante Choix de l'état & visu: PASSE, cee G Tableau finsrisen 5 immabilisstions autres que finar © plus ou esins Etat des titres de Tableau d Tableau di Etat de dotstions 5 aus immobilisations Tableau des biers en il des pastes chu du résultat met Complable ou résultat ret fi ly taxe sur la Je repartition du capital ctation des 1 wt do par les enteepr Editer la date dans les états = J Qui Non 20 1-5. LES OUTILS: Le programme dispose d'une panoplie d'outils concus pour assister l'utilisateur dans ses travaux : Plan de réference Liste des rubriques &nalvse par compte Calendrier Calculatrice snnuler modificatian a. Le plan de référence : Le plan comptable de référence donne la liste des postes prévus par le plan comptable en retenant les comptes de la comptabilité générale, PLAN _COMPTABLE Compte | Libette 1 it feats jecc [esene apa Toute teserves [repo a rouvesa [amat nets en metanoe Taectsion [ideutot net de Fox ar fubeentons Fine —fpravisons iglament rbtunt= Eloi owas [eater Geller de inaicoment ~ Ipreveions pouriaqiee [ormvmen= peur chores [auainentanian des creancet mama [miniton des dees de torcanent = [ais prdimnnares “ [eharaes & iepani Jrorsabilatiore an recherche et devakappeniant Viewers mangas arama valour 22 b. La liste des rubriques : Donne l'ensemble des différentes rubriques figurant dans les états financiers, leur libellé, le type ainsi que la valeur. Cette liste obéit 4 une logique de codification permettant a Vutilisateur de se retrouver : Le premier chiffre indique l'état financier (1 : actif, 2 : passif ...) Le deuxiéme chiffre indique la colonne (*1: actif brut, *2: amortissements et provisions,13 : actif net, 14 : actif net de "exercice précédent). Les trois ou quatre derniers chiffres indiquent le numéro de la ligne dans l'état. RUBRIQUE LIBELLE TYPE VALEUR > MOBILISS TION EN NON VELEURS [8] [oompte 372732 628,01 1002 ‘ais prelerinanes [Comete free [charges & réparti sur plusieurs ex [Comte 7004 Imes de Temboursemert des cblgat [Comte a0 Tao [HMOENISA TIONS INCORPORELLES [By] amgde ‘(273 an 638.2 (a [immobilisation recherche at develop mnt 300 (i108 [Brevets, marques, arofs et valeurs [eomte Too 10080 [Fonds commercial ame Tao iota [Autres immobilsalions incorporate [Foirate 73 506 898,28 Tyran IntiOBILISATIONS CORPORELLES [5] |comete [B81 249 085,85 me flevains loamete [S077 aaa ar ~ | fas [consrustions [Sorte 465 544 aD fiona inclalatons techniques, mat et ou comple (S10 TSB ORD ao Tiare Matériel de Franspart [ponte (it 196 849.59 Aan lier, materiel de bureau et een [480 245 5 TY fas [Autres imma conporelies Jbomte fist 084 385.5 | [rare litench, cerparelies en cours Sempte 548 343 808,37 | fries IMMOBILISA TIONS FINANCERES. Jeompte [129821 603,16 TV ira frets inmohiieds [porte Tiga Jauties créances Tirancibres compte Tras Tires de participations [pompte 7 ai0,06 [Budres tives immataices ange aA |ECARTS DE CONVERSIONS ACTS Ie] compte 57 058 GFT 8 [Oimirtion des créances imobiioee leomete ooo [Sugmentation des defies de finaricem [porte Ge 23 c. L'analyse par compte : t outil permet de présenter pour chaque état financier Les rubriques qui la constituent ~ Le détall des montants des comptes rattachés & haque rubrique. d. Autres outils Vapplication dispose en outre de trois autres outils - Un calendrier Une calculatrice évoluée que lutilisateur peut appeler a n'importe quel endroit de application > [a fonction annulation : Cet outil permet d'annuler toutes les modifications opérées Pendant une session de travail (depuis activation de l'application jusqu’a sa fermeture) Fichier Edition Position |Rubtique _{Libellé a0) 1011 IMMOBILISATIONS CORPORELLES [ey N° Compte| elle 23100000 TERRAINS CONSTRUC. ET LE CHEN 23180000 AUTRES TERRAINS 11000 BATIMENTS IN 5214000 BATIMEN Debit 23420000 ANNEXE 1-B résentation du logiciel | « ANADEFI » L II - PRESENTATION DU LOGICIEL « ANADEFI » Situé & mi-chemin entre les logiciels de type tableur et ceux dits programmes, cette plate- forme permet & partir des informations comptables, la génération détats financiers (bilan financier, tableau des flux...), des grandeurs financiéres et des ratios. En automatisant le traitement numérique des données et la générations des états, elle libere l'utilisateur pour se consacrer davantage a la réflexion et 'interprétation des informations La particularité d’ANADEFI cest quil est parfaitement paramétrable et adaptable puisqu'l nous a permit de concevoir ~ Bes grilles de saisie conforment la liasse du plan comptable marocain ; ~ Des grilles de saisie pour introduire des données et des informations complémentaires pour effectuer des retraitements sur les comptes ; ~ Des grilles de résultats qui permettent de concevoir des états complémentaires, autres que ceux prévues par le P.C.M pour les besoins de Vanalyse ou de calculer des ratios ou grandeurs et des pourcentages ; ~ Un modéle diagrégation de données qui nous a permis, a titre d’exemple, de mener des analyses sectorielles. II - 1. Les fonctionnalités d'ANADEFI : ANADEFI présente de multiples fonctions allant de lidentification d'une société jusqu’a la génération des résultats. Nous présenterans succinctement ces fonctionnalités a . La gestion des sociétés Cette fonction permet Kidentification des sociétés qui feront objet de analyse. Elle permet également dieffectuer des opérations courantes telles V’édition de la situation de traitement et lavancement des exercices, Numéro Dossiern'[ Nom ; Stout Su. [SARL Société B Responsabilité Uni =] Cations Segment Advesse Téléphone Télécopie Chithre dattaires |f Encous | | —————___ | Groupes et filiales i APE, NAF, Activité [xpertise conptobre 1 Infos légales Sion RCS :[ 15668 J123 Contacts | Anite compatte fh Inos Comptalos b. La conception : Cette fonction permet de gérer les opérations suivantes Modification des paramétres identifiant une société ¥ Conception d'une grille danalyse, soit par la modification de ta grille standard, soit par la conception d'une nouvelle. éfinition des documents de sortie. b-1. Modification des paramétres Cette fonction permet de modifier les critéres d'identification et d'appartenance des sociétés a savoir le type juridique de société, les segments de clientéle... (voir schéma ci-dessous exemple des types de sociétés) Associations é5 locales et territo | Coopératives ales EURL Entreprise Unipersonnelle 3 Resp. Linitée GFA Groupenent Foncier Agricole GIE Groupenent d*Intérét Economique SA Société Anonyne SARL Société 3 Responsabilité Linitée SHC Société en nom collectiF b-2. Personnaliser la grille Utilisation Rapport Quitils Menus Liaisons aid jets paramétres > | = Sapien > Grille standard Definition d'un document liasse marocaine Grille non définie Grille non définie Grille non définie t Envwoi d'une mise & jour Pour la saisie des informations comptables, le logiciel offre, outre la grille standard du plan Comptable frangais, quatre grilles personnalisées que l'utilisateur pourra paramétrer sel ses besoins. II existe quatre types de grilles d’analyse 8 savoir 27 A. La grille de saisie: Réservée pour la saisie des composants (comptes, totaux) de la liasse fiscale. Grille : La liasse fiscale marocaine alr 3 me] Forte Thr ci inmobited 3 fer 9 5 |5iF mt rate prélimina a ae brat | Ter antl | Sefer) she lr ncnz B. Grille de résultats Concue pour fa détermination des résultats de Vanalyse, ces résultats peuvent se baser soit sur les données saisies directement (fonction : C + code compte), soit sur les données des exercices antérieurs (fonction K + code compte), soit sur les variations entre deux exercices (fonction @ + code compte). Grille : Résultat et outils d'analyse (CREST ee] Leal alae Formule Jal 333] | | 228 —_Tonds propres mis en oc| lezaevcza7 yao] | 1229 inves de croissance ¢+crécal lana ansearce | [a | 10 augredie a BF i 12 27 vest tnancier j laws 143 | 234 idéfina, fina externe: (C2Z28+CZ29+CZ30 o 147 lerunntobitare |S i [io eng hance (sre ceaziconn 18 234 amélior, dégrod deta tré casczxasces3 i 150 | | 235 |teéso intergroupe ! aod of C. Grille des prévisions : Sert @ calculer des prévisions en se basant sur les informations précédentes et les pourcentages de variations estimés. D.. Grille de définition des éditions : Sert a définir les documents de sortie 8 imprimer. 28 b-3. Définition d'un document : i consiste @ définir ia structure que prendront les résultats lors de impression afin de les séparer en fonction de leur nature (masses, ratios, taux d’évolution ..) [REPARTITION DELAV.A]| ES.Gen%DuCcA _| [pee # | (Cibene [chsrde pesennel [@ IMaige brake it dinte Maleur ajcute [Etat ERE EEsiennie ect c. utilisation : eee WEQIESIEEE Aeccoc Gunite once Grille standard liasse marocaine Cirle never cf 4 Bille nen cheninie Analyse de groupes Import ¢ Export > Ce menu permet ie démarrage des travaux de l'analyse ~ _ La saisie des informations comptables dans les grilles de saisie pour pouvoir générer les résultats selon les grilles de résultats déja congues. La création de groupes d’analyse et l'agrégation et des comparaisons inter-sociétés et inter-groupes. Il permet ainsi de constituer des gr upes de sociétés selon des critéres de sélection (secteur, chiffre d'affaires. ) et élabore des états de sortie relatifs ou groupes: de sociétés constitués ¥ Calcul des grandeurs (cumul ou moyenne) par groupe, ratios sectoriels, etc Y Opérer des comparaisons inter-sociétés et inter-groupes par rapport a une société ou un groupe de référence > Les opérations importation et d'exportation des données de/vers d'autres logiciels selon différents formats : v_ Importation des données & partir d'un fichier ASCII, v Importation des données a partir d’un fichier créé par d'autres bases de données (DIANE, S&W, ete...) v Exportation partielle : cette option permet de sélectionner un ensemble de données et de créer un fichier ASCIT dont on aura défini le format et les séparateurs pour son exploitation ultérieure sur d'autres SBGD, d.. L’édition du rapport : Ce programme intégre un rapport d'analyse paramétrable, il ne s‘agit pas dun systeme expert, mais une aide a la rédaction de l'analyse proprement dite. Un canevas de rapport se Propose avec l'ensemble des informations connues déja remplies : éléments de la fiche societé, chiffres salsis ou calculés. 30 ANNEXE 2 | uide opérationnel du diagnostic 1 - SCHEMA DE LA DEMARCHE D‘ANALYSE Prise de connaissance générale - Quelle entreprise ? ~ Importance de lentreprise, Organisation Environnement - Qualité du management Travaux préparatoires du diagnostic financier La collecte des informations - inspection de ces informations les retraitements - la confection des supports de Fanalyse _ Diagnostic financier ~ Calcul des grandeurs financiéres synthétiques - Mise en ceuvre d'une batterie de ratios Synthése et recommandations ~ Emission d'un jugement - Recommandations et decision finale Fiche signalétique de Fentreprise = _ organisation générale Les fonctions marché game de produits position concurrentielle | Fequipe drigeante diagnostic de gestion | [| amnee |[ crc [sian] Lae yoy Y is Etude des postes clés J Impressions Tests defablité des données bremigres | | |{—— i —_ [Bilan financier | | Bilan retraite | | [crcre Ls: L = de flux mer 4 bo Confirmations successives des forces et faiblesses de Fentreprise ——— | Synthase du diagnosti i 32 II - PRISE DE CONNAISSANCE DE L'ENTREPRISE v Siége social : Forme juridique : v Capital social : v Gérants: |v Date de création v Objet social : v Secteur d’activité : ¥ Date d’agrément : | v Registre de commerce : | ¥ Identification fiscale : ¥ Affiliation CNSS : Vv Exercice comptable : |v Effectif : vy Date de Mise a jour: 33 TL- 2. Support n°2 : Organisaton générale » Objecti Y Connaitre les acteurs de lentreprise ; ¥ Vétifier la présence des outils de gestion ; ¥ Apprécier la qualité de la stratégie ; “ Mesurer les risques se rapportant a lorganisation générale de Fentreprise. a. Les acteurs de I’entreprise : Loge moyen des dirigeants est situéente: OG 30et40 = atetso. og st et plus existence du plan de succession D oui © Non Le style d'organisation : © Higrarchique O Fonctionnel O Autres 8 préciser La qualité de la communication interne © Bonne O Moyenne 1 Mauvaise Existence d'une politique de polyvalence : O oui O Non Recaurs au personnel extérieur en cas 0 Oui D Non datsence : Vexistence d'une politique et d'une 0 Oui D Non Procédure de —recrutement —_connues, comprises et appliquées par tous Est-ce quil existe des objectifs de promotion 0 Oui O Non interne, de leur réalisation, de leur prise en compte dans la politique de recrutement : Le personnel est-il adapté aux besoins de 0) Oui Non Ventreprise 34 b. Les outils de gestion : Les fonctions ci-dessous existent-elles au sein de l'entreprise : Gestion budgétaire Comptabilité analytique Contréle de gestion Département informatique Systéme de controle de qualité ¢. La vision stratégique : Existence d'une stratégie : Quelle type de stratégie : Les objectits visés par cette stratégie Ces objectifs sont-ils clairement définis : 35 a a a a a Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui ee er] Non Non Non Non Non Non Non d. Les risques inhérents : Les critéres de maitrise de I'activité |. Existence d'une | _ informations ? Si oui, Est-elle respectée ? procédure de membre de définies et 2. Les _responsabilités de Vorganisation —sont-elles connues par tous ? chaque clairement 3. Est-ce quill existe un organigramme a jour ? 4. Les liens hiérarchiques sont-ils clairs ? 5. Existence d'une ligne higrarchique réduite ? 6. Existence d'un recueil de procédures internes ? Les régles et les procédures sont-elles. clairement définies et connues de tous ? |8. Existence diindicateurs pertinents et fiables mesurant | _ lefficacité des différentes fonctions de lentreprise ? }9% Les actifs de Hentreprise sontils correctement protégés (acces locaux, accés stocks, sécurité des immobilisations) ? | 10.Est-ce quill existe une couverture exhaustive des dommages par les assurances ? 11.Est-ce quill existe une revue périodique des assurances et une mise en concurrence ? remontée des Les risques informations ; + Mauvaise communication ; | + Retard dans ta remontée des + Perte de temps. j + Perte d'efficacitéen cas de! départ de personnel; | + Réalisation des taches non} adaptées aux besoins ; \ * Absence de pérennité des) modes de fonctionnement. | + Difficulté de réaction rapide aux évolutions de activité, + Perte financiére en cas de sinistre ; | + Litige avec la société! dassurance ; | + Risque de vol et | de Confidentialité perte Lo - 36 IL-3. Support n° 3 : La fonction commerciale ~ Objectifs: ~ Connaitre la position commerciale de lentreprise, sa place dans le secteur et les produits qu'elle fabrique ; ¥ Apprécier sa force de vente et sa compstitivité ; v” Apprécier les risques inhérents & la fonction commerciale. a. Type de produits fabriqués : + Produits * Fabrications 1 Specifique Standard * Production Sur stock Sur commande + Activité Saisonniére Continue b. Type de clientéle : + Clients O Clients divisés O Clients concentrés * Degré de fidélité de la Tréstidle gy Fidélité moyenne 0 Fidélité faible clientéle * Conditions de réglement = 0 Par effet Par chéque 1 Espéces + Nombre annuel de factures + Nombre = annuel — de réclamations cc. Réseau commercial : Nombre de représentants et concessionnaires + Existence d’un service aprés-vente O oui O Non Situation concurrentielle : Intensité de la concurrence OG Forte QQ Moyenne 3 Faible Principaux compeétiteurs (8 classer par ordre d'importance) Part de marché ©. Contraintes réglementaires : 38 f. Les risques inhérents : - Les critéres de maitrise de l'activité 1. Existence d'un fichier clients fiable et complet ? 2. Existence d'une procédure relative aux bons de commande ? Existence d'un fichier produits ? Procédure —dautorisation des. commandes ? |5. Le traitement et te suivi des commandes sont-ils rapides ? 6. Est-ce quia toute correspond une commande ? prestation Est-ce que toute livraison donne lieu & facturation ? 39 Les risques Perte financiére en cas de ventes a des Glents| insolvables ou en cas de dépassement de limite de crédit. | Etablissement dune commande avec des| éléments différents de ceux autorisés. Retard de livraison aux clients ; Perte de commandes. Livraison erronée ; Livraison non autorisée ; | Retard de livraison ; Non facturation des marchandises livrées ; Impossibilité de contrdle de la facturation. | Erreur ou absence de facturation de produits livrés | Retards de facturation ; Litige avec les clients. IL-4. Support n° 4 ; La fonction production + Objectifs : ¥ Avoir une idée sur la fonction production ainsi que la qualité des produits fabriqués ; ¥ Estimer le degré d’automatisation et de technicité ; v Mesurer les risques intrinseques 8 la fonction production. a. Appareil productit + Cycle d’investissement OD Long 1D Moyen O Court + Degré d’automatisation J Fort O Moyen © Faible + L’équipement informatique 0 Bien équipé OD Niveau moyen (1 Sous-équipé b . Compétence : + Brevets, licences détenus et exploités G Non 0 oui + L'existence du contréle de qualité D Non O oui C. Investissement immatériel : + Formation G Fort Moyen OD Faible + Recherche - Développement 0 Fort O Moyen 0 Faible + Logiciels D Fort 1D Moyen O Faibie d_. Les risques inhérents : Les critéres de maitrise de I'act Les risques | i 1, Est-ce que la production est planifiée de Production en déphasage avec les prévisions! facon @ réduire les colts leur] de _ventes et disponibiités de out minimum ? industriel, I 2. Est-ce quill existe une procédure | | information du service Achats des! - Insuffisance ou excédent de matiéres | | | = 4 impératifs d’approvisionnement ? j Est-ce que la production traite les! - — Perte dinformations, erreurs ; quantités requises, conformément aux) - Quantités & produire inadaptées ; spéctications et aux plans de! - _Incompréhension des étapes du processus production ? | de production, |* Est-ce que les périodes d'interruption ae! ~ Non réalisation des objectifs de production ; | Ja production sont minimisées ? - Perte defficacité ; | ~ Interruption de la production. 15. Est-ce quil existe un recueil des normes| - Ignorance des lois et réglementations | et mesures de sécurité ? | 41 II- 5. Support n° 5 : La fonction achat » Objectit ¥ Superviser les conditions de déroulement des approvisionnements ; ¥ Vérifier que toute commande est formalisée et autorisée ; v Verifier que la procédure de choix des fournisseurs est efficace, ainsi qu’a tout facture correspond une réception + Types de produits (ou matiéres) achetés + Types de fournisseurs Divisés Concentrés + Degré de satisfaction (%) pour chaque fournisseur + Moyen de paiement exigé O Espéces O Chéques 0 Effets + Sieffets, délais accordés OD >a30j) 0 >a60j O >a90j; + Part de dépendance envers chaque fournisseur a. Les risques inhérents : i Les critéres de maitrise de l'acti | Existence d'une prooédure d'auterisation al dépenses supérieures 8 X KDH ; | |2. Existence dune procédure dautorisation et de | signature des commandes ; 3. Est-ce quil y a une séparation de fonctions entre | demandeurs et signataires ? Existence de bons de commandes standards | prcnumeérotés, contenant toutes les mentions | requises ; } . Contrdle de bons de commandes par-rapport aux demandes d'achats ; Réception des livraisons en des lieux définis ; Classement des bons de réception en attente de factures, | 43 Dépenses contraires 4 lintérét de lentrepris | Achats non —_nécessaires (commandes personnelles) ; Achats abusifs ; Litiges avec les fournisseurs ; —-..| Méconnaissance de livraison ; | Non conformité en quantité ou en qualité ( par- rapport aux bons de commandes) | IL-6. Support n° 6 : La fonction informatique + Objectifs Y Sinformer sur la pérennité de fonctionnement des systémes informatiques ; “ Sinformer sur les modes de protection du matériel ainsi que acces logique aux systémes informatiques ; ¥ Dégager les risques se rapportant a la fonction informatique. + Degré — d’informatisation _(effectif/ nombre de micro-ordinateurs) + Type de réseaux existants + La durée d’amortissements des micros + Type de logiciels utilises a. Les risques inhérents : Les risques Les critéres de maitrise de activité - oo installations, matériels sensibles et suppers | informatiques, programmes, magnétiques ? fichiers de données ; 2. Existence dune procédure de sauvegarde a programmes et des fichiers de données| | (Fesponsable, fréquence, lieu de conservation...)? | - Diminution de la compétitivité de la | | société, | | | |* Existence de moyens de protection des, - Destruction des équipements | Perte d’informations stratégiques ; |3+ Existence d'une protection contre les virus la Existence d'autorisations ‘acces aux systémes| - Pete de confidentialité ; I informatiques, aux applications et aux fichiers (codes d’accés d'informations ) ; ~ Perte de qualité des informations. 5. Existence d'un responsable de Vattribution des | niveaux de confidentialité et de ia gestion des | ; autorisations d’accés ; | \s Définition d'une politique de choix des maténets| + Inadéquation du systéme | informatiques ? | information aux besoins de ia | | société ; |7. Existence d'un schéma directeur décrivant état actuel_ des syst&mes diinformations et leur évolution ? > Absence de maitrise du volume de | travaux informatics ; | - Perte diefficacité, le. Existence d'un budget et d’un suivi des cotits ? l 45 IT- 7. Support n° 7 : La fonction stocks + Qbjectifs : v_ Identifier les caractéristiques sous-jacentes a la fonction stock ; % Siassurer de la réalité des operations se rapportant aux mouvements de stocks : Svassurer de la correcte valorisation des stocks + Nombre de Personnes responsables de la gestion des stocks * Ces taches figurent-elle parmi 0 stock O Taux de rotation C1 Taux de rupture les travaux assurés par cette minimum des stocks des stocks fonction * Est-ce qu'il existe des régles de (1 Zones de 0 Etiquettes 1 Rangement en rangements de stocks ? stockages —_apparentes hauteur a. Les risques inhérents : Les critéres de maitrise de I'activité |1. La procédure d’enregistrement des entrées et des réception et des bons dexpédition ? des bons ? Existence d'une procédure de rapprochement des bons dexpédition et des bons de commande ? 4. Existence d’une procédure de rapprochement des sorties stocks et des facturations ? 5. Existence de régles formalisées de valorisation des stocks (factures d’achats, frais de transport) ? 6. Existence d'un suivi de a rotation et de ancienneté des stocks ? 7. Existence de régles de valorisation des encours ? |8. Les retours de marchandises sont-ils repris par une procédure ? 9. Etablissement systématique d'un bon de retour siané par une personne autorisée ? 10.Analyse des causes de retours et ‘opérations engagées ? | 11.emission tun avoir au cent ? 47 | sorties en stocks est-elle certifiée par des bons de | [2. Est-ce quill existe une numérotation chronologique Les risques Montants en stocks non justifiés ; Pertes ou vols de marchandises + Rupture de stock Résultats comptables erronés, Valorisation des stocks erronée en, comptabilité ; Calcul de provisions erroné. Litiges avec des tiers | Risque de détournement 8b | “weqinspu np uonenjersins no snog | fsaquare} sanjen suioyy San|eA SUIOW nO snig “seliad sap au9yiq ! eppap quawiessmowe,p | aunp 2 ugjas JEUNE Np uoReLoyWY + |MUAWIRID SP UOReN|eRD 3a aIMeN - seyavodsoou) | | qUBASSROWe,p assay, | ! sansiBaiue Suowslp sop amen, 21pm e@ squlog sap saysog S91 saisod sap apme,p neaiqex : gu uoddns - g - 11 suogesyqounuy | ‘sonbgeid squawassriowe () uodsuen ap | Sep assay 48 uMeN = jauiBreWy “Sabeyizno 79 sjouaepy feyeuuapuy — - 'sanbwuy237 suoneyesuy ; = — =| uonevoldxs, e Lou no uoneDayy i Squenai6 | -pnsiBauue vow sisseg - | 52) senbgipoddy no sayaing - ! Isaquayey | ! aquanas ap |SeMeA SujOU no snjg -/NO JalWaDe\dwas ep ayjaas snajen — (€) suogonysuos 32 sueuay a — =e i } snuaAa! Sop queUUOp asiida.quas Jed s9ei0 |st84019 39 senbiew : sspasibaiua weunspanp | Uou sajjaiodioau) suonesyiqowwy Uonenjensins no smog - ‘sapnaype i saquaye; —|sanbew 4a syanauq i spqsibaua @ 6b | yeunses np uonewnseins no snos | ! sor6uens aiqeyduoo quowes's\Baiua,p | saleuuow ua mje ap apounay - jseouea4a yo sapap sap | { spaysiBaiu9 uoisianuca (lysed oRenjers ns mo snos -/ap sues? sap aumeu 19 aUIBuQ -\9a Jave vorsianuoD 2p suenz | ‘quawasunoquia: (8P_sawiay 39 saniosse quos 52] quop saj]amuand saqueses Sanlen SuIOW no Seuog -|sagnsiBaiue saoue— sap SimeN -|(Z) saspoueuy suonespgowtur _ tL — — | ‘sansiBaiua xnenen sop uonenjeng 1a ainien (9) sinoo | -|# Ne Un e adDyax— UN,p LoAN|ONy — ya sayasodso2 suonesigowur “eynsai np 1 | | YUOWOSSPOWE,P assaUA ye simey -| { | reuse np | fuoneyoidap | | wonentengins No snog -/suiosag xe quewiantaajio fsaquaje; — | uepuadsa.i0s i {SeNIeA suIOW no snig | ‘Siuawaouade (5) suoneyersuy + | Stuawaruabe eHIQON eee ee cer teonbss eplemscy os “yeynsas « Squaip » axdusod aj uns « syaya » sap yoddey [np uogewnsains f aaine un @ @21919x9 uN,p UoAN|OAy {no snos, { ednos6 owl np sax=pos sap ins spun saya -| -xn2 ap adueEYDa,| ‘s}aYo 9] ij i |‘ Sequoie| soweg —-/ smenai quos quop sasmyeubis sep amend ye amen -| (77) soaanas e sjayy - |_| | _ pe ee ee) i I | i j soanyysuoa | | SUOISIAOIG SBP 33 SYuAID sadwoI sap uoAN|ony - | | | { aygPos | | | aeunsp1 |e} & saguaiedde sayeD0s sop no sajeliy sap | | MP voRewinseins —/eaye91 uB quos ib Sjuay sep uoU no DUNS | (on) i | no snog ‘ seoues49 sep abe raya sioy) sayseyes | ‘smuaie| sated -/1ed aauejeg : squal sop eyiqerios e ap aunsayi alae 72 SUI —_l —— = aout 4 | | “SAAneayIUbIS SUOReUeA sap UOAeDIdxa | 38 BANE UN e BDID!8Ke UN,P $40}8 SOP UONNjong - ‘quauewiad aulequanul un,p aDuaysncy @3I08q0 “WoW y>035 : sapeud9p ° SDOI £ (@dno46 np saq9I005 ane suoneigdo) sa6 eu ®P UoReIOdoUL : SpOIS sap UOISsaD |p xug £1909 Sap jnoqe9 a] inod spiodioou) siuawarg ! 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Tests sur le F.R.F Les réserves Passif Résultat du bilan 4 (Réserves + Report & nouveau ) Résultat n-1 - Dividendes payés en n nouveau ) ‘ P A Réserves 4 Ce Report 8 = Résultatn-t ~~ Divide Tee payés incorporées en a) capital 4 (Reserves + Report a = Résultatn-1 - Dividendes + Mouvement direct sur réserves » Immobilisations autres que financiéres Variation Immobilisations Investissements — Dotation aux amortissements/aux Valeur nette des immobilisations provisions cédées » Immobilisations financiéres Variation Addition Dotation Valeur nette immobilisations Immobilisations = Immobilisations — aux — financiéres cédées/remboursement financiéres financiéres provisions des créances 56 > Emprunts Variation Emprunts L.T. ~ Provisions a caractére de réserves ou pro Variation des provisions = Addition Emprunts L.T. Dotations aux provisions Remboursement d'emprunts ions a long terme Reprises de provisions IV - CONFECTION DES SUPPORTS D'ANALYSE IV- 1. Le tableau de flux x (n-2) EX | EX [Moyenne (+) Marchandises vendues Coa) (nm) ((+)Production vendue (biens et services) |(+)Subventions d'exploitation ICHIFFRE D'AFFAIRES (41) Production stockée ou immobilisee |PRODUCTION DE L'EXERCICE IC) Achats consommés. (2) Charges externes (hors crédit-bail et personnel extérieury [VALEUR AJOUTEE PRODUITE (Dimpais et taxes |(Ocharges de personnel (y compris personnel extéricur) |EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION |CjAmortissements économiques |EXCEDENT NET D'EXPLOITATION \C) Dépréciation des actifs circulants (>) Autres produits et autres charges [SOLDE ECONOMIQUE (1) Reprises et dotations aux autres provisions — [(- iduits et charges non-courantes (4) Différences de change IGA Résultat des réalisations d'actifs |Chimpat sur les sociétés |SOLDE FINANCIER (+)Produits financiers (Frais financiers FORMATION INTERNE DE CAPITAUX PROPRES [QDistribution des dividendes |(+/-)Apports, retraits de fonds propres FONDS PROPRES MIS EN EUVRE [investissements de croissance (y compris erédit-bail) \ugmentation (+ réduction) du B.E.G |DEFINANCEMENT (+) FINANCEMENT (-) EXTERNE +/- Emprunts obligataires (C5) Emprunts bancaires/ crédit-bail K+/-) Ajustage |AMELIORATION (+) DEGRADATION (-) DE LA TRESORERIE, 58 IV- 2. Le bilan financier Actif Passif | 7 - | | ACTIF Fonps IMMOBILISE | PROPRES BESOIN DE | DETTES, FINANCEMENT | FINANCTERES GLOBAL | NETTES 09 one 9 9p uonenaidde,|snod uonespp|suoD ue aipuosd @ 3S8 (s01N9} Bp Yaya) suNqerUoA | | ans quawayapua,| ap aouanyu,| ‘sIOJaINO| “SHEP S=P [e10} 9] DOAe 4De| ap queyUoW 2 | yuasedwoo srapuea.n 59] anb S192 puaidwod ug “sayap sas Jasinoquial e1inod aside. anb 41122 $85 2p uonepinb) a 1ed 35,2 ‘quawiesie.d snjq “qUesyns suIOWNNEd unN,p oyNe}| ‘sinaigid $35 2p ajquiasuay s26euwopap exinod ou asudequa, ‘syiiey ud asiw ‘onbsi0) eipuainuns 12-91] “pigad Jeudes np awed e| 359 ajedouuid aqules> ej “ia!oue=!D nO. smog Jepuewy yay 1eqo\6 asudesiu| suep spBebus ssnatiaix9 xneudeo sap spiod 9] atuudxa |] | BURY USNOU TS buo,F S3y15G quaweyepue,) | sastidanua sapuei6 sa| Zay> squeino2 Snjd aypuenss Ua quos Inb ‘spnas sD quawarDysIp yuaUBlONe “3"W'd Sap Wednid 27 unsanui @ Jasued op quene saidosd xneydeo sas saluouiBne yop asudagua, sjnas 599 ap eep-ny ‘senaip SuIOW 4Wos ssyed ap sanbsis sj quop ‘sajeniowWoD saeye sa} suep WnWIUIW ne oz - | ! @IMaS ap No saljainsnpui seuleye sa] suPp WNW ne %Se - | | (sroypueyd sao [24251K@ svalouep.o so}) e sugeip.s yop wioddes a> anb anuow asuavedxe, ‘anbreid e| sueq! aaa | “FEPUeUY Ue}IG NP aannAs J2DUEUY ROY syau saudoid |P| Suep sgjusse xneqideo 32 saidoid xneydeo sap uoniodoid e| ssunsaw ap yaullad 1 SoU SSMOIT SPU spuoy sap xney aoe eeeeeeeneees — f _— | | suoneyeadioquy I soney 014 Sap ainjey | Ssa1oueuy seuquinbs soy ~ aungongs ey + SOLLWY S31- A 19 3eupIUL XNe) Sap assney ap no aIGe}UaL sma] ap assieq ap seo US snjd nad un 2uasiyGey as ‘eauepuadgp ap uonenys ue sasuda.qua so] 'suly "uawerueUYoIne, uaquosqe ouesinoquia: 8p s2Bieyp soj ‘ued anne ‘siyoud S91 quaIndwe sio}aueUy siby soy "ed Sun 'suo5e) XnOP Bp 8/89 Ye ‘SuGeIUaL eS qUELUB.EpISUODUI JoNeUB nad slew /esiido.nuS PP eouepuadapul snod anbsu un suino> quaweinas UoU yey quawayapuas ap near a, uowan@Duasap UN g BISIS5E UO d.le.AUOD Se> a] sued “aap e| ap uoREIUaWENe aun | aaa esas wows>ueUy np 289 and aqueUodus snd 3s9 SuIosoq sap uoNeIoUIEne | 'S “Seidoid Spuo} sep quewassio!n.e,| 3p 18 SUOsaq Sap UOIDUO) 389 aRIEp 2] ap ONIONS | “Teqoi6 quawaxepua,| ap edueyedwi) aouaping Ua amu ap yeuwad inb ones ad p16 52u1 | sepueuy say /SuOne Snou “padse ya) sau! xnaIW ap uye Jo ‘IsuIY qUaUEWIOd quewacueuyy 2igeiu8n (hpucaersoumey sno) Ui U2 IueUHO,SUeN aS “8IUe}SUOD SduepLAY aUN yUEAIASGO UD ‘SUpE:D $35 “( SUBANODRP | sSieton salsovEU Sten | ‘essie9 ap spudes) dua} nod e sautesueq supe sap ® suno3ad a} aed quassisanu! . 7 jwaUUONDUOJ seulD.0/eW seUUY sap Uednid e| JaUD ug qwaWeREpus,| ap uoRenjena,| BP oulgiqod | seuINde dane asod 13> “ouD} UaAOW 19 Bud] & SeN@p Sap aouasqe, seo S9P SUeP o4IOn assBIgIE) P| IS9 SUIEDOVeW SUE SEP a.@DUEUY auNJoNWS e| ap aqueinamed ey] i i | 49173] 9P YYJ0,| ap shisod yoeduuy| ap asned e E°1 e jeGa/ augpueuy aygpueuy alwoudyne,p oles UN ane qUayUNidWE 38 YuaJadsoud ‘quaddojanap as inb saignos | ‘a!wouozne,7 [P Setcuiox® sop aisKe Ways Ug “anger, san quepuads> eqsou on: a2 Bp UOneIelazurT| | | lasts snd 19 siuesuno9s sous ww) Une @ SWBLOUEUU AP! ca gascoud eae | | Balun 26 Vos saidoud xneaided sas JeUawbne yos au0p eunap af}j “aWIa} & wowenepuD | suTSyTEROUT IS BUOy e SSSG puedes ap sed no nad e asudaque, anb up ynad uo “1 @ anayadns ya ones a2 anbsi07| : / “saudoid spuoy xne yioddes sed sauiayxe xnewded sap uonodoid e| aunsow jt | i | i t sones suonerpadiaquy soney sop aunyen z ‘Sa|QIUOdSIp 2U0 S9UUOP sa] anbsio0 |ueuisoueuy ap Ue;d np saguuop saj ans aseq as uO ‘no}e9 os snog | ' anny s2DUeUY augiyMba,) auLOAIpUED syiqeqUa! 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SUO|e 2495 BAREUUDYE,7 “sjaquasse siojdwe saj sANoD nod aug\UELY sduessiNd | ap anbuew un Jed jssne aunpesy as en ejs5 “aingHadwiod e} ap ajo-aujewop |] Suep Jgonpoid aU~ASAS Mp ajquiasua,| Jed JeoUeYSIP yey a5 asudaqUa a1199 Snjd 3 %OE AP Snossap-ne puarsap asudanue auNp aBiew op xne} a snig ‘jeuuosiad ap sie sa] 49 UONINposd sainofe unajeq ebiew : 2]: Saiqeuen xnap ap quowouleuips0 puadgp a61ew ap xney np LoNN|ons|. 703 | ep xney 07 sones sap suoneydsaqur soney ann anbiwouoss ayjiqeyuas ey ~ puugeyues ey + sanne,p @ sasedwo> aj snod oney a> e evassal5iu $85 @ 2eYNSp4 UN syues @ asudanU ze “suowore | eauaod 91058e,7) “saureuuoe ap sipedeo e| ainsaw 1 “saudoid spuoj xne quauia|fanuaIOd yUeUaNa! ajeqoj6 UoReBUNWe Ap xner Ne puodsE.1:09 jf i anb spiod a} ou ‘suida.que,| ap syeyInsBu Sal uns sauap sep arvues aj ajuasaida,! nse 1 ‘esuidaqua, Jed euoddns [991 IBIBIULP xne} | 359, “406 @ snaUUl os ones 29 anb auepuade> Youpe! YO “HEP e| ap quawassipsnoje un Jed anb aynug abew e} 2p yuEWwessira.qas 1up Jed uanbydxas uaig jssne ynad aBedessp vos ‘augiueUy aduepuadsp | @P 944u9 und eualep sdueRe snayeoipur_un sBeuerep ys9 odde: aD) suoneapadiaquy syau sosdoid spuoy argoueuy PUTTY pUgewey seugpueuy sonag ‘SOPUCUY STEN astudasqua,| | ep youd np % ua sagapqut SargDUeUy SSBIEYD sones sap sonew amen &L squaware|d saajne, @ 4asedwoa 9 nod ones a9 e evassaipUls januaIod aKOSse") “(SD awe2sy | 32 syuesnos UoU squaUIZ/9 sap aydwod s1us, sues sasleUUORDe sas sangla9! e |esudanua, ap gapede> e| 1uawoleb9 ainsaw [J “sazdoid spuoy xne sqau seudoud spuoy wowolenuaiod queuaAd1 UoHexpuNLp! ap xne} ne puodse.ioD 1) (SIRISTEUY ied] — UOAETO|ERS |p TEUNSHAY F (SLD MET OOT) | -(saiepueuy saBieup -ssoiueuy |Suinpoid) spueuy yeynsB2 np yeduli) ap aydwc> sua) sues! aeanole unaien, ‘spynofe snajen 2} @ yoddes wed eYNs94 Np Nea 9] ayeLedde yey i OT x TeDueUy SPOS "B4RIULP xnez ne unauadns aig ‘adiDUUd ua ‘op gnD}e9 xney 2 ‘anbsu un yssne yuayoddns inb | | [slew asudanqua, ap quawassiuauuas syanen @ seoy9uIq sino| quasyeyde No sepuepwip sap quangigid inb saeuuoNse say - i 9*uBid yeipwU) UN quaAIOSuad ND Sunayud so] —_ ' = siunas arpueuy | |sesrewuome 39 sunaygid ‘xneydeo ap sinayodde sa) sanquiss spSe6ua xnexide> punigewuas | 2 spedeo es suep apyeidde asudanua, ap asuewsoyod 9] arayos || Ty Sp|OS | ap xneyz a7 i sonei sap soney aunen be | ‘S0u125S029U OS SiNaLIgIXS Sodde sap ‘UoUIS ‘aoueSsind ap yuapanxe jun a6e69p asudaqua, (5'4°@ ua ye Jnonpaid jeyideo ua quawessaserur) ‘@2URSSIO.9 8] Ap SBU SUISAG Sap UeIUOW Ne aunaluadns ysa saidoid xneqided| 8p BUDIU! UONEUNIO) ej IS “ILS UZ “BABID S—x} YS NeAAIU LOS aNbsu0] « MOY Use2 814» ap UONUaI BP aAReIeI syYIGeqoId aun sloyo]noy awudxD | a@yod es ayKul] away anbeyD ap sajqiuodsip quowassnsanu spuunyoddo s9j sano} a.3eWUOD ap SyIqISsodu,| slely “SeuLa}xXe spuoy sap @ sinodal ap asuasqe,| UB aWEW ‘8D 1@ aLi8l0s9.3 e| ap Jo19UBB e sapmnde sina] anieredde ures ap salja nod uoSey aun ysa2 se) ayAMep syoddes suna| ap euped a} sUeP SasudaqUe saj Jed asyN snjd Ue snid ap 23 ONeL 2) S]USLUSSSASAAUI $9] $N03| ap quawaaueuy 9] sgude ajquodsip ayieiosay ap xny a sainsaw ap youuiod jf suoneraidioqur squaWssnsanu) ua sulosag RTEUGED SOP SUISTUT VOSA] BT soney at4as059.9 ap you uapzoxe,p xney. sones sop eumen, ANNEXE 3 es états d’analyse de l’enquéte sectorielle SECTEUR CHIMIQUE ET PARACHIMIQUE 76 I - SECTEUR CHIMIQUE ET PARACHIMIQUE 1-1. TABLEAU DES FLUX ie 1996 1997 as98__| Matcrandises vendues 33851533 | 40431052 | 44116 335 + [Production vendue (biens et services) 489 253.274 | 224.403 333 | 245 293 +|Subventions d'exploitation | 401 127 232 993, ICHIFFRE D'AFFAIRES 223 104 807 | 264935512 | 289642 782 + [Production stockée ou immobilisée 17 896 554 “3453112 | -12 889115 PRODUCTION DE L'EXERCICE 241001 361 | 261 482400 | 276 753 667 JAchats consommés. 151726933 | 158125510 | 179.890 233 [Charges externes (hors crédit-bail et personnel 22290685 | 26579515 | 27683778 lextérieur) =| VALEUR AJOUTEE PRODUITE 66983743 | 76777375 | 69179656 Impéts et taxes 2356 708, 2.246 883 2538 967 - [Charges de personnel (y compris personnel 38630432 | 43271056 | 45479628 | jextérieur) EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION 25996603 | 31259436 | 21161061 ~ JAmortissements économiques 21358086 | 19341803 | 23 709 816, = |EXCEDENT NET D'EXPLOITATION 4638517 | 11917633 | -2548.755 +/] Autres produits et autres charges -192 236 636 966 1687 203 |SOLDE ECONOMIQUE 4446281 | 11280667 -861552 | Reprises et dotations aux autres provisions -3.425 381 792200 | 20402 698 Produits et charges non-courantes 17775977 | 10.064 605 1 047 289 Différences de change -30 163 684 464 774 445 Résultat des réalisations dactits ~ |Impot sur les bénéfices 5.170 335 7 257 960 5717 578 = |SOLDE FINANCIER 13596380 | 14195048 | 14096412 + [Produits financiers 3 662 015 3 753 035 3 847 298 Frais financiers 8372481 8 974 052 9.214 286 =|FORMATION INTERNE DE CAPITAUX PROPRES 8885914 | 8974031 | 8729424 - [Distribution des dividendes +1 Apports, retraits de fonds propres 8 908 678, 1624342 | 22149872 | =|FONDS PROPRES MIS EN EUVRE 17794592 | 10598373 | 30879296 ~ |Investissements de croissance (y compris crédit bail) -26 199282 | -23 493 255 4776 254 lAugmentation ou réduction du B.F.G -27 582 850 2 339.668 7 682 318 DEFINANCEMENT / FINANCEMENT EXTERNE -35987540 | -10555214 | 33785360 Emprunts obligataires |+//Emprunts bancaires (y compris crédit bail) 5 156 804 3.79 600 -3 799 265 AMELIORATION, DEGRADATION DE LATRESORERIE | -30830736 | -6975614 | 29986095 I TRESORERIE PASSIF -30830736 | -6975614 | 29986095 - a) 7 1- 2. BILANS FINANCIERS ANNEE 1996 {actif immobilisé 91 355 992_Fonds propres nets 148 501 527 BF.G 105 112 821 _[Dettes financiéres nettes 47 967 285 ToTAL 196 468 813 _|TOTAL 1196 468 812 ANNEE 1997 actif immobile 114 849 247 [Fonds propres nets 159 099.900 BFS 102 773 152_[Dettes financigres neties 58 522 499 TOTAL 247 622 399 |TOTAL [27 622 399 ANNEE 1998 [actif immobilisé 119 625 501_[Fonds propres nets 189 979 195 BEG 95 090 834 _[Dettes financiéres neties 24737 140 TOTAL 214 716 335 |TOTAL 214 716 335 78 1-3. GRANDEURS FINANCIERES GRANDEURS 79 | - 1996 1997 1998 MOYENNE captaux propres 166524917 | 177417505 | 195013639 | 179.652 020 ctif sans valeur 3529 783 1549 912 3.832.038 Dividendes Fonds propres nets corrigés 148 501527 | 159099 900 | 189979 195 | 165 860 207 Emprunts obligataires [Autres dettes de financement 18200316 | 21779916 | 17 980651 Crédit-bai Dettes financiéres retraitées 18200316 | 21779916 | 17980651 | 19320294 Ressources stables 166 701 843 | 180879816 | 207 959847 | 195 180 S02 Actifimmobilisé net 9135992 | 114849247 | 119625501 | 108 610.247 FRE 75345851 | 66030569 | 88334346 | 76570255 | Stock de marchandises 54.693 2.646 300 9767 572 Autres stocks 140 869.672 | 155 286646 | 125 852 203 [Total stocks retraités 140924365 | 157932946 | 135619865 | 144825 725 ICréances d'exploitation 261637719 | 295367057 | 272 394 895 Actif circulant hors trésorerie 226 936.649 | 240 665.987 | 227 693 525 Dettes d'explotation retraitées | 121823829 | 137892835 | 132 602 691 [BFC 105 112820 | 102773152 | 95090834 | 100 992 269 Trésorerie nette -29 766969 | -36 742583 | -6756488 | -24422013 1-4. LES RATIOS a. Ratios de structure LIBELLE 1996 1997 1998 _| MOYENNE * Equilibres financiers Fonds propres nets/ Total bilan financier 35,12% | 34,95% | 42,06% | 37.38% Dettes a long et moyen terme/ Total bilan financier 4,30% 4.78% 3,98% 4,35% Dettes 8 long et moyen terme/ F.P.N. 12,26% } 13,69% | 9,66% 11,87% Dettes confondues/ Total bilan financier 27,08% | 24,80% | 26,62% | 26,17% Dettes 8 long et moyen terme/ CALF 1 année 1 2 1 F.RF/ B.F.G 71,68% | 64,25% | 92,89% | 76.27% |* Investissements en outils |Amortissements cumulés/ Immobilisations brutes 54,86% | 44,93% | 43,64% | 47,819 avestissements / V.A 19.64% | 20,80% | 21,34% | 20,59% * Rendement des équipements Immobilsations nettes/ VA 111,42% | 130,05% | 159,74% | 133,74% 'V.AV Capital économique 34,09% | 35,28% | 32,22% | 33,860 80 b. Ratios d’activité b-1. Investissement en cycle LIBELLE 1996 1997 1998 | MOYENNE Rotation de stock de marchandises Ojours) | 8 jours) | 25 jour(s) | 11 jours) Rotation de stock de produits Finis 46 jour(s) | 65 jour(s) | 42 Jour(s) | 51 jour(s) Rotation des crédits clients 77 jours) | 63 jour(s) | 59 jour(s) | 66 jour(s) Rotation des crédits fournisseurs 88 jour(s) | 118 jour(s) | 82 jour(s) | 96 jour(s) (BF.G/C.A) * 360 170 jour(s) | 140 jour(s) | 118 jour(s) | 142 jour(s) b-2. Répartition dela VA LIBELLE 1996 1997 1998__| MOYENNE [Charges de personnel 57.67% | 56,36% | 65,74% | 59,92% JAmortissements + Charges de personnel | 87,96% | 81,52% | 99.93% | 89.80% Charges dintérét 12,33% | 11,66% | 13.28% | 12.42% Etat 11,24% | 12,38% | 11,93% | 11,85% Entreprise 18,76% | 19,60% | 904% | 15,80% IV.A/ Production 27,79% | 29,36% | 25,00% | 27,38% b-3, Les E.5.G en pourcentage du CA | LIBELLE 1996 1997 1998 | MOYENNE VAs cA 30,02% | 28,98% | 23,88% | 27,63% EBE/CA 11,65% | 11,80% | 7,31% | 10,25% Résultat d'exploitation / CA 211% | 4,38% | 0,30% 2.27% Résultat net / CA 446% | 3.40% 3,03% | 3,63% CAR CA 13,21% | 10,30% | 3,37% 8,96% 81 c. Ratios de rentabilité a LIBELLE 1996_| 1997 | 1998 _| MOvENNE * Rentabilité économique E.BE/V.A 38,81% | 40,71% | 30,59% | 36,70% E.N.E/ Capital économique 2,36% | 5.48% | -1,19% | 2,22% Solde économique /C.A(n) / Solde économique/ C.A(a-i) | 94,43% | 84.21% | o1,47% | 90,04% = Les intéréts en pourcentage du profit global Charges financiéres/ 6.8. 33,68% | 36,84% | 53,35% | 41,29% Frais financiers/ Dettes du passit 6,75% | 7,92% | 7.62% | 7.43% * Rentabilité des fonds propres Résultat net’ F.P.N 671% | 566% | 4.63% | 5.67% [Solde financier / V.A 20,30% | 18,49% | 20,38% | 19,72% Solde financier / Capital économique 692% | 652% | 657% | 6.67% 82 SECTEUR AGRO-ALIMENTAIRE II - SECTEUR AGRO-ALIMENTAIRE IL-1. TABLEAU DES FLUX _ LIBELLE a 1996 1997 1998 | | Marchandises vendues 26 050 854 767 31.258 + Production vendue (biens et services) 160217522 | 169459012 | 200727 898 + |Subventions dexploitation | |crirrre DarFAIREs 160 243572 | 170313779 | 200 759156 + |Production stockée ou immobilisée 1-768 258 20 301 968 000 =|PRODUCTION DE L'EXERCICE 158 475 314 | 170334080 | 201 727 156 lAchats consommeés. 96931 754 | 94431452 | 128155 616 = [Charges externes (hors crédit-bal et personne 9610674 | 18247108 | 16.031 582 lextérieur) =| VALEUR AJOUTEE PRODUITE 51932886 | 57655520 | 57539758 Impats et taxes 521 237 629 264 626 245 | - {charges de personne! (y compris personnel 40870309 | 427az3a1 | 45278 457 lexterieur) =|EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION 10541340 | 14323915 | 11635056 |Amortissements économiques 2317 798 1873 882 2.472.489 |EXCEDENT NET D'EXPLOITATION 8223542 | 12450033 9162 567 Autres produits et autres charges 30 000 188 318 5327 ISOLDE ECONOMIQqUE 8193542 | 12261715 | 9157240 }+//Reprises et dotations aux autres provisions “1252 17150 267 2 }#/4Produits et charges non-courantes 24 853 2288 | -1 77925 + {Differences de change 149 993 299 723 48 654 }# Résultat des réalisations dactits = fImpat sur les benétices 2847 824 5 938.235 1126 593 SOLDE FINANCIER 5469606 | 6642641 | 5936857 + [Produits financiers 58.629 153 657 105 982 Frais financiers 2559500 | 2594692 2.225 803 = |FORMATION INTERNE DE CAPITAUX PROPRES. 2968735 | 4201606 | 3817036 Distribution des dividendes /}Apports, retraits de fonds propres 8060984 | -1672309 2.439738 FONDS PROPRES MIS EN CEUVRE 11029719 | 2529297 | 1377298 ~ [Investissements de croissance (y compris crédit bal) “3.305 719 637893 | -1 383.679 JAugmentation ou réduction du 8.F.G 14592 962 -978 155 1714 682 = |DEFINANCEMENT / FINANCEMENT EXTERNE 22 316 962 2189035 | -1721063 1+/|Emprunts obligataires, #+/Emprunts bancaires (y compris crédit bal) 757 877 434 856 827 957 AMELIORATION, DEGRADATION DE LA TRESORERIE | 23074839 | 1754179 -893 106 =/TRESORERIE PASSIF 23074839 | 1754179 -893 106 84 II - 2. BILANS FINANCIERS. ANNEE 1996 10370 292, [Fonds propres nets 23.080 480) BEG 29098 627 _[Dettes financiéres nettes 16 388 440 TOTAL 39468919 _|TOTAL 39 468 920 ANNEE 1997 [Actf immobiisé ‘9 732 399 [Fonds propres nets 25.609 778 BEG 30.076 782_|Dettes financiéres nettes 14 199 403 TOTAL 39 809 181_[TOTAL 39 809 181 ANNEE 1998 [Actitimmobiisé 11 116 078 [Fonds propres nets 26 987 079 [BEG 31.791 464_ |Dettes financiéres nettes 15 920 464 TOTAL 42.907 542 [TOTAL 42.907 543 85 TT- 3. GRANDEURS FINANCIERES GRANDEURS 2 1996 1997 1998 MOYENNE _| pitaux propres 23273304 | 25.657 242 27 160 302 25 363 646 Actif sans valeur 55814 47 464 10 724 | Dividendes Fonds propres nets corrigés 23080480 | 25609778 | 26987079 | 25225779 | lEmprunts obiigataires | |Autres dettes de financement 344 665 Crédit-bail 2107 877 1673021 | 2156313 Dettes financiéres retraitées 2.107 877 1673021 2500978 | 2093959 Ressources stables 25 188 357 27 282 799 29-488 057 27 319 738 Actif immobilisé net 40 370 292 9.732 399 11.116 078 10 406 256 ERE 14818065 | 17550400 | 18371979 | 16913481 Stock de marchandises 1.272.037 Autres stocks 20 486 839 24 337 790 22 806 091 Total stocks retraités 21758876 | 24337790 | 22806091 | 22967586 Créances d'exploitation 94221637 | 105145954 | 120 169 625 Actif circulant hors trésorerie 94221637 | 105145954 | 120 169 625 Dettes diexploitation retraitées 63 850 973 75 069 172 88 378 160, BEG 29098627 | 30076782 | 31791465 | 30322291 Trésorerie nette -14 280562 | -12526 382 | -13.419486 | -13 408 810 86 IL-4. LES RATIOS a. Ratios de structure LIBELLE 1996 1997 1998 __| MOYENNE | * Equilibres financiers Fonds propres nets/ Total bilan financier 21,81% | 21,65% | 20,00% | 21,15% Dettes & long et moyen terme/ Total bilan financier 1,99% 141% 1,85% 1,75% [Dettes & fong et moyen terme/ F.P.N 9,13% 6,53% 9.27% 8.31% Dettes confondues/ Totat bilan financier 19,86% | 14,86% | 14,19% | 16,30% F.AF/ BEG 50,92% | 58,35% | 57,79% | 55,699 + Investissements en outils /Amortissements cumulés/ Immobilisations brutes 62,09% | 66,08% | 66,94% | 65,04% investissements / V.A 0% 311% 3.25% 212% * Rendement des équipements limmobilisations nettes/ VA 11,64% | 11,21% | 11,59% | 11,48% VA/ Capital économique 131,58% | 145,39% | 134,10% | 137,02% 87 b. Ratios d’activité b-4, Investissement en cycle LIBELLE 1996 1997 1998 | MOYENNE Rotation de stock de produits finis 44 jour(s) | 43 jour(s) | 36 jour(s) | 41 jourts) Rotation des crédits clients 107 jour(s) | 120 jour(s) | 130 jour(s) | 119 jour(s) Rotation des crédits fournisseurs 68 jour(s) | 85 jours) | 78 jour(s) | 77 jour(s) (BF.G/C.A) * 360 65 jour(s) | 64 jour(s) | 57 jour(s) | 62 jour(s) b-2. Répartition de la VA LIBELLE 1996 1997 1998__| MOYENNE Charges de personnel 79,25% | 74,20% | 78,67% | 77,37% |Amortissements + Charges de personnel | 82,76% | 77,04% | 83.46% | 81,09% Charges diintérét 492% 437% 3,86% 4.38% Etat 6,20% 11,05% 3,05% 6.77% Entreprise: 953% 10,30% | 13,93% | 11,25% IV.A/ Production 32,77% | 34,17% | 28,52% | 31,82% b-3. Les E.$.G en pourcentage du CA LIBELLE 1996 1997 1998 | MOYENNE VAI CA 32.41% | 34,17% | 28,66% | 31,75% BE / CA 7,33% 816% 580% 7.10% Résultat dexploitation / C.A 4,88% 6.81% 4.97% 5,55% Résultat net / CA 182% 2,79% 1,91% 2,16% CAF CA 324% 3.46% 2,98% 3,23% 88 ¢. Ratios de rentabilité LIBELLE 1996 | 1997_| 1998 _| MOYENNE / Rentabilité économique EBEIVA 20.45% | 25.42% | 19,75% | 21.87% EY Capital économique 21.27% | 31.11% | 20.60% | 24.36% [Soide économique /C.A(n) / Solde économique’ C.A(n-1) | 66.37% | 93.90% | 85.37% | 61.88% Les intéréts en pourcentage du profit global (Charges financiéres/ E.B.E 24,20% | 16.04% | 21.90% | 21.41% *Taux diintérét Frais financiers! Dettes du passif 11,86% | 14.38% | 11,50% | 12.61% |" Rentabilité des fonds propres Résultat nev FPN 13.42% | 16.57% | 1373% | 14.57% Solde financier! VA 11.17% | 12.15% | 9.84% | 11.05% 'Solde financier / Capital économique 13.50% | 16.69% | 14,18% | 14.80% + Flux de trésorerie Fonds propres mis en ceuvre / Besoins 97.25% | 743,34% | 44,45% | 230,18% 89 SECTEUR DU TEXTILE ET DU CUIR TIT - SECTEUR DU TEXTILE ET DU CUIR III - 1. TABLEAU DES FLUX ne _LIBELLE 1996 1997 1998 Marchandises vendues 245.000 2627 875, 3.474.983 + [Production vendue (biens et services) 128 767407 | 139347 308 | 142 135 199 + /Subventions d'exploitation ICHIFFRE D'AFFAIRES 129012407 | 141975183 | 145 610 152 + Production stockée ou immobilisée 2 832 630 4 254 366 1995 982 =|PRODUCTION DE L'EXERCICE 126179777 | 146229549 | 143 614170 - JAchats consommés, 83364302 | 98977170 | 92024429 ~ [Charges externes (hors crédit-bail et personnel lextérieur) 15211416 | 16 476 761 14 645 175 =| VALEUR AJOUTEE PRODUITE 27604060 | 30775617 | 36944566 - fImpéts et taxes 700 873 547 019 964 837 [Charges de personnel (y compris personne! lextérieur) 18973752 | 22124295 | 23917 026 = |EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION 7929435 | 8104304 | 12062703 | - |Amortissements économiques 6.374.125, 5 257 489 5 864 418 EXCEDENT NET D'EXPLOITATION 1555310 | 2846815 | 6198 285 Autres produits et autres charges -395 087 302 36 441 SOLDE ECONOMIQUE 1160223 | 2847207 | 6 234726 }+/{Reprises et dotations aux autres provisions 697 976 889 575, 551 078 |+/ Produits et charges non-courantes 1393 418 -839 039 609 865 }+/{Différences de change “163 637 “531 294 278 $73 [+/Résultat des réalisations dactifs Impét sur les bénéfices 1.081 609 1082 765 3.155 091 'SOLDE FINANCIER -780465 | 1283684 | 2741875 + [Produits financiers 25.499 223 763 159 952 = |Frais financiers 3.642 881 3.959 795 4.024 492 FORMATION INTERNE DE CAPITAUX PROPRES -4397847 | -2452348 | -1122665 = [Distribution des dividendes 1/{Apports, retraits de fonds propres 464 100 110 555 3.913 069 FONDS PROPRES MIS EN EUVRE -4861947 | -2341793 | 2790404 Iinvestissements de croissance (y compris crédit bail) 1 386 662 2373 663, “1.932 155 ‘Augmentation ou réduction du 8.F.G 10 120 336 -3 081 015 14 760 601 = |DEFINANCEMENT / FINANCEMENT EXTERNE 3871727 | -3049145 | -13 902352 |+/{Emprunts obligataires I+/{Emprunts bancaires (y compris crédit bail) 3 685 586 -586 480 478 462 AMELIORATION, DEGRADATION DE LA TRESORERIE 186141 | -3635625 | -13423.890 =|TRESORERIE PASSIF 186141 | -3 635625 | -13 423 890 \ II - 2. BILANS FINANCIERS ANNEE 1996 [actif immobilise 25.609 419 [Fonds propres nets 22 055 234 BEG 12039 729 _|Dettes financiéres nettes 15 593 914 TOTAL [37 649 148 [TOTAL 37 649 148 ANNEE 1997 ‘Actif immobilisé 23.235 756 [Fonds propres nets 19713 441 lBFG 15 120 745_|Dettes financiéres nettes 18 643 059 TOTAL [38 356 501 [TOTAL 38 356 501 ANNEE 1998 actif immobilise 25 167 911 [Fonds propres nets 22 503 845) BEG 29 681 345 _[Dettes financiéres nettes 32 545 411 frorat [55 049 256 [TOTAL 55 049 256 92 TI - 3. GRANDEURS FINANCIERES 1996 i Capitaux propres |Actif sans valeur Dividendes lEmprunts obligataires Ressources stables Actif immobilisé net FRE IStock de marchandises Autres stocks |Total stocks retraités \Créances d'exploitation B.FG Trésorerie nette GRANDEURS 1997 1998 | MovENNE 22 103 921 39747450 | 23301015 | 21717 462 48 687 34.009 147 170 Fonds propres nets corrigés 22055234 | 19713441 | 22503845 | 21424174 lAutres dettes de financement 5 976 262 5 389 782 5 868 244 ICréait-bail j | Dettes financiéres retraitées 5976262 | 5389782 | 5868244 | 5744763 28031496 | 25103223 | 28372089 | 27 166.936 2se094i9 | 23235756 | 25167911 | 24671 028 2422077 | 1867467 | 3204178 | 2497907 1331 264 4184 020 20083852 | 27744441 31 005 788 20083852 | 29075705 | 32189808 | 27116455 79722 152 | 105923095 | 130877 987 Actif circulant hors trésorerie 79.666 639 | 105241477 | 127654991 Dettes d'exploitation retraitées 67626910 | 90120732 | 97773 645 12039729 | 15120745 | 29881345 | 19013 940 -9617 652 | -13 253277 | -26677167 | -16 516 033 93 III - 4. LES RATIOS a. Ratios de structure LIBELLE 1996 1997 1998 | MOYENNE \* Equilibres financiers Fonds propres nets/ Total bilan financier 19,03% | 14,20% | 14,23% | 15,825 Dettes & jong et moyen terme/ Total bilan financier | 5,16% | 3.88% 3.71% 4,25% Dettes & tong et moyen termey F.P.N 27.10% | 27,34% | 26,08% | 26,84% Dettes confondues/ Total bilan financier 23,47% | 23,00% | 18,38% | 21,62% [betes & tong et moyen terme/ CAF 5 années 3 2 3 }* Investissements en outils Amortissements cumulés/ Immobiisations brutes 45,99% | 53,15% | 55,22% | 51,45% Tnvestissements / V.A 182% 1,69% 6,32% 3,28% * Rendement des équipements Immobilisations nettes/ V.A 90,67% | 71,33% | 59,62% | 73,87% \V.A/ Capital économique 73,32% | 80,24% | 67,11% | 73,56% 94 b. Ratios d’activité b-1. Investissement en cycle LIBELLE 1996 1997 1998__| MOYENNE Rotation de stock de matiéres premiéres | 0 jour(s) | 26 jour(s) | 44 jour(s) | 23 jour(s) Rotation de stock de produits finis 36 jour(s) | 35 jour(s) | 42 jour(s) } 38 jour(s) Rotation des crédits clients 101 jour(s) | 113 jour(s) | 148 jour(s) | 120 jour¢s) Rotation des crédits fournisseurs 107 jour(s) | 121 jour(s) | 139 jour(s) | 122 jour(s) (B.F.G/C.A) * 360, 34 jour(s) | 38 jour(s) | 74 jour's) | 49 jour(s) b-2. Répartition dela V.A [ LIBELLE 1996 1997 1998 __| MOYENNE [charges de personne! 68,74% | 71,89% | 64,74% | 68,46% JAmortissements + Charges de personnel | 91,83% | 88,97% | 80,61% | 87,14% [Charges d'intérét 12,26% | 10,49% | 10,44% | 11,06% Etat 6,46% 530% | 11,15% | 7.64% lEntreprise 12,55% | 12,33% | 13,67% | 12,85% VAY Production 21,88% | 21,05% | 25,72% | 22,88% b-3. Les E.5.G en pourcentage du CA LIBELLE 1996 1997 1998__| MOYENNE VAL CA 21,40% | 21,68% | 25,37% | 22,829 E.BE/CA 615% 5,71% 8,28% 6.71% Résultat dexpioilation / CA 1,52% 2,64% 4,69% 2,95% AFCA 0,91% 1,23% 2,58% 157% 95 ¢. Ratios de rentabilité LIBELLE 1996 | 1997 | 1998 _| MOYENNE * Rentabilité économique | E.BE/ VA 28,73% | 26,33% | 32,65% | 29,24% E.N.E/ Capital économique 413% | 7.42% | 11,26% | 7,60% [Solde économique /C.A(n) / Solde économique/ C.a(n-1) | 92,22% | 90,87% | 97,50% | 93,53% * Les intéréts en pourcentage du profit global Charges financiéres/ E.B.E 51,78% | 64.45% | 46,04% | 54,09% > Taux d'intérét Frais financiers/ Dettes du passit 12,44% | 10,11% | 13,27% | 11,94% > Rentabilité des fonds propres \Solde financier / VA -2,83% | 417% | 742% | 2,92% SSolde financier / Capital économique -2,07% | 335% | 4,98% | 2,09% [+ Flux de trésorerie Fonds propres mis en ceuvre / Besoins o% 0% 16,72% | 5.57% 96 SECTEUR MECANIQUE ET METALLURGIQUE 97 IV - SECTEUR MECANIQUE ET METALLURGIQUE IV - 1. TABLEAU DES FLUX Lf LIBELLE : 1996 1997 1998 Marchandises vendues 166162049 | 406492088 | 401 714 108 + }Produetion vendue (biens et services) 3168 154313 | 3265932021 | 3.651 365 047 + |subventions dexpioitation | [CHIFERE D'ArFAIRES 3334316 362 | 3672424119 | 4053080055 + [Production stockée ou immoblisée 42 856 872 68 558 994 55 362 618 =|PRODUCTION DE L'EXERCICE 3377173 234 | 3740 983113 | 3.997 717 437 Achats consommés. 2 152689432 | 2317003061 | 2440851 422 - |carges externes (hors crédit-bail et personnel 148125631 | 172491991 | 147 254.233 lextérieur) =| VALEUR AJOUTEE PRODUTTE 1106358171 | 1251488061 | 1.409 611 782 = limpats et taxes 30 611 029 47 529 734 54 560 749 Charges de personnel (y compris personnel 207270298 | 252807322 | 259 289 <15 lextérieur) | =|EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION 868 476844 | 951151005 | 1095 761 618 | -|Amortssements Economiques 274086853 | 327383666 | 359 135 sa6 = |EXCEDENT NET D'EXPLOITATION 94389991 | 623767339 | 736626032 +/} Autres produits et autres charges 2191 462 2.093 443 “192 947 =|SOLDE ECONOMIQUE 592198529 | 620873896 | 736433085 1/Reprises et dotations aux autres provisions 47 873 909 81 263.144 ] +144 665 024 +/[Produits et charges non-courantes 5 643 546 2-480 418 12890 212 + ilférences de change 12 463 641 -24 292 563 11926 818 +/|Résultat des réalisations dactifs Impét sur les bénéfices 234 882 935 10771898 | 159134612 =|SOLDE FINANCIER 302621590 | 507026709 | 457450479 + Produits financiers 9 608 868 11.622 856 17 770 453 | |Frais financiers 150588224 | 159513497 | 156 143 557 =| FORMATION INTERNE DE CAPITAUX PROPRES 161842234 | 359136068 | 319077375 Distribution des dividendes + /4Appors, retralts de fonds propres “31691118 | 580537380 | -187 685 053 FONDS PROPRES MIS EN CEUVRE 130151116 | 939673448 | 131392322 = fnvestissements de crofesance (y compris crédt ball) 47 535.870 | -817 637 734 46 575 200 - |Augmientation ou réduction du B.F.G 29989553 | 322019 114 69 559 767 = |DEFINANCEMENT / FINANCEMENT EXTERNE 112604799 | -199983 400 15 257 355 | femprunts obligataires |+1{Emprunts bancaires (y compris créat bal) 244239862 | 158.946 550 50 714 856 AMELIORATION, DEGRADATION DE LA TRESORERIE| 356844661 | -41036850 | -35 457 503 =|TRESORERIE PASSIF 356844661 | -a1036850 | -35.457 501 | 98 IV - 2. BILANS FINANCIERS ANNEE 1996 [actif immobilisé 1899 136 742 [Fonds propres nets 1.613 908 408 BEG 316 432 949 _[Dettes financiéres nettes 601 661 283 [TOTAL 2215 569 691 [TOTAL 2.215 569 691 ANNEE 1997 Actif immobilise 2716 774 476 [Fonds propres nets 2.553 581 855) BEG 638 452.063 _[Dettes financiéres nettes 801 644 684 TOTAL [3.355 226 539 [TOTAL [3 355 226 539 ANNEE 1998 [Actif immobitisé 2 763 349 676 [Fonds propres nets 2.684 974 177 lBFG 708 011 830_|Dettes financiéres nettes 786 387 329 [TOTAL 3.471 361 506 [TOTAL [3 471 361 506 99 IV - 3. GRANDEURS FINANCIERES GRANDEURS x96 | s997_ | ts | movenne | Capitaux propres 1661511539 | 2662821536 | 2861974512 | 2395 435.862 Actif sans valeur 35.171 776 29213 617 12758 134 Dividendes | Fonds propres nets corrigés | 1613 908 408 | 2553581855 | 2684974177 | 2284154813 lEmprunts obligataires ures detesenarcenent | 2269304 | ext sessea | sonar os7 |credit-bait / Dettes financiéres retraitées | 482639374 | 641585923 | 590871067 | 571698788 | Ressources stables | 2096 547 782 | 3195167 779 | 3275805245 | 2955 853 602 | |Actifimmobilisé net 1899136742 | 2716774476 | 2763349676 | 2459753631 | FRE 197411040 | 478393303 | 512495569 | 396099971 | | [Stock de marchandises 72 565 220 200 124 515 135 949 646 JAutres stocks 653 541 926 911 587 670 821 844 749 | Total stocks retraités 726107146 | 1111712185 | 957794395 | 931871242 | | ICréances a'exploitation 1363667691 | 1972 167185 | 1.855 367 460 |Actif circulant hors trésorerie 1363 667.691 | 1972167185 | 1705587 856 | Dettes d'exploitation retraitées | 1047234742 | 1333715 121 997 576 026 jar 316 432949 | 638452064 | 708011830 | 554298 948 | Trésorerie nette -119 021909 | -160058 761 | -195516 261 | -158 198 977 100 IV- 4. LES RATIOS a. Ratios de structure LIBELLE 1996 1997 1998 _| MOYENNE |* Equilibres financiers Fonds propres nets/ Total bilan financier 47,75% | 49,88% | 54,55% | 50,73% Dettes & long et moyen terme/ Total bilan financier 14,28% | 12,53% | 12,01% | i2,94% Dettes a long et moyen terme/ F.P.N 29,91% | 25,12% | 22,01% | 25,68% Dettes confonduesy Total bilan financier 20,28% | 16,28% | 15,09% | 17,22% Dettes a long et moyen terme/ CAE Lannée 1 i 1 FRAY BEG 62,38% | 74,93% | 72,39% | 69,90% |* Investissements en outils |Amortissements cumulés/ Immobilisations brutes 647% | 52,16% | 57.61% | 58,18% Havestissements / V.A 453,00% | 184,00% | 147,82% | 261,61% * Rendement des équipements |Immobilisations nettes/ V.A 152,62% | 184,28% | 148,40% | 161,779 V.A/ Capital économique 49,94% | 37,30% | 40,61% | 42,62% 101 b. Ratios d’at ite b-4. Investissement en cycle LIBELLE 1996 1997 1998__| MOYENNE Rotation de stock de matiares premiéres } 67 jour(s) | 143 jour(s) | 182 jour(s) | 131 jour(s) Rotation de stock de produits finis 28 jour(s) | 30 jour(s) | 26 jour(s) | 28 jour(s) Rotation des crédits clients 42 jour(s) | 33 jour(s) | 34 jour(s) | 36 jour(s) Rotation des crédits fournisseurs 73 jour(s) | 80 jour(s) | 72 jour(s) | 75 jours) (.6.G/C.A) * 360 34 jour(s) | 63 jour(s) | 63 jour(s) | 53 jour(s) b-2. Répartition de la V.A I. LIBELLE 1996 1997 1998 __| MOYENNE |Charges de personnel 18,73% | 20,20% | 18,39% | 19,11% lAnortissements + Charges de personnel | 43,51% | 46,36% | 43,87% | 44,58% ICoarges dintérat 11,56% | 10,87% 9,329 10,58% eva 24,00% 4,66% 15,16% | 14.61% Entreprise 45,71% | 64,27% | 57,12% | 55,70% V.A/ Production 32,76% | 33,45% | 35.26% | 33,82% b-3. Les £.S.G en pourcentage du CA LIBELLE 1996 1997 1998 | MOYENNE IMarge/ ventes de m/ses 0% 15,41% | 17,05% | 10,82% VAS CA, 33,18% | 34,08% | 34,78% | 34,01% EB.E/ CA 26,05% | 25,90% | 27,04% | 26,33% Résultat d'exploitation / C.A 17,81% | 17,07% | 18,31% | 17,73% Résultat net / C.A 4.85% 9,78% 7,87% 7,50% CAF CA 12,52% | 18,16% | 15,96% | 15,55% 102 c. Ratios de rentabil _ _ LIBELLE 1996 | 1997 | 1998 | MOYENNE économique E.B.E/ V.A 78,50% | 76,00% | 77,73% | 77,41% E.N.E/ Capital économique 26,83% | 18,59% | 21,22% | 22,21% Solde économique /C.A(n) / Solde économique/ C.A(n-1) | 94,01% | 90,79% | 99.61% | 91,80% * Les intéréts en pourcentage du profit global (Charges financiéres/ E.B.E 19,80% | 19,86% | 15,95% | 18,54% * Taux d'intérét Frais financiers/ Dettes du passit 18,66% | 16,32% | 17,69% | 17,56% |+ Rentabilité des fonds propres Résultat net/ F.P.N 10,03% | 14,06% | 11,88% | 11,99% Solde financier / V.A 27,35% | 40,51% | 32,45% | 33,44% Solde financier / Capital économique 13,66% | 15,11% | 13,18% | 13,989 * Flux de trésorerie Fonds propres mis en oeuvre / Besoins 741,76% | 82,45% | 113,14% | 312,45% 103 SECTEUR ELECTRIQUE ET ELECTRONIQUE 104 V - SECTEUR ELECTRIQUE ET ELECTRONIQUE V- 1. TABLEAU DES FLUX T | 1998 | LIBELLE _ _ 1996 1997 Marchandises vendues 81096 404 | 103973499 | 106 521123 + [Production vendue (biens et services) 162311046 | 234886057 | 171735 696 + |Subventions d'expioitation 13.461 |CHIFFRE D’AFFAIRES 243.407 450 | 338859556 | 278270 280 + [Production stockée ou immobilisée -3772887 | -48 483 410 1633 032 =|PRODUCTION DE L'EXERCICE 239 634563 | 290376146 | 279903 312 lAchats consommeés. 138 559896 | 175314644 | 173661773 - |Cherges externes (hors crédit-bail et personnel 24013003 | 29784039 | 25592318 lextérieur) VALEUR AJOUTEE PRODUITE 77061 664 | 85277463 | 80649 221 ~ JImpéts et taxes 1326607 | 3.455 338 328 414 - [Charges de personnel (y compris personnel 35106 689 | 47 584.045 39 157 990 lextérieur) EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION 40626368 | 34238080 | 41162817 JAmortissements économiques 14588 125 | 18 228 688 15.77 408 = |EXCEDENT NET D'EXPLOITATION 26038243 | 16009392 | 25385409 I+/] Autres produits et autres charges 248 977 744 731 14951 = |SOLDE ECONOMIQUE 25789266 | 16754123 | 25400360 +/4Reprises et dotations aux autres provisions 178.465 | 16.274 463 14 258 188 |+/{Produits et charges non-courantes 354677 | -8 984.338, “125 758 }+/bifférences de change 237 046 966 936 144 833 +/Résultat des réalisations dactifs | ~ [Impot sur tes bénéfices 8 066 767 399 978 11-253 462 SOLDE FINANCIER 18492688 | 24611206 | 28134495 + [Produits financiers 323.173 579 740 301 662 Frais financiers 7 266 951 6 198 068 7 682 891 = |FORMATION INTERNE DE CAPITAUX PROPRES 11548910 | 18992878 | 20753 266 ~ |Distribution des dividendes +/Apports, retraits de fonds propres 5121472 | 16906858 | -21592 440 | =| FONDS PROPRES MIS EN CEUVRE 16670382 | 2086020 -839 174 - |lnvestissements de croissance (y compris crédit bail) 8.963 791 -9 355 9: “784 534 [Augmentation ou réduction du 8.F.6 3 216 226 8.425 755 5 434 798, = | DEFINANCEMENT / FINANCEMENT EXTERNE 10922817 1155840 | -7058506 }+4Emprunts obligataires +/[Emprunts bancaires (y compris crédit bail) 1868 293 | 414 703 1.201 384 |AMELIORATION, DEGRADATION DE LA TRESORERIE | 12791110 | 1570549 | -5 857122 = |TRESORERIE PASSIF 12791110 | 1570549 | -5857122 105 V - 2. BILANS FINANCIERS ANNEE 1996 [act immabilisé 40 504 361_|Fonds propres nets 74710 064 arc 81 104 273 _[Dettes financiéres nettes 46 898 570 TOTAL 121 608 634 [TOTAL 321 608 634 ANNEE 1997 [Acti immobiice 49 860 296 [Fonds propres nets 76.736 084 BEG 72.678 518 _|Dettes financiéres nettes 45 742 730 [TOTAL 122538 814 [TOTAL 122 538 814 ANNEE 1998 [actif immabilisé 50 644 830 [Fonds propres nets 75 956 909 BG 78 113 316 |Dettes financiéres nettes 52.801 237, [TOTAL 128 758 146 [TOTAL 128 758 146 106 V - 3. GRANDEURS FINANCIERES MOYENNE GRANDEURS_ 1996 1997 1998 Icapitaux propres 74772300 | 76924861 | 76156703 | 75.951 288 Actif sans valeur 62236 | 11777 4794 Dividendes Fonds propres nets corrigés 74710064 | 76796084 | 75956909 | 75821019 [Emprunts obligataires jAutres dettes de financement 27656 331 | 28071 040 29.272 424 Crédit Dettes financiéres retraitées | 27656331 | 28071040 | 29272424 | 28333265 Ressources stables 102 366395 | 104867124 | 105 229333 | 104 154284 Acti immobitisé net 40504361 | 49860296 | so6aaaz0 | 47 003 162 rR 61862034 | 55006828 | 54584503 | 57151122 Stock de marchandises | 17533590 | 20771283 | 20 184 002 Autres stocks 74305459 | 24784030 | 28912 963 Total stocks retraités 91839049 | 45555313 | 49096965 | 62163776 Créances d'explotation 314492798 | 277555154 | 272301 381 Acti circulant hors trésorevie 313446298 | 276508654 | 271 254881 Dettes d'exploitation retraitées, 232342025 | 203830136 | 193 141 565 BG 81104273 | 72678518 | 78113316 | 77298702 | 'Trésorerie nette -19 242239 | -17671.690 | -23528813 | -20 147 581 107 V- 4. LES RATIOS a. Ratios de structure LIBELLE 1996 1997 1998 _| MOYENNE |+ Equitibres financiers [Fonds propres nets) Total bilan financier 20,48% | 22,02% | 21,93% | 21,48% Dettes & long et moyen terme/ Total bilan financier | 7.58% | 8.05% | 8.45% | 8,03% Dettes & long et moyen terme/ F.P.N 37,02% | 36,55% | 38,54% | 37.37% Dettes confondues/ Total bilan financier 16.31% | 19,75% | 16,31% | 18,12% Dettes & long et moyen terme/ C.A.F Lannée 1 1 1 FRE) BEG 76,27% | 75,69% | 69.88% | 73,95% * Investissements en outils |Amortissements cumulés/ Immobilisations brutes 61,65% | 55,39% | 55,90% | 57,680 * Rendement des équipements immobilsations nettes/ V.A 46,06% | 53,56% | 48,52% | 49,30% IV.A/ Capital économique 63,37% | 69,59% | 62.64% | 65,20% 108 b . Ratios d’activité b- 1. Investissement en cycle LIBELLE 1996 1997 1998 | MOYENNE Rotation de stock de matiéres premiéres | 113 jour(s) | 80 jour(s) | 65 jour(s) | 86 jour(s) Rotation de stock de produits finis 1Sjour(s) | 9jour(s) | 12 jour(s) } 12 jour(s) Rotation des crédits clients 124 jour(s) | 152 jour(s) | 179 jour(s) | 152 jour(s) Rotation des crédits fournisseurs 181 jour(s) | 159 jour(s) | 157 jour(s) | 166 jour(s) (B.F.G/C.A) * 360 120 jour(s) | 77 jour(s) | 101 jour(s) | 99 jour(s) b-2. Répartition de la VA LIBELLE 1996 1997 1998 __| MOYENNE [Charges de personnel 45,56% | 55,80% | 48.55% | 49,97% JAmortissements + Charges de personnel | 64,49% | 77,17% | 68,12% | 69,93% Charges diintérét 883% 6,71% 9,29% 8,28% Etat 12,19% | 452% | 14,36% | 10,36% Entreprise 33,42% | 32,97% | 27,79% | 31,39% IV.A/ Production 32,16% | 29,37% | 28,81% | 30,11% b-3. Les £.S.G en pourcentage du CA iB LIBELLE 1996 1997 1998 _| MOYENNE Marge/ ventes de mjses 23,31% | 16,93% 0% 13.41% Vasca 31,66% | 25,17% | 28,98% | 28,60% E.BE/CA 16,69% | 10,10% | 14,79% | 13,86% Résultat exploitation / C.A 10,60% | 9,90% | 11,84% | 10,78% Résultat net / CA 474% 5,60% 7.46% 5,93% AFCA 9.42% 5,70% 7,99% 7,70% 109 c. Ratios de rentabilité 7 LIBELLE 1996_| 1997 | 1998 | MOYENNE * Rentabilité économique E.B.E/ VA 52,72% | 40,15% | 51,04% | 47,97% E.N./ Capital économique 21,41% | 13,06% | 19,72% | 18,06% SSolde économique /C.A(n) / Solde économique/ C.A(n-1) | 124,66% | 71,83% | 121,77% | 106,09% * Les intéréts en pourcentage du profit global |Charges financiéres/ E.B.E 23,50% | 24,93% | 22,22% | 23,55% * Taux d'intérét Frais financiers) Dettes du passif 10,19% | 8.31% | 13,27% | 10,50% + Rentabilité des fonds propres Résultat net/ F.P.N 15,46% | 24,73% | 27,32% | 22,50% [Solde financier / V.A 24,00% | 28,86% | 34,89% | 29,25% Solde financier / Capital économique 15,21% | 20,08% | 21,85% | 19,05% 110 ANNEXE 4 L.. modeéles des états de synthése I - VACTIF BON 4189 bis di 5 jet “BILAN ACTIF - WODELE NORMAL — lmMMNOBILISATIONS EN NON VALEUR cay “ot Provisions Exercice du au - “ATE — EXERGICE | exercice |_precenent — Brat | Amortissements WN Net Fras pelmnaves Charges 2 répari sur pase Primes de remboursement dee obligations [IMMOBILISATIONS INCORPORELLES er smobilisations cor | [Iumopicisations coRFORELLes te) a _ it | Constuctions —_ - ~ 1 | tostaaions edtngues mative et ellage = IE © [ater te tanspot 8 [tober materiel de buieeu 6k aminage 8 [Cinmobiisations corporis en cours E [laMOBILISATIONS FINANCIERES (0) i dts mmobilsés | [tes te parca Autres tres eamoblises [ECARTS DE CONVERSION ACTF IE ninulon des eréances nmobilsbes | Agreniation des deles nancies [ Total | jAvB+C+DeE) [stocks arching HT Matis et foumiures consommabiog Produ en cours gts nets et Grote TasGusle Prose Te = = i [Breances be TROT RE — = 7 ‘Skene 8 comptes aliaces utes débteurs Comnpies de regaarsalan ail BSeeGE [Fcarts De conversion acriF —qy Eliments cvculn) Total reget) TIRES ET VALEURS DE PLACEMENT TT TTRESORERIE - ACTIF ISanquos TGetC = nas Lace cs, Regios da TOTAL GENERAL Wile 4 — 112 II - LE PASSIF 099-88 elatve aux obligations cormpiables des commergants| BON" 4183 bs du 5 raed 1413 ( 30 décembre 1092) : BILAN PASSIF- MODELE NORMAL 7 [GABITAUX PROPRES ASSIMILES 8) Exercive du eu Passi exercice || exercice : _ __ {| ereceoenr | [caPiraux PROPRES ry 1 Dial appelé don verse : : " Teniaton de sion Seppor [eats de eevavaton 5 [Reserve iegale _ wl Report a nouveau (2) & | Resutas ret en stance dafeaton Ty - v1 [Cresta ne fe Texercie Gh Subventone dinvestissernent » | Prowsions réglemeniées [ © [DETTES 0 FINANCEMENTS c | Emprunis obligates: Mi [Autos dees oe tnancer |PROVISIONS OURABLES POUR RISGUES ET CHARGES Provisions pour risques Augmentation des eréances immabii 0 I a N E [Provisions pour charges N [Fennte oe conversion Sg +————| T | Diminution dos dettes de financement TOTAL (B-CoDve]} [DETTES DU PASSIF CIRCULANT a [- Fournissours et eomates rallachos Giienis crédieu's,avances el scemates Crgansimes soca s ' F Etat Compies daseoces | [Autres ertanciers 8 | compte de regularisation pass (Elements crcuants) C [RUTRES PROVISIONS POUR RISGUES ET CHARGES @ 1 ORS Deco cy L TOTAL (FsG+H) [TRESORERIE -PASSIF: Crécits descompte Credits de wesorene anques_(soldes credieure) lOuma (1) si capital personnal debiteur (-) (2) benehciare T=) 113 TOTAL GENERAL el TOTAL aficitaire (-) II - COMPTE DE PRODUITS ET CHARGES. {ied Normal to - —areaniigng — TNE] novus pexrvorranion sos scope Ca chase ae petra | TAs cies deh Prods es tes ge pagan el ouce == — ‘vu [PRODUITS NON CoURANTS “Scbvenbone se9ui818 - Tora val IResoCTaT RON COURATT Ey — - IRrsoerar RET DOU TOTAL oes CHARGES 114 IV - ETAT DES SOLDES DE GESTION vive aux cbugatkons compiables des comme! BOW" 4185 bis du 5 veoh 1413 (30 dévemixe 1982) a "ETAT DES SOLDES DE GESTIONESG)__— { a RERCICE || pRECeDENT | = Nentes se Marchandises (en eta [achate vevendus de mavehanoiees 7 = [PRODUCTION DE LEKERGICE (3-4+5) 3. | [wevtes oe bens et senrces prod Vaiation stocks de prods lnvmobilzaions produtes parlenvenise pour ele mame, | CONSOMMATIONS DE LEKERGICE (67) 3 | [Actas consommes de matites @ | > [subvert cexplotatr [chavgee de poreonnel [EXCEDENT BRUT OEXPLOITATION (EBE) lou INSUFFISANCE BRUTE O'EXPLOITATION(BE) 7] + [autes orodals dexpiltaton exploitation, transients de Dotations dexpiotaon [ot a resinarsernonmtoncesy————————} pur [To Teesuutarenancies [vm [a Tresuntar counaNT (rou) Pet —fecresurar won courayy pois sures results SL = JRESULTATNET DEL EXERCICE [rows 1. CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT (C.AF.) - AUTOFINANCEMENT + [__ [Résustat net de rexeroce ‘Benéfice + [Dstaions énanceres (1) © JDatatons ouranites( Reprises dexpietation2) Repriges fnancieres(2} Reprises non courantesi2) Produle des cessions dimmobisbon = [Vateus neties Samot ssements aes immobiisatons cédees [CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (C.AF.) 10 | [Distributions de benétices| [AUTOFINANCEMENT (Gy SYercsion der Gotatons relatives sux sce ei passile Greuanis ol la Wesorena (2) Texcusion des reprises rlaives aux acs et pass exculants (9) Yoompuistepises sur subvertions dinvestasement la wesonere 115 V - TABLEAU DE FINANCEMENT BON’ 4183 8 dus men t413 ne 1982 ] _ Exercice du au T MASSES EXERCICE | EXERCICE variations | | PRECEDENT _ 2| = Fons pe RouLewenT IFONCTIONNEL (1.21 2 _2ctit mobilise - I SS [TRESORERIE NETTE (ACTIF- PASSIF) ROE RESSOURCES] EERIE | RESSOURCES STABLES DE L'EXERCICE (FLUX) AJTOFINANCEMENT \JTOFINANCEMENT we 7 __| Copacie ¢nutsinancemen ~ - ashton des bendloes [[eession er REDUCTIONS OWMOSILIGAONS T=) Cessions dimimabibsatons corporates Recupésa "AUGMENTATION DES CAPITAUX PROPRES notlos de primes de rembousemeni) TOTAL RESSOURCES STAGLES (ArErO7D) ETASSIMNLES = © ‘ugrenision de capa apo a 2 Subventons dinvestssement "AUGMENTATION GES DETTES DE FINANCEMENT (0) EMPLOIS STABLES DE UEXERCICE (FLUX) ‘ACQUISITIONS ET AUGMENTATIONS lDwMOBILISATIONS. immobilisation incorpoveles ‘Aequaitons dinmobiialons Santee ‘Augmentation des egances mmobiieees IFINANCEMENT [ERENBOURSEMENT Des CAPITAUXPROPRES —__)_—| a REMBOURSEMENT DES DETTES DF ] ol ENPLOIS EN NON VALEURS wy TOTAL EMPLOIS STABLES _JEFG™ Ii-vARIATION OU BESOIN DE FINANCEMENT [cvopa acy [WAVARIATION DF TA TRESORERTE TOTAL GENERAL 116 VI - ETAT DES INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES VI- 1. Principes et méthodes comptables a . Principales méthodes d’évaluation spécifiques a l’entreprise (A1) Loin’9.88 elaive aur obtgatons complabies des commarganis BO Wr 4°83 bs a 5 raed 1413 (30 dcemive 1882), ETAT At i PRINGIPALES METHODES b'E VALUATIONS SPECIFIQUE AL ENTREPRISE J au. . ~ INDICATION DES METHODES D'EVALUATION APPLIQUEES PAR LENTREPRISE | ACTIF IMMOBILISE Immobiisation en non-valeurs 2. Immobilisations incorporelles 3 - Immobilsations carporelles 4 - Immabitsations financieres B- CORRECTIONS DE VALEUR - Methodes d'amortissements 2+ Methodes de determination des carts de conversion - acit 3- Methodes d'évaluation des provisions pour depreciation N- ACTIF CIRCULANT (Hors tréso: ie) AEVAI 1 Stocks 2-Créances 3. Titres et valeurs de placement 8 CORRECTIONS DE VALEUR 1 - Méthodes d'évaluation dos provisions pour déaréciation 2. Methodes de délermination des écarts de conversion - act FINANCEMENT PERMANENT. Méthodes de réevalvation ‘Metnodes d'evaluation des provisions réglementées, 3 Dettes de financement permanent 4. Methodes o'évaluation des provisions pour dépréciation 5 Methodes de determination des écarls de conversion - act 1 V - PASSIF CIRCULANT (Hors trésorerie) 4 Dettes du passif circulant 2- Methades d'évaluation des autres provisions pour risques et charges 3 Methodes de détermination des écarts de conversion - passit V- TRESORERIE 1 Tresorerie - Actif 2. Trésoretie - Pessif 3+ Méthodes «valuation des provisions pour depreciation 117 b. Etat des dérogations (A2) Loo n'S a8 reatve sux og BON A183 bs du Stee 1415 SC décembre 19921 ETAT A2 ETAT DES DEROGATIONS AU, INDICATION DES DEROGATIONS JUSTIFICATION DES DEROGATIONS. INFLUENCE DES DEROGATIONS ‘SUR LE PATRIMOINE, LA SITUATION FINANCIERE ET LES RESULTATS I! DEROGAGATION AUX PRINCIPES COMPTABLES FONDAMENTAUX Il DEROGATIONS AUX METHODES D'EVALUATION Ill . DEROGATIONS AUX REGLES D'ETABLISSEMENT ET DE PRESENTATION DES ETATS DE SYNTHESE 118 c. Etat des changements de méthodes (A) |o!1°9.88 relative aux obigations compiables des commerganis BON" 4183 bis du 5 rejeb 1413 (30 décembre 1982) ETAT A3 ETAT DES CHANGEMENTS DE METHODES AU NATURE DES CHANGEMENTS JUSTIFICATION DES CHANGEMENTS INFLUENCE DES CHANGEMENTS SUR LE PATRIMOINE, LA SITUATION FINANCIERE ET LES RESULTATS |Changements affectant les méthades devaluation Changements affectant les régles de presentation 119 VI - 2. Informations complémentaires au bilan (BL) et au compte de produits et charges (CPC) a. Détail des non-valeurs (B1) Lo 18.88 retatve aux ebigations complabies des commergants BC N° 4185 bis du 5 releu 1413 (30 decerore 1992) ETAT B1 DETAIL DES NON VALEURS Exercice du au COMPTE PRINCIPAL, INTITULE MONTANT 120 Tet sayas00:09 suovesy Auswefavewe ye newing 9p avstew vencow . odsuen ap aw J tej 290 19 jouprews“sondqayoa? evoH) suorannsues ‘SSTSUOIIOD ENOL VETO RTA radicou suanespgouus saan | Sarenuis sioqen 2 syoxp “serbiew “iene aweddowngp wo ayoreuses ua vane ‘SSTTSNOIUOONI SNOUWSIVEOWHT ‘suogetugo sap wowssinequas 9p seocoK@ sinasnd ins suede) & aGueug , wie se4, SUNT IWRNON NSNOILVEFIGOWNI a sum aja med sorusxa wis | woweurn | venex | voisso | wowsnn | — asudenuos | vomsintoy | aorowaxa ungaa free 384 vonanporg Anse LNvINoW sUnLyN ANeLNOW ROWAN WonviNeWorv ‘SSUSIONWNTS 50D SSBINV ENOL VE TOWN S30TWSTONT tive (a61 eique0s9 o¢) cx gatas 5 np 84 ceLe OB ‘Stusbisutoo sop saigetswon suoebigo me o 1 eee, (Za) suonesiqowun sap neajqes *q zr spaouur | WawaSeuswe re nesing op auaiew vewaon nsue9 SET IUOAUOS SHOTWETIEO WI up seabreu sienain | ‘SETTSUSITOIN SNOUWSTTBONTT le5490 sap wewresinoguses 2p sous Soopers tunaismd ins wedsse sabieua | SUASTWANON Na NoLLYSIIBOWAI = z 7 eter sotaioxe suone aaiaiox94 soppiexe aynivn wuouassmows,p ans 2° mnaee inwng sweweeenowy 200 nwa co 5 oS — cS = ‘SiNaWSSSHwONY 850 VHTEVI = : i eres (2863 s1am0s9p c€ } eons vale § p88 e817 NOB siuediouuaa 9p saiqerenos suonebiao ane a (Sta Za) squawassniowe sap neaiqey ‘> eet Wier SanTeR Samer iopsses | seme esRoWeT ‘sama wa Weer op ae suiow Sid op unposg snowsneien | suswassniowy | wee adwos | uorssas ap seg nF Tp sa7xg SNOILVSITIGOWWI.G - SLIVHLBY NO SNOISSID YNS S3NIVA SNIOW NO SNId $3q NVaTEVL ta ivia (£4) suogestiqowuws,p syes324 no su fsunuoe sap rajamiduics suea¥bigo ane $89 Ns sanjeA sulow no snid sap neaiqeL - p ver Wier é é Z 3 ¢ ¥ = z v soiaiexe, op ae oneu aumoro verdes ne owone ens opens, ep aie, oneu re9018 uoned saunas rpr20s ‘syi2sut ‘oyTHBS pgT208 e| ap BSBTAUTE aiqeidwos | uomsinba med lero aunnaen 21 9p sunpove 2p sieve siamuap sap yeas anaien, xud te tended, anaes, os wosiey ne 1p SOOTHE [ : NOW vg 30 S3UI1 S30 WITT 1 vais (2654 2209099 oF) ELrL gales s mp 99 ceLy NOS suuedsowwo sap sajgeyduioe suoebigo ane enietel Be-e.u ior (pa) suonedioned ap sayy sep neaiqe, a str Taw Wil] Talrwior snos| sed sucrnoia | ‘bie 6 sonbe soe suDisioia sean (ovsiosea sou 1werroro ned sp uonersesdo) sno sears} Iv) aw102 snos sabsou> | sanbev anos se emp suosnosd | soquowobes suosnond 2 2sgouun 2e ‘ep unaes9.0¢0 180 sore ‘apie | “sauemeauoN | same Torwreidrap | Sewenes voy | —SaRDURUT Toa sa uu ywewow Saswant SNOUWIOT sngep wwewwows Bunavn 7 Te = SNOTSIROWS S30 STENT waive —— {2061 oyquisoen 0€ 1 e191 oto 5 np sa cet 1808 swebiswuien sap sage veOng0 0 BATES: BB-E.07 (sa) suoistoud sap neaiqes *y 921 souenes sjowee 1 soidwone jo seouene| wesuenb) ap seiduon , sunouaap sau somossep sate, ‘sinouggp sressunos , ANvanowl9 auo¥.7 30) srIBOWM su.9¥.7 39| - sebiowwoo sep eagenauon 1343 saan sonang va sasnieauina | sawsinvoyo | sasinga | sisuancoay SaiNaszaene savans 43..viauns 13 Non aw wy wiot SaONYSHO, ‘suNvLNOW SENVLNOW SINVINON sinvinow | aasantoa | Nnaswiow | nnasme SSecwny SHINY ‘SONVSHOS avd SEAWAY = aa c SSawVSeD S30 AVESM saivs (2651 aqwatop of ) en gato) § np sa cote 8 08 ete Bou 0 (9a) saoueg.o sap neaiqes * 6 eat 91 3p sa1du03 ‘snaugap sonny sepesse saidung | vera | pusosiea sounenes saduioo ie sian | jowove ye saovere jp sinasseuno, | ANYInoMID su9¥.7 aa] serppueuy sooueaia soune | pun eid 3sMgowal suovaag san sonveiig sia4s3 sasmiezuna | sawsivvouo wwe 530 asivianaa | sasiac saaava saingsauaay siawsia suv'sia Na NON Nw Ny wioL s3ua0 ‘SLNVLNOW SINVLNOW sunvinow | sinvinow | 13 s3nH03 | xnoswiow | Nnasme ‘SSL IWNY SHULTW SBONVaHOS uve SEATHNY wa Tao Sanaa sso eV (e661 rquecep oF) suebseunuoo sop soqetaui 2 zal al S nO 3H OBL NOS (2a) seHap sap neaiqes - y zt sno3u s3iguns| 833NNOG $3134ns! BuNLOTS 3a 31va viv 33NNoag alguns te) (2) NOLLdIMOSNIG. w auauns v1 sunauigaa sual v7.30 3113N nan dvd LUBANOD no 3Tevidwoo 13rao 43.31v0 aUALWN, ANVLNOW SUNALIGSAD SAL ynaWA te. Tip SOOIXS $3ND3Y NO SAANNOG $3774a3y S3L3UNS S3q NVSTVL SaVIa Iee5t s10we080 0¢ ) tv galas g mp 8a F24r NOB ‘Sjuvhieuucs sop saaeiswos sven (gq) sendau no saguuop sajjaau sayeuns sap neaiqes * J. Engagements financiers recus ou donnés hors opérations de crédit-bail (B9) Lotn'8-8 relate aux cbigations complables des commercans BO N’ 4182 be 5 sje £413 (30 ddcemire 1962) ema _ _ ___etat pa [ENGAGEMENTS FINANCIERS RECUS OU DONNES HORS OPERATIONS DE _ CC REDIT-BAIL_ 7 7 ___Exercice du au. ENGAGEMENTS DONNES MONTANT MONTANT EXERCICE po : EXERCICE PRECEDENT wal et cautio gagements en matiére de pensions |de retraite et obligations similaies + Autres engagements donnes } TOTAL (1) (1) dont engagements a legard dentreprises Ne | ENGAGEMENTS RECUS MONTANT EXERCICE MONTANT EXERCICE __ PRECEDENT _ + Avals et cautions * Autte engagements recus 129 TOTAL (1) | oft 7 o é ? Z 3 3 7 = z T veunp | veunp seaueropos snidy | suowy | saavenspos sep enueo ap yesqucs ap sp suspend og ne exept ¢ uog ‘saueou2e suonewesqo | uyue yonpises soked spp soarr0x0 npesunss | uaienues | aies e | onbugnes ep fe weisas sasuenapay | op qwewow | 9p nung snaren, npesing | opowa 7 aaa [ _ ive TGS WE NSS SO AVS 1 weivia (2651 @nawsog gf } exes as gH9 99 COL NOS srueb.oww0 sap seyaerduoa suonetyo xne ana ge 6.4101 (OTa) Heq-31p919 ud UDIq ap Nea|qel * ¥ I. Détai des postes du C.P.C (B11) Lorn’. 88 relative aur obligations comptatles des commer ants BON’ 4185 bys du eejed 1433 (30 eecemore 1992) __evarent ___ ra bes poste ou crc) - — _ aaa a [ poste EXERCICE EXERCICE PRECEDENT PRODUITS D'EXPLOITATION TH |+Ventes de marchandises Ventas de marcharsises au Mares - Ventes de marchanaises 8 retranger este du paste des ventes de marchandises Total 712 |+Ventes de biens et services produits -ventes de biens au Maroc -vorves de biens 6 letranger “Vontes de seivices au Maroc -Venies des serwices arevanger -Redevances pour bevels, marques, dats - Reste du poste des venles el sevices prods Total 713 | Variation des stocks de produits + variation dee stocks des biens prods ‘Variation det ttocks de services poduils Variation des stocks de produits en cours Total 718 | Auties prodults «exp + serone de presence vecus -Reste du poste tproduits divers) Total 718. |Reprises dexploitation ransferts de charges Reprises Transterts de charges Tota! lPRODUITS FINANCIERS 738 |+Intéréts et autres produits financiers Finterets et produits assimiles eovenus des ereances ratlachées a des particpations Produits nets sur cessions de titres el valeurs ae placement | Reste du peste interes et autos produits financiers TOTAL 131 0:42.88 eelative aux obligations comptabies des conmergants IO N° 4183 bis du Stejeb 1412 (30 décembve 1822) DETAL DES POSTES DUCP.G. ETAT B11 SUITE 2 511|CHARGES DEXPLOITATION |Achais revendus de marchandisos *ncnats de matenanetses Vanation des stocks de marchandises (2) Total 612)Achats consommes de matieres et fournitures Achat de materes premieres - Variation des stocks de matiéres premiéres (+) + Achats de mateciel et fourntures consarnmabies et Jserbalages -Acnats non stockes de matieres et de fournitures + Achats de travaux, eludes et prestations de services Totat jo1a1614 |-Autres charges externes + Locations el charges locatves Redevances de creat bai Entrotien et reparations | Primes assurances + Remunerations du personnel exlésieur 2 fentepise + Remuneraions dintermadiaies et honoraes + Redevances pour bevels, marques, dais + Transports |- Geptacemenis, missions et récentions + Reste du paste des aulres charges exlernes Total 617/Charges de personne! “Remuneration du personne! - Charges sociales - este du poste des charges de persoanel Total 618] Autres charges d'exploitation I Jetons de presence } Peres sur ceances irecouvrabels Reste du poste des autres charges dexplodation Total 638] CHARGES FINANCIERS ‘Autres charges financiéres - este ou poste oes autres charges fnanciéves Total 656] CHARGES NON COURANTES |Autres charges non courantes / Penaites sur marches et dacits | Rappels dimpats (antes quimmpbts sur ies results) | Penalies et amendes fscales et pénales | Creances devenues iveeouvabels | Reste du posto des autves charges non courantes Total Fieioee do a EXERCICE EXERCICE PRECEDENT, - Variation des slacks de maieres,fouritutes et emballages (2 + Charges neties sur cessions de lites et valeurs de placement 132 m. Passage du résultat net comptable au résultat net fiscal (B12) Loi1'9-86 relative aux obligations complabies des commergants BON" 4183 bie du 5 foe 1413 (30 decembre 1992) PASSAGE OU RESULTAT NET COMPTABLE AU RESULTAT NET FISCAL Exercice du evar st ] inniTuLes Montant Montant I RESULTAT NET COMPTABLE Benetice net Pese neve lil, REINTEGRATIONS FISCALES. 1 Courantes 2 Non courantes DEDUCTIONS FISCALES. Courantes: 2. Non Gourantes Total (W-RESULTAT BRUT FISCAL Benéfice brut si TIT? (A) Defic ret fiscal 8! T2>T3 (8) |v. REPORTS DIFICITAIRES IMPUTES feyaay Esorcice n 4 Bxercice n- 3 Bxereice 0-2 Exercice m1 |v RESULTAT NET FISCAL Benefice net fiscal (AC) ou det net fiscal (8) Wontant Vil. CUMUL DES AMORTISSEMENTS FISCALEMENT DIFFERES Vl. CUMUL DES DEFICITS FISCAUX RESTANT A REPORTER Exercise n= Exeroice n-3 Bxercice n-2 Exercice n- 1 Montant TT) Bans la ene Gu mona Go bonetice bra seal TAY 133 1, Détermination du résultat courant aprés impéts (B13) Lo! «°e.88 cetauve aux obigatons compiables des commergants BON" 4183 bis du § rejeb 1413 (30 décembre 1992) ETAT 813, DETERMINATION DU RESULTAT COURANT APRES IMPOTS Exercioe ou au DETERMINATION DU RESULTAT MONTANT Resultal courant dapres CPC “1 _ Reinégrationsfiscales sur operations courantes |. Deductions tiscales sur onerations courantes e Resulal courant théoriquement imposabie limpOt théorique sur résutat courant 0 FResutat courant apes impats Il INDICATIONS DU REGIME FISCAL ET DES AVANTAGES OCTROYES PAR LES CODES DES INVESTISSEMENTS OU PAR DES DISPOSITIONS LEGALES SPECIFIQUES 134 ser (a-wWeway ep 11p919 no onp -w'A'4 “O| Suonesmqowui ans , sebseuo uns, aiqesednsey vA Lal somes WAL) = z v o1s10x01 9p 99191940, 0p (se-z+1) YAL soigeidio> 201210%0, 9p 201010%0,p usb p10 suoneveiseq suonei9d0 anagp ne apiog Bun. me TB BSDISFS 3aLNOFv YN3IVA V1 UNS SXW1 V1 30 TIvIg0 vie vis (2861 sseweren of expt gales 5 P58 Ce» WOR ‘one w6-6.0 107 (pt) epqnofe anajea e] ans axe} e] ap jleaq- 0 9€T SOuESSIC!O9P SOUBLOGW.p aup40 Jed Saioosse xnediouUd 04 Sa anb sauUONuoW! aU Bp nai| eA 1! seo saxine Sa] sueg 1de9 ne sjuedioned s9] sno} 18e!99p yop asuda:nua, ‘01 @ JeB9 no snau9y 189 S9ID08SE Sap BiqUUOU 4] PUEND (1) 8 Tz 3 ¢ v € z ¥ ajeioos famoe (1) sarsosse uednouonse | essex3 aais10xX3, xnedyouusd sep ajaddy quosnog anbeyo ap ossaipy 9121908 uosies Wild¥5 Nd INVLNOW ayeuwwousnajen | $3411 3a SYBWON. ho wououd ‘won ae fp som Iexy AWIDOS WiidV9 NG NON Vday 3d LV1S WOivia (2651 eawo90 oF ELPs Gala: 5 np Sa cele NOR Stuedsouwwo> e9p saqeidiuod sv) go xne BNE! -8,U 19 (19) 1 0s jeyIde9 np uoReda! ap ye1g“e + sauequaUIa|diuos suoneuLosu! sasany * ¢ - TA, eet @ WwoL-¥ qWior eS WwoL VWwior neannou & uodes susworgiond souny souoser sons spowennaig sspvepa s91018) 9p lov winseu sougiey vonage eves ue siav eanseus — senso sanny neeanou @ wody 6) uosou ‘ np vossaea] SIVEMNS34 820 NOUYLoZdd¥ a esLoBagy v SLvLInsau S30 ANION | TRVINOW | iwinon | 7 TH SRT [ ‘SOTQEVS7 30 SUNOS Nv SANSABSIN SIVITISSN S30 NOMVISUIIVG ASTER 4 2 IWS {2961 axquo090 0: ) ei aslo snp sa ees LW OR suebiewus sop sageiduce syonesigo ane antes Be. o1 (29) a21249%9,1 ap sino> ne anuaatou! syeyinse4 sop UoReDaye,p NeaiqeL *q get soiniexey wepuad safojduca SpUEleS Sop usfow DOH s291e@) 29 sig sonetes sep oH TSNNOSUaG. a}ep0$ Hed now (VHY'S 1¢ suoHde sed sox BULL ud LvLTNS3u. pp a>ejsui vo no sanvesss va su) 59 ipuaw unseu Ss Senquisie soayouea + syounsos 59, ns slog '€ sigdus yuene insoy 2 sexe S104 soneye.p ayy | '301083x3.1 30 SLVLTNSaY 13 SNOLYHR ne asiide.qua,] ap Sanbysts}eued sjuoWaye saiyne ya syeyNSoY *D d., Tableau des opérations en devises comptabilisées pendant l'exercice (C4) Lot9. m8 rotate aun obigatins complies des comenergants [BO NT 4169 iso jab 1413 (20 dBcemne 1952) ETAT C4 [TABLEAU DES OPERATIONS EN DEVISES COMPTABILISEES PENDANT L'EXERCICE| Exercice du au NATURE Entrée Sortie Contre-vateur Contre-valeur en DH _en DH Financement permanent Iunmobitisations brutes Rentrées sur immobilsations Remboursemient des dettes de financement * Produits [+ charges TOTAL DES ENTREES TOTAL DES SORTIES BALANCE DEVISES TOTAL

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