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La newsletter pour décideurs
[ 3 SEPTEMBRE 2009 – N° 28 ]

To trust or not to trust, that’s the question

Doutes et hésitations sont autant de freins à
une relance durable dans le contexte que nous
connaissons aujourd’hui : un certain nombre
d’indicateurs montrent que le point le plus bas
de la crise est vraisemblablement derrière
nous, mais la reprise reste teintée de précarité
et d’incertitude. La gageure à laquelle se trou-
vent confrontés notre pays, nos gouvernements
et les partenaires sociaux est véritablement
historique. Le déficit budgétaire dépasse large-
ment les 20 milliards EUR et les défis liés au
vieillissement de la population ont encore aug-
menté sous l’effet de la crise. La seule option
se présentant à notre pays est de trancher une
série de nœuds importants et de prendre des
mesures drastiques au cours des mois qui
viennent, avant la présidence belge de l’Union
européenne et la poussée de fièvre électorale à
la veille du prochain scrutin fédéral. La
confiance est en effet le maître-mot pour pour-
suivre la lutte contre la crise et stimuler la
relance. Le gouvernement doit mettre sur pied
un plan crédible, ne portant pas uniquement
sur la période 2010-2011, mais jetant égale-
ment des bases solides pour le reste de la
décennie. Un tel plan ne relève pas exclusive-
ment du gouvernement fédéral : il est l’affaire
de tous les citoyens, de tous les partis poli-
tiques, de tous les niveaux de pouvoir et des
partenaires sociaux. L’engagement de chacun
est requis afin que le gouvernement prenne les
décisions adéquates pour donner toutes ses
chances à la relance, soutenir l’emploi et
aiguiller notre pays sur la voie d’un avenir éco-
nomiquement viable et respectueux de
l’environnement.
La FEB estime qu’il faut donner forme à cet
avenir aujourd’hui, au moyen d’une série de
mesures draconiennes. Eu égard à la forte
pression fiscale dont souffre déjà la Belgique,
la mise en place de nouveaux impôts est pour
ainsi dire exclue. En revanche, les comparai-
sons internationales mettent en évidence un
potentiel d’économies. Une étude menée par
la FEB révèle qu’en alignant les coûts de fonc-
tionnement relatifs à quatre fonctions-clés de
son administration publique ('services géné-
raux', 'ordre et sécurité publics', 'affaires éco-
nomiques', 'loisirs, culture et culte') sur ceux
des pays voisins, la Belgique pourrait réaliser
une économie de non moins de 5 milliards
EUR. La FEB n’entend cependant pas éviter
par ce biais le délicat débat lié au verdisse-
ment de la fiscalité. Les employeurs peuvent
admettre l’idée que certains biens et services
deviendraient plus chers parce qu’ils sont nui-
sibles pour la planète. Mais ce prix plus élevé
ne peut pas être directement repris dans
l’indice des prix, avec pour résultat une aug-
mentation des salaires. Le changement de
comportement espéré chez le consommateur
ne serait dès lors pas atteint.
Doutes et hésitations sont
autant de freins à une
relance durable.
Le verdissement de notre économie doit tou-
jours aller de pair avec des options tenables sur
le plan économique. Ainsi, les consommateurs
industriels font-ils aujourd’hui l’expérience de
ce que l’énergie renouvelable implique égale-
ment des coûts supplémentaires auxquels leurs
concurrents internationaux ne sont pas exposés.
Dans un souci de préserver la compétitivité de
notre économie, la FEB préconise d’utiliser la
rente nucléaire annoncée pour financer les sub-
sides nécessaires au développement des parcs
éoliens off-shore. Enfin, l’idée d’autoriser tem-
porairement, en 2010, la déduction fiscale à
100% de certains investissements profession-
nels lui paraît bonne en cette période de relan-
ce prudente. Il s’agirait là d’un moyen de plus
de stimuler la confiance et de convaincre les
sceptiques. À terme, l’État cueillerait sans
aucun doute les fruits d’une reprise écono-
mique plus rapide et plus profonde…
RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ

A EPINGLER LE CHIFFRE DE LA SEMAINE

> MESURES ANTICRISE > Le chômage de crise des employés
remporte un franc succès Hausse remarquable du BEL 20

+55%
Depuis le creux atteint en mars 2009,
ASSURANCE CRÉDIT > BELGACAP est sur les rails le BEL 20 a crû de 55%. La prudence
reste de mise, mais cela semblerait
R&D EUROPÉENNE > Consultation en vue de la indiquer une confiance croissante sur
simplification du 7e programme-cadre les marchés financiers et signifier que le pire est probable-
ment passé.
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959 www.feb.be > publications > chiffres et faits
[ INFOR FEB 28 — 3 SEPTEMBRE 2009 ]
> ASSURANCE CRÉDIT
BELGACAP est sur les rails
Faisant suite au nombre croissant de faillites,
les assureurs crédit ont tendance, depuis
octobre 2008, à diminuer, voire supprimer,
leurs garanties lorsqu’un client représente un
risque trop important. Cette diminution de cou-
verture hypothèque les transactions commer-
ciales. La FEB plaide, depuis le début de cette
année, pour l’introduction d’un système de
Complément d’assurance crédit public (CAP),
inspiré du modèle en vigueur en France. Dans
ce cadre, l’État assume une partie de la dimi-
nution de couverture que les assureurs crédit
signifient à leurs clients. BELGACAP est entré
ACTION FEB
> La FEB active au sein
d’une Task Force Influenza
Le 15 juillet dernier, une 'Task Force Influenza'
a été mise sur pied au sein du Groupe des 10.
Placée sous la coordination de Piet
Vanthemsche, cette task force se penche sur la
problématique de la grippe sous l’angle de la
santé des travailleurs et des employeurs, et de
la continuité des entreprises.
Ces dernières semaines, la task force a colla-
en vigueur le 15 août, avec toutefois un champ
d’application provisoirement limité.
Actuellement, le système ne s’applique qu’aux
transactions nationales. Son application aux
transactions transfrontalières est subordonnée
à l’approbation de la Commission européenne.
Dès le début, la FEB a œuvré pour que
le système BELGACAP, au contraire du CAP
français, soit ouvert aux entreprises exporta-
trices belges. Elle a collaboré de manière
proactive avec les différents acteurs en vue de
préparer un dossier solide et convaincant.
L’approbation de la Commission européenne
n’est donc en principe qu’une question de
patience. Vous serez avertis par le canal de
l’Infor dès que cette autorisation sera effecti-
ve. Plus d’information sur BELGACAP dans le
FEB-briefing en annexe.
Frederic Teerlynck – ft@vbo-feb.be
> R&D EUROPÉENNE
Consultation en vue de
la simplification du
7e programme-cadre
Le 7e programme-cadre (PC) dispose de la
majeure partie de l’aide européenne à la R&D.
La Commission européenne s'est efforcée de
réduire les formalités administratives liées à
l'introduction des projets. Tous les points de
contact nationaux font état d’un progrès à cet
égard. De plus, de nombreuses instances
offrent une assistance gratuite aux entreprises
qui le souhaitent. Une première évaluation a
boré étroitement avec le Commissariat inter-
ministériel Influenza, avec la coopération du
Conseil central de l'économie. La FEB a ras-
semblé les questions des secteurs et des entre-
prises en vue de les apporter à la discussion.
Cette collaboration s'est traduite par un pre-
mier résultat : la création d'une rubrique dis-
tincte 'Travailleurs & entreprises : questions
les plus fréquemment posées' sur le site web
belge consacré à la grippe A/H1N1 (*).
Dans cette rubrique, le Commissariat intermi-
nistériel Influenza apporte une réponse aux
questions les plus fréquentes des employeurs
et des travailleurs. Au cours des prochaines
semaines, la rubrique sera complétée par les
questions récurrentes et les 'meilleures pra-
tiques'. La FEB continuera à compiler les ques-
tions formulées par les employeurs. Par
l’intermédiaire de la task force, la FEB prend
montré que la Belgique connaît le meilleur
taux de succès, après les Pays-Bas, en termes
de demandes de financement au titre du 7e
PC. Il y a toutefois encore matière à améliora-
tion. La durée de la procédure de demande, par
exemple, varie encore toujours de 10 à 12
mois. Aussi la Commission européenne a-t-elle
organisé une consultation (*) informelle visant
à examiner, d’une part, les adaptations pouvant
être apportées au 7e PC et, d’autre part, les
améliorations plus profondes nécessitant une
modification de sa base juridique.
Il est important que les entreprises
belges aient recours aux programmes de
recherche européens. Ceux-ci non seulement
offrent une aide financière, mais promeuvent
également la collaboration avec d’éminentes
institutions de connaissance établies dans
d’autres pays européens. Il s’agit là d’un atout
indéniable dans l’économie globale de la
connaissance. La FEB fera part de ses
remarques à la Commission européenne.
(*) http://ec.europa.eu/yourvoice
Michael Voordeckers – mv@vbo-feb.be
> DIRECTIVES EUROPÉENNES
Transposition dans les
temps, mais de plus en
plus souvent incorrecte
Depuis 1997, la Commission européenne
mesure le pourcentage de directives relatives
au marché intérieur qui ne sont pas transpo-
également part aux travaux de la cellule ECO-
SOC, qui fait partie intégrante du Centre de cri-
se et de coordination du gouvernement.
ECOSOC est chargée du suivi et de la gestion
des conséquences socio-économiques d'une
épidémie de grippe. La FEB a toujours mis en
exergue la nécessité d’une telle approche et
attend des résultats concrets au cours des pro-
chaines semaines.
Une attention particulière sera prêtée à la pré-
paration adéquate des grandes et petites entre-
prises, afin qu'elles puissent garantir au mieux
la continuité de leurs activités en cas
d'épidémie de grippe. La task force souligne à
cet égard l'importance que revêt une réponse
proportionnée à l'ampleur du problème.
(*) www.influenza.be
Kris De Meester – kdm@vbo-feb.be

> MESURES ANTICRISE
Le chômage de crise des employés remporte un franc succès
La loi anticrise du 19 juin dernier met à la disposition des employeurs
des mesures pour faire face au recul d’activité lié à la crise. Une réduc-
tion temporaire des prestations de travail de leurs travailleurs, et par-
tant de leurs coûts de personnel, leur permet de garder plus aisément
leurs collaborateurs en service (1). Les entreprises ont accès à ces
mesures par le biais d’une CCT sectorielle ou (à défaut) d’une CCT ou
d’un plan d’entreprise. Sept secteurs (2) ont réussi à conclure une CCT
sectorielle. Les entreprises ressortissant aux autres secteurs doivent
négocier une CCT d’entreprise avec leur délégation syndicale avant de
pouvoir soumettre un plan d’entreprise à la Commission Plans
d’entreprise. Les entreprises qui n’ont pas de délégation syndicale peu-
vent directement déposer un plan d’entreprise.
sées en droit national dans les délais prescrits.
Il ressort des derniers chiffres (juillet 2009)
que 18 États membres atteignent l’objectif de
1% et que 13 États membres ont réalisé ou
égalé leur meilleur score.
La Belgique manque de peu l’objectif euro-
péen de 1%, mais enregistre – avec un déficit
de transposition de 1,2% – son meilleur résul-
tat. Toutefois, notre pays accuse une faiblesse
notoire pour ce qui est de la transposition cor-
recte des directives. En plus des 20 directives
n’ayant pas été transposées complètement, 20
autres l’ont été de manière incorrecte. Il en
résulte un grand nombre de procédures
E v o l u t i o n d u n o m b r e d e p r o c é d u r e s d ' in f r a c t io n d e 2 0 0 6 à 2 0 0 9
100%
80%
60%
40%
20%
0%
-20%
-40%
-60%
CY* IT DE FI MT* FR AT LU ES SE DK EL
% -50% -34% -26% -25% -22% -21% -20% -20% -16% -11% -10% -10% -9% -5%
[ INFOR FEB 28 — 3 SEPTEMBRE 2009 ]
Quelle est la situation aujourd’hui ? Ces mesures rencontrent un franc
succès. Fin août, le SPF Emploi avait noté le dépôt de 412 plans
d’entreprise, dont 286 ont déjà été traités par la Commission Plans
d’entreprise. Seuls 10 ont été rejetés, les autres sont encore en cours
d’examen. Fin août, au total, l’ONEM a dénombré 708 demandes (plans
d’entreprise inclus), dont 97% ont été approuvées. Près de 85% des
dossiers ont trait au chômage de crise pour les employés (parfois en
combinaison avec le crédit-temps de crise). L’ONEM et le SPF veillent
à ce que les dossiers soient traités sans retard.
La FEB siège à la Commission Plans d’entreprise et y veille à
l’application correcte de la loi anticrise et au bon traitement des dos-
siers. Depuis le début de 2009, la FEB plaide en faveur de l’introduction
du chômage de crise pour les employés, jugeant cette
mesure la plus appropriée pour faire face au manque de
Une réduction travail au sein des entreprises, aussi en temps de crise.
temporaire des Aujourd’hui, les chiffres le confirment. Il est à déplorer
que cette mesure ait fait l’objet d’une opposition pen-
prestations de
dant des mois, alors que les nombreuses demandes
leurs travailleurs prouvent précisément son opportunité.
permet aux
(1) Pour plus d’information concernant les mesures anticrise
entreprises et le dépôt d’un plan d’entreprise : www.onem.be et
de garder plus www.meta.fgov.be
(2) La métallurgie, le textile et le tricot, l’industrie du papier,
aisément leurs la transformation du papier et du carton, le secteur audio-
collaborateurs visuel, les compagnies aériennes, les ateliers sociaux et
en service. protégés.
Bart Buysse – bb@vbo-feb.be
d’infraction auprès de la Cour de Justice euro- une transposition correcte des directives euro-
péenne. Sur les 3 dernières années, le nombre péennes, respectant les délais prescrits, est
de procédures à l’encontre de la Belgique a essentielle. La Belgique doit tout mettre en
augmenté de 49%, soit la 3e augmentation la œuvre pour améliorer la qualité de sa législa-
plus forte au sein de l’UE. Les 88 procédures tion.
d’infraction ouvertes sont incontestablement Michael Voordeckers – mv@vbo-feb.be
source d’insécurité juridique pour les entre-
prises. La Belgique doit faire preuve de davan-
tage de soin dans la transposition des > RESTRUCTURATIONS
directives en faveur de l’élimination des bar-
rières sur le marché intérieur.
Nouveau portail internet
Un bon fonctionnement du marché inté- Le nouveau portail www.restructurations.be a
rieur peut être une réponse aux conséquences été lancé le 1er août 2009 à l’initiative de la
néfastes de la crise économique. À cet effet, ministre de l’Emploi, en concertation avec
l’ONEm et les différents offices régionaux de
l’emploi (Actiris, Forem, VDAB et ADG). Ce
portail rassemble les réglementations à res-
pecter par les entreprises qui souhaitent se
restructurer. Les travailleurs y trouveront aus-
si un outil d’information concernant les consé-
quences des restructurations sur leurs
conditions de travail et sur leur statut social.
LV* UK LT* HU* PL* PT CZ* SI* NL IE BE EE* SK*
Ce portail constitue en réalité un site carrefour
0% 0% 2% 3% 11% 12% 21% 21% 49% 56% 75%
* = 2007-2009 qui renvoie à différents sites spécialisés. La
réglementation fortement résumée y est pré-
[ INFOR FEB 28 — 3 SEPTEMBRE 2009 ]

AGENDA Le ‘pour’ et le ‘contre’ du Contrat de solidarité 10 SEPTEMBRE 2009

de 8h30 à 17h00
LIEU : FEB, Bruxelles

entre générations INFO : Nathalie Petit

T 02 515 09 64
Colloque FEB
F 02 515 09 15
Ce colloque aborde la matière en 3 grandes parties : les principales mesures np@vbo-feb.be
du Contrat de solidarité, des témoignages d’entreprises et, enfin, un débat.
Après les conclusions de cette journée d’étude, le Premier ministre Herman
Van Rompuy communiquera sa propre vision de la problématique. Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

sentée de manière systématique autour de
trois rubriques principales : 'Entreprise en
restructuration', 'Mesures d’accompagnement'
et 'Anticipation des restructurations'.
L’objectif est d’actualiser en permanence ces
informations pratiques.
Cette initiative bienvenue dans le laby-
rinthe réglementaire exécute partiellement
une promesse faite par le gouvernement fin
2008 dans le cadre de son Plan de relance.
Ce portail constitue un premier pas vers plus
de transparence, mais ne réalise pas encore le
'guichet unique restructurations' attendu,
même si le SPF Emploi centralise depuis juin
2009 certaines communications électro-
niques des entreprises en restructuration aux
autorités en cas de licenciement collectif.
Malheureusement, ces initiatives récentes ne
changent rien à la complexité croissante –
notamment en termes d'obligations – de la
législation sur les restructurations.
> FISCALITÉ
Déduction pour revenus
de brevets
La déduction pour revenus de brevets permet
aux sociétés établies en Belgique de déduire
80% des revenus de leurs brevets de leur base
imposable à l’impôt des sociétés, ce qui permet
de ramener à 6,8% la pression fiscale qui pèse
sur ces revenus. L’administration fiscale a publié
récemment sur son site internet une version
actualisée des questions fréquemment posées
(FAQ) concernant cette mesure fiscale destinée
à stimuler la R&D par le biais des brevets. Les
réponses fournies précisent notamment que la
déduction fiscale s’applique non seulement aux
revenus des brevets proprement dits, mais aus-
si aux revenus du savoir-faire inhérent ou indis-
sociablement lié à un produit ou un procédé
breveté. D’autres sujets actualisés sont l’entrée
en vigueur, la notion de brevet, le calcul de
procédé est protégé par différents brevets,…
Cette version actualisée répond à un certain
nombre de questions qui se sont posées dans la
pratique. Par ses réponses, l’administration fis-
cale apporte plus de clarté et fait preuve de
pragmatisme.
Alain Lecocq – ale@vbo-feb.be
> MISE EN GARDE !!
Une arnaque au nom de
la Banque-Carrefour des
Entreprises
De nombreuses entreprises établies dans
diverses régions ont récemment reçu par la pos-
te une facture émanant de la “Banque centrale
des données économiques”. Il s’agit d’une invi-
tation à payer une réinscription ou une rectifi-
cation au "registre de commerce" ou au "registre
des professions artisanales et industrielles". Tant

la déduction lorsqu’un même produit ou l’enveloppe que la facture sont dotées d’un logo
Annick Hellebuyck – ah@vbo-feb.be
qui ressemble fortement à celui du SPF
Economie, dont dépend la Banque-Carrefour des
Entreprises (BCE) officielle ! La (les) société(s)
Ce mois-ci dans Forward, le magazine de la FEB malhonnête(s) se faisant passer pour la BCE ten-
te(nt) ainsi de lier des entrepreneurs négligents

• Baromètre de crise. à des contrats très onéreux et de longue durée.

Cette fraude se différencie des abus clas-
Une reprise durable ? siques relatifs aux annuaires professionnels privés
en ce que les malfrats se font passer pour des
• Joost Callens (Durabrik) ne veut pas la croissance à
autorités. La FEB tient à attirer l’attention du
tout prix
monde des entreprises sur cette mise en garde du
• Rudi Thomaes (FEB), pour une rentrée sans SPF Economie, mais aussi à rappeler la seule
tabous ni tergiversations procédure correcte pour une rectification auprès
• Enjeux économiques des élections allemandes de la BCE : les entreprises ne doivent demander
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

la modification de leur enregistrement auprès

Plus d’info : www.feb.be (publications > Forward)
d’un guichet d’entreprise qu’en cas de change-
ment de leur situation, et ce endéans le mois sui-
vant ce changement. Certaines modifications sont
payantes, mais la plupart sont gratuites ! Une
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
entreprise peut à tout moment consulter, contrô-
RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be ler et même souvent initier la correction de ses
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be
données officielles d’enregistrement via
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be l’application web sécurisée 'BCE Private Search'
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be (informations reprises sur la page d’accueil ci-
: Reproduction autorisée moyennant mention de la source
COPYRIGHT
dessous).
L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de
l'écosystème forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est http://mineco.fgov.be
responsable d'un point de vue économique.
Philip Verstraete – pv@vbo-feb.be