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Sociologie
La sociologie est la science sociale qui s'intéresse à la société mais plus
particulièrement aux relations entre les personnes. Il faut toujours rester positif
et ne pas déjà avoir son jugement. Il faut savoir transformer son regard.
La flexibilité : penser par soi-même et prendre du recul.
Deux objets à son étude : - Qu'est devenue la culture populaire avec les
médias ?
- Quel est le regard de la bourgeoisie et sur la classe
populaire ?
Les bourgeois exagèrent les qualités et les défauts des classes populaires.
Les classes populaires peuvent au moins exprimer leur avis sur les autres
classes, car il y a une sorte de monopole culturel.
Il s'agit donc toujours de se mettre en question, malgré son expérience et sa
façon de voir, il faut faire un combat avec son propre patrimoine. Il faut savoir
prendre du recul et pas seulement lors d'expériences scientifiques.
Thème central : considérer toute manière de vie sensée en les remettant dans
leur contexte.
Ex : Bouchimans qui ne travaillent pas car n’ont pas de réserves (poussi). Pour les
colons cela n'est pas normal.
On cherche partout une relation, mais il y a des comportements que l'on ne peut
comprendre que sous un autre sens. Il faut changer de regard
Goffman a à étudier les interactions entre les gens. Ex : le regard que les autres
portent sur les handicapés.
Les interactions de la vie quotidienne révèlent une organisation plus grande.
Les gens doivent se sauver la face mutuellement pour que la vie en société
puisse continuer. Et pour cela, il existe des rite pour nous rassurer. Ces rites sont
des scénarios sociaux, qui par la suite sont devenus des automatismes. Il faut
étudier les comportements sociaux pour comprendre la société.
L’asile : il s'agit d'une étude sur les sociétés autoritaires qu'il fera de l'intérieur.
De l'intérieur, pour ne pas être rejeté et ne pas avoir un regard faussé, tout cela
sans se faire noyer par l'institution. Il tâchera de garder aussi une distance sur les
événements.
Il va analyser cette organisation comme un lien social. Ex : les reclus entre eux,
le personnel... Il va aussi analyser les conditions de vie, et comment faire face à
un règlement.
Elles ont toutes des fonctions différentes mais possèdent les mêmes
caractéristiques :
• L'isolement, la promiscuité, la référence constante à une idéologie
consacrée, prise en charge de tout par l'établissement. Tout se
concentre au même endroit, contrôle constant, tout est prévu par le
règlement.
L'institution totalitaire est un lieu de travail, de vie ou de loisirs où un grand
nombre d'individus se retrouve dans la même situation pour un grand nombre de
jours, ils se sentent reclus à vivre ensemble. La caractéristique principale d'une
telle institution élève structure semblable et le contrôle de tout ce qui s'y passe.
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2. Vie clandestine
Goffman voit donc que les passions sont des gens normaux dans leur milieu. Il
crée des échanges sociaux qui peuvent être illicites, mais qui s'adaptent
parfaitement au milieu qu’est l’institution.
En ce sens l'asile est un laboratoire.
En fait les patients prennent de la distance à leur rôle. Il joue aussi un double jeu,
d'un côté il joue le jeu mais ne sont jamais entièrement soumis.
Plus l'institution est « libre » plus on s'identifie à notre rôle.
Film : Vol au-dessus d'un nid de coucou
1. Mécanisme de mortification : on fouille son sac, ses vêtements. On observe
si la technique du ricochet car on lui ferme la porte au nez.
2. Privilèges : il s'agit ici de cigarettes.
3. Adaptation secondaire(comportement) : l'Indien qui n'est pas réellement
sourd et muet. Les jeux d'argent dans les douches.
4. La distance au rôle (rôle psychique) : vous n'êtes pas des détenus, vous
devriez être dehors. En fait il surjoue le fou, il joue un autre personnage en
fait il prend la distance.
5. Le rythme (collectif) : les médicaments, les réunions, le Bain.
6. La carrière morale (processus de transformation du patient,
professionnalisation) : on remplace les vêtements personnels pour ceux de
l'asile. Il y aussi les places dans le groupe.
3 phases:
Synthèse
Par exemple les indiens hoppis font la danse de la pluie, pour les scientifiques se
comportement n'est pas rationnel, cette peuplade est considérée comme sous-
développée. R. Merton donne une raison autre, c'est pour réunir le groupe
pendant une période stressante car quand il n'y a pas de pluie on se dispute. La
logique objective inconsciente est de réunir le groupe. Les fonctionnalistes de
considère que la société et forme un groupe social relativement soudé et où
chaque élément même aux fait de réunir le groupe afin de le tenir soudé (rituel,
institution...) Pour la cohésion et la bonne reproduction du groupe.
Merton n'est pas un fonctionnaliste radical, pour les radicaux tout est fonctionnel
(même le crime est fonctionnel).
Fonction : objectif : pour relier les sociétés.
Dysfonctions : c'est ce qui met en danger la société.
Fonction latent
Dysfonctions manifeste
Nous avons tous des présupposés mais cela n'est pas bon car cela est loin d'être
scientifique.
acquis
Il faut poser les questions en elle main homme, et se demander pourquoi cette
question est concevable et pas l'autre. (Exemple : homosexuels et hétéros). Ces
normes sont généralisées dans la société. La force de la société, induit qu'il est
normal d'être hétéro. (Force de l'évidence de l'institution). Ces institutions créent
des dépendances (c'est la seule voie et on en a besoin). (Exemples : passion,
étudiants,...). Le système de pensée et sont formés par des modes de pensée.
Analyse sur l'histoire du sport : il en découle que le sport était plus violent avant
mais cela se passait sur l'arène. Il étudie aussi l'apparition du football moderne et
ses règles.
La France n'a pas toujours existé, il fut une époque où elle était composée d'un
ensemble de seigneuries. Chaque seigneur avait ses troupes et cumulait toutes
les fonctions sur son territoire. Ces seigneurs vont se faire la guerre, des entités
plus grandes, plus importantes vont apparaître, fruit de combats ou d'alliances.
Ces seigneurs vont continuer d'essayer d'accroitre leur territoire, donnant
naissance à des seigneurs extrêmement puissants. Au bout du compte un
seigneur va finir par gagner, il s'agit du roi de France.
Elias : « ici c'est la loi du monopole qui a joué ».
Loi du monopole : lorsque de petites entités rivales coexistent, il y a une
grande probabilité qu'à travers des conflits au autre, des entités plus grandes
voient le jour.
Non-marchand marchand
(don, mais jamais à sens unique (contre don)) (donnant-
donnant)
C’est continu, il n'y a pas vraiment de fin, pas de négociations et les règles
existent pour chaque membre. On ne change pas les coutumes, les règles. C'est
il s'agit d'un échange plus obligé que libre.
Marchand Non-
marchand
Ouvriers production salutations
Patrons salaires fête pour
l'ouvrier
Conclusion :
Fait social total : imposition de la vie collective qui tombe sur chacun des
individus. Cette manière préexiste, et existera encore après. La structure sociale
à une existence permanente (des déterminismes sociaux orientent les actions
des individus) (art, religion, famille,...). tous les recoins de la vie sociale sont
impliqués par cette structure. Ils va expliquer cela en partant d'une structure
générale.
Holisme : manière d'expliquer un phénomène social général => particulier en
observant sa structure.
Max Daxardall : il va faire le lien entre le symbolise et la peinture. Les mécènes
sont les marchands et l'église, afin de compléter les prédications. Il va comparer
les prédications à l'art de l'époque. Les gens peuvent donc faire le lien, et leur
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mémoire est soutenue, la peinture suscite une émotion (de modestie), fait passer
un message. Il a même étudié les traités de danse par le tableau de la danse.
Pour les marchands, il y a le détail des dimensions et le prix. Les mathématiques
sont donc très présentes. Exercices de calcul, en fonction de la taille des
personnages on peut calculer la taille du bâtiment. Les peintures et les coutumes
ont donc un lien très fort.
La perspective participe à quelque chose de divin. Car il y a un avant et un
arrière plan mais également un exercice de géométrie.
Le marchand ou religieux demande toujours précisément ce qu'il veut.
Et cela nous permet de comprendre ce que les gens comprenaient avant à partir
de la peinture.
Exercice :
identifier les méthodes que les acteurs mettent en place pour avancer vers la
résolution du problème.
Mécanismes sociaux :
• la place qu'ils prennent pour s'asseoir.
• Ils attendent que tout le monde soit là.
• Ils essayent de faire connaissance, parlent de leur vie. Il se mettent à l'aise
mais ces comportements peuvent être ambigus, c'est-à-dire comporter
deux significations. Il y a toute une série de comportements informels.
• Il faut bien commencer par quelque chose. Ils mettent en place un vote
préliminaire à main levée. On assiste donc à une pression du groupe qui
vote coupable.
• Chacun parle à son tour.
• Il y a des ajustements subtils : par exemple, un homme propose une
solution, un autre reprendre idée et qu'il n’a en fait pas compris. Le
premier homme, pour que le groupe avance dans la résolution du
problème fait semblant que c'était bien ça l’idée.
• Il y a des interactions : regard, rapport de forces sur le plan intellectuel ou
simplement de l'énervement.
• Le groupe se met d'accord pour parler une leur ni plus ni moins, car cela
convient à tout le monde.
• Mis en place d'une règle, si quelqu'un vote coupable on continue la
délibération.
• Quand quelqu'un s'égare, il y a toujours quelqu'un pour revenir à l'idée qui
les intéresse.
• Lorsque le groupe est bloqué, on on passe à autre chose pendant un
moment. (Par exemple : un juré qui va au lavabo). Ce qui permet à certains
de se calmer ou de réfléchir.
• Le problème peut être fonctionnel, alors mise en place d'un médiateur ou
changement radical de résolution.
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Les groupes humains met toujours en place des méthodes de résolution des
problèmes (par bricolage, etc.). Parfois il s'agit de méthodes parfois apprise par
l'expérience.
La vie collective est fait d’un tas de petits détails. Chacun trouve des astuces, qui
ont autant d'importance que les dispositions formelles.
Les expressions informelles, non verbale tels que les regards, les attitudes ont
aussi une grande influence.
Dans le film, on retrouve les notions d'interaction, ethnocentrisme, appartenance
à une classe sociale, distance au rôle, adaptation secondaire et de rôle lié au
statut (ils apprennent à être juré).
Il faut garder en mémoire, que tout ce qui est étudié dans un cas très particulier
de mettre en évidence des mécanismes de la vie collective.
Ce chapitre concernera des recherches qui montreront les principes des relations.
Le goût, la disposition, les pratiques culturelles sont très marquées par les
déférentes classes.
I : La classe dominante
C'est une classe qui a une bonne volonté culturelle, une classe qui n'est pas en
position dominante mais intermédiaire. Elle veut investir dans ses enfants. Elle
possède une grande connaissance de l'art classique. Elle se distingue de la
vulgarité et aime l'art pour l'art. La classe moyenne en déclin, souhaite une
ascension et possède elle aussi une bonne volonté culturelle.
Pour les classes supérieures, les autres sont en retard et eux en avance. Le lieu
où se fixent les critères esthétiques, se retrouve dans la haute bourgeoisie.
Ce sont des comportements fonctionnels, appliquées à soi-même pour exister
dans sa classe sociale.
Les classes sociales supérieures vont essayer d'en montrer plus, lors ce que les
autres montent, et ceci pour toujours garder l'écart.
Unif=> EMS
L'approche rationnelle est due à cet écart, la pratique culturelle est faite pour se
démarquer.
Les groupes sociaux partagent une grande partie de leur habitus, entre autre
grâce à l’homogamie (fait de choisir son conjoint dans un milieu semblable au
sien).
De plus notre tendre enfance, notre propre destin nous est inculqué (« ceci n'est
pas pour toi »). On oriente le sens de notre propre place, c'est donc une division
mentale et un conditionnement.
1. C'est une synthèse qui reprend les forces productives (L'homme en tant
qu'esclave est la force productive à l'Antiquité) et les modes de production.
Combinaison spécifique de principaux éléments de l’infrastructure
économique (forces productives et rapports de production). Le mode de
production capitaliste combine le machinisme, les rapports indirects du
travailleur avec l’outil et le salariat.