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TUMEURS BENIGNES ET PSEUDO-TUMEURS

DES TISSUS MOUS ORAUX

DCEO2 - Dr. H. RAYBAUD

I- LESIONS EPITHELIALES
I-1- Verrue vulgaire / papillome
I-2- Condylome
I-3- Hyperplasie des papilles palatines
I-4- Hyperplasie épithéliale focale ou maladie de Heck
I-5- Kératoacanthome

II- LESIONS DU CONJONCTIF


II- 1- Fibrome mécanique ou diapneusie
II- 2- Hyperplasie gingivale
II- 2- a- Hyperplasie gingivale médicamenteuse
II- 2- b- Hyperplasie gingivale idiopathique familiale
II- 2- c- Hyperplasie gingivale des leucémies aigues
II- 3- Epulides / épulis
II- 3- a- Définition d’une épulis
II- 3- b- Epulis fissurée
II- 3- c- Epulis pyogène = granulome granulomateux
II- 3- d- Epulis gravidique
II- 3- d- Epulis /granulome périphérique à cellules géantes
II- 3- e- Epulis fibreuse = fibrome gingival = fibrome périphérique
II- 4- Hémangiome
II- 5- Lymphangiome
II- 6- Schwannome
II- 7- Neurofibrome
II- 8- Névrome d'amputation ou névrome traumatique
II- 9- Lipome
II- 10- Tumeur à cellules granuleuses /tumeur d'Abrikossoff
II- 11- Epulis du nouveau-né

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DCEO2 – 2006
Dr. H. RAYBAUD

TUMEURS BENIGNES ET PSEUDO-TUMEURS


DES TISSUS MOUS ORAUX

Rappel :
- tumeur = prolifération cellulaire excessive aboutissant à une néoformation
tissulaire qui ressemble plus ou moins à un tissu normal et ayant tendance à
persister et à s’accroître.
- pseudo-tumeur = formation pathologique dont l'aspect clinique évoque celui
d'une tumeur.
Toute exérèse d'une tumeur de la cavité buccale doit faire l'objet d'un examen
anapath.

I- LESIONS EPITHELIALES
(elles sont les seules vraies tumeurs de la muqueuse buccale).

I-1- Verrue vulgaire / papillome


I-1- a- Clinique
- en bouche, il est difficile de faire la différence entre verrue vulgaire /
papillome /condylome
- ces lésions sont circonscrites, végétantes, exophytiques, blanches,
relativement molles, < à 1 cm
- en général, la verrue est sessile (en continuité avec le tissu environnant), alors
que le papillome est pédiculé (sur un pied comme un verre de Bordeaux)
- les sièges habituels sont la langue puis le palais, les lèvres et les joues
I-1- b- Histo
= prolifération papillomateuse, hyperacanthosique, hyperkératosique
- papillomateuse = très irrégulière, en chou fleur, causée par l’allongement des
papilles du conjonctif qui viennent déformer l’épithélium, réciproquement, il
existe de longues crêtes épithéliales entre ces papilles du conjonctif.
- hyperacanthose = allongement des crêtes épithéliales inter papillaires
- hyperkératose = surtout hyperorthokératose pour la verrue
Dans les couches supérieures de l’épithélium, il existe des kératinocytes qui ont
un aspect particulier : les « koïlocytes », ils se caractérisent par la présence d’un
noyau rétracté avec une chromatine condensée, le noyau est entouré d’un halo
clair. Cet aspect signe la présence de papilloma-virus. Les koïlocytes ne
s’observent que dans les couches superficielles de l’épithélium car la réplication
virale ne peut intervenir que dans les kératinocytes différenciés.
Les mitoses sont plus nombreuses mais restent régulières et localisées dans les
couches profondes.

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En général, la verrue a des bords externes convergents (image d'un bourgeon) et
les papilles du conjonctif parallèles.
I-1- c- Biologie:
- prolifération causée par un virus (HPV 2-6-11-16),
Enfants : il existe une auto-contamination de la bouche par des verrues sur les
doigts (HPV 2)
- Carcinomes oraux : plus de 30% sont associés à HPV 16 (virus ADN, double
brin, non enveloppé)

I- 2- Condylome
I- 2- a- Clinique
= lésion génitale ou anale par définition, elle est rare dans la bouche
- notion de contact vénérien qui est une condition indispensable pour le
diagnostic
- lésion en chou fleur dont la surface demeure plus rose, donc moins kératinisée
et elle est pédiculée
I- 2- b- Histo
- surface non kératinisée ou faiblement parakératinisée
- surface papillomateuse avec crêtes externes courtes et larges
- papilles du conjonctif allongées
- hyperacanthose avec crêtes bulbeuses
- koïlocytes dans les couches supérieures de l’épithélium
I- 2- c- Biologie
- Au niveau génital ou anal
- HPV 6-11 faible risque de transformation maligne
- HPV 16-18 haut risque de transformation maligne.
(important dans le diagnostic précoce des cancers génitaux chez la femme et les
cancers de l’anus chez les homosexuels)
- à partir d’une cytologie, si on met en évidence du HPV-16 ou 18, on dit que c'est
une précancérose.

I-3- Hyperplasie des papilles palatines


I- 3- a- Clinique
= lésions exophytiques, multiples localisées au niveau du palais, excroissance en
forme de brosse
- on les rencontre souvent sous une prothèse adjointe mal adaptée ou inadaptée
avec des ventouses et le plus souvent avec une surinfection par candida albicans.
- c’est une lésion rarissime chez les non porteurs de prothèse.
I- 3- b- Histo
- hyperplasie épithéliale considérable sans anomalies cytonucléaires (sans
dysplasie) mais cette hyperplasie est tellement importante qu’on la qualifie de
pseudo-épithéliomateuse

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- il existe une hyperacanthose importante et un infiltrat inflammatoire très
important.
- tissu conjonctif lâche, œdématié ou fibreux
Rq : si l’on fait une biopsie superficielle, l’anatomopathologiste peut être trompé
par l’aspect et donner un diagnostic de carcinome, d’ou la nécessité de bien
spécifier et de faire une biopsie profonde

I- 4- Hyperplasie épithéliale focale ou maladie de Heck


I- 4- a- Clinique
= formations papulaires (de quelques éléments à plusieurs dizaines), sessiles, de
consistance molle ou fibreuse qui confluent avec leur voisine
- leur taille augmente progressivement et lentement
- sont dues à l'infection par le HPV-13 ou 32, touchent surtout les Esquimaux
I- 4- b- Histo
- papillomatose, acanthose
- papilles du conjonctif en forme de "hache de l'âge de bronze"
- inflammation chronique

I- 5- Kératoacanthome
I- 5- a- Clinique
- lésion qui se trouve très rarement dans la cavité buccale elle même, mais au
niveau de la peau exposée au soleil et en particulier au niveau de la lèvre
inférieure (bord vermillon à la jonction cutanéo-muqueuse)
- lésion cratériforme de ø 0,5 mm à 2 cm
- bouchon de kératine central
- croissance rapide en 15 j, puis reste stationnaire et peut guérir spontanément
en 2 – 3 mois
I- 5- b- Histo
- doit être prélevé en totalité
- hyperplasie épithéliale considérable (pseudo-épithéliomateuse) +
hyperkératose qui entoure un cratère central rempli de kératine (bouchon)
- il n'y a pas de dysplasie +++ -> diagnostic différentiel avec un carcinome
différentié, mais il peut exister quelques éléments monstrueux.
- l'hyperplasie tranche nettement avec l’épithélium de voisinage
I- 5- c- Biologie
- soleil
- lésion secondaire à un virus ou idiopathique ?
- il y a de + en + d’arguments pour penser que les kératoacanthomes
représentent une forme de carcinome épithélial abortif

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II- LESIONS DU CONJONCTIF
II- 1- Fibrome mécanique ou diapneusie
II- 1- a- Statistiques
- la plus fréquente des lésions des muqueuses bordantes (on la rencontre
régulièrement au cabinet)
- il est nécessaire d’en faire la résection car c’est un processus qui ne régresse
pas et croit lentement
II- 1- b- Clinique
= lésion que l’on rencontre uniquement sur les muqueuses bordantes, que l’on peut
sucer ou mordre car le processus est enclenché initialement par un tic de succion
ou d'aspiration puis de mordillement, généralement au niveau d’un espace édenté,
d'un diastème ou d'une malposition dentaire
- c’est une lésion initialement sessile mais qui peut devenir légèrement pédiculée,
- sa surface est lisse (contrairement au papillome).
- la couleur de sa surface est la même que celle de la muqueuse environnante ou
très légèrement plus blanche
II- 1- c- Histo
- le conjonctif est très fibreux avec des trousseaux de fibres de collagène très
épais et + /- hyalinisés
- il est peu cellulaire et c’est une lésion abondamment vascularisée, le conjonctif
renferme peu de cellules inflammatoires.
- l’épithélium est normal ou acanthosique, peut être hyperkératinisé lorsqu’il y a
trop de frottement.

II- 2- Hyperplasie gingivale


Comporte plusieurs étiologies
II- 2- a- Hyperplasie gingivale médicamenteuse
Trois groupes de médicaments peuvent entraîner une hyperplasie gingivale :
- la diphénylhydantoïne (Dihydan)
- la cyclosporine
- les antagonistes du calcium : Nifédipine (Adalate)
Ces hyperplasies sont aggravées par un manque d'hygiène
* clinique :
- apparaît de 1 à 3 mois après la prise du TRT
- au début : élargissement des papilles interdentaires qui augmentent lentement
de volume et vont progressivement se réunir et peuvent à terme recouvrir
toutes les dents
- souvent associer à un manque d'hygiène
* histopathologie :
- hyperacanthose avec des crêtes épithéliales qui ont tendance à s'anastomoser
prenant un aspect d’hyperplasie pseudo-épithéliomateuse.

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- conjonctif avec prolifération de fibroblastes et infiltrat inflammatoire
chronique
* TRT
- exérèse chirurgicale avec arrêt du médicament ou changement de la molécule si
c'est possible

II- 2- b- Hyperplasie gingivale idiopathique familiale


* clinique :
- hyperplasie gingivale progressive recouvrant partiellement ou totalement les
dents temporaires ou permanentes.
* histopathologie :
- aspect d’hyperplasie pseudo-épithéliomateuse
- conjonctif riche en collagène
* TRT
- exérèse chirurgicale mais récidives fréquentes

II- 2- c- Hyperplasie gingivale des leucémies aigues


- hyperplasie gingivale de couleur rouge bleutée, saignant au contact
- muqueuses pâles due à l'anémie

II- 3- Epulides ou épulis


II- 3- a- Définition d'une épulis
= excroissance gingivale, toute tumeur se développant sur les gencives (SAI=
sans autre indication)
- terminologie CLINIQUE qui ne préjuge en rien de ce que l’on va trouver dedans
: lésion inflammatoire, pseudo-tumorale, tumorale.
- la lésion peut être > 1 cm

II- 3- b- Epulis fissurée /fissuratum


* Clinique
- terme impropre car siège dans le vestibule
= excroissance longitudinale, plus ou moins située dans le vestibule avec 2 lèvres
parallèles au vestibule et entre les 2 lèvres une fissure, ulcérée ou non
- lésion en relation et englobant les bords d’une prothèse mal adaptée, au départ
il suffit de rectifier la prothèse pour soigner la lésion
* Histo
- les lèvres sont composées d’un conjonctif très fibreux recouvert d’un
épithélium qui peut être normal ou hyperacantosique
- l’épithélium est interrompu par l’ulcère qui est recouvert d’un enduit fibrino-
leucocytaire et sous celui-ci, du fait de cet ulcère, il existe un infiltrat
inflammatoire lympho-plasmocytaire très important.

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- lésion de type cicatriciel excessif donc il existe une vascularisation très
importante et donc un saignement lors de l’exérèse
* Biologie
Comme pour la diapneusie, c’est un processus qui ne régresse pas. Il est dû
initialement à un traumatisme permanent induit par le rebord d’une prothèse mal
adaptée.
- lorsque le processus s'installe, il est très douloureux, les gens ne supportent
pas la prothèse mais la conservent. Une fois que le processus se développe, il est
moins douloureux.

II- 3- c- Epulis pyogène = granulome granulomateux


Rq : la terminologie pyogène est une fausse appellation car il n’y a pas de pus ***

* Clinique
- lésion hyperplasique, rougeâtre, saignant au contact
- en général cette lésion fait suite à une extraction, une blessure
- c’est un processus réparateur excessif
* Histo
- épithélium pavimenteux stratifié normal ne recouvrant pas la totalité de la
surface, il existe des zones ulcérées / érosives
- le conjonctif est œdématié avec de très nombreux capillaires néoformés,
dilatés, composés d’une seule couche de cellules endothéliales, disposés
perpendiculairement à la surface
- il existe un infiltrat inflammatoire polymorphe considérable : PN, lymphocytes,
plasmocytes.
- on peut observer un pigment jaune brun, de l'hémosidérine (40% de fer),
provenant de la dégradation de GR extravasés, témoin d'un foyer hémorragique
ancien
* Biologie
- c’est une forme de surcicatrisation avec un développement excessif de la
néovascularisation, qui est causé par un processus inflammatoire permanent

II- 3- d- Epulis gravidique


- disparaît spontanément en quelques semaines après l'accouchement
- influence hormonale

II- 3- e- Epulis / granulome périphérique à cellules géantes


* Clinique
= lésion qui est presque toujours située au niveau d’une papille inter-dentaire.
- elle est initialement sessile mais peut devenir pédiculée.
- aspect rouge-bleuâtre, plus oedémateux que la gencive environnante
- saigne facilement quand on la touche

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- la différence avec un granulome central à cellules géantes est qu'il apparaît
après 20 ans
* Histo
- conjonctif moyennement fibreux, cellulaire avec de nombreux vaisseaux, mais
surtout il renferme un grand nombre de cellules géantes multinuclées.
- l’épithélium qui recouvre la lésion est normal ou subnormal parfois ulcéré
- présence d'hémosidérine

II- 3- f- Epulis fibreuse /fibrome gingival /fibrome périphérique


* Clinique
- presque toujours située au niveau d’une papille inter-dentaire.
- lésion au début est sessile, elle peut devenir progressivement pédiculée.
- son diamètre est > 1 cm
- on la retrouve essentiellement chez la femme (influence hormonale).
* Histo
- épithélium normal / parfois ulcéré, mince avec des crêtes épithéliales aplaties
- conjonctif très dense, avec de nombreux fibroblastes qui vont élaborer une
grande quantité de fibres de collagène.
- il existe un infiltrat inflammatoire important mixte de PN, lymphocytes,
plasmocytes
- peut contenir des plages ossifiées, calcifiées, cartilagineuses

II- 4- Hémangiome
II- 4- a- Clinique
= nodule rouge-bleuâtre au niveau des lèvres, des muqueuses buccales, de la peau
des joues
- ils sont congénitaux ou acquis
- les hémangiomes multiples font parti des angiomatoses cervico-faciale (maladie
de Rendu-Osler, Sturge-Weber)
- le diagnostic est purement clinique et se fait par vitropression pendant 1mn
(avec une lame de verre), l’hémangiome se vide et quand on relâche la pression,
on le voit se remplir
II- 4- b- Histo
= lésion vasculaire, et suivant l’organisation vasculaire, on en distingue 3 types :
-> hémangiome capillaire : constitué d’un peloton de fins vaisseaux, prolifération
de capillaires
-> hémangiome caverneux : large dilatation unique, ou de 2 ou 3 cavernes
remplies de sang formant des poches vasculaires
-> hémangiome racémeux : mélange des 2 : fins capillaires avec au bout des
dilatations aspect en grappe de raisin
Rq : Le diagnostic est purement clinique car il ne faut pas faire de biopsie ->
hémorragie cataclysmique non suturable (hémostase d’une artère)

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II- 5- Lymphangiome
II- 5- a- Clinique
- rare au niveau de la cavité buccale, surtout présent au niveau de la langue
- c’est généralement une excroissance en grappe, en profondeur, déformant la
langue
- la muqueuse est normale ou légèrement bleutée
II- 5- b- Histo
- constitué de larges vaisseaux lymphatiques dilatés avec un simple endothélium
- ne contient pas de GR (+++) = diagnostic différentiel avec les hémangiomes

II- 6- Schwannome
II- 6- a- Clinique
= tumeur profonde, plus particulièrement rencontrée au niveau de la langue et se
traduisant par une déformation de la masse linguale.
II- 6- b- Histo
- tumeur bénigne, constituée uniquement de la prolifération des cellules de
Schawnn
- peuvent être de type A d'Antoni : dense avec alignement des noyaux en
palissade, de type B d'Antoni : conjonctif lâche à cellules étoilées

II- 7- Neurofibrome
II- 7- a- Clinique
= tumeur profonde, plus particulièrement rencontrée au niveau de la langue et se
traduisant par une déformation de la masse linguale.
- associée ds 20% des cas à une maladie de Recklinghausen
II- 7- b- Histo
- tumeur composée d’une prolifération de cellules de Schawnn et des cellules de
l’endonèvre

II- 8- Névrome d'amputation ou névrome traumatique


II- 8- a- Clinique
- lésion observée autrefois lors de l’amputation d’un membre.
- au niveau de la cavité buccale: c'est la lésion ou section du nerf dentaire
inférieur au niveau du trou mentonnier avec un bistouri ou syndesmotome
qui provoque la formation d'un nodule au niveau vestibule, gencive, lèvre, langue
qui est douloureux à la palpation
Quand section d'un nerf :
-> la partie distale du nerf dégénère (dégénérescence Wallerienne)
-> la partie proximale peut proliférer donnant un névrome traumatique
II- 8- b- Histo
- prolifération des cellules de Schawnn, des cellules de l’endonèvre et des axones

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II- 9- Lipome
II- 9- a- Clinique
- rarissime dans la bouche
- il se présente sous la forme d’une masse molle, bien définie à la palpation et
dont la couleur peut être un peu jaunâtre,
- présent depuis longtemps car sa croissance est lente
II- 9- b- Histo
= tumeur composée d’une prolifération d’adipocytes normaux répartis en lobes et
lobules, entourée d’une capsule

II- 10- Tumeur à cellules granuleuses /tumeur d'Abrikossoff


II- 10- a- Clinique
- la plupart du temps, elle est localisée au niveau de la langue qu'elle déforme
donnant une bosse linguale
II- 10- b- Histo
- tumeur composée en profondeur de masses de cellules granuleuses (grandes
cellules dont le cytoplasme est granuleux).
- l’épithélium qui est à distance, va très souvent présenter une hyperplasie
épithéliale pseudo-épithéliomateuse
Rq : si on fait une biopsie superficielle il y a un risque de confusion avec
carcinome épidermoïde
II- 10- c- Biologie
- origine nerveuse la plus probable
- du fait qu’elle se trouve le plus souvent au niveau de la langue et au niveau des
muscles, on pensait que c’était une tumeur d’origine musculaire.

II-11- Epulis du nouveau-né


II-11-a clinique
= lésion que l’on voit essentiellement chez les petites filles (rapport 10 /1).
- la lésion se situe le plus souvent au maxillaire supérieur dans la région canine-
incisive latérale.
- la maman vient consulter car le petit a du mal à s’alimenter
II-11-b- Histo
- cellules granuleuses qui présentent beaucoup d’analogies avec les cellules de la
tumeur d’Abrikossoff, mais il n’y a pas d’hyperplasie pseudo-épithéliomateuse
II-11-c- Biologie et thérapeutique
- c’est une lésion totalement bénigne et qui disparaît même après une exérèse
incomplète.

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