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J’invite le lecteur à consulter le livre* (tome 1) et le site** (tome2) pour des informations
complémentaires signalées par [Réf i].
* **
Comprendre l’électronique par la simulation Site Internet personnel,
Serge Dusausay, Vuibert, http://membres.lycos.fr/cepls
402 pages, n° ISBN 2 7117 8952 7
Le formalisme des systèmes bouclés est exploité dans de nombreux domaines de la physique.
Mais ce qui va suivre s'applique à des montages électroniques qui peuvent se représenter sous forme de
quadripôles.
Il existe 2 possibilités de branchements (série, parallèle) et 2 accès (entrée, sortie), ce qui forme 4
possibilités de contre réaction, présentées brièvement dans les 4 paragraphes suivants.
Un prolongement du livre « Comprendre l’électronique par la simulation » par S. Dusausay Page 2 sur 17
Il existe deux terminologies qui rappellent, dans le sens sortie/entrée (convention "automatique"):
- les branchements,
- les grandeurs de sortie et d'entrée du système bouclé.
Cela est rappelé dans l’intitulé des titres des paragraphes.
2.1 Contre réaction à entrée série et à sortie série. (appelé également série/série,
ou courant/tension)
Une tension d'erreur (Vε) attaque un amplificateur de transconductance A.
Le signal de sortie est un courant. La chaîne de retour est un convertisseur courant tension :
ve = vε + vr , soit : vε = ve - vr
A = is/vε
b = vr/is
- Nous allons calculer, pour chaque montage contre-réactionné, et en appliquant les lois de mailles et de
nœuds : l’impédance de sortie (Zs),
l’impédance d’entrée (Ze),
la F.T.B.F., qui est le rapport : grandeur de sortie / grandeur d’entrée.
- De plus, en utilisant le formalisme des systèmes bouclés qui exploite les schémas blocs, on donnera :
la F.T.B.F., l’identification de A et b, paramètres des schémas blocs,
et quelques remarques sur Zs et Ze.
Rappel : (1+Ab) est le facteur de réaction
Remarque importante : il est clair que pour avoir des impédances d’entrée et de sortie positives, il faut
avoir le coefficient d’amplification Av < 0 .
Calcul de is/ve :
On reprend l’hypothèse 1 : | ie | << | is |, d’où is ≈ - Av vε / (R1+Ro+RL) par loi des mailles
vε = ve - uR1 = ve - R1 (ie +is) ≈ ve - R1 is toujours par hypothèse 1.
is Av
d’où is ≈ - Av (ve - R1 is) / (R1+Ro+RL). Après développement : ≈ [3]
ve Ro + R L + (1 − A v )R 1
is 1
Remarque : si (1-Av)R1 >> Ro + RL et | Av | >> 1, on a ≈− . [4]
ve R1
Un prolongement du livre « Comprendre l’électronique par la simulation » par S. Dusausay Page 4 sur 17
Calcul de vs/ve :
On reprend l’hypothèse 1 : | Ro (is + i2)| << | vs |, d’où vs ≈ Av vε . De plus, ve = vε + uR1
hypothèse 2 : |ie | << | i2|, d’où uR1 ≈ vs R1/(R1+R2) soit ve ≈ vs/Av + vs R1/(R1+R2)
vs A v (R 1 + R 2 ) vs R
d’où ≈ si Av R1 >> R1+R2 ≈ 1+ 2 [2]
ve R1 + R 2 + A R1 ve R1
Remarque intéressante :
Le montage amplificateur non inverseur à base d’amplificateur opérationnel est le schéma type de la
contre réaction entrée série sortie parallèle.
On a, pour l’amplificateur seul :
Ri : en bipolaire, JFET : du MOhm au GOhm. En CMOS : de l’ordre du TOhm
Ro : en bipolaire : classiquement quelques ohms à 50 ohms (si résistance interne de
protection intégrée). En CMOS : quelques kOhm.
vs R Av de l’ordre de 105 à 106 en basse fréquence.
= 1+ 2
ve R1 Les hypothèses 1 et 2 de ce paragraphe sont largement vérifiées.
Il s’ensuit que, dans ce type de montage :
R1
Ze ≈ A v Ri donc quasiment infini (Ze ≈ Av Ri pour un suiveur)
R1 + R 2
Ro Donnons un ordre de grandeur : avec Ro = 50 Ohm et Av = 105 on a :
Zs ≈ Zs = 50 mOhm pour un montage amplificateur par 100,
A R
1+ v 1 ou 500microOhm pour un suiveur.
R 2 + R1
Dans ce montage, Zs est quasiment nulle.
Remarque intéressante :
si le montage était attaqué par une tension ve, ce calcul d’impédance de sortie pourrait être repris à Ri = 0,
Ro
(par ve = 0) et l’expression de Zs deviendrait = Ro // R2, ce qui « se voit » sur le schéma.
Ro
1+
R2
Calcul de l’impédance d’entrée : calculons l’admittance d’entrée ie / ve :
i e / ve = i ε / vε + i 2 / vε Or iε / vε est 1/Ri. Et i2 = (vε - vs) /R2 .
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R2
Hypothèse 2 : Ro << RL on aboutit tout naturellement à Ze ≈ Ri // [2]
1− Av
R2
Et, si de plus, on a : |Av | >> 1, (hypothèse 3), on a Ze ≈ Ri // [2’]
Av
Remarque intéressante : on retrouve dans ce résultat, une formulation du théorème de Miller, concernant
le rôle d’un composant placé entre l’entrée et la sortie d’un amplificateur de tension, ramené à l’entrée.
[Réf. 1].
Remarque importante : il est clair que pour avoir des impédances d’entrée et de sortie positives, il faut
avoir le coefficient d’amplification Av < 0 .
Calcul de vs/ie
vs A 1
Si Ab >> 1, la FTBF = = ≈ = − R 2 [3] .
ie 1 + Ab b
Remarque intéressante :
Reprenons [a] et [b] : vs ≈ Av Ri iε RL/ (Ro+RL) , d’où l’expression de A = vs/iε
A = Av Ri RL/ (Ro+RL) ≈ Av Ri Ab ≈ - Av Ri/R2
Remarque intéressante :
Le montage amplificateur inverseur à base d’amplificateur opérationnel montre une contre réaction entrée
parallèle sortie parallèle.
Ces expressions de Ze et Zs sont à comparer avec le montage amplificateur non inverseur donné en
paragraphe 3.2.
Pour finir, remarquons, qu’en respectant les approximations faites (c’est à dire un choix pertinent de
valeurs numériques), nous avons ces propriétés suivantes :
Ze Zs
Entrée série Ri (1+Ab)
Sortie série
Entrée série Ri (1+Ab) Ro / (1+Ab)
Sortie parallèle
Entrée parallèle Ri / (1+Ab)
Sortie série
Entrée parallèle Ri / (1+Ab) Ro / (1+Ab)
Sortie parallèle
Pour conclure sur ce paragraphe, nous avons vu que sur un quadripôle de base relativement simple (défini
par 3 paramètres seulement), les calculs des impédances et des fonctions de transfert étaient lourds, même
après exploitation de quelques hypothèses simplificatrices.
Ces mêmes calculs sont simplifiés si on utilise le formalisme des schémas blocs, mais en acceptant des
approximations plus grossières.
Nous allons faire des simulations pour confirmer les calculs théoriques développés dans ce paragraphe 3.
Dans les schémas simulés, les valeurs numériques des composants ont été choisies de façon à respecter
les hypothèses simplificatrices rencontrées dans les calculs.
Un prolongement du livre « Comprendre l’électronique par la simulation » par S. Dusausay Page 9 sur 17
4 Simulations Pspice
Pour les 4 cas de contre réaction, nous allons utiliser le même amplificateur de tension, modélisé par le
sous-circuit suivant :
.subckt ampli in+ in- s+ s- ; ampli de base
* entree in+ in- , sortie s+ s-
rin in+ in- 100k ; resistance entree
Eampli s s- in+ in- 100 ; amplification de 100
rout s s+ 50 ; Ro resistance de sortie
.ends
Les valeurs numériques montrent une grande impédance d’entrée, une faible impédance de sortie, et une
amplification en tension élevée. Des analyses préliminaires Pspice (.AC, .TRAN) ont permis de vérifier
son bon fonctionnement. Elles ne sont pas reportées ici.
Commentaires
La source d’entrée est une tension.
La résistance R1, faisant la contre-réaction, est de faible valeur : 100 Ω.
La résistance RL=1 kΩ est la charge. Elle est indispensable pour faire circuler un courant is.
La directive .AC permet une analyse harmonique. Ici, elle est utilisée pour accéder aux valeurs de
courants, tensions aux différents éléments du montage. La tension est fixée arbitrairement à 1 V.
La directive .TF V(3), Ve permet de déterminer le coefficient de transfert V(3)/Ve, et ce en petits signaux,
linéarisé. Elle donne aussi la résistance d’entrée (en Ve) et de sortie (en V(3)). Dans ces calculs, le
simulateur tient compte de tout l’environnement, RL incluse.
Résultats et interprétations
Une visualisation des courants a donné : Une visualisation des tensions a donné :
I(Ve) = 1,031 µA V(2) = 896,87 mV
I(RL) = 8,967 mA V(3)-V(2) = 9,865 V
L’hypothèse 1 | ie | << | is | est vérifiée. L’hypothèse 2 |uR1 | << | Av vε |, est vérifiée :
le premier terme représente 9,1% du second.
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Remarque :
L’application numérique appliquée à la relation Ab ≈ - Av R1 / (Ro+RL) donne Ab ≈ 95,2.
La condition Ab >> 1 est donc largement vérifiée.
En conclusion, les relations approchées déterminées lors du calcul sont largement confirmées par la
simulation Pspice.
Commentaires
La source d’entrée est une tension.
Le pont diviseur de retour forme la branche de contre réaction.
La résistance RL est la charge.
La directive .AC permet une analyse harmonique. Ici, elle est utilisée pour accéder aux valeurs de
courants, tensions aux différents éléments du montage. La tension est fixée arbitrairement à 1 V.
La directive .TF V(3), Ve permet de déterminer le coefficient de transfert V(3)/Ve, et ce en petits signaux,
linéarisé. Elle donne aussi la résistance d’entrée (en Ve) et de sortie (en V(3)). Dans ces calculs, le
simulateur tient compte de tout l’environnement, RL incluse.
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Résultats et interprétations
Une visualisation des tensions a donné : Une visualisation des courants a donné :
V(X.s)-V(3) = 0,497 V I(Ve) = 0,953 µA
V(3) = 9,0379 V I(R2) = 903,7 µA
L’hypothèse 1 : | Ro (is + i2)| << | vs |, est vérifiée : L’hypothèse 2 : |ie | << | i2|
le premier terme représente 5,5 % du second. est vérifiée
Fonction de transfert
L’application numérique de la relation approchée [2] donne vs/ve ≈ 1+9 = 10
La simulation donne 9,038. Cela est parfaitement cohérent : ces 10 % d’écart s’explique par le cumul des
erreurs apportées par les hypothèses 1 et 2.
Impédance d’entrée
Par [3] , Ze ≈ 1,1 MΩ. La simulation donne 1,049 MΩ, ce qui montre que le calcul approché est à moins
de 5 % d’erreur.
Impédance de sortie
L’impédance de sortie calculée par le simulateur est de 4,56 Ω. En tenant compte de RL en parallèle, cela
indique 4,58 Ω présentée par le quadripôle. La relation approchée [1’] donne Zs ≈ 4,54 Ω.
Remarque :
L’application numérique appliquée à la relation Ab ≈ - Av R1 / (R1+R2) donne Ab ≈ 10.
La condition Ab >> 1 est donc vérifiée, mais explique les 10 % d’erreur rencontrés.
En conclusion, les hypothèses simplificatrices ont entraîné une erreur de 10 %, ce qui est était attendu.
* fichier entparsorser.cir
* circuit : ampli contre reactionne
Ie 0 1 ac 1mA ; debite par la deuxieme borne
X 1 0 3 2 ampli
R2 1 2 10k
R1 2 0 100
RL 3 0 1k
*
.AC dec 100 1 10
.TF V(3), Ie
.probe Schéma correspondant
.end
Fichier.cir
Commentaires
La source d’entrée est un courant (fléché comme sur le schéma, par convention Pspice).
R1, R2 forment la contre réaction.
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RL forme la charge. Elle est indispensable pour faire circuler un courant is. La valeur est relativement
faible pour vérifier les hypothèses données dans l’étude.
La directive .AC permet une analyse harmonique. Ici, elle est utilisée pour accéder aux valeurs de
courants, tensions aux différents éléments du montage. Le courant d’entrée est fixé à une valeur arbitraire
de 1 mA.
La directive .TF V(3), Ie permet de déterminer le coefficient de transfert V(3)/Ie, et ce en petits signaux,
linéarisé. Elle donne aussi la résistance d’entrée (en Ie) et de sortie (en V(3)). Dans ces calculs, le
simulateur tient compte de tout l’environnement, RL incluse.
Résultats et interprétation
Une visualisation des courants a donné : I(R2) = 989,7 µA
I(RL) = 89,7 mA
L’hypothèse 1 : | i2 | << | is | est vérifiée.
Fonction de transfert
Le simulateur donne vs/ie = 8.966E+04
Par loi d’Ohm aux bornes de RL : is/ie = - 89,66
Nous avons montré que is/ie ≈ 1/b = - R2/R1, soit -100, soit une valeur très proche..
Impédance d’entrée
L’application numérique de [2] donne Ze ≈ 100 k // 10 k // 1,15 k ≈ 1,02 kΩ, en parfait accord avec
Pspice qui calcule1,03 kΩ.
Impédance de sortie
Le simulateur a déterminé une impédance de sortie de 902,3 Ω, ce qui représente 9235 Ω // RL, valeur que
l’on peut retrouver par application de [1] qui est une relation exacte, et non approchée.
D’ailleurs, l’application numérique de la relation approchée [1’] donne 10,050 kΩ.
Remarque :
A v Ri R1
L’application numérique appliquée à la relation : A b ≈ donne Ab ≈ 87.
R L + Ro + R 1 R 2
La condition Ab >> 1 est donc largement vérifiée.
Là encore, la même conclusion s’impose quant à l’approche simplifiée et la validation par le simulateur.
Nous avons vu que ce montage nécessitait Av < 0. Il a été choisi de permuter les entrées, et de laisser
intact le sous-circuit « ampli », ce qui revient au même.
Un prolongement du livre « Comprendre l’électronique par la simulation » par S. Dusausay Page 13 sur 17
* circuit : ampli contre reactionne
Ie 0 1 ac 1mA ; debite par la deuxieme borne
X 0 1 3 0 ampli
R2 1 3 9k
RL 3 0 1k
.AC dec 100 1 10
.TF V(3),Ie
.probe
.end
Fichier.cir
Schéma correspondant
Commentaires :
La source d’entrée est un courant (fléché comme sur le schéma, par convention Pspice).
R2 forme la contre réaction. RL forme la charge. Nous avons RL >> Ro.
La directive .AC permet une analyse harmonique. Ici, elle est utilisée pour accéder aux valeurs de
courants, tensions aux différents éléments du montage. Le courant d’entrée est fixé à une valeur arbitraire
de 1 mA.
La directive .TF V(3), Ie permet de déterminer le coefficient de transfert V(3)/Ie, et ce en petits signaux,
linéarisé. Elle donne aussi la résistance d’entrée (en Ie) et de sortie (en V(3)). Dans ces calculs, le
simulateur tient compte de tout l’environnement, RL incluse.
Résultats et interprétation
Une visualisation des courants a donné : I(R2) = 999,1 µA
I(RL) = 8,897 mA
L’hypothèse 1 : |i2 | << | is| est vérifiée : le premier terme représente 11,22 % du second.
Fonction de transfert
Par [3], vs/ie = - R2, soit – 9000. Pspice donne – 8898. Ce qui est en accord.
Impédance d’entrée
R2
Par [2], on a Ze ≈ Ri // , soit 100 kΩ // 90Ω ≈ 90 Ω. Pspice donne 93,9 Ω. Ce qui est en accord.
Av
Impédance de sortie
Par [1] , on a Zs ≈ - Ro / Av soit 0,5 Ω, valeur très proche de celle trouvée par la simulation : 0,5388.
Remarque :
A v Ri
L’application numérique appliquée à la relation : A b ≈ − donne Ab ≈ 1111,1.
R2
La condition Ab >> 1 est donc largement vérifiée.
Cette fois encore, les valeurs numériques étaient choisies pour que les hypothèses simplificatrices soit
justifiées, et les prédéterminations ont été validées par la simulation.
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L’étude précédente a montré certaines propriétés de la contre réaction au travers de quadripôles faits de
source de tension commandée par une tension.
Nous présentons ci-dessous d’autres cas de figures : il s’agit de montage à transistors bipolaires, dont un
modèle simplifié en amplification petits signaux est la source de courant commandé par un courant (ic =
β ib). Malgré cette différence de montage de base, nous allons voir que les propriétés de la contre réaction
sont inchangées.
Remarques :
Les résistances de polarisation de T (pont de base) sont sans effet les tensions, et donc non représentées
dans le schéma dynamique petits signaux.
Dans ce type de montage, l’impédance d’entrée de ce montage est donc bien plus élevée que h11, car
l’apport de R1 est augmentée par la contre réaction. Il a été montré que, vu de l’entrée, la résistance
apparente est β R1. De même, la présence de R1 augmente l’impédance de sortie. Dans ce schéma précis,
ce n’est pas sensible, car la source de courant β ib étant parfaite, l’impédance de sortie du transistor est
infinie. On en en conséquence, que, vu de RL, l’impédance de sortie est Rc.
Il est plus fréquent de travailler avec une tension en grandeur de sortie. Si vs est la tension au bornes de
Req, il vient naturellement vs = - Req is, et par suite, vs/ve = - Req/R1, relation typique à l’amplificateur à
résistances réparties [Réf 3].
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Remarques :
Les résistances de polarisation de T (pont de base) sont sans effet les tensions, et donc non représentées
dans le schéma dynamique petits signaux.
Ce schéma complet a été analysé, simulé [Réf 4], et câblé et testé [Réf 5].
R1 + R 2
Avec Ab >> 1, vs /ve ≈ 1/b, soit
R1
Il existe d’autres montages permettant une amplification en tension sans inversion de signe. Cette
structure est une des plus simples, car l’étage d’entrée peut s’assimiler à un amplificateur différentiel,
mais à un transistor, et sortie inversée. L’étage suivant est un autre amplificateur inverseur. Ici, la
présence de R1 et de la contre réaction à entrée série permet d’avoir une impédance d’entrée
(relativement) élevée.
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Un amplificateur à 2 transistors bipolaires, dont le deuxième avec une résistance d’émetteur, illustre cette
contre-réaction :
Remarque : la polarisation de T n’est pas représentée et est supposée sans effet sur l’amplification.