La Croissance

http://www.lulu.
com/content/6607543
STEPHANE MINX.
MASSEUR-KINESITHERAPEUTE OSTEOPATHE.
SE REDRESSER ET GRANDIR.
TOUS LES MOYENS.
http://www.lulu.com/content/6607543
Si vous lisez cet e-book, vous avez le droit :
9 De le vendre le prix que vous voulez et d’en garder pour vous tous les
bénéfices.
9 De le donner en cadeau à qui bon vous semble.
9 De l’offrir en Bonus avec un article que vous vendez vous-même
Vous pouvez aussi, après accord avec moi, y faire figurer, en dernière page
vos liens personnels qui vous serviront de support viral pour vos articles,
© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

En revanche, vous ne pouvez pas le diffuser par des spam, des promesses
mensongères ou illégales, ni le modifier en quoi que ce soit. A l’exception
des liens que vous pourriez y faire figurer.
AVERTISSEMENT
Cet e-book a été écrit pour servir de complément à un premier livre

« Gymnastique pour Grandir ». Dont voici le lien
Il en est, en quelque sorte, le deuxième tome. Trois raisons m’ont guidé.
1. Parce que j’ai depuis la parution de mon livre recueilli de nouvelles informations,
particulièrement, en ce qui concerne le traitement par la chirurgie plastique des
insuffisances staturales. Vous les trouverez ici
2. Parce que je voulais donner un panorama à peu près complet de ce qui pouvait se
faire en matière d’allongement de la taille, passée la croissance et même pendant

3. Parce que plusieurs lecteurs de mon livre m’ont posé des questions, demandé des
précisions, auxquelles je m’étais engagé à répondre. Et c’est ce que je fais ici.
Et il est évident que je ne pouvais que le publier gratuitement, puisque je m’étais

engagé à répondre aux questions des lecteurs du premier livre et à en assurer en quelque
sorte le suivi. Et que c’est, entr’autres ce que vous allez trouver dans ces lignes.
Ce livre, puisqu’il ne reprend pas les informations techniques et connaissances

exposées dans le premier. Il ne saurait faire avec lui double usage.
Nous vivons sous la tyrannie de l’apparence du look comme on disait il y a

peu. Inutile de le nier, au nom de discours prétendument moralisateurs. Dans
le collimateur les gros, les moches et les trop petits. Ils ont autant le droit de
vivre que les autres. Rien n’indique qu’ils soient moins doués ou moins
efficients. C’est injuste et contreproductif. Cela ne devrait pas être, c’est
entendu. Mais cela est. Il faut faire avec, et être dans les normes. En sortir,
c’est être un handicapé social.
Ce n’est ni un luxe, ni une fantaisie d’y porter remède. Puisque la réussite

de vos vies intimes, personnelles et professionnelles en dépend.
D’autant plus que maintenant, on en a les moyens. Se résigner à l’inévitable

est sans doute une marque de sagesse et de force d’âme. Accepter ce qui est
évitable, n’est que paresse et sottise moutonnière.
En dehors des mesures cosmétiques, vestimentaire, prothétique, comme

les talonnettes (qui finissent par déformer le corps, donc le rapetisser), et dont
nous ne parlerons pas ici, car ce sont de fausses solutions, Il existe trois
façons sérieuses d’accroitre sa taille :
1. La Croissance.
2. La Chirurgie et L’orthopédie.
3. la Gymnastique et ses annexes
Ce seront les 3 parties de cet exposé.

PARTIE I
LA CROISSANCE

AVEZ-VOUS BIEN TERMINE VOTRE CROISSANCE ?
Ce qui va suivre ne s’adresse qu’à ceux et celles qui n’ont pas terminé leur
croissance. Ou qui ont des doutes à ce sujet. La première chose à faire, si vous
voulez accroitre votre taille est de vous demander si votre croissance est bien
terminée. Ne répondez pas trop vite ! Pour la plupart des spécialistes, la date
buttoir c’est 20-25 ans. Mais ce n’est pas l’avis de tous, et certains,
minoritaires il est vrai, avancent le chiffre de 40 ans.
D’autre part certains praticiens de la micro-kinésithérapie font état de

relance de la croissance à des âges assez avancés.
Je n’ai pas à prendre parti dans ces divergences de vue. Mais tout ce que je
peux vous conseiller c’est de consulter un médecin spécialisé dans ces
questions. Lui seul peut vous renseigner.
Ce qui suit s’adresse donc particulièrement à ceux dont la croissance n’est

pas terminée et qui pensent être affectés d’une insuffisance ou d’un retard
statural.
LES MESURES A PRENDRE.
La première chose à faire et sans tarder, c’est évidemment de se confier

aux soins d’un spécialiste. C’est un domaine où la médecine n’est pas
désarmée. Elle est efficace et elle est devenue sans danger, puisque les
hormones injectées ne sont plus d’extraction, mais de synthèse. Après les
scandales qui sont encore dans tous les esprits toutes les précautions sont
prises.
D’autre part certaines techniques modernes visent à retarder la

survenue de la puberté pour allonger la durée de la croissance.
Mais tout ne dépend pas du médecin. Vous avez aussi votre rôle à jouer. En
voici le détail.
Le Sommeil.
Le meilleur conseil qu’on puisse vous donner à ce sujet, c’est de vous

coucher le plus tôt possible. L’idéal étant de s’endormir avec le coucher du
soleil. Ne veillez pas. N’allez pas en boite. Le manque de sommeil nuit à la
croissance.
Un truc : si, toutefois, exceptionnellement ou rarement, vous sortez, faites-

le après minuit. Après avoir dormi. Il ne se passe jamais rien d’intéressant
avant minuit. Dormez avant : le premier sommeil, soleil couché, est le plus
réparateur. Les autres seront fatigués, pas vous ! Vous, vous arriverez
rafraîchi. En possession de tous vos moyens ! Plus opérationnel. Les « after
hours », vous avez entendu parler ? L’avantage sera de votre côté.
Pas mal non plus la sieste, si vous le pouvez. Le Dr carton recommande de

se mettre de midi à deux heures au lit déshabillé et de dormir. Cela permet aux
tempéraments les plus faibles de tenir le coup. Voire de faire de petites
natures, des athlètes. Ceci aussi est un bon truc.
Tout ceci est valable aussi pour les adultes qui veulent se mettre à un
programme pour grandir.
L’Hygiène.
Pas question évidemment de fumer d’user si peu que ce soit d’alcool ou de

substances plus dangereuses encore, en dépit de tout ce qu’on dit ou se laisse
dire. N’oubliez pas ceci. La drogue n’est pas qu’une « pompe à phynances »
pour les dealers. C’est aussi un piège, un moyen de sélection sociale. C’est
une arme pour éliminer de la compétition sociale certaines personnes. Et de
se réserver le pouvoir. Les gens en place, eux, veillent soigneusement à
préserver leurs enfants de ce fléau. S’il n’en était pas ainsi, il y a bien
longtemps (on en a les moyens, mais on ne veut pas) que cette peste serait
éradiquée. Ne tombez pas dans ce panneau !
Si, par malheur, vous avez mis le doigt là-dedans, pas une minute à perdre :
stop tout de suite ! Ce sera dur. Mais ce serait encore plus dur après. Demain
n’existe pas ! On n’arrête jamais demain. On n’arrête que tout de suite.
Des statistiques dont on n’a, curieusement, pas beaucoup parlé révèlent

que 50% des personnes qui ont échappé à une addiction l’ont fait par leurs
propres moyens. Ils ont trouvé le truc tout seul. Si vous avez envie de
connaître ces trucs, si vous ne savez pas comment vous sortir du tabac, par
exemple il y a un excellent e-book de Christian Godefroy que vous pouvez
trouver ici :
Arrêter De Fumer Grâce A La Méthode Subliminale
Voici 2 autres liens utiles :
Arrêter de Fumer
Comment arreter de fumer DEFINITIVEMENT!
Et de toute façon, vous ne courrez aucun risque, puisque, si ça ne marche

pas, vous avez une garantie légale de remboursement ! Cela ne vaut pas la
peine de s’en priver. Et je peux vous garantir, pour en avoir bénéficié moi-
même, que chez cet éditeur, cette garantie est scrupuleusement respectée. Il

a d’ailleurs raison puisque c’est son intérêt. On ne reste pas 30 ans sur un
marché sans ce respect du client.
Le Soleil.
Le soleil ne fait de mal qu’aux imprudents !
Bien des âneries été dites parce que beaucoup d’âneries ont été faites à ce
sujet. Des imbéciles se sont exposés au soleil pendant des heures. Ils ont,
bien entendu, subi les conséquences de leur sottise. Rien que de très normal.
On en a pris prétexte pour décréter que le soleil était cancérigène et je ne

sais plus trop quoi encore. Si le soleil était si nocif que cela, pourquoi serions-
nous 7 milliards sur cette planète ? C’est stupide. Le soleil est nécessaire à la
synthèse de la vitamine D. Donc à la croissance, quelle que soit la température
qu’il fait.
Mais Il fait beaucoup de bien à tous les autres !
En réalité, Le soleil a toujours été tenu pour un agent thérapeutique très

puissant. Un vieil adage médical n’affirme-t-il pas que « la maladie vient du
froid et de l’ombre ». Au point que le traitement par le soleil a eu droit à un mot
savant : L’Actinothérapie.
Comment le prendre ?
On croit souvent que le bain de soleil n’est efficace que quand il « fait
soleil ». Quand le thermomètre est à 40°. Faux ! Vous pouvez prendre un bain
de soleil tout l’hiver. Et toute la journée, pas seulement quand « il fait soleil »,
même par temps nuageux. Il n’y a pas l’effet chaleur voilà tout (et d’ailleurs tant
mieux). Mais l’effet lumière, l’effet rayons, et l’effet bain d’air, y sont ! Ce qui
est le principal.
Et les cabines de bronzages ? Eh bien, c’est une pure arnaque ! Et une

criminelle arnaque. Je ne comprends pas bien pourquoi on irait payer ce
qu’on peut trouver presque partout gratuitement, et en plus sans danger !
Vous vous déshabillez dans un jardin, devant une fenêtre, sur le balcon, à la
piscine ; dans n’importe quel endroit où la lumière du jour puisse atteindre
directement votre peau. Et c’est tout !

A n’importe quelle heure du jour. Même le matin. Même s’il « n’y a pas de
soleil ». Même l’hiver. Même si le ciel est couvert, nuageux. Même s’il ne fait
pas chaud. Même si vous ne pouvez enlever qu’une partie de vos vêtements,
c’est toujours ça.
En réalité, il faut s’exposer au soleil plutôt quand il est doux. Et pas besoin
de s’exposer entièrement nu. Des manches courtes et des shorts permettent
de recevoir le soleil sur les jambes et les bras. Les parties recouvertes ne
bruniront pas, c’est entendu, mais tout le corps en bénéficiera. Le moment où
on fait sa gymnastique (d’un mot grec qui signifie nu) est aussi une bonne
occasion de faire prendre au corps son bain d’air et de lumière
Mais s’il fait froid ? Eh bien sachez qu’exposer ses bras ou ses jambes, ne
pas trop se couvrir, est un excellent moyen de mincir ! On perd plus de
calories ainsi que par l’exercice et le régime. Ajoutez à cela, les douches
froides, les repas froid, laisser la fenêtre ouverte la nuit et ne pas trop se
couvrir, et vous avez là un excellent programme-minceur. Le surpoids freine la
croissance.
Et si en revanche, il fait chaud ? Une bonne façon de prendre un bain de

soleil consiste à le prendre à travers des branchages, et à alterner soleil et
ombre. Quand on est à l’ombre, on « digère » la lumière et le soleil. On en
écarte les risques. Et on en accroît les bénéfices.
L’Activité Physique.
A La première règle impérative, c’est bien sur d’éviter l’inactivité et la

sédentarité, mais aussi d’éviter les exercices de force, et par-dessus tout de
soulever des poids. (Mieux vaudrait rester des journées à trainasser au lit, et à
ne rien faire). Vous vous tasseriez, freineriez votre croissance en longueur et
hauteur au profit de celle en largeur et épaisseur. Le genre Du Guesclin, est
passé de mode. Ne vous épuisez pas non plus sous le prétexte de vous
« viriliser » et de vous endurcir.
La sottise n’a pas de limites. Un de mes amis a connu un homme qui voulait
faire de son fils un champion. Ou le surhomme qu’il n’avait manifestement pas
été lui-même. Il lui a imposé durant toute son adolescence des exercices
d’haltérophilie. Résultat, à l’âge adulte, il était devenu une sorte de monstre,
aussi haut que large. Dés qu’il a pu échapper à la tutelle paternelle, il a
évidemment jeté aux orties toutes ces imbécillités. Ses muscles n’ont rien eu
de plus pressé que de se transformer en graisses. En plus de large, il est
devenu épais. Et le garçon est devenu un nabot, plus large que haut,
bedonnant, un vrai bibendum. Il lui faudra traîner ça toute sa vie, supporter à
coups de gueuletons qui n’arrangeront rien. Joli résultat ! Et triste histoire !

Préservez-nous des gens qui croient tout savoir, veulent surpasser les
autres et qui « croient bien faire ». Quand on pense mal, mieux vaut ne pas
penser. La première qualité d’un imbécile devrait être la nonchalance et la
paresse.
B La seconde règle, le pendant de la première c’est d’avoir quand même une

activité physique, c’est mieux, mais de choisir celles qui privilégient
l’extension, le sens de l’équilibre, la coordination, la souplesse, la rapidité, les
réflexes. Qui les présupposent et donc les développent. Le Basket, le Volley
le dos crawlé, la brasse sur le dos (pas sur le ventre !), le surf, le skate-board,
la gymnastique acrobatique ou de compétition, la danse, l’escrime le patinage
le ski, le tennis, le funambulisme, la danse, les sports de combat, le jonglage,
le yoga bien enseigné, (ce qui est rare), le Kong Fou et le Chi Kong, le
stretching. Mais pas d’exercices de force.
C. La troisième règle, c’est d’avoir recours aux mouvements naturels, d écrits

aux chapitres I et II de la troisième partie du premier tome de ce livre.
D. Enfin, quatrième recommandation, c’est de faire de la gymnastique qui vise à

redresser et à faire grandir. C’est la gymnastique corrective, suédoise qui est décrite
dans le premier tome.
Ne ratez pas le coche ! Elle agit certes puissamment sur les adultes, mais plus
encore à votre âge. Car non seulement elle corrigera vis défauts, vous
détassera, (et par là vous allongera). Mais en plus elle stimulera votre
croissance. Double efficacité !
Bien sur, si vous pouvez en dégotter un et vous offrir ses services, qui
scandaleusement ne sont pas pris en charge par la SS (la bien nommée),
n’hésitez pas à avoir recours à un kiné mézièriste, champs clos, ou stretching
global, de l’école de Philippe Souchard. Pour plus de renseignements, tapez
AMIK sur un moteur de recherches ou ce lien :
http://www.qype.fr/place/522773-Association-Mezieriste-de-Kinesitherapie-A-M-I-K-
Lyon
En voici l’adresse postale :
Association Méziériste de Kinésithérapie (AMIK). 4 PLACE BIR HAKEIM 69003

Lyon. Téléphone : 04.72.61.11.05. Fax : 04.72.61.11.13 ...

PARTIE II
II LA CHIRURGIE


Dans le premier tome, je vous ai dit un mot des deux types d’opérations
possibles pour allonger les jambes : les fixateurs externes (ilizarof) et le
clou centromédullaire d’Allibizzia (opération plus lourde, mais meilleure
asepsie). Avec lez fixateur externe, on peut craindre les inoculations
infectieuses
Elles ont seulement une finalité cosmétique ou esthétique : allonger l’os,

au-delà même du normal. Et orthopédique. Par exemple Allonger un seul
membre, Au cas où le raccourcissement de l’os provoque une scoliose, à
laquelle on veut remédier. Ou redresser sa diaphyse. D’ailleurs la méthode
Ilizarov n’est pas, comme la technique du clou centromédullaire, à
proprement parler chirurgicale mais orthopédique ;
Je ne suis pas une photocopieuse et vous savez aussi bien que moi
surfer sur internet et je vous fais confiance pour recueillir toute la
documentation sur ce sujet !
Mais il se peut, et c’est très fréquent, que vous ayez une déformation
osseuse réelle, coxa vara ou genu valgum, génératrice d’affections
rhumatismales (par exemple d’arthrose). Alors au lieu de simplement
allonger vos jambes, vous ferez d’une pierre 2 coups. Vous allez aussi
corriger un défaut. Qui souvent a des répercussions sur le reste du corps.
Et de plus, un tel acte chirurgical, justifié aux yeux de la sécurité sociale,
peut fort bien être pris en charge, au moins partiellement ! En redressant les
os, vous regagnerez des centimètres.
Entrons plus avant dans le vif du sujet. Quelles sont les déformations qui
pourraient se corriger chirurgicalement, tout en entrainant un allongement
des jambes ? Ce sont essentiellement.
• Le genu valgum
• Le genu varum
• La coxa vara.
I La coxa vara.
Voici de quoi il s’agit. Regardez un fémur :

Le fémur, l’os de la cuisse présente 2 parties (voir le dessin) :
¾ En bas une partie longue et rectiligne, la diaphyse ou le fût.
¾ En haut, tourné vers le bassin, le col du fémur
¾ Terminé par la tête du fémur qui s’emboite dans l’articulation coxo-

fémorale.
Or le col du fémur fait normalement un angle de 135° avec la diaphyse, le

fût de l’os. C’est l’angle d’inclinaison. Ou angle cervico-diaphysaire. Mais il
arrive qu’il fasse moins. C’est ce qu’on appelle une coxa vara.
D’autre part l’angle de déclinaison ou d’antéversion de la tête

fémorale /condyles est de 10°. Il diminue avec l’âge.
Vous comprenez parfaitement que si l’angle diaphyse/col diminue, il y a

forcément diminution de taille. D’autant plus que l’angle que fait le fût du fémur
avec la verticale augmente. Et que cela entraine en plus un genu valgum
(genoux cagneux ou jambes en X. donc 3 causes de perte de taille. Sans
compter les répercussions sur la colonne vertébrale.
Or cet angle, il est possible, s’il est fermé, de l’ouvrir chirurgicalement. S’il
est à 90°, par exemple de le ramener à 135°. Ce qui allonge votre cuisse ;
Souffrez-vous de Coxa vara ?

Seule l’imagerie médicale (IRM ou radio) peut le dire. Interprétée par un

spécialiste. La coxa vara n’est pas exceptionnelle. Maintenant certains signes
peuvent la faire soupçonner. Essentiellement une antéversion du bassin (voir
tome I, IIIème partie chapitre IV) et la lordose lombaire qui l’accompagne.
Vous vous souvenez que, dans le premier tome de cet e-book, je vous ai dit
que par l’exercice et la rééducation, les os finissaient par se redresser « à la
longue ». Mais voilà, beaucoup sont pressés et la chirurgie peut les aider.
Il n’en reste pas moins que l’exercice (IIIème Partie Chapitre XIII p 139
exercice debout) est indispensable. Pas seulement parce qu’il finit par
redresser l’os. Mais parce qu’il
• Prépare l’os à subir l’opération.
• Maintient les résultats de celle-ci
• Prévient la survenue de la coxa vara (mieux vaut prévenir que guérir !)
• Est une bonne rééducation postopératoire.
• Redresse la colonne lombaire et par là tout le dos
• Redresse les jambes arquées ou cagneuses, et contribue à redresser les

pieds (voûtes affaissées) ; par repositionnement des os (voir tome I)
D’ailleurs on en sent et en comprend les effets dés qu’on l’essaie pour la

première fois, comme vous avez pu vous en rendre compte.
LE GENU VALGUM ET LE GENU VARUM
Autres déformations des jambes qui occasionnent une perte de stature ; le

genu valgum et le genu varum. Ils admettent souvent eux aussi une solution
chirurgicale.
Le genu valgum, c’est ce qu’on appelle plus communément les jambes en X

ou les genoux cagneux. Quand les genoux se touchent, il subsiste encore
entre les chevilles un espace plus ou moins grand. La perte staturale peut être
considérable, jusqu’à 15 cm.

Leur correction permet donc de grandir. Mais attention, certains types

d’opération seulement. Nous allons voir cela.
CAUSES DU GENU VALGUM ET TRAITEMENT
Le Genu valgum peut être causé
Par une coxa vara, (et la disparition de celle-ci le fait disparaître lui
aussi !). En effet, si l’angle col du fémur/fémur diminue, se ferme, le
fémur va vers l’intérieur. Il s’écarte de la verticale. Le genou est
poussé vers l’intérieur. C’est un genou cagneux. La cuisse et le tibia
ne sont plus alignés correctement. son angulation normale avec le
tibia augmente.
Mais il peut être du aussi à un développement trop grand des condyles

internes et/ou trop faible des condyles externes du fémur (en bas
articulation du genou. ).
C’est ce dernier cas que nous allons examiner.
Les ostéotomies correctrices peuvent être prises

en charge par la Sécurité Sociale et les mutuelles,
car elles traitent ou préviennent les arthroses.
Voici en quoi consiste l’ostéotomie d’ouverture du condyle externe du

fémur, opération qui s’accompagne d’un allongement du membre inférieur.
Si le condyle externe du fémur perd de sa hauteur (à gauche de la figure qui

représente de face une jambe droite), l’angle externe que fait le fémur avec le
tibia va se fermer, diminuer. D’où jambe en X
Il va falloir, par greffe, ostéosynthèse ou autres « allonger » ce condyle.

C’est une ostéotomie d’ouverture. On pourrait aussi (ostéotomie de
fermeture) diminuer la hauteur du condyle interne. Il y aurait encore correction.
Mais plus gain de longueur.

Précisez bien au chirurgien ce que vous souhaitez. Certains refusent les

opérations à visée esthétique. Pas tous. Les anglo-saxons sont souvent plus
tolérants.
LE GENU VARUM
C’est la déformation inverse. Les « Jambes de cavalier, en barrique ou « à la

Lucky Luke » Si vous avez compris ce qui vient d’être dit sur le valgum, vous
avez compris ce qui peut se faire sur le varum. C’est symétriquement la même
chose.

Attention. On pourrait être tenté de croire que, en cas d’angulation normale

diaphyse/col, on pourrait grandir en faisant encore ouvrir cet angle au-delà de
135°. Ce serait une coxa valga. Cela ferait naître un genu varum, qui annulerait
ce gain.
Je ne visais pas à vous assener un cours d’anatomie, mais à porter à votre

connaissance certaines possibilités qui s’offrent à vous.
Il existe aussi des chirurgies correctrices du genu valgum des adolescents.
Pour en savoir plus : voici un lien :
Lien genu valgum :
http://www.lerat-orthopedie.com/FR/cours/FR/powerpoint/04-Genou/17-
%20genu%20valgum.ppt
http://www.lerat-orthopedie.com/FR/
LA CHIRURGIE POUR GRANDIR EST-ELLE DANGEREUSE ?
Certainement ! Tout est dangereux ! Sortir de chez soi est dangereux. Y

rester aussi. Surtout pour se mettre au lit. C’est là que meurent la plupart des
gens. Vivre est dangereux : 100% des morts ont été des vivants. Méfiez-vous !
En fait toute opération comporte un risque. Comme tout choix ! Comme

n’importe quel acte thérapeutique ou autre. Mais ici, très faible ! Parce qu’elle
porte sur l’os. La chirurgie osseuse étant très couramment pratiquées est la
plus maitrisée. Mais évidemment les risques ne sont jamais nuls Allez voir
les statistiques des opérations post-traumatiques sur les fractures. Vous
verrez : le taux d’échec est dérisoire.
Encore s’agit-il d’opérations urgentes, à chaud, non prévues ni préparées.

Quand un alcoolique, un dénutri, ou un tabagique se casse une jambe, il faut
bien l’opérer. Quel que soit son état général.
Pour une opération comme celles qui nous intéressent, cela se présente
encore mieux : on peut sélectionner les candidats. Refuser certains pour
lesquels la chirurgie est contrindiquée. Attendre le bon moment. Le préparer.
Choisir le bon praticien. Dans ces conditions les échecs se réduisent à

presque rien.
En effet, il ne s’agit même pas ici de fracture : c’est bien moins que cela. La
pose quasi-orthopédique d’un fixateur externe circulaire surtout. (Ilizarov),
l’introduction d’un clou centromédullaire (Allibizzia). Et ce n’est pas
« accidentel ». C’est maîtrisé. Alors…
Une opération sur une fracture traumatique se déroule dans des conditions
infiniment moins favorables. Traumatisme plus grave, soins plus difficiles. Et
on ne choisit pas « sa » fracture. Il n’y a pas photo…
Et le fait est là, Ceux qui subissent de telles opérations en sont le plus
souvent satisfaits dans l’instant. Le gain de taille est au rendez-vous. Avec
quelques contraintes au début.
Mais voilà : Toute nouveauté rencontre des oppositions. Des voix s’élèvent.
Certains internautes de forum (Doctissimo notamment) menacent de
douleurs atroces vers la cinquantaine ceux qui, pour une futilité, se
laisseraient tenter par la chirurgie.
Passons sur la « futilité » dans un monde qui subit la tyrannie du look et

des apparences. Où on ne peut obtenir du travail que si « on présente bien ».
Où la vie sociale et privée en dépend : On a toujours assez de force d’âme (et
de « bon sens ») pour supporter (avec « philosophie ») les maux des autres.
Mais ceux-là seulement ! Parce qu’on aimerait les y voir dans la même
situation. D’ailleurs on les y voit. Les mêmes qui tiennent de tels discours ont
un soin extrême de l’habillement « qui les avantage (on ne les voit pas se
promener avec un sac sur la tête), de leur corps et de leur apparence.
Venons-en au sérieux : Quid du recul et des séquelles à long terme ?
Voici ce qu’on peut en dire :
On serait ici plutôt du côté des « fractures » très simples, si on tient à

appeler cela des fractures. Du fémur ou du tibia (les seuls os sur lesquels on
agit). Et de plus de « fractures » non-articulaires.
Eh bien dans ce cas, de l’avis de tous les spécialistes, les risques de

séquelles, les taux d’échec fort minimes. Interrogez des spécialistes ou allez
voir sur internet.
Il n’y a pas de risque zéro, c’est entendu ! Mais pratiquées par un chirurgien
compétent est expérimenté, spécialisé, jamais on ne s’en est autant
rapproché…

Il y a encore, une opposition irraisonnée cde certains professionnels. Un

grain d’inertie. Beaucoup de déni de la souffrance psychologique d’autrui
(surtout en France « pays des droits de l’homme » comme on sait). Des
réactions psychosociales irrationnelles. Car la chirurgie esthétique du visage,
couramment pratiquée présente des risques autrement graves et sérieux.
Tout ce qu’on peut dire, c’est qu’une décision de se faire opérer doit être
murie. Et qu’à l’opération il faut se préparer.
CHIRURGIE : COMMENT S’Y PREPARER ?
Si vous avez opté pour la chirurgie, la meilleure chose que vous puissiez
faire est de vous y préparer. Tout de suite si possible. Plusieurs raisons à cela.
CHIRURGIE : POURQUOI S’Y PREPARER ?
• Vous voulez accroître votre stature. Vous n’allez pas tout de suite aller
voir un chirurgien pour vous faire opérer sur le champ. Comme vous
iriez achetez de l’aspirine chez le pharmacien. Il faudra « programmer »
cela. Cela vous laisse du temps. Pourquoi ne pas en profiter pour faire
que cela se déroule dans les meilleures conditions possibles ?
• Vous êtes sans doute pressé d’obtenir des résultats. Là, avec des
exercices, vous pouvez commencer tout de suite. Et obtenir vos
premiers résultats. L’exercice n’est pas si pénible qu’on l’imagine, ni si
lent dans ses effets. C’est un encouragement.
• La chirurgie ne fera pas tout. Elle n’agira que sur vos jambes. Et vous
avez aussi des centimètres à gagner du côté du buste. D’ailleurs, en ne
grandissant que des jambes, il y aurait un déséquilibre. (genre grande
sauterelle)

• Même les exercices des jambes ne suffisent pas. Ils allongent et

redressent l’os. Ils ne le repositionnent pas. Ce que seule la
gymnastique peut faire.
• Pour réduire le plus possible les risques de l’opération, il faut présenter

le meilleur état physique possible.
• Pour en réduire l’impact et le traumatisme postopératoire.
• Pour raccourcir la période de rééducation qui suivra l’opération. La

rééducation utilise les mêmes techniques que la préparation. Vous ne
serez pas en terrain inconnu.
• Il se peut que la gym vous donne tous les résultats que vous souhaitez,
que vous ne demandiez pas plus. Auquel cas, vous n’aurez plus besoin
de passer sur le billard.
• Ca vous donne le temps de réfléchir, tout en faisant quelque chose. Si

vous n’êtes pas bien décidé.
• De toute façon, il faudra en faire. Ne serait-ce qu’après.
• Cela calmera votre impatience. Rendra plus rapide et plus parfait le

résultat. L’accélérera.

COMMENT SE PREPARER.
Outre ce qui a été dit dans la première partie, consacrée à la croissance, et

sur laquelle je ne reviens pas, Voici de quoi se composera votre programme :
L’Alimentation.
Elle devra :
• Etre modérée. Le surpoids vous déforme et vous tasse, au point de

vous faire perdre plusieurs centimètres : voir tome I (IIème partie). Vous
y trouverez 2 trucs (et même 3) pour mincir sans aucun effort ni
restriction. Automatiquement (vous pourrez même faire mincir votre
chat, votre conjoint, et votre ado, sans qu’ils se doutent de quoi que ce
soit !). Voici le truc qu’utilisent, qu’ils le sachent ou non, tous ceux et
toutes celles qui parviennent à transformer leur corps, à perdre du
poids. Ils ne font pas d’effort. Ils se retrouvent 1 ou 2 mois après avec
plusieurs kilos en moins, sans s’être rendus compte de rien ! Voici le
lien :
Comment Maigrir par le Subliminal
• Ne comporter Aucune carence. Privilégiez les sources naturelles :

céréales germées, levure de bière, gelée royale, pollen, etc.
• Être basique. C'est-à-dire non-acide. Il y a des aliments qui acidifient le

milieu intérieur. Ce qui est cause de raideurs musculo-tendineuses, de
déformations, de caries et de la plupart des maladies de dégénérescence
qui affligent les pays industrialisés. Vous trouverez aux éditions
Jouvence les livres de Christopher Vasey et du Dr Besson, qui traitent
magistralement (et pratiquement) de ces questions. Vous en tirerez un
énorme profit.
II L’Exercice.

Outre les effets d’allongement de votre taille, ils vous préparent à une
chirurgie sans problèmes. Parce que :
• Ils portent à un haut degré votre état de santé, vos défenses

immunitaires, votre état général
• Ils désacidifient votre corps et suppriment vos raideurs et vos douleurs.
• Ils vous assouplissent. Après l’opération, les os s’allongent. Les
muscles gardent leur taille. D’où perte de souplesse : les mouvements
sont freinés par la « raideur » des muscles devenus trop courts.
III L’Hygiène.
Ici, il faudrait répéter tout ce qui a été dit plus haut pour la croissance. Sur le
soleil, le choix des activités physiques le sommeil, essentiel et l’hygiène. Les
mêmes mesures s’imposent. Aucune ne vous fera grandir d’un centimètre.
Mais sans elles, vous n’aurez pas mis toutes les chances de votre côté. Pour
obtenir les meilleurs résultats, et le plus rapidement possible.
Le dernier point portera sur les traitements physiques, l’exercice, dont il va

maintenant être question.


III PARTIE

LA GYMNASTIQUE.
Nous voici à la gymnastique. Il faut ici être parfaitement honnête. Cette

gymnastique ne « relance » pas la croissance, lorsque celle-ci est terminée. Ou
c’est si rare (micro kinésithérapie), qu’il n’y faut pas compter.
Mais, à elle seule, elle suffit à vous redresser, à vous détasser, donc à vous
faire grandir. Quoiqu’en vous conformant, en plus de l’exercice, aux autres
mesures indiquées plus haut et dans le premier tome (partie II), les résultats
soient plus faciles, plus rapides et meilleurs.
Il est certain que, par nos tassements et nos déformations, nous perdons
tous au moins 6-7cm de notre taille. Et qu’une gymnastique appropriée peut
nous les faire récupérer. Tous ceux qui ont étudié la question sérieusement le
savent. Et en tombent d’accord. Depuis Edmond Desbonnets (qui fut secrétaire
d’état à la jeunesse et aux sports) qui gagna, passé 40 ans, 7 cm, alors que
c’était un athlète entraîné (vous avez trouvé en première partie le détail du
programme qu’il a suivi), jusqu’à Françoise Mézières et son école. En passant
pas L’abbé Meignien
Cela, Tous ceux qui veulent vraiment savoir le savent.

Et là ne s’arrête pas la liste de ceux qui ont une connaissance théorique et

surtout pratiquez de cette question. Citons en vrac je Pr Barnard (celui de la
^première greffe cardiaque, le Dr Pécunia, l’abbé Meignien, et tant d’autres.
Ces gens savent tout de même de quoi ils parlent !
De toute façon, si vous décidez de grandir, vous pouvez le faire sans

recours à la chirurgie. Mais vous ne pouvez le faire sans passer par la case
gymnastique.
Car supposons que vous vous fassiez opérer sans cette préparation : vous
serez tout de même, après, contraint à une rééducation par un
kinésithérapeute. Comme après toute opération sur le système locomoteur. Et
plus encore, parce qu’il faudra récupérer vos amplitudes articulaires et votre
force musculaire. Et ce sera d’autant plus long que vous ne vous serez pas
« entraîné » avant l’opération. Alors, autant commencer par là.
Cela, c’est si vous vous contentez d’un allongement des jambes. Car pour le
dos, la chirurgie est inenvisageable. Il n’y a que le redressement par des
méthodes correctives qui soit possible.
De combien vais-je grandir ? En combien de temps ? À quel prix ? Tels sont

les trois questions que l’on se pose le plus souvent.
1° De combien ?
Cette question se ramène à celle-ci. Pourquoi vais-je grandir ? Parce que
• Vous allez détasser vos surfaces articulaires, notamment vos 24 disques

qui ne perdent jamais moins d’1mm chacun, et dans l’immense majorité
des cas bien plus.
• Vous allez redresser votre dos et vos jambes. Et que toutes vos
déformations vous font perdre des cm. Que toute correction de celles-ci
vous fait récupérer.
Ainsi se trouve résolue la première question. De combien vais-je accroitre

ma stature ? Cela dépend de vos tassements et de vos déformations.

¾ Pour les jambes, c’est simple, c’est au chapitre XIII premier tome,
p138 très exactement.
¾ Pour le dos c’est plus difficile et plus approximatif. Vous vous
faites photographier de profil (droit et gauche) et de dos. Vous
regardez vos déformations lordose, dos rond, cou engoncé,
déformations latérales de dos. Et vous ajoutez 2cm (minimum de
tassement des disques.
CELA EN VAUT VRAIMENT LA PEINE !
Quand on parle à quelqu’un de cela il se dit généralement, oui, mais

beaucoup d’efforts pour bien peu de résultats ! Et en plus, il va falloir à tout
moment penser à se tenir droit ! Non !
I. D’abord cette nouvelle position ne vous demandera aucun effort. Bien

au contraire elle est beaucoup plus reposante. Vous vous sentirez à
tout moment beaucoup plus décontracté, détendu. Et beaucoup
moins fatigué en fin de journée.
II. En plus, elle s’installera en vous progressivement. Et Elle sera aussi

inconsciente et automatique que celle que vous avez actuellement.
Le difficile, ce serait plutôt de reprendre l’ancienne.
III. Enfin pour l’augmentation de taille, c’est tout de même appréciable.

Pour donner un ordre d’idée ; je vous ai parlé de 6-7cm. Ce chiffre
minimum semble faire l’unanimité de ceux qui se sont penchés sur la
question, et ont pratiqué le redressement d’adultes. Que ce soit E
Desbonnets, le créateur du culturisme, l’Abbé Meignien, le Dr Pécunia
ou Mlle Mézières et son école. Mais pour les très déformés, c’est
souvent plus !
Ce qui trompe, c’est qu’en rentrant le ventre et en reculant le cou, on sent

bien qu’on gagne 1 ou 2 cm tout au plus. Et que cela ne tient plus dés qu’on
relâche l’effort.

Mais ainsi, on ne redresse pas tout Et le peu qu’on redresse. Il n’y a que le
cou et les reins qu’on redresse. Et pour cela, il faut des efforts, auxquels
les raccourcissements et raideurs s’opposent. Qu’on les supprime et vous
vous tiendrez droit de partout et facilement. Automatiquement.
TOUTES LES DEFORMATIONS RAPETISSENT !
Toutes les déformations du squelette, même celles des bras, diminuent la

stature. Ce sont, de bas en haut
• Toutes les déformations du pied*. Perte : De 1,5 à 2 cm

(Maximum)
• Les jambes en X ou en barrique (En O). Perte : De 2 à 10cm
(Maxi)
• Perte de verticalité des jambes Perte : De 1 à 2 cm
• La bascule avant du bassin. Perte De 1 à 2cm
• La lordose qui partiellement en résulte Perte De 1,5 à 2cm
• Le dos rond. Perte De 1,5 à 2cm
• Le cou trop tassé, trop cambré et engoncé. Perte De 1 à 2cm
• Tassement des disques intervertébraux Perte : De 3 à 5 cm
• Tassement des chevilles, hanches et genoux Perte : De 1 à 1,5cm
• Scoliose
* C'est-à-dire : Pied plat (versé vers l’intérieur, pied creux. Pied équin. Pied
en talus. Rares sont ceux qui y échappent entièrement. Ces déformations
diminuent la taille, par elles-mêmes, et indirectement dans les
déformations qu’elles causent par compensation sur tout le reste du corps
Vous n’avez peut-être pas toutes ces déformations. Mais il est impossible
que vous n’en ayez qu’une seule parce qu’une déformation en entraine
toujours au moins une autre par compensation, pour rétablir l’équilibre. Ce qui
est à peu près sur, c’est que vous en avez plusieurs. Alors, faites vous-même
vos comptes. Et vous verrez que le Pr Barnard n’exagère pas en parlant
d’une perte habituelle de 6 à 7cm. Le Pr Desbonnets, Mlle Mézières, et bien
d’autres confirment ce point de vue, retombant toujours sur ces mêmes
chiffres, qui leur paraissent un minimum. Sauf à être un véritable Apollon, tout
le monde peut gagner 6 cm de taille. Facilement ? Rapidement ? Je ne dis pas
cela. Mais à la portée de tout le monde, cent fois oui !
Et puis il n’y a pas que votre taille qui compte. Il ne suffit pas d’être une
grande asperge, d’être « fichu comme une arbalète », d’être un grand
dépendeur d’andouille, style « Grand Duduche » pour impressionner
favorablement la fille du proviseur…Contrairement à ce qu’on imagine, il est
encore plus important d’être svelte, bien proportionné, d’avoir le buste en V, de
larges épaules dégagées, une taille de guêpe, les fameuses « barres de
chocolat »…et cela, les exercices d’auto-grandissement et de redressement

vous le donneront très vite. Dés le premier centimètre gagné, votre look prend
un fameux coup de jeune ! Vous n’imaginez pas ce que le fait d’avoir gagné
seulement un ou deux centimètres (et vous en gagnerez bien plus !) peut
changer (avantageusement !) à votre aspect extérieur. 2 cm de plus, c’est peut-
être dix ans de moins, si vous avez seulement atténué un dos un peu voûté,
une bosse de bison, des épaules enroulées, résorbé un double menton et
retendu votre visage (c’est ce qu’on obtient en redressant le cou) ou encore
« ravalé » une bedaine de propriétaire. Et cela, vous l’obtiendrez rapidement.
2° En Combien de temps ?
On serait tenté de répondre : en un certain temps. Parce que cela varie avec
les individus. Leur travail, leur rapidité de compréhension, leurs motivations,
leur état général, la nature et le degré de leurs déformations.
Il ne fallut pas un an au Pr Desbonnets, passé 40 ans, pour gagner 7 cm.

L’abbé Meignien avance des chiffres analogues pour ses élèves. Mlle Mézières
parle de 3 ans pour un redressement total du squelette. Le Dr Pécunia, pareil.
Pourquoi ces écarts ? Cela tient je pense au degré de déformation des

sujets. Il est plus rapide de redresser une personne dont les déformations lui
auront fait perdre 7 cm, que celle, plus déformée qui en aura perdu 10 ou plus.
Cela dépend aussi de l’état du muscle. On redresse ainsi plus facilement un
vieux qu’un jeune (dixit F. Mézières).
3° A quel Prix ?
Ce qui ne signifie pas quelles dépenses, mais au prix de quels efforts. Car
ceci ne coûte pas un centime.
Cela demande très peu d’efforts physiques. Seulement un travail

d’attention. Et de persévérance. C’est là que le bât blesse.
PROGRAMME D’ENTRAINEMENT
PROGRAMME D’ENTRAINEMENT
Abondance de biens, prétend-on, ne nuit pas. Si parfois un peu et cela porte

même un nom : l’embarras de choix. Un peu perdu dans la masse d’exercices
que je donne, certains se sentent perdus et me demandent un programmez
c’exercice. Et c’est bien volontiers que j’accède à leur demande.
Pour commencer : VALABLE POUR TOUT LE MONDE.
Par quoi faut-il commencer ? Indiscutablement, tout le monde doit

commencer par l’exercice respiratoire bien particuliers donnés au chapitre III
(IIIème Partie). En deux mois maximum, et je compte large, Par ce seul

exercice, sue vous pouvez faire n’importe où et n’importe quand, vous serez
plus droit et plus grand.
Puis ceux du premier chapitre I (Hyper faciles) En s’aidant des suggestions

de la Partie I (Desbonnets).
Rien que cela vous fera gagner plusieurs centimètres.
ET APRES ?
Il y a peu de chances que vous ne fassiez pas cela. I l n’est pas possible
non plus que vous fassiez mal les exercices décrits ici si minutieusement.
La Première chose à bien comprendre est celle-ci : Le meilleur exercice

pour vous, ce n’est pas le plus puissant. Ni le plus facile, ou celui qui donne
les plus grands effets, ce n’est pas même l’exercice le mieux adapté à votre
cas. Le meilleur exercice, C’est celui que vous ferez.
Et cet exercice là, ce n’est pas l’exercice que vous aurez la volonté de faire.
La volonté est une chose fragile et qui ne tient pas. C’est celui que vous aurez
envie de faire.
Ceci pour vous dire que le seul risque d’échec pour vous, ce n’est pas de
mal faire les exercices que je vous propose (Ils sont trop minutieusement
décrits et expliqués pour que ce soit possible). Mais de ne pas les faire.
En d’autres termes deux choses sont capitales :
S’y mettre
Et s’y tenir.
C’est pour cela que je vais vous exposer les principes incontournables de la
motivation. Ce que les sportifs de très haut niveau appellent le mental. Ils sont
applicables à tous les domaines de l’activité humaine. Tout au

moins si elle veut rencontrer le succès.
Pour être absolument complet. Il existe aussi un autre aspect

de cette question : Ce que des médecins très sérieux comme le Dr
G. Durville appellent l’idéoplastie. C'est-à-dire le pouvoir direct
qu’a l’esprit de modeler et de modifier le corps.
Je n’ai pas l’intention de développer ici cet aspect de la

question. Je vous renvoie à la page de mon blog qui s’y réfère :
http://gymlook.fr/?cat=10
Et je reproduis ici un des posts qui la composent.
L’action de l’esprit sur le corps
Ξ Décembre 26th, 2007 | → 0 Comments | Mincir en paix, Les techniques

mentales |
Il y a encore des gens qui doutent de l’action du mental sur le corps. Ce n’est pas dans ” l’air
du temps ”
Or elle n’est plus mise en doute par aucun scientifique. Quelle que soit l’opération mentale
que vous soyez en train d’effectuer, elle produit sur le cerveau, qui est une partie du corps
jusqu’à nouvel ordre, une modification immédiate qu’enregistrent les techniques d’imagerie
médicale.
Sans aller jusque là, il y a une expérience que vous pouvez effectuer vous-même. Elle ne
demande, rassurez-vous, aucun pouvoir de concentration particulier.
Asseyez-vous confortablement dans un fauteuil ou allongez-vous. Les yeux fermés, imaginez-

vous (pas besoin de visualiser les détails, le schéma suffit !) simplement que vous avez une
balle entre les mains, que vous la lancez puis que vous la rattrapez. Plusieurs fois de suite.
Essayez vous-même, avant de lire ce qui suit.
Quand je fais faire cela à un(e) client(e), à un moment quelconque je lui dis : ” Je suis vos
pensées. Vous êtes en train de rattraper la balle “. Il est surpris que je ” lises ” ainsi dans son
esprit. En réalité, je ne fais qu’observer sa respiration. A l’inspiration, correspond le lancer de
la balle. A l’expiration on la rattrape.
Ce que je veux vous montrer par là, c’est que la pensée agit immédiatement et à tout moment
sur le corps. Et à coup sur. Cette règle n’admet ni exception, ni retard, et continuellement.
Pour le bien comme pour le mal. C’est ainsi que, par de simples images mentales, vous
pouvez modifier votre respiration et resculpter votre cage thoracique ! Ce n’est qu’un
exemple.
On ne s’en rend pas compte pour 3 raisons (entre autres !)
Parce que, sur l’instant, on n’y prête pas attention. L’esprit humain est plutôt tourné vers
l’extérieur, la tâche à accomplir, le spectacle du dehors, les événements que l’on redoute ou
que l’on espère.
Dans l’instant ces transformations sont minimes, en comparaison de ce qui accapare notre
attention. Un peu comme la goutte d’eau tombant sur une roche dure et qui semble ne pas
l’entamer. Mais qui avec le temps y creuse un trou ou y fait pousser une stalagmite.
Par sa lenteur enfin. L’aiguille de l’horloge semble immobile à qui la fixe. Mais en une demi-
journée, elle aura parcouru tout un cadran.
D’accord, me direz-vous. C’est amusant. Mais puis-je ainsi remodeler mon corps, mes
comportements, ou ma destinée ?
Eh comment ! Prenons simplement l’exercice respiratoire. La chimie de vos cellules est

modifiée par le rythme et la rapidité de cet acte. Par exemple, une expiration prolongée
diminue l’acidité de votre sang. Cela a été mesuré. Lütze immédiate qu’enregistrent les
techniques d’imagerie médicale.
Et le PR Durand de Boussingen, après les PR. Kammerer et Schultze eux-mêmes, a montré

que la tension intraoculaire baissait dans la deuxième étape de Training autogène. Au point
que cette thérapie est utilisée dans les glaucomes ! Vous trouverez ces renseignements dans
les livres de Schultze et Durand de Boussingen.
Tout cela ne date pas d’hier. J’ai fait, aux puces, l’acquisition d’un vieux livre des Dr André
et Gaston Durville : ” La Cure Mentale “. Il y explique, entre autres choses comment après
une pelade sévère, un de ses patients obtint la repousse intégrale de sa chevelure.
J’avoue que cela ne m’a pas beaucoup impressionné, puisque après une pelade, ordinairement,
les cheveux repoussent. En revanche, le deuxième cas qu’il cite, celui de son frère Gaston
Durville, ayant obtenu la repousse de ses cheveux alors qu’il était atteint d’alopécie ”
arthritique ” (ce que de nos jours nous appellerions alopécie androgénique, la plus commune
chez les hommes) est beaucoup plus surprenante. Même pour les personnes acquises à l
d’influence de l’esprit sur le corps. Mais ce n’est pas impossible, puisque Carl Simonton,
oncologue s’étant entraîné au Silva Mind Control, obtenait d’importantes rémissions et des
guérisons chez des malades atteints de cancers. Qui veut agir sur son corps devrait s’intéresser
à ces questions, sans attendre la permission de la faculté.
Les (excellents) cours de Silva Mind Control sont dispensés en France. Mais hors de prix. On
trouve encore les livres de Gaston Durville ou Paul-Clément Jagot. Mais la seule façon de
bénéficier actuellement de ces sortes d’enseignement reste le club positif de Christian
Godefroy, auteur et éditeur spécialisé dans ces questions et de ses excellents cours de
dynamique mentale et de méditation psy.

Mais si ces questions vous intéressent, mettez-moi un mail. J’y

reviendrai, avec des applications précises.
Nos liens :
Cours INTERNET sur 3 mois pour Vaincre sa Timidité

4 Étapes Simples Pour Vaincre l’Obésité
Les techniques mentales
Ξ Octobre 17th, 2007 | → 0 Comments | Les techniques mentales |
Il peut paraître charlatanesque ou dérisoire de vouloir mincir, ou transformer son corps par
des méthodes purement mentales comme l’autohypnose, la suggestion mentale, la
sophrologie. Pourtant, une minorité de gens le fait, avec succès, depuis que le monde est
monde . Sans remonter jusqu’à Adam et Eve, des sommités médicales et de très grands
scientifiques, au siècle dernier et au début du siècle avant dernier ont exploré cette question.
Le Dr G. Durville (dans “la cure mentale”) raconte comment de totalement chauve qu’il était,
parvint à se refaire une chevelure abondante, par des moyens purement mentaux. On ne peut
négliger cet aspect des choses, et tous ceux qui obtiennent un succès quelconque utilisèrent
des moyens mentaux, qu’ils le sachent ou non. Il y a 2 raisons à cela
• Supposons que vous ayez décidé (fermement croyez-vous), d'’entreprendre un travail

sur vous-même en vue de perdre (corpulence) plusieurs kilos en trop. Au début, vous
êtes tout feu, tout flamme. Mais rapidement, les 20 minutes que vous consacriez à
faire du vélo d’appartement, à sauter à la corde ou à gravir une pente vont vous
paraître fastidieuses. Vous trouverez sur le moment mieux à faire. Bref votre
motivation du début tiédit, devant les obstacles qui, immanquablement, vont surgir
devant vous. Il faut prévoir cela dés le début, ne pas confondre, flambée
d’enthousiasme (tout nouveau, tout beau…) avec une réelle volonté. Qui veut dire
persévérance. S’y mettre ne suffit pas, il faut s’y tenir. C’est cela, la volonté :
maintenir intacte sa motivation du départ. Prévoir les chutes de débit inéluctables. . Et
cela n’est possible que par des moyens mentaux. Le mental. Aucun sportif de haut
niveau ne néglige cela. Sinon, on ne récolte que le découragement, la rechute rapide
(en pire) qui le suit. Avec Les sentiments d’impuissance, de culpabilité et d’infériorité,
d’envie qui suivent. Il faut prévoir cela, dés le début.
• Il y a beaucoup plus, et je sais bien que cela va choquer les uns et soulever le
scepticisme des autres, mais la vérité est la vérité. L’esprit modèle le corps. Ceci n’est
pas une invention de charlatans du bas occultisme, mais une vérité scientifiquement et
surabondamment établie. Nous y reviendrons sur ce site, mais nous nous contenterons
de recommander la lecture de Carl Simonton “Guérir envers et contre tout” où il
montre, indubitablement, l’action des images mentales sur l’évolution du cancer lui-
même.

PRATIQUEMENT, il n’existe qu’un auteur-éditeur qui aborde ces questions de façon

parfaitement claire et compréhensible par tous. Il ne se contente pas d’affirmer, il prouve et il
explique. Agréablement, pas un instant on ne s’ennuie. (Quand on commence un des ses
livres, on ne peut plus le lâcher). Et surtout il explique clairement tout ce qu’on doit faire
(c’est facile et agréable) pour obtenir une transformation ou un but qu’on s’est fixé.
D’ailleurs, il rembourse les clients insatisfaits, et il y en a peu qui prétendent l’être.
Nos liens partenaires :
Programme de Méditation Psi

Séminaire de Dynamique Mentale
Arrêter de fumer
Autoguérison, Psychisme et Cancer
Comment Maigrir par le Subliminal
SELF-HELP (Droits de Revente)
GO
La Méthode Pescher
On nous dit souvent de "bien respirer", mais on ne nous dit jamais comment faire.
Vous allez découvrir un moyen très simple et rès efficace pour maîtriser et développer
votre respira tion, que vous pourrez pratiquer n'importe où et n'importe quand.
Pierre Sébire, aux éditions Jouvence, avril 2008
commander le livre

Cette parenthèse refermée je reprends ici ce que je disais sur la motivation ;

Il faut disais-je pour obtenir des résultats s’y mettre et s’y tenir.
S’Y METTRE.
Je ne l’ignore pas. Parmi ceux qui achètent des méthodes comme celle-ci,
(et qui le plus souvent sont bonnes), ne les mettent pas en pratique. Ce qui les
contrarie, ce n’est pas d’être trop petit, mais d’y être condamné et de ne rien
pouvoir y faire. Ils savent maintenant qu’ils peuvent. Ils Savent ce qu’il faudrait
faire. Et les voilà rassurés. Ils peuvent continuer à fantasmer tranquillement.
Je suis très heureux de leur avoir rendu ce menu service. Mais je leur ferai
remarquer qu’ils seraient encore plus certains de pouvoir se transformer
physiquement, s’ils le faisaient réellement !
Il y a aussi des gens qui ne s’y mettent pas, parce qu’ils sont écrasés, à la
lecture, par le nombre de techniques proposées et décrites. Ceux là demandent
qu’on leur tienne la main. Qu’on leur prescrive un programme. Des directives
précises, et je vais, dans toute la mesure du possible leur donner satisfaction.
Et je vais commencer à leur répondre immédiatement. Mettez-vous tout de
suite à l’exercice (un seul, le tabouret) décrit au chapitre III (3ème partie), du
précédent tome. Rien n’est plus facile, puisque vous vous sentez grandir dés le
début. Et que par ce seul exercice, vous entendez bien, par ce seul exercice,
vous aurez pris au moins 2 cm en 2 mois.
Voici d’ailleurs ce que m’écrit un lecteur à ce propos :
« J'ai trouvé votre livre vraiment fabuleux (un ouvrage majeur) et l'exercice du
tabouret absolument merveilleux (pour moi, c'est sans conteste possible, une
évolution de la méthode Mézières).
La libération que cela apporte au niveau de la respiration!

J'ai 52 ans et je me souviendrais toute ma vie du jour où j'ai acheté votre livre chez
Cultura à Labège (31)
Autre témoignage :
« En 2 mois, j'ai réussi à améliorer de façon spectaculaire ma posture et les problèmes que j'avais au
niveau de mon cou.
La question que j'aimerais vous poser : "Est- ce que vous faîtes des stages sur la méthode?"
Si oui, j'adorerais en suivre un avec vous. »
Et un autre :
« Désolé, mais je me suis pas mesuré, je n'ai pas eu le réflexe, si j'avais su que cela
puisse vous intéresser. Mais le résultat se voit comme le nez au milieu de la figure,
même mon père a remarqué le fait que j’ai grandi. »
En 2 mois aussi !
Donc si vous vous sentez écrasé au début par la multiplicité des

techniques, contentez-vous au début de celle-ci. Elle se suffit. Mieux vaut faire
bien une chose que d’en bâcler cinquante !
S’entrainer, c’est développer, de bons réflexes. Monter de bons automatismes.

Les perfectionner.
Nous allons commencer par voir tous les obstacles (purement

imaginaires), qui empêchent de s’y mettre
1 Cela se saurait.
Je vais la formuler, nettement : « S’il était possible de

grandir passé la croissance, cela se saurait !

Et pourquoi donc ? Il y a des tas de choses qui seraient

utiles à beaucoup de gens et que seuls certains savent. A la
bourse, cela porte même un nom : les délits d’initiés. Sans
aller jusque là, aux jeux, sans même qu’il y ait tricherie, ceux
qui sont formés et informés empochent les mises. Aux courses
par exemple, ceux qui sont malins s’enrichissent au détriment
de ceux qui croient l’être.
La réponse est donc simple : cela se sait ! Qui ? Mais bien

sur les gens qui connaissent la question pour s’y être
intéressés. Dont certains médecins comme le Pr Barnard ou le
Dr Pécunia, pour ne citer qu’eux. L’opinion des autres n’a
strictement aucune importance : ils ne font que répéter ce
qu’ils ont entendu ailleurs, si compétents soient-ils dans leur
partie, si bardés de diplômes qu’ils puissent être par ailleurs.
Hors de sa spécialité, l’opinion du spécialiste ne vaut pas plus
que celle de n’importe qui. N’en déplaise aux tenants du star-
system qui vont demander à Sophie Marceau, ce qu’il faut
penser de telle mesure politique ou sociale. Ou qui
pétitionnent à tour de bras.
Il est bien possible qu’un médecin vous affirme que tout ça

c’est du charlatanisme, des pièges à gogo, etc. Mais il n’y a
aucune raison qu’un quidam, fût-il médecin en sache plus sur
ce sujet que n’importe qui, s’il n’a pas acquis des
connaissances précises dans le domainedont il parle. La
médecine est un champ très vaste. Divisé en spécialités et
sous-spécialités. Et personne ne peut tout savoir.
Si vous en doutez, testez les connaissances anatomiques

d’un généraliste en ce qui concerne les muscles et leurs
insertions, et vous aurez des surprises !
J’ajoute que ce n’est pas pour cela un mauvais médecin il

sait ce qu’il a besoin de savoir et saura vous aiguiller au
besoin vers le bon spécialiste.
Simplement, et surtout chez les gens constitués en dignité

en autorité et en savoir, il y a une quasi incapacité à
prononcer ces mots « je ne sais pas ».
Par exemple, pendant des millénaires la terre a été

bombardée de météorites. Le moindre paysan savait cela. Tout
le monde, sauf l’académie des sciences. Au prétexte que le
plus lourd que l’air ne pouvait pas flotter dans le ciel.
L’argument du consentement universel est d’ailleurs sans

grande valeur. C’est comme si je vous disais « fumer, il n’y a
aucun danger ! Sinon vous pensez bien que cela se saurait ! Et
on ne verrait pas autant de gens fumer dans la rue ! »
On peut Augmenter sa Taille : La Preuve
Les preuves qu’un peut changer de taille ? Elles ne manquent

pas.
* Saviez-vous qu’après un séjour dans l’espace, les Cosmonautes

mesurent 6 ou 7 cm de plus ?
* Que pour échapper au service militaire, les conscrits portaient
toute la journée de la veille des poids lourds sur leur tête et leyrs
épaules ?
* Qu’on est plus grand le matin au lever que le soir ?
* Qu’au début du siècle certains artistes de music hall, tel le
fameux Fregoli pouvaient instantanément transformer leur
aspect physique, même leur taille et de nains se transformer en

géants au point de ne pouvoir être reconnus, même par un
observateur attentif ? Ils portaient le nom de transformistes. Ils
ont inspiré les personnages de Fantômas et d’Arsène Lupin.
2 C’est trop beau pour être vrai.
(Mais ce qui est trop beau pour certains ne l’est peut-être

pas pour vous ?)
Cela revient à dire « je n’arrive pas à le croire ».

Normal ! Ce qu’on désire trop, on ne le croit, on ne le croit jamais
possible !
Mais il y a autre chose ! C’est aussi que ces méthodes sont encore
assez peu répandues.
Par exemple : Vous croyez à la possibilité de se muscler. Parce que

ça se sait, et que vous l’avez vu. Ou que beaucoup vous en ont parlé.
Au début du siècle dernier, c’était une nouveauté. Dans les débuts

du culturisme, personne ne croyait à cette possibilité. Les gens se
disaient, on est comme on est, on ne peut rien y faire. Cela ne dépend
pas plus de nous que la couleur de nos yeux.
Et puis des gens l’ont fait. Ils ont prouvé le mouvement en

marchant. On les a vus partout. Maintenant, c’est chose courante : il
est fréquent de voir des gens se muscler. Des gringalets se faisant des
muscles gros comme ça. Même si ce n’est pas la majorité.
Des gens qui grandissent par l’exercice, il y en a moins. Mais si

vous le faites, vous ne serez ni le premier ni le dernier. Et ceux, il y en
a tout de même, qui le font, n’ont pas tendance à aller le chanter sur
les toits. Comme les bodybuilders, toujours un peu exhibitionnistes.
Et puis, cela n’a pas intéressé la faculté, comme trop futile ! Le

sujet n’était pas réputé assez sérieux. Il manque les fameuses
« explications scientifiques ». L’imprimatur de l’université et du corps
médical manque encore.
Avec F Mézières, la corrective a maintenant son corps de doctrine,

ses justifications théoriques. Même si la Faculté traine bun peu les
pieds devant ce qui a été édifié sans elle et par conséquent contre elle.
C’est pour cela que j’ai bien pris soin de vous fournir toutes ces
explications, vous renvoyant, pour les plus exigeants, aux travaux de F
Mézières et à des ouvragés classiques d’anatomie et de biomécanique,
comme celui de Kapanji
Auteur : A.I.KAPANDJI |
Préface : Professeur Raoul TUBIANA
Editeur :
MALOINE
Année : 07/2009 (6ème édition)
Nombre de pages : 351
ISBN 10 : 2224026471
ISBN 13 : 9782224026479
Reliure : Broché

Rayon :
KINÉSITHÉRAPIE
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PRATIQUE PROFESSIONNELLE DE KINÉ

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ANATOMIE
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PRÉPARATION DU DIPLÔME DE KINÉ

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3 Est-ce dangereux ?
Franchement, c’est comme si vous me demandiez s’il n’est

pas dangereux d’avoir le dos et les jambes droites. Ou s’il n’est
pas imprudent de corriger des pieds plats. Ce qui est dangereux,
c’est au contraire de ne prendre aucun exercice.
De plus, A un certain degré, une cyphose ou une scoliose

empêchent de respirer. Ce qui peut aller jusqu’à mettre la vie en
danger. C’est pour cela que parfois, on n’a même pas le choix.
On est forcé d’opérer !
Je n’ai jamais entendu dire qu’il était dangereux d’avoir le

dos droit ! Ou les jambes ! Et je défie quiconque de me citer un
seul cas où la gymnastique corrective ait provoqué le moindre
accident.
4 Ces exercices ne sont-ils pas épuisants ou infaisables ?
Ils le sont si peu que la plupart étaient tenus surtout pour des
techniques de relaxation. Le signe qu’ils sont bien faits, c’est qu’un
se sent dispos et détendu après. En aucun cas ils ne fatiguent. Au
contraire ! Ils vous procurent facilement et immédiatement une détente

qu’aucune méthode connue à ce jour ne peut vous donner !
C’est d’ailleurs pour cela qu’une fois appris, on s’y tient. Et qu’on
recherche toutes les occasions de les pratiquer !
Et pour moi, Est-ce que ça marchera ?
C’est l’éternelle question, le doute qui assaille tout le monde.
Je suppose que vous avez lu les explications scientifiques que

je donne sur l’origine et le traitement des déformations du
squelette. Qui entraine ipso facto un accroissement de la
stature. Vous savez donc.
Mais voila : vous ne le croyez pas. Un doute s’insinue dans

votre esprit. Et avec moi, est-ce que ça marchera ? Et si ça ne
marchait pas ?
Il ne vous suffit pas de savoir : vous voulez aussi toucher du

doigt tout de suite. Sentir. Savoir où vous mettez les pieds.
Rien de plus facile !
Pour avoir une réponse indubitable, voici quelques

suggestions :
Prenez, par exemple, l’exercice du tabouret (chapitre III, 3ème

partie). Il décoiffe ! Vous vous sentez étiré de partout ! En le faisant on se
sent instantanément grandir ! C’est même visible de l’extérieur !
Impossible de douter encore après cela

Ou l’exercice de hanche N°7. Vous le sentirez passer. Il étire les

hanches (+++), les reins et les cuisses. Après, vous vous sentez
débarrassé (immédiatement !) de vos fatigues de jambes. La circulation
se rétablit. Vous sentez votre cellulite s’effacer, vos jambes se redresser
Et le mieux, c’est qu’il n’y a aucun effort à faire. Vous prenez la

position. Rien ne vous empêche alors ni de lire, ni de regarder la
télévision en même temps. Il suffit de « laisser agir » !
Et pour les jambes ? Faites l’exercice correcteur debout

XIII page 138-139. On sent les os des jambes se repositionner.
Le bassin se replacer se redresser et s’avancer. Le bas du dos se
redresser. C’est saisissant !
Alors, Je suis bien tranquille cela marchera !
Même avec vous !
C’est le contraire qui serait surprenant. Ecoutez, cela marche depuis

au moins 2 siècles (chez nous, car pour les yogis c’est depuis des
millénaires !). Il n’y a pas de raison que cela ne marche pas pour vous.
Cela marche depuis 6000ans, cela fait quand même un sacré recul ! Que
voulez-vous de mieux ?
La preuve absolue, vous n’aurez pas longtemps à l’attendre, comme

dans d’autres méthodes, ni 3 mois, mais dans cinq minutes. Essayez
avec n’importe lequel des exercices. Qu’attendez-vous ?
DES LA PREMIER EXERCICE, VOUS VOUS SENTEZ

GRANDIR !
Alors ce livre que vous avez acheté, servez-vous en donc! Ne le laissez pas
dormir sur un rayon !

5 Le Manque de confiance en soi.

Cela se formule ainsi : « Est-ce que je tiendrai bon ? Et sinon, pourquoi
commencer ?
Ecoutez : qu’est ce que vous pouvez bien avoir à y perdre ? Dans le pire des
cas, vous aurez renoncé à quelques minutes de rêveries de dépression ou de
bavardage, et vous aurez pris un peu d’exercice, ce qui n’a jamais fait de mal à
personne.
Mais dans le meilleur, le plus probable, quand vous aurez vraiment

commencé, vous aurez entamé une transformation de vous-même qui ne
risque pas de passer inaperçue !
Il y a des gens qui ne commencent rien, ou s’arrêtent un beau jour en cours

de chemin, de peur de ne pas continuer. Tel Gribouille se jet ab=nt à l’eau
pour n’être pas mouillé ! Parce qu’ils ne se font pas confiance. Ils se disent : A
quoi bon commencer, puisque je ne sais pas sur de continuer. J’ai si souvent
abandonné en route, des projets abordés dans l’enthousiasme. Alors
maintenant, ça va sans doute encore être pareil.
C’est bien déjà de se poser cette question nettement. Parce qu’une question
nettement posée est déjà à moitié résolue ;
Mais à moitié seulement.
Voici en plus quelques contre-feux
• Limiter ses ambitions au début. Se contenter de l’exercice du chapitre

III, qui est un des plus importants du programme. Ne pas se disperser.
• Ne pas se créer d’obligations. Explorer et essayer tranquillement un des
exercices décrits. Arrêter aussitôt qu’on en a assez. Vous n’êtes pas aux
pièces. Vous avez tout votre temps.
• Ne pas se mettre la pression. Ce book est à votre service. Pas le
contraire.
• Qui trop embrasse mal étreint. Ne pas chercher à faire trop bien ni trop
vide. Le perfectionnisme paralyse.
• Choisir un exercice pour son effet immédiat. (voir multi motivation). Ou
parce qu’il vous apporte un effet immédiat. Par exemple si vous avez mal
aux mollets ou à la nuque. La perspective d’un si=oulagement immédiat
est une puissant incitation

6. n’est ll pas un peu ridicule d’accorder une telle

importance à son aspect extérieur ?
Elle est bonne, celle-là ! Et puis quoi encore ? « Il faut s’accepter ! »,

prétendent des tas de gens ! Et pourquoi donc, je vous prie, si on peut
s’améliorer ?
C’est un peu comme si vous me demandiez s’il n’est pas un peu

ridicule de vouloir être plus heureux en amour ou gagner un peu plus
d’argent ! De se maquiller ou de s’habiller correctement.
Ça l’est si peu que l’activité qui tourne autour de l’apparence physique

est une des plus prospères de la vie économique !
Tous les « peoples » les gens en vue, les personnes fortunées

attachent à leur look une extrême importance ! Et ils ont fichtrement
raison !
Vous aussi, profitez de ces techniques

Ne vous laissez pas impressionner par ces discours : «On est comme on
est », « il faut faire avec », «Ce qui compte, ce sont les vraies qualités de cœur,
d’intelligence », etc.…
Justement non ! Ces choses là ne se voient pas au premier coup d’œil, ni

même le plus souvent au second. Ce qui se voit facilement, et la plupart sont
incapables d’aller au-delà, c’est si ” vous présentez bien “.
C’est d’ailleurs sociologiquement établi, (voir le livre « L’Empire des

grands »), les petits occupent des positions sociales significativement
inférieures à celles des personnes de grande taille. Et il n’y a aucune raison
sérieuse de penser qu’ils soient moins capables.
Devant l’irrémédiable, il est sage de se résigner. Autrement, c’est un

manque de dignité, et de respect de soi. De l’inertie, de la paresse ou de la
stupidité.
Certaines gens (qui n’ont rien à faire de vous !), vous prodiguent leurs
conseils marqués au coin de leur prétendu et souriant « bon sens ». Du genre
« on est comme on est », et autres trésors d’intelligence. Soyez bien persuadé
qu’ils prennent quant à eux grand soin de leur apparence. Qu’ils choisissent
avec un grand soin le maquillage ou les vêtements qui les avantagent. Qu’ils
n’ont de bon sens et de force d’âme que devant les maux des autres. Que les
fragilités des autres les rassurent et les réconfortent. Et qu’ils seront les
premiers à se moquer de vous (ou de votre conjoint !) et à vous traiter de
nabot.
Sans doute même » ressentiront-ils du dépit de votre transformation. Mais

ça, c’est leur problème. Pas le votre !
Ce qui est ridicule, c’est de les écouter.
Si votre aspect physique doit vous pourrir l’existence, Si votre vie privée,
votre vie professionnelle, doivent en dépendre, il n’y a pas à hésiter. Et vous
n’avez prendre conseil de personne. Si ce n’est de professionnels compétents.
Il est parfaitement raisonnable d’avoir soin de sa santé et de son apparence.

Votre bonheur en dépend. Et votre carrière. Un exemple entre mille. Des
sociologues se sont amusés à envoyer à des entreprises des C.V. absolument
identiques. L’un accompagné d’une photo « normale ». L’autre avec la même,
mais modifiée de façon à donner au visage toutes les marques de
l’embonpoint. L’un des deux obtint 4 fois plus de réponses que l’autre.
Devinez lequel ?

Les tribunaux condamnent plus souvent et plus

sévèrement les personnes au physique ingrat. Et tout cela
commence dés le jardin d’enfants. Une enquête publiée
sous le titre « L’Empire des Grands » fait apparaître que les
grands vivent plus souvent en couple et occupent des
postes plus élevés. Et il n’y a aucune raison (au contraire)
de penser qu’elles sont moins capables ou moins
sérieuses que les autres !
Les crimes de pauvreté et de sale gueule sont plus

sévèrement punis que les fripouilleries les plus
ignominieuses. Comme ceux des massacreurs d’enfants, le
vol des pauvres, les violences envers des personnes hors
d’état de se défendre, les malversations de toutes sortes
Alors, Tirez-en vous-même les conclusions
NE VOUS LAISSEZ PAS FAIRE !

Vous pouvez bien avoir toutes les qualités humaines, professionnelles,
intellectuelles que vous voulez. Ce n’est pas écrit sur votre front. Soyez en
bien conscient, Cela ne se remarquera pas au premier coup d’œil. Il y a une
tyrannie du look. Surtout aujourd’hui.
D’abord vous n’avez absolument besoin de mettre quiconque au courant de

vos projets. Et je vous le déconseille. Cela ne regarde que vous, et vous êtes
assez grand pour décider tout seul de ce que vous avez à faire.
D’autant plus que vous n’avez besoin de personne, et que vous pouvez
suivre un cursus absolument à l’insu de tous. Même si vous ne vivez pas seul
qu’y a-t-il d’étonnant, je vous le demande à ce que vous mettiez à faire de la
gymnastique ?
C’est unanimement recommandé et tout le monde devrait en faire autant. Et

Personne n’est en mesure de savoir quel résultat vous visez.
Tout ce que les autres verront, c’est que vous vous tiendrez plus droit. Que
vous mincirez. Que vous serez plus svelte. On vous demandera peut-être quel
régime vous faites.
Inutile donc d’en parler à qui que ce soit. Vous n’avez de comptes à rendre à
personne. Vous êtes assez grand pour savoir ce que vous avez à faire. Les
conseilleurs ne sont pas les payeurs. Le jour où vous rencontrerez une

difficulté ou un problème, ce ne sont pas les donneurs de conseils « avisés »
qui viendront vous aider.
S’Y TENIR.
A côté de ceux qui ne se jettent pas à l’eau, Il y a ceux qui un jour s’y sont
mis, mais abandonnent en route. (Et je ne veux perdre personne en chemin).
Pour la raison suivante. C’est que tous les exercices que vous connaissez
maintenant, ça marche vraiment. Et que ce serait dommage pour vous de ne
pas en profiter. Je n’ai rien à craindre : vous ne serez pas déçu des résultats.
Voici quelques principes qui vous aideront non seulement à persévérer,

maintenir intacte votre motivation, mais à tirer de plus grands profits de
l’aventure dans laquelle vous vous êtes lancé. Et pas seulement des profits en
matière de santé, d’image et de look. Mais aussi sur le plan psychique. Cela va
jusqu’au développement du jugement, de l’intuition, et des pouvoirs dits
« psy ». Et même sur le plan financier (nous verrons cela plus loin).
Au début, quand on entreprend un travail sur soi, comme mincir, se

muscler, se faire des abdos, ou ce programme correcteur-élongateur, tout
marche comme sur des roulettes. On est tout feu, tout flamme. C’est pour ne
rien faire qu’il faudrait se contraindre. Il est facile de s’y mettre
Mais difficile de s’y tenir. Très vite le feu sacré s’éteint. Les résolutions du
début s’émoussent. On a autre chose à faire. On n’est plus très sur de vouloir
vraiment ce qu’au début on désirait avec tant d’ardeur.
Que Faire ?
LE MANQUE D’URGENCE.
Les velléitaires, et nous le sommes tous plus ou moins ne travaillent et

n’agissent que dans l’urgence. Ils font continuellement « charrette ».
Si vous posez par mégarde votre main sur une plaque brulante,
immédiatement, vous l’en retirerez. ! Cela ne vous demandera aucun effort de
volonté ! Impossible de se soustraire à une telle urgence !

En revanche, Il est très difficile de travailler pour un objectif éloigné. Alors,

là où l’urgence n’est pas, il va falloir la créer. Des petites urgences
artificielles. Des buts qu’on atteindra rapidement et facilement.
De telles urgences se produisent au début, comme nous l’avons vu « Je ne

rentre plus dans mes jeans de l’été dernier » ou « quelqu’un m’a pris pour le
père de ma femme ». Il faut faire quelque chose !
Au début, tout est urgent. Mais pas pour longtemps. Il faut trouver autre
chose. De petites urgences de remplacement, artificielles qu’il faut faire naître.
C’est cela qu’on appelle entretenir sa motivation.
Les débutants, en effet ne voient pas d’ordinaire, cet aspect de la question.

Au début, quand on entreprend un travail sur soi, comme mincir, se muscler,
ou ce programme correcteur-élongateur, tout marche comme sur des roulettes.
On est tout feu, tout flamme. On a bouffé du lion. C’est pour ne rien faire qu’il
faudrait se contraindre. Il est facile de s’y mettre
Mais difficile de s’y tenir. Très vite le feu sacré s’apaise. Les résolutions du
début s’émoussent. On a autre chose à faire. On n’est plus très sur de vouloir
vraiment ce qu’au début on désirait avec tant d’ardeur.
C’est le seul piège qui vous soit tendu. Et où vous tomberez presque
nécessairement si vous n’y prenez garde.
C’est dés le début qu’il faut avoir recours à ce que je pourrais appeler à ces
techniques bien connues des entraineurs sportifs et des coaches de toutes
sortes (PNL, Sophrologues, etc.…). Les techniques de la motivation.
Nous y reviendrons, mais il fallait dés le début attirer votre attention sur ces
questions.
A part cela, il faut commencer par un effort de clarification. Nommer

clairement et mettre en lumière les obstacles purement psychologique que
vous allez devoir affronter, si vous vous engagez dans la voie de
l’autocorrection et de l’auto-grandissement.
Sans être un pionnier (car si vous grandissez par la voie de l’exercice et de

la rééducation, vous ne serez ni le premier ni le dernier), il n’en reste pas moins
que vous rencontrerez des obstacles psychologiques. Qu’il faudra lever. Ce
qui est facile quand on est averti.
Cela demande beaucoup de force de travailler pour un but éloigné. On ne l’a

pas toujours. Ou alors, beaucoup d’ingéniosité et de ruse envers soi-même. Et
je vais vous dire les trucs pour y arriver. Mais pour résoudre un problème il
faute d’abord se l’être vraiment posé. Sentir la difficulté et en avoir conscience

pour avoir l’envie et la possibilité de le résoudre. Les débutants n’ont pas

toujours cette sagesse. Un des premiers trucs, c’est la motivation de rechange.
Il vaut mieux poursuivre avec peu d’effort un résultat immédiat. Cela soutient
1° TOUJOURS COMPRENDRE CE QU’ON FAIT.
Vous avez pu vous en rendre compte : tous les exercices décrits le sont
avec grand un luxe de détails. Ce qui a pu vous agacer. Mais je voulais ne
laisser place à aucun doute ou à aucune incertitude, à aucune indécision, sur
ce qu’il y avait à faire.
Au point même d’en devenir un peu rasoir.
Vous avez pu aussi voir qu’à chaque fois, j’avais soin de vous expliquer l
les causes de la déformation que l’exercice avait pour but d’effacer. Et
pourquoi, en supprimant ces causes, l’exercice y parvenait. De vous donner
des justifications théoriques et scientifiques, presque à n’en plus finir.
Croyez bien que ce n’est pas pour le plaisir de noircir du papier que je me
suis attelé à ce fastidieux travail. C’est pour une raison psychologique simple.
La voici :
Il se trouve que je suis kiné (accessoirement auteur). Mais pas marketter ou

marchand de savonnette. Ce m’est toujours un vif plaisir lorsque je vois sur le
corps d’un client le résultat de mon travail. Ou que je lis la lettre d’un lecteur
qui me fait part de ses succès.
Or, pour qu’il obtienne ces résultats, il faut qu’il fasse certains exercices.
Qu’il les fasse un certain temps, en un mot qu’il persévère. Et qu’il les fasse
bien.
C’est impossible si on ne comprend pas ce qu’on fait ni pourquoi. Pour

avancer, il faut savoir ou on va. Où on en est. Avoir un retour immédiat sur ce
qu’on vient de faire. Et comprendre ce qu’on veut faire. Ce qui reste à faire.
Essayez donc de déambuler, les yeux fermés, même chez vous !
Par ailleurs pour entreprendre, persévérer, il faut voir devant soi un chemin
praticable crédible. Des moyens assurés.
Le but doit nous paraître accessible. « Nemo tendit ad id quod impossibile

videtur » disent les scolastiques. Nul ne tend vers un but jugé par lui
inaccessible.
Sinon, on ne sait plus où on en est. No si on ne perd pas tout simplement

ses énergies et son temps. Impossible d’enregistrer ses réussites (pour
s’encourager), ni ses fautes (pour rectifier le tir). On marche dans l’obscurité.
Maladroitement, sans résultats tangibles. Agir c’est mettre en œuvre des
moyens en vue d’une fin. Il faut les comprendre.
C’est particulièrement important les jours de fatigue ou de déprime.
Le système : « Vous le faites parce que je vous le dis » est un système qui
ne marche plus. S’il a jamais vraiment marché. Je suis l’adjudant « Je-ne-veux-
pas-le-savoir », et vous êtes le bidasse. Je suis la tête et vous êtes le bras. Je
suis le chef et vous obéissez. Cette distinction esclavagiste entre le travail
manuel et le travail intellectuel est une sottise, parce que tout bon travail est
l’un et l’autre. En plus d’être humiliant pour la dignité et l’intelligence, c’est
parfaitement improductif.
Je ne suis pas votre adjudant ni vous mon subordonné, alors Je vous

transmets ce que je sais, voilà tout. C’est pour cela que je vous explique.
Car ce qu’on ne comprend pas on ne le fait pas, ou on le fait mal. À la fin,

on ne le fait plus.
Obéir, exécuter sans comprendre humilient, désorientent et démotivent.

Pour que vous gardiez toujours une vision d’ensemble. Il ne faut pas rester la
tête sur le guidon.
Donc :
Quand vous exécutez un exercice, veillez à en bien

comprendre la raison
Et pour cela :
ETUDIEZ SERIEUSEMENT LES EXERCICES AVANT DE LES FAIRE.
Exemple. Vous voulez faire disparaître votre lordose. Ne vous jetez pas tout de
suite sur l’exercice. Lisez d’abord les lignes où sont expliquées
scientifiquement :
¾ Les raisons et les causes de cette déformation.
¾ Et qui vous disent pourquoi et comment les exercices qui suivent la font
à coup sur disparaître

Ensuite le chapitre VI vous fera un panorama complet de toutes les autres

causes de cette déformation ;
Après cela, vous vous sentirez regonflé. Sur de savoir ce que vous faites.
De ne pas vous tromper. Vous aurez acquis de nouvelles (et intéressantes)
connaissances. Et comme vous verrez clair, votre motivation en deviendra plus
forte. Par exemple vous saurez que, même si vous abandonnez pour une
raison ou l’autre, un jour vous pourrez reprendre avec certitude de succès.
Beaucoup en effet abandonnent parce qu’ils ne savent plus où ils en sont.

Parce qu’ils « marchent dans l’obscurité ».
Pour le dos rond (rien ne tasse ni ne vieillit comme une cyphose), le

chapitre VI vous dit pourquoi vous êtes voûté. Étudiez-le avant de faire quoi
que ce soit. Cela restera imprimé en vous vous n’aurez plus besoin de votre
livre avec vous pour travailler. Avant d’entreprendre l’exercice qui vous
redressera, quel que soit votre âge.
2° FAIRE DE MIEUX EN MIEUX LES EXERCICES QUE VOUS FAITES.
Répéter mécaniquement la même chose ne sert à rien. On stagne. C’est

comme si vous répétiez tout le temps la même erreur. Cela ne vous fera pas
avancer d’un pas. On apprend la gymnastique comme on apprend le piano. En
perfectionnant peu à peu ses gestes et mouvements. L’entraînement est un
apprentissage. Ce n’est ni un rite, ni une routine ni (surtout !) une manie.
3° NE PAS S’EN DEMANDER TROP !
Voici 2 défauts de débutants. En demander trop et trop vite. Et exiger trop de

soi : s’en demander trop.
Sur le premier point :
Vous aurez les premiers résultats visibles dans un ou deux mois. Pas
avant quelque effort que vous fassiez. Et pour avoir tous vos résultats, il en
faudra beaucoup plus. D’autre part, je vous ai dit que vous prendriez 6 pu 7
cm, par la gymnastique. Si vous êtes assez déformé pour en prendre plus, il
vous faudra encore plus de temps. Il faut le comprendre.
Sur le second point :
Nos énergies ont des limites. Surtout si nous devons secouer les années
d’oisiveté et d’inactivité. « Che va piano, va sano. Che va sano, va lontano ».
En latin « moderamine ! » et en français, « patience et longueur de temps font

plus que force et que rage ». Inutile de vous surmener et de vous épuiser. Il
faut se ménager.
Voici quelques suggestions.
Les premières fois ne faire que l’exercice du chapitre III.
Quand on le possède assez (une semaine) ajouter au programme un

autre. Qu’on apprendra pendant une semaine. (je vous suggère le
chapitre IV la lordose.
Ceci acquis l’intégrer au programme pendant une autre semaine.
Apprendre un 3ème exercice. Celui du chapitre XIII p139 (exercice

correctif debout.)
Bien comprendre que chacun des exercices vous redressera et vous

allongera. Surtout celui du chapitre III. Il vaut mieux se concentrer
sur un seul (celui-là) que d’en bâcler une dizaine.
4° EMPLOI DU TEMPS ET HABITUDE.
Beaucoup de gens se créent des habitudes. Ils ont raison, c’est une force.
Une aide à la persévérance. Un remède à l’indécision. L’emploi du temps et les
bonnes habitudes vous arrachent au fléau de l’indécision et de l’inconstance.
Si vous vous sentez un jour moins en train, sans habitude bien implantée,
vous ne ferez rien. Si vous avez monté en vous cet automatisme de la séance
de gymnastique, vous vous y mettrez.
L’habitude décide à votre place. Or c’est toujours une dépense d’énergie de

décider et de se mettre en train. Même si, quand vous êtes en forme, vous ne le
ressentez pas. Cette économie d’énergie, vous aidera à mieux travailler. A être
plus efficient. Moins fatigué. Et plus rapide en tout.
C’est pour cela qu’intercaler sa gymnastique dans un emploi du temps, ou

du moins, chaque jour, à sa liste de la journée, est utile. Il n’est pas mauvais
que l’habitude vous délivre du poids de décider. Et de vous mettre en train.
Vous embrayez sur votre séance. Ça se fait tout seul
Cela vous donne confiance en vous. Vous vous dites que demain, vous
n’abandonnerez pas. Cela vous permet de réserver vos forces, de les
concentrer sur ce qui en vaut vraiment la peine. La volonté c’est aussi un
montage de bonnes habitudes

Quand on entreprend une tâche, il est bon de mettre tous les atouts de son
côté
Mais cela ne doit pas devenir une obligation sacrée, un rite. Dériver en
ritualisme ou en pratique superstitieuse et magique. L’habitude d’une séance
préréglée à heure fixe est à votre service. Pas le contraire !
Faite à un autre, ou à plusieurs autres moments, c’est tout aussi efficace.

Donc Si vous sautez votre séance, ce n’est pas un drame. Vous avez dans la
journée plusieurs sessions de rattrapage, puisque la plupart des exercices
peuvent être effectués n’importe où ! En aucun cas n’interrompez
l’entraînement sous prétexte que vous avez « sauté » des séances.
Mais :
5° LE BON EXERCICE AU BON MOMENT.
ARRÊTEZ DE VOUS METTRE DES BATONS DANS LES ROUES.
Pour la plupart des gens, la gymnastique, c’est cela : Je me lève une demi-
heure plus tôt. Je m’isole (du téléphone et des fâcheux/ je me déshabille. Je
m’allonge sur un tapis. Et je déroule ma série d’exercices, à la suite les uns des
autres.
Si un programme d’une rigidité prussienne vous rassure,

pourquoi vous en priver ? Mais il peut arriver que parfois, vous
ne teniez pas le coup.
Si vous y arrivez, tant mieux ! Continuez. Mais pour cela, il faut que les
circonstances s’y prêtent. Et il faut une sacrée volonté. Ce n’est pas donné à
tout le monde.
Et si ce n’est pas le cas. Ou si vous vous rendez compte (panne d’oreiller !)

que cette demi-heure ce sommeil en plus, ce ne serait pas plus mal, Rien n’est
perdu ! Et je dis bien rien !
Car vous l’avez remarqué, la grande majorité des exercices que je vous ai
proposé, vous pouvez les faire n’importe où et à peu près n’importe quand.
Et en les faisant à temps perdu, dans une salle ou une file d’attente par
exemple (comme celui du chapitre III ou encore du chapitre VI), vous
obtiendrez exactement les mêmes résultats, et peut-être même meilleurs. Ne
vous laissez pas décourager par des vétilles.
Donc, ne vous mettez pas la pression ! Si vous avez opté pour la séance
matinale, et que vous ayez une… défaillance, Ne vous dites pas que tout est
perdu, qu’une défaite annule cent victoires, et autres balivernes. Vous avez le
droit à une et même à plusieurs sessions de rattrapage dans la journée.
Et puis même si vous ne faisiez rien pendant une journée, ou même une
semaine, les savoir-faire moteurs que vous avez appris, eh bien, vous les avez
appris. Cela vous restera. Ce n’est pas une catastrophe pour un champion
sportif d’arrêter l’entraînement un jour ou deux. Ce que vous n’avez pas fait
ou appris une fois, vous le ferez la fois d’après. Entre 2 apprentissages, il y a
toujours une période de maturation. Il faut être souple. S’adapter à soi-même, à
son corps, à son caractère.
Supposons que vous soyez en train d’étudier la géométrie plane. En cours

d’année, grippe ou autre, vous devez vous aliter une semaine. Allez-vous dire :
« Zut ! Mon année est fichue ! Il va falloir que je reprenne tout depuis le
début ». Non ! Tout ce que vous aurez à rattraper, c’est la semaine où vous
avez manqué.
Si j’y insiste, c’est que la chose est importante. On voit souvent des gens
qui disent : je n’arrive pas à me libérer de la cigarette, « j’ai déjà essayé
plusieurs fois »
Mais si vous avez déjà réussi un certain temps à arrêter, c’est que vous avez
déjà réussi, dans une certaine mesure, à vous rendre maître de cette envie.
C’est un bon début, cela ! Pourquoi abandonnez-vous au milieu du chemin ?
Votre sevrage est bien amorcé. Continuez ! Recommencez !
Il y a des choses qui ne s’oublient pas. Le vélo, par exemple. Si vous avez
visité une ville, longtemps après, vous vous y dirigerez mieux que celui qui n’y
a jamais mis les pieds ! Ceux qui ont abandonné le piano et qui s’y remettent,
le disent : « Ça revient vite ».
Tout cela pour vous éviter d’abandonner un travail ultra-profitable par ce

que quelqu’un a appelé plaisamment le toutouriennisme ! (Le perfectionnisme :
je veux tout ou rien). Qui est une des principales causes d’abandon. Un jour
ou une semaine sautée, ce n’est rien !
L’habitude est une grande force. Mais pas la seule. Parfois sa rigidité est
une faiblesse. Ce n’est pas une obligation, c’est une aide parmi bien d’autres

possibles. Elle est à votre service, pas vous au sien. Quand vous y dérogez, et
ceci vous arrivera à coup sur un jour ou l’autre, n’en faites pas un drame.
Enfin, il y a des tas de gens qui ne font pas de « séances ». Qui ne

travaillent qu’à leurs moments perdus (et qui ne le sont plus). Ils arrivent aux
mêmes bons résultats que les autres. C’est une question de tempérament.
SOYEZ SOUPLE.
Inutile de vous brutaliser ! Ne pas vous demander ce que physiquement ou

psychologiquement vous ne pouvez pas faire. Sachez vous adapter à vous-
même : certains jours, vous n’êtes pas dans les mêmes dispositions que
d’habitude.
Vous doutez (cela arrive même aux champions internationaux les plus
bardés de médailles et de records en tous genres). Ou vous manquez de
ressort d’énergie. Ou vous avez mal partout. Ou vous n’avez plus envie de rien.
Alors, à ces moments-là, faites une entorse à votre séance habituelle. C’est
le moment de faire des exercices (il y en a !) plus faciles, ou mieux encore : qui
viennent à votre secours. Qui remédient à votre malaise. Ceux dont vous avez
besoin sur le moment.
Rappelez-vous que ces exercices, comme tous les autres vous rapprochent
de votre but. Et en plus ils vous soulagent.
Pour quand cela vous arrive, gardez toujours les lignes qui suivent à portée
de votre main.
Conduite à tenir :
Vous êtes fatigué :
Choisissez des exercices faciles, ou devenus tels, et qui soulageront

immédiatement votre fatigue : pincer ou ponçages du cou (chapitre II), au
besoin faits par un tiers. Ou ceux du chapitre II. Exercice I Et l’exercice IV du
chapitre IX. C’est le degré 0 de l’effort. Pendant l’exercice IV, vous pouvez
regarder la télévision ou lire un magazine. Exercice du Chapitre XI (purement
passif). Vous en sortirez régénéré. Requinqué, comme disait ma grand’mère.
Vous pouvez aussi choisir quelqu’autre exercice qui vous plaise, vous soit
agréable ou facile.
Si vous êtes dans les 36èmes dessous. Si vous n’avez pas trop envie de
vous bouger, dites vous, je n’en fais qu’un. Et puis je verrai après. Le plus
souvent, vous en ferez beaucoup plus. Parce que l’appétit vient en mangeant.
Sinon, c’est que vous êtes vraiment trop fatigué. Parfois, on a besoin de
repos..

Vous Doutez de l’efficacité de ce programme. .
Vous avez beau avoir compris le pourquoi des exercices. Immanquablement

vous vous demanderez ceci : Et avec moi, est-ce que ça marchera ? Voici
quelques exercices dont vous sentez l’effet immédiatement. Vous aurez ainsi
une réponse indubitable à votre question. Cela vous rassurera.
Pour le dos, ce sera évidemment l’Exercice III. Impossible de l’avoir fait une
seule fois sans ressentir son indubitable effet grandissant.
Pour les jambes Chapitre XIII p 139 l’exercice correcteur debout

Et aussi CH XIII page138-139. On sent les os des jambes se repositionner.
Le bassin se replacer se redresser et s’avancer. Instantanément. Les os des
jambes reprennent leur place normale. Et les jambes, par suite s’allonger.
C’est très net, et tout le monde le remarque.
La plupart des autres exercices ont aussi ce ressenti, mais c’est

particulièrement net pour ces deux là. Les faire au moins de temps en temps
est une bonne piqure de rappel.
Impossible de douter encore après cela : On se sent grandir pendant

l’exercice. On est sur la bonne voie !
Vous doutez de vous-même.
Il s’agit ici de manque de confiance en soi. Non dans la méthode.
Il y a des gens qui ne commencent rien, ou s’arrêtent un beau jour en

chemin, parce qu’ils ne se font pas confiance. Ils se disent : A quoi bon
commencer, puisque je ne sais pas sur de continuer. J’ai si souvent
abandonné en route, des projets abordés dans l’enthousiasme. Alors
maintenant, ça va sans doute encore être pareil.
C’est bien déjà de se poser cette question nettement. Parce qu’une question
nettement posée est déjà à moitié résolue.
Mais à moitié seulement.
Voici en plus quelques contre-feux
• Limiter ses ambitions au début. Se contenter de l’exercice du chapitre

III, qui est un des plus importants du programme. Ne pas se disperser.

• Ne pas se créer d’obligations. Explorer et essayer tranquillement un des

exercices décrits. Arrêter aussitôt qu’on en a assez. Vous n’êtes pas aux
pièces. Vous avez tout votre temps. Se récapituler à la fin les raisons et
les bienfaits de la séance. Les mystiques (méditation) appellent cela un
« bouquet »
• Ne pas se mettre la pression. Ce livre est à votre service. Pas le

contraire.
• Qui trop embrasse mal étreint. Ne pas chercher à faire trop bien ni trop
vide. Le perfectionnisme paralyse.
• Choisir un exercice pour son effet immédiat. (voir multi motivation). Ou

parce qu’il vous apporte un effet immédiat. Par exemple si vous avez mal
aux mollets ou à la nuque. La perspective d’un soulagement immédiat
est une puissante incitation
7° NE VOUS BRUTALISEZ PAS.
Le problème c’est qu’il y a en nous deux personnages. Un adjudant-flic, un

Monsieur tout-ou-rien qui nous donne des ordres inhumains et nous prescrit
l’infaisable. Puis devant notre résistance (normale), nous persuade que nous
ne ferons jamais rien de bon, que nous sommes des bons à rien
Et puis devant lui, il y a un enfant résigné geignard, fatigué de tout ça, et qui
a depuis longtemps baissé les bras
Eh bien, il pour le premier, il faut lui dire de se calmer un peu.
Et au second de se bouger un peu. Lui secouer u (modérément) les puces

Concrètement qu’est-ce que ça veut dire ?
Cela veut dire qu’il faut être souple. Savoir s’adapter à soi-même. Ne pas se
demander ce que physiquement ou psychologiquement on ne peut pas faire.

D’une part il y a des jours, des moments où vous êtes fatigué. Non
seulement vous pouvez choisir de faire des choses faciles et qui vous plaisent
de préférence à d’autre, mais vous le devez. C’est un avertissement que vous
donne la nature. Le négliger vous éloignerait de votre but. Pour l’adjudant,
voici donc la stratégie.
Pour l’enfant indolent, en voici une autre. Il a souvent des velléités des
émotions. Il y a deux sortes de choses qu’il ne veut pas faire. Celles qui sont
trop difficiles (que lui ordonne l’adjudant. Et celle qu’il trouve trop facile, parce
que cela l’ennuie, ne le stimule pas assez. Et ne lui promet que des profits
limités (alors qu’il veut tout et tout de suite).
Eh bien, il faut lui fixer 2 règles. La première est tirée est tirée du livre des
36 stratagèmes. « Ne jamais négliger un petit profit. Parce que quand ils se
seront accumules presque sans effort. Nous serons surpris du trésor amassé.
La devise sera : « c’est toujours ça de pris ! ». « Ce n’est pas parce qu’on ne
prend pas beaucoup qu’il ne faut rien prendre !
L’autre règle sera de toujours transformer une émotion en action. On ne se

doute pas de ma prodigieuse efficacité de cette règle, secrète à force d’être
connue de tous. Laisser passer une émotion sans en tirer parti, Ce serait jeter
du carburant par les fenêtres.
Que se passe-t-il en effet, quand vous restez passif ? L’émotion, au lieu de

partir à la conquête vde votre but, vous ronge et se retourne contre vous.
Vous déprimez. Vous entretenez des suggestions négatives qui sapent vos
forces.
Alors que l’action est un tonique. Dans le meilleur des cas, elle vous
apportera un succès un gain. Dans le pire un enseignement. Et cela vous
délivrera du regret torturant de n’avoir rien tenté.
En plus, cette pratique développe l’intuition, la connaissance de soi et

d’autrui et disent les spécialistes de la parapsychologie les pouvoirs psy et la
chance.
8° NOTER SES MOINDRES SUCCES.
Avant d’atteindre le but que vous vous êtes fixé, vous allez devoir franchir
certaines étapes. Ici, certaines transformations (avantageuses) de votre corps.
Notez les biens. Pour vous elles ont un double intérêt
D’abord, elles entretiennent votre moral, votre énergie (et vous en avez
besoin. C’est bon de s’entendre dire « tiens, vous avez minci ? Vous faites un
régime ? Ça a l’air de vous réussir ». Ou « vous avez l’air en pleine forme

aujourd’hui ». D’entendre les remarques encourageantes de votre entourage.
Ça fait toujours plaisir se rendre compte qu’on expire plus d’air aujourd’hui
qu’hier Que son tour de poitrine a encore augmenté et son tour de taille au
contraire diminué. De sentir qu’on se tient plus droit. Que les c abdos se
dessinent Que certaines douleurs ont disparu. Qu’on fait des choses qu’on
n’aurait jamais faites avant ; qu’on rentre de nouveau dans ses anciens
vêtements de l’été dernier ;
Mais il y a un deuxième avantage. C’est que tous ces signes sont comme
des poteaux indicateurs qui vous confirment que la méthode marche. Que
vous faites bien ce qu’il faut faire. Que vous êtes sur le bon chemin.
Tout cela remarquez le bien. Notez-le pour vous
Et sur un carnet, c’est encore mieux. Tenir un « journal de bord a de

nombreux avantages.
¾ Les jours de déprime par exemple (Low spirits, disent les anglais) qui y
échappe ? Ces jours là tout va mal. Tout ira toujours mal. Et tout a
toujours été mal. Le carnet est alors là pour vous rafraîchir la mémoire.
Pour ramener les choses à leur juste place. Pour mesurer vos progrès,
vos mensurations qui ont évolué : les chiffres sont là !
¾ Du temps de votre enfance, on vous fixait chaque jour une tâche. Et

c’est comme ça que, le nez toujours sur le guidon, vous avez appris à
lire et à écrire. Maintenant, c’est vous qui devez vous diriger. Avoir une
vue d’ensemble. Quoi de mieux qu’un journal de bord ?
¾ Tenir un carnet permet de verbaliser ce que l’on fait de l’analyser, d’y

réfléchir, de clarifier ses idées, d’améliorer sa pratique. de prendre de la
distance.
¾ L’existence d’un carnet « matérialise » votre détermination de vous

transformer. L’inscrit dans le temps. Transforme une vélléité en réel
projet. affermit vos résolutions
¾ Sert à adapter à soi les exercices, les faire mieux. En créer de

nouveaux, au besoin. Je ne serais pas surpris (et j’en serais heureux)
qu’un client ou un lecteur m’amène une trouvaille encore plus efficace !
Parfois il est facile d’enregistrer ses progrès. Avec les exercices du

chapitre III, c’est enfantin : vous constatez de visu, vos progrès presque
minute par minute. Parfois il faut faire des mesures chaque mois, comme pour
le tour de taille et le périmètre thoracique.

Comme dit Pascal, c’est superstition de ne s’appuyer que sur ces moyens
matériels. Mais c’est superbe que de les mépriser.
DOPER SON ENERGIE ET SA MOTIVATION.
Voici maintenant les 2 techniques qui vous feront « tenir jusqu’au bout
« perinde ac cadaver », comme disent les jésuites. Grands éducateurs de la
« volonté » (leurs techniques, détournées sont toujours utilisées pour les
« lavages de cerveau ». ce sont
• La Multimotivation
• Et la Surmotivation.
1° LA MULTIMOTIVATION.
(Ou Surdétermination)
Vous le savez aussi bien que moi. Il est bien difficile de persévérer. De
garder, dans sa ligne de mire, la même motivation à travers le temps : C’est ce
qui, dans tous les domaines distingue les champions, les as, de tous leurs
autres concurrents, bien plus que leurs « qualités innées ». Le « mental », la
motivation.
Mais quand cette motivation faiblit. Qu’on préfère rêvasser une heure sur
l’oreiller plutôt que d’aller au turf, il y a une technique utilisée par tous les
coachs, les entraîneurs de haut niveau, les psychologues de la motivation.
C’est la technique de la surmotivation.
En vue de déclencher le désir vif et irrésistible de « s’y mettre » de faire un

exercice.
En voici le principe.
C’est entendu. Votre motif principal pour faire vos exercices, c’est de
grandir et de vous redresser. Tous les exercices du premier tome ont cet effet.
Mais ils en ont aussi bien d’autres. Et Dont aussi vous avez en vous le vif
désir.
Ce sont des motivations de remplacement ou de substitution. Vous désirez

gagner quelques centimètres de taille. Mais vous voulez peut-être aussi avoir
(et ce sera très rapide), vous faire une taille de guêpe avec les fameuses
« barres de chocolat » que même les bodybuilders enragés n’obtiennent pas
toujours. Ou éliminer le lard de votre ventre, la cellulite qui envahit vos
cuisses. Amincir et retoquer votre silhouette. Et cela les exercices entrepris
pour un tout autre but vont aussi vous le donner.
Outre votre désir de grandir, vous ressentez désagréablement certaines

imperfections de votre corps. Vous aimeriez avoir les épaules plus large, une
taille plus fine, des jambes fuselées, ne plus avoir un pouce de graisse.
Tout cela, et bien d’autres choses, les exercices de gymnastique médicale

et corrective exposés dans le premier livre, vont vous l’apporter, ou contribuer
largement à vous le faire acquérir. Alors, je vais pour vous aider à maintenir
votre motivation, et pour répondre au désir et à l’utilité de mes lecteurs, vous
faire une liste des transformations que vous pouvez apporter à votre physique.
Et à coté, les exercices qui vous les feront réaliser.
Le bon moment pour faire un exercice, c’est quand on peut, évidemment,

mais surtout quand on en a l’envie. Et cette envie, on peut la renforcer ou la
faire naître.
LA MUTIMOTIVATION : EXERCICES A LA CARTE.
9 Vous avez toujours mal derrière la nuque. Des maux de têtes Peut-être une
névralgie cervico-brachiale (NCB). Allez au chapitre II puis le III et le X.
Soulagement instantané. Puis définitif au bout de quelques semaines
9 Vos jambes vous font souffrir ? Vous avez mal aux mollets ? Tant mieux
parce qu’ainsi vous allez faire les exercices1 et 4 et 7 du chapitre IX. Non
seulement ils vont vous soulager immédiatement, mais vous allez éliminer
votre cellulite, calmer vos varices, et redresser-allonger vos jambes !
9 C’est l’exercice du chapitre III qui vous fera les abdos de plage, et les
« barres de chocolat » dont vous rêvez !
9 La cellulite qui envahit vos cuisses ne résistera pas à ce programme :

* Exercice du Chapitre III.
* Exercices (sans efforts) 1 et 4 du chapitre 9 (il grignote peu à peu la
culotte de cheval, sans efforts : Il suffit de s’asseoir d’une certaine façon…et
de laisser agir. Idéal quand vous êtes fatiguée
* Points secrets du Chapitre II

9 Le Dr Pécunia, n’a jamais vu de varices apparaître ou s’aggraver chez les

personnes qui faisaient régulièrement l’exercice No7 chapitre IX. Et moi non
plus ! Je confirme !
9 Vous éviterez l’arthrose ou son aggravation par les exercices I et IV du

chapitre IX.
…
9 Saviez-vous que votre puissance sexuelle dépend étroitement de votre
capacité thoracique. On ne sait pas au juste pourquoi. Mais ce qu’on sait,
c’est l’accroître coup sur par les exercices du chapitre III…
9 Tout vous « profite ». Mais certains peuvent manger tout ce qu’ils veulent.
Leur secret c’est encore l’exercice du chapitre III … Plus l’exercice 7 du
chapitre IX
9 Si ! Vous pouvez parfaitement redresser vos jambes torses et vos pieds

grâce à l’extraordinaire exercice de Françoise Mézières (chapitre XIII). Elles
deviendront droites, minces, longues, fuselées et galbées. Voir aussi chapitre
VIII
9 Les adeptes de la musculation suent sang et eau pour se faire un ventre de

plage, absolument plat, avec les barres de chocolat. Vous en un seul
exercice, sans efforts épuisants et bien plus vite vous les coifferez au poteau :
ils seront bien étonnés.
9 Un thorax en « V », un torse d’athlète (même si vous n’en êtes pas un) ce

n’est pas un problème avec l’exercice du chapitre XIV…
9 Retendrez les traits visage de votre visage, sans

aucune gymnastique faciale ! Adieu fanons, bajoues et
double menton (Voir Chapitre X…)
9 Vous avez pris un coup de vieux ! Quelqu’un a deviné votre âge… il y au

chapitres 2 et 3 tout ce qu’il faut pour que cela ne se reproduise jamais plus.
Du reste tous les exercices sans exception constituent une gymnastique anti-
âge. Une gymnastique non des muscles mais du sang. Pour vous faire
paraître beaucoup plus jeune que votre âge !
9 Vous êtes voûté ? l’exercice du chapitre VI. Vous seriez inexcusable de le

négliger. Vous pouvez le faire dans la rue en marchant ou dans une file
d’attente

9 Le mal de dos (ou de nuque) ne sera rapidement plus qu’un mauvais (et
lointain) souvenir si vous faites cet exercice (Chapitre VII)
9 Toutes les obésités générales ou localisées. Disparaîtront avec les trucs

des Chapitre III et IX, (surtout l’exercice N°7)
9 Vous vous essoufflez en montant les marches ? votre poitrine est étroite et
malingre, vos épaules enroulées ?
Comme l’enseignent tous les maîtres orientaux (et la psychologie moderne

le confirme), transformez vos émotions en action. Dés que vous ressentez un
manque une souffrance une infériorité. Dés que vous avez mal. Dés que vous
vous ennuyez, quand vous travaillez depuis un certain temps et que vous avez
besoin d’une diversion, d’une « récré », saisissez l’occasion de faire un
exercice. Rentabilisez vos moments perdus. Faites de vos moments d’ennui ou
de fatigue, des moments utiles.
Ajoutez à cela les bienfaits généraux de l’exercice. Et ayez toujours ceci à

l’esprit : Il y a surtout des effets globaux. Qu’on ne peut pas attribuer à un
exercice plutôt qu’à un autre.
LA « SURMOTIVATION ».
Vous avez entrepris cet entraînement pour être plus droit et pour grandir. Mais
parfois, vous en avez moins envie. Il est bon alors de faire jouer des motivations de
remplacements. Des surmotivations.
Cela peut ne pas suffire à vous motiver. A déclencher votre action. Alors utilisrez ce
ressort.
Il faut bien comprendre ceci : les exercices que vous avez trouvés dans le
premier tome (IIIème partie), ont pour effet de vous redresser et de vous faire
grandir. Mais pas seulement. Ils ont aussi bien d’autres effets « collatéraux »
qui peuvent eux aussi entretenir votre motivation. Ce sont les surmotivations
ou motivations de remplacement.
Exemple. Le chapitre IV. Il vous explique pourquoi vos reins sont trop
cambrés. Et comment y remédier. Mais il vous dit également les conséquences
de cet état de fait. Entr’autres les douleurs de dos les tours de reins, les
sciatiques, les lumbagos qui vous tourmentent peut-être.

En outre, il a des répercussions sur la sexualité, le système hormonal (les

surrénales par exemple. Bref il a apporte une foule de « bénéfices
secondaires. Il n’est pas mauvais de vous les remémorer, avant d’entreprendre
vos exercices. Il est bon de vous aider de ces considérations.
Chaque fois que vous vous apprêtez à en exécuter un, je vous recommande
de vous imprégner l’esprit des multiples bénéfices que vous allez en retirer.
Vous allez me dire « À quoi bon, puisque je vais je faire de toute façon ? »
Ma réponse tiendra en quelques points.
• Ce n’est pas sur : vous pouvez flancher…même à la dernière seconde.

Vous connaissez votre état d’esprit du moment. Pas celui de demain. Il
faut prendre des assurances. Prévoir.
• Même si vous le faites, ce qui sera le plus souvent le cas, vous le ferez
moins bien et avec moins d’ardeur
• Et la prochaine fois ? Vous assurez et renforcez votre motivation pour la
prochaine fois. Vous prenez une assurance sur votre motivation de
demain. Cela vous donne confiance en vous.
• Vous faites jouer ce facteur primordial dont je vous ai parlé plus haut.
L’idéoplastie ou pouvoir qu’a l’esprit de modeler le corps selon l’image
qu’il s’en est donné
• Cela renforce et réveille vos pouvoirs psy d’intuition, de jugement, de
magnétisme etc.
Bref, l’état mental dans lequel vous abordez un exercice est très important.
Il doit être optimisé.
C’est pour vous y aider que j’ai à propos de la plupart des exercices de cette
IIIème partie du premier tome, recensé les principaux « surbénéfices » de ces
mouvements.
Chapitre I
J’ai beau faire et dire, c’est comme si je flûtais. Les pratiques dont je parle
ici, (la pandiculation), sont trop naturelles, trop agréables. Pire : elles ne
demandent aucun effort. Alors on s’imagine qu’elles sont sans effet. Quelle
erreur ! Elles sont extrêmement puissantes, puisque tous les mammifères et
même tous les vertébrés y ont recours. Elles sont recommandées par tous les
anciens maîtres de Kong Fou sans exception. Curieusement personne ne les
relaie (trop efficace, peut-être...) Eux aussi, ils ont prêché dans le désert…
Chapitre II

Vous avez mal ? Vous êtes fatigué ? Vous n’avez plus envie de rien ? Mais
vous avez au moins le désir de vous sentir mieux. C’est donc le moment
d’essayer ou de pratiquer ces massages miraculeux et naturels qui vous
conviennent sur le moment. Ce n’est pas du temps perdu puisque eux aussi
Ils redressent et font grandi, eux aussi. J’ai assez expliqué pourquoi, pour ne
pas avoir besoin d’y revenir. Ne les négligez pas !
Ces micro massages, que vous apprendrez très vite (une ou deux soirées),
vous sentirez leur efficacité immédiate ! Une de mes clientes a ainsi massé une
voisine qui n’en pouvait plus tant elle avait mal aux jambes. Après, ça a été un
défilé continuel. « J’aurais pu vous faire de la concurrence déloyale ! » m’a dit
cette cliente. Je lui ai dit que je n’y verrai aucun inconvénient. Mais qu’elle
prenne bien garde aux administrations. Qui ne plaisantent pas en matière
d’argent (la santé publique, ils s’en battent un peu !)
Chapitre III
Si vous n’aviez qu’un seul exercice à faire, ce devrait être celui-là.
Ici, il me faudrait 10 tomes (et encore) pour faire la liste (sans doute encore
incomplète de tous les bénéfices de cette pratique. J’ai cité une lettre plus
haut. J’aurais pu en produire bien d’autres.
Parmi les plus étonnants :
• C’est le seul exercice qui fasse sans aucun danger travailler tous les
abdominaux et eux seuls ! bien supérieur à tout ce qu’on vous propose
dans les salles de mise en forme et de musculation. Bien plus efficace
et bien plus rapide. « Barres de chocolat » et taille de guêpe assurés en
quelques semaines !
• Coupe faim
• Brûle graisse incomparable (on ne vous le dit jamais !
• Grignoteur de cellulite.
• Correcteur du dos : c’est la seule base sérieuse pour corriger toutes les
déviations vertébrales !
• Il supprime toutes les douleurs de cou et de nique.
• Vous permet (associé à un autre truc expliqué dans la IIème partie) de
manger tout ce que vous voulez sans grossir.
• Base de la plupart des exercices qui suivent dont ils amorcent l’effet.
• Aide à l’abandon des addictions, au tabac (c’est comme cela que j’ai
lâché la cigarette !)
• Prévention et amendement des états diabétiques.
Et j’arrête là. Beaucoup de gens me disent que la mariée est trop belle : il y a
trop d’exercices dans votre livre et jamais je ne pourrais tous les faire ! Mais
pour avoir un résultat qui les stupéfiera, il leur suffit de ne faire que cet

exercice un mois ou deux. Leur entourage n’en reviendra pas. Après, ils
poursuivront leur entraînement avec ce qui suit.
En fait, il agit sur tous les organes et toutes les cellules du corps sans
exception. En voici la double raison :
1. En désacifiant le sang, il le rend plus fluide, plus résistant aux germes et

virus en temps de grippe H1N1 ce n,’est pas mal ; Et l’Abbé Meignien
ajoute que cette protection joue aussi contre les maladies chroniques et
de dégénérescence ;
2. Il accélère encore ce sang devenu plus fluide et le fait pénétrer dans des
zones du corps où il n’arrive jamais. Zones qui vieillissent (par
croupissement et stagnation), plus vite que les autres.
Si vous ne pouvez encore ou ne voulez tout faire, faites au moins cet

exercice. Ce ne sera déjà pas mal. Quand il vous aura fait récupérer toute votre
énergie, vous aurez envie et possibilité d’entamer les autres.
Chapitre IVet V
Ce qu’il ne faut pas rater ici, c’est l’explication des causes de la lordose.
Comment se fait-il que quand nous sommes couché sur le sol et ne faisons
aucun effort, il subsiste un pont sous nos reins. L’explication principale
quoique simple surprend souvent. Mais les exercices qui en découlent
logiquement ont montré leur efficacité depuis plusieurs millénaires. Quand
vous avez compris cela, vous savez que faire.
La lordose, est cause de dos rond de lumbagos sciatiques douleurs de dos

diverses. De dysfonctionnements digestifs (constipation), et glandulaires
(surrénales ovaires, glandes sexuelles). Si vous souffrez d’un ou de plusieurs
de ces troubles, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Chapitre VI
Rien ne vieillit autant qu’une bedaine de propriétaire. Ou un dos rond. C’est

une déformation sénile. Sachez qu’en le corrigeant, vous enlevez souvent une
dizaine d’année à votre silhouette. Vous ferez parfaitement l’exercice
correcteur si vous vous arrêtez sur l’explication de sa cause principale.
L’exercice peut être pratiqué partout. Même dans la rue en marchant. Voici
ce que ces exercices vous apporteront :
Chapitre VII
Epaissir les cartilages, les disques intervertébraux.

Un des principaux bienfaits de cette pratique, c’est d’être l’Arme Quasi-

Absolue contre le mal de dos. On lit des tas de livres et d’articles sur ce sujet ;
mais s’il fallait suivre leurs recommandations, il faudrait en faire une activité à
temps complet. Et un compte en banque bien approvisionné. Sans compter les
conseils pour ne rien dire : évitez le stress, détendez-vous au quotidien, faites
le vide mental en vous, respirez bien, et ainsi de suite.
Ici un quart d’heure dans la position décrite. Aucun effort. Et un bien être
immédiat, avant que la guérison ne devienne définitive. Quand on souffre du
dos, le sommeil fuit. On ne sait plus dans quelle position des mettre. Cet
exercice vous apporte la solution
Chapitre VIII
Les pieds sont votre socle. D’eux dépend votre position, votre bien-êtreles
exercices qui les travaillent agissent :
• Sur les varices. Je n’en ai jamais vu apparaître ni s’aggraver chez ceux

qui les pratiquaient. Peut-être pourrait-on les faire régresser. Mais je ne
suis pas en mesure de l’affirmer.
• Pieds plats douloureux, déformés. On les redresse toujours
• Jambes sans repos. Les exercices (+ ceux des jambes) les soulagent
immédiatement, les atténuent et les espacent sur le long terme. Parfois
les guérissent.
Certainement, vous avez mal aux jambes, aux mollets, et à la nuque même
si vous ne vous en rendez pas compte. Que diriez-vous de l’exercice I du
chapitre IX (3ème Partie) consacré aux hanches. Ou de l’exercice IV. Ou encore
des massages jeunesse-longévité du chapitre II. Ceux-là pas besoin d’efforts
physiques ni mentaux pour les faire. De plus ils vous donnent un résultat
immédiat : celui de détendre vos jambes. Et à long terme redresser les jambes
et grignoter votre cellulite et amender vos varicosités et varices. Ce n’est
quand même pas mal ! Beaucoup d’excellents massages ne peuvent pas en
dire autant. Et vous retrouverez peut-être après l’énergie de passer à l’exercice
n° 7 qui redresse carrément les jambes.
Chapitre IX
Les hanches

Beaucoup de ces exercices (ainsi que d’autres dans ce livre, sont

empruntées aux entraînements des danseuses balinaises. Ce sont des filles
fleurs des filles lianes à la silhouette gracile d’éternelles adolescentes. Au
demeurant, Avez-vous vu beaucoup de danseuses (balinaises ou autres
envahies par la cellulite ? Moi non plus. Ce n’est pas comme on le croit à
cause de l’intensité de leur activité physique : beaucoup de femmes « qui
n’arrêtent pas de la journée » ont de solides culottes de cheval. Non ! Ce qui
les en préserve, c’est la souplesse de leurs articulations. Que tout le monde
peut acquérir sans efforts épuisants. Par les exercices de ce chapitre surtout
les 1, 4 et 7
De plus ils préviendront l’arthrose de hanche et pourront même la faire

reculer. D’ailleurs, dans toutes les coxarthroses féminines, il y a toujours une
cellulite des cuisses associée. Je n’ai jamais vu d’arthrose sur des cuisses de
nymphes.
Et loin de fatiguer, ces exercices s’accompagnent, comme vous avez pu

vous en rendre compte, d’un grand soulagement dans les douleurs sourdes
des hanches et du mollet. De bien-être ; la circulation se rétablit. .
Chapitre X.
Le cou ! Tout adulte de plus de 25 ans en souffre. Parfois même encore plus
tôt. Comme me l’ont écrit plusieurs lecteurs (peut-être vous…) ils ont résolu
avec le tabouret et ces exercices de cou toutes leurs douleurs de nuque ;
N’oubliez pas que selon toutes les traditions, et c’est confirmé de nos jours,
les maladies de l’audition de la vie, du cuir chevelu, de la tête (céphalées et
migraines ont leur clé dans le cou. Qu’il faudra après masser (Chapitre II)
Chapitre XI.
Il est possible de bien respirer, quand on y fait attention. Mais comment

rendre cette bonne respiration habituelle ? En sorte qu’elle vous traite et vous
redresse même quand vous n’y pensez plus ? C’est ce qu’on ne vous dit
jamais. Mais ce qui est expliqué ici. Faites donc particulièrement attention à ce
chapitre. Ne passez pas à côté.
Chapitre XII.
OMOPLATES DOS DROIT.
Cet exercice n’est à faire que quand vous vous sentez bien. Que vous
^pouvez vpous concentrer. Mais alors, profitez-en !

Quand on dit à quelqu’un, pour vous redresser, il va falloir apprendre à bien

vous tenir, il se dit : »oui, je » sais. En le tenant bien, je gagne 1 o cm à tout
casser. Et je les reperds aussitôt après, parce que je ne peux pas penser toute
la journée à ça. Bien du travail pour pas grand-chose. Belle arnaque ! »
Eh bien vous avez tout faux, parce que
Ce n’est pas un ou un semi cm que vous gagnerez ainsi. Mais 6 ou 7 cm,

comme out le monde d’ailleurs
Une fois que vous aurez ‘trouvé le truc vous n’aurez plus à y penser. Et
loin d’être fatigué, vous serez plus reposé. Par l’énergie musculaire et
nerveuse que cela vous fera économiser.
Enfin cette bonne tenue se répercitera sur les jambes qui peu ) peu
fonctionneront naturellement et se tredresseront, même si vous ne faites
rien d’autre pour cela !
Remarquez-le à la plage. La plupart des gens ont mes épaules décollées. En

ailes de pigeons. Rares sont ceux qui y échappent ! Vous vous dites : « ils ont
de la chance ! C’est la forme de leur ossature.». Non absolument pas ! C’est
tout simplement qu’ils se tiennent droits. Naturellement. Automatiquement
sans y penser. Sans aucun effort. D’ailleurs, ils ont tous une allure absolument
décontractée.
C’est normal ! En voici la raison : il est beaucoup moins fatigant de se tenir

bien que de se tenir mal ; on économise ainsi ses forces. Je vais vous faire
comprendre par un exemple.
Quand vous avez appris à lire, il n’y avait pas que la main qui travaillait. Le
bras était crispé. Et la nuque. Vous suiez sang et eau pour former une lettre. Le
visage se crispait. Vous tiriez la langue à chaque plein, la rentriez à chaque
délié.
Maintenant, c’est beaucoup plus facile. Pour écrire, vous ne vous servez
que des muscles nécessaires.
Il va se produire la même chose quand vous aurez retrouvé les façons

naturelles de se tenir. Qui n’est pas votre maintien habituel.
Tout ce qui est habituel est plus facile. Même si ce n’est pas naturel. Mais
si ce qui est vraiment naturel redevient en plus habituel, votre bien-être, votre
détente et votre apparence extérieure en seront surboostés.
ATTENTION
¾ Ce chapitre demande beaucoup d’attention. Mais il est capital !

¾ Il ne peut être abordé utilement que si vous maîtrisez l’exercice du tabouret qsu
chapitre III

¾ Ce qui est habituel n’est pas ce qui est naturel. Et ce qui est fréquent n’est pas ce
qui est normal. Il est rare d’être normal !
Chapitre XIII
Au moindre mouvement de fatigue ou de lassitude, ou de découragement,

d’ « aquoibonisme » notre esprit retombe sur cette pensée qui l’assaille : Mais
au fond, est-ce que je ne suis pas en train de perdre mon temps ? Est-ce que
je ne me fatigue pas pour rien. Est-ce que ce que je fais est vraiment efficace ?
Est-ce que je le fais vraiment bien ? Et même, dans ce cas, est-ce que j’aurais
l’énergie de tenir jusqu’au bout (j’ai déjà tant de fois abandonné ce que j’avais
entrepris jadis avec enthousiasme), auquel cas je ferais tout aussi bien
d’abandonner tout de suite ?
Pour l’exercice du chapitre III, nous avons répondu. Il suffit de je faire une
fois pour comprendre que oui, il vous redresse le dos et vous fait grandir. On
touche du doigt. On comprend.
D’ailleurs, qu’on puisse redresser son dos, quand on leur a bien expliqué
pourquoi, les gens qui ont un peu de logique et d’ouverture d’esprit finissent
par en convenir. Après tout, la colonne vertébrale est une tige souple. Alors
pourquoi pas ?
Là où cela coince, c’est pour les jambes. Les jambes sont des segments
durs. Hors la chirurgie comment les redresser ?
Bien sur je vous ai expliqué dans le premier tome, (et sur mon site
gymlook.fr, auquel vous pouvez vous reporter) comment les mêmes causes
déformatrices de l’os, pouvaient tout aussi bien, si on les inversait, les
redresser. Je vous ai parlé des ostéoclastes et des ostéoblastes.
Tout cela est bien vrai. Scientifiquement établi. Classique même, puisque
ces données se trouvent dans n’importe quel manuel scolaire de 3ème.
Mais cela reste bien extérieur. Encore trop livresque. Cela ne mord pas sur
nos convictions et notre conduite. Par exemple, tout le monde connait les
méfaits du tabac. Même et peut-être surtout ceux qui continuent à fumer. Ils
savent, mais ne croient pas. Pour adhérer vraiment aux choses, on a besoin
de les expérimenter et des les sentir. De les toucher du doigt. Immédiatement.
Et rien de mieux pour cela que l’exercice correcteur debout (p 139 Chapitre
XIII.). Vous allez sentir tout de suite, votre bassin s’avancer et se réajuster. . Se
redresser. Corriger sa bascule. Les os des jambes et des pieds se

repositionner les uns par rapport aux autres. Les jambes se redresser. Et vous
sentirez en même temps des muscles inactifs jusque là travailler. Des raideurs
qui s’y opposent, s’assouplir. Bref vous sentez le caractère correctif du
mouvement. Vous vous sentez avancer.
Quand vous avez un instant de doute, faites-le. Vous serez regonflé après.
Je ne reviens pas non plus sur la disparition des douleurs de jambes et

j’atténuation des varices que ces exercices (+ ceux du chapitre III) combattent
si puissamment.
Autre avantage de cet exercice. Vous faire des fessiers galbés et bétons.
Sans ce méplat qui marque la faiblesse (répandue !) du moyen fessier.
Important pour une vie sexuelle réussie
Chapitre XIV.
Cette série n’est à faire que quand vous avez la pêche ou peut-être la
banane, je ne sais plus. Car elle demande de l’attention. Elle n’est à envisager
qu’une fois maîtrisé l’exercice du chapitre III. Quand celui-ci est devenu trop
facile. Alors elle en prolonge et en intensifie les résultats. Elle élargit et efface
les épaules (le fameux buste en « V » des athlètes, que vous aurez, même si
vous n’en êtes pas un !)
Chapitre XV
Exercice-Synthèse. À ne faire qu’en fin de cursus. Quand tous les autres

sont maîtrisés.
Chapitre XVI.
C’est le chapitre malle au trésor. Ouvrez-les les uns après les autres,
comme on ouvre une pochette surprise ou comme on déballe ses cadeaux à
Noël, dans la cheminée ou aux pieds du sapin.
Ces pratiques sont enseignées dans les écoles ésotériques, dans les
familles princières ou à l’usage de la gentry. Aux mannequins et aux top
models. J’ai voulu les présenter en vrac et de façon informelle, pour quitter un
peu le cadre rigide du début et préserver un certain aspect ludique à cet e-
book.

IL N’Y A PAS DE SANTE SANS EXERCICE !...
… Ni sans une colonne vertébrale droite. Réfléchissez. Vous le savez. D’une

façon ou d’une autre, il va bien falloir vous décider à avoir une activité
physique ! C’est une question de survie ! L’exercice physique vous met à
l’abri du pré-diabète, de l’hypertension, du glaucome (4 fois une heure de
marche par semaine), des maladies cardiaques, de l’ostéoporose il retarde
l’Alzheimer la DMLA. Parfois les évite. Ce qui est vrai de n’importe quel
exercice, l’est encore beaucoup plus de ceux que je vous propose !
L’exercice est nécessaire
¾ Si vous ne voulez pas vieillir précocement, tomber dans la dépendance.

(et soyez sur que si cala arrivait, nul ne vous ferait de cadeaux ! Et vous
auriez avec les vôtres de désagréables surprises !
¾ Si vous voulez finir votre vie chez vous, maitee de vous et de vos biens,
de votre vie.
¾ Eviter la maison de retraite.
¾ Les dégénérescences du cerveau de la rétine, des articulations du cœur
¾ Les infirmités de l’âge
¾ Etre exclu du monde des vivants pârqué dans quelque institution.
C’est entendu, le jardinage, le vélo, la marche, ça fait du bien. Ce n’est pas

moi qui vous dirai le contraire.
Mais il n’y a vraiment pas photo : le rapport qualité/prix est sans aucune
mesure ;
Autant choisir le système qui vous en donne plus !
Obtenir ce que vous voulez de la vie dépend de l’image que vous avez de
vous. Et cette image, c’est dans les yeux des autres que vous la lisez. Elle
dépend de votre apparence physique.
EN CONCLUSION

Pour vous déterminer à faire un exercice, choisissez d’abord celui qui

correspond à votre motivation du moment
EDUCATION MENTALE.
En travaillant selon ces principes, vous parviendrez au but que vous vous
êtes fixé. Ce n’est pas tout. Vous vous serez soumis à un programme
d’éducation mentale et psychique. En plus vous aurez acquis ces choses
qu’on ne trouve que dans l’effort et le succès :
• Connaissance de soi donc des autres.

• Mode d’emploi de soi. Outil fiable et familier.
• Finesse intuition.
• Energie et volonté.
• Efficience Intellectuelle.
• Créativité.
• Confiance en soi. Rien ne réussit comme le succès.
• Timidité balayée !
Vous ne pouvez pas imaginer le tonus mental, la confiance en vous,

l’assurance, l’indépendance de caractère et d’esprit que vous donnera le fait
d’avoir transformé votre physique. Et Contre les idées habituellement reçues.
C’est le dernier cadeau, et pas le moindre que vous trouverez dans votre
cursus.
MAINTENANT : « AU REVOIR ! »
Voilà ! J’ai aplani autant que j’ai pu votre chemin. …

Pourquoi ce « service après vente » ? Pourquoi cette rage de vous

convaincre de faire vraiment mes exercices et de vous y tenir. De ne pas
laisser mon livre dormir dans un coin ? Parce qu’ils marchent, et que je le
sais. Et que j’aime le succès par-dessus tout.
Parce que, quand vous vous êtes procuré mon livre, pour moi, ce n’est pas
fini. Cela commence plutôt.
Il ne manque pas de guides pratiques sur le marché. Pour se muscler le

ventre, mincir, déloger sa cellulite, booster sa mémoire et j’en passe. Leurs
auteurs multiplient les prescriptions, plus arbitraires les unes que les autres.
Ce qu’ils recommandent est obscur ou infaisable et ils le savent. Ils se mettent
ainsi à l’abri de possibles réclamations.
Ce n’est pas mon cas. Ce que je vous dis est facile à comprendre, faisable.
Et surtout marche. Et je n’ai qu’une hâte : Lire les mails ou les lettres où vous
me ferez part, de vos résultats, de vos réussites.

APPENDICE :
UNE NOUVELLE CORDE A VOTRE ARC !...
Si vous êtes thérapeute, praticien de santé, ou

envisagez de le devenir, vous pouvez en étudiant
sérieusement ce cours, vous assurer une source
passionnante de revenus fort confortables !
…Et, en cette période de crise, un tel savoir-faire, c’est

le meilleur des investissements. Personne ne pourra vous
le voler ! Et où que vous alliez, vous trouverez une
clientèle.
Car il se trouve que lorsque vous aurez terminé ce

programme, vous aurez non seulement grandi, amélioré de
façon spectaculaire votre « look », (Et croyez-moi, cela ne
passera pas inaperçu !)
Mais encore, vous aurez acquis des compétences

particulières, que vous pourrez parfaitement monnayer.

Ce que vous avez appris sur vous-même, sur le tas, et

c’est la meilleure école, vous serez parfaitement capable
de l’enseigner à d’autres ! Qui viendront d’eux-mêmes
vous le demander ! Vous n’êtes en effet pas le seul à avoir
envie d’accroitre votre stature de vous redresser ou
d’embellir votre physique.
Or Vous vous serez spécialisé. Par la force des choses,

vous serez devenu coach.
Parce que tous les exercices sont minutieusement décrits.

Au point d’en être parfois un peu barbant ! Impossible de vous
tromper en les faisant !
En plus, Je vous donne l’explication scientifique de leur

efficacité : Normal, c’est un cours de niveau professionnel. Un
enseignement qualifiant.
Vous-vous serez donc « professionnalisé ».
Et vous ne risquez pas de manquer de clients, laissez-

moi vous le dire !
Mais vous n’aurez pas que cette clientèle. Parce que ce

type d’exercice n’agit pas que sur la taille. Vous aurez
aussi :
.Les personnes qui veulent se débarrasser de leur graisses

localisées ‘cellulite, plaques adipeuses du ventre, etc.
Ceux et celles qui veulent lutter contre les effets de l’âge.
Les culturistes qui veulent un ventre plat sans y parvenir.

Ceux qui ont des varices, des douleurs aux jambes (très
nombreux
Ceux qui veulent se remettre en forme pour leurs études

leur travail. Accroître leurs performances sportives,
physiques et professionnelles.
Ceux qui souffrent du dos et de la nuque.
Ceux qui voudraient un thorax en « V » d’athlète, même

s’ils ne le sont pas Qui veulent se faire un physique de
plage.
Des gens qui veulent redresser leur dos et leurs jambes.

Cela aucune « usine de remise en forme et de bodybuilding
ne pourra leur donner.
Ceux et celles qui veulent « retendre les traits de leur

visage.
Des gens qui voudront se préparer à une opération

d’allongement des jambes ou récupérer leur souplesse
après. Vous pouvez vous mettre en rapport avec les
chirurgiens qui pratiquent ces opérations.
Vous en connaissez, vous, des salles de mise en forme et de

musculation qui offrent tout cela ? Elles n’en proposent qu’une
infime partie. Et je n’ai pas entendu dire qu’elles étaient obligées
de mettre la clé sous la porte.
Vous, Vous offrirez bien mieux à vos clients. Et de loin !
Sans mise de fonds. Sans matériel. Sans local même, (si vous
êtes coach à domicile). Ou si vous empruntez une salle à la mairie,
voire à un centre culturel !

Si tel est (aussi) votre but, permettez-moi de vous donner

quelques tuyaux :
9 Avant toutes choses, mesurez-vous et faites constater

votre taille par certificats médicaux et par huissiers. Faites
vous photographier sous tous les angles.
9 Mettez-vous en état de prouver les transformations que

vous avez effectuées sur vous. Car les transformations
sont trop lentes pour être perçues par votre entourage. Il
faut que tout cela soit incontestable, indiscutable. Sans
compter les encouragements et la confiance en vous que
vous en tirerez !
9 Faites pareil avec vos clients-élèves (photos, mensurations,

pesage…) à dates fixes. Cela coupe court à toute
réclamation On ne se souvient pas de ce qu’on a été.
Comme on ne voit pas bouger l’aiguille d’une montre.
9 Demandez des certificats médicaux d’aptitude à une activité

physique
9 Honnêteté absolue ! Respectez vos clients. Ne leur racontez

pas de « salades. faites votre possible pour qu’ils
obtiennent des résultats.
9 Avant de commencer, vous devez d’abord avoir obtenu

vous-même de bons résultats.
9 Formez-vous par des stages à d’autres techniques

corporelles. Massages, étiopathie, ostéopathie, etc.
9 Si vous tenez absolument à être en règle avec la loi, il

existe sur 2 ans des préparations au brevet d’éducateur
sportif. Mais vous pouvez tout aussi bien vous présenter
comme professeur de yoga. Ce n’est pas réglementé. Tout
le monde peut mettre cela sur sa plaque, sans aucune
condition de diplôme ni vérification !

Vous trouverez d’autres informations sur le

site :<gymlook.fr>. Ou taper gymlook sur Google : il arrive en
premier.

La Croissance

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http://www.lulu.

TOUS LES MOYENS.

Si vous lisez cet e-book, vous avez le droit :

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

Cet e-book a été écrit pour servir de complément à un premier livre

Il en est, en quelque sorte, le deuxième tome. Trois raisons m’ont guidé.

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

Et il est évident que je ne pouvais que le publier gratuitement, puisque je m’étais

Ce livre, puisqu’il ne reprend pas les informations techniques et connaissances

Nous vivons sous la tyrannie de l’apparence du look comme on disait il y a

Ce n’est ni un luxe, ni une fantaisie d’y porter remède. Puisque la réussite

D’autant plus que maintenant, on en a les moyens. Se résigner à l’inévitable

En dehors des mesures cosmétiques, vestimentaire, prothétique, comme

Ce seront les 3 parties de cet exposé.

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

AVEZ-VOUS BIEN TERMINE VOTRE CROISSANCE ?

D’autre part certains praticiens de la micro-kinésithérapie font état de

Ce qui suit s’adresse donc particulièrement à ceux dont la croissance n’est

LES MESURES A PRENDRE.

La première chose à faire et sans tarder, c’est évidemment de se confier

D’autre part certaines techniques modernes visent à retarder la

Le meilleur conseil qu’on puisse vous donner à ce sujet, c’est de vous

Un truc : si, toutefois, exceptionnellement ou rarement, vous sortez, faites-

Pas mal non plus la sieste, si vous le pouvez. Le Dr carton recommande de

Pas question évidemment de fumer d’user si peu que ce soit d’alcool ou de

Des statistiques dont on n’a, curieusement, pas beaucoup parlé révèlent

Voici 2 autres liens utiles :

Comment arreter de fumer DEFINITIVEMENT!

Et de toute façon, vous ne courrez aucun risque, puisque, si ça ne marche

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

Le soleil ne fait de mal qu’aux imprudents !

On en a pris prétexte pour décréter que le soleil était cancérigène et je ne

Mais Il fait beaucoup de bien à tous les autres !

En réalité, Le soleil a toujours été tenu pour un agent thérapeutique très

Et les cabines de bronzages ? Eh bien, c’est une pure arnaque ! Et une

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

Et si en revanche, il fait chaud ? Une bonne façon de prendre un bain de

A La première règle impérative, c’est bien sur d’éviter l’inactivité et la

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

B La seconde règle, le pendant de la première c’est d’avoir quand même une

C. La troisième règle, c’est d’avoir recours aux mouvements naturels, d écrits

D. Enfin, quatrième recommandation, c’est de faire de la gymnastique qui vise à

En voici l’adresse postale :

Association Méziériste de Kinésithérapie (AMIK). 4 PLACE BIR HAKEIM 69003

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

Elles ont seulement une finalité cosmétique ou esthétique : allonger l’os,

Voici de quoi il s’agit. Regardez un fémur :

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

Le fémur, l’os de la cuisse présente 2 parties (voir le dessin) :

¾ En bas une partie longue et rectiligne, la diaphyse ou le fût.

¾ En haut, tourné vers le bassin, le col du fémur

¾ Terminé par la tête du fémur qui s’emboite dans l’articulation coxo-

Or le col du fémur fait normalement un angle de 135° avec la diaphyse, le

D’autre part l’angle de déclinaison ou d’antéversion de la tête

Vous comprenez parfaitement que si l’angle diaphyse/col diminue, il y a

Souffrez-vous de Coxa vara ?

© 2009. Pierre Sébire. http://gymlook.fr/

Seule l’imagerie médicale (IRM ou radio) peut le dire. Interprétée par un

• Prépare l’os à subir l’opération.

• Maintient les résultats de celle-ci

• Prévient la survenue de la coxa vara (mieux vaut prévenir que guérir !)

Mais il peut être du aussi à un développement trop grand des condyles