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André Malraux, né à Paris 18e, rue Damrémont le 3 novembre 1901 et mort à Créteil (Val-de-Marne) le

23 novembre 1976, de son nom complet Georges André Malraux, est un écrivain, un aventurier et un homme
politique français.

Essentiellement autodidacte et tenté par l'aventure, André Malraux gagne l'Indochine où il est participe à un journal
anticolonialiste et est emprisonné en 1923-1924 pour trafic d'antiquités khmères. Revenu en France il transpose
cette aventure dans son roman La Voie royale publié en 1930 et atteint la célébrité avec la parution en 1933 de La
Condition humaine un roman d'aventure et d'engagement qui s'inspire des soubresauts de la Chine et obtient le Prix
Goncourt.

Militant antifasciste, André Malraux combat en 1936-1937 aux côtés des Républicains espagnols et son
engagement le conduit à écrire son roman L'Espoir, publié en décembre 1937, et a en tourner une adaptation filmée
Espoir, sierra de Teruel en 1938. Il ne rejoint la Résistance qu'en mars 1944 puis participe aux combats lors de la
Libération de la France. Après la guerre, il s’attache à la personne du Général de Gaulle, joue un rôle politique au
RPF, et devient après le retour au pouvoir du général De Gaulle, ministre de la Culture de 1959 à 1969.

Il écrit alors de nombreux ouvrages sur l'art comme Le Musée imaginaire ou Les Voix du silence (1951) et
prononce des oraisons funèbres mémorables comme lors du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon le 19
décembre 1964. En 1996, pour le 20e anniversaire de sa mort survenue le 23 novembre 1976, ce sont les cendres de
Malraux qui sont à leur tour transférées au Panthéon.

Parcours [modifier]
En 1905, les parents de Malraux se séparent, créant un choc dans sa vie. Il passe ainsi son enfance avec sa mère, sa
grand-mère et une tante épicière à Bondy dont il ne gardera pas de bons souvenirs (Antimémoires, 1967). À 14 ans,
il entre à l'école supérieure de la rue Turbigo (le futur lycée Turgot), période durant laquelle il fréquente déjà
assidûment les bouquinistes, les salles de cinéma, de théâtre, d'expositions, de concerts, etc. Ainsi commence sa
passion pour la littérature contemporaine.

En 1918, il n'est pas admis au lycée Condorcet et abandonne ses études secondaires, il n'obtiendra jamais son
baccalauréat ce qui ne l'éloignera pas de la littérature, bien au contraire. Il fréquente les milieux artistiques de la
capitale et publie ses premiers textes dès 1920 : petits essais de théorie littéraire, comptes rendus critiques et
premières proses. Les œuvres de cette époque appartiennent au genre farfelu (c'est Malraux qui ressuscite le terme),
proses poétiques influencées par l'expressionnisme allemand et la poésie cubiste d'Apollinaire ou de Max Jacob.
C'est aussi l'époque où il joue au Père Ubu et lit Alfred Jarry. Il s'en souviendra après 1948, en adhérant au Collège
de Pataphysique.

En 1921, il se marie avec Clara Goldschmidt ; il dirige alors une collection aux éditions du Sagittaire. Après de
nombreux voyages à travers l'Europe, il part avec Clara en Indochine pour y voler des statues et les revendre. Cette
aventure lui inspirera La Voie Royale. Il est arrêté, puis, après un arrangement diplomatique, peut retourner à Paris.
Impressionné par la vie coloniale, il repart pour l'Indochine et y fonde un journal d'idées anticolonialistes :
L'Indochine, qui paraîtra ensuite sous le titre L'Indochine enchaînée1.

L'aventurier [modifier]

Le 23 décembre 1923, Malraux est arrêté à Phnom Penh, au Cambodge, ainsi que son ami Louis Chevasson. De
mauvais placements boursiers ont dilapidé la fortune de son épouse Clara et André a pris la décision de découper un
bas-relief du temple de Banteay Srei à Angkor pour le vendre à un collectionneur. Il est condamné, en juillet 1924,
à trois ans de prison ferme et son ami Louis à un an et demi. Clara est acquittée. Elle repart pour Paris et mobilise
en faveur de son mari les intellectuels de l'époque comme Marcel Arland, Louis Aragon, André Breton, François
Mauriac, André Gide et Max Jacob. En appel, la peine de Malraux est réduite à un an avec sursis et il rentre en
France en novembre 1924. Dans ses romans-documentaires, l'écrivain Roger Peyrefitte le désignera régulièrement
sous le nom de "voleur de Banteay Srei".

Le romancier [modifier]

En 1930, il publie La Voie royale, un roman d’aventures largement inspiré par ces événements. Il demeure à cette
époque au 44 rue du Bac (Paris 7e), où il écrit La Condition humaine, roman inspiré du massacre de Shanghai de
1927. Dès 1933, il milite contre le fascisme et le nazisme, puis rejoint les républicains espagnols à partir de 1936. Il
monte de toutes pièces l'escadrille España avec une vingtaine de Potez et en prend le commandement bien que ne
sachant pas piloter, comme coronel (colonel), jusqu'en 1937. Après s'être inspiré de son combat pour écrire le
roman L'Espoir, publié en décembre 1937, il tourne le film Espoir, sierra de Teruel en 1938, puis s'engage en 1939,
à la déclaration de guerre.

Le Résistant [modifier]

La guerre, 1939-1940 [modifier]

En novembre 1939, il est admis dans une unité de chars de combat2 basée à Provins, où il reste jusqu'au 14 mai
1940. Il décrira sa guerre3 : « Nos chars de Provins étaient hors d'état de nous porter hors du polygone
d'entraînement. En mai, nous avons fait mouvement à pied, avec des antichars. Nous avons un peu tiraillé. J'ai été
très légèrement blessé le 15 juin. Et le 16, nous étions faits prisonniers comme des fantassins, à mi-distance à peu
près de Provins et de Sens, où on nous dirigea... ». Volontaire pour aider aux moissons, il est affecté à une ferme de
Collemiers. Fin septembre, son demi-frère Roland le prévient que les Allemands ont décidé de rendre leur liberté à
quelques écrivains. Avec son aide (fourniture de vêtements, chaussures et argent), il s'évade de la ferme, en
compagnie de l'abbé Magnet4, qui lui offre l'hospitalité chez lui, dans la Drôme.

L'attente [modifier]

Il reste plusieurs années sans agir.

En 1943, il s'installe avec Josette Clotis à Saint-Chamant (Corrèze). Un second fils naît, Vincent. Début septembre,
il a ses premiers contacts avec la Résistance, en l'occurrence avec Harry Peulevé, chef du réseau britannique
AUTHOR du SOE. Il aide au recrutement de son demi-frère Roland dans le réseau.

Début 1944, Roland lui fait rencontrer George Hiller, chef du réseau FOOTMAN, autre réseau du SOE.

L'engagement [modifier]

Fin mars 1944, ses deux demi-frères, agents du SOE, ayant été arrêtés par les Allemands5, André entre en
résistance : il quitte discrètement Saint-Chamant et gagne la vallée de la Dordogne. Il se fait appeler colonel
Berger6. George Hiller le met en rapport avec les groupes Vény du Lot. Malraux installe son poste de
commandement (composé de quelques hommes à peine) dans le maquis. Grâce à George Hiller, il circule dans
plusieurs départements (Corrèze, Lot, Dordogne et Tarn), y rencontre les principaux chefs de la Résistance, et leur
fait part de sa « mission », en ayant assez d'habileté pour laisser croire à chacun des groupes se réclamant d'une des
hiérarchies en présence qu'il appartient à une autre. Piloté par George Hiller et parlant volontiers de son « PC
interallié », il passe au début pour un agent du SOE. Pour d'autres, il commanderait les FFI au niveau de la région,
ou encore les FTP. Sa mission affichée est de les regrouper tous, sous un seul état-major régional. Mais cette
mission correspond d'autant plus précisément à ce qu'il souhaite, qu'il n'a laissé à personne d'autre le soin de la
définir.7

La capture [modifier]
Le colonel Berger est arrêté par les Allemands à Gramat le 22 juillet, lors de la fusillade de la voiture de George
Hiller8. Il est transféré de prison en prison jusqu'à Toulouse (Prison Saint-Michel) pour des interrogatoires au terme
desquels il aurait été l'objet d'un simulacre d'exécution. Libéré par un coup de force des frères Angel, du groupe de
Jean-Pierre Vernant, il se retrouve libre quand les Allemands quittent la ville, le 19 août.

La libération du pays [modifier]

Fin août 1944, séjournant à Paris, il rencontre Ernest Hemingway. En septembre9, il forme la brigade Alsace-
Lorraine, qui réunit d'anciens maquisards alsaciens et lorrains réfugiés dans le sud-ouest. À la tête de la brigade10,
Malraux participe dans les Vosges et en Alsace à la campagne de la première armée française, notamment lors des
prises de Dannemarie (Haut-Rhin), de Strasbourg et de Colmar. Le 15 mars 1945, la brigade est dissoute.

Le gaulliste [modifier]

« Entre ici, Jean Moulin… »


L'éloge grandiloquent de Malraux à l'occasion de la cérémonie du transfert des cendres du héros de la Résistance
fait désormais partie des annales du gaullisme.
Manuscrit original du discours, Musée de l'Ordre de la Libération. Hôtel des Invalides, Paris.

Dès 1945, il s’attache à la personne du Général de Gaulle, dans le gouvernement duquel il est ministre de la
propagande et ministre de l'Information, le suit dans l'aventure du RPF, où il s'occupe de la propagande entre 1947
et 1954, et sera sous la Ve République ministre de la Culture de 1959 à 1969.

Le Ministre des Affaires Culturelles [modifier]

Ministre, il mêle politique de prestige et œuvre sociale. Sans être un gaulliste de gauche déclaré, il ne renie
nullement son passé de gauche : son discours contre François Mitterrand en décembre 1965 le prouve
merveilleusement (« vous n’étiez même pas en Espagne »). Renouant avec l'esprit du Front populaire, il fait de la
culture une affaire administrée par l’État. Raymond Aron rapporte cependant dans ses Mémoires que Malraux avait
changé de façon stupéfiante en 1944 sur la question du communisme auquel il voue désormais une hostilité,
presque une haine. S'il n'est pas l’initiateur des Maisons des jeunes et de la culture (issues de "la République des
Jeunes", créée à la Libération), il est bien, en revanche, le créateur des "Maisons de la Culture", grandes machines
gérées par le ministère du même nom.

Tout ce mouvement culturel se réalise au bénéfice des arts (arts vivants, musées, cinéma, musique…) qui ont le
plus d’effet sur les masses, d'autres aspects de l'action culturelle comme la littérature se développant parallèlement à
la culture de masse. Mais la culture de Malraux en matière d’art et sa fraternité à l’égard de plusieurs artistes de
premier plan (Matisse, Braque, Picasso, Giacometti) distinguent plus particulièrement encore l'œuvre du ministre :
commandes du plafond de l’Odéon à André Masson, du plafond de l’Opéra de Paris à Marc Chagall, envoi de la
Joconde de Vinci aux États-Unis, restauration du château de Versailles, ou encore campagne de ravalement des
grands monuments de Paris… Malraux n’a de cesse de faire rayonner la culture française dans le monde. On lui
doit notamment le système « d'avance sur recettes », mis en place par un décret de juin 1959, qui reste de nos jours
un moteur important de la création cinématographique en France. À la même période il fondait la Biennale de Paris,
manifestation d'art dont le but était la valorisation de la jeune créativité française et internationale et le
renforcement de la présence artistique française dans le monde.

Cette administration étatique de l’art, cette volonté de produire du culturel en y mettant les moyens budgétaires, a
été jugé, par l'historien Marc Fumaroli, comme le grand enterrement nihiliste de la culture française. Selon lui, si
l’on compare l’extraordinaire abondance de talents lors de la IIIe République avec l'ère malrucienne et actuelle, on
s’aperçoit que l’après-guerre est pour la France un désert artistique, qu’on s’efforce de dissimuler à coup
d’évènements culturels. La IIIe République n’avait pourtant pas de politique culturelle. Toutefois, la thèse de Marc
Fumaroli est fortement contestée par certains historiens de la politique culturelle (Philippe Poirrier et Philippe
Urfalino), qui soulignent plutôt la modestie de la politique culturelle de la période Malraux, tout en pointant ses
singularités : rôle initiateur de l'État, volonté de démocratiser la culture consacrée, élargissement de l'État-
providence aux questions culturelles. Le Ministère des Affaires culturelles, créé pour conserver Malraux au
gouvernement, sera pérennisé après son départ en 1969.

Par fidélité au général de Gaulle, il quitte le pouvoir en même temps que lui. À aucun moment il n'aura manqué à
cette fidélité, même pendant les évènements de Mai 68, qualifiés par lui de simple « répétition générale », mais
aussi de « véritable crise de civilisation ». Ainsi l'a-t-on vu en tête de la manifestation de ceux qui réclamaient la
restauration de l’ordre à l’Arc de Triomphe le 30 mai. Cet ordre, Malraux n’a cessé de l’identifier à la personne et à
l'œuvre du général de Gaulle. Il sera d'ailleurs une des rares personnes que ce dernier consentira à recevoir jusqu’à
sa mort en 1970.

Renouant avec les engagements de sa jeunesse, il prendra parti pour l'indépendance du Bangladesh dès 1971, et
témoignera ainsi, en octobre 1973, en faveur de Jean Kay à son procès intenté pour le détournement du Vol 711.

La liaison avec Louise de Vilmorin [modifier]

En 1948, il épouse Madeleine, la veuve de son demi-frère Roland mort sur le Cap Arcona. Il s'en sépare en 1966, et
vit alors auprès de Louise de Vilmorin jusqu'à la mort de celle-ci en 1969, puis auprès de la nièce de celle-ci,
Sophie de Vilmorin11, qui s'occupe de l'écrivain jusqu'à sa mort, le 23 novembre 197612, d'une congestion
pulmonaire à l'hôpital Henri-Mondor (Créteil).

Épreuves et rencontres [modifier]


Au cours d'une vie marquée par des épreuves personnelles, il a perdu pendant la guerre ses deux demi-frères,
Claude et Roland, engagés dans des réseaux britanniques du SOE et morts en déportation ; puis sa deuxième
compagne, Josette Clotis (8 avril 1910 - 12 novembre 1944), morte happée par un train ; puis les deux fils qu’elle
lui avait donnés, Gauthier Malraux (5 novembre 1940 - 23 mai 1961) et Vincent Malraux (11 mars 1943 - 23 mai
1961), morts ensemble dans un accident de voiture ; ils reposent tous trois au Cimetière de Charonne.

Il a été la cible d'un attentat de l'OAS le 7 février 1962, à son domicile de Boulogne-Billancourt, qui a défiguré et
rendu aveugle la petite Delphine Renard, 4 ans.

André Malraux aura rencontré les grandes personnalités du monde politique (Mao Zedong, John F. Kennedy et
Jawaharlal Nehru par exemple) et poursuivi un dialogue constant avec les grands artistes et intellectuels : Pablo
Picasso, Marc Chagall, Georges Braque, Maurice de Vlaminck, André Derain, Fernand Léger, Jean Cocteau, André
Gide, Max Jacob, Pierre Reverdy.

Malraux ne s’est jamais cru lié par un dogme et, à travers ses mutations, il est resté fidèle à son besoin de
dépassement, en excluant tout recours aux utopies consolatrices, mais en devenant de plus en plus dépendant aux
stupéfiants. Agnostique, il a mis dans l’art — et notamment dans l'idée d'un musée imaginaire qui arracherait les
œuvres d’art à leurs fonctions traditionnelles pour les repenser dans leurs relations et leurs métamorphoses — la
seule grandeur à la portée de l’homme et ses seules chances d’éternité[réf. nécessaire]. C’est pourquoi fraternité et
humanisme sont au cœur de sa vie et de son œuvre :

« L’humanisme, ce n’est pas dire : « Ce que j’ai fait, aucun animal ne l’aurait fait », c’est dire : « Nous avons refusé
ce que voulait en nous la bête, et nous voulons retrouver l’homme partout où nous avons trouvé ce qui l’écrase. »
— Les Voix du silence, 1951

On lui a souvent attribué la phrase « Le siècle prochain sera religieux ou ne sera pas », qui semble en fait une
citation non littérale de ce propos authentique : « Je pense que la tâche du prochain siècle, en face de la plus terrible
menace qu'ait connue l'humanité, va être d'y réintégrer leurs dieux13. »
Dans le cadre de la célébration du 20e anniversaire de sa mort, et à l'instigation de Pierre Messmer14, les cendres de
Malraux ont été transférées du cimetière de Verrières-le-Buisson où il était enterré, au Panthéon en 1996.

Détail des fonctions gouvernementales [modifier]


• Ministre de l'Information du gouvernement Charles de Gaulle (2) (du 21 novembre 1945 au
26 janvier 1946)
• Ministre sans portefeuille du gouvernement Charles de Gaulle (3) (du 1er juin 1958 au 3 juin 1958)
• Ministre délégué à la Présidence du conseil du gouvernement Charles de Gaulle (3) (du 3 juin 1958 au
8 janvier 1959)
• Ministre chargé de la Radio, de la Télévision et de la Presse du gouvernement Charles de Gaulle (3) (du
12 juin 1958 au 7 juillet 1958)
• Ministre d’État du gouvernement Michel Debré (du 8 janvier 1959 au 22 juillet 1959)
• Ministre d’État, chargé des Affaires culturelles du gouvernement Michel Debré (du 22 juillet 1959 au
14 avril 1962)
• Ministre d’État, chargé des Affaires culturelles du gouvernement Georges Pompidou (1) (2) (3) (4) (5) (du
14 avril 1962 au 12 juillet 1968)
• Ministre d’État, chargé des Affaires culturelles du gouvernement Maurice Couve de Murville (du
12 juillet 1968 au 20 juin 1969).

Discours célèbres [modifier]


• Oraisons funèbres, 1971 (repris dans Le Miroir des Limbes, 1976).
• Transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon (19 décembre 1964), repris dans Oraisons funèbres.
• Inauguration du Monument de la Résistance (2 septembre 1973), repris dans Oraisons funèbres.

Œuvres [modifier]
Liste des œuvres [modifier]

• Lunes en papier, 1921


• Ecrit pour une idole à trompe, textes farfelus donnés en revues entre 1921 et 1927 et repris dans les Œuvres
Complètes, vol. 1, Paris, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade
• La Tentation de l'Occident, 1926
• Les Conquérants, 1928
• Royaume-Farfelu, 1928
• La Voie royale, 1930, Prix Interallié.
• La Condition humaine, 1933, Prix Goncourt.
• Le Temps du mépris, 1935
• L'Espoir, 1937
• Espoir, sierra de Teruel, 1938 (mise en scène du film)
• La Lutte avec l'ange, ensuite retitré Les Noyers de l'Altenburg, 1943 Suisse - 1948 France
• Le Démon de l'Absolu, 1946
• Esquisse d'une psychologie du cinéma, 1946
• Psychologie de l'art : Le Musée imaginaire - La Création artistique - La Monnaie de l'absolu, 1947-1948-
1950
• Saturne, le destin, l'Art et Goya, Différents titres > 1947 - 1950 - 1978
• Les Voix du silence, 1951
• Le Musée imaginaire de la sculpture mondiale : La Statuaire - Des Bas-reliefs aux grottes sacrées - Le
Monde Chrétien, 1952-1954
• La Métamorphose des dieux, 1957, deviendra le premier volume (Le Surnaturel) de la trilogie qui reprend
ce titre (voir plus bas).
• "Entre ici...", 1964, lors du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon (repris dans Oraisons
funèbres).
• Antimémoires, 1967 (Première partie du Miroir des Limbes)
• Les Chênes qu'on abat..., 1971 (repris dans La Corde et les souris)
• Oraisons funèbres, 1971 (8 oraisons reprises dans La Corde et les souris, 1976)
• La Tête d'obsidienne, 1974 (repris dans La Corde et les souris)
• Lazare, 1974 (repris dans La Corde et les souris)
• Hôtes de passage, 1975 (repris dans La Corde et les souris)
• La Corde et les Souris, 1976 (seconde partie du Miroir des Limbes)
• Le Miroir des limbes, 1976 (I. Antimémoires + II. La Corde et les souris + Oraisons funèbres)
• Le Surnaturel, (paru en 1957) sous le titre La Métamorphose des Dieux
• L'Irréel, La Métamorphose des Dieux. II, 1975
• L'Intemporel, La Métamorphose des Dieux. III, 1976
• L'Homme précaire et la Littérature, Gallimard, 1977 (posthume)
• Entretiens avec Tadao Takemoto, Au Signe de la Licorne,1998 (partie d'un ouvrage paru au Japon)
• Carnet du Front populaire (1935-1936), Gallimard, 2006 (posthume)
• Carnet d'URSS (1934), Gallimard, 2007 (posthume)

Édition des œuvres complètes [modifier]

Les Œuvres complètes d'André Malraux sont disponibles en cinq volumes (six volumes prévus), dans la collection
"Bibliothèque de la Pléiade" (éditions Gallimard) : les deux premiers tomes sont consacrés aux œuvres de fiction ;
le tome III au Miroir des limbes ; les tomes IV et V rassemblent les Écrits sur l'art ; le tome VI les essais littéraires
et autres textes à caractère politique (à paraître). Cet ensemble comporte un appareil critique, des index, de
nombreux inédits, ainsi que, pour les volumes IV et V, les illustrations des éditions originales. Dans la même
collection un Album Malraux (iconographie choisie et commentée par Jean Lescure, 517 illustrations) a été publié
en 1986.

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