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Résumé des nerfs crâniens

1. Vue d’ensemble

Les nerfs crâniens contiennent des fibres sensitives et/ou motrices. Ce sont des faisceaux de
prolongements neuronaux qui innervent des muscles ou des glandes, ou qui acheminent les influx en
provenance de territoires sensitifs. Ils émergent de foramina ou de fissures du crâne et sont revêtus par
des gaines tubulaires dérivées des méninges.
Les nerfs crâniens contiennent une ou plusieurs des 6 composantes fonctionnelles suivantes :
• Les axones somato-moteurs innervent les muscles striés de l’orbite et de la langue.
• Les axones branchio-moteurs innervent les muscles dérivés des arcs branchiaux.
• Les axones viscéro-moteurs sont à l’origine du système parasympathique crânien qui innerve des
glandes et certains muscles lisses.
• Les fibres viscéro-sensitives recueillent la sensibilité viscérale de la parotide, du glomus et sinus
carotidien, de l’oreille moyenne, du pharynx, du larynx, de la trachée, des bronches, des poumons,
du cœur, de l’œsophage, de l’estomac et de l’intestin jusqu’à l’angle colique gauche. Cette
sensibilité n’atteint pas la conscience.
• Les fibres de la sensibilité générale transmettent les sensations générales en provenance de la
peau et des muqueuses. Elles appartiennent principalement au nerf V, mais il en existe aussi dans
les nerfs VII, IX et X. Cette sensibilité est consciente ou pas.
• Les fibres de la sensibilité spéciale ou sensorielles transmettent soit les sensations gustatives et
olfactives soit les influx en provenance des organes des sens de la vision, de l’audition et de
l’équilibre.

Certains NC sont purement sensitifs ou sensoriels, d’autres sont moteurs ou mixtes. Les nerfs III, VII,
IX et X contiennent des axones parasympathiques présynaptiques dès leur site d’émergence du tronc
cérébral.

Les fibres des NC sont reliées centralement aux noyaux des nerfs crâniens. Sauf en ce qui concerne le
nerf olfactif, tous les NC ont leur siège dans le tronc cérébral.
2. Nerf Olfactif (NC I)

Fonction : sensorielle (composante viscéro-afférente spéciale), sens de l’odorat.

Les corps cellulaires des neurones olfactifs primaires se trouvent dans l’épithélium olfactif au toit de la
cavité nasale et le long du septum nasal et de la paroi médiale du cornet supérieur. Les prolongements
centraux des cellules neurosensorielles olfactives se rassemblent en ± 20 faisceaux de fibres nerveuses
qui forment le nerf olfactif. Ces faisceaux franchissent les foramina de la lame criblée de l’ethmoïde,
traversent la dure mère et l’arachnoïde et pénètrent dans le bulbe olfactif situé dans la fosse crânienne
antérieure.
Au sein du bulbe olfactif, les fibres du nerf établissent des relais synaptiques avec les cellules mitrales.
Les axones de ces dernières forment le tractus olfactif qui se divise en stries olfactives :
- la strie olfactive latérale se termine dans le cortex piriforme de la partie antérieure du lobe
temporal.
- la strie olfactive médiale se projette vers les structures olfactives hétérolatérales par
l’intermédiaire de la commissure antérieure.

Les stimulis olfactifs évoquent des émotions et nous permettent d’apprécier les arômes des aliments. Ils
suscitent des réactions viscérales (ex : salivation) en modulant les activités du SNA.
3. Nerf optique (NC II)

Fonction : sensorielle (composante somato-afférente spéciale)

Le nerf de la vision est formé par les axones des cellules ganglionnaires rétiniennes. Il est entouré par des
extensions des méninges et par un espace sub-arachnoïdien rempli de LCR. L’artère et la veine centrales
de la rétine traversent les couches méningées et poursuivent leur trajet au sein de la partie antérieure du
nerf optique.
Ce nerf commence dès que les axones des cellules ganglionnaires rétiniennes traversent la sclère. Le nerf
parcourt l’orbite en direction postéro-médiale et en sort par le canal optique, il pénètre dans la fosse
crânienne moyenne où il forme le chiasma optique. Au sein du chiasma, les fibres originaires des moitiés
nasales des 2 rétines se croisent et se joignent ensuite aux fibres originaires de la moitié temporale de la
rétine hétérolatérale pour constituer le tracts optique.
Le croisement partiel des fibres des nerfs optiques au sein du chiasma est une condition nécessaire à la
vision binoculaire permettant la profondeur du champ. Les fibres de la moitié nasale de chaque rétine
croisent la ligne médiane pour rejoindre le coté opposé tandis que celles de la moitié temporale ne la
croisent pas et restent du même coté que celui de leur origine. En conséquence, le tractus optique D est
formé de fibres provenant des moitiés droites des 2 rétines et le tractus optique G est formé de fibres
provenant des moitiés gauches. La décussation des fibres a pour conséquence que le tractus optique D
achemine des influx du champ visuel gauche et vice versa.
La plupart des fibres des tractus optiques se terminent dans les corps géniculés latéraux du thalamus. A
partir de ces noyaux, les axones sont relayés vers les cortex visuels des lobes occipitaux du cerveau.

4. Nerf oculomoteur (NC III)

Fonction : somato-motrice et viscéro-motrice

Il existe 2 noyaux oculomoteurs :


- Le noyau somato-moteur se trouve dans la substance grise entourant l’aqueduc de Sylvius, à la
hauteur du tubercule quadrijumeau antérieur et ventralement par rapport à l’aqueduc.
- Le noyau viscéro-moteur, parasympathique (noyau d’Edinger-Westphal) se situe à la face dorsale
des 2/3 rostraux du noyau somato-efférent.

Le nerf oculomoteur assure l’innervation motrice de 4 des 6 muscles extrinsèques du globe oculaire (m.
droits supérieur, m. médiale, m. inférieure et m. oblique inférieur) et du m. releveur de la paupière
supérieure. Il recueille leur sensibilité proprioceptive.
Via le ganglion ciliaire, il assure l’innervation parasympathique du muscle sphincter de la pupille et du
muscle ciliaire.

Le NC III émerge au niveau du mésencéphale, traverse la dure mère et chemine au sein de la paroi
latérale du sinus caverneux. Il quitte la cavité crânienne et pénètre dans l’orbite en franchissant la fente
sphénoïdale. Au sein de celle-ci, il se divise en une branche sup. pour muscles droit supérieur et releveur
de la paupière supérieure, et une branche inf. pour les muscles droit inférieur, droit médial et oblique
inférieur.
Les fibres autonomes parasympathiques présynaptiques issues du noyau d’Edinger-Westphal qui la branche
inférieure pour rejoindre le ganglion ciliaire au sein duquel s’effectuent les relais synaptiques. Les fibres
postsynaptiques quittent le ganglion sous la forme des nerfs ciliaires courts qui innervent le sphincter de
la pupille et le muscle ciliaire.

5. Nerf trochléaire (NC IV)

Fonction : somato-motrice vis-à-vis du muscle oblique supérieur dont il recueille également la sensibilité
proprioceptive.

Le noyau de ce nerf est situé au sein de la matière grise qui entoure l’aqueduc de Sylvius, au niveau des
tubercules quadrijumeaux inférieurs et juste caudalement par rapport au NC III.

Le nerf trochléaire émerge à la face dorsale du mésencéphale, contourne le tronc cérébral, traverse la
dure mère et se dirige vers l’avant au sein de la paroi latérale du sinus caverneux. Il franchit ensuite la
fente sphénoïdale et pénètre dans l’orbite où il innerve le muscle oblique supérieur. C’est le seul NC qui
émerge à la face dorsale du tronc cérébral.

6. Nerf abducens (NC VI)

Fonction : somato-motrice du muscle droit latéral (m. extrinsèque du globe oculaire) et recueille la
sensibilité proprioceptive de ce muscle.

Le noyau du nerf abducens se trouve dans le pont, près du plan médian. Il est situé profondément par
rapport au colliculus facial, un renflement du plancher du 4ème ventricule.

Le NC VI émerge du tronc cérébral entre le pont et la moëlle allongée et pénètre aussitôt dans la citerne
pontique où il côtoie l’artère basilaire. Il traverse ensuite la dure mère. Pour pénétrer dans le sinus
caverneux, il décrit un coude assez aigu au dessus de la crête pétreuse de l’os temporal. Il traverse
ensuite le sinus en compagnie la carotide interne et pénètre dans la fente sphénoïdale pour se distribuer
au muscle droit latéral, responsable de l’abduction du globe oculaire.
7. Nerf trijumeau (NC V)

Fonction : sensibilité générale et branchio-motrice.

Ce nerf possède 4 noyaux :


- Le noyau masticateur se trouve au sein de la partie supérieure du pont, dans la profondeur du
plancher du 4ème ventricule.
- Le noyau mésencéphalique du nerf trijumeau est situé latéralement à l’aqueduc de Sylvius.
- Le noyau sensitif principal du nerf trijumeau se trouve dans la zone dorso-latérale.
- Le noyau spinal du nerf trijumeau se trouve dans la partie inférieure du pont et se prolonge dans le
bulbe rachidien.
Les prolongements centraux du ganglion de Gasser pénètrent dans le pont et se terminent dans le noyau
sensitif principal et dans le noyau spinal du NC V.

Le nerf trijumeau émerge du pont par une petite racine motrice et une grosse racine sensitive. Il assure
l’innervation motrice des muscles de la mastication, du muscle mylo-hyoïdien, du ventre antérieur du
digastrique, des muscles tenseurs du voile du palais et tenseur du tympan. C’est le principal nerf de la
sensibilité générale de la tête. La majeure partie des fibres de la racine sensitive sont des axones des
neurones du ganglion de Gasser. Leurs prolongements périphériques forment le nerf ophtalmique, le nerf
maxillaire et le contingent des fibres sensitives du nerf mandibulaires.

8. Nerf facial (NC VII)

Fonction : sensitive, branchio-motrice et parasympathique.


• Sensibilité gustative des 2/3 antérieurs de la langue et du voile du palais
• Sensibilité de l’oreille externe
• Innervation motrice des muscles de la mimique, des muscles digastriques, muscle stylo hyoïdien et
stapédien.
• Sensibilité proprioceptive de ces muscles.
• Innervation parasympathique des glandes submandibulaires et sublinguales, de la glande lacrymale
et des glandes de la cavité nasale.
Le noyau moteur du nerf facial se trouve dans la partie ventro-latéral du tegmentum pontique. La racine
sensitive spéciale se termine au niveau de l’extrémité rostrale du noyau du tractus solitaire dans le bulbe
rachidien. Les corps cellulaires des neurones sensitifs primaires sont situés dans le ganglion géniculé. Les
sensations générales originaires de l’oreille externe aboutissent au noyau du tractus spinal du NC V (noyau
gélatineux de Rolando).

Le nerf facial émerge au niveau de la jonction du pont et de la moëlle allongée. Il comprend une racine
motrice volumineuse innervant les muscles de la mimique, et le nerf intermédiaire de Wrisberg plus petit
qui contient des fibres gustatives, parasympathiques et somato-afférente.
Il parcourt la fosse crânienne postérieure, le méat acoustique interne et le canal facial (au sein de l’os
temporal) au sein duquel il donne naissance au nerf grand pétreux, au nerf du muscle stapédien et à la
corde du tympan.
Il sort du crâne par le foramen stylo-mastoïdien et chemine ensuite dans la glande parotide où il forme le
plexus parotidien. 6 branches sortent de ce plexus : auriculaire postérieure, temporale, zygomatique,
buccale, mandibulaire, cervicale.

9. Nerf vestibulo-cochléaire (NC VIII)

Fonction : sensorielle, sens de l’audition et de l’équilibration.

4 noyaux vestibulaires sont situés à la jonction du pont et du bulbe rachidien dans la partie latérale du 4ème
ventricule. 2 noyaux cochléaires sont situés dans le bulbe rachidien.

Le NC VIII émerge au niveau de la jonction du pont et de la moëlle allongée et pénètre dans le méat
acoustique interne où il se divise à ce niveau en nerfs vestibulaire et cochléaire.
Affectées à l’équilibration, les fibres vestibulaires sont les axones des neurones du ganglion vestibulaire,
les prolongements périphériques de ces neurones pénètrent dans les macules de l’utricule et du saccule
ainsi que dans les ampoules des conduits semi-circulaires.
Affectées à l’audition, les fibres cochléaires sont les axones des neurones du ganglion de Corti. A
l’intérieur du méat acoustique interne, le NC VII accompagne les 2 branches de division du NC VIII ainsi
que l’artère auditive interne.

10. Nerf Glosso-pharyngien (NC IX)

Fonction: sensitive, sensorielle, motrice et parasympathique.


• Sensibilité gustative au niveau du tiers postérieur de la langue.
• Sensibilité de la muqueuse du pharynx, de la tonsille palatine, du tiers postérieur de la langue, de
la trompe auditive, de l’oreille moyenne, du sinus carotidien et du glomus carotidien.
• Innervation motrice et proprioceptive du muscle stylo pharyngien.
• Innervation parasympathique de la glande parotide et des glandes du tiers postérieur de la langue.
Dans la moëlle allongée, le nerf IX partage 4 noyaux avec le nerf NC X et le nerf XI :
- Le noyau ambigu, situé profondément dans la partie supérieure de la moëlle allongée.
- Le noyau salivaire inférieur, situé dans la partie inférieur du pont et à la partie rostrale du noyau
ambigu.
- Le noyau du tractus solitaire, situé dans la partie supérieur de la moëlle allongée, du côté latéral
du noyau dorsal du nerf vague.
- Le noyau spinal du nerf trijumeau, situé dans la moëlle allongée, au coté latéral du noyau ambigu.

Le nerf émerge de la moëlle allongée et se dirige antéro-latéralement pour quitter le crâne par la partie
antérieure le foramen jugulaire. Les ganglions supérieur (ganglion d’Ehrenritter) et inférieur (ganglion
d’Andersch) se trouvent au niveau de ce foramen, ils contiennent les corps cellulaires des fibres
afférentes du NC IX. Le nerf longe ensuite le muscle stylo-pharyngien, passe entre les muscles
constricteurs du pharynx et atteint l’oropharynx et la langue. Il contribue à la formation du plexus
nerveux pharyngien.

11. Nerf vague (NC X)

Fonction : sensitive, motrice et parasympathique.


• Sensibilité de la partie inférieure du pharynx, du larynx et des organes thoraciques et
abdominaux.
• Sensibilité gustative de la base de la langue et de l’épiglotte.
• Innervation motrice du voile du palais, du pharynx, des muscles intrinsèques du larynx et du muscle
palato-glosse.
• Sensibilité proprioceptive des muscles précités.
• Innervation parasympathique des viscères thoraciques et abdominaux.

Le nerf vague partage 4 noyaux avec les NC IX et XI : le noyau ambigu (fibres branchio-motrices pour les
muscles du pharynx et du larynx), le noyau du tractus solitaire (fibres sensitives provenant d’organes
thoraciques et abdominaux), le noyau dorsal du nerf vague (fibres autonomes destinées au cœur, poumons,
œsophage, estomac et intestin grêle jusqu’à l’angle colique gauche), le noyau du tractus spinal du NC V
(fibres sensitives en provenance de l’oropharynx et du tractus gastro-intestinal supérieur)

Le nerf vague naît de la moëlle allongée par une série de filets radiculaires, il quitte le crâne en
franchissant le foramen jugulaire. Il possède 2 ganglions. Situé dans le foramen jugulaire, le ganglion
supérieur reçoit principalement des fibres somato-afférentes générales. Le ganglion inférieur, situé sous
le foramen, reçoit les fibres viscréo-afférentes du nerf vague. Dans la région du ganglion supérieur, le
nerf vague contracte des connexions anastomotiques avec le NC IX, le NC XI et le ganglion cervical
supérieur. Il poursuit son trajet descendant au sein de la gaine carotidienne.
12. Nerf accessoire (NC XI)

Fonction : motrice pour le voile du palais et le pharynx, pour les muscles SCM et trapèze.

2 noyaux moteurs lui sont associés. La racine crâniale tire son origine des neurones de la partie caudale du
noyau ambigu, la racine spinale tire son origine du noyau spinal du nerf accessoire, une colonne de cellules
de la corne antérieure s’étendant le long des 5 à 6 premiers segments cervicaux de la moëlle épinière.
Les 2 racines s’unissent en franchissant le foramen jugulaire puis elles se séparent. La racine crâniale se
joint au nerf vague et ce sont ces branches vagales qui assurent la distribution de ses fibres à la
musculature striée du voile du palais, du pharynx, du larynx et de l’œsophage. Le nerf accessoire descend
le long de l’artère carotide interne, traverse et innerve le muscle SCM et sort de ce muscle près du milieu
de son bord postérieur. Il traverse ensuite obliquement le triangle cervical postérieur et se distribue à la
partie supérieure du muscle trapèze. La racine spinale du nerf accessoire fournit des fibres motrices aux
muscles SCM et trapèze. Des branches du plexus cervical composées de fibres sensitives issues des nerfs
spinaux C2 à C4 se joignent au nerf accessoire dans le triangle postérieur du cou et recueillent les
sensibilités douloureuses et proprioceptives de ces muscles.
13. Nerf hypoglosse (NC XII)

Fonction : motrice pour les muscles de la langue. Il achemine aussi des fibres somato-motrices issues des
nerfs spinaux C1 et C2 vers les muscles thyro-hyoïdien et génio-hyoïdien ainsi que des fibres de la
sensibilité générale destinées à ces muscles et à la dure mère de la fosse crânienne postérieure.

Au niveau de son émergence du bulbe rachidien par plusieurs petites racines, le nerf est purement
moteur, il quitte le crâne par le canal condylien antérieur. Lorsqu’il sort de ce canal, le nerf s’anastomose
avec une branche du plexus cervical qui contient des fibres motrices issues des nerfs spinaux C1 et C2
ainsi que des fibres sensitives originaire du ganglion spinal du nerf C2. Il se dirige ensuite inféro-
latéralement en direction de l’angle de la mandibule et pénètre dans la langue. Il se termine par de
nombreuses branches qui se distribuent à tous les muscles de la langue sauf le palatoglosse.

Les branches du NC XII sont :


• une branche méningée qui rentre dans le crâne par le canal du nerf hypoglosse et innerve la dure
mère tapissant le plancher et la paroi postérieure de la fosse crânienne postérieure. Ses fibres
rejoignent le ganglion sensitif du nerf spinal C2 et n’appartiennent donc pas au nerf hypoglosse.
• Une branche descendante qui s’anastomose avec l’anse cervicale et qui se distribuent aux muscles
infra hyoïdiens. Elle est composée de fibres issues du plexus cervical et ne contient pas de fibres
hypoglossiennes.
• Plusieurs branches terminales destinées aux muscles stylogloss, hyogloss, géniogloss et aux
muscles intrinsèques de la langue.

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