Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
Définition
Hydrologie: science de l'eau.
Océanologie: science des océans.
Potamologie: science des fleuves.
Limnologie: science des eaux superficielles continentales et intérieures.
Hydrogéologie: science des eaux souterraines.
Hydrogéologie karstique: étude des écoulement de l'eau dans les massif.
Glaciologie: science qui étudie tout ce qui à trait aux glaciers.
Nivologie: étude de la neige et des couches neigeuses.
Hydrosphère: partie de la planète occupée par l'eau.
Cycle de l'eau
Évaporation de l'eau (425 000 km3/an) => condensation des vapeurs d'eau qui forment les nuages
=> précipitation (385 000 km3/an) => ruissellement dans les grands bassins ou infiltration dans les
nappes phréatiques.
L'évapotranspiration (71 000km3/km) a aussi une influence dans le cycle. D'ailleurs la déforestation
est la principale cause de l'assèchement de l'Amérique du Sud car une partie de l’eau est retenue
dans les plantes.
En outre la vapeur d'eau est le principal gaz a effet de serre.
Évapotranspiration: transpiration des végétaux. Les racines des végétaux pompent l’eau du sol, et
en relâchent une partie dans l’atmosphère.
Le stock d'eau est constant grâce au dégazement de la planète. Il est estimé entre 1350 et 1800
millions de km3 dont:
- 97% d'océan (eau salée comme dans les salars du a l'effet de l'érosion)
- 3% d'eau continentales non salées (eaux douces): 25 à 30 millions de km3 sous forme de glace
(inlandsis) , 8,5 millions de km3 d'eaux souterraines profondes (eau fossile ou parfois réalimentée),
0,2 millions de km3 de fleuves, de rivières, de lac, de nappes phréatiques superficielles, et enfin
0,013 millions de km3 (13 000 km3) de vapeur d'eau.
Sur les 3% d'eau douce, seulement une petite partie est utilisable par l'Homme.
Il faut cependant relativiser, le potentiel d'utilisation est plus grand grâce au renouvellement du
cycle hydraulique (30x la partie utilisable).
Le bilan hydrologique peut être modifié (ex: centrale nucléaire qui rejette des vapeur d'eau =>
modification climatique).
Notre planète a une superficie de 510 millions de km² dont 360km² d'océans.
Les continents reçoivent 670 mm d'eau/an => moyenne qui diverge selon les lieux (ex: 20 m
d'eau/an à Cherrapundji).
Temps de renouvellement
Dans chacun des ces grands réservoirs terrestres, l'eau se renouvelle au fil des ans:
- calottes polaires: 100 000 ans.
- nappes phréatiques: 300 ans.
- lacs: 10, 20 ans.
- rivière: 10, 20 jours.
- océans: 3000, 3200 ans.
Depuis 1930, l'ennuagement augmente , donc les précipitations aussi de 35° et 75° de l'attitude
Nord et diminution de ces facteurs de nébulosité de 5° à 30° Nord (du parfois au trainé d'avion).
Comme on l'a dit la déforestation engendre une diminution du stockage de l'eau => diminution de
l'évapotranspiration. On va donc puiser dans les nappes.
En 40 ans on a évaporé 700 millions de km3 qui a engendré un augmentation de 2 mm du niveau
marin.
Le problème de l'eau est le principal problème environnemental. Les ordres de grandeur sont sans
précédant dans l'histoire du globe. Deux exemple illustre ces problèmes:
→ L'Inde a lancé un plan vert (irrigation): prélèvement de l'eau des fleuves himalayens,
l'évapotranspiration est alors passé de de 300 km3 à 700 km3 => perturbation majeur dans le
cycle de l'eau: transfert de 55 milliards de TEP sur les 135 milliards de notre planète. Cette vapeur
d'eau est transféré vers l'océan Indien ce qui engendre un réchauffement de 0,25° de l'océan =>
évaporation plus importante dont les précipitations reviennent avec violence sur le continent
(crues, typhons, …).
→ En Égypte, la construction d'un barrage a permis d'annuler les crues, mais son débit diminue et
donc les eaux se jetant dans la mer se font moins importantes => baisse du niveau des nappes,
salinisation du delta qui rende les terres incultivable.
Bassin versant: surface donné par une rivière et limité par les crêtes.
Dégradation spécifique: quantité de matière transporté par une rivière repartie sur l'ensemble du
bassin versant. Elle est faible pour les rivières tempérées (ex: Seine), pour les zones intra-alpines,
elle est de 150 tonnes/km²/an, pour la zone Arctique elle est de 600 tonnes/km²/an. En pays chaud,
la dégradation spécifique est importante (ex: semi aride 200 tonnes/km²/an, tropical humide à
Madagascar 5à600 tonnes/km²/an, en Nouvelle Guinée dans la montagne 800 tonnes/km²/an.
Cependant, saison sèche en Floride 10 tonnes/km²/an, et de 0 tonnes dans le désert).
Toutefois, l'influence de l'activité humaine se remarque sur les transports en dissolution. De part les
différents corps d'eau utilisés, l'Homme modifie les caractéristiques de l'eau => pollution, eau non
potable. Cela touche essentiellement les pays à forte agriculture, industriels et peuplés, donc la
plupart des pays des terres habités (ex: à cause des restes des déjections animales et humaines lors
d'absence de fosses septiques: ainsi 65% des eaux alimentant les villes du Vercors était polluées en
1990). Pire, dans les fortes densités de population où un citadin déverse 100 à 200 de déchet dissout
dans l'eau => détergents qui entrainent parfois de grandes catastrophes (ex: Rhin de 1876 à 1959, la
charge dissoute est passée de 65kg/s à 250kg/s => a partir de 350, l'eau est impropre à l'irrigation,
c'est le problème des Pays Bas). On observe des problèmes de pollution comme au lac d'Annecy qui
est totalement pollué => plus de poissons.
Il y a néanmoins des solutions, mais elles sont couteuses (ex: en papeterie, le coup pour rejeter une
bonne eau est multiplié par 6, et de 10 à 12 si l'on veut la réutiliser).
Caractéristique de l'eau
L'eau est fluide danse par rapport aux autres fluides naturels de la Terre. Par définition, la densité de
l'eau est de 1 à +4°, si la température augmente la densité diminue, si la température diminue la
densité diminue également. Le volume de la glace augmente (1/11e) et sa densité est de 0,916.
Viscosité et fluidité
L'eau peu épouser toutes les formes par rapport à la viscosité, à la fluidité, au volume de
déplacement, à la forme du support et à la pression (pression atmosphérique, gravité et pression liée
à l'épaisseur de la couche d'eau).
Viscosité: résistance à l'écoulement, liée aux liaisons électriques plus ou moins fortes des molécules
influencées par plusieurs éléments: plus il y a de matières dissoutes ou de matières en suspension,
plus la viscosité augmente.
Viscosité en centipoise: 1,78cp à 0°, 0,89cp à 25°, 0,55cp à 50°.
1/ La pente
La pente est nommé J dans les équations. La pente J est exprimée en pour 1000 pour un cours d'eau.
3/ Profil en travers
C'est la coupe perpendiculaire à la rivière. Il peut avoir différentes formes (différente hauteur et
largeur)
La rayon hydraulique = surface mouillée / périmètre mouillée
4/ La vitesse de l'eau
La vitesse de l'eau des fleuves est très variable (ex: seine 0,8 m/s, Danube 5m/s, rapides 10 m/s).
Le champs d'inondation et la rugosité (parois + vent) ralentissent la vitesse des eaux.
Lors d'un jaugeage, on constate que les vitesses de la rivière sont irrégulières:
(ex: à Lyon, par crue 3,1 m/s, elle peut aller jusqu'à 4 m/s).
Il existe aussi des différents types d'écoulement qui peuvent expliquer les différences de vitesse:
→ écoulement laminaire: mouvement visqueux d'écoulement, tous les filets d'eau sont parallèles. Il
nécessite une faible pente et une faible rugosité, d'où une viscosité cinématique élevée (eau froide
chargée de sédiments).
→ écoulement turbulent: divergences et convergences des filets d'eau (eau chaude et claire). La
pente et la rugosité y sont importante.
Nombre de Renodls Re
Il sert à caractériser un écoulement.
Re = (vitesse moyenne x rayon hydraulique)/ viscosité cinématique
ou
Re = (vitesse moyenne x profondeur)/ viscosité cinématique
5/ Les tourbillons
Les tourbillons permettent un échange entre les différents niveaux de la rivière => variation des
vitesse quasi instantanée + échange d'énergie et de corps flottant.
Ils se trouvent dans les écoulements turbulents.
Ces tourbillons peuvent affecter tous les niveaux d'un cours d'eau. Les différents types de
tourbillons sont: vertical, horizontale et hélicoïdal.
→ tourbillons d'axe vertical => vortex: tourbillons s'enroulant à axe vertical comme un entonnoir
pointé vers le bas. Ils peuvent se déplacer et disparaître rapidement. Ils naissent à cause de la
rugosité, généralement à cause d'obstacles latéraux (rives).
On appelle Maelström un ensemble de Vortex entre îles => ils peuvent engloutir des bateaux (ex:
Charybe et Scylla qui sont des vortex siciliens dangereux).
→ tourbillons d'axes horizontaux: rouleaux: ils peuvent être de sens horaire ou anti-horaire
- sens horaire: ils s'écoulent dans le sens de séplacement des eaux: ils sont du à la différences de
vitesse entre les filets d'eaux rapides de surface et ceux lents des profondeurs (rugosité du fond).
- sens anti-horaire: diminution très brutale de la vitesse de l'eau: ils sont du généralement à un
obstacle.
tourbillons
seuil
courant
Au centre, on trouve des corps dissous.
L'écoulement assure un transport d'énergies en particulier d'énergie calorique dans les océans.
Le débit
- mais dans certains cas, cette méthode du moulinet est impossible a utiliser (ex: dans un torrent,
dans le cas des grandes crues violentes). On va alors se baser sur la vitesse de surface: on va
prendre quelque chose qui flotte, on repère une distance et on calcul le temps (mais marge d'erreur
de 25%).
- on peut aussi utiliser des méthodes de colorimétrie: on verse un colorant (bichromate de soude).
Un piézomètre peut être utiliser pour mesurer la profondeur d'une nappe phréatique.
- courbe de tarage: les résultats sont recueillie dans les annuaires hydrologiques> certains sont
internationaux (ex: Rhin, Danube). Ils ont toujours été publié, y compris pendant les conflits (un des
rares trous en durant la guerre en Bosnie). C'est à parti de ces données que l'on traduit en courbe de
débit => hydrogramme, on étudie l'abondance de la rivière (abondance moyenne annuelle, et
variation de débit).
Pour pouvoir faire ces comparaisons on a établit le module spécifique (ou débit spécifique ou
abondance spécifique). On part du module brut et on le ramène à la surface drainé => donne un
résultat exprimé en L/s/km² (ex: Rhône à une abondance spécifique 19 L/s/km², Mississippi 5,9
fleuve Congo 11,9 fleuve Amazone: 33,9).
Celui ci évolue aussi en fonction des saisons. Il évolue de l'amont vers l'aval: en règle général, il
diminue vers l'aval (ex: la Loire 48 en aval, à Nevers 10, à Nantes 7).
Parfois c'est plus complexe (ex: Rhône à sa source 70, à son entrés au lac Lément 35, dans les pré
Alpes 20, 18)
Le Nil à une abondance spécifique forte mais après lorsqu'il traverse le désert elle devient faible.
Même chose pour le Tigre.
→ abondance spécifique très forte > ou = 40: petit bassin versant (Rio Petrohne au Chili 144, foret
pluviale tempérée ou équatoriale 60)
→ 25 à 40: bassin versant moyen.
→ 15 à 30: grand bassin versant.
→ 5 à 15: grand bassin versant.
Le bilan de l'écoulement
notion de lame d'eau: ???????????????????????
Ces écoulements caractéristiques sont utilisés pour étudier les cours d'eau entre eux ou pour prédire
l'évolution des débits => primordiale pour la gestion de l'eau, pour limiter les pollutions.
Une crue est une variation de niveau d'eau important: hausse du niveau du cours d'eau => ce sont
des gonflements hydrométrique exceptionnels débordant ou non. Les crues sont les épisodes les
dramatiques. Elles fournissent souvent une part importante du volume d'eau annuel écoulé.
L'érosion se fait quand le niveau d'eau écoulé est plus fort. Les crues dit ordinaires ont souvent une
périodicité qui est lié à la climatologie (au rythme climatique). Une des particularité des crues est
une irrégularité même dans les zones climatiquement bien définies. Cette irrégularité sont parfois
calqué sur les irrégularité climatique et à la conformation du bassin versant de la rivière
- fonte synchrone de neige sur de vaste surface: elle ne peut pas provoquer de véritables crues car
généralement la fonte de la neige se fait par étage en hauteur. La sublimation peut être importante.
Les crues sont liée alors à des averses de pluie exceptionnelles qui s'ajoute à la fonte des neiges.
Cependant il y a des cas particulier comme l'éruption volcanique (ex: crue du Vatna Jokull).
??????????????????
- les grandes averses: elles peuvent être accompagné ou non des 2 autres phénomènes: elles sont
régulière car elles sont liées à des saisons climatiques. Les grandes averses extensives sont des
précipitations de faible intensité mais qui interesse de vaste surface et qui dure assez longtemps
(plusieurs voir jours): 1000 m3/s/km² avec une intensité de 3,6 mm/h => pour une heure 1h, on a
alors 3600. Les grandes averses intensives ????
Géomorphologie
On étudie des paysages => de natures différentes.
Il n'y a pas de hasard en géographie: tout peut être expliqué. Néanmoins les premiers êtres humains
non pas choisi le lieu où ils se sont implantés.
La géographie est un support => connaissance d'un milieu.
Bibliographie
- Initiation à la géographie de Maury, Pelatan, Rougier 1996.
- Introduction à la géomorphologie de Chapuit 1999.
B/ La géomorphologie structurale
Structural: nature et disposition, comment c'est il façonné à la surface de la Terre.
Elle nous permet de comprendre la donnée brute du paysage.
(ex: crête => fragmentation sous l'effet sous l'influence de divers éléments qui ont agit. Attention ne
pas dire falaise).
C/ La géomorphologie climatique
Elle s'interroge sur l'action peuvent avoir les éléments atmosphérique (pluie, froid, eau). quelle
action sur le support structural va influer le climat?
(ex: relief varié avec vallée où se trouve des éboulis et où passe un talweg).
A/ La topographie
1/ Le versant et la pente
5 types de pente différente:
- pente insensible 0 à 3°.
- pente faible 3 à 10°.
- pente moyenne 10 à 27°.
- pente forte 27 à 45° (phénomène d'érosion).
- pente très forte 45 à 90.
Il existe des ruptures de pente: rupture au point d'infection. Après une forte pente on trouve le
replat.
Il peut être concave ou convexe.
Buvette: forme de relief dont les versants s'abaissent dans toutes les direction à partir du sommet.
Cuvette: dépression fermé qui est l'inverse de la butte. À partir du point le plus bas, tous les versants
s'élèvent. Il faut par définition monter pour en sortir.
3/ La vallée
elle comprend 2 versants. Toute vallée a 2 profil:
- en long: profil correspondant à la pente suivi par le cours d'eau ou le glacier. Ce profil est
irrégulier.
- en travers.
4/ Du plateau à la montagne
Un plateau un relief ou la surface est horizontale dont les bordure sont systématiquement au dessus
d'un relief qui est plus bas (ex: plateau de Gergovie).
Une colline est un terme équivoque. C'est un relief dominant une périphérie, mais un relief qui
n'apporte pas une impression de barrière, d'obstacle.
Ce terme est aussi employer pour désigner les parties basses d'une montagne => c'est faux !!
Une montagne est un relief qui est beaucoup plus imposant par rapport à sa périphérie, qui possède
des versants accentués. C'est une ensemble de relief faisant obstacle à la progression des
perturbations (des nuages), une relief qui entraine de considérable modification du climat et du
temps.
Un mont ce n'est pas un terme de géographie physique mais plus de géographie locale (ex: mont du
Lyonnais, mont Pilât => reliefs qui peuvent être des montagnes, des collines..).
B/ L'apport de la géologie
En l'utilisant, elle nous renseigne sur les roches: en ce qu'elles sont, leur mise en place, leur âge.
1/ Chronologie
Temporalmité du géologue
2/ Structure
Nature: roche, matériaux et disposition
Structure:
Elle est utile car en expliquant toues les formes que prends le relief et son évolution, la
géomorphologie c'est la base de l'aménagement du territoire.
Bien connaître la géomorphologie c'est bien savoir lire le paysage.
Socles et volcans
Socle: soubassement qui correspond à la surface de ces grandes plaques tectoniques.
Boucliers: Partie des socles qui ont subi un phénomène particulier (phénomène d'induration =>
durcissement). Ils se sont constitué en bloc rigide. Les boucliers sont des masse de solides inertes
(ex: le bouclier canadien ou laurentien => masse qui recouvre 4,5 millions de km²).
1/ Le métamorphisme de contact
C'est un métamorphisme de contact: affect tout la zone au point qu'a la surface étudier l'intégralité
des roches métamorphiques soit plus présentes que le granite
2/ Le métamorphisme régional
C'est sur une surface plus restreinte. C'est du micro métamorphisme de contact (ex dans le massif
des Maures).