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Commandes Routeur Cisco

Router>enable
Router#

Router#config t

Router(config)#hostname R1
R1(config)#

Router(config)#enable secret class

R1(config)#line console 0
R1(config-line)#password cisco
R1(config-line)#login
R1(config-line)#exit
R1(config)#line vty 0 4
R1(config-line)#password cisco
R1(config-line)#login
R1(config-line)#exit

R1(config)#interface Serial0/0
R1(config-if)#ip address 192.168.2.1 255.255.255.0
R1(config-if)#clock rate 64000
R1(config-if)#no shutdown

Il est conseillé de configurer une description sur chaque interface pour mieux documenter les
informations du réseau. Le texte de description est limité à 240 caractères.

Router(config-if)#description Ciruit#VBN32696-123 (help desk:1-800-555-1234)


R1(config-if)#description Link to R2

Une fois l’adresse IP et la description configurées, l’interface doit être activée à l’aide de la
commande no shutdown. Cela revient à mettre l’interface sous tension. L’interface doit
également être connectée à un autre périphérique (concentrateur, commutateur, autre routeur,
etc.) pour que la couche physique soit active.

Router(config-if)#no shutdown

Appliquez les commandes de configuration d’interface à toutes les autres interfaces à


configurer. Dans notre exemple de topologie, l’interface FastEthernet doit être configurée.

R1(config)#interface FastEthernet0/0
R1(config-if)#ip address 192.168.1.1 255.255.255.0
R1(config-if)#description R1 LAN
R1(config-if)#no shutdown

désactivez la recherche DNS à l’aide de la commande no ip domain-lookup


R1(config)#no ip domain-lookup
R1(config)#
ip route : commande de route statique ;
172.16.1.0 : adresse réseau de réseau distant ;
255.255.255.0 : masque de sous-réseau de réseau distant ;
172.16.2.2 : adresse IP d’interface Serial 0/0/0 sur le routeur R2, qui représente le «
tronçon suivant » de ce réseau.

Protocoles de routage IP

Il existe plusieurs protocoles de routage dynamique IP. Voici quelques-uns des protocoles de
routage dynamiques les plus répandus en matière de routage des paquets IP :
protocole RIP (Routing Information Protocol)
protocole IGRP (Interior Gateway Routing Protocol)
protocole EIGRP (Enhanced Interior Gateway Routing Protocol)
protocole OSPF (Open Shortest Path First)
protocole IS-IS (Intermediate System-to-Intermediate System)
protocole BGP (Border Gateway Protocol)

Format du paquet IP

Le protocole IP spécifié dans le document RFC 791 définit le format du paquet IP. L’en-tête du
paquet IP dispose de champs spécifiques contenant des informations sur le paquet et sur les
hôtes émetteurs et récepteurs. La liste qui figure ci-dessous répertorie les champs présents dans
l’en-tête IP, accompagnés d’une brève description. En principe, vous connaissez déjà les champs
d’adresse IP de destination, d’adresse IP source, de version et de durée de vie. Les autres
champs sont importants, mais ils ne sont pas traités dans ce cours.
Version : numéro de version (4 bits). La version la plus répandue est IP version 4 (IPv4).
Longueur de l’en-tête IP : ce champ est codé sur 4 bits et représente la longueur en mots de
32 bits de l’en-tête IP.
Préséance et type de service : mode de traitement du datagramme (8 bits). Les 3 premiers
bits sont les bits de préséance (cette utilisation a été supplantée par DSCP (Differentiated
Services Code Point) qui utilise les 6 premiers bits (les 2 derniers sont réservés)).
Longueur du paquet : longueur totale (en-tête + données) (16 bits).
Identification : valeur de datagramme IP unique (16 bits).
Indicateurs : contrôle la fragmentation (3 bits).
Décalage du fragment : prend en charge la fragmentation des datagrammes pour permettre
des unités de transmission maximale (MTU) différentes sur Internet (13 bits).
Durée de vie : détermine le nombre de routeurs pouvant être traversés par le datagramme
avant abandon (8 bits).
Protocole : protocole de couche supérieure envoyant le datagramme (8 bits).
Somme de contrôle d’en-tête : contrôle d’intégrité de l’en-tête (16 bits).
Adresse IP source : adresse IP source de 32 bits (32 bits).
Adresse IP de destination : adresse IP de destination de 32 bits (32 bits).
Options IP : tests réseau, débogage, sécurité et autres options (0 ou 32 bits, le cas échéant).
Format de trame de couche MAC

Le paquet IP de couche 3 est encapsulé dans la trame liaison de données de couche 2 associée à
cette interface. Dans cet exemple, nous allons utiliser la trame Ethernet de couche 2. La figure
présente les deux versions compatibles d’Ethernet. La liste qui figure ci-dessous répertorie les
champs présents dans une trame Ethernet, accompagnés d’une brève description.
Préambule : 7 octets alternant 0 et 1, utilisés pour synchroniser les signaux.
Délimiteur de début de trame (SOF) : 1 octet indiquant le début de la trame.
Adresse de destination : adresse MAC de 6 octets du périphérique récepteur sur le segment
local.
Adresse source : adresse MAC de 6 octets du périphérique émetteur sur le segment local.
Type/longueur : 2 octets indiquant le type de protocole de couche supérieure (format de trame
Ethernet II) ou la longueur du champ de données (format de trame IEEE 802.3).
Données et remplissage : 46 à 1 500 octets de données, les zéros étant utilisés pour remplir
les paquets de données de moins de 46 octets.
Séquence de contrôle de trame : 4 octets utilisés pour le contrôle par redondance cyclique,
afin de s’assurer que la trame n’est pas endommagée.

Principes de routage

1. Chaque routeur prend sa décision tout seul, en fonction des informations disponibles dans sa
table de routage.
2. Le fait qu’un routeur dispose de certaines informations dans sa table de routage ne signifie
pas que les autres routeurs ont les mêmes informations.
3. Les informations de routage concernant un chemin menant d’un réseau à un autre ne
fournissent aucune information sur le chemin inverse ou le chemin de retour.

Voici deux métriques utilisées par certains protocoles de routage dynamique :

Nombre de sauts : le nombre de sauts correspond au nombre de routeurs qu’un paquet doit
traverser avant d’atteindre sa destination. Chaque routeur équivaut à un saut. Un nombre de
sauts égal à 4 signifie que le paquet doit passer par quatre routeurs pour atteindre sa
destination. Si plusieurs chemins existent pour atteindre une destination, le protocole de
routage, RIP par exemple, choisit celui dont le nombre de sauts est le plus faible.
Bande passante : la bande passante correspond à la capacité de débit d’un lien, parfois
appelée vitesse du lien. Par exemple, l’implémentation du protocole de routage OSPF par Cisco
utilise la bande passante comme métrique. Le meilleur chemin pour rejoindre un réseau est celui
qui comporte une accumulation de liens dont les valeurs de bande passante sont les plus
élevées, c’est-à-dire les liens les plus rapides. L’utilisation de la bande passante dans le
protocole OSPF est expliquée au chapitre 11.

Que fait un routeur d’un paquet qu’il a reçu d’un réseau et qui est destiné à un autre réseau ? Le
routeur effectue les trois étapes principales suivantes :
1. Il décapsule le paquet de couche 3 en supprimant l’en-tête et la queue de bande de la trame
de couche 2.
2. Il examine l’adresse IP de destination du paquet IP pour trouver le meilleur chemin dans la
table de routage.
3. Il encapsule le paquet de couche 3 dans une nouvelle trame de couche 2 et transfère la trame
à l’interface de sortie.

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