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9 DIMENSIONNEMENT ET PREVISIONS

Comme il l’était indiqué dans le cahier des charges du travail de semestre, le réacteur devait
tenir sur une table. Il a vite été évident que ça n’allait pas être possible à cause de tout ce qui
entoure le réacteur (le circuit hydraulique, le condenseur, l’évaporateur, etc). Les dimensions
ont quand même été vues pour manipuler le réacteur facilement et garder un potentiel
d’adsorption suffisant. En se basant sur les dimensions et les performances du réacteur
Stockads [9], il a été décidé de partir sur un volume de 2 [dm3].

Avec ce volume de silicagel nous devrions désorber environ 190 [ml] d’eau selon le modèle de
Langmuir :

Ce modèle correspond à l’adsorption d’une couche mono moléculaire idéale sans interaction.

− ΔH 0
(b ⋅ P ) n ( )
q = qs ⋅ avec b = b ⋅ e R⋅T
(5)
1 + (b ⋅ P ) n
0

Où : qs = 0.544 [kg/kg] ; n = 1.3 ; ΔH0 = -47’466 [J/mol] ; b0 = 3.186*10-12 [Pa-1]

ΔH0 : chaleur isostérique d’adsorption (supposée constante dans ce cas).


qs, n et b0 : constantes expérimentales.

Les valeurs de base ont été fournies par M.Pons du CNRS-LIMSI à Paris et déjà utilisées lors
des travaux [6, 7].

Le modèle de Langmuir considère que la chaleur d’adsorption ΔH0 est donnée constante pour
n’importe quelle concentration. En réalité, il existe une chaleur d’adsorption ΔHi pour chaque
concentration donnée [modélisation d’un réfrigérateur à adsorption].

Les concentrations en vapeur d’eau sont calculées pour les quatre débuts de phases d’un
cycle. Pour obtenir la différence de concentration qui nous intéresse, on soustrait la
concentration du point de départ (1) à celle de la fin de désorption (3). La différence de
concentration en vapeur d’eau nous donne la quantité de vapeurs désorbées en [kg/kg]. Il reste
à multiplier cette concentration par la masse de silicagel que nous avons dans le réacteur pour
connaître la masse d’eau à disposition dans le réservoir. Cette masse d’eau va être versée
dans l’évaporateur pour ensuite être adsorbé par le silicagel. C’est l’évaporation provoquée par
l’adsorption qui va produire le froid escompté.

Travail de diplôme 2006 G.Jobin


Climatisation solaire à adsorption -49- Sig 2006
2ème partie

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