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De ma part, j’ai choisi de passer mon stage à SUNABEL de Ksar el kebir étant
donné qu’elle est dotée d’une direction Maintenance sophistiquée et vaste ce qui me donne un
choix varié au niveau du sujet d’une part et me permet d’autre part d’acquérir plus de
connaissances.
J’ai été affectée dans l’atelier instrumentation et ai choisi comme sujet l’étude de la
production d’énergie électrique dans la sucrerie.
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Stage de fin d’étude
PREMIER CHAPITRE :
PRESENTATION DE LA SOCIETE ET LA DESCRIPTION DE
CYCLE DE FABRICATION
I. Présentation de la sucrerie SUNABEL
1. Données techniques de la sucrerie
I. Description du cycle de fabrication du sucre
1. réception des betteraves
2. Echantillonnage
3. Déchargement
4. lavage (lavoir)
5. coupe-racine&diffusion
6. Epuration
7. Décalcification
8. Evaporation
9. Cristallisation
10. Essorage
11. Conditionnement
DEUXIEME CHAPITRE :
LA PRODUCTION D’ENERGIE ELECTRIQUE
A. LA CHAUDIERE :
I. Description de la chaudière
1. Eau de la chaudière
2. Description de la chaudière
3. Description du circuit d’eau à l’intérieur de la chaudière
I. Les sécurités de la chaudière
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Stage de fin d’étude
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Stage de fin d’étude
La réception est la première étape dans la technologie sucrière. Elle est chargée
de déterminer le poids net des betteraves ainsi que leurs teneurs en sucre qui
déterminent le montant de paiement de l’agriculteur
2. Echantillonnage
3. Déchargement
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4. lavage (lavoir :
La betterave à destination du traitement est abattue par des lances sous pression
puis soulevée par des pompes centrifuges vers la station de lavage où elle subit les
opérations suivantes :
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La betterave ainsi lavée est découpée en lanières fines appelées cossettes dans des
machines coupes racines à couteau afin de favoriser les échanges de matière de sucre.
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Les pulpes humides sont ainsi pressées pour en extraire le us restant appelé eaux
des presses, et après chauffage par un échangeur de chaleur à plaques (pour éviter
leurs dégradations) sont introduites avec les eaux diffusion. Elles pulpes pressés sont
alors séchées, et ensuite pressées dans presses à granuler pour donner des bouchons
appelés pellets destinés à l’alimentation du bétail.
6. Epuration :
7. Décalcification :
Le jus filtré de deuxième carbonatation n’étant pas exempt de sels calcium, une
décalcification s’avère nécessaire pour «éviter l’entartrage de l’évaporation.
En effet, le jus passe à travers une résine riche en sodium et libère le calcium par
une réaction de substitution montré par le schéma suivant :
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8. Evaporation :
Le jus à 14 ,5 brix est transformé sirop (ou jus dense) à un brix entre 65 à 70 par
évaporation.
Chaque effet est constitué par une chambre de vapeur traversée par un faisceau
tubulaire vertical. En service, la vapeur de chauffage se condense à l’extérieur des
tubes, tandis qu’à l’intérieur des tubes, le jus en ébullition se concentre.
Les tubes en aciers inoxydables sont minces pour assurer une transmission de chaleur
rapide.
La vapeur n’incruste pas les tubes, le jus par contre est incrustant c’est la raison pour
laquelle la vapeur passe à l’intérieur des tubes est accessible pur nettoyage mécanique
ou chimique.
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L’ébullition est intense dans une caisse d’évaporation et la quantité de jus qu’ille
contient et relativement minime.
Malgré les grandes dimensions de l’appareil, le niveau du jus attendrait à peine le tiere
inferieur des tubes, ce niveau s’appelle le niveau statique.
La vapeur formé par l’ébullition du jus est évacué e au sommet de la calandre apres
avoir traversé e une série de chicanes appelée dissecteur qui récupère les gouttelettes
de jus entrainées.
Au dessous de la plaque tubulaire inferieur ; il ya deux orifice pour évacué les eaux
condensée provenant de la vapeur de chauffage.
La vapeur de chauffe contient une proportion plus au moins important de gaz (air ;
ammoniac, on hydride carbonique) qui ne sont pas condensable. Si on ne les extrait
pas de la chambre de chauffage .celle-ci se remplit peu à peu de ses gaz et par
conséquent la vapeur n’entre plus et toute l’évaporation cesse pour cela chaque caisse
possède 2 orifices dans la plaque tubulaire supérieure par les quelle ces gaz sont
évacués à l’air libre.
Le jus épuré est porté à une température de 119 °C dans une série de réchauffeurs afin
d’augmenter la rentabilité de l’évaporation du 1er effet et avoir un brix convenable.
9. Cristallisation :
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Cette opération pour but de séparer et de purifier le sirop obtenu par évaporation du
jus. L’opération consiste à faire passer le saccharose à l’état solide tandis que les
autres impuretés restent en solution.
Pour bien contrôler le processus, on ajoute dans le sirop « sursaturé » des petits
cristaux sous forme de sucre en solution vont venir s’y « agglutiner » et les faire
grossir. Une étape de malaxage permet d’achever le grossissement des cristaux tout en
refroidissant l’ensemble.
On sépare les cristaux du sirop non cristallisé par essorage dans une grosse
centrifugeuse (‘turbinage’) qui tourne à 1500 tours/minute. En vaporisant alors de
l’eau chaude dans les centrifugeuses, on parvient à chasser le sirop coloré qui adhère à
chaque cristal de sucre (opération de clairçage).
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- Egout riche : c’est l’égout récupéré après clairçage à l’eau du sucre dans les
centrifugeuses. Vu sa pureté élevée il est recyclé vers les bacs d’attente du 2ème jet
10. Essorage :
La masse cuite est essorée par La force centrifuge développée par les turbines
sépare les cristaux en les retenant dans un panier perforé, des restes d’eau sucrée
appelée eau-mère ou égouttures’.
Les centrifugeuses tournent à 1.200 tours /min les cristaux de sucre restent dans
le tamis, tandis que les eaux mères s’en échappent. Les cristaux parfaitement purs et
blancs sont dirigés vers le séchage. Les eaux-mères ou égouts composés d’eau de
sucre et de quelques impuretés contiennent encoure beaucoup de sucre. Elles sont
soumises à une nouvelle cuisson avec formation de cristaux et à un nouvel essorage :
c’est le 2ème jet.
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Stage de fin d’étude
11. Conditionnement :
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LA CHAUDIERE :
Description de la chaudière
INTRODUCTION
Eau de la chaudière
Description de la chaudière
Description
Il y a plusieurs technique du circuitd’énergie
de production d’eau à électrique
l’intérieuretdeseulement
la chaudière
la source
d’énergie qui change et Les sécurités
la partie de centralede la chaudière
électrique elle reste la même et les différents
sources d’énergie mécanique sontprincipale
Sécurité : de chaudière
Sécurité secondaire chaudière
➢ Dans une centrale hydraulique, c’est l’eau en mouvement qui fournit
LA CENTRALE ELECTRIQUE
l’énergie mécanique à la turbine puis à l’alternateur.
Définition
Lescentrale
➢ Dans une composants
éolienne,principaux d’une
c’est le vent en centrale
mouvement quiélectrique
fournit l’énergie
mécanique à la turbine (= les pales) puis à l’alternateur.
Turbine
Alternateur triphasé
➢ Dans une centrale thermique à flamme, l’énergie thermique fournie par les
Transformateur
combustibles fossiles produit la vaporisation de l’eau. C’est le vapeur d’eau
Le fonctionnement
en mouvement centraleà laélectrique
de lamécanique
qui fournit l’énergie turbine puis à:
l’alternateur
Le fonctionnement de centrale
Bilan énergétique
Remarque : Il existe autre type des centrales.
La sécurité de centrale
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Stage de fin d’étude
A. LA CHAUDIERE :
I. Description de la chaudière
La vapeur est une source d’énergie, très utile pour le fonctionnement de plusieurs
unités au sein de l’usine SUNABEL. Elle est utilisée pour différentes fins :
Alimentation en énergie électrique des machines tournantes (pompes,
compresseurs…)
Vapeur d’atomisation du fuel (fours, brûleurs)
Mise sous vide de certaines enceintes
Traçage (des lignes de produit)
Dégazage physique
Fournir de la chaleur à certains produits visqueux
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Stage de fin d’étude
1. Eau de la chaudière :
L’eau destinée à l’alimentation des chaudières ne peut être utilisée à son état brut,
que ce soit de l'eau potable ou de l'eau naturelle (marine, fluviale…), elle se charge de sels
minéraux, de gaz dissous et de micro-organismes vivants, elle n’est donc jamais
chimiquement pure.
L'eau utilisée à SUNABEL est l'eau potable, elle est déminéralisée pour éviter les
phénomènes suivants :
• Corrosion des parties en acier par la présence de l’oxygène O2 et d’un PH faible.
• Formation de dépôts à la surface des tubes vaporisateurs dus à la présence de duretés et de
matières en suspension. Cette formation de dépôts donne lieu à une surchauffe du métal ce
qui peut engendrer des éclatements.
• Primage (entraînement des vésicules liquides dans la vapeur) favorisé par une salinité et une
alcalinité importante.
• Entartrage (formation de dépôts durs et adhérents sur des surfaces chaudes) par la
précipitation de sels dont la solubilité varie en sens contraire de la température. Ces sels
sont principalement les carbonates de calcium et de magnésium issus de la décomposition
thermique des bicarbonates correspondants, largement présents dans les eaux naturelles.
• Encrassement des turbines causé par les dépôts de silice sur les aubages lors de la détente de
la vapeur.
1. Description de la chaudière :
Une chaudière est une enceinte fermée d’une capacité métallique étanche et
résistante dont le rôle est de transformer l’eau traitée en vapeur à une pression et température
bien déterminées sous l’action de la chaleur fournie par la combustion. La chaudière
comprend essentiellement:
a. L'économiseur :
Il s’agit d’un serpentin dans lequel passe l’eau d’alimentation de la chaudière avant
de pénétrer dans les ballons et dans lequel elle est préchauffée en utilisant la chaleur des
fumées (L’eau circule à contre courant avec les gaz de combustion). Il a pour but de récupérer
une partie des calories restant dans les gaz de combustion, pour élever la température de l’eau
d’alimentation. L’eau préchauffée peut atteindre des valeurs de l’ordre de 250 ºC.
L’économiseur permet une augmentation du rendement thermique et une
suppression de contraintes thermiques dans le métal du ballon, que provoquerait une eau
froide. L’économiseur est un échangeur de chaleur à circulation d’eau inverse par rapport à
celle des gaz de combustion. L’échange de la chaleur se réalise par convection.
b. La chambre de combustion :
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d. Le vaporisateur :
Il comprend les parties suivantes :
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➢ Tubes de chute :
Ces tubes ne sont pas chauffés, ils relient le réservoir collecteur au réservoir distributeur et
permettent la circulation de l’eau vers ce dernier.
e. La surchauffeur :
La vapeur obtenue à la sortie du ballon supérieur est de la vapeur saturée (humide), le but du
surchauffeur est d’augmenter la température de la vapeur sans changer sa pression afin d’éliminer les
traces d’eau liquide. Il comprend deux parties : un surchauffeur primaire et un surchauffeur
secondaire, comportant entre eux un système de régulation de température par désurchauffe.
Nappe
supérieure
Collecteur
d'entrée
La température finale de la vapeur est ainsi régulée par action sur le débit d’eau de
désurchauffe, tout en contrôlant le débit de vapeur.
f. Le désurchauffeur :
Destiné à refroidir la vapeur surchauffée afin que sa température reste dans les limites
imposée par la résistance des matériaux aux températures élevées ainsi que de respecter la température
désirée (380°C) par injection d’eau pulvérisée entre les deux surchauffeurs.
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Eau d'injection
Vapeur
Pulvérisation en
gouttelettes
Schéma du désurchauffeur
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Coupe de la chaudière
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1. Turbine :
Une turbine à vapeur est constituée d'un grand nombre de roues (une centaine pour un
modèle de puissance) portant des ailettes. La vapeur sous pression traverse d'abord les roues
de petit diamètre avant d'atteindre les roues de plus grand diamètre. La turbine tourne alors en
entraînant l’alternateur qui lui est accouplé.
2. Alternateur triphasé :
➢ Définition :
Un alternateur triphasé est un générateur qui transforme l’énergie mécanique en électrique.
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.
Le rotor (aimant naturel ou artificiel) crée le flux.
Lorsque le rotor tourne, chaque bobine est soumise à un flux magnétique variable et il se crée
alors une tension alternative sinusoïdale e(t) aux bornes de chaque enroulement du stator.
1. Transformateur :
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Transformateur triphasé
➢ Rôle d'un transformateur :
Un transformateur sert à modifier la valeur efficace d'une tension alternative. Il peut
l'abaisser ou l'élever.
➢ Caractéristiques techniques :
– puissance apparente nominale : Sn
– fréquence : F = 50 Hz
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Stage de fin d’étude
Transformateur monophasé
Un transformateur est constitué de 2 bobines de fil de cuivre isolé montées sur une
armature en fer doux.
• Remarque:
Le fer doux est du fer pur, alors que l'acier est un alliage de fer et de carbone. Le fer doux
et l'acier s'aimantent lorsqu'ils sont placés dans le champ magnétique d'une bobine, mais
lorsqu'on interrompt le courant dans la bobine, le fer doux cesse d'être aimanté alors que
l'acier conserve son aimantation.
La bobine d'entrée est appelée primaire, celle de sortie, secondaire. Les 2 bobines sont
indépendantes. Il n'existe aucune liaison électrique entre elles.
L'armature en fer doux passe à l'intérieur des bobines et se referme à l'extérieur. Elle est
constituée de plaques superposées pour diminuer les pertes.
Le fil de cuivre est isolé par un vernis transparent qui pourrait laisser croire que le fil est nu.
➢ Fonctionnement d'un transformateur :
En déplaçant un aimant près d'une bobine, on crée une tension variable dans la bobine
(voir alternateurs). La tension induite dans la bobine est due à la variation du champ
magnétique de l'aimant que l'on déplace.
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Stage de fin d’étude
Ici, c'est la variation du champ magnétique créé par le courant variable circulant dans la
bobine primaire qui induit une tension variable dans la bobine secondaire.
• Remarque:
Un transformateur ne fonctionne pas en courant continu (pas de variation du champ
magnétique), de même qu'un alternateur ne fournit aucune tension si on ne le fait pas tourner.
Si le primaire est soumis à une tension alternative, le secondaire sera soumis à une tension
alternative de même fréquence.
La tension efficace obtenue au secondaire dépend du nombre de spires des bobines.
1. Le fonctionnement de centrale :
2. Bilan énergétique :
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➢ Puissance apparente S=
➢ tensionV=5,5 KV
➢ courant I=288 A
➢ fréquence f=50 Hz
➢ facteur de puissance cosφ =0,87
1. La sécurité de centrale :
Avant de démarrage la centrale il faut vérifier que :
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Stage de fin d’étude
Une fois la température d’admission s’est stabilisée 200 à 230 degré, porter la vitesse à
3600tr/min en agissant sur l’admission de vapeur avec un intervalle de 10 à 15 min environ
entre les manœuvres.
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Stage de fin d’étude
1. Maintenance préventive :
La durée de mon stage est divise en deux parties :
1. Maintenance corrective :
Ce type de maintenance est plus utilise pendant le fonctionnement de l’usine.
II.nouvelles connaissances :
Durant la période de mon stage j’ai appris des nouvelles connaissances au milieu de travail
et parmi ses connaissances on trouve :
1. l’asservissement :
Cette option elle est plus utilisée pour les bondes de stockage et sa but principale est de
faire alimenter les moteur des bondes un par rapport a l’autre et voila le schéma de commande
et de puissance de ces moteur.
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Stage de fin d’étude
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Stage de fin d’étude
a. le mégohmmètre :
➢ définition :
➢ Principe :
Le mégohmmètre génère une tension continue importante (de quelques centaines de volts à
plusieurs kV). L'appareil possède généralement une limitation de courant à quelques mA. Cet
appareil est utilisé pour mesurer l'isolement d'un équipement électrique tel que, par exemple
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Stage de fin d’étude
une machine électrique, des câbles d'énergie, des isolateurs, des parafoudres ainsi que tout
équipement ou installation susceptible de présenter un danger pour la sécurité en cas de défaut
b. La pince ampéremétrique :
➢ Définition :
La pince ampèremétrique est un appareil de mesure qui permet de mesurer 'intensité de
courant électrique sans s'insérer dans le circuit.et de vérifier la nature du système (triphasé
équilibré ou non) et de mesurer la tension la puissance et le cosφ .
➢ Principe :
La pince ampèremétrique est une sorte de transformateur électrique dont le primaire est
constitué par le conducteur dont on veut connaître le courant et le secondaire par un
enroulement bobiné sur un circuit magnétique formé par les deux mâchoires de la pince. Elle
sert à mesurer des courants alternatifs élevés sans insérer quoique ce soit dans le circuit. Elle
ne peut pas mesurer les courants continus.
3. Le variateur de vitesse :
a. Définition :
Un variateur de vitesse est un dispositif électronique destiné à commander la vitesse d'un
moteur électrique.
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b. Principe de fonctionnement :
Dans un moteur à courant alternatif, la vitesse mécanique du rotor est liée à la fréquence
des courants au stator. Ce lien mathématique rend possible une commande de la vitesse du
rotor par la commande de la fréquence du courant au stator. C'est ce que l'on appelle la
condition de synchronisme qui s'exprime différemment selon que l'on considère une machine
synchrone ou une machine asynchrone.
Pour une machine synchrone, la condition de synchronisme est :
Avec :
Avec :
➢ g, le glissement en %
➢ Ns, la vitesse de synchronisme en tours par minute
➢ N, la vitesse de l'arbre (vitesse réelle) en tours par minute
Ainsi, il existe une relation directe entre le pilotage de la fréquence du courant au stator et
la vitesse mécanique du rotor qui permet, pour toute vitesse mécanique souhaitée, de fixer la
fréquence statorique correspondante. C'est sur ce principe que se base le fonctionnement du
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Stage de fin d’étude
2. Les installations :
Les installations électriques sont l’ensemble des composants électrique qui peuvent
alimenter et commander une machine et les causes principales qui permettent de faire une
intervention pour ces installations sont :
➢ Problème sur un composant (fusible contacteur relai thermique……)
➢ Mouvais serrage d’un fil
➢ Mouvais contacte due à la poussière
2. La chaudière :
La chaudière est la partie la plus important dans l’usine et les interventions sont court et
pas nombreuse et les causes principales de ces interventions sont :
➢ L’économiseur
➢ Arrêt d’une pompe
➢ Arrêt d’une vanne
➢ Arrêt d’un moteur
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comme ont croyaient avant mes il faut doubler les efforts pour
y réussir.
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