Promotion VONA
ANNEE 2008‐2009
TECHNIQUE D’AMELIORATION
DE LA CANNE A SUCRE
Présentée par :
LAINGO IRINTSOA RASOLOFO
NJAKA Andrianarison
RAKOTOARISOA Njato Michael
Amélioration de la Canne à sucre VONA
Sommaire
INTRODUCTION ............................................................................................................................ 1
I. ORIGINE GEOGRAPHIQUE ET PROPAGATION : ........................................................................... 2
II. LES ESPECES EXISTANTES ET LEURS CARACTERISTIQUES : .......................................................... 2
III. MECANISME DE REPRODUCTION ............................................................................................ 5
I. TECHNIQUES DE CREATION VARIETALE DE LA CANNE A SUCRE ............................................. 8
I. LA R583 ................................................................................................................................... 15
CONCLUSION ................................................................................................................................ 17
BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................................ 18
ANDRIANARISON N. & RASOLOFO L. & RAKOTOARISOA N.
Amélioration de la Canne à sucre VONA
INTRODUCTION
Depuis plusieurs années, la canne à sucre a bouleversée l’alimentation, l’économie et
même la culture de bien des peuples autour du globe. A partir du XIXème siècle, elle a
constituée la plus importante production agricole de la planète vue les ressources qu’elle
recèle. Et à travers son évolution naturelle et les manipulations de l’homme, on lui découvre
de nouveaux atouts et dérivés entrant dans la fabrication d’un nombre de jour croissant des
produits. Des recherches sont donc menées pour maximiser le rendement obtenu par cette
plante. Il s’agit de l’amélioration de la canne.
Ceci nous incite à étudier le sujet ici présent, intitulé de : « Techniques d’amélioration
des plantes pour le cas de la canne à sucre ». Cette dernière influe beaucoup sur le taux de
production de la canne et aussi sur la qualité des produits obtenus.
Pour en savoir plus, nous allons développer dans ce travail les trois grandes parties
suivantes. En premier lieu, les caractéristiques de la plante en entamant sur l’origine de la
plante avec ses propagations, puis les principales espèces existantes et leurs caractéristiques
pour mieux expliquer leur mécanisme de reproduction.
Ensuite, nous allons présenter les différentes méthodes de la création variétale de la canne
suivie de ses principales techniques de sélection.
Et enfin, nous allons citer quelques exemples de techniques particulières de création variétale
de cette plante.
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Pour le Saccharum, l’origine est variable selon l’espèce. La canne dite « noble »
(Saccharum Officinarum) est probablement originaire de ce qui est aujourd’hui la nouvelle
Guinée en Océanie. Elle serait la descendante de la canne sauvage (Saccharum Robustum)
venue d’Indonésie. D’autres variétés dont Saccharum Barberi et Saccharum Spontaneum
proviendraient d’Himalaya et de l’Inde. Pour sa part, Saccharum Sinense aurait vu le jour
dans les Sud de la Chine. Ensuite, La canne s’est propagée suivant les routes de la migration
humaine.
Entre les Xème et Vème siècles avant notre ère, elle serait répandue graduellement
en Océanie et en Asie du Sud-est avant d’atteindre l’Inde et la Polynésie. La canne serait
introduite sur les bords de la méditerranées par les Perses vers 510. Au cours du VIIème
siècle ; les Arabes le diffusent en Egypte, en Afrique du Nord et dans le Sud de l’Espagne.
Puis, lors du second voyage de Christophe Colomb, elle a franchie depuis les îles de
Canaries, l’île de ce qui est appelé maintenant République Dominicaine. Et depuis, elle a été
acclimaté pour la première fois en Amérique à Haite. Entre XVème et XVIème siècle, cette
culture se développa dans la plupart des pays tropicaux de l’Amérique (Antilles, Mexique,
Brésil, Pérou, etc.) et fut pendant longtemps leur principale richesse agricole.
Au XXème siècle, les portugais puis les espagnols l’ont introduite dans les îles de
l’Atlantique-Madère, Açores, Canarie, Sao-Tomé, Cap-Vert.
a. Saccharum robustum :
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¾ Caractéristiques agro morphologiques :
¾ Caractéristiques génétiques :
b. Saccharum Spontanéum :
Saccharum spontanéum a une distribution géographique très vaste qui englobe
presque toute l’Asie, de l’Afghanistan aux îles de Pacifiques. Cependant, ces cannes peuvent
être rencontrées autrement car elles supportent tous les extrêmes en ce qui concerne la
pluviométrie et le sol. Elles sont sensibles au charbon et à la maladie de Fidji et résistent
particulièrement bien au sereh et à la mosaique.
Les différents écotypes de Spontanéum sont pérennes.
Les feuilles de cette espèce sont disposées en lanières, souvent réduites, à nervures
médianes rugueuses, de port érigé et branchantes. Elles se fixent par un pétiole en gaine
fortement adhérent à la tige.
Les tiges sont de couleurs variables mais ternes, donc blanches, grises verdâtres ou jaunâtres.
Elles sont courtes, fines, de 5 à 10mm de diamètre de diamètre, à moelles spongieuses percée
chacune d’une lumière, à écorces très durs. Les nœuds dessinent sur la tige (recouverte de
pruine) toute une série de renflements blancs ou verdâtre.
A l’exception de quelques unes, ces cannes fleurissent à 100% en quelques jours seulement,
dès le début de la saison hivernale dont ce sont les épillets pédicellés qui s’ouvrent les épillets
sessiles. En générale, cette inflorescence est petite ou moyenne.
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¾ Caractéristiques génétiques :
Pour spontanéum, le nombre chromosomique varie entre 40 et 128 suivant les
clones ; et le nombre de bases serait égal à 28.
a. Saccharum Officinarum :
¾ Variabilités génétiques :
Saccharum officinarum est à 2n=80chromosomes. Le nombre de bases pour cette
espèce pourrait être de huit à dix. La plupart des cannes cultivées actuellement sont des
hybrides interspécifiques artificiels entre cette espèce et l’espèce sauvage Spontanéum.
b. Saccharum Barberi :
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¾ Variabilité génétique :
Cette espèce est un hybride interspécifique naturel dont ses clones ont de nombre
chromosomiques variant de 82 à 124.
c. Saccharum Sinense :
Saccharum Sinense est originaire de la Chine. Elle résiste à la mosaïque mais pas à la
strie chlorotique qui est pour ainsi dire le mal spécifique.
Cette espèce est caractérisée par ses feuilles relativement larges, énormes, souples et
retombantes, se fixant à la tige par une gaine très fortement adhérente.
Leur tige est de 15 à 20mm de diamètre ; de couleur gris blanchâtre, parfois teintée
de rose et est revêtue d’une épaisse pellicule de cire ; ligneuse et faiblement sucrée. Les
nœuds et entre-nœuds qui y sont présents donnent l’image d’une bobine.
Elle fleurit modérément.
¾ Caractéristiques génétiques :
C’est aussi un hybride interspécifique naturel possédant comme nimbre
chromosomique 2n=82 à 124.
La canne à sucre se reproduit normalement par bouture qui sont des parties plus ou
moins de la tige de canne et comprenne un nombre variable et en générale limité de bourgeon
latéraux.
Ces boutures peuvent être des boutures de tête ou de bouture de corps dont la
technique culturale est résumée dans le tableau suivant :
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Tableau 3 : Système cultural de la canne à sucre
On remarque que cette multiplication végétative fut la seule technique pratiquée par
l’homme jusqu’au moment où l’on s’ »aperçut que les graines de cannes pouvaient être
fertiles.
a. Fécondation croisée :
La multiplication sexuée chez la canne a été conçue par sa fleur hermaphrodite semblable
à la constitution de celle des monocotylédones. Ces fleurs contiennent à la fois les organes
mâles (les étamines, qui libèrent les grains de pollen) et les organes femelles (les stigmates
qui conduisent à l’ovaire). Le sexe est reconnaissable sur la base de la fonctionnalité des
organes : à l’inverse des cannes dites mâles, les cannes considérées comme femelles sont
celles dont les étamines sont atrophiées et stériles, soit naturellement, soit à la suite d’une
castration artificielle.
b. Autofécondation :
Toutefois, la canne est considérée comme autogame car conventionnellement, elle
est mâle si le pourcentage d’anthère ouverte est supérieur ou égale à 20%. Dans le cas
contraire, elle est considérée femelle.
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─ Dans la nature
─ En plein champ
─ En serre
Dans la nature :
L’autogamie dans la nature est souvent contrariée car le sexe femelle définissant les
portes-graines est une notion statistique. En effet, faute des modifications de température et
d’humidité de l’air, l’ouverture des sacs polliniques est modifiée. Notamment, il y a
modification de la maturité sexuelle ce qui peut conférer le sexe mâle à un géniteur considéré
comme femelle fonctionnelle. De ce faite, on a intérêt à une autofécondation forcée
En plein champ :
En serre :
Les panicules sont enfermées dans la lanterne. On détermine en observant par transparence le
moment de l’anthèse. Puis, on y insuffle du pollen fraîchement récoltée ou bien on y introduit
une fleur mâle.
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La création variétale est une voie privilégiée pour accroître la durabilité et la viabilité
des productions agricoles dans un contexte de contraintes biotiques, abiotiques et socio-
économiques. Elle contribue à l’intensification écologique des productions et aide à faire face
à une compétitivité croissante sur les marchés.
Les parents sont eux-mêmes des hybrides obtenus par le croisement précédent.
L’hétérogénéité des parents amène souvent une rupture de liaisons entre caractères. L’intervention de
plusieurs espèces peut être efficace. En première génération il y a par exemple apport de quatre sangs
dont on peut encore compléter la combinaison. Cela peut être résumé dans le tableau suivant :
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Les hybrides sont issus du croisement d’un hybride avec un de ses parents initiaux ou un
parent collatéral.
d. Anoblissement :
C’est aussi un croisement du type consanguin avec moins d’accentuation, car on change la
lignée noble à chaque croisement de retour.
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Il s’agit d’un croisement d’une canne sauvage ou demi-sauvage avec une canne noble, de
lignées différentes. Cette méthode a pour but de ne conserver au terme de croisement qu’une partie du
patrimoine de la canne sauvage afin d’obtenir des sujets très intéressants.
Nous avons vu que la réceptivité des stigmates peuvent être favorables au pollen de la plante
ou à un pollen étranger. Pour obvier à un échec dû à l’éventualité d’un effet inhibitrice, les
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phytobiologistes ont imaginés de recourir à des polycroisements dont deux types sont aujourd’hui
communément employés :
BARBER a été le premier à signaler l’intérêt. Il réussit la fécondation entre Vellai (Bourbon)
et un hybride de saccharum. Celui-ci est un genre très voisin de saccharum, à tel point qu’il y avait été
rangé.
On a parlé tout récemment des hybrides de saccharum avec le genre Zea, Eucleama,
Bambusa et sorghum, réussite qu’on ne saurait admettre sans réserve.
Le but des expérimentations est de répondre objectivement à une question : parmi toutes les
variétés créées par l’hybridation, y en a-t-il une qui soit plus rentable que la variété
habituellement cultivée par les planteurs ?
L’objectivité du raisonnement expérimental est fondée sur des méthodes statistiques. Il faut
donc trier et comparer des centaines de milliers de nouvelles variétés.
Les variétés en compétition sont placées dans des chances égales de croissance : semées à la
même densité, à la même date, fertilisée avec les mêmes doses d’engrais, désherbées le même
jour, avec le même produit, dans les conditions habituelles des agriculteurs.
• Augmentation de la productivité
• Améliorer le rendement en canne et en sucre
• Teneur élevée en sucre
• Résistance aux maladies (4 -5 maladies selon pays)
• Adaptation aux conditions de culture
• Dates de récolte (début, milieu et fin)
• Qualités technologiques (fibre)
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V
• Récolte mécanisée (poort droit, uniiformité de taille)
R t
• C
Capacité geerminative et
e couvert végétal
v (enheerbement)
• P
Peuplement t (relation nombre
n -diam mètre)
Après laa fécondatioon, la phasee de maturattion des graaines. L’objectif final eest de recherrcher les
variétéss qui produisent le revvenu à l’hectare le plu us élevé poossible. Le ttonnage de sucre à
l’hectarre (tonnage de cannes x richesse en e sucre) est le critèree le plus immportant, carr le plus
corrélé au revenu de
d l’agricultteur.
La malaadie est ressponsable ded la chute ded productiion. On ne connaît pass d’autre moyen
m de
lutte que la culture de variétés résistantes.
a. la sélectionn visuelle
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NARISON N. &
& RASOLOFO L
L. & RAKOTOA
ARISOA N.
Amélioratio
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V
1ère annnée Pépinièères de planntules
Dans lees caissettess, seules surrvivent enviiron 200 0000 plantuless, qui sont rrepiquées dans trois
pépinièrres différenntes. Le cheercheur réppartit le maatériel végéétal entre cees trois staations en
fonctionn de l’adapptation de ses
s géniteurrs au micro oclimat conncerné : tellles plantulees seront
repiquéees dans tel région
r car provenant
p dee géniteurs tolérant frooid et sécherresse…
b. La sélectioon expérimeentale
8e, 9e et
e 10e annéees Stade “trrois lignes”
À la finn du stade “deux
“ ligness”, seules 1000 variétés de canne soont retenuess. Elles ne sont
s plus
que 10 à 30 aprèss le stade “3 lignes”, à la fin de d la 10e année.
a La ssélection réésulte du
classem
ment par orddinateur dess données économique
é es (revenu/hha) enregisttrées à la réécolte en
“vierge”” et en “repousses”.
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NARISON N. &
& RASOLOFO L
L. & RAKOTOA
ARISOA N.
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11e, 12e, 13e, 14e années Stade “essais régionaux”
Les 10 à 30 variétés les plus prometteuses sont testées dans un réseau “d’essais régionaux”
répartis dans tous les microclimats: zones humides ou sèches, sur le littoral ou en altitude,
irriguées ou non.
Il s’agit de reconnaître, dans chaque zone, les cannes susceptibles d’égaler ou de dépasser les
meilleurs standards localement utilisés par les agriculteurs. La recherche s’appuie sur des
stations d’expérimentations et sur quelques planteurs, volontaires pour héberger une
expérimentation pendant 4 années. Cette durée est nécessaire pour apprécier la tenue à la
repousse des cannes après les coupes successives. Seules les cannes les plus pérennes, et qui
résistent le mieux au piétinement des engins agricoles de chargement, seront retenues.
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I. LA R583
La variété actuelle conseillée aux agriculteurs pour la zone des hauts sous le vent est la R577,
et c’est cette variété qui est utilisée comme témoin dans nos essais.
Dans les essais du CERF, la nouvelle R583 donne, par rapport à la R577 :
9 + 27 % de tonnage,
9 + 5% de richesse en sucre
Afin d’évaluer, la variation de marge brute par hectare que peuvent attendre les agriculteurs,
nous avons retenu une production moyenne avec la R577 de 65 T/ha, avec une richesse de 13.
En appliquant les évolutions observées dans nos essais, la R583 permettra d’atteindre un
rendement de 82.5 T/ha avec une richesse de 13.65.
La variété R583 présente des avantages et des inconvénients, par rapport à d’autres variétés :
• Points forts :
R583 est une variété ayant une très bonne vigueur végétative, notamment :
→ Elle continue sa croissance à des températures où R577 arrête de pousser, ce qui lui
confère une bonne adaptation aux conditions fraîches d’altitude
→ Elle couvre plus vite le sol, ce qui facilite la maîtrise des mauvaises herbes.
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→ Très fort rendement en cannes par rapport aux variétés cultivées actuellement
R583 a une bonne levée. C’est la variété qui supporte le mieux les faibles températures
à la plantation (confirmé pas des essais du CIRAD).
→ Ceci est un facteur supplémentaire de réussite des plantations.
C’est une variété qui ne fleurit pas (ou très peu), et qui peut donc être récoltée à tout moment
de la campagne. Elle présente une bonne richesse par rapport aux témoins.
• Points faibles :
R583 a un diamètre moyen, en général moins gros que celui de R577 ou R570.
Sa forte vigueur végétative et la grande longueur de ses tiges entraînent une tendance à
verser, particulièrement lorsqu’elle présente un fort tonnage.
Ses caractéristiques d’adaptation aux zones d’altitude sèches rendent la R583 inadaptée aux
autres zones de production. Le CERF a mis en place des essais dans les différentes zones de
culture de l’île qui confirment :
→ Sa très faible richesse en dehors des zones d’altitude sèches
→ Un diamètre plus fin et une tendance à une forte verse en basse altitude
N.B : Malgré ses points faibles, en particulier son aspect végétatif, R583 est une variété qui,
grâce à sa productivité, va sensiblement améliorer le revenu des planteurs.
R583 a de mauvais résultats en basse altitude, il faut donc la cultiver strictement dans sa zone
d’adaptation.
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CONCLUSION
En somme, la canne à sucre est, certes, une plante bien connue et elle est cultivée
depuis les temps les plus reculés. Son exploitation est apparue presque partout compte-ténu de
la diversité des espèces de cette plante que ce soient pour les cannes sauvage que pour les
cannes cultivées. Sans parler des cannes non exploitable en amélioration génétique.
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BIBLIOGRAPHIE
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