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Dictionnaire de

Géographie –
Programme de
révision pour
ème
colles du 2
cycle

1
Intégration, insertion : Les pb d’intégra° et les
difficultés d’inser° sont devenus, ds les pays industrialisés, à la fois des enjeux sociaux
majeurs et de grands thèmes du discours pol. Ils participent de deux ph ≠ qui se
combinent pfs, conduisant les pop° qui en sont victimes ç une détresse éco et sociale et
les poussant vers la marginalisation.

1. Degrés d’intégra° et pol d’intégra°


Tte personne issue d’un pays étranger, càd immigrée, se trouve soumise au pb de
son adapta° au nvl environnement social du pays d’accueil.
 Adapta° par intégra° ou assimila°
→ Intégra° : l’immigré est accueilli/a des rela° avec les mbres de la communauté
nationale et ce, sans confiscation de son identité propre et de on particularisme
(=habitudes et coutumes) Cela sous-entend une volonté réciproque de se considérer
comme mbre d’un ensemble dt il faut respecter l’intégrité en utilisant les convergences
culturelles, mais sans en nier les ≠.
→ Assimila° : = d° de plus ds l’adaptation, adhésion à la communauté d’accueil à travers
le partage des mm valeurs, des modes de vie et l’adop° des réactions devenues
proches de celles de ses autres mbres. Terme s’utilisant de – en – car connotations
coloniales.

→ Melting Pot ou Salad Bowl?

 Les pol d’intégra°


→ Luttent contre la marginalisation/exclusion sociale dont sont pfs victimes les pop°
d’origine étrangère → mise en place arsenal législatif. Ces pol présentent aussi des
aspects socio-éco qui entrainent des mesures particulières en mat° de pol de la ville.
Elles sous-entendent enfin de préserver l’égalité des salaires et des prestations sociales
et donc de lutter ctre la volonté de « préférence nationale »
→ Problèmes : décompte statistique de l’immigra°, difficulté à évaluer le d° d’intégra°
d’un individu ; pbs de maîtrise de l’immigra° clandestine (=immigra° illégale)
→ Les pol d’intégra° diffèrent selon la tradition des pays […], mais dépassent aujdh les
cadres nationaux et conduisent les na° européennes à tenter d’entreprendre des pol
communes.
→France : rejet du communautarisme vu comme un danger pour l’idéal républicain, la
F demande aux immigrants d’accepter une certaine forme d’assimilation. Débat impt,
campagnes d’opposit°. Lois : réforme du code de la nationalité et les lois 1993 (lois
Méhaignerie dites lois Pasqua)

→ La France face à l’intégra°

1. Pauvreté, précarité et exclusion


→ Pauvreté ds le TM : ph classique, on parle pfs de pauvreté absolue car elle
s’exprime par des manques fondamentaux qui sont le produit d’une réparti° inégalitaire
des ressources, l’explosion démographique, la corrupt° des élites ou par l’instabilité pol.
→ Pauvreté ds les pays riches : caractérisée par manque global d’élts de bien-ê. Pfs
qualifiée de pauvreté relative car il existe une protec° sociale minimum, des aides
financières. Pauvreté évaluée à partir de seuils, d’indices de pauvreté. On parle pfs
de quart-monde pour qualifier les pop° les plus défavorisées des pays développés. Une
phase de précarité sociale précède svt la pauvreté (absences de sécurités, notamment

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celle de l’emploi avec le chômage) Exclus° professionnelle → exclus° sociale → plus
l’inactivité dure, plus les chances de réinser° diminuent. Le nb de pauvres n’↗
pas vraiment, c’est l’intensité et la durabilité du ph qui s’aggravent.
→ Pauvreté et précarité favorisent l’exclus° sociale = processus de marginalisa° de
certaines catégories sociales, s’oppose à l’inser° sociale. Les pauvres ne sont pas les
seuls exclus : minorités diverses. Ds certaines stés, des personnes souffrent d’une
exclus° profonde, ce sont les parias : Les Intouchables en Inde, les Burakumin au
Japon (= pop° considérées comme impures car elles travaillaient ds des profess°
touchant à la mort et au sang.
→ La marginalisa° sociale pas tout à fait = à exclusion (=individus qui vivent en marge
du fonctionnement dominant de la sté) : peut résulter d’un choix, et dépend du type de
sté. En Inde, les Intouchables sont exclus de la sté dominante mais il existe un sentiment
d’un° des exclus. Par contre les SDF ou sans-abris se retrouvent exclus des stés
incluantes, pfs dites égalitaro-individualistes, et donc d’autant plus victimes de la
marginalité
→ Causes de l’aggrava° de l’exclus° selon Edgar Morin : l’instaura° d’une solidarité
moderne, càd d’administra° à catégories sociales ; devt du mode de vie urbain ;
destructura° des familles élargies → détresse sociale.

→ Pauvreté et exclus° en France

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Peuplement : Une des gdes q° de la g concerne le peuplement de la
planète, la complexité des processus qui l’ont dirigé et les gds contrastes et déséquilibres
qui en résultent ; Ils débouchent sur les apprécia° relatives de surpeuplement ou de sous-
peuplement.

1. La no° de peuplement
→ Popula°= ens des personnes vivants ds un espace donné, à un moment donné.
→ L’humanité est l’ens des popula° humaines
→ Le peuplement désigne un processus d’occupa° ou les caractéristiques de la réparti°
et de l’occupa° d’un territoire par une popula°.
→ Les gphes analysent nature et contrastes de peuplement, et le rapport entre le
peuplement rural et urbain. Peuplement urbain : caractère concentré ds localités
imptes, faible part des act agricoles, forte qtt d’équipemts et de services ≠ peuplement
rural. A l’échelle mondiale autant de ruraux que de citadins. Cela dit ¾ pop° totale
constituée de citadins ds pays industrialisés, c’est le contraire dans les PMA.

2. L’analyse du peuplement
→ Les gphes se sont tjs intéressés à l’intensité de l’occupa° humaine, qu’ils ont quantifiés
via la densité de popula° (=nb d’habs rapporté à la superficie) Il existe la densité
brute = rapport entre pop° totale et superficie du territoire national → globalisante,
donne des idées floues. A compléter avec la densité nette : rapport entre pop° et por°
du territoire.
→ la densité de pop° des pays du « Sud » tend à ↗ fortement (Afrique, Am Latine, Asie)
alors qu’elle stagne ds les pays développés.
→ Les états les moins densément peuplés : petits Etats équatoriaux, ou vastes
comprenant des déserts. Les densités maximales : micro-Etats asiatiques,
méditerranéens ou du Golfe Persique, Japon.

3. L’histoire du peuplement de la planète


→ Le berceau originel de l’humanité se situe en Afrique orientale. Puis l’homo sapiens
via des vagues migratoire connait une expansion à travers la planète entière → On
confond dorénavant la no° de race, la planète est habitée par une seule et unique race
humaine.
→ En 1700, l’écoumène ou œkoumène, l’espace terrestre habité, était bcp moins
impt : la moitié de terre est inhabitée. Puis ph d’anthropisation (= colonisa° des
espaces vierges par l’Homme) Depuis le XXème siècle, redistribu° de la croissance
démographique au profit de l’Asie, de l’Amérique et de l’Amérique centrale et
méridionale.
→ La dynamique actuelle du peuplement, càd des tendances évolutives, dénote une
métropolisa° (= concentra° des pop° et des activités en ville), en effet situat° favorable
en ville car bcp d’échanges. On parle de contrac° de l’espace-tps : accéléra° des
possibilités de communica°.

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4. L’inégal peuplement de la planète
 Foyers de popula° et déserts humains
→ la not° d’œkoumène perd de plus en plus de sens, l’ensemble de la planète est
occupée mais de façon inégale.
→ Foyers de peuplement et foyers secondaires, rassemblent plus de la moitié de
l’humanité ≈70%, puis on parle d’îlots de peuplement, zones de concentra° de
popula° qui contrastent avec le vide alentour. Puis, la plus grande partie de la surface de
la planète est constituée de vides, de déserts humains. Ils ne sont cela dit jamais
absolus.

 L’origine des inégalités de peuplement : objet de


controverses
→ Les c° physiques et la disponibilité en ressources influencent les implanta° humaines,
mais n’en constituent pas un déterminisme. De plus, à c° climatiques égales on note des
contrastes de peuplement.
→ L’origine des inégalités tient de l’adapta° que les hommes ont su faire du milieu
bioclimatique dans lequel ils se sont trouvés. Cette adapta° dépend étroitement de la
capacité des stés à évoluer et des modes d’organisa° sociale et n’est pas égale à
l’échelle de la planète.

1. Surpeuplement et sous-peuplement
→ Surpeuplement ou surpopulation = excès de pop° par rapport aux ressources
disponibles et à la préserva° d’un nv de vie considéré comme minimum. No° corrélative à
celle d’optimum de peuplement (=pop° « idéale » d’un espace compte tenu de ses
potentialités) Les fortes densités n’impliquent pas fatalement un surpeuplement, Cf.
Japon, Pays-Bas. La concentré° de pop° = créatrice de richesse mais aussi contrainte.
→ Sous peuplement = peut ê atout mais aussi contrainte. De plus, les Etats sous-
peuplés ≠ Etats peu densément peuplés, et doivent assumer des aménagements
d’autant plus coûteux qu’ils sont peu utilisés. Cf. Australie. Les zones sous-peuplées
peuvent avoir été soumises au dépeuplement càd perte de pop°, que ce soit à cause de
décès ou d’émigra°.

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RELIGION : La religion fut longtemps un facteur essentiel de
l’organisation des stés. Ainsi, la religion a une influence gque souvent importante.

1. Religion, paysage et sté


Les religions marquent les paysages en sacralisant certains lieux. Leur influence
sur les stés est fondamentale.
 Religion et lieux sacrés, réels et imaginaires
→ Les religions ont toujours cherché à localiser concrètement un certain nombre
d’évènements et de lieux mythiques. Elles s’ancrent donc dans l’espace (La Mecque,
Rome, Jérusalem) et il en découlent parfois des conséquences économiques
(complexe hôtelier de Lourdes = celui de Nice) Certes, le Paradis et l’Enfer ne sont par
localisables mais ils le sont partiellement (le ciel, et le fond de la Terre) ainsi, les
constructions religieuses sont influencées (des Eglises hautes, ou des monuments
construits sur les collines) → la religion crée des lieux sacrés et détermine des frontières
invisibles mais parfois bien réelles, lorsque le sommet, ou le monument est interdit au
non-croyant.

 Les religions influencent fortement les stés


→ Les castes en Inde (= groupe social rigide et surtout héréditaire)
→ Le statut inférieur de la femme, plus ou moins fort selon les époques et les stés,
fondé sur des interprétations du christianisme ou de l’islam.
→ Les valeurs morales dictées par les religions ont des conséquences concrètes
souvent importantes : perception de l’avortement ou de l’homosexualité.
→ D’autres pratiques et comportement sociaux s’expliquent en partie par le poids de la
religion, comme les comportements alimentaires (Islam, hindouisme) et les
pratiques agricoles (cultes de terre, de la Pachamana dans les Andes)

1. Religion et géopolitique mondiale Les religions se répartissent en grandes


aires relativement homogènes. Elles sont parfois source de conflits.
 Les grandes aires religieuses
→ Les religions se répartissent en aires religieuses, possédant des traits communs
incontestables. La religion peut aussi ê un agent géopolitique primordial, aussi bien pour
servir l’unité nationale que pour contester un gouvernement en place. Une très forte
empreinte de la religion ne se réalise cependant qu’à deux c° :
– la religion soit s’inscrire dans la durée
– elle doit ê celle du gpe dominant
Les aires de religions ne constituent cependant pas des entités homogènes
(l’organisation sociale diverge selon les pays catholique, ainsi que les pratiques
religieuses)

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 Le rôle géopolitique des religions
Le religieux contribue à expliquer un certain nombre de conflits internationaux
ou d’inimités (d’aversion) vivaces entre puissances voisines
→ Distinction entre Etat laïc (= indépendant de toute religion, n’en subventionnant
aucune) et pays possédant une religion d’Etat (= aucune séparation n’existe entre
l’Eglise et l’Etat, qui la finance) Dans ce cas là, la religion se trouve même, parfois, le
ciment de la cohésion nationale. Cela dit le poids de la religion est plus ou moins
important selon les pays. Cf. les EU et sa culture dominante des WASP, où les groupes
religieux se comportent comme des lobbies, des groupes de pression organisés et
activistes essayant de faire prévaloir leurs idées, alors que le pays ne possède pas de
religion officielle.
→ Face au recul du religieux, les Eglises ont dut s’adapter : concile de Vatican II (de 1962
à 1965), interdiction des castes en Indes, modernisme islamique au Moyen-Orient. Ainsi,
on assiste à un « retour du religieux » qui passe entre autre par le développement de
l’intégrisme (= attitude de conservatisme intransigeant au sein d’une religion),
l’islamisme (= interprétation intégriste de l’Islam ≠ fondamentalisme)
Des conflits peuvent éclater dans les pays où coexistent plusieurs religions :
conflits en Inde en 1993 et 1994, le Bangladesh. Dans ces affaires, les deux Etats
concernés sont officiellement laïcs alors qu’au Népal voisin, où l’hindouisme est
religion d’Etat, et où vivent des milliers de musulmans, aucun trouble n’a éclaté. Il
convient donc bien de distinguer la doctrine religieuse officielle et la
pratique populaire.
Enfin, les conflits religieux peuvent prendre une dimension internationale,
en particulier dans les zones de contact entre aires religieuses différentes. Cf.
guerre Iran/Irak lancée en 1980 par les Irakiens, partant d’une revendication
territoriale →de nbreux autres conflits peuvent être analysés avec une grille de
lecture religieuse. De nos jours, de façon plus globale, à la suite de Samuel
Huntington. Selon lui, les conflits sont liés à un « choc des civilisations ».
Conception très contestable car négligeant volontairement l’économie et la
politique.

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Etat, Nation, Pays : Ces termes, parfois considérés comme
synonymes, ont des acceptions distinctes mais variables selon le contexte. Ces notions
s’utilisent largement en G, qui étudie, notamment les implications spatiales des différents
types d’Etats, mais cherche aussi à comprendre la montée des nationalismes et à évaluer
les conséquences de la supranationalité croissante en matière d’éco.

1. Des termes différents et complémentaires


 Déf°
→ Etat : autorité souveraine s’exerçant / un territoire national, not° juridique et abstraite,
inscrite ds la durée. ≠ Gvt : qui dirige l’Etat pr un tps limité, Ré concrète.
→ Etats-ateliers : pays manufacturiers d’Asie du SE
→ Etats enclavés : pas d’accès à la mer
→ Etats-tampons : coincés entre 2blocs rivaux → cordon sanitaire pour la situation
de ce type d’Etat.
→ L’Etat a svt une implication gque.

→ Nation : communauté d’hommes appartenant à un mm pays, ayant la mm


organisation sociale, les mm lois et étant nés généralement sur le mm sol national → na°
fr habite / territoire national et on reconnait comme nationalité l’individu né / ce terr en
vertu du droit du sol
→ L’étranger au sens strict, relève d’une autre nationalité.
→ On parle d’Etat-nation lorsque la nation est à l’origine de la formation de l’Etat,
comme la France.
→Ethnie : population cohérente par ses caractères culturels, voire simplement religieux.
 Tous ces termes caractérisent les ≠ pays/états au sens d’entité gque. Patrie ≈
pays, mais ac connotation plus sentimentale ou plus idéologique. Un pays n’a pas
forcément d’Etat (Cf. colonisation)

 Pays et patrie peuvent avoir d’autres sens, peuvent


correspondre à des divisions de l’espace de taille variée
→ Pays : pouvait s’appliquer ds l’ancienne France à une région, voire à une commune
car il désignait un espace de vie homogène (Cf. Pays-Basque) Cette acception renvoie
aussi aux notions d’avant-pays et d’arrière pays, termes de localisation.
→Patrie : a pls acceptions et est utilisée à des échelles diverses : la ville de Pézenas est
désignée comme « patrie de Molière »

1. La formation des Etats et ses implications gques


 Trois types d’Etats
→ Etats-nation : constitués de façon +/- lente à partir d’un centre originel, ont grossi au
fil des conquêtes successives (Cf. France &Russie)
→Etat-fusion : fus° de ppl, de communautés ethniques : 1) si les communautés
éprouvent un sentiment national commun (Cf. unifica° all et it au XIXème siècle) ; 2) la
fusion peut aussi se produire entre communautés ethniques voisines mais ≠, s’unissant
contre un oppresseur (Cf. Yougoslavie née de la lutte contre l’Empire Ottoman)
→Etats-scission : sciss° liée à la désagrégation d’un Empire colonial ou à un mvt
séparatiste obtenant l’indépendance (Cf. Erythrée en 1993)

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 La division en trois types d’Etats reste théorique, puisqu’un pays peut
passer d’une catégorie à l’autre.

 Les implications gques de telles formations


→ La genèse des Etats a des csqces / l’organisa° spatiale, en particulier / les
caractéristiques de la capitale (=ville où siège le gvt du pays). Par extens° on parle de
capitale économique pr une ville qui est un centre éco (ex : NY est la capitale éco
mondiale)
→ L’Etat nation : suppose un pvr fort, qui s’est svt traduit par la centralisation (=
concentration en un pt d’une gde partie des activités, dc par la psce d’une capitale
impte)
→ Les Etat-fusions peuvent présenter d’autres caractéristiques → solution fédérales ou
confédérales peut ê choisie. La confédération garantie plus d’autonomie aux Etats-
membres et svt, les décis° fondamentales doivent ê prises à l’unanimité. La fédération
suppose une perte de souveraineté plus impte et les Etats membres mettent en commun
au moins leur H étrangère, leur monnaie, leur défense (Ex : USA, All)
→ La scission d’un Etat peut entrainer la créa° de micro-Etats qui se réduisent pfs à de
simples villes comme Singapour, se séparant de la fédération de Malaisie en 1965.
 La formation de l’Etat influence directement sa g et ses tradi°. Une fois
constitué, l’Etat structure la sté ms aussi l’espace national.

 L’Etat intervient dans la vie politique, éco et sociale d’un


pays à des d° divers
→ Les gphes se sont peu interrogés / la nature de l’Etat, ms plutôt / son poids et son
influence / le terr.
→ Le poids de l’Etat s’évalue par l’impce de l’appareil et du secteur étatique.
Prédominant ds les Etats de types communistes, le rôle de l’Etat est aussi impt ds les
démocraties libérales car il régule la vie éco (Etat-keynésien) par des mesures
législatives, par une planifica° indicative, ms aussi par l’interven° directe d’un Etat-
entrepreneur + influence par nationalisations (=remettent à la collectivité/na°, une
entreprise que l’Etat ne dirige pas directement) et étatisations (= transfèrent à l’Etat
une entrep qu’il dirige directement.
 Par ces moyens, l’Etat a une ac° spatiale et influence la g.
→L’Etat gère aussi la vie sociale et devient mm à certaines périodes un Etat-
providence => « L’Etat tu bien-être » (=Welfare state), modifie donc la sté et la g du
pays

1. Des évolutions divergentes,


Aujdh les concepts de na° et d’Etat ne représentent plus les mm valeurs : si la m° de
l’éco pousse à la perte de souveraineté des Etats, en revanche, les mvts nationalistes qui
deviennent de +en+ puissants peuvent entrainer des modifica° du terr.
 Nations et nationalisme
→ Ac l’échec de l’internationalisme prolétarien et ac la crise éco qui favorise le repli / soi,
le nationalisme connait une poussée fulgurante ac des csqs gques fondamentales :
scissions, mvt séparatistes (ex-bloc soviétique, Belgique, Italie, Canada)
→ Ces bouleversements, notables en Europe, font de celle-ci « le nv continent » →
modifications données pol et éco qui sont un ex pour tous les irrédentismes (=mvts
ayant une forte cohésion nationales refusant tte domina° par une autre na°) ≠ sécession
ou séparatisme (=ac° par laquelle un gpe se sépare, pacifiquement ou non, d’un etat pr
en créer un autre ou adhérer à un autre)
→ Ces mvts débouchent sur : 1) des guerres ds le pire des cas (Yougoslavie) ; 2) des
séparations à l’amiable (Tchécoslovaquie) ; 3) l’octroi d’une certaine autonomie

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(Belgique) ; 4) la question du pb de la place des particularismes (=tendance d’une
communauté à conserver ses usages particuliers en s’opposant à la communauté plus
large dont ils font partie (Corse) ; 5) le risque d’une montée des sentiments
territorialistes.

 Une tendance à la supranationalité en matière éco.


→ La supranationalité s’amplifie ds les gdes organisations éco. Cet abandon, volontaire
ou non d’une parcelle du pvr national exercé par le gvt, est lié à la m° de l’éco.
→ Multiplication des coopérations interétatiques → les organisations dites régionales
engendrent des modifica° ds la g des pays les constituant, favorisant par ex des rég°
frontalières → cette coopération internationale modifie enfin la représentation que l’on se
fait de l’espace (la perception de l’espace fr est de – en – nationale et de + en +
européen)

ARTICLES POUR
OPTIONNISTES
Glacier : = gigantesque bloc de glace, se situent aux pôles et en montagne.
Sont des agents d’érosion dont l’action a su être déterminante lors des périodes
glaciaires du Quaternaire.

1. Les différents types de glaciers


 Les glaciers polaires :
→ Représentent 98% du territoire de l’Antarctique et la quasi-totalité du Groenland.
→ Se structurent à partir des inlandsis (=calotte de glace où prédomine glaces
froides), à l’extrémité de la calotte se trouvent les émissaires où coexistent glace
froides et tempérées.
→ Faible dynamique au niveau des inlandsis si ce n’est des apparitions de bédières
(=rivières supraglaciaires qui disparaissent dans les moulins) et de lacs
supraglaciaires. Taille énorme des ph.
→ Dynamique importante au niveau des émissaires glaciaires : crevasses (=cassures de
la partie superficielle du glacier) ; séracs (blocs de glaces isolés) ; présence d’un front
glaciaire ; icebergs (=masses de glaces flottantes) ; rivières sous-glaciaires
(=collecteurs de moulins) qui gelées en hiver, connaissent une la débâcle (=crue du
printemps).
→ Glacier ≠ banquise (=glace de mer)

 Les glaciers de montagne


→ Plus petits que les glaciers polaires ; dynamique importante car glaces tempérées et
fortes pentes : crevasses et chutes de séracs sont des ph importants
→ Typologie selon leur topographie : glaciers de versant (raides et peu épais) ;
glaciers de cirque qui, s’ils sont importants peuvent devenir des glaciers de vallée ;
glaciers de calottes (rares et de petite taille)
→Typologie en fonction de l’aspect, de la couverture et de l’alimentation du glacier :
glaciers blancs, glaciers noirs (=recouverts en surface de débris rocheux, les
moraines), glaciers rocheux.

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 Distinction nette entre glaciers polaires/de montagne : différents au
point de vue de leur dynamique et de leur aspect, mais constituent tous
deux des agents d’érosion.

1. L’érosion glaciaire : tous les glaciers possèdent les mm caractéristiques


d’érosion, de transport et créent des dépôts sensiblement identiques
 L’érosion glaciaire
→ Le glacier joue rôle majeur dans l’action érosive
→ L’érosion du sous-bassement découle du fluctuage glaciaire (= glissement du
glacier) ; l’érosion se traduit aussi par la création de vallées glaciaires

 Le transport par le glacier


→ Les roches arrachées par le glacier sont transportées en surface et au fond mm du
glacier, d’autres s’infiltrent à l’intérieur du glacier par les crevasses ou par la rimaye.

 Les formes d’accumulation


→ Après avoir érodé et transporté du matériel morainique, le glacier dépose
celui-ci dans sa partie aval, ou parfois sur ses flancs → formation de terrasse de
Kame (=terrasses morainiques)
→ On observe certaines formations seulement une fois le glacier retiré, on parle alors
d’héritages glaciaires.

1. Les grandes glaciations : les glaciers sont des témoins irremplaçables


pour comprendre l’évolution paléoclimatique

 L’Ere quaternaire en Europe


→ En Europe la dernière grande glaciation, le Würm, à duré plus de 60 000ans et s’est
terminée il y a moins de 15000 ans. A cette époque une grande partie de l’Europe de
Nord est recouverte par une calotte. Le Würm fur précédé par d’autres périodes
glaciaires.
→ L’ère quaternaire ne se définit pas seulement par l’ère de l’hominisation, c’est
également la période des grandes glaciations, du fait de c° climatiques favorables.

 Des glaciations planétaires synchrones


→La dernière glaciation alpine, le Würm, a coïncidé avec des calottes glaciaires qui ont
touché l’Allemagne du Nord, la Russie, et les Rocheuses américaines.
→Les glaciers quaternaires sont donc des ph essentiels à l’échelle du globe et une
manifestation primordiale des grands changements paléoclimatiques qui touchent notre
planète à intervalles plus ou moins réguliers.

 Les conséquences des glaciations, faciles à cerner


→ Durant les phases anaglaciaires (=de froid et d’avancée des glaciers) : régressions
marines → des populations asiatiques ont sans doute pu franchir aisément le détroit de
Behring vers l’Amérique ; des piles ont été peuplées d’une flore et d’une faune
allochtones (=d’implantation récentes)
→Durant les phases de fonte des glaciers, dites cataglaciaires : transgression
marine, et c’est à cette mm période qu’a eu lieu la phase de dépôt des héritages
géomorphologiques, aujourd’hui utiles à l’étude de ces périodes.

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Montagne : Le terme montagne recouvre des réalités physiques très
diverses. Milieu spécifique et contraignant par con nb de ses caractères naturels, il a cpdt
été très tôt habité et exploité. Si, dans les montagnes des pays riches, l’exploitat°
touristique a pfs pris le relais des act traditionnelles, les pbs actuels des pays en dévt ont
des csqces impts ds un milieu montagnard fragile.

1. Une no° évidente mais malaisée à définir


 Des pbs de déf°
→ Terme polysémique : montage = sommet ; milieu ; chaîne de montagne, reliefs de
dimens° variables
→ Montagne : relief proéminent situé en altitude qui présente des pentes et versants,
donc une certaine dénivella°
→ En France, depuis 1961 : la zone de montagne française est définit en f° de deux
critères : altitude et pente. Une commune de montagne possède 80% de son territoire
à plus de 600mètres, avec 400m minimum de dénivelé. Modifica° : une commune est
dite de montagne quand elle connait « une limita° des possibilités d’utilisa° de la terre en
f° des c° climatiques » et fortes pentes => la déf° englobe donc des caractères
physiques et des caractères humains. Ces critères ≠ selon les pays.

 Les ≠ types de montagne, classés selon 3perspectives


→ L’altitude : on distingue les moyennes des hautes montagnes
→ La topographie : chaine de montagne : ens de monts disposés de façon linéaire≠
massif montagneux : plus tassé. Ces deux termes sont svt confondues. Cordillère :
ens de montagnes allongées, assimilé à celui de chaîne. Sierra : met l’accent sur
l’aspect topographique, en « dents de scie », de certaines montagnes aux pics acérés.
→ La géologie : distinc° entre massifs anciens et montagnes jeunes.

1. Les caractéristiques des milieux montagnards


 Les caractéristiques climatiques
→ Il n’existe pas de climat montagnard mais une dégradat° montagnarde : modifica°
des données du milieu. On ne peut pas parler de milieu totalement azonal. Dégrada°
climatique liée à l’altitude : gradient thermique, gradient pluviométrique,
précipita° orographique, exposi° différentielle des versants.
 L’étagement des milieux
→ La végéta°, l’hydrologie, et les sols se modifient graduellement avec l’altitude : c’est
l’étagement des milieux. La faune et la flore s’adaptent, les hommes
d’acclimatent : adapta° temporaire, non héréditaire. Plus l’altitude est élevée, plus la
transfo du milieu est impte.
→ 4étages successifs : collinéen, montagnard, subalpin, alpin
→ Piémont : pied d’une montagne ayant des liens avec celle-ci.
 Le rôle de la pente
→ Comparaison des milieux des montagnes et milieux des plaines : pelouse alpine ≈
toundra. Mais l’environnement des montagnes est fragile et ph de domina° des étages
supérieurs sur les étages inférieurs.

1. La mise en valeur traditionnelle des milieux montagnards


 Une anthropisa° précoce
→ Commence très tôt malgré faiblesses des zones cultivables (céréales dites
« pauvres » comme l’orge ou le seigle), en effet, montagne tropicale plus sèche que les
milieux en contrebas, milieu sain : pas de paludisme, lieu de refuge, mais plutôt en

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moyenne montagne. La haute montagne est liée au sacré. Invers° au XIXème siècle :
montagne devient milieu répulsif car obstacle au progrès.
 Des stés plus pauvres que celles des plaines environnantes
→ Réseau de communica° adapté a permis de lutter ctre l’enclavement ou le
cloisonnement : ex avec les Incas.
→ Dévt des systèmes de terrasse → à cause des fortes pentes : en Chine par ex.
→ Les cultures étant en majorité pauvres, ces stés pratiques surtout l’élevage, appelées
pfs « voca° pastorale » dont le ppe de base est l’estivage.
→ Forte émigra° au début de la RI qui au début n’était que saisonnière mais de nos jours
la majorité des montagnes des pays riches sont une terre d’exode. A nuancer avec les
montagnes tropicales : en Bolivie et en Colombie, c’est la montagne qui attire.

1. Les évolut° actuelles


 Le Nord redécouvre ses montagnes
→ Dévt du tourisme : renversement gque : tourisme de masse → X° des sta° de sport
d’hiver.
→ Ralentissement du déclin démographique, variable selon les zones de montagnes
et les montagnes bien sûr, cela dit, le ph d’isolement est encore très pst.
 Les montagnes du sud connaissent des problèmes
→ Ne sont pas à l’abri de l’invasion touristique découlant de l’internationalisa° du
tourisme de masse : Kilimandjaro, Himalaya avec dévt des treks ou trekkings
(=marches de pls jours)
→ Mais pbs reflétant les pbs généraux que connaissent le pays mais du fait de la
localisa°, csqces plus graves. On observe donc : pollution car on y rejette les déchets ;
déforestat° due à la poussée démographique ; la surpopulat° entraine surexploitat° du
sol.
 Milieu sensible, milieu fragile, les montagnes connaissent des évolu°
contrastées, reflet de stés ≠. Aux montagnes du Nord, se dépeuplant ou
survivant grâce au tourisme, s’opposent les montagnes du Sud, svt
surpeuplées et de plus en plus menacées.

Roches : Si l’étude des roches relève de la géologie, les géographes l’ont


souvent utilisée à des fins qui leur étaient propres. Ainsi à l’époque où la géographie
physique prédominait, l’étude des riches était conçue comme un préalable à toute
description raisonnée du relief. (pour les nostalgiques de la TS, enjoy !)

1. Roche, géologie et géographie


 Qu’est-ce qu’une roche ?
→ Dans son acception géologique, roche = ensemble de minéraux, les roches se
composent donc de plusieurs minéraux juxtaposés. L’étude des roches revient à la
géologie cepdt elle intéresse aussi les géographes.
 Géographie et étude des roches
→ Une des démarches reines de la g classique était la réalisation d’une coupe
géologique, devant permettre d’expliquer le relief. En effet une roche possède une
lithologie particulière : résistance, perméabilité, compacité, texture, faciès.
→ L’affleurement de telle ou telle roche influence en partie le sol et la végétation : on
oppose ainsi, en zone méditerranéenne, la garrigue des sols calcaires (composée de
formations végétales basses et discontinues) u maquis des sols siliceux (à la végétation

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plus haute et plus dense) → des gphes ont extrapolé cette idée dans le cadre du
naturalisme : la nature est le principe organisateur de toute sté, les roches et leurs
dispositions peuvent expliquer les caractères du peuplement et surtout l’aspect des
campagnes, Cf. idée de déterminisme
→ Aujourd’hui, l’étude des roches connait un net reflux dans une g majoritairement
considérée comme une science sociale. Le mm recul concerne tous les secteurs de la g
physique.

1. Les grands types de roches


 Les roches éruptives : roches plutoniques et roches
volcaniques
→ Roches plutoniques : sont endogènes (se forment en profondeur), le granite est le
type le plus fréquent, et ces roches sont de texture grenue.
→ Roches volcaniques : arrivent directement à la surface, le basalte est la principale
roche issue de ce type de lave.
 Les roches métamorphiques ou cristallophyliennes
→ Les roches plutoniques connaissent lors de leur remontée, des ph de
métamorphisme : leur structure se modifie.
 Les roches sédimentaires
→Sont des roches exogènes (d’origine externe), et sont classées selon leur origine
(roches sédimentaires, détritiques, organogénétiques ou chimiques) et leur série
(siliceuse, alumineuse...)

Relief : l’étude du relief, càd de la forme de la croûte terrestre, relève de la


géomorphologie, longtps une des branches ppales de la g. Plus généralement, le relief est
encore souvent conçu comme un paramètre à prendre en compte ds diverses études
gques.

1. Une multitude de termes


 Qu’appelle-t-on relief ?
- Mot décrivant le relief = Multiples et polysémiques
- Étymologiquement relief = Forme saillante
Sens géographique de relief = Irrégularités à la surface de la croûte terrestre
 Relief = Résultat des forces tectoniques et de l’érosion
 Termes peu précis
- Nombreux termes désignant des formes de relief et issus du langage courant
 Termes manquant de précision
- Désignations compliquées car appellations géographiques venant du patois ou de
langues étrangères
 Des termes révélateurs de l’évolution de la géographie
- Termes d’origine étrangère = Illustration de pays où les formes désignées sont
fréquentes

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- Utilisation aussi de termes caractéristiques de la géo traditionnelle venant du
domaine poétique, architectural ou militaire

1. Les formes topographiques


- Topographie = Description des formes de terrain, de leurs configurations et
associations
- Principales formes topographiques = Montagne, Plaine ( : Vallée non en
encaissée), Plateau ( : Etendue plane émergeant du fait de vallées encaissées), Vallée ( :
Volume en creux entre deux lignes de crête)
- Lignes de crête se rejoignent en amont et s’écartent en aval
 Talweg : Ligne la + basse de la vallée ; Sommet : Point culminant de la crête
- Montagnes et vallées possédant des versants : Reliant la ligne de la crête au
talweg
- Inclinaison d’un versant = Pente, élément déterminant topographique se mesurant
grâce au calcul de l’angle pente/horizontale
- Ligne de rupture de pente : Versant changeant de valeur mais conservant le même
sens
 Deux lignes de pentes = Délimitation un replat
- Dépression = Zone entourée de reliefs + élevés
 Si la dépression est circulaire avec un point + bas = Cuvette

2. Les formes structurales de détail


- Distinction des formes structurales grâce à la roche et la tectonique
- Reliefs structuraux regroupant des ensembles océaniques et continentaux de
grande et petite ampleur  Deux groupes
 Reliefs primitifs rares ne résultant que de forces internes volcaniques
 Reliefs dérivés érodés avec une grande différence dans la dureté des roches
 Formes de relief volcanique
- Volcan formé par différents magmas = Cône au sommet duquel se trouve un
caractère surplombant la cheminée
- Différentes formes d’appareil
 Hawaïen : Volcans aplatis
 Strombolien : Altitude élevée, cône développée
 Vulcanien : Volcans à caldeira
 Péléen : Peu élevé, mais dômes et aiguilles de lave
- Différentes formes de détail
 Caldeira : Cratère d’effondrement
 Neck : Culot de lave mis en évidence par l’érosion
 Dyke : Mur de lave mis en évidence par l’érosion
 Mesa : Butte détachée d’un plateau de lave
 Planèze : Mesa triangulaire et inclinée
 Barrancos : Ravins sur cônes
 Formes de relief en structure sédimentaire peu déformé
- Reliefs en structure concordante = Plans stratigraphiques et sans discontinuité
- Reliefs en structure discordante = Strates ultérieures formant des angles avec les
précédentes
- Reliefs dépendant du pendage = Inclinaisons des strates par rapport à
l’horizontale
Structure horizontale ou aclinale : Pendage nul
Structure monoclinale : Pendage faible
 Formes de relief en structure sédimentaire plissée
- Si respect du relief de la disposition générale des coches  Relief conforme
- Si ≠ coïncidence entre relief et structure  Relief inverse

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 Formes de relief en structure faillée
- En structure faillée, relief dépend de la disposition des blocs en deux types
d’escarpement
 Escarpements de faille : Relief directement lié au plan de la faille
 Escarpements de ligne de faille : Dus à l’érosion différentielle

Météo : Etude du temps, c'est-à-dire d’état de l’atmosphère à un moment


donné.

1. L’atmosphère en mouvement
 Qu’est-ce que l’atmosphère ?
- Atmosphère : Enveloppe gazeuse entourant le globe terrestre
- Composition et caractéristiques variant avec l’altitude = ¾ d’Azote, 20%
d’Oxygène et des gaz rares
 Troposphère : Couche la + basse, la + mince et la + comprimée
Stratosphère : + calme renfermant la couche d’ozone, nécessaire à la vie terrestre
 Mésosphère puis Thermosphère
- Composé de gaz, l’atmosphère pèse un certain poids et exerce une pression =
Pression atmosphérique, variant selon l’humidité, la température et l’altitude
 Pression normale sur le globe terrestre = environ 1013 hPa
- Dans la troposphère, Individualisation des masses d’air selon les gaz les
composant

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Animation de la troposphère par de nombreux mouvements
 Mouvements verticaux = Turbulences

 Facteur de mouvements atmosphériques


- Troposphère en instabilité continuelle
- Air chaud contenant de la vapeur d’eau se détend et prend de l’altitude =
Ascendance
- Au niveau du sol, Tombée de la pression inférieure à 1013 hPa  Dépression
- Air chaud en gagnant de l’altitude = Perte de son eau et création donc par
condensation de nuages
- Inversement, Air froid lourd descend = Subsidence
- Au niveau du sol, Pression supérieure à 1013 hPa  Anticyclone
- Mouvements verticaux accompagnés par des mouvements horizontaux = Vents
 Vents vont des anticyclones vers les dépressions
 Vents pouvant être généraux ou régionaux
- Tous ces mécanismes = Circulation atmosphérique générale

1. La circulation atmosphérique générale


 Circulation et cellules atmosphériques
- Mouvements atmosphériques dus à la capacité d’ascension de l’air chaud
 Organisation des mouvements en 3 boucles = Cellule de Hadley
- Niveaux des tropiques = Calmes tropicaux  Anticyclones
 Peu de vent mais beaucoup autour de ces zones : Alizés
- Du fait de la rotation de la Terre, Alizés divergent des anticyclones en tournant
 Convergence s’effectuant au niveau de la Convergence InterTropicale (CIT) [près
de l’équateur]
 Avec expulsion de l’air chaud en altitude et donc déversement d’eau, redescente
de l’air chaud au niveau des Tropiques
 Au nord, poussée de l’air froid et donc des hautes pressions par les alizés vers les
latitudes tempérées de basse pression
 Réchauffement de l’air, ensuite montée, déversement de l’eau, refroidissement
et enfin retour aux pôles
- Latitudes tempérées ont aussi des cellules moyennes sans moteur propre,
entrainées par les autres
 Mais ce sont aussi des zones de contact entre masses d’air polaires et tropicales :
Front polaire
 Succession et Alternance pour un temps très variable des perturbations, dues à
de fortes ascendances
Des variations saisonnières
 Variation de la circulation selon les saisons
 En hiver, air froid aux pôles  Forts anticyclones thermiques
Température + élevée en altitude  Inversion thermique
 En été, Front polaire poussé au nord, Anticyclones tropicaux poussés au nord
En hiver, Anticyclones poussés au sud, Perturbations au nord
- D’autres irrégularités
 Zones équatoriale  Printemps torride avec fortes ascendances, dépression au
sol qui attire les alizés gorgées d’eau et qui engendrent des pluies diluviennes : la
Mousson
- El Nino, au Pérou, en été (Noël)
 Anticyclone pacifique sud laisse place aux dépressions avec des pluies fortes
El Nino = Véritable catastrophe naturelle, imprévisible et irrégulier, du à un
affaiblissement des anticyclones sur le côté oriental et renforcement sur le côté
occidental

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 Phénomènes se produisant aussi ailleurs

1. Types de temps et prévision météo


- Prévisions délicates car les temps sont variables
 Principes types de temps
- Anticyclones = Zones de beau temps
 Anticyclones thermiques = Air froid et sec
 Anticyclones chauds = Subsidence provoquant une stabilité
- Perturbations du front polaire
 Air froid surmonté par un air chaud  Leur contact = Création de nuages
- Nuages : Particules d’eau ou de glaces en suspension dans l’air, avec différentes
formes selon l’altitude
- Perturbation caractérisée par une succession de nuages de + en + épais et de – en
– hauts
- Avancement des perturbations à des vitesses + ou – rapides  Présence de vents
- Fin de perturbation : Traîne ; grains : perturbations courtes ; éclaircies
 Prévision du temps
- + ou – facile selon les zones
 Equateur et Pôles = Zones au temps peu changeant
 Latitudes moyennes = Zone d’extrême variabilité
- Prévision  Mesure des températures et pression au sol et en altitude
Prévision  Station météo, radars, satellites
- Cartes météo établies donnant les champs de pression, les relevés de
température, la direction des vents, les principaux fronts
 Comparaison des cartes = Définition de la trajectoire des perturbations
- Prévision non parfaite car certains événements sont imprévisibles
 Disparition d’une dépression au niveau du sol, passage d’un temps couvert à un
temps pluvieux, …
- A court terme, prévision dépend de nombreux paramètres qui évoluent
- A long terme, prévision sont périlleuses (juste des tendances) mais de + en +
indispensables en agriculture, tourisme, prévention et catastrophes naturelles

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