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Mon père, qui s’appelait Joseph, était alors un jeune homme brun, de taille médiocre, sans être petit.

Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
et ses lunettes. Sa voix était grave et plaisante et ses cheveux, d’un noir bleuté, ondulaient
naturellement les jours de pluie.
Mon frère Paul était un petit bonhomme de trois ans, la peau blanche, les joues rondes, avec de
grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
avec un bouchon ou un bigoudi ; mais sa voracité était surprenante ; de temps à autre, il y avait un
drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
en train de suffoquer !

Mon père, qui s’appelait Joseph, était alors un jeune homme brun, de taille médiocre, sans être petit.
Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
et ses lunettes. Sa voix était grave et plaisante et ses cheveux, d’un noir bleuté, ondulaient
naturellement les jours de pluie.
Mon frère Paul était un petit bonhomme de trois ans, la peau blanche, les joues rondes, avec de
grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
avec un bouchon ou un bigoudi ; mais sa voracité était surprenante ; de temps à autre, il y avait un
drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
en train de suffoquer !

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Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
et ses lunettes. Sa voix était grave et plaisante et ses cheveux, d’un noir bleuté, ondulaient
naturellement les jours de pluie.
Mon frère Paul était un petit bonhomme de trois ans, la peau blanche, les joues rondes, avec de
grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
avec un bouchon ou un bigoudi ; mais sa voracité était surprenante ; de temps à autre, il y avait un
drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
en train de suffoquer !

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Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
et ses lunettes. Sa voix était grave et plaisante et ses cheveux, d’un noir bleuté, ondulaient
naturellement les jours de pluie.
Mon frère Paul était un petit bonhomme de trois ans, la peau blanche, les joues rondes, avec de
grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
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drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
en train de suffoquer !

Mon père, qui s’appelait Joseph, était alors un jeune homme brun, de taille médiocre, sans être petit.
Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
et ses lunettes. Sa voix était grave et plaisante et ses cheveux, d’un noir bleuté, ondulaient
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grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
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drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
en train de suffoquer !
Souligne en rouge les verbes conjugués et en bleu les sujets.

Mon père, qui s’appelait Joseph, était alors un jeune homme brun, de taille médiocre, sans être petit.
Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
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grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
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drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
en train de suffoquer !

Souligne en rouge les verbes conjugués et en bleu les sujets.

Mon père, qui s’appelait Joseph, était alors un jeune homme brun, de taille médiocre, sans être petit.
Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
et ses lunettes. Sa voix était grave et plaisante et ses cheveux, d’un noir bleuté, ondulaient
naturellement les jours de pluie.
Mon frère Paul était un petit bonhomme de trois ans, la peau blanche, les joues rondes, avec de
grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
avec un bouchon ou un bigoudi ; mais sa voracité était surprenante ; de temps à autre, il y avait un
drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
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Mon père, qui s’appelait Joseph, était alors un jeune homme brun, de taille médiocre, sans être petit.
Il avait un nez assez important, mais parfaitement droit, raccourci aux deux bouts par sa moustache
et ses lunettes. Sa voix était grave et plaisante et ses cheveux, d’un noir bleuté, ondulaient
naturellement les jours de pluie.
Mon frère Paul était un petit bonhomme de trois ans, la peau blanche, les joues rondes, avec de
grands yeux d’un bleu très clair. Il était pensif, ne pleurait jamais, et jouait tout seul, sous une table,
avec un bouchon ou un bigoudi ; mais sa voracité était surprenante ; de temps à autre, il y avait un
drame-éclair : on le voyait tout à coup s’avancer, titubant, les bras écartés, la figure violette. Il était
en train de suffoquer !

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