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Les organismes génétiquement modifiés

Savez-vous ce qu’il y a dans votre assiette ? Peut-être la majeure partie de votre assiette

a des organismes génétiquement modifiés (OGM).

Les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont l’introduction des gènes provenant de

n'importe quelle espèce dans différents organismes. Il y a deux sortes d’OGM : les OGM

naturels, et les non naturels. Les naturels sont ceux dont le matériel génétique a été modifié sans

l’intervention de l’homme. Les organismes génétiquement modifiés (OGM) naturels sont des

êtres vivants qui se sont croisés eux-mêmes dans la nature sans l’intervention de l’homme. Le

manioc, une plante originaire d'Amazonie est un exemple d’organisme génétiquement modifié

naturel.

Les OGM non naturels, sont des êtres vivants dont le matériel génétique a été modifié

dans un laboratoire. Les humains prennent des gènes différents pour les mettre dans un

être vivant. Cette méthode s’appelle transgénèse. Voici quelques exemples OGM non

naturel : Maïs, pommes de terre, tomates, soja et coton.

À mon avis les organismes génétiquement modifiés ne sont pas bon pour l`environnement et

pour les êtres vivants. Les animaux transgéniques risquent également de se frayer un

chemin jusqu'à notre assiette. Par exemple, au Canada, aux États-Unis, en Chine , etc. des

chercheurs ont introduit un gène de croissance animal ou humain dans des poissons comme le

saumon, la truite et la carpe. Mal perçue par les écologistes, qui qualifient ces poissons de

« Frankenfish »,principalement en raison des malformations apparues sur les premières espèces

de poissons. Pour l'instant ces poissons éprouvent des difficultés à nager et

manifestent de l'agressivité quand ils se nourrissent.


L’image dessus représente deux saumons Coho de deux ans : celui ayant subi des

modificationsgénétiques arrivent à sa taille adulte en deux ans. Celui n’ayant subi aucune

modification génétique arrive à sa taille adulte en quatre ou cinq ans.

L`introduction dans la nature de plantes ou d`animaux génétiquement modifiés est un

facteur de risque. On ne sait pas quelles peuvent en être les conséquences sur les

écosystèmes.

Les plantes transgéniques peuvent se retrouver librement dans la nature,

lorsqu’elles se développent à nouveaux, elles peuvent devenir porteuse de

nouvelles maladies pour lesquelles elles n’étaient pas préparées et pourraient

contaminer des espèces naturelles. Ensuite les cultivateurs ou cultivatrices ne savent

peut-être pas que leur récolte est contaminée. Par exemple le maïs, l`une des

cultures qui a donné le plus de variété génétiquement modifié pourraient se retrouver

dans notre assiette et si on le mange, on peut être malade.

Dans le cadre d’une thèse soutenue par le Pôle de recherche national Survie des plantes,

une étude effectuée par un chercheur tessinois de l’Université de Neuchâtel en Suisse sur

le blé génétiquement modifié domestique et sur le blé sauvage non génétiquement modifié

a démontrée que les organismes génétiquement modifiés sont dangereux. Un transgène

peut être communiqué à une mauvaise herbe par hybridation si celle-ci est parente de la

plante génétiquement modifié. Si les hybrides, résultat de croisement entre deux variétés

parentes, sont généralement stériles, ils conservent parfois une certaine fertilité. Au bout

de quelques recroisements avec l’espèce sauvages, on obtient des plantes qui ont toutes

les caractéristiques de l’espèce sauvage, tout en ayant intégré des gènes de l’espèce

cultivée. Ce phénomène est appelé introgression. Le passage d’un gène modifié à l’espèce

sauvage peut devenir très problématique si ce gène est porteur d’une résistance à un

herbicide. Dans ce cas, l’espèce sauvage pourrait se transformer en mauvaise herbe


envahissante. La thèse de Nicola Schoenenberger analyse les mécanismes d’introgression

entre le blé et deux graminées(une familles botaniques). Bien que rares sous nos latitudes,

les deux graminées sauvages sont des herbes envahissantes redoutables dans les

champs de blé aux Etats-Unis ou au sud de l’Europe, précise le communiqué

Les risques écologiques sont irréversibles et encore très mal évalués. Parmi ces dangers,

citons la perte de biodiversité, l’augmentation de l’utilisation des pesticides, l’apparition

d’espèces envahissantes, l’élimination des insectes et autres organismes bénéfiques.

Les risques sanitaires à long terme sont méconnus (augmentation de la résistance aux
antibiotiques, etc.).

L’American Academy of Environmental Medicine (AAEM) vient juste de publier un appel en

faveur d’un moratoire immédiat sur la nourriture génétiquement modifiée. Dans une toute

nouvelle monographie sur les denrées OGM, l’AAEM déclare que « la nourriture OGM

pose un grave risque de santé ». Citant plusieurs études sur des animaux, l’AAEM conclut

qu’« il y a davantage qu’un simple lien fortuit entre les OGM alimentaires et les effets

néfastes de santé, » et que « les denrées génétiquement modifiées posent un grave risque

sanitaire en matière toxicologique, allergique et immunitaire, pour l’équilibre de la

reproduction, métabolique, physiologique et génétique. »

De plus, une étude, menée pendant 90 jours par le CRIIGEN révèle 60 différences

significatives entre des rats ayant consommé du maïs transgénique NK603 et des rats

nourris sans OGM. Ces différences, qui affectent les reins, le cerveau, le cœur et le foie,

ainsi que le poids des animaux, pourraient être des signes avant coureurs de toxicité.

Le maïs transgénique NK603, produit par la multinationale Monsanto, est conçu pour

résister à l'herbicide de Monsanto . Son importation en Europe pour l'alimentation humaine

et animale est autorisée depuis 2004. Il est également cultivé en plein champ pour des

tests de pré commercialisation. Le CRIIGEN a analysé les données de Monsanto du

dossier de demande d'autorisation de ce maïs et conclut que de nouvelles études sont

nécessaires. « Les analyses statistiques doivent être répétées par des scientifiques

indépendants et les données brutes doivent être accessibles à la communauté scientifique

sur un site Internet » Il est en effet scandaleux que ce soient les entreprises qui non

seulement mènent les études sur leurs produits mais que ce soient aussi elles qui

analysent les résultats !Cette nouvelle étude s'ajoute à celle concernant le maïs OGM
MON863, publiée en mars 2007 dans une revue à " comité de lecture. L'étude révélait que

des rats nourris pendant 90 jours au maïs OGM MON863 présentaient eux aussi des

signes de toxicité au niveau du foie et des reins.

Si on mettrait de la pression pour cesser les OGM sur le gouvernement américain qui

détient 63% du marché transgénique mondiale,chinois 14 %, argentin 11%, canadien 10%

, australien 1% et mexicain 1% ( dernière donné en 2001) on pourrait améliorer notre

qualité de vie et les animaux transgéniques ne souffriraient plus de leurs malformation

génétique.
Bibliographie
1. http://fr.wikipedia.org/wiki/OGM

2. http://www.radio-canada.ca/tv/decouverte/31_ogm/

3. http://www.guyane.cnrs.fr/art-manioc.html

4. JOSÉ ,EVA ,Tola, Infiesta , atlas de biologie, 2003,Gamma,p.45,paragraphe 1à3

5. DE LA BEDOYERE Camilla , Découverte de l’ADN , 2006, Hurtubise

HMH ltée, p.34 et 35 , paragraphe 3.

6. http://www.greenpeace.org/france/news/20070614

7. http://books.google.fr/books?id=K8dLK

7qgELYC&pg=PA51&dq=pourcentage+MONDIALE+EN+OGM
FRANÇAIS(COMMUNICATION)

OGM

Travail présenté à Monsieur John Bower

PAR CHAD RICE

1 Secondaire

École Sacré-Cœur

5 juin 2009

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