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SOCIÉTÉ
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DES
Sciences ET ARTS
DE
L'ILEDE LA REUNION
ANNÉE
1885
SAINT-DENIS
Typographie Lahuppe frères & Drouhet fils
RUBDE L'KOLISK– W
1886
1
' ,-l BULLETIN
Il. J SELA.
SOCIÉTÉ
DESSCIENCES
ET ARTS
DE
SAINT-DENIS
Ile de la Réunion
SAINT-DENIS
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"– DES
SCIENCESET ARTS
DE
L'ILEDE LA RÉUNION
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ANNÉE 1885
SAINT-DENIS
1886
©
SOCIÉTÉ
DESSCIENCES
ETARTS
LASOCIÉTÉ
AÉTÉFONDÉE
PAR
M. HUBERT DELISLE
Gouverneur de la Réunion,
LISTE DESMEMBRES
DE LA SOCIÉTÉDESSCIENCESET ARTS
Au 1°' janvier 1886
Membres protecteurs
membres honoraires
Bureau
MM. LE SINER(%), président.
Adolple LE Roy, vice-président.
PASCALCRÉMAZY, secrétaire.
Omot, trésorier.
Membres titulaires
Membres eorrespoudaut«
DE LA
DE L'ILE DE LA RÉUNION
La Société des Sciences et Arts de l'Ue de la
Réunion, instituée à Saint-Denis, le 27 Dé-
cembre 1855, a admis en qualité de membre,
M., etc.
BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ
III
Les ouvrages envoyés au concours, dont les
auteurs se sont fait connaître, même indirec-
tement, en sont exclus.
IV
Les mémoires doivent être adressés, francs
de port, au Président ou au Secrétaire de la
Société.
V
Les manuscrits porteront chacun une épi-
graphe ou devise, qui sera répétée dans et sur
un billet cacheté, joint à l'ouvrage et conte-
nant le nom de l'auteur.
VI
Les concurrents sont prévenus que la So-
ciété ne rendra aucun des ouvrages envoyés
au concours mais les auteurs auront la li-
berté d'en faire prendre des copies.
Du Buiaau
Du Trésorier
Des Commissions
Dépenses et Recettes
Dispositions finales
Le Président,
LE SINER.
Le Secrétaire,
RAFFRAY.
Seanee du ,80 Mars 1885
Présents
MM. Le Sinëb, président;
P. CRÉMAZY,secrétaire
DUBIÏISSON,
FOCAED,
LANTZ,
MADRE,
MÉ\AED,
EOOTSIN.
Le Secrétaire,
P. Ckl'hazt.
Séance du «41 avril 1885
Présents:c
MM.
LE Sinek, président
P. Ckémazï, secrétaire
ORIOT,trésorier
Bkidet,
Dubuisson,
GRENARD,
Laïiadoh,
Lantz,
Loupy,
MADRE,
MÉNARD,
Absents excusés
MM.
B. JACOB,
E. Nicolas,
P. SERS,
A. VlNSON.
M, A. de Faymoreau, délégué de Mayotte et
de Nossi-Bé au conseil supérieur des colonies, as-
siste à la séance M. le Président lui souhaite
la bienvenue.
Lecture et adoption du procès-verbal de la
précédente séancedu 20 mars 188S.
M. LE Pbë'sident exprime les regrets de toute
notre société au sujet de la mort récente de M
BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ
Le Président, Le Secrétaire,
LeSinek. P. Ceémazy.
Charles Frappier de Montbenoit
Etaient présents:
MM. LE SiNER, p~M<?!<
P. CnEMAZY, MeretaM'e
ORIOT,<r<<Mn'e?'
DDBDISSON,
LA)fADON,
LANTZ,
NICOLAS,
MADRE,
Roussa.
M. Charles Cerisier, chef de bureau de la Di-
rection de l'Intérieur, est présenté à la Société
M. le Président lui fait des compliments de bien-
venue, en lui témoignant le dédr de le voir pren-
dre rang dans notre Société, conme membre ti-
tulaire.
Lecture par le Secrétaire et adoption par la So-
ciété du procès-verbal de la séance du 24 avril
1885.
Lecture d'une lettre, du 6 avril 1885, de M. L.
Crivelli, ancien président de la Société et son re-
présentant à Paris.
Dépôt sur le bureau d'un exemplaire du dis-
cours d'un ancien confrère, M. D. Brunet, pro-
eureur général à Pondichéry, discours pro-
noncé à l'audience de rentrée de la Cour d'appel
de Pondichéry du 7 mars 1885.
M. E. DuBCiSSONfait une lecture écoutée avec
intérêt; son travail a pour titre: Causerie sur
l'optique, son passé, son présent et son avenir au
point de vue télégraphique.
BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES ET ARTS
Le Secrétaire,
P. CRËMAZY.
Causerie sur l'Optique
Etaient présents:
MM. LE StNEU, président;
A.LERoY.Mce-pt'eyM/~t;
P.CREMAZY,ïfcr~an'e;
LAMADON.
MADRE,
E.NICOLAS,
Roussm,
A.ViNSON.
Docteur AUGUSTEVINSON.
ptaieutprcsects:
MM. LeSiNER,p!iWc)tf;
P. CmMAZY, ~ecfe<at!'e
BRIDE.T,
C.CEMSIER,
DUBUISSON,
LAMADON,
LANTZ,
C. M~NAED,
NiCOT.AS,
Rousse.
Lecture et adoption du proees-verbat de la
séance du 10 juillet ittSS.
M. LE PRESIDENTadresse des compliments de
bienvenue à M. C. Cerisier, au nom de la Société
qui vient de l'élire membre titulaire.
Renouvellement de la proposition de M. P.
CrëmMyau sujet de la lettre du Ministre de l'Ins-
truction publique et des cultes du 12 mai 1S8S
cette lettre avait pour but d'inviter notre Société
à choisir des questions, à adresser d'urgence au
ministère, pour servir à fixer le programme défi-
nitif du Congrès des Sociétés savantes en d88S.
On arrête que ie Président répondra au Ministre
que sa oomniunica.tion est arrivée trop tard à la
Réunion p'tur que notre Société ait eu ie temps
de rechercher et de préparer les questions pro-
pres à être proposées an Ministère; on décide
qu'elle fera le nécessaire pour s'entendre sur le
choix de ces questions et les envoyer, en temps
utile, en vue du congrès qui se réunira, en 1887
BULLETIN DE LA SOCtÉT):
Le J'eN(<ef< Ls Secrétaire,
LE SMER. Il. CRÉMAZY.
EXMSMMR'mMMm~E DEi8M
Art. 1. Une exposition intet coloniale s'ouvrira
à Saint-Denis (Ile de la Réunion) le octobre
1886.
Cette exposition sera précédée de divers con-
cours.
Art. 2. Pourront prendre part à l'exposition
et aux concours
La Rennion, l'île Maurice, les Seyehelies, nos
colonies de Mu.daga.5oai',Mayotte, Sainte-Marie,
Nossi-Bé.
Les Créoles de ces diverses colonies en rési-
dence h l'Etranger.
PREMIÈRE PARTIE
C<tMC<MM*!S
Art. 3. Les concours sont au nombre de trois.
1° Concours de poésie,
2° Concours de sciences,
3° Concours de composition et d'exécution
musicales.
Art. 4.. Concours de ~oMtc. Une médaille
d'or sera décernée au morceau de poésie le plus
remarquable qui sera adressé au Président de la
Société des Sciences et Arts a S~nt-Denis (Ré-
union) avant le 3 juillet 1880.
Les pièces de poésie envoyées au concours de-
Tront porter pour toute signature une devise et
être accompagnées d'une enveloppe cachetée por-
tant en suscription la même devise et a l'intérieur
le nom et l'adresse de l'auteur.
BCLLETN DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES ET ARTS
1° Concours de violon.
2° Concours de chant.
3° Concours de piano.
4" Concours de fanfares.
DEUXIÈME PARTIE
Exposîtïom
Art. 8.-L'exposition proprement dite s'on-
vrirftal'Hotel-de-Vtilekier octobre 1886.
Tous les objets envoyés au concours devront
être parvenus au PrésU<jut de la Société des Scien-
ces et arts avant le i5 septembre 1886, dernier
délai.
Lea objets exposés seront divisés en trois clas-
ses.
1" classe, Lf<frMe<scM;tees;
2"' – Beaux arts
3°" – ~4~nett~u?-ee<f;~us~ne.
PREMIÈRE CLASSE
lettres et Selences
i" groupe,– ï'raucn<a?pe~(t~oy!(jttfe~. –Tra-
vaux d'ecoie.–\iusecsoo!&ire.
2' – ZsmetMeufe collection de h~Tes
rares ou ea~;eMaj
3° – Dessin hneeme, /Ht;ts, carte! du
yeo~ra~/np, ca~t~~ap/ne,
4* – 7f<)pri/?K)'i'e,~)/M~rapAie.
DEUXÏËME CLASSE
Ap<e
FREM)ÈRECATÉGORIE
1" groupe Peinture religieuse. P~rtraits.
2" Pa'/fnyM e/ mttt'~te~.
3° PetMiut'e de ~euM, aquarelles,
pastels, mi uatut'fs.
6
BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ
DEUXIÈME
CATÉGORIE
Etaient présenta:
MM. LE SiNER, BrcM'Jen<
P. CBEMAZY,Mcre<a!re~
OMOT, <rMoner;
CERtSIER.
DnBuissoN,
LAMADON,
LANTZ,
MADRE,
M~NARD,
NICOLAS,
RoussiN.
Le Président, Le StO-~otre,
LE StNER. P. CEÉMAZÏ.
Note sur l'Instruction primaire
A LA RÉUNION
Messieurs,
CHARLESCÉRISIER.
Les Etoiles filantes
PASCALGrÈMAZY.
Mémoire
AMonsieur
le Sénateur
etMessieurs
lesDéputés
DEL'ILEDELA.RÉUNION
Monsieur le Sénateur,
Messieurs les Députés,
Les nombreux occupants à la Réunion de la
zone du littoral, connue sous le nom de Réserve
des Pas géométriques, ont l'honneur de vous
exposer leur situation fausse et intolérable, comme
détenteurs des terrains placés dans cette réserve.
Ils y sont établis à des titres divers, en vertu,
soit de concessions qu'ils tiennent de leurs au-
teurs, soit d'autorisations administratives, mais
la précarité de la possession de la plupart d'en-
tr'eux est le juste sujet de leurs plaintes et ils
sollicitent vivement l'inauguration d'un nouvel
ordre de choses, pour jouir irrévocablement, en
qualité de propriétaires, d'un domaine sur lequel
ils ne peuvent exercer les droits incommutables
qui appartiennent à la propriété privée.
Si la Guadeloupe et ses dépendances ont pu ob-
tenir le bénéfice du décret du 21 mars 18S2 qui
change les bases légales sur lequelles était assise
la réserve des pas géométriques, les raisons de
décider dans le même sens et d'adopter la même
mesure, pour la Réunion, ne sont pas moins cer-
taines ici il n'est pas, en effet, difficile de dé-
montrer que le régime qui a été en vigueur aux
Antilles jusqu'en 1882, sur cette matière, diffère
complètement du nôtre.
BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES ET ARTS
er
CliapISi-c 4"
LEGISLATION DES ANTILLES
Chapitre Il
Pour prouver tes trois propositions ci-dessus
formulées, il faut
1° Faire rapidement l'historique des concessions
deterres à l'île deBourbon, depuis son occupation
pour le Roi jusqu'en 73 et 1767 et, depuis cette'
dernière année, jusqu'en 1807
2o Analyser l'arrête du capitaine-général De-
caen du S mai 1807;
5° Caractériser la portée de l'arrêté du gouver-
neur de Frcyciuet, en date du 10 novembre 1 82î
i o Interpréter les ordonnances royales des 17i
a> ût et 21 août 1825, confirmées par celle du 22
août i 833
50 Argumenter du décret colonial du li août
1839.
SECTIONI
L'examen des archives coloniales permet de
constater que les anciennes concessions de ter-
rains, à l'Ile de Bourbon, depuis que la Compa-
gnie des Indes en prit l'administration en 4 603,
étaient généralement faites sans restrictions, du
bord de la mer au sommet des montagnes. f,e plus
grand nombre de ces concessions était positive-
ment accordé saas réserve. Ce n'est qu'à partir de
l'année 1722, que l'on voit apparaître la preniù
re stipulation réservant la portion du littoral si-
tuée au-dessous dela terre cultivable, laquelle doit
servir de commune pour élever des bestiaux.
BULLETIN DE LA SOCIÉTL
SECTION
pnMicestunen.agranteaberra.tio'adugénéra.l
Decaëu. E!ieprovitnt dela confusion qui régnait
alors dans les esprits au sujet du domaine de l'E-
tatetdu domaine public. Déjà le décret du 1"
décembre 1790 n'avait fait aucune distinction en-
tre ces domaines. (lire ses considérants et ses ar-
ticles 2, 3 et 5, gg 1 et 2) et les rédacteurs du
Code civil, dans les articles 83~, 539, 5M et
541 avaient incorporé, dans le domaine puMic,
des choses qui,par leur nature etleur destination,
ne pouvaient d'aucune façon y être comprises,
telles que les lais et relais de la mer, les succes-
sions en déshérence, les anciennes places fortes,
etc., etc.
Si de telles hérésies viciaient le décret rendu
par l'Assemblée nationale en 1790 sur les domai-
nes nationaux et ces articles fondamentaux du Co-
de civil de 1801. édictés au titre de la distinction
des b~'os et au chapitre des 6<pMSdeHts~eMffa.p-
pû~ avec ceux qui les possedent, comment le
)égii.)utt;L;rcj[otu~ldt*li'!07aura.it-H été moins
ignorait et plus perspicace, pour procéder avec
tég.dite?
A la lumière des principes posés par l'ancienne
jurMpru~c~ce,on a!tr.dtpu reconnaître, pourtant,
qu'i~ct:mn!tj'ossib'.edectas!'erlesp~sgrométt'i-
u!T's dant. i)'' grande domaines, ceux-la seuls qui
ëtiueot i!)!uipnaMes et impre~oriptibies; ils ne
devaient, titrer que dH)):! les biens du petit do-
mainf, do/~ on peut disposer !o/'sgtt'oH eK~OM~.
Or, depuis les premières oonoe:-s)0fts jusqu'à
celies com~'Uipurmin~ de l'arrête de )80' ou u'n-
vait pas cessé d'amener ces réserves; toutes les
fois que le pouvoir exécutif a cru devoir les re-
prendre, U n a eu restitution que de la part des
possesseurs qui n'étaient point fondés en titres.
BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ
SECTION111
ChttpMre tM
Chapitre V
PASCAL CREMAZY.
.lMM;Ctt~tt BorresM de SOt~-D~M.
f"of)se!~e)'y<Mra~
La publication de l'éloge suivant de l'illustre colo-
nel Mangin a été déridée sur la proposition de M. Ed.
Dubuisson. La Société des Sciences et Arts f)e la Réu-
nion devait cet hommage a l'inventeur des appareils
quicntser\i:t ta jonction optique de Maurice et de
Bourbon, et qui ont f.'it l'objet, en 1883, d'une con-
férence de M. L. P. Adam ..u sein de la Société.
Le colonel Mangin
{
est juste que sou nom soit répète à la foule qui
n'est pas ingrate, mais qui souvent ignore.
Ce que ce grand savant eût inspiré de thuri-
féraires, s'il eût possède l'humeur brnui!!onneet
ambitieuse de certains généraux actuels, est aisé
à imaginer. Mais il avait la modestie d'une jeune
fille. On ne saura jamais à quel point ce colonel
fut désintéressé, disons )e mot du jour, naïf. Car
!e désintéressement porté à ce point, dans une
époque de lucre et de cabotinisme comme la aô-
tre, devient une exception qui fait sourire l'ar-
mée des sceptiques.
Croirait-on, pour ne citer qu'un exemple, qae
cette invention de la te)égrajihie optique, qui
constituait une fortune à elle seule, le- colonel
Mangin l'a donnée, mais donné sans arrière-
pensée d'échange, de récompense quelconque ni
d'honneurs (il est mort colonel), au ministère de
la guerre de son pays, lequel ministère a accepté
le cadeau presque en rechignant, et s'est hâté de
passer la commande des appareils Mangin MM.
Sautter et Lemonnier, constructeurs électriciens,
lesquels ont déjà fait des millions avec l'ap-
pareil en question ?
Quand on disait à ce contempteur des gain~
l&gitimes qu'il jetait l'or aux autres au lieu de le
prendre pour lui, alors que cet or iut reveuait
de droit, il répondait
Bah A quoi bon ? J'ai ce qu'il faut
pour vivre.
I) possédait, en effet, des rentes honorah~s, il
était marié mais n'avait point d'enfants.
Que de gens aujourd'hui se sont enrichis au.
tour de lui, en exploitant, fort loyalement du
reste, des découvertes dont l'honneur lui suffisait.
Et quel honneur H repoussait tout ce qui pou-
DES SCIENCES ET ARTS
f
Son esprit inventait sans cesse. H a imaginé,
pour éclairer t'œil d'un patient qui devait subir
la rude épreuve de l'abiation, une lampe magique,
c'est le mot, qui produit des milliers de carcels.
L'instrument est encore chez )e fabricant. Son
succès sera considérable dans le monde spécial.
L'honneur de l'avoir inventé reviendra au co-
lonel Mangin quant à l'argent que la découverte
pourra produire, il ira, je crois, n un médecin de
CleruMnt a qui le colonela t.ut, cadeau de la lam-
pe. Ce médecin a, paraît-il, remplacé l'œil ab-
sent d'un Auvergnat par un ceil de lapin. On
assure que l'Auvergnat y voit parfaitement avec
son cei] d'herbivore. L'Idée de cette substitution
venait du colonel, mais le docteur se plaignit de
ne pas avoir eu de lumière assez intense pour
bien pratiquer sou opération. Le colonel chercha
et trouva la lampe.
Et ainsi de maintes découvertes, que l'esprit
BUU-.ETM DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES ET ARTS
Pajtm
Liste des Membres de la Société au 1" Janvier
1886. 5
Liste des Membres correspondants. 7
Règlement de la Société des Sciences et Arts. «
Séance du 20 Mars d88o. 2)
Séance du 24 A~rii i885. 23
Charles Frappier de Montbenoit (IGNOTA). 37
Eclipse de lune du 30 Mars 1885 (Eo. DusCEsoN). 36
Séance du 19 Juin 1885. t3
Causerie sur l'Optique (En. Dusnissott). 45
Séance du 10 Juillet 1885. 6<
Vic'or Hu~o (!)' Ai;< YtNSON). 63
Séance du 31.tuiUet. 75
Exposition intercoloniale de 1886. 78
Séance du 11 Décembre 1886. 83
Note sur l'Instruction primaire à la Réunion (AN-
JOINE). 8f)
Lettres curieuses sur divers sujets (ANTOINE). 96
Le Soudan et le Haut Sénégal (Cn. CEMStER). 104
Les Etoiles niantes (En. DuBuissoN). 115
Hommage à ia mémoire d'Alexandre de la Serve
(P. CttËMJLZY). <25
Mémoire à M. le Sénateur et à MM. les Députés
(P. Cn~fAM). 128
Le Colonel Mangin ( PiERBE6!FFAM ). 06
,I¡'~(J!
~y`
Typ. Lahappe frères et Dronhet Sis.
=- j Me de_i'Eg)ise 48.