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Géographie –
Programme de
révision pour
ème
colles du 2
cycle
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Intégration, insertion : Les pb d’intégra° et les
difficultés d’inser° sont devenus, ds les pays industrialisés, à la fois des enjeux sociaux
majeurs et de grands thèmes du discours pol. Ils participent de deux ph ≠ qui se
combinent pfs, conduisant les pop° qui en sont victimes ç une détresse éco et sociale et
les poussant vers la marginalisation.
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celle de l’emploi avec le chômage) Exclus° professionnelle → exclus° sociale → plus
l’inactivité dure, plus les chances de réinser° diminuent. Le nb de pauvres n’↗
pas vraiment, c’est l’intensité et la durabilité du ph qui s’aggravent.
→ Pauvreté et précarité favorisent l’exclus° sociale = processus de marginalisa° de
certaines catégories sociales, s’oppose à l’inser° sociale. Les pauvres ne sont pas les
seuls exclus : minorités diverses. Ds certaines stés, des personnes souffrent d’une
exclus° profonde, ce sont les parias : Les Intouchables en Inde, les Burakumin au
Japon (= pop° considérées comme impures car elles travaillaient ds des profess°
touchant à la mort et au sang.
→ La marginalisa° sociale pas tout à fait = à exclusion (=individus qui vivent en marge
du fonctionnement dominant de la sté) : peut résulter d’un choix, et dépend du type de
sté. En Inde, les Intouchables sont exclus de la sté dominante mais il existe un sentiment
d’un° des exclus. Par contre les SDF ou sans-abris se retrouvent exclus des stés
incluantes, pfs dites égalitaro-individualistes, et donc d’autant plus victimes de la
marginalité
→ Causes de l’aggrava° de l’exclus° selon Edgar Morin : l’instaura° d’une solidarité
moderne, càd d’administra° à catégories sociales ; devt du mode de vie urbain ;
destructura° des familles élargies → détresse sociale.
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Peuplement : Une des gdes q° de la g concerne le peuplement de la
planète, la complexité des processus qui l’ont dirigé et les gds contrastes et déséquilibres
qui en résultent ; Ils débouchent sur les apprécia° relatives de surpeuplement ou de sous-
peuplement.
1. La no° de peuplement
→ Popula°= ens des personnes vivants ds un espace donné, à un moment donné.
→ L’humanité est l’ens des popula° humaines
→ Le peuplement désigne un processus d’occupa° ou les caractéristiques de la réparti°
et de l’occupa° d’un territoire par une popula°.
→ Les gphes analysent nature et contrastes de peuplement, et le rapport entre le
peuplement rural et urbain. Peuplement urbain : caractère concentré ds localités
imptes, faible part des act agricoles, forte qtt d’équipemts et de services ≠ peuplement
rural. A l’échelle mondiale autant de ruraux que de citadins. Cela dit ¾ pop° totale
constituée de citadins ds pays industrialisés, c’est le contraire dans les PMA.
2. L’analyse du peuplement
→ Les gphes se sont tjs intéressés à l’intensité de l’occupa° humaine, qu’ils ont quantifiés
via la densité de popula° (=nb d’habs rapporté à la superficie) Il existe la densité
brute = rapport entre pop° totale et superficie du territoire national → globalisante,
donne des idées floues. A compléter avec la densité nette : rapport entre pop° et por°
du territoire.
→ la densité de pop° des pays du « Sud » tend à ↗ fortement (Afrique, Am Latine, Asie)
alors qu’elle stagne ds les pays développés.
→ Les états les moins densément peuplés : petits Etats équatoriaux, ou vastes
comprenant des déserts. Les densités maximales : micro-Etats asiatiques,
méditerranéens ou du Golfe Persique, Japon.
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4. L’inégal peuplement de la planète
Foyers de popula° et déserts humains
→ la not° d’œkoumène perd de plus en plus de sens, l’ensemble de la planète est
occupée mais de façon inégale.
→ Foyers de peuplement et foyers secondaires, rassemblent plus de la moitié de
l’humanité ≈70%, puis on parle d’îlots de peuplement, zones de concentra° de
popula° qui contrastent avec le vide alentour. Puis, la plus grande partie de la surface de
la planète est constituée de vides, de déserts humains. Ils ne sont cela dit jamais
absolus.
1. Surpeuplement et sous-peuplement
→ Surpeuplement ou surpopulation = excès de pop° par rapport aux ressources
disponibles et à la préserva° d’un nv de vie considéré comme minimum. No° corrélative à
celle d’optimum de peuplement (=pop° « idéale » d’un espace compte tenu de ses
potentialités) Les fortes densités n’impliquent pas fatalement un surpeuplement, Cf.
Japon, Pays-Bas. La concentré° de pop° = créatrice de richesse mais aussi contrainte.
→ Sous peuplement = peut ê atout mais aussi contrainte. De plus, les Etats sous-
peuplés ≠ Etats peu densément peuplés, et doivent assumer des aménagements
d’autant plus coûteux qu’ils sont peu utilisés. Cf. Australie. Les zones sous-peuplées
peuvent avoir été soumises au dépeuplement càd perte de pop°, que ce soit à cause de
décès ou d’émigra°.
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RELIGION : La religion fut longtemps un facteur essentiel de
l’organisation des stés. Ainsi, la religion a une influence gque souvent importante.
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Le rôle géopolitique des religions
Le religieux contribue à expliquer un certain nombre de conflits internationaux
ou d’inimités (d’aversion) vivaces entre puissances voisines
→ Distinction entre Etat laïc (= indépendant de toute religion, n’en subventionnant
aucune) et pays possédant une religion d’Etat (= aucune séparation n’existe entre
l’Eglise et l’Etat, qui la finance) Dans ce cas là, la religion se trouve même, parfois, le
ciment de la cohésion nationale. Cela dit le poids de la religion est plus ou moins
important selon les pays. Cf. les EU et sa culture dominante des WASP, où les groupes
religieux se comportent comme des lobbies, des groupes de pression organisés et
activistes essayant de faire prévaloir leurs idées, alors que le pays ne possède pas de
religion officielle.
→ Face au recul du religieux, les Eglises ont dut s’adapter : concile de Vatican II (de 1962
à 1965), interdiction des castes en Indes, modernisme islamique au Moyen-Orient. Ainsi,
on assiste à un « retour du religieux » qui passe entre autre par le développement de
l’intégrisme (= attitude de conservatisme intransigeant au sein d’une religion),
l’islamisme (= interprétation intégriste de l’Islam ≠ fondamentalisme)
Des conflits peuvent éclater dans les pays où coexistent plusieurs religions :
conflits en Inde en 1993 et 1994, le Bangladesh. Dans ces affaires, les deux Etats
concernés sont officiellement laïcs alors qu’au Népal voisin, où l’hindouisme est
religion d’Etat, et où vivent des milliers de musulmans, aucun trouble n’a éclaté. Il
convient donc bien de distinguer la doctrine religieuse officielle et la
pratique populaire.
Enfin, les conflits religieux peuvent prendre une dimension internationale,
en particulier dans les zones de contact entre aires religieuses différentes. Cf.
guerre Iran/Irak lancée en 1980 par les Irakiens, partant d’une revendication
territoriale →de nbreux autres conflits peuvent être analysés avec une grille de
lecture religieuse. De nos jours, de façon plus globale, à la suite de Samuel
Huntington. Selon lui, les conflits sont liés à un « choc des civilisations ».
Conception très contestable car négligeant volontairement l’économie et la
politique.
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Etat, Nation, Pays : Ces termes, parfois considérés comme
synonymes, ont des acceptions distinctes mais variables selon le contexte. Ces notions
s’utilisent largement en G, qui étudie, notamment les implications spatiales des différents
types d’Etats, mais cherche aussi à comprendre la montée des nationalismes et à évaluer
les conséquences de la supranationalité croissante en matière d’éco.
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La division en trois types d’Etats reste théorique, puisqu’un pays peut
passer d’une catégorie à l’autre.
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(Belgique) ; 4) la question du pb de la place des particularismes (=tendance d’une
communauté à conserver ses usages particuliers en s’opposant à la communauté plus
large dont ils font partie (Corse) ; 5) le risque d’une montée des sentiments
territorialistes.
ARTICLES POUR
OPTIONNISTES
Glacier : = gigantesque bloc de glace, se situent aux pôles et en montagne.
Sont des agents d’érosion dont l’action a su être déterminante lors des périodes
glaciaires du Quaternaire.
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Distinction nette entre glaciers polaires/de montagne : différents au
point de vue de leur dynamique et de leur aspect, mais constituent tous
deux des agents d’érosion.
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Montagne : Le terme montagne recouvre des réalités physiques très
diverses. Milieu spécifique et contraignant par con nb de ses caractères naturels, il a cpdt
été très tôt habité et exploité. Si, dans les montagnes des pays riches, l’exploitat°
touristique a pfs pris le relais des act traditionnelles, les pbs actuels des pays en dévt ont
des csqces impts ds un milieu montagnard fragile.
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moyenne montagne. La haute montagne est liée au sacré. Invers° au XIXème siècle :
montagne devient milieu répulsif car obstacle au progrès.
Des stés plus pauvres que celles des plaines environnantes
→ Réseau de communica° adapté a permis de lutter ctre l’enclavement ou le
cloisonnement : ex avec les Incas.
→ Dévt des systèmes de terrasse → à cause des fortes pentes : en Chine par ex.
→ Les cultures étant en majorité pauvres, ces stés pratiques surtout l’élevage, appelées
pfs « voca° pastorale » dont le ppe de base est l’estivage.
→ Forte émigra° au début de la RI qui au début n’était que saisonnière mais de nos jours
la majorité des montagnes des pays riches sont une terre d’exode. A nuancer avec les
montagnes tropicales : en Bolivie et en Colombie, c’est la montagne qui attire.
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plus haute et plus dense) → des gphes ont extrapolé cette idée dans le cadre du
naturalisme : la nature est le principe organisateur de toute sté, les roches et leurs
dispositions peuvent expliquer les caractères du peuplement et surtout l’aspect des
campagnes, Cf. idée de déterminisme
→ Aujourd’hui, l’étude des roches connait un net reflux dans une g majoritairement
considérée comme une science sociale. Le mm recul concerne tous les secteurs de la g
physique.
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- Utilisation aussi de termes caractéristiques de la géo traditionnelle venant du
domaine poétique, architectural ou militaire
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Formes de relief en structure faillée
- En structure faillée, relief dépend de la disposition des blocs en deux types
d’escarpement
Escarpements de faille : Relief directement lié au plan de la faille
Escarpements de ligne de faille : Dus à l’érosion différentielle
1. L’atmosphère en mouvement
Qu’est-ce que l’atmosphère ?
- Atmosphère : Enveloppe gazeuse entourant le globe terrestre
- Composition et caractéristiques variant avec l’altitude = ¾ d’Azote, 20%
d’Oxygène et des gaz rares
Troposphère : Couche la + basse, la + mince et la + comprimée
Stratosphère : + calme renfermant la couche d’ozone, nécessaire à la vie terrestre
Mésosphère puis Thermosphère
- Composé de gaz, l’atmosphère pèse un certain poids et exerce une pression =
Pression atmosphérique, variant selon l’humidité, la température et l’altitude
Pression normale sur le globe terrestre = environ 1013 hPa
- Dans la troposphère, Individualisation des masses d’air selon les gaz les
composant
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Animation de la troposphère par de nombreux mouvements
Mouvements verticaux = Turbulences
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Phénomènes se produisant aussi ailleurs
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