INTRODUCTION GÉNÉRALE...............................................................3
2) Le système bancaire
a) Le secteur public
b) Le secteur privé
1) Présentation de la BDL
2) Mission et objet
3) Le capital social
1) Crédits :
1
b) Crédits destinés aux particuliers (crédit immobilier) :
2) La Monétique :
d) La carte visa
I. ENVIRONNEMENT DE LA BDL :
1) L’analyse de l’environnement :
a) Environnement économique
b) Environnement démographique
c) Environnement technologique
d) Environnement politique
e) Environnement social
2) L’analyse du marché :
a) Le marché actuel
b) Le marché potentiel
1
3) La structure de la concurrence :
a) Les porteurs
b) Les commerçants
CONCLUSION GÉNÉRALE
INTRODUCTION GÉNÉRALE :
1
L’ Etat Algérien s’est engagé dans un vaste programme de reformes du secteur
financier. Celui-ci obsolète et rigide, est l’objet de critiques des investisseurs
étrangers comme des simples citoyens. La modernisation des systèmes de paiement
interbancaires est l’un des chapitres essentiels de ladite reforme. Qu’il s’agisse des
paiements de masse ou de gros montants, celle-ci se veut le développement des
paiements en tant que service bancaire de base. Le système de paiement est un bon
indicateur du fonctionnement d’une économie, en particulier, dans une économie de
marché, d’où l’engouement de notre pays de miser sur cette variable stratégique.
La banque remplit trois grandes fonctions. Sa première mission est de collecter les
ressources tout en multipliant les produits de placements. Sa deuxième grande
mission s’oriente autour du financement de l’économie, en particulier à couvrir les
besoins en crédits d’exploitation et d’investissement pour les entreprises et les
particuliers. Sa troisième activité- clé est la gestion des moyens de paiement. C’est la
banque qui est à la source des paiements de tout genre. Aussi bien vers les
opérateurs économiques que les particuliers. C’est dire l’importance de cette fonction
dont l’activité doit être exécutée d’une manière rapide, sécurisée, satisfaisante et
rentable.
Ainsi, Les trois fonctions de la banque sont toutes liées à des produits. Des produits
d’épargne, de crédit et des moyens de paiement. Les mutations de l’environnement
de la banque, notamment la concurrence nationale et internationale, ne permettent
pas aux banques de prendre des décisions sans tenir compte des besoins et des
désirs des consommateurs, toujours en quête de nouveaux produits et de plus en
plus exigeants. C’est pourquoi le marketing se veut une démarche qui se rapproche le
plus possible de ces nouvelles exigences.
Cependant, la banque se trouve, de nos jours, contrainte de revoir son organisation
de base et de l’intégrer très vite dans sa gestion. Il devient, dès lors, un outil
indispensable à la survie, puis au développement d’une banque moderne.
1
I. LE SYSTEME BANCAIRE EN ALGERIE :
2) Le système bancaire :
a) Le secteur public :
Le secteur bancaire algérien est dominé par les banques publiques qui détiennent
plus de 90% des guichets d’agence bancaire en Algérie. On compte aujourd’hui six
banques publiques et cinq établissements financiers. Originellement segmentés en
fonction de l’activité de leurs clients. Les banques observent actuellement une
tendance vers une vocation de plus en plus universelle en terme de clientèle. Ajouté à
cela, Algérie Poste, qui n’est pas encore agréée en tant que banque postale ,fournit
une gamme de plus en plus large de services financiers. Elle possède le premier
réseau d’agences du pays avec ses 3271 guichets répartis sur les 48 willayas. Enfin
un processus de privatisation des banques publiques a été engagé par les autorités
algériennes.
La loi bancaire de 1990, a permis la création de banques à capitaux privés nationaux
et/ou étrangers. Ces nouvelles banques ont pour la plupart connu de graves
difficultés, dont la plus notable est la faillite de la Banque Khalifa et BCIA. La décision
du CMC de quintupler le montant du capital minimum, de 500 à 2.500 millions DZD, a
contribué à assainir le secteur bancaire et a abouti au retrait d'agrément des cinq
banques à capitaux privés algériens et une banque à capitaux privés mixtes entre
2003 et mars 2006.
b) Le secteur privé :
1
établissements de crédit privés visent d'abord une clientèle d'entreprises et de
particuliers hauts de gamme, même si l'on constate depuis peu, la création
d'établissements de crédit à la consommation, visant une clientèle plus large de
particuliers1. Le système bancaire algérien est donc essentiellement public. Il est en
mouvement mais il n’a pas encore atteint un niveau suffisant en ce qui concerne le
nombre d’acteurs et de produits bancaires. Traditionnellement spécialisé dans la
clientèle d’entreprise, il commence à s’ouvrir à la banque du détail. Ces dernières
années, le système bancaire a connu quelques scandales financiers du fait de
l’inadéquation des règles de supervision et de gouvernance.
- Présentation de l’activité
1) La BDL en bref :
1
un marche déjà conquis par d’autres banques d’envergure national (CPA, BNA, BEA)
et qui ont accumulé beaucoup d’expérience.
La BDL ne disposait pas alors de l’outil informatique, tant au niveau central, qu’au
niveau des agences. Les opérations étaient donc traitées manuellement d’autre part
la création de cette banque a coïncide avec la crise économique qui a secoué le
pays, en 1986 en raison de la baisse brutal du prix du pétrole, qui a rendu aléatoire
son développement.
Les ressources de la clientèle étaient alors, seulement de deux milliards de dinars et
avec cent mille (100.000) comptes clients.
Suite à sa transformation juridique en société par actions (SPA) et sur la base de la loi
88/04 portant sur l’autonomie des entreprises, elle est passée à l’autonomie le 20
février 1989.
Et enfin le siège social de la Banque de Développement Local est situé au 5, rue Gaci
Amar Staouéli-wilaya d’Alger.
2) Missions et objets :
1
Une direction générale composée de :
Le cabinet du PDG :
Ces DGA exercent leur autorité hiérarchique sur les directions centrales qui leur sont
rattachées par décisions du PDG.
1
III. PRODUITS ET SERVICES BDL :
1. Les Crédits :
Généralités:
Le crédit d’investissement
Le crédit d’exploitation
Le crédit d’investissement :
• le crédit d’investissement :
Le crédit d’investissement est destiné à financer tout projet de création ou
d’extension d’activité et en cas de renouvellement des moyens de production.
1
Crédits à Moyen Terme (CMT domestiques),
Le crédit d’exploitation :
1
Cautions marchées (adjudications, avance forfaitaire ou sur
approvisionnement, etc.),
Le Crédit Documentaire :
• le crédit documentaire :
C’est une opération par laquelle une banque, à la demande et suite aux instructions
de son client (importateur), s'engage par l'intermédiaire d’une banque
correspondante, en faveur de l'exportateur, d'opérer par paiement, acceptation ou
négociation le règlement des documents constatant l'expédition d'une marchandise
effectuée conformément aux conditions stipulées par l'importateur (ordonnateur) dans
sa demande d'ouverture de crédit.
Il est important pour l'importateur d'avoir à l'esprit que le paiement est lié à la
conformité
des documents et non pas à celle de la marchandise elle-même, qui n'est pas prise
en considération dans son aspect physique.
• L’ouverture du crédit ;
• La réalisation du credit
A vu (paiement cash), ou
Contre acceptation (paiement à échéance).
1
C'est un crédit à moyen et à long terme ayant pour objet le financement des
opérations de promotion immobilière destinées exclusivement à la vente et à la
location.
• la durée du crédit :
La durée du crédit peut atteindre :
CMT (Crédit à moyen terme) de 05 ans maximum dont 02 ans de différer pour
les opérations de promotion Immobilières destinées à la vente.
CLT (Crédit à long terme) de 10 ans maximum dont 02 ans de différer pour les
opérations de promotions Immobilières destinées à la location
Pour bénéficier du crédit CNAC, les conditions suivantes doivent être réunies :
Etre âgé de trente cinq (35) à cinquante (50) ans,
Etre résident en Algérie,
Ne pas occuper un emploi rémunéré au moment de l'introduction de la demande
d'aide,
Etre inscrit auprès des services de l'Agence Nationale de l'Emploi (ANEM)
depuis au moins six (06) mois comme demandeur d'emploi ou être allocataire de la
Caisse Nationale d'Assurance Chômage (CNAC),
N'ayant pas exercé une activité pour son propre compte depuis au moins douze
(12) mois,
1
Jouir d'une qualification professionnelle et/ou posséder un savoir-faire en rapport
avec l'activité projetée,
Pouvoir mobiliser des capacités financières suffisantes pour participer au
financement du projet,
N'ayant pas bénéficié d'une mesure d'aide au titre de la création d'activités.
• le crédit "ANGEM" :
Le micro crédit ANGEM est accordé à des catégories de citoyens sans revenus et / ou
disposant de petits revenus instables et irréguliers, il est destiné à :
• le crédit immobilier :
Le crédit immobilier est destiné à financer les acquisitions d’habitations ou de
logements individuels dans le cadre des transactions réalisées à travers les diverses
possibilités qu’offre le marché.
1
La BDL a signé deux conventions, la première la liant avec la Caisse des Retraités
Militaires CRM, et la deuxième avec le Fonds National de Péréquation des Oeuvres
Sociales FNPOS.
2)La Monétique :
La carte « CIB Classic » et la carte « CIB Gold », sont deux cartes Interbancaires,
elles permettent la facilité de paiement et de retrait au quotidien.
Régler nos achats et services sur les Terminaux de Paiement Electroniques (TPE),
installés au niveau des commerçants qui l’ont adopté comme mode de paiement.
Effectuer des retraits sur tous les Distributeurs Automatiques de Billets (DAB)
connectés au réseau monétique interbancaire CIB
Les cartes CIB Classic et CIB Gold ne sont pas des cartes de crédit, ce sont des
cartes à débit immédiat fonctionnant sur un solde en compte suffisant et des plafonds
déclarés par l’agence BDL.
L’avantage principal que procure la Carte CIB par rapport au chèque est la
disponibilité : les Agences Bancaires fermes tôt, les clients peuvent avec un Carte
retirer 24h/24 et 7j/7
Les cartes CIB Classic & CIB Gold vous permettent non seulement :
Les Carte CIB peuvent être utilisés dans tout le territoire national.
1
Les cartes CIB Classic ou bien CIB Gold sont valables partout en Algérie grâce à la
couverture du réseau BDL, vous pouvez utiliser la carte CIB Classic & CIB Gold sur
les Terminaux de Paiement Electroniques (TPE), installés chez les commerçants qui
l’ont adopté comme mode de paiement ainsi que sur tous les Distributeurs
Automatiques de Billets (DAB) connectés au réseau monétique interbancaire CIB .
Carte CIB CLASSIC : la Carte Classique est destinée à tous les clients
titulaires d’un compte en Dinars sauf le livret d’épargne. Elle est destinée à la clientèle
de la banque et autres répondant aux critères de sélection du segment clientèle:
salariés à revenus moyens.
• Le TPE:
• Pour le commerçant :
Ce nouveau mode de paiement, aide le commercant à gagner de nouveaux clients en
leur offrant un meilleur service. Il renforce votre lien avec votre clientèle habituelle.
Le TPE est un (e) :
1
Sécurité accrue par vérification électronique de la validité des cartes.
Consultation automatique des listes d’opposition.
Transmission électronique des transactions effectuées dans la journée.
Recouvrement des transactions en délais calculés sans erreurs par votre TPE.
Le TPE offre à votre clientèle une grande facilité de paiement et une sécurité
renforcée. Grâce à ce nouveau mode de paiement, vos clients n’attendent plus, vous
gagnez du temps et votre client aussi.
c) Service MoneyGram:
Les bénéficiaires de ce nouveau service sont les personnes physiques domiciliés aux
guichets de la BDL ou les clients de passage.
Money Gram est un leader mondial dans le service du transfert d’argent international
collaborant avec des partenaires de qualité dans plus de 150 000 points de vente
situés dans 170 pays et territoires.
1
Aucune commission n’est prélevée en Algérie lors du décaissement
du montant transféré au profit du bénéficiaire.
La réalisation de l’opération Money Gram et la mise à disposition au
profit du bénéficiaire du montant transféré ne doit en aucune manière
dépassée 10 minutes.
Une solution pratique,
Disponibilité, car plus de 150 000 points de vente situés dans170
pays et territoires à votre service,
Accessible à tous,
Vous n’avez pas besoin de compte bancaire ni de carte de crédit.
• la carte VISA :
1
La carte BDL/VISA, est un moyen de retrait et de paiement électronique, matérialisée
sous forme d’une carte à puce avec les inscriptions et les logos de « VISA » et de la
« BDL »,
Elle est personnalisée au nom du porteur et elle est délivrée à tout client intéressé,
domicilié ou non à la BDL et disposant de devises.
Chaque carte est identifiée par un Numéro d’Identification de Base « BIN » composé
des 6 premiers numéros.
« Les clients non domiciliés à la BDL peuvent obtenir une carte Visa
Electron Prépayée, sans avoir nécessairement un compte en devises
mais doivent, cependant, justifier de leur identité dans les mêmes
conditions que l’ouverture de compte à la BDL. Dés lors qu’il peut ouvrir
droit à des transferts en Devises ».
La carte Visa International BDL ‘’Prépayée’’ : elle est délivrée à tout client
disposant ou non de comptes en devises et en dinars auprès des guichets de la BDL.
Elle est alimentée soit à partir d’un compte en devises ou par un versement en
espèce en devises effectué à la caisse de l’agence le jour de la demande de
l’intéressé. La carte prépayée fonctionne sur la base des chargements effectués par
le porteur ou par un tiers. La carte est renouvelée à la demande du client.
1
En devise : Le montant correspondant à la charge de la carte ;
En dinar : Le montant représentant les frais de personnalisation de la carte
ainsi que les commissions sur transactions (conformément aux conditions de
banque).
La carte Visa International BDL Gold : elle est délivrée à tout client
détenteur d’un compte en devises et en dinars ouverts sur les livres de la BDL.
Elle fonctionne sur la base de la disponibilité en compte du client. Le
renouvellement de la carte est automatique un mois avant la date d’expiration
de sa validité, sauf résiliation du contrat porteur.
une provision en dinars à hauteur de 50% du prix de la carte. Cette provision sera
complétée à la délivrance de la carte ;
Un déposit de 5000 EURO, durant la période de validité de la carte, qui ne sera
utilisée qu’en cas d’absence de provision. A l’expiration de la carte, le solde du
déposit sera restitué au client. En cas de renouvellement, la même démarche est
adoptée.
La carte BDL / VISA commercialisée par la BDL est une carte de débit et non pas une
carte de crédit. Le porteur utilise sa carte à concurrence de son solde disponible en
compte pour la carte Gold ou chargé sur sa carte pour la carte prépayée.
La carte VISA offre au porteur le confort, la rapidité, la simplicité ainsi que la sécurité
grâce à un code confidentiel. Son utilisation se fait dans plus de 300 pays.
C’est le moyen de paiement le plus accepté dans le monde, avec de multiples autres
avantages tels que l’assurance voyage, des réductions de prix dans des hôtels et
autres…..,
• Les avantages qu’elle procure cette carte par rapport aux différents
partenaires VISA (Chaines hôtelières, restaurent, etc.…..) sont :
C’est la carte la plus utilisée dans le monde avec certains avantages au niveau des
chaînes hôtelières, restaurant,…etc., sous forme de promotions régulièrement
proposées.
Elle permet d’effectuer des achats et retraits quelque soit la devise de la transaction.
Le détenteur de la carte VISA devient citoyen du monde et la monnaie qu’il détient est
acceptée sur toute la planète.
1
Une assurance voyage est offerte aux porteurs de cartes BDL/VISA, qui couvre les
risques suivants :
Conditions particulières :
L’âge limite est fixé à 70 ans : Au delà de cet âge, le porteur perd le droit à
l’assurance voyage,
Pour les porteurs de la carte Gold, la détention d’un passeport est obligatoire et son
numéro doit être indiqué dans le bulletin d’adhésion.
1
DEUXIÉME PARTIE : PARTIE PRATIQUE
Le Département Marketing :
Dans cette perspective générale, les agences sont appelées à devenir de véritables
points de vente, des lieux de promotion des nouveaux produits bancaires et des
centres de profit dédiés à l’amélioration de la qualité de service et de l’accueil du
client.
Une autre perspective ouverte par la nouvelle stratégie commerciale de la BDL est
constituée par la nécessité pour les services marketing de la banque d’avoir une
meilleure connaissance du marché, de ses différents segments de clientèle, et d’une
façon plus générale du contexte concurrentiel et des meilleures pratiques des
banques concurrentes des secteurs public et privé.
1
Le département marketing de la BDL est également en charge de l’ensemble de la
communication de la banque ; Celle-ci se décline en deux volets principaux qui
marquent tous les deux une volonté d’intensification de la communication de la BDL à
la fois en direction de ses clients et de son personnel.
On peut classer également sous cette rubrique, l’important volet des relations avec la
presse nationale dans ses différentes composantes qui sont d’une part les insertions
publicitaires et d’autres part les interviews, mises au point et droits de réponse, les
publications périodiques, les différents supports d’information destinés à la clientèle et
assurant la promotion des produits bancaires.
1
I. ENVIRONEMENT DE LA BDL :
a)L’environnement économique :
L'Etat se trouve depuis quelques années dans une phase de stabilité et même
d'excédent budgétaire ,à court et moyen terme, compte tenu des recettes liées au
secteur des hydrocarbures , qui lui donnent les ressources nécessaires pour stabiliser
la fiscalité à un niveau moyen, investir dans la modernisation du secteur financier en
général et des banques en particulier, de financer des dispositifs publics d'aide à la
création d'entreprises (dispositifs ANGEM,ANSEJ… ) et de mettre en oeuvre des
plans de relance de l'économie.
La population active occupée se caractérise par une forte proportion de l'auto emploi.
Les employeurs et indépendants, représentent presque le tiers (32,1%) du total des
occupés. Les salariés permanents qui se caractérisent par une stabilité de l'emploi
représentent 32,7%. L'emploi instable, qui regroupe les salariés non permanents et
les aides familiales, est représenté par 35,2% de l'ensemble des occupés.
1
b) L’environnement démographique :
Tous ces indicateurs signifient que le niveau de vie des familles algériennes
s’améliore d’année en année. Une certaine aise financière est entrain de s’installer,
ce qui favorise l’épargne et par conséquent la possibilité d’être bancarisé et d’utiliser
la carte bancaire comme moyen de paiement.
c) l’environnement technologique :
Notre pays apparaît actuellement comme le plus gros marché des nouvelles
technologies de l’information et de la communication dans l’espace euro
méditerranéen. L’essor de l’application de l’informatique et de l’internet est
considérable. L’attrait pour les NTIC est un phénomène de société bien réel. Le boom
des télécoms est sans précédents où prés de 20 millions d’algériens sont dotés d’un
téléphone mobile. Des programmes considérables sont lancés ,notamment des
milliers d’ordinateurs pour l’équipement de milliers d’établissements éducatifs, de
cybercafés, banques, administrations, collectivités locales et des dizaines de milliers
de foyers ( programme ousratic : un PC par foyer).
d) L’environnement politique :
1
e) L’environnement social :
2) L’analyse du marché :
Les consommateurs concernés par ce marché sont les particuliers bancarisés. Ces
derniers demandent ce produit pour retirer des espèces sur les DAB de la BDL ainsi
que ceux d’autres banques. Aussi pour régler les achats qu’ils effectuent auprès des
commerçants dotés d’un TPE BDL ou ceux d’autres banques liées au réseau SATIM
Le marché actuel de la BDL est estimé à 13815 cartes CIB émises au 31/05/2010. La
tendance du marché est haussière. En effet, le taux de croissance de l’année 2008
par rapport à 2009 est de : 2,66Le marché actuel global, toute profession confondue,
est de 115 388 cartes émises et ce à la même date.
1
AGB 1149 1,00%
AL 75 0,06%
BARAKA
CNMA 55 0,05%
NATEXIS 11 0,01%
ALP 1848 1,6%
TOTAL 115388 100%
Source : SATIM
b) Le marché potentiel :
Le marché potentiel de la BDL est constitué de l’ensemble des clients particuliers qui
ne détiennent pas ,pour le moment, une carte CIB mais qui sont susceptibles de la
demandée. Ces derniers sont ceux qui possèdent un compte bancaire ouvrant droit à
la carte interbancaire. Ce sont donc les non consommateurs relatifs. En effet, parmi
les catégories de comptes existantes à la BDL, trois seulement satisfont à cet
avantage, ce sont les comptes chèques particuliers,compte cheque agent BDL
(compte salariés BDL) et les comptes professions libérales .Toute catégorie autre que
celles précitées ne confère pas à son titulaire le doit à la carte CIB.
Les non consommateurs absolus sont les individus qui sont exclus du système
bancaire (non bancarisés) qui ne peuvent donc acheter la carte CIB, ou bien ceux
titulaire d’un compte qui ne leur confère pas le droit à la carte bancaire comme le
compte épargne.
Afin d’évaluer la taille du marché potentiel de la BDL, nous allons nous limiter à
quelques hypothèses. Nous supposons que chaque particulier domicilié à la BDL
détient un seul compte, du moins appartenant aux catégories citées ci-dessus, bien
que la réalité est toute autre car un bon nombre de client détiennent plusieurs
comptes de différentes catégories, ils peuvent être multi domiciliés.
Nous supposons aussi que le nombre de comptes que gère la BDL est le même au
31/05/2007.En effet, le nombre de compte est arrêté trimestriellement. Les
statistiques les plus récentes datent du 31/03/2007, date qui ne correspond pas aux
statistiques concernant le marché actuel de la BDL.
Enfin, nous considérons que le nombre de consommateurs actuels qu’on peut retirer
à la concurrence est nul.
1
Cette estimation représente le nombre d’individus dont il est possible de transformer
en acheteurs effectifs. Le potentiel de la BDL est donc deux fois plus important que le
marché actuel global. Ce marché est très difficile à saisir concrètement car on ne
connaît pas avec précision les raisons d’abstention des non consommateurs relatifs.
3) La structure de la concurrence :
1
La banque extérieure d’Algérie :
La BEA est le troisième concurrent du marché, avec une part de marché de 12%. Son
activité principale s’articule autour du marché des grandes entreprises et le secteur
des hydrocarbures. Son réseau s’étend sur 76 agences. Cette dernière commence à
s’intéresser au segment des particuliers. En effet, elle offre une carte interbancaire de
retrait et une autre de retrait/ paiement (CIB).
Cette carte existe bel et bien mais concernant son utilisation. ,il est difficile de dire que
cela fonctionne très bien car, aucun TPE n’est visible sur les stations NAFTAL et la
BEA ne veut se prononcer sur aucune information.
Algérie poste est sans doute le concurrent le plus important pour la BDL ainsi que
pour l’ensemble des banques. Il est le principal établissement de bancarisation de
masse dans notre pays. Avec son large réseau et ses 7,1 millions de comptes CCP, il
effectue plus d’un million de transactions par jour. Pour l'instant, les banques
semblent ne pas avoir les instruments adaptés ni la volonté stratégique de pénétrer
ce segment de marché. Il est, depuis le 14 janvier
2002, un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) ,assurant à
la fois, des services postaux et une activité financière. Les services financiers
d'Algérie Poste emploient 1.400 salariés. Il en résulte une séparation organique et
fonctionnelle entre d'une part, le Ministère des Postes et Télécommunications en tant
qu'autorité de tutelle, et d'autre part l'entreprise qui, en tant qu'EPIC, a vocation à
s'autofinancer entièrement.
Algérie Poste n'est pas autorisée par la loi n°2000-03 à octroyer du crédit. Elle peut
toutefois mettre son réseau à disposition de banques et établissements financiers
pour assurer le service de caisse lié à des crédits, via les comptes CCP. Elle a
d’ailleurs tissé un partenariat avec la Caisse d'Epargne et de Prévoyance devenue
depuis 1997 CNEP Banque. Algérie Poste a aussi été approchée par des
établissements financiers spécialisés dans le crédit à la consommation. Les agences
d’Algérie Poste offrent, pour l’instant, un accès à des produits d’épargne , de
virements de fonds , de distribution de crédit immobilier et enfin de monétique.
Algérie Poste représente le premier réseau financier du pays avec 3271 bureaux de
poste, couvrant les 48 wilayas et tous distributeurs des produits financiers. Elle a
développé un système de gestion de comptes par Internet et a investit dans la
monétique, l’un des projets phares et importants de l’entreprise. Il a engagé sa propre
carte monétique pour se démarquer des autres opérateurs financiers que compte le
1
pays, qui sont regroupés au sein de la SATIM. Ainsi, c’est dans cette optique qu’ ALP
a déployé son propre réseau monétique.
Algérie poste met à la disposition de ses clients deux types de carte : une carte de
retrait désormais interbancaire après avoir établi une liaison du réseau ALP au réseau
interbancaire (SATIM). Elle offre également une carte CIB de retrait/paiement.
Elle dispose de plus de 200 distributeurs automatiques de billets (DAB) à fin 2005.
Elle compte déployer entre 1.300 et 1.400 DAB et GAB dans les guichets de poste à
l’horizon 2008. Elle ambitionne aussi de mettre en place d’ici 2008-2009 un réseau de
1.000 TPE chez les commerçants.
La distribution des cartes de retrait s’est limitée à 500 000 cartes en 2006 au lieu de
2,5 millions, comme cela a été projeté initialement. Nous pouvons donc dire que ce
dernier est passé à coté de ses objectifs. Malgré cela, il se révèle être le leader sur le
marché de la carte bancaire dans notre pays en toutes catégories confondues. Elle a
opté pour la stratégie « un compte, une carte de retrait ». Elle offre gratuitement la
carte par courrier sans que le détenteur de compte exprime la volonté d’en posséder.
Il vise essentiellement la suppression du cheque de retrait, et bientôt, elle exigera de
ses clients, l’utilisation de la carte comme moyen d’identification au guichet.
Concernant le réseau Télécom, ce dernier possède suffisamment d’expérience pour
sa manutention (ex PTT). Le principal point faible d’ ALP est que la moitié des CCP
sont inactifs, celui-ci cherche donc a optimisé son portefeuille client.
Nous estimons que la démarche suivie par ALP est bel et bien révolue, elle date de
l’époque des ventes agressives et d’objectifs draconiens. En effet, ALP a une
orientation produite plutôt que marché. Il est un leader de fait, le mérite revient à son
statut (considérations historiques).
1
L’analyse des parts de marché selon le nombre de transactions :
Après avoir analyser le marché selon le nombre d’unités vendues, nous allons nous
intéresser désormais à l’analyse des part de marché selon le nombre de transactions
réalisées par les détenteurs de cartes CIB. Certes, écouler un nombre important de
cartes est très important mais son utilisation par les consommateurs l’est encore plus
car, la carte n’est qu’un simple objet en plastique, c’est plutôt les services qui s’y
rattachent qui constitue le centre de profit pour tous les acteurs sur le marché. Nous
allons donc confronter les deux optiques, afin de voir s’il y a une corrélation entre les
résultats obtenus.
Avec prêt d’un tiers de part de marché, le CPA confirme sa place de leader sur le
marché de la carte CIB dans notre pays. Il réalise le plus grand nombre de
transactions. Il est suivi par ALP qui avec moins de 2% de part de marché (selon
l’optique précédente) réalise un nombre de transactions presque équivalant à celui du
leader (26,09%). Quant à la BDL, elle occupe la troisième place avec prêt de 14% de
part de marché pour prendre place à SGA, la BEA ,troisième selon l’optique « nombre
d’unité vendues » se retrouve au bas du tableau et réalise seulement 3.64% sur le
total des transactions. En revanche BNP qui au départ détient 5.21% de part de
marché, réalise un nombre important de transactions et avoisine celui de SGA et
BDL. Quant au reste des acteurs comme la CNEP banque, BADR, BNA, CNMA,
NATEXIS, AGB et AL BARAKA. Elles réalisent un nombre infime de transactions et
sont quasi absents sur le marché selon les deux approches.
1
Après avoir exploiter les résultats obtenus selon l’approche « nombre d’unité vendues
» et celle du « nombre de transactions réalisées » et suite à une confrontation, nous
déduisons qu’il y a une faible corrélation entre les deux. En effet, les résultats des
deux approches sont presque, totalement différents, à part le CPA, le leader, tous les
autres présentent des différences parfois très importantes, notamment le cas d’ ALP,
BEA et BNP PARIBAS.
a)Les porteurs :
Le constat sur le comportement des porteurs de la BDL révèle que la plupart des
porteurs retirent la totalité de leur salaire en une seule fois. En effet, les salaires de la
majorité des travailleurs ne sont pas suffisamment élevés pour justifier des retraits
partiels. Il est donc normal de tout retirer pour effectuer un maximum d’achats en
début de mois .De plus, les plafonds de retrait étant relativement bas, le porteur ne
peut retirer que de petites sommes chaque semaine et n’est donc pas assuré de
pouvoir faire les achats qu’il veut. Enfin, si chaque retrait est payant, il vaut mieux
n’en faire qu’un seul par mois.
Les porteurs considèrent la carte comme une carte de crédit permettant de retirer de
l’argent malgré un compte vide, d’où un usage abusif intense , la BDL doit bloquer la
carte très souvent
Si l’agence ne montre aucune motivation à proposer une carte a son client et, de plus,
ne montre pas la rigueur et l’organisation mise en place pour gérer ce nouveau
moyen de paiement, le client n’a aucune raison de sortir convaincu de l’intérêt de la
carte à 300 DA (minimum) par an et 11,70 à 17,55 DA par transaction.
Les raisons pour lesquelles le retrait au DAB est délaissé au profit du retrait au
guichet sont multiples à savoir :
• Les DAB sont trop souvent indisponibles pour être attrayant. Au guichet, il
n’existe pas de problème de distribution de billets.
• A 11,70 DA par transaction en interne et 17,55 DA en interbancaire, le client
préfère attendre au guichet et ne pas payer de commission.
• Lorsque quelqu’un sort d’une banque, on ne sait ce qu’il a fait. Par contre, s’il
manipule un DAB, on est sûr qu’il le quitte avec de l’argent sur lui. Il devient
• alors une proie sûre pour des malfaiteurs éventuels qui peuvent l’avoir vu taper
son code confidentiel et lui voler sa carte en plus de son argent.
• Dans ces conditions la carte ne présente aucun intérêt ; il n’y a donc pas lieu
de la conserver pour payer 300 dinars par an (au minimum).
b) Les commerçants :
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l’administration fiscale. Il trouvent également que la commission trop élevée et
n’apprécient pas de payer la communication téléphonique de demande d’autorisation.
Les raisons financières et fiscales : tant que le commerçant a toute liberté pour
frauder avec le fisc, il n’a aucune raison de placer chez lui un système qui oeuvre à
l’encontre de ses intérêts ; de plus il y a une commission à payer.
Pour des problèmes de réseau : Les lignes sont trop souvent indisponibles (d’après
les commerçants) et l’attrait du TPE en est sérieusement affecté.
Ces objectifs sont recueillis à partir d’une source documentaire interne et sont connus
de tous les employés de la BDL. L’objectif consiste en la réussite de la mise en
oeuvre d’un nouveau moyen de paiement. Se positionner, par rapport à la volonté de
modernisation et de mise à niveau, et s’aligner sur l’interbancarité. Cet objectif suit la
politique générale de la BDL qui vise un grand mouvement de modernisation, de mise
à niveau en vue d’accroître la notoriété de l’image de marque que véhicule
l’institution.
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rapport convaincant destiné à notre hiérarchie, proposant des recommandations
d'actions.
D'une manière générale, la qualité de votre étude de cas dépendra de sa clarté et de
sa cohérence, de la qualité de l'analyse, de notre capacité à prendre des décisions, à
les justifier et à convaincre.
Une étude de cas marketing comporte cinq étapes principales:
1. l'analyse externe et interne, suivie d'un diagnostic
2. l'annonce de la problématique
3. la définition des objectifs
4. le choix d'une stratégie
5. le marketing mix (produit, prix, place, promotion)
L'analyse et le diagnostic:
Cette phase permet de comprendre la situation du marché, du produit et de la société
dans son univers concurrentiel, et de mettre en évidence les éléments sur lesquels se
fondera la phase de recommandation.
Les éléments à évoquer dans votre analyse sont les suivants :
Analyse externe: le marché, sa croissance, ses prévisions, le marché principal, le
marché générique, la concurrence, leur offre, leurs produits, leurs cibles, la demande,
les différents segments de consommateurs, leurs perspectives de croissance,
l'environnement social, juridique, technologique etc.
Analyse interne: la société, ses ressources humaines, sa recherche et
développement, ses finances, son marketing mix actuel (produit, prix, place,
promotion), ses parts de marché par produits et par segments, les intentions d'achat,
la notoriété, etc.
Le diagnostic : se présente sous la forme de deux tableaux: opportunités / menaces
de l'environnement (dégagées par l'analyse externe) et forces / faiblesses de
l'entreprise (mises en évidence par l'analyse interne).
La problématique:
La problématique doit, sous forme de question, identifier le problème majeur auquel
est confrontée la société. De la bonne définition de la problématique dépendra la
cohérence des trois parties suivantes. En voici quelques exemples :
« Comment Chupa Chups va-t-il pouvoir maintenir sa position sur le segment des
enfants tout en se développant sur le segment des 15 ans et plus, peu
consommateurs de sucettes ? »
« Comment Jordans va-t-il pouvoir consolider et développer ses positions sur le
marché des céréales pour adultes alors que le moteur de la croissance de ce marché
est le segment santé / minceur, segment sur lequel il est absent ? »
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« Comment permettre à Dop de rajeunir son image de marque et de profiter de la
forte croissance du marché des après-shampooings, spécialement pour les enfants ?
»
Les objectifs:
Cette étape permet d'exprimer les buts que l'on souhaite atteindre. Les objectifs
doivent être globaux, concerner la croissance, la rentabilité, et la conquête de parts
de marchés. Un objectif doit être mesurable, quantifié de manière réaliste, et daté.
La stratégie:
Veillez à ne pas confondre la stratégie avec les moyens d'action qui sont au service
de la stratégie. Après avoir répondu à la question « où sommes-nous » en conclusion
de l'analyse, puis « où voulons-nous aller » à travers les objectifs, la stratégie permet
de répondre à « comment allons-nous y aller ? ». La méthode consiste à raisonner
par produits, détaillant la stratégie pour chaque produit existant, ainsi que pour les
éventuels nouveaux produits que vous souhaitez lancer. Elle comprend trois éléments
: la cible (les segments de consommateurs visés), le positionnement (ce qui
différencie votre produit de la concurrence, comment vos clients le perçoivent), et les
sources de volume (les parts de marché que vous prévoyez de récupérer sur la
concurrence ou sur vos produits existants).
Le marketing mix:
Ce n'est qu'à cette étape que seront détaillées les actions permettant d'atteindre les
objectifs. Elles doivent être présentées de manière structurée, précise, concise et
cohérente, et provenir d'informations fiables.
Le marketing mix est couramment défini comme la recherche de la meilleure
combinaison entre les « 4P » : produit, prix, place et promotion.
Il convient alors de détailler ces 4P en justifiant les éléments suivants :
Produit : qualité, caractéristiques, style, marque, conditionnement, taille, garanties,
SAV, etc.
Prix : tarifs, remises, rabais, ristournes, conditions de paiement, crédit accordé,
garanties, etc.
Place : canaux de distribution, détaillants, mode de livraison, techniques de vente,
stockage, merchandising, etc.
Promotion : publicité, promotion des ventes, relations publiques, presse, force de
vente, sponsoring, etc.
Une étude de cas marketing a pour but d'obtenir l'accord de votre hiérarchie lors d'un
lancement de nouveau produit, ou d'un changement de stratégie marketing. Ainsi,
soyez le plus clair possible, et veillez à la cohérence entre chacune de vos parties.
N'hésitez pas à étayer votre étude avec des diagrammes, des histogrammes, des
tableaux récapitulatifs, afin d'offrir une information synthétique à votre lecteur. Enfin,
vous devez impérativement faire état de toutes les ressources bibliographiques vous
ayant permis de réaliser votre étude de cas. En effet, vos données doivent être
datées et vérifiables, cela concourt au professionnalisme de votre travail. A vous de
jouer maintenant, vous pouvez trouver l'étude de marché ou le cas marketing qui
vous intéresse parmi les milliers de documents proposés.
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1) BASE DES DONNÉES :
Une base de données, usuellement abrégée en BD ou BDD, est un ensemble
structuré et organisé permettant le stockage de grandes quantités d'informations afin
d'en faciliter l'exploitation (ajout, mise à jour, recherche de données).
Une base de données se traduit physiquement par un ensemble de fichiers sur
disque.
C'est le support de toute action de marketing direct mais également des stratégies
amont d'analyse marketing et pour la mise en place de l'ensemble du marketing
opérationnel.
Structure:
Le point le plus important pour pouvoir considérer un logiciel comme une base de
données est son processus aux accès concurrent aux données/enregistrements. Ce
point est primordial pour permettre le développement, durable, sécuritaire, répartie et
efficace d'une base de données.
L'objectif de l'Analyse de Données est de traiter des informations du type : quels sont
les items identiques ou dissemblables, quelles sont les relations entre les items et les
variables associées.
Le plus souvent les résultats de ces analyses permettent d'ajuster et d'optimiser les
politiques ou stratégies commerciales des entreprises.
Ce qui veut dire l’analyse des données est un Processus qui permet de transformer
une masse d’informations en information structurée permettant la prise de décision
marketing.
CONCLUSION GÉNÉRALE :
Avec la montée de la mondialisation, les économies nationales vont devoir faire face
à une ouverture totale des frontières, qui accentuera de plus en plus la concurrence
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internationale. Ce phénomène conduira, selon la majorité des économistes, à la
disparition du tiers des entreprises du monde. Le deuxième tiers est amené à
appliquer une mise à niveau pour se préparer à l'échéance.
C’est dans ce contexte, que la banque du développement local devra s’adopter aux
normes de gestion compte tenu des mutations liées à son environnement, afin de
promouvoir la carte interbancaire de paiement et de retrait. Cet impératif est édicté
par les effets de la mondialisation.