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ESAT / DGF / DMSI

GENERALITES SUR LES


SYSTEMES D'EXPLOITATION
CHAPITRE 5

Edition 2000
ESAT / DGF / DMSI

SOMMAIRE : LES PERIPHERIQUES

1. LES PÉRIPHÉRIQUES D’ENTRÉE-SORTIE..............................................................................3

1.1 LES CLAVIERS..................................................................................................................................3


1.2 LES ÉCRANS....................................................................................................................................3
1.3 LES IMPRIMANTES.............................................................................................................................5
1.4 D’AUTRES PÉRIPHÉRIQUES D’ENTRÉE / SORTIE..........................................................................................6

2. LES PÉRIPHÉRIQUES DE STOCKAGE....................................................................................6

2.1 LES SUPPORTS MAGNÉTIQUES..............................................................................................................6


2.1.1 PRINCIPE DE LECTURE ÉCRITURE MAGNÉTIQUE.......................................................................................6
2.1.2 LES BANDES MAGNÉTIQUES...............................................................................................................7
2.1.3 LES UNITÉS DE DISQUES MAGNÉTIQUES................................................................................................8
2.1.4 LES DISQUES SOUPLES (DISQUETTES)..................................................................................................9
2.1.5 LES DISQUES DURS........................................................................................................................9

3. LES SUPPORTS OPTIQUES : PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT.....................................12

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LES PERIPHERIQUES
Un périphérique est un organe complémentaire de l’unité centrale destiné à fonctionner en relation avec
celle-ci pour permettre le stockage, l’introduction de données et de programmes, la sortie de résultats ou
encore pour étendre ses possibilités.

On distinguera deux types de périphériques :

- les périphériques d’entrée-sortie destinés à permettre les échanges homme / machine ou


environnement / machine.

- les périphériques de stockage qui servent comme stockages auxiliaires ou comme stockage
de masse.

1. LES PÉRIPHÉRIQUES D’ENTRÉE-SORTIE

1.1 LES CLAVIERS


Un clavier est un ensemble de contacts organisés matriciellement. Un programme explore ces contacts pour
détecter une fermeture. La position du contact est transformée en code caractère qui est mis en mémoire.

1.2 LES ÉCRANS


Avec le clavier, l’écran est le périphérique d’entrée / sortie le plus utilisé et le plus connu. Constitué d’un tube
cathodique ou d’une matrice de cristaux liquides, de formes et de dimensions très variables, il peut
fonctionner en mode alphanumérique, semi-graphique ou graphique.

Les écrans alphanumériques (terminaux) ne permettent que de représenter du texte en utilisant le principe
matriciel), on définit dans ce cas le mode d’affichage en caractères par ligne et en nombre de lignes (ex : 80
car. par ligne sur 24 lignes, on parle aussi de colonnes). Lorsqu’ils sont graphiques ou semi-graphiques, ils
permettent de représenter des points de telle sorte qu’il soit permis de tracer des courbes, des surfaces ou
même des volumes. La dimension d’un écran correspond à la diagonale de l'aire d'affichage exprimée en
pouce.

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La taille du point (pixel) est la caractéristique fondamentale car il faut afficher chaque point avec stabilité.
La taille maximum acceptable d'un point est obtenue quand le diamètre du point est égal à la distance qui
sépare deux points consécutifs.

Pour les écrans monochromes le problème est facilement résolu. Pour les écrans couleur, chaque point est
en fait formé de trois points correspondant aux trois couleurs fondamentales. La convergence des trois
rayons ne pouvant être parfaite, on considérera comme point le cercle incluant ces trois points élémentaires.

Le diamètre de ce cercle, appelé pitch ou dot pitch, doit être au maximum égal à la distance séparant deux
points virtuellement adressables. Dans la réalité, des effets de bord subsistent et les superpositions
résultantes donnent un effet de flou.

Pixel
Pitch

Matrice de pixels

La définition d’un écran est en fait double. La définition technologique fait référence à la tache
lumineuse élémentaire. On parle alors de résolution, c.-à-d. le nombre de points affichables dans la largeur
et le nombre de points affichables dans la hauteur de l'écran. La définition informatique s’attache au
nombre maximum de points adressables de l'écran, ce nombre étant directement lié à la taille de la mémoire
vidéo et au mode d'affichage (couleur ou monochrome).

Le tableau qui suit donne une idée des résolutions supportables par les écrans en fonction de leur taille. Les
résolutions en italique gras sont les résolutions les mieux adaptées.

15 POUCES 17 POUCES 19 POUCES 21 POUCES


640 X 480 640 X 480 640 X 480 640 X 480
800 X 600 800 X 600 800 X 600 800 X 600
1024 X 768 1024 X 768 1024 X 768 1024 X 768
1280 X 1024 1280 X 1024 1280 X 1024
1600 X 1200 1600 X 1200
1800 X 1440 1800 X 1440

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La fréquence horizontale est la fréquence en Khz du signal analogique vidéo, elle correspond en fait à la
vitesse à laquelle va s'afficher une ligne de pixels. Plus la résolution est importante, plus la fréquence
horizontale doit être élevée. Les moniteurs multi-fréquences permettent cela.

L’image se forme par balayages successifs de toute la surface de l’écran. La fréquence verticale dite de
rafraîchissement est la fréquence à laquelle l’image est reconstituée. Une fréquence de balayage de 50 Hz
est suffisante pour un téléviseur. Pour un moniteur, une fréquence de 60 ou 72 Hz donne un résultat
satisfaisant.

L’entrelacement est un artifice utilisé en télévision qui consiste à afficher alternativement les lignes paires
puis les lignes impaires. Si, pour des images animées, l'inertie (rémanence) de l'écran permet à l'œil de
reconstituer l'image, l'image informatique supporte difficilement cette technique (instabilité).

Nota : la législation du travail impose maintenant de travailler à une fréquence minimum de 50


Hz en mode non entrelacé.

La création du signal vidéo par le contrôleur se fait à partir d'informations qui sont stockées dans une
mémoire spécifique : la mémoire vidéo. Physiquement, cette mémoire peut être soit un sous-ensemble de
la mémoire centrale de la machine soit une mémoire spécifique à la carte contrôleur.

La taille de la mémoire vidéo détermine directement la résolution maximale possible. Si l'écran était
monochrome, un pixel ne pouvant être que noir ou blanc, 1 bit suffirait pour coder l'allumage ou l'extinction
du pixel correspondant.

Dans le cas d'un écran en 256 niveaux de gris ou 256 couleurs, il faut coder 256 valeurs différentes soit 2 8
valeurs. Pour afficher un pixel, il faut donc 8 bits soit un octet.

On peut alors exprimer la taille T en octets (octet à 8 bits) de la mémoire vidéo nécessaire pour une
résolution et une palette donnée par la formule :

T = ( nb_pixel_largeur x nb_pixel_hauteur x ( ln ( nb_couleurs ) / ln ( 2 ) ) ) / 8

On obtient, arrondi en taille mémoire, le tableau suivant :

COULEURS 16 couleurs 256 couleurs 65536 couleurs 16,7 M de couleurs


(16777216)
mode ‘’true color’’
Nombre de bits 4 bits 8 bits 16 bits 24 bits
RESOLUTIONS
640 X 480 512 Ko 512 Ko 1 Mo 2 Mo
800 X 600 512 Ko 1 Mo 2 Mo 2 Mo
1024 X 768 1 Mo 1 Mo 2 Mo 4 Mo
1280 X 1024 1 Mo 2 Mo 4 Mo 4 Mo
1600 X 1200 2 Mo 2 Mo 4 Mo 8 Mo
1800 X 1440 2 Mo 4 Mo 8 Mo 8 Mo

1.3 LES IMPRIMANTES


Destinées à produire du papier, à générer des listings ou autres les imprimantes correspondent à un type de
périphérique dont on peut difficilement se passer.

Dans l’ordre chronologique on distingue :

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- les imprimantes matricielles ou à impact : à aiguilles, à boule, à marguerite, à chaîne.


- les tables traçantes.
- les imprimantes thermiques : à papier thermo - sensible, à sublimation.
- les imprimantes à encre : jet et bulle.
- les imprimantes laser.

1.4 D’AUTRES PÉRIPHÉRIQUES D’ENTRÉE / SORTIE


Les claviers, écrans et imprimantes sont des périphériques incontournables. Il existe, par ailleurs, tout un
éventail de périphériques permettant d’étendre les possibilités de la machine :

- des périphériques de pointage :souris, boules, tablettes graphiques.


- des périphériques d’acquisition et de restitution du son : microphone, haut-parleur, tuner F.M.
- des périphériques d’acquisition et de restitution d’image : scanner, appareil photo.
- des périphériques d’acquisition et de restitution vidéo : caméra, tuner T.V.
- des périphériques de télécommunication : réseau, fax, téléphone.

2. LES PÉRIPHÉRIQUES DE STOCKAGE


Les périphériques de stockage servent à supporter des données, des textes et des programmes soit pour
les archiver durant un laps de temps préétabli, soit pour les stocker de façon transitoire de telle sorte que
l’ordinateur puisse y faire appel pour un traitement à un instant donné.
On dit souvent que les supports de périphérique de stockage sont des mémoires de masse dans la mesure
où ils peuvent contenir une très grande quantité d’informations alors que la mémoire centrale d’un ordinateur
a une capacité plus restreinte.

En fonction de leurs organisations physiques, ils jouent des rôles aux spécialisations croissantes. On utilise
le plus souvent la bande magnétique pour des archivages provisoires ou durables (sauvegardes) ou le
disque optique pour l’archivage définitif, alors que le disque magnétique est un support pour tous les
traitements interactifs ou conversationnels dans lequel l’utilisateur veut avoir un accès immédiat aux
données.

2.1 LES SUPPORTS MAGNÉTIQUES

2.1.1 PRINCIPE DE LECTURE ÉCRITURE MAGNÉTIQUE

L’envoi d’un courant dans le bobinage de la tête de lecture - écriture crée un champ magnétique à la pointe
de l’électro-aimant, ce qui se traduit par la création d’un champ magnétique permanent sur le support.
Comme il existe deux sortes d’orientation pour le champ magnétique, on peut les faire correspondre avec
les deux valeurs de codification 0 ou 1. Pour lire les données sur le support, il faut que celui ci se déplace à
vitesse constante de telle sorte que le champ magnétique présent sur le support crée une variation de flux
magnétique à la pointe de l’électro-aimant, ce qui provoque un courant électrique dans le bobinage de la tête
de lecture - écriture.

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Oxyde Support

2.1.2 LES BANDES MAGNÉTIQUES

On distinguera deux grands types de bandes magnétiques, basé sur leur conditionnement : les bandes sur
bobine et les bandes en cassette. Ces bandes magnétiques sont semblables à celles dont on dispose pour
des magnétophones de haute fidélité.

Le support d’une bande magnétique est constitué de mylar de longueur et largeur variable, recouvert d’une
couche d’oxyde d’épaisseur comprise entre 50 et 100 microns.

La bande est divisée en pistes ou canaux de façon à encoder un caractère dans une largeur élémentaire de
bande. La tête de lecture/écriture comporte autant d’électro-aimants accolés qu’il y a de canaux sur la
bande.

Famille DEROULEUR
• Bande amovible,
• 7, 9 ou 18 pistes,
• Principe de codage identique
aux streamers.

Famille STREAMER
• Bande non amovible,
• 4 à 32 pistes,
• Enregistrement séquentiel des bits
en parallèle sur plusieurs pistes.

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Exemple : pour une bande possédant 9 canaux, le caractère A étant représenté par un octet (8 bits) à l’aide
du code EBCDIC, on obtient la représentation suivante :

0 (bit de contrôle)
1
1
0
0
0
0
0
1

La densité d’enregistrement se mesure en nombre de caractères au pouce (bit per inch bpi).
L’enregistrement sur une bande magnétique se fait par blocs, appelés aussi enregistrements physiques
séparés par des espaces inter - blocs.

La plupart des enregistreurs - lecteurs possèdent une double tête de lecture / écriture de façon à relire
immédiatement après l’écriture pour pouvoir réaliser des vérifications. La lecture peut, en général, se faire
dans les deux sens, ce qui n’est pas le cas de l’écriture.

On ne modifie jamais une bande, on ne peut ni rajouter ni supprimer, ni modifier un enregistrement : lorsqu’il
faut mettre un fichier à jour sur une bande, on doit le recopier avec les modifications sur une autre bande.

La bande est un support physiquement séquentiel, il peut donc falloir plusieurs minutes pour retrouver un
bloc situé à l’extrémité opposée. C’est un support relativement lent et qui ne convient pas à des accès
rapides, la recherche ne pouvant se faire que séquentiellement.

Pour la quantité de données qu’elle peut contenir, la bande magnétique est un support de faible coût. Elle
sert principalement pour archiver des données ou des programmes d’utilisation rare.

2.1.3 LES UNITÉS DE DISQUES MAGNÉTIQUES

Depuis 1955, de nombreuses techniques ont été utilisées. On trouve :

- les disques durs à têtes fixes,


- les disques fixes à têtes mobiles,
- les disques à cartouches avec plateaux fixes et têtes mobiles,
- les disques amovibles,
- les disques flexibles ou souples.

Le disque magnétique est constitué d’un support rigide ou souple recouvert d’une couche magnétique.
Chaque face peut être utilisée. Les enregistrements sont réalisés sur des pistes concentriques. Les disques
rigides fixes ou amovibles peuvent comprendre un ou plusieurs plateaux empilés sur un même axe.

La capacité d’un disque est fonction de trois critères :

- la densité de bits par unité de longueur (bits par pouce BPI Bits per inch),
- la densité de pistes par unité de longueur (pistes par pouce ou TPI pour track per inch),
- le nombre de pistes par cylindre (le nombre de plateaux).

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Elle va de quelques Ko pour un disque souple à plusieurs To (Tera Octets) pour des disques durs de gros
systèmes :

- 1 Ko = 210 octets = 1024 octets (Kilo octet).


- 1 Mo = 210 Ko = 220 octets (Méga octet).
- 1 Go = 210 Mo = 220 Ko = 230 octets (Giga octet).
- 1 To = 210 Go = 220 Mo = 230 Ko = 240 octets (Tera Octet).
- 1 Po = 210 To = 220 Go = 230 Mo = 240 Ko = 250 octets (Peta Octet).
- 1 Eo = 210 Po = 220 To = 230 Go = 240 Mo = 250 Ko = 260 octets (Exa Octet).

2.1.4 LES DISQUES SOUPLES (DISQUETTES)

Les disques souples sont amovibles. Le peigne de lecture - écriture se réduit à deux têtes pour les unités
double face et un peigne pour les simples faces.

Disquette 5.25" Disquette 3.5"

Capacités :
Disquettes 5.25 :
- 360 Ko (40 pistes, 9 secteurs)
- 1,2 Mo (80 pistes, 15 secteurs)

Disquettes 3.5 :
- 720 Ko (80 pistes, 9 secteurs)
- 1,44 Mo (80 pistes, 18 secteurs)

Disquette ZIP :
- 65 Mo à 1 Go.

2.1.5 LES DISQUES DURS

En technologie traditionnelle :

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Pour les disques rigides l’unité de lecture est constituée d’une logique de commande, d’un moteur
d’entraînement, et d’un peigne de lecture - écriture comprenant une tête de lecture - écriture par face utile
de chaque plateau.

En technologie WINCHESTER :

L’unité de lecture - écriture ne comprend que la logique de commande et le moteur d’entraînement.


L’ensemble des têtes de lecture - écriture est solidaire des plateaux au sein d’un module fermé, étanche et
maintenu en surpression pour être à l’abri. Chaque face de chaque plateau est recouverte d’un film de
plastique extrêmement mince et liquide qui joue le rôle de lubrifiant et qui facilite le décollage et l’atterrissage
des têtes lorsque le plateau se met à tourner (3600 t/mn) ou lorsqu’il s’arrête. A l’arrêt, les têtes reposent sur
une zone ou aucune donnée n’est enregistrée (landing zone).

Bras de lecture

Plateaux du disque

Le disque magnétique est un support à accès direct dans la mesure où dans le temps d’une rotation du
disque il est possible d’avoir accès à n’importe quel emplacement pour y lire ou écrire les données. Il joue
ainsi un rôle privilégié d’aide à la mémoire centrale qui ne peut contenir d’aussi grandes masses
d’information : il sert donc de mémoire dite « auxiliaire ».

Il faut distinguer l’organisation physique des disques de leur organisation logique.

Sur les disques durs (rigides) l’accès aux données est organisé de deux façons différentes :

Soit les pistes sont découpées en secteurs repérables par leur adresse (n° plateau, n° face, n°
secteur ) ce qui permet d’avoir un accès direct à l’information élémentaire contenue dans le
secteur.

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Soit l’ensemble du disque est organisé par cylindre, lu en bloc, et correspondant à un numéro
de piste puisque le peigne des têtes permet de lire ou d’écrire sur toutes les pistes portant le
même numéro sur chaque face de chaque plateau simultanément.
Le cylindre ainsi lu est transféré en mémoire centrale où les données recherchées peuvent y
être extraites plus rapidement que dans la méthode précédente.

Pour réaliser ces organisations logiques on effectue une opération de formatage physique, qui consiste à
découper la disquette en pistes et secteurs.

STRUCTURE D’UNE DISQUETTE


OU DISQUE DUR
(sur un disque dur, les pistes s'appellent cylindres)

secteur 1

secteur 2

piste 0 piste 1

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3. LES SUPPORTS OPTIQUES : PRINCIPES DE


FONCTIONNEMENT
Structure et Fonctionnement des Ordinateurs

Emission Laser

LES
DISQUES
Prisme
OPTIQUES
Photodétecteur
Principe
Rayon de
fonctionnement
Cuvette

ESAT/DMSI/Cours Architecture

Le disque optique comprend sur sa couche métallique un certain nombre de cuvettes "creusées" au laser.
Ces cuvettes sont placées sur une piste unique, continue, qui se poursuit en spirale vers le centre du
disque. Etant donné que la densité de l'information doit être constante pour conserver le même débit, la
vitesse de rotation du lecteur doit être variable pour respecter une vitesse linéaire constante.

Pour ce qui est de l’optique, la tête est composée de deux parties :

- l'une qui émet le faisceau laser,


- l'autre qui reçoit le rayon après qu'il ait frappé le disque.

C'est à un photo - détecteur que revient la tâche de décortiquer l'information. Pour éviter que le faisceau ne
revienne sur la tête émettrice, un prisme est chargé de dévier le rayon vers le photo - détecteur.

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Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les trous ne correspondent pas à l'un des deux états binaires
reconnus en informatique. C'est le passage du fond d'une cuvette à un "pic" qui produit l'information. Ainsi,
c'est juste lorsque la tête de lecture passe en surplomb d'un bord de cuvette que l'information passe à "1", le
reste du temps, la valeur est à "0". Au bout d'un certain nombre d'intervalles de temps, par exemple 8 ou 16,
la succession des valeurs binaires forme un nombre.

Concrètement, lorsque le faisceau atteint le fond d'une cuvette, le rayon est concentré vers le photo
détecteur. A l'inverse, au passage au sommet d'un pic, le faisceau est plus largement diffusé. C'est le
changement d'intensité lumineuse sur le détecteur qui génère l'information.

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