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i\'i O- -- juiN i941 50 CENTIMES

á.4
L'ESPOIR'
OROANE DE COMBAT ET DE LIBERATIOh' N.ATIONALE

f{f' La l"iirer:tó est à dófendre... des libertes conquises par la Revolution. tr-uttes pour la
liberté que ies mbuvements pour le droit de grève; con-
f et à conquérir. quêtes de la liberté que les lois sociales; batailles de la
rl; I-a ncticn ile liberté a l'honneur des attaques les plus
virulentes comme ceiui des plus chauds plaidoyers. Cela
iiberté qLie les grèves pour les salaires. Conquête de la
liberté encore que les droits acquis par le paysan-loca-
taire contre la volonté des proprietaires Jonciers. lls
sufïit à e11 marquer I'importance comme regle de vie pour deviennent plus libres les commergants qui ne sont plus
les indiviclus, comme principe de fonctionnement pour les à la merci de leurs propriétaíres.
societes. Et c'est au Ínoment oit ces luttes entrent dans leur
Déniant toute liirerrte à l'individu. prétextant de I'inté- pleine phase de réalisation, que les classes maïtresses
rêt de la communar.rté, Hitier prétend y substituer une Ii- comrrencent à fausser le ieu des libertes. Elles essaient
berté des Peuiries qu'il a eté bien en peine-et pouí cause d'abord d'acheter des journaux; elles interviennent de
de déÍinir jusqu'à present. Au nom de la iiberté elle- manière occulte pour faire échec aux gouvernements
-même, Ies peuples courageux, les hommes bien trenrpés democratiques qui voudraient réaliser leur programme.
Iui résistent. Quand ces moyens se révèient insuïÍisants pour endi-
La piupart des Belges apprécient, parce qu'elles man- guer I'effort novateur des petiis, elles renient complè-
quent actuellement les libertes que nous connaissions iement les libertés. Elles font elles-mêmes les coups
avant le 10 mai. Por-rrtant ils sentent, très confr-rsement ti'Etat ou, le plus souvent, elles poussent un candidat
d'ailleurs, que la société telie qu'elle etait organisée hier dictateur assez démagogue pour avoir prise sur les clas-
ne permettait pas à ia grande majorite cles honrrnes de ses desheritées. C'est à ce moment précis que se pro-
pleiriement de ces libertés.
''iouir
Nos embochés, eux, dirigent toutes leurs attaques con-
duit la conjonction de leurs eftorts et de ceux qui ne
se sont jamais cachés d'être des autoritaires, sans pour
Ire ceite notion essentielle, base des societés modernes. cela être tout au moins en intention des réaction-
Ír'. Ils savent d'ailleurs très bien ce qu'ils font : tant que - le domaine social,
naires dans -
l'f cet amour de ia libc-rte reste accroché au cceur des irom- Qu'on relise < Fascisme et Orand capital > de Daniel
mes, il est impossiblc d'etablir un régime de ciictature, Cuerin : cn veÍra comment les grands usiniers ont sou-
même avec l'appui de baïonnettes. A la longue, les tenu Mussolini, comme les magnats financiers et indus-
baïonnettes sont vaincues par la conviction tenace des triels de la Ruhr ont aidé HitJer. Qu'on regarde notre
hommes. Nos candidats-tvrans qui ne réserveraient aucun pays : les Poulet, De Becker, De iVlan, Degrelle repré-
ciroit aux individus s'ils- etaient les niaitres, s'amusent sentent le courant autoritaire pur; les potentats ind,us-
à dénoncer Ie caractère incomplet des libertés d'hier : triels et financiers I'autre courant. La conjonction des
ia presse élaii eu partic cont;ólee par des puissances deux ne s'est pas encore produite, mais tous les deux
financières, la iiberte et I'egalité politiques des citoyens sont dangereur et, si le prèmier cóurant doit. être com-
qui devaient présid.er à Ía désignation des oÍganes de battu d'a-bord, les hommes libres doivent réserver au-
direction dé l'Etat étaient faussées par l'intervention oc- tant de coups pour les seconds et le courant autoritaire
culte de force industrielles et financières, la liberte pour qui, sans se montrer actuellement sera prêt à le scute-
l'orrvrier signifiait la ilbetté de mourit: de fainr, ct ncus nir dcrnoin : Légion Nationale, Cotag, etc.
en Dassons...
Ces tares. il n'a oas fallu que nos Íascisticules ánno- Cette analyse étant faite, il nous Íaut tir.er une con-
nent en politique et en socidlogie, pour les dénoncer. clusion impoitante, une conclusion qui doit être à la
Toute Ia critique des sociologues du XlX" siècle a porté base de la-reconstntction politique
là-dessus. Leurs continuateurs sont ceux qui, simples pé- 'signifie et sociale de demain.
Retablir les libertes, ceia les elargir. Sans l'éli-
kins ou revêtus de l'uniforme, luttent à l'heure actuelle mination des éléments qui Taussent le ieu des libertés
contre l'ideologie destructrice de toute liberté, f idéologie ou qui en rendent I'exeicice iltusoire p-our la majorité
nazl. des èitoyens il n'y a pas de liberte durable demain. Cer-
Mais même ainsi mutilée, la liberté mériterait d'être tes le reiablissemént pur et simple des libertés du 10 mai
défendue. Elle !e mériterait parce qu'elle est le ferment satisÍerait déjà beaucoup de personnes mais leur main-
indispensable à toute progression humaine. Sans elle tien à longuti echéance-ne peut être assure que par de
pas de mouvement social vraiment libérateur qui dépas- très grandes réformes.
se comme objectiÍ les questions d'estomac. Sans elle, (lue les tibertés ne soient plus Ïanssées !
la pensée est stagnante et s'étiole, la recherche scienti-
J fique est impossible. Là presse doit être^ libre. Les journaux doivent pu-
Et puis n'est-ce donc rien que dans un même village blier ler-rrs ressouÍccs. On verra ainsi ceux qui sont ache-
des croyants appartenant à dilférents cultes comme des tés"
incrovants notoires nuissent vivre en paix constante ? Il faut rrettre au pas les congregations économiqttes
Revoit-on un Galiléo abjurant ses théoiies scientifiques et financières qui vóudraient dirlgei I'Etat à leur seul
sous la menace du bourreau ? A la base de cette dispo- proÍit; il iaut leur enlever les moyens- de.pression qu'ils
sition de tolérance et de curiosité de l'esprit ? La li- àétieínent sur les gouvernemen{s. Le banquier à sa
berté |
banque, I'induskiel à son usine, I'homrne d'Etat au gotl'
La liberté d,'opinion et de réunion, 1a liberté d'editer verÍrement.
iournaux, revues, livres ont été conquises après des siè- L'exercice des libertés ne doit plus être illusoire pour
èles de luttes, Elles constituent le óomplement des au- la majorite des eitoyens !
tres. Elles empêchent qu'une clique groupée autour d'un Il Íáut mettre au service de la collectivité ces ntêmes
tvran se campe en maïtresse dans l'Etat et n'asseruisse gíoupes industriels et Íinanciers qui voudraient diriger
ses semblablés. A elles seules, ces libertes mériteraient i'Etat" Ce sera dur direz-vous ? Certainement ! Mais c'est
qu'on fasse les plus grands sacÍifices pour leur maintien. demain ou jamais que les hornmes doivent se libérer sur
Four leur conquête des héros sont tombés, d'autres sont ce plan.
prêts à les suivre. I-e travailleur, tant intellectuel que manuel, le cultiva-
li est bien .vrai que la société moderne, telle qu'elle teur, Ie commergants doivent se sentir les égaux, comm€
est sortie de la Révolution frangaise restreignait, en Íait, homrnes, des industriels, des banquiers, des propriétaires
l'importance de ces libertés pour la majorité des citoyens. fonciers, des gros distributeurs de produits. A cette con-
Transposée dans le domaine économique et social, -la dition ils seront libres. Il faut donc établir un régime qui
liberté signiÍiait pour les maitres des usines et des fa- Ieur assure une iiberté de choix de leur travail, une sé-
briques lè droit d'user et d'abuser du personnel qu'ils curité de I'existence, une egalité complète dans la dis-
occupaient. Détenant le pouvoir politique d'ailleurs, ces cussion des conditions de tràvail. Celui-qui travaille réel-
maitres avaient eu soin de supprimer l'exercice de la lement a olus de droits sur les instruments qu'íl mani-
liberté pour leurs ouvriers dans ce qu'il avait de plus pule que ielui qui, gràce à son etat de lortune, a pu les
précieux pouÍ ces clerniers : le droit de s'associer libre- àcqueiir. La ilbèrte-réelle des hornmes est à ce prix.
inent pour la défense de leurs intérêts, avec son corol- En bref, il ïaut agir pour que, liberés de leur infé-
laire naturel, Ie droit de cesser collectivement le travail. riorite écónomique, lés non-polsedants puissent utiliser
Mais iuste retour des choses, c'est en s'appuyant sur à plein rendement, pour leur développernent individuel et
cette même idéologie de 1789, que les sacriiies surent ponr I'avenir de ta-Nation, les libeités conquises depuis
faire valoir leur bón droit. En definitive, même quand i5O ans. C'est donc en novateurs que les artisans de
ils ne s'en rendaient pas compte, toutes les luttes politi- la liberte se préparent à agir; en novateurs qui savent
ques et sociales menées par les non-possédants depuis ce qu'ils veulènt et qui se rendent compte que les lut-
un siecle et demi visent à leur assurer le plein exercice tes difficiles sont peut-être pour demain.
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ilecoras à 1\{. &toms+6e I


A quoi sert ltA.dminis&rationr En vrolation de Ia Constitution, en violation deala
aentrale beige ? l-oi communale, M. Romsée, agent ailemand au Minls-
tère de l'intérieur, vient d,c s'arrogcr cles por-lvoirs dic-
l-orsque le 10 mai 19,10, jour de I'invasion r]e notre tatoriaux. C'est lui qui va démettre les bourgmestres et
nays paí les hordes teutonnes, le Parlement a vote ia ioi échevins qui refLrseront cle se plier à la discipline nazi;
sur la délegation des Pouvoirs, il a commis la pius c'ect lui qui noniirera les magrstrats communaux. C'est
grosse erreur qui soii. t,., ie V.N.V. traïtre, r.iui va nommer les secrétaires, re-
ceveurs communaux, les comntissaires de police, les in-
Les Secrétaires Cénéraux chargés de l'adrninist;ation dit stituteurs, les institutrices.
pays, en l'absence des ministres responsabies, ont effec- Dans deux iettres collectives qu'ils vienneilt de. lui
ïué leurs besognes comme des automates qui s'adaptent aciresser, les bourgmestres de l'agglomération bruxel-
à tous les regrmes. Fonctionnaires sous le régime belge, loise, lui donnent une beile ler;on dr: civisme ct dr: droit,
ils sont cl,eveius, à quelques exceptions près, des fonc-
'I'ous De ces deux iettres pleines de dignité, nous extrayons le
tionnaites extrêniement zéles du regime allemancl. passage sulvant :
les ordres de I'autorite occupallte sont exécutés avec un < Nous ne pouvolls donc, sous aucun prétexte, vous
empressement qui taisseraiC rêveur tous les ministrtls leconnaïtre le droit de nous accorder ci'ofÍice une demis-
d'avant ia guerre. sion que rlous ne vous erlvcrrons pas; si nous sommes
L'Allemand impose ses volontés dans tous les sec- à vos yeux incapables ou indignes de rempiir nos fonc-
teurs de la vie économique, politique,. financière et so- tions, il vous appartier-rt de provoquer notre révocation
ciale; non seulement il iirrpose sa volonte, mais il im- dans les formes prescrites par la Lo| n'lais nous avons
pose'le texte mÊmc des ariètes qu'il veut laire.prenclre conscience d'avoir rempli notre devoir de fagon {or-
tous ces textes vicnnellt Cirecttment de Berlin. sont melle, ioyaie et totale, même aux heures oÈ le Pou-
traduits par nos bureaux ministériels puis publiés au voii Communal s'est trouvé seul devant les autorités
À{oniteui" belge, sous la signature de l'un ou l'autre miiit:rires ailcmandes >.
des secrétaireÉ généraux. D'autrc part, Ie Collège échevinal de Vervicrs à qui
M. Romsee inrpose un bburgmestre aussi traitre que iui
Cette direction d,u pays, par perso.nne interp.osée, per- a, dans une déclaration ofïicielle, mouché et le i3ourg-
met aux allemands de Ïaire croire à la popttlatlon que mestíe, et ceiui qui I'a nommé. I.,ious pubiions la declá-
toutes les {Ílesures imposées ne sont pas leur tait rnais ration ci-dessous.
celui de l'autorité belge. Ces deLrx exemples Ce la résistance doivent être sui-
Sur le terrain éconornique, les secretaires géneraux vis. La Elelgique, vieille terre de Íranchises communales,
ont oris la lourde responsábilité de faire travailler toute sera digne de son passe. Peu importe lr:s méthodes, les
nóiró inAustrie pr;ur l'ènvahisseur, sous le Íallacieux. pré- termes des déclarations. Ce qui compte c'est que la ré-
teïie que le traïail de nos ouvriers serait compensé par sistance s'amplifie, c'est que des mandataires publics ne
un bon ravitaillement du pays. Les rnêmes .ont ensulte soient pas plus longtemps complices de la trahison orga-
appose [cur signature sous-leá arrêtes d'intcrdiction d'une nisée par en haut.
tórlte Oe rrrod-uits mettant la majeure partie de nos in- Séance du Collège échevinal de Verviers du 19 rnai 1941.
dustries dàns l'impossibilité de travailler. Les rnèmes en- O{et : M. Simon prend possession du siege de Bourg-
core ont couvert- de leur nom le recrutement honteux nlestre.
àós- travailleurs belges pour f industrie de guerre alle-
Déciaration du Collège échevinal
rnande.
Monsieur Simon,
I-es mêmes enfin ont, sans vergogne, pcrmis à l'enva- Afin qu'il ne reste entre nous aucune équivoque, nous
hisseur de bousculer ie fond mêrne de la Constittttion en estimons qu'il faut parler ciair et net.
supprimant les conseils provinciatrx et les conseiis com- Le Collège échevinal, émanation de Ia volonté popu-
munaux. lairc et cornposé de MM. Burguet, Berthetot, Lraspartl
. Tous les secrétaires genérart.x Ïlamingants ()btus ctans et Tiberghien, est appelé à poser aujourd'iiui un acte
leur majorité, sont des p-antins aux mains des Allemands' solennel qui restera dans les annales de la Cite et qu'il
Parce que ces homnies n'ont pas fait, ou pas voulu pourrait un jour, avoir à rendre compte devant ses ju-
faire le I'iste qui s'imposait depuis longtetrtps : F31111 ges et i'opinion publique" C'est pourquoi, afin qu'il en
en tiénon!ant la'besogrrc qui leur etait-imposóc, lout no- reste trace il ïait la cleclaration suivante et orie Monsieur
tre personnel administratiï, tous les "fo-nctionnaires d,es lc Secrèiaire de Iactcr au orc,ces-ierbat.
chemins de fer, tous nos ottvrltÍs collaboÍlnt au m.'i1n- Il veut d'abord rappeler-c1u'il a accunlijli son devoir
tien de la machine de guerre allemande. conformeinent à ia Uonstitution beige qui dit, f itre lll,
Il fallait, il faut que cela soit dit. Les Belges doivent arïicle 25, << 'fous les Pou'roirs émanent de la Nation >.
cesser d'êire des serviteurs conscients ou inconscieni,s En vertu du serment que nous avons prêté, de ïidélité
de Hitler. au Qoi, respect à la Constitution et aux Lois du Peuple
belge, nous faiilirions à ce serment en recevant ici otfi-
ciellement quiconque tenterait d'usurper le Pouvoir
commuual dont nous soirnles le dernier remoart. La loi
[,e dónonciateur ne poLlvant sanctionrrer vi)rre rronrirriltiun, cetre-ci, à nos
yeux, ne vous confère aucune investiture légale.
Dans les dossiers de la Gestapo de Namur, sur les- Ne vouiant pas ncrus comprornettre et fideles à notre
quels l'un de nos agents peut de te.mps à autre,se pÍo- serment, les rapports elltre nous resteront distants et se
curer les tardes, nóus extrayons l'immond,e pièce sui- limiteront uniquement aux choses administratives ré-
\rante : servees au Cotlege échevinal. Chacun d'entÍe nous est
prêt à continuer consciencieusement ia mission iui de-
Namur, le i4 janvier 1941
volue par ies lois et les règies en vigueur dans le dé-
< J'apprends par M. Georges Frangois, conseilier con- partement qui lui est assigne; il restera ie gardien ïidèie
> munal à Andenne, domicilie 96, rue Rogier à Anden- de nos institutions nationales, en attendant qu'un jour
> ne que divers membres du conseil, M. Hosslet, com- la Fersonnalite royale, reprenant ses droits, poÍte son
> missaire de poiice; À/t. Petitjean, secrétaire communal; jugement suprênre sur notre conduite.
> M. Charles, 'bourgmestre Íf." à Andenne, ainsi que M. l',lous n'ignorons pas que nous sommes aujourd'hui
>> Wautier, industriel, se livrent clandestinement à la sous la domination étrangère, que l'occupant agit ici
> cnasse. souverainement, f;risant lond sur ce principe << la ïorce
>> Comme M. Ceorges Frangois en Íaisait la remarque
prime le droit >. Il nous impose des conditions nouvel-
> au Bourgmestre, celui-ci répondit : << Mieux pour nous les, bouleverse notre ordre social et nos traditions sécu-
> que pour les gris >. Signalé à l'attention de la S. D., laires. Cela se comprend encore, mais que l'on rencontre
> attendu qu'ii règne dans les milieux communaux an- dans notre patrie des sujets belges, que nous vous lais-
> dennois un très mauvais esprit, que Ia population ré- sons le soin de quali{ier, pour travaiilei à la destruction
> prouve et qu'elle voudroit voir cesser. Notamment M" de la grande ceuvre d'unite nationale, à I'heure grave oà
> Petitjean est un adversaire irreductible de l'.A,llema- les souiïrances de la Nation r'éclantent le rapprochement
> gne et s'est déjà signaié à I'attention de la police fraternel de tous ses enfants, il serait criminel de notre
> allemande GFP. part de leur assurer notre coliaboration. Nous pouvons
tout perdre, hors I'honneur. En agissant ainsi, nous som-
" Fieil Hitler mes persuadés que nous Íencontrerons l'approbation de
> (signé) GAILLARD > i'imm-ense majorite des Belges. Nous croyons sincère-
ment que l'occupant lui-même, dont l'attachement à sa
A la suite de cette dénonciation certaines personnalités patrie constitue un véritable culte et une haute qualité
d'Andenne ont eté condamnées à plusieurs inois de pri- morale ne peut avoir pour .nous que -respect, et mépris
son. pour quinconque renie ses droits sacrés.
Corrclusions : lo Un gibet pour Gaillard; 2o ou Geor- Selir notre tloi et notre patrie, telle est et restera :.
ges Frangois est un incónscient ou... une belle canaille. toujours notre ligne de conduite,

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