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DU MEME AUTEUR Sept Upanishads, traductions et commentaires. Le Seuil, 1980. A Maisonneuve, 1966 Ganapati et Devi Upanisad. Edition et traduction {et 1985) Devi-Mahitmya. Texte ct traduction. Les Belles Lettres, 1975. Cosmogonies védiques, essai Cinterprétation (avec traduction des textes). Les Belles Lettres, 1981 Grammaire du Sanskrit. Presses Universitaires de France, 1971 (et 1978). Mythes et Légendes (traductions d'extraits des Brahmana). Gallimard, 1967 (et 1986). Upanishads du Yoga, traduetions et commentaires. Gallimard, 1972 (et 1975). L'Art de PInde (avee un catalogue des sites). Flammarion, 1983. Textes sanskrus (anthologie). Ophrys, 1966. PREFACE Scule parmi les Upanisad védiques, la Maha-Narayana® ost restée jusqu'd ce jour dans une sorte de quarantaine, Anquetil- Duperron et, Deussen a sa suite n’en donnérent qu'une traduction partielle, couvrant moins d’un tiers de Vouvrage, Aucune édition critique nen fut jamais faite, et la bibliographie qui la concerne se réduit, depuis soixante ans’ une dissertation de et a une adaptation trés Tibre que vient d’en donner un swim de Madras. Cotte défaveur tient. sans doute au fait que ni Sarhkara ni Raminuja ne Vhonorérent dun Commentaire ta connaissant et la eitant par ailleurs ; cependant, la cause véritable tient certainement an caractére propre de celte Upanigad oi se mélent trois types de textes : poémes dans le genre de ceux qui forment la substance de I'Isa° ou de la Svetasvatara®, séquences en prose dans le style de la Chandogya®, enfin chaines de mantra védiques a réciter & Voceasion de rites détinis : Iustrations, olla- tions, ete. Content & premitre vuc hétéroclite et propre & décourager le lecteur, mais on s‘efforcera dans le présent travail de mettre en évidence Funité intorne de Ponvrage et la cohérence des doctrines quil promeut, tout parliculidrement celle du culte mental ménasari yajiam que requiert, aux yeux des auteurs, le dieu personnel Prajapati, Narayana, ou Brahmén venu établir sa demeure a Vintime de sa créature (quhiydrn nihito ‘sya jantoh), exerci spirituels qui dans le cadre dune vie renoneée (saranydsa) assurent & Vinitié (ga evan vidoan) Venjew supreme mortalité en Brakmén. Diverses circonstances nous contraignent publier cette contribution en deux fascieules : 1a promiére livre Védition critique du texte sanskrit et la traduction, avee les notes qui accompagnent Pune et Vautre ; Ja seconde, actuellement sous pre —1- LA MAHA NARAYANA UPANISAD AVERTISSEMENT Le texte ciedessous reproduit est. celui de la recension én{dhra] de PUpanisad, établi @ partir de Védition de Poona (Anfndasrama Sanskrit Series 1898, tome 36, pages 783 8 810). En note, on trouvera les vatiantes apportées par les recensions dr{avida] (livre 10 du Taittiriya-Aranyaka, méme édition, pages 689 782) et ath[arvana] (éditée par Jacob, on 1888, Bombay Sanskrit Series, tome 35); il a été également tenu compte des lectures propres & Say[ana). Le second volume du présent. travail comportera un comment detaillé des lectures conjecturales (ot, done des Corrfections} qu'il a fallu apporter au texte), un index des mantra, une table de correspondance entre les diverses reeensions et Ie systéme parti- calier que nous avons adopté, ainsi qu'une table des paralléles deja relevés en note, an bas du texte sanskrit. La traduction est dotée de notes réunies en fin de volume, elles sont signalées dans le texte {raneais par des astérisques(*) et sont données sous le numéro du versot oit elles figurent (Exemple : Vaslérisque qui affecte le mob «poétes » au 6¢ verset renvoie 4 une note numérotée 6a). Les mots en ilaliques sont ceux qui font l'objet d’une remarque particuliére dans l'étude des doctrines & parattre au tome second ; ces termes seront réunis dans un index général qui formera la conclusion de tout, Pouvrage. & atha(1) paritistam, krsnayajurvediya-taittirlyaranyake dagamah prapathakah, mah-narayanacupanisat. b harih, oft, saha nav avatu, saha nau bhunaktu, saa viryath karavavahai, tejasvi nv adhitam astu, ma vidvisaivahai © om, Sintih, santih, aintih. (1) Le texte cansieit est donné on teanseription tatine selon te systime habituel; cependant, pour la commodite du lecteur, {© sordhi consonantique @ sts dissoclé (nav adhiiam pour ndvadnitam) ; de méme le sarahi voralique, Ie signe — rounle- sant les deux mots ctant destine'@ rappeler que Ie distocation ainsi opérée ext arti. —0— @ Et voici", en appendice au dixidme livre du (recueil) Forestier de (I'Bcole) Taittiriya relevant du Yajur-Veda Noir, la Grande Upanisad concernant Narayana. b Hari! Orn! Qu’ill nous protége tous deux, (mattre et disciple !) qu'il nous dirige ! (quant 4 nous), faisons effort afin que resplendisse notre savoir ! Puissions-nous ne (jamais) nous vouloir de mal l'un a Vautre ! © Ott! Paix, paix, paix ! tb aocts nt seulement (i ca_eti sarvam pour of colt saroam). @ Le texte sansheit june pontuation : les virgules et les points qul y fgurent rempl les dana et es doubles danda'a Vhemistiche et en fn de etrophe, —u- L'Upjanigad) débute (1 4 84) par un long poéme eélébrant en Pr{ajapati] le principe unique de Univers, a la fois transcendant le monde et s'y diffusant 4 la maniére d'une énergie vitale jusqu'a en atre « Ame » (étman, 64) Par sa facture, co texte imite les hymnes spéculatifs de VAtharva-Veda et, pareil a ceux-ci, se prolonge (65 a 82) en prigres implorant la divinité de révéler son mystére, car la connaissance do Palman-bréhman délivee de la mort, (22 et autres). La grande majorite des strophes ci-dessous est empruntée aux diverses Sarahita (TS, RS, VS, AV) parfois méme sous la forme de simples pralika (23 et 35) : eest que le souci de marquer Vobédience védique de 'Up enti’re prédomine dis l'abord, se poursuivant ensuite, tout au long de Pouvrage, jusqu'aux corréla- tions terminates, Aprés une strophe introduction (1-2) annongant. le sujet, on eoncéde quil existe dans le monde un prineipe immanent (« Cola» — le bréhman), mais c'est pour aflirmer aussitdt son identité aver Pr (3 4 14), Intelligence créatrice (35-0), le Voyant ; détenant tous les secrets, il en peut. révéler la substance & ses eréatures (51-64), doi les priéres que 'on adresse (65 a 82) & Agni, Rudra, Narayana, ete. étant bien entendu que Prajapati résume en Jui-méme tous ces noms divins, comme l'avait expressément indiqué e Le verset, =e 114 1 ambhasy apare bhuvanasya madhye nakasya prsthe mahato mahiyan, 2 sukrena jyotiinsi samanupravistal prajipatis carati garbhe antal 3 yasminn idayh sar ca vi ca_eti sarvari yasmin deva adhi visve nigeduh, 4 tad eva bhOtam tad u bhavyam & idari tad aksare parame vyoman, 5. yena_avrtari khari ea divarh m yena_adityas tapati tejasd bhrajasi ca, 6 yad antaty samudre kavayo vayanti tad akgare parame praja: 7 yatah prasita jagatah prasitt ioyena jivan vi yat sasarja bhimysm, 8 yad osadhibhiby purusin pasts ca Vivesa bhiitini cariearipi 9 alah parath na_anyad aniyasaih hi parab paraiis yan mahalo mahintam, 10 yad ekam avyaktam anantariipath, \Visvarh purdnari tamasab parast 11 tad eva_stamn tad u satyam Bhus tad eva brahma paramariy kavindm, 12 istdptrtar bahudhd jatam jayamanain vigvarh bibharti bhuvanasya nabhih. 13. tad eva_agnis Lad vayus tat siryas tad u candramah, T4 tad eva gukram amptari iad brahma tad pal sa prajapatih 1a: embnasy apare (an, ai); ambhasya pare (ar, Sby). @ 9B — AV 10,8124 (2), 08a AV 18,159 (Sv. Up 4th}, @8b— BS 1,161,30), phavyam& (an, de); bhava manasa (att). & Bb = BvkU 10,1488, mat (ath); mabim (da); mabien (de). yad 1) Dans las notes concernant les textes extéricurs & Ip, Ie signe « = + marque tun parallisme abso, lr mention ref» annonce an texte tres proche, mals avee des varluntes de detail —4— 14 It En Ponde sans limite, au centre de 'Univers, sur le dos du firmament, plus grand que te grand, ayant, de sa. splendeur pénétré les Tun dans 'Embryon s'active, ores, Prajdipali 3* Ce en quoi toutes choses s'assemblent et se dispersent, ce sur quoi tous les diewx ont eu leur assise, 4 c'est Cela qui, (au commencement) était ce qui fut, (était) ce qui sera : Cela méme, dans Vimpérissable, dans le supréme firmament. 5* Cela dont turent. emplis espace, et le Ciel, et la Terre ; ‘ce par quoi chanfe le soleil, avee son éclat, avec son rayonne- ment ; 6 ce que tissent les podtest au fond de Pocéan : e'est Cela (qui demeure) dans Vimpérissable, dans le supréme (firmament, ainsi que) dans (toutes) les créatures. 7* (Cela) par quoi tut incitée Vincitation du monde, (Cela) qui par les eaux propagea les vivants sur la lerre, 8 (c'est Cela) qui par les plantes pénétra hommes et animaux, tous les ébres qui se meuvent. sans esse. Rien autre n'est plus grand que Cela, et pourtant (on ne connait rien de) plus infime (que Cela) qui est. plus haut que le haut, (plus) grand que le grand ; 10 ce (Mystére) Unique, non-manifesté, quia pour forme Villimité, le Tout, lAncien d’au-dela les’ ténébres LIt c'est Gela qui, a-t-on dlil, est: Ordre et la Vérité, le supréme bréhman des Postes | 12 Offrandes et dons, tout ce qui, de tant de fagons, naquit ou est en train de naitre... nombril de "Univers, (Cela) soutient toutes choses ! 13" En vérité, Ce que (sont) Agni, Vayu, le Soleil et la Lune, 14 ce que (sont) l'Ambroisie resplendissante, et le brdhman, of ’Onde (originelle), '{est) Prajapati ! (4) ¢ youn (ay dr), prajion + curr selon 36 ot 62 de prajsh (amy ah) 7 prays Ode) tin maniuserit dik porbe prajise, © 7h: vi yal sosarje : Corr. de vymcasarje ny dr) vicasarja (ath): ef tome IL yad osadhibhih (an, drys vate (ah). @ 9A: sans par allele, ni variante. 6-11-18: sans parolee, ni eaviante, @ A814 = VS 32,1 (8 KB 8), —6— 15-30 15 sarve nimesa jajnire vidyutah purusad adhi, 16 kala muhartah kasthas ca _shordtras ea sarvasah, 17 ardhamasi masa rtavah sarbvatsaras ca kalpantam, 18 sa Apah pradughe ubbe ime antariksam alhio suvab, 19 ng_enam Grdhvari na tiryaearh na madhye parijagrabhat, 20. na tasya_He kas ca na tasya nama mahad yaéab, 21 na sarhdyée tisthati rapam asya na caksusi pagyati kas cana_enam, 22 hyd mantis manasi_abhikipto ya enath vidur amrlis te bhavanti, 28 adbhyal sambhotah prlbivyai ruse a vigvakarmanal sam avartata_adhi lasya tvas{4 vidadhad ripam eti lat purusasya vigvam Ajénam agre. vedg_sham etari purusath mahintam Adityavarnatn tamasah parastat, tam evar vidvin ampia tha bhavati na_anyah panthi vidyate "'yantya prajapatis carati garbhe antab ajayamino bahudha vijayat tasya dhirih parijinanti yonith maricindrh padam iechanti vedhasal. yo devebhya Atapati yo devandriy purohitah, parvo yo devebliyo jato namo fucdiya brahmaya. 16 = 15 Les divisions du temps sont toutes n 16 les secondes, les min: 18 Crest celui Qt sa forn 22 on V'informe par le ¢ 15-80 de VBtre, (qui est) éeclair es, les heures, les jours et les nuits, (toutes) sans exception, Jui qui ordonna :) «que s'agencent les quinzaines, les les saisons, Année ! >. ui trait les eaux, (el aussi) ces deux-la : [espace médian et le 19° On ne saurait Je saisir, ni par en-dessus, ni de biais, ni par le milieu ; 20. personne ne le régit ; son nom est ; Grande Gloire ! n'est pas dans Ie domaine de ta vue : nul (done) ne Ie verra de ses yeux ,, par la pensée, par Vesprit : ceux qui le connaissent deviennent. immortels. 23+ Crest a partir de Onde ct du ene do la terre quill s'est développé ; c'est de Vivakarman qu'il a tiré son origine ; 24 ‘Tvastar dispose ea forme: cela, e’est Puniverselle naissance du Puruga*, av commencement. Quant & moi, je le connais ¢¢ Purusa majestueux : il a la coulour du soleil, il vient d’au-dela les ténébres ! 26 Ale connaitre ainsi on gagne l'immortalit @autse chemin pour aller (chez les dicux). il n'y a pas Prajapati dans Pembryon s'aclive ; inengendré, il nait et se diffuse de multiple fagon 28 les sages comprennent son origine, ceux qui savent cherehent le Hiew de ses rayon 29° Tlrayonne pour les dieu ; des dieux il est le chapelain ; 30 il est né avant. les dieux : hommage a la lumiére sacrée ! TA 181 VS M7). © 9586 — TH I,LI2 SSL, © FRB — THI13.9 (VSI, 19), 69980 — TA SLS,0 (VS 1.20 -W- 91-46 31 rucati bréhmarh janayanto devi agre tad abruvan, 32 yas tv evarh brahmano vidyat tasya deva asan vase ris ca te laksmié ca patnyao akordtre parive naksatrani riipam asvinaw vyattam, isfark mam isana_amurh mam isdna sarvari mam isana. hiranyagarbhah sam avartata_agre bhitasya jatah patir eka asit, /h prinato nimisato mahitvé_ tka id raja jagato babhiiva, 38 “ya ise asya dvipadas catuspadah kasmai devaya havisa vidhema. 39 ya ftmada balada yasya visve pasate pradisarh yasya devah, 40. yasya chay@_amylath yasya mptyuh Kasmai devaya havisa vidhema. 41 yasya ime himavanto mahitva ‘yasya samudrarh rasayl saha ahuh, 42 yasya imah pradigo yasya bahd vidhema. 43. yath krandast avasd tastabhane abhy aiksetar manasa rejaméne, 44 yatra_adhi sfira uditan vy eti kasmai devaya havisi vidhema. 45 yena dyaur uged prthivi ca dydhe yena suvah stabhitarh yena nakah, 46 yo antarikge rajaso vimanah kkasmai devaya havisi vidhema. B18 = TK 3,19,9 (VS 3121. © 9884 = TH 3,19,6 (ainsh que ta formule terminale de V3.1 (aver var.) en prose. 85-98 ~ TS 4,1,8,3 (RS 10,121.) © 87-88 = TS 41,8,1 (RS 10,121,8). © 9940 = TS 418.5 (RS 10,121,2). 9 A — 18 — 317 Engendrant (cette) lumiére sacrée, les dieux, atv commence- ment, déclarérent : 32 «les dieux seront soumis au brahmane qui saura ainsi, » 33° Beauté et Bonheur sont tes deux épouses ;le Jour et la Nuit sont, tes deux flanes, les constellations sont ta forme ot les Asvin ta bouche ! 34 Envoie-moi vers (le monde) vers ce (monde-} la! Envoie-mo jue je désire ! Envoie-moi fers tout! 35* _Embryon d'or, au commencement’ (il) se développa : sitét né, il fut le mattre unique de univers. 36 Lui qui fixa la Terre, le Giel aussi : quel est-il, ee dieu, que nous l'honorions d'une oblation ? 37° (Ce dieu) qui, par sa puissance, devint Punique roi du monde, et de tout ce qui respire, et de tout ev qui sommeille ; 38 ce dicu qui régit hommes et bétes, quel est-il que nous Mhonorions d’une oblation ? 39° (Ce dieu) qui donne I'Ame, qui donne Ia foree, (ce dieu) dont tous les étres, méme les dieux, respectent enseignement, 40 (lui) de qui la Vie* et la Mort (ne) sont (que) Vombre, quel est-il, ve dieu, que nous I'honorions d'une oblation ? 41* (Ce dieu) qui, de par sa (toute-)puissance, (est le maitre) de ces montagnes couvertes de neige, (le mattre) de Océan et de (la riviére) Rasa, a-t-on dit ; 42 Ce dieu dont les bras sont les quartiers du ciel, quel est-il que nous Vhonorions dune oblation ? 43° — (Co dieu) que regardent: pour quil les aide tes deux masses tremblantes en leur esprit, 44 ce diew qui est 1a ou resplendit le Soleil levant, quel est-il que nous Phonorions d’une oblation ? 45° (Ce dieu) par qui le Ciel robuste, et la Terre fur par qui fut dtayé le Soleil, (stayée) la Vote Géleste, 46 Ce dieu qui dans espace médian mesure létendue, quel estil que nous Thonorions dune oblation ? nl fixés, 42 = TS4,186 (RS 10,121,4), @ 42-44 — TS 41,4 (RS 10,121,6) uliton vy ti (P8); silo vibhitt (RS). 6 45446 = TS 4.1.5.7 (RS 10,1215) we 47-60 47 po ha yan mahatir visvam ayan daksarm dadhana janayantir agnim, 48. tato devandrit nir avartata_asur ckaly kasmai devaya havisa vidhoma. 49. yas cid apo mahind pary apasyad daksarh dadhand janayantir agnim, 50 yo devesy adhi deva eka asi Kasmai devaya havisi vidhema. BI esa hi devah pradigo ‘nu sarvah plirvo hi jatah sa u_garbhe antab, 52_ sa vijéyamfnab sa janisyamanah pratyaimukhas Listhati_visvatomukhab, 58 viévatageakgur uta visvaton vigvatohasta uta visvalaspal, S54 sar bahubhyfrh namati sarh_potatrair dyiviprthivt janayan deva ekab. ukho, 56 venas tat pagyan viévi bhuvanfini vidvan yatra vigvarh bhaval 56 yasminn idaih sari ea vi sa olah protas ca vibhuh prajasu. 57 pra tad voce amptariy nu vidy gandharvo nama nihitari guh: 58 iyi pada uihita gubasu yas lad veda savilul pilasat 59 sa no bandhur janild sa viel dhémani veda bhuvan 60 yatra deva amplam dnasinas iptiye dhaminy abhyairayanta Ss L188 (RS 10.12 1.8.9 (BS 1 et SV Lp 2.8). 9 53-84 4.4 las ah TS) 2 aren (RS. @ 49-60 = inant BS). @ 61-52 ~ VS 13 et ". 85.56 VS 328 ch BNE } Sibhut (ah) vib fan, dr) sibNaL (VS). @ BPBB— VS 30 AV 2 1,10, angtsas a (or); aunratonnn (40h), x0 pitty pitiaat a 2 47-80 47" Lorsque vinrent les Hautes Eaux recevant I'Intelligence universelle, donnant naissance & Agni, 48 len émana, unique principe de vie des dicux : quel est-il €¢ dieu que nous Phonorions dune oblation ? 49° (Ce dieu) qui, par sa puissance, embrassait les Eaux du regard, alors qu’elles recevaient 'I'Intelligence universelle, alors qu’elles donnaient naissance a Agni, 50 ce dieu qui, parmi les dieux, était "Unique, quel est-il done que nous Phonorions d'une oblation ? BI Crest le dieu (qui parcourt) tous les espaces, e’est celui, qui, 4 Vintérieur du germe, naquit le prei 52 cst celui qui nait et 'se diffuse, c'est celui qui naitra ; son visage est Lourné vers l'arriére, son visage est tourné vers toutes les directions. 58" — Tl regarde de tous edtés, i fait face de toutes parts ; sa main agit partout, partout son pied : 54 (travaillant) de ses deux bras, (s’aidant) des ailes (du soulMlet}, il ajuste (Pun & Pautre) le Ciel et la Terre, (les) engendrant (ainsi), lui, Punique, le divin (arti (II est) le Vena qui voit tous les étres, sachant. (le lieu) it toutes choses ont leur nid commun ; 56 lui en qui ce monde unique se fait et se défait, il est celui qui se diffuse, tissé dans (tous) les étres, Veuille le Gandharva qui connait I'Ambroisie, révéler le Nom déposé dans le secret ! 58 «trois mots ont été déposés dans le secret »: celui qui sait cola devient le pore du Soleil ! 59° Test notre lien de parenté, il est notre pére, notre réparti- tour : (ear) il connait (toutes) les fonctions (et) Lous les ét 60 (car il connait) 'endroit ot les diewx, dans le troisiéme (monde), ayant goaté a 'Ambroisie, gagnérent leurs fonetions. VS, AN, RS 1,164,164) ;savituly pltisat (an, dr, TX 1, 115d). @ 69460 = VS 17.87 (AV 2,18. f.‘ausst RS 10,52.4 et RVKb 410.3). V5. 9,10 tpige Uhman vs sont Sirigés Vers le trasiome Jour » —a— 164 61 pari dyavaprthivi yanti sadyah pari lokiin pari digah pari suvah, 62 lasya tantunh vitatath vierlya tad aposyat tad abhavat. prajasu. 63. paritya lokn paritya bhatani paritya sarvah pradiso di ca, 64 prajapatih prathamaja plasya_, Simang_ilmanam abhisarnbabhiva. (1-82 = VS 52,12 (KI 50) of. aussi RS VS, KE); vivglya (ath). @ 684 — VS & 1,115,24, eL AV 6.8.80). viettya (a, dr, UIKD 88 ot TH 1,239) 61-64 61* — D’un coup, (ils) parcourent le Ciel et la Terre, ils parcourent les (trois) mondes, et les quartiers (du ciel) et (le séjour de) jumiere : 62 (Crest qu’japrés avoir dénoué le tissage de I'Ordre, il a vu Ge (mystére), il est devenu Ge mystére présent) en (toutes) les eréatures, 63" (De méme qu’japrés avoir parcouru les (trois) mondes, parcouru {tous les) étres, parcouru toutes (les directions de Pespace :) quartiers et. demi-quartiers, G41 Prajapati, le premier né de l'Ordre est devenu, de Tui-méme, V'Ame (du monde). og 0 On ne s'étonnera pas de trouver, immédiatement apres le potme cosmogonique, un groupe de prides (65 4 70) : c'est que les sections spéculatives d'une auvre de facture védique (ou pseudo-védique) se prolongent normalement en requétes ; PIsa-Upanisad en est un exemple célebre. Ici, aprés lenseignement sur le bréhman en lequel on a reconnu un dieu qui se révéle et accorde l'immortalité, on prie ce Seigneur souverain, lui demandant en grace (sani) la sagesse (medhd, sur ce mot voir ci-dessous les notes ad 317-386). Ce faisant, on utilise {rois mantra dédiés & Agni (Jatavedas) + constamment 'Up assimilera Palman & Agni (cf. surtout 252, Vatman qui a fait sa demeure dans le coeur de Vhormme est nommé mahin agnih Ici, Agni est désigné comme «l_mattre de la place » (65), c'est-indire le seigneur de Vassemblée rituelle (le feu est instrument principal du sacrifice), d’oa Von passe facilement au sens de régent de univers ; on lui demande limmortalité (67-68) et. illumination intérieure (69-70), en détournant de leur signification premiére deux strophes qui, au_vrai, implorent. le dieu de Poblation qui par la verlu du rite bien accompli écarte la nir-i (sur ce mot €f L. Renow « Védique nirpli» in Chatterji Jubilee Vol. p. 11) et procure la prospérité (bélail, moyens de vivre, ete.). 3 65-70 65. sadasah patim adbhutarh priyam indrasya kamyam, 66 sanit medham ayasisam, 67. uddipyasva jatavedo ‘paghnan niftlizh mama, 68 pastihs ca mahyam avaha jivanath ca diso disa, no hithslj jatavedo gam asvarh purugati jagat, 70 abibhrad agna agahi sriya ma paripataya, 85-66 — VS 92,13 (RS 1,186) et KM: 89; Valkh-SmS 2,7. 6 67-68 = HG 1,185. Aigo ia (n, dr, IG); digo sah (ath). 09-70 = HG 1,18, (et ef, AV 7,8,L1d pour 69). 70a: abibhead, Corr. de sbibhirad (dn, dr, ath) png 69 70 ‘Au mattre secret. de la place, a 'ami chéri d’Indra, F’ai demande (ce) gain, la sagesse ! Dresse ta flamme, Agni ! Ecartant de moi la Néantise, améne-moi du bétail, (procure-moi) les moyens de vivre, montre(-moi) les orients ! 0 Jatavedas, que, (grace 4 ton assistance,) le monde animé ne nuise nos vaches, & nos chevaux, & nos hommes ! ‘Viens a moi, Agni ! toi qui apportes (Ia lumiére) ! Enveloppe- moi de (ton) éclat 1 7 ur 71 & 82 : série de formules affectant la forme de la célébre Gayatri (ou Sivitel), priére solaire empruntée au Rg-Veda, que Ton récite aux saridhyd de Vaube et du crépuscule (cf. ci-dessous, 341) Ici, les mantra sont. de facture incorreete (a prouve les hésitations entre le Génitif et le Datif : 71 et 72) ot restent, grammaticalement mal traduisibles (peut-étre les Dat. suggérent-ils une équivalence VID-/VIDH-? mais il est plus économique de les tenir pour une ineonséquence syntaxique et de les traduire comme des Gén,, sur Je modéle de 71; ef. la variante ath, ad 71). De toute facon la signification de cet ensemble est claire : il s'agit d'un rudra-japa « sorte de litanie qui, dans les textes yajus, vient a la place précise ott s’amoree invocation & Rudra connue sous le nom de sata-rudriya » (L. Renou Journ, As. 1937 p. 272). A voix basse, le Renongant récite révélation du Mystére Cosmique (= stadressent Rudra (71 s prigres qui demandent la ‘brakman) ; les invocations 1 72), Ganesa (73), Nandikesvara (74), Skanda (75), Garuda (76), le bréhman lui-méme (77), Narayana (78), Visnu (en son 4° avatdra, 79), Aditya (= le Soleil, 80), Agni (81), Durga (82). 71-80 71 purugasya vidmahe sahasraksasya mahidevasya dhimahi, tan no rudrah pracodayat. tat purusiya vidmahe mahadevaya dhimahi, tan no rudrah pracodayat 73. tat purusaya vidmahe vakratundaya dhimahi, tan no danti pracodayat, 7A tat purusiya vidmah cakratundaya dhimahi, tan no nandih pracodayat. mahasenaya dhimahi, tan nah sanmukhah pracodayat. 7H tat purusaya vidmahe suvarnapaksiya dhimahi, tan no garudah pracodayit. 77 vedatmansya vidmahe hiranyagarbhaya dhimabi tan no brahma pracodayat. 78 narayanaya vidmahe vasudevaya dhimahi, tan no visnuh pracodayat vajranakhaya vidmahe tiksnadaristrdya dhimahi, tan no narasisnhah pracodayat. 80. bhaskardya vidmahe mahadyutikariya dhimahi, tan no Sdityah pracodayit. ‘A: purusasya vidmahe (an); videna (dr); tat purugasys vid simple Variante de 71. g 7B: dantl (an, dik}; dani. (dr). 743 (ath). 072 naib = nandi TH: moter que ee mantra est de facture dintérente des suivant, — 30 — 71-80 71 Puissions-nous connaitre (le Mystére) du Puruga! puissions- nous penser dévotement (au Mystere) du grand dieu qui a mille yeux! Cela, que Rudra nous le révéle ! 72 Puissions-nous connattre (le Mystére) du Purusa, puissions- nous méditer sur ce grand dieu ! Cela, que Rudra nous le révéle | 73 Puissions-nous connattre (le Mystére) du Purusa, puissions- nous méditer sur (le dieu) qui a une trompe sinueuse! Gela, que l'Bléphant, nous le révéle ! 74 Puissions-nous connattre (Ie Mystere) du Purusa, puissions- nous méditer sur Cakratunda! Gela, que Nandin nous le révéle ! 7 Paissions-nous connaitre (le Mystére) du Purusa puissions- nous méditer sur (le dieu) qui posséde une grande armée ! Cela, que Celui qui a six visages nous le révéle ! 76 Puissions-nous connaitre (le Mystare) du Purusa, puissions- nous méditer sur (le dieu) qui a une aile dor! Cela, que Garuda nous le révele | 77 Puissions-nous connattre (le Mystere) de (celui qui est) VAme du Veda, puissions-nous méditer sur !Embryon dor ! Gela, que le bréhman nous le révele | 78 — Puissions-nous connaitre (le Mystére) de Narayana, issions-nous méditer sur le dieu des trésors! Cela, que nous le révéle ! "9 jons-nous connaitre (le Mystere du dieu) aux griffes de diamant, puissions-nous méditer sur (le dieu) aux crocs acérés ! Cela, que le Seigneur-Lion nous le révele f 80 Puissions-nous connaitre (le Mystére du dieu) qui fait la lumiere, puissions-nous méditer sur (le dieu) qui fait la grande clarté ! Cola, que le Soleil nous le révele ! (Sty). © 75: sanmuknab (dn); sasthah (atk). © 78: sans parallee, al variante. 77: on altendalt brahind, & cause de hirenyugarbhah. @ 7B = Valld-Sm8 109. © 70: ndrasimha ova naracimheh (Séy). 6 80: Dhiskariya (an); dlvakariya (ith). —31— 81-82 81 vaisvinaraya vidmahe lalflaya dhimahi, tan no agnih pracoday: 82. kityayanyai vidmahe Kanyakumaryai dhimahi, tan no durga pracodayat. 81: 1alaye (an, de); Llelaya (ah). @ 88: katydyanyet ianyakumari.. degih. (nr). —32— 81-88 81 Puissions-nous connaitre (le Mystére du dieu) qui appartient & Lous les hommes, puissions-nous méditer sur (le dieu) qui joue sans cesse ! Cela, qu’Agni nous le révéle ! 82 Poissions-nous connatire (le Mystére) de Katyiyant, puissions-nous méditer sur la jeune fille! Cela, que Durga nous le révale ! Iv Les versets 88 & 163 consistent en une chalne de formules, (mantra-patha) a réciter & voix basse pendant les ablutions rituelles (sndnavidhi-mantrah), telles que les preserivent, au Renongant les Dharma-Sastra ; ainsi Manu 6,24 qui recommande des ablutions répétées trois fois’ par jour, et suivies de libations (comme ci- dessous 178-186). Le Renongant construit mentalement (voir tome I) un point eau sacré (tirtha) et prie comme s'il s'y baignait effectivement. Ainsi avons nous les formules qui accompagnont normalement les divers moments du bain lustratoire : consécration prétiminaire de la toufte dherbe que le pénitent tiendra a la main tout au long du rite, onetion du corps avec de Vargile, entrée dans eau du firtha, immersion, etc. ; le tout accompagné d’invocs diverses divinités concernées par le rite : les la Torre, ainsi qu'Agni, Varuna et Indra. 83-09 83. sahasraparama de ami kur’, 84° sarvari haratu me pa diva duhsvapnanasini, 85 kindat kindat prarohantl parugah parusah pari, 86 eva no dirve pratanu ahasrena atena ca, 87 yi Satona pratanosi sahasrena virohasi, 88 tasyas te de vidhema haviga visnukrante vasurndhara, 90 sirasa dharay raksasva mari pade pade. 91 bhamir dhenur dharani lokadharini, i vardhena abihunii, 93 myttike hana me pipari yan maya dugktarh krtam, 94° imgltike brahmadattd_asi kasyapeng_abhima % myttike dehi me pustisi tvayi sarvarh pratisthitam, 96 mrttike pratigthite ary tan me nirnuda, hatena pipena i. paramfin gatim. 98 yata indra bhayimahe tato no abhayath krdhi, 99 maghavaft chagdhi tava tan na ttaye vi dvigo vi mpdho jahi ‘89-04: sans parade, nl variante, © 885-86 ~ TS 4,2,9,2 (et. VS 13,20). @ 87-88 = —s_— gat 84 98° 99 83.99 La meilleure entre mille, la déesse aux cent racines, aux cent, bourgeons ; quelle emporte ma faute tout entiére, (Vherbe) Darva qui détruit les cauchemars ! Toi qui crots tige aprés tige, toi qui t’accrots noud aprés neeud, de la méme fagon étends, 6 Darva, (notre descendance) de cent, de mille (générations) ! Toi qui étends (notre descendance) de cent (générations), toi qui (I"Jaccrois de mille (générations), 6 déesso, brique (faite dherbe Dirva), nous voulons Whonorer dune oblation. Toi que parcourent chevaux et chars, toi qu’arpenta Visnu, (tu es la Terre) porteuse de richesses ! De (ma) téte je te soutiendrai ; & chaque pas, garde-moi ! (Tu es) la Terre, Ia Vache laitiére, qui porte, qui soutient Je monde Tu as été soulevée par le sanglier noir aux cent. pattes. Tue ma faute, argile ! ce mal que j'ai commis. Argile, tu (nous) a été donnée par le bréhman, (ot c'est) Kaéyapa qui t’a consacrée ! Argile, donne-moi opulence, toi en qui toutes choses ont leur assise Argile (qui as été ainsi) établio, argile, éearte de moi tout (le mal) que j’ai commis ! délivré par toi du mal (que j'ai commis), j’avance vers issue supréme. 6 Indra, donne-nous du courage face & ce dont nous avons peur! (Dieu) généreux, sois efficace en cela pour nous aider! Disperse nos ennemis! Disperse nos adversaires ! TS 42,9,3 (et VS_13,21). © 89-00: cf. Matsya-Purina 102; (Sauparge-Purdna 5,19. © 98-09 = BS 61,13 atiBhin) —37— 100-113 100 svastida visas patir vplraha vimrdho vast 101 vps@_indrah pura etu nah svastida_abhayarikarah. 102 svasti na indro vrddhasravily svasti nah pasa visvavedah, 103 svasti nas tarksyo aristanemil, svasti no byhaspatir dadhatu. 104 apantamanyus trpalaprabharma dbunih simivaie charumarh jst, 105 somo viéviiny atasd vandni ig indrar pratimanani debhuh, 106 brahma jajianari prathamarh purastid vi simatah suruco vena avah, 107 sa budhniya upama asya visthah satag ea yonim asataé ca vivah. 108 syona prthivi bhava moi, je ne suis pas celui qui fait. agir ! 426 Elle est pour Loi, 6 Désir, (cette oblation) ! Pour le svatha ! desir $ 492-498 = RS 10,57,12 (sans + svGNM =). 6 424-496 : sons parallle (cout 1240, Xp. Dhs (Prat) 19.6 1). 99 497.490 427. manyur akrsin namo namo manyur akarsit, 428. manyuh karoti na_gharh karomi manyuh kart na ahari karta manyuh kirayita na_aharh karayiti_ 429 _ega te manyo manyave svahi. 427-420 ; sons pavallle (savf 4272, Ap. DS [Prat] : 1,9,20,19) poumeae: 427.429 427 La colére fit (la faute) ! Hommage ! Hommage ! La colére fit (la faute) 428 La colere agit : moi, je n’agis pas! Celui qui agit c'est la colére : moi, je ne suis pas celui qui agit ! Celui qui fait agir c'est la colére : moi, je ne suis pas celui qui fait agir ! 429 Ellle est pour toi, O colére, (cette oblation) ! Pour la colere : svaha! foe Le groupe de formules données de 430 456 concernent des rites oblatoires de type hioma eélébrés avec du sésame (lila) ot Gestinés 4 la purification intérieure du Renongant (Sy : sarva- papanibarhandrthas tilahome viniyulta mantra). Ce dernier point n’empéche pas les formules de demande traditionnellement, la prospérité, une nombreuse descendanee, ety conjointement avec Pabsolution des péchés (435 eb suiv On peut distinguer, semble-t-il, trois oblations (430-433, puis 434-439, enfin 440-456) dédiées, comme il se doit, a Agni nommé JAlavedas) puiseue crest dar je fou qu'est vorsé le sésame Les priéres données a partir de 440 sont intéressantes en ee quelles énumérent, tout ce qui, aux yeux des auteurs, constitue ta personne humaine : d'abord les cing souflles (140), ensuite le corps, dont, les constituants sont nommés (442) avec les différentes parties que Pon peal y distinguer (445) les eing sens (446) les facullés Wintelligence et d'action (441) et. done les actes faits (M17) & quoi Sajoute enfin PAme méme, qui, elle aussi, a besoin d’étre puritiée par le rite + on hii donne les trois noms d'atman, antaritman paramaiman. ct Von fait allusion aux. cing fuse (envelopes, fourreaux) de la Taitt-Up (brahmananda-valli). Comme en 156 {et suiv.) Petre purifié devient lumidre > it resplendit (sous-entendu : tel Agni, grace & qui, ici, la délivrance des souillures du pérhé a été obtenne). 103 - 430-443 430 tila juhomi_sarasiin supistn gandhakan mama citte ramantu sviha 431 givo hiranyari dhanam annapanamh sarvesiih sriyai svahi, 432. stiyaih ca laksmish ca pustinn ca Kirtinn ca_anqnyatim, 433. brahmanyari bahuputratim sraddhamedhe praj jatavedah sandaditu svahi. tu tilah krpnds tila Svetas tila) saumya vasinugah, {igh punantu me paparh yat kith cid duritarn mayi svaha, Drahmahi_guratalpagah, lh @ntiih Samayantu 438. ériyarh ca lakgmbti ca pustitit ca Kirtinh ca_angnyatim, 439° brahmanyarn bahuputrataih sraddhamedhe prajiin tu jilavedah sarndadatu sval 440 prana-apana-vyan: jyotir ahari viraj 441 vai-manaé-c: sarhkalp me sudhyantam, jyotir ahari viraja vipipma bhoyasaih svil -udina-samina me sudl ipmi bhiyasah svaha, sreto-buddhy-Akati~ 42 riisa-rudhira-medo-majji-snayavo-sthini me vipipma bhayasara svaha 443 ni-pada-paréva-prstha-udara-jangha-sisna-upastha- iyavo me Sudhyantim, jyotir aharh virajii vipapma bhiyfsain svaha 490 4 498: sans parallle, ni varante, Corr, : on 430, (Ath); prithor odarav (an, dr). — 10s 430 431 432 433, 434 435 437 438, 439 440 441 442 443, 430-443 Je fais oblation de grains de sésame, pleins de sue, bien moulus, odorants : qu’ils réjouissent: mon cceur ! Svaha | Les vaches, lor, Ja fortune, le boire et le manger ; pour Ja splendeur de toutes choses : svaha ! La splendeur, le suceés, la prospérit et d'etre libre de dette, la (gloire) brahmanique et davoir beaucoup de fils, la confiance et Ia sagesse, la connaissance : que Jatavedas (me) donne (tout cela) & la fois ! le bon renom, Ils sont noirs, ils sont blanes, tes grains de sésame ; ils sont bénéfiques et obéissants ! Los grains de sésame : qu’ils me purifient de ma fante de tout ce qui pour moi fut malvenu ! Sval Tel que (d'avoir mangé) pendant le premier sraddha de la nourriture volée, ou d’avoir tué un brahmane ou d'avoir souillé la couche d'un mattre, ou d'avoir volé des vaches, d'avoir bu des liqueurs enivrantes, (avoir pratiqné Pavortement ; que les grains m’apportent la paix! Svaha! Oui, quiils me donnent la splendeur, le succes, la prospérité, le bon renom et. d’étre libre de dettes, la gloire brahmanique et davoir beaucoup de fils, la confiance ‘et. la sagesse, la connaissance : que Jétavedas (me} donne {tout cela} a la fois ! Qu'en moi soient purifies (les cing souiMles :) Je prana, le vydna, Vudana, le samdna! Jo suis lumiére | Puissé-je tre délivré de toute souillure, de tout péche ! ‘Ow'en moi soient purifiés la parole et la pensée,|'ail et Voreille, la langue, et le nez, la somence, l'intelligence, l'intention, la volontét Je suis lumiere ! Puissé-je tre délivré de toute souillure, de tout péché! Qu'en moi soient purifiés : peau, cuir, chair, sang, grais: moelle, ligaments, 05 ! Je suis lumitre! Puissé-je étre délivré de toute souillure, de tout péché! Qu’en moi soient purifiés : téLe, mains, pieds, flancs, dos, ventre, jambes, organes intimes, anus Je suis lumitre ! Puissé-je étre délivré de toute souillure, de tout péehé ! 444-454 444 _uttistha purusa harita pingala lohitakga dehi dehi dadapayi me sudhyantam, iyotir ahath virajavipapma bhiyasaih svaha, 445 prthivy-Rpas-tejo-vayv-akasi me Sudhyantim, arsa-ripacrasa-gandha me Sudyanliim, jyotir ahaih viraja vipapmni bhiyssamh sv: ya-karmani me sudhyantim, iyotir ahath Viraji vipipma bhuyasarh svaha 447 448. avyaktabhavair ahathkirair, iyotir ahain viraja vipapma bhiyasami svahi, 449 tma me sudhyatim, jyotir aharh viraja vipapma bhiyasarh svaha, 450 antaratma me sudhyatim, iyotir ahari viraja vipap 451 paramatma me Sudhyatim, jyolir ahariy viraya vipapma bhiy bhijyasath svaha, ain svahi, 452 keutpipasiya sva revidha 453. kagotkaya svaha ksutpipasamalath jyestham alaksmith nasaydmy akam. 454 abhiitim asampddhirn ca sarvarh nirnuda me papmanaih svaha: 444 8 447: sons paralléle, ni varionte, 488-451 : sans parallel, ni arian Core (449,400,401): Sudhyatam ‘de sudnyantim (texte imprimé). © 482 parallele, vitiltyal (dm, drj; viet (ath). © 48454 ef. BVKN 5878 @ 483 Alakemin, cor. ie «laksa» (in) — 106 ~ 444 445 a6 448, 449 40 453, 444-454 Lave-toi, Purusa! brun-jaune, aux yeux rouges ! Donne ! Donne-(moi la pureté) ! Qu'en moi soient purifiges toutes ces choses que j'ai rogues ! “Je suis lumiére ! P de tout péché ! Qu’en moi soient purifiés la Terre, les Baux, la Lumiére, Jo Vent, I’Atmosphére ! Je suis lumiere ! Puissé-je ébre délivré de de tout péche ! Qu'en moi soient. purifi Yodorat.! issé-je dire délivré de toute souillure, ite sonillure, s Voute, le toucher, la vue, le VJe suis lumiére ! Puissé-je dtre délivré de toute souillure de tout: péch Qu'en moi soient purifiés la raison, la parole, le corps, Jes actes 1 Je suis lumiére | Puissé-je étre délivré de toute souillure, de tout peché ! Des étals (dime) latents (en moi), de mon orgueil (puissé-je re delivre) { lumiére ! Puissé-j tre delivré de toute souillure, Je sui de tout péché ! Quien moi I'Ame soit purifiée ! Je suis lumigre | Puissé-je ¢lre délivré de toute souillure, de tout Qu'en moi !'Ame inlérieure soit purifige ! Jo suis lumiére ! Puissé-je ctre détivré de toute souillure, de tout péché ! ‘Qu'en moi I'Ame supréme soit. purifiée ! wuis Jumiére ! Puissé-je etre delivré de toute souillure, de tout péché ! Pour la faim : svahi! Pour la faim et la soit : svahd ! Pour le service : svihi! Pour Vaffeetation des strophes sviha ! Pour le Régent : sviha ! Jelface la souillure de ta faim et de la soif, le pire mauvais sort ! Chasse, (9 dieu!) lout échee (dans mes veewx), tout insuecés ! Eearte de moi le malheur { — 107 — 955-456 455 annamaya-prinamaya-manomaya-vijiinamaya-dnandamaya Atma me sudhyatim, 436 jyotir aharh viraja vipapma bhayasaih svaha. 456-456 — Boudh-Dns 3812. @ 485 : ITI MAHANARAYANOPANISAT SAMAPTA Telle est la Corrélation. FIN DE LA MAHA-NARAYANA-UPANISAD {548 4 650 vans parallle al varlante (cf. copendant les corrlations terminales de 1a Prindg-Up : Lome IT, en Appendlco) — 140 — —m— NOTES sae de edition de Poona (Snvanda-Aéeamva Sanskrit Series, ome 10, page 789), rs qui est effoctivement un appendice au T.A. (dont Ie ate: Sntroduisant I version 8 version drivida, pour so par, constitue le 10 ive, ef. Introd. p ‘La benddiction initiate donne en Dest reprise de Taitt Up (— TA 7%, Seb Be tive); fine sera plus jamais question dans Io M,N. U, de mare a deisel, ‘ari est Yun des noms de Vismu (-Nerdyana) ef, dans Tp 899 et autre. 162 Celte premiere strophe prétude en annoncant la doctrine eosmogonique de Up, 4 savoir que le principe (ef 7a. fondement (el. 3, 12b, et.) de toutes ones est un slew (l-81a) personnel au nom transparent dle Projd-paly, cestacdire Seigneu, Maitre {poli} des evéatores (pra: lu progenire), ir qui est infiniment grand ‘annonce de 201 ot on le qualifier d'nflalment petit) \Caurdessus da monde, surle dos da ciel, expression peovédigue (1, 164,10; 9,16, 12,900, ee) comer nant fois le sued dont Te cha ae aun Ia vod dv fieenarnent ft te Sima qui se tient sur le dos dela beebis (1) (entender sur le tre de laine qu'il ve traverses} + est Vidée de transcendanee ‘el. dans Up les expressions comme il se Gent au-destus des ténébres» + 10 et 536), & quoé Ton ajoute aussie cele de Vinmnanience Pest tgalement (ek sustout) au conire dt mand, dane Vembryon (Cf. 27, 36,91) 1p resplendit-aw sein de Onde originelte (Vindittrenele symbolieé depu RS: 1120 par un ocinn sane rioage dean indistincwes desquelles nat le gorme I, ef. 23) ‘La Pr wacive i iad i vie dont est te prineipe & la mantére du sotelditusant chaleur (image donnde pet ps, bh) ce faisan, pense ls Luidrese'et-A-dire, Fei los 3 mondes (ites 6a, ot souvent par la suite) aw mogen de sa propre splendeur fle mot sikra Sapplique & tout ce qui est clair 6 resplendissant : principalement le Sonus (~ Pambroisit, ef. 14%» aikram amrtam >, Ye liquide qui apport la vie; Vide ‘ie fecondation deja présente dans prajd se retrouve dans eakra qui ignite également ssemence virile). B44 11 xagira désormats (9 4 14) do monteee que le mystiriens principe de toutes those (on le désigne par le pronom nene «Cela s| west aire que Prajapatlui-méme com Ft d'abord Cela qui réside dans te firmament (idée de teanscenance), c'est scometriqu ott convergent (et drt divergent) tex étéments ennatituants eee monde (idan. sacar}; ee ttre, Cela est a la fis le pss et Pagenie de CUnivers : actuelle mest emplo: du present en 2b) ass bien q's Forigine (emplot dle Vmpartait, tomps anuctiristique ses cormagonies). Les diesr ant trouve en (ela leur asse> par ect fmprunt at Re-Veda est exprimée Pidce que les ein appartienaent Ia eréation Seconaive (vay); il ont eu leur oigine (ler Fondement) en Cela qu est la source e tout ee qui exist, (i) Dans Pp, au worst 163, — 43 — 16 156 Ce mystore dont sont eneeloppés (ou : velus, ef Je début de ITég-Up) es trois rmondes et grace & quoi chaque &tre accomplit se fonction, cest Cela qui es & I fois transcendent lest dans le jour supreme} el immanent & PUnivers [it eat présent en thague erature: Vidée sora longuement développée en 201-280), 6e se réfere au mythe védique des poses-royante (proprement: ri, asst kei) qul ont vu la nalssance de Tembryon dor dans Vocéan originel et qui participent meme fu dissage de F'Univers(lequel est en ee cas coreéatif au sacrifice @ qul s'applique hhormotement Vimaze, ef, par ex. BS 10,130) 748 Deux importentes notions costogoniques voisinent ici + ineitation (racine 'SC-) et emission (racine SRJ-); le monde taut entier se meut, on appelle fagat Te Monvan, et c'est Pr qu donné le Branle Jouant le role incitateur (soils Yun de abla arigine (yotak) marque fortement cette fonetin, non moins ‘ve la répétition voulue, & valour intensive (melt. Cnetation..) oulignée encore por le preverbe prov {mouvement en avant, dynamism). Quant & Ia forme verbale Ui ssasarja elle fat allusion & Cemission (SBel-) eta dlfusion (ei) de ee monde fen tant que exéation seenndoiee (o-arai, par rapport & las nalssance » de Pr le premiers née TOrdee, ef 61, Sitot ean, le principe de vie (= Pr) ee propage et pend tous Tes vivanly par Vintermédiaie des ear, puis des plantes quis consomment : VUp Acveloppera en detail le phénomene en 689 et 10 1.¢ vocabulaire est celui que YUp wtiisera (201 et suiv.) pour eblebrer Patman faa tors aueaela Gu onde, plus grand, pos ti qe Wout cw yt eaiste ot prégent en Thomme comme un geain de a infitésimal (plus infine que Cinfime, 201s). L’Ancten fat Tun des noms d?Agni dans le R-Veda[ot. Berg. 1, 37s) et on vera (notamment ‘5zel suiy.| ue "Up aaslle constamment Patan & un feu (agri) resplendissant Mk Le doctrine mise en wuvre dane cette strophe comme dans 1a suivante et dans mainte sutres passages de I''p n'est pos le panthélsne, mai, selon un mot de Mireés Eliade (Traite p. 992), un pan-ontisme qui voit en fa qualité éminento (ow ‘csentiells) de ehaque chose : inst Cela, dans le monde, c'est ['Ordee (pla), eat fa rite featya), c'est fe message tnepiré (dha } dex pades; dans le sacrifice, c'est 18 rile bien agence (rla), cest exactitude (salya), c'est la formulation (brdkman). Tei Tes deur domainos cont évoquéssimultancment (Je Cosmos est, cans la penste védique coredlatit su stciflee), comme le montee le second hémistiche :offranes aux deux {istas) et dons au eletge (2pirla) relevent di ene, eependant que nabhi (moyen) se rétore Ta roue cose 18-14 ois situo ln ehorniére de Vexpose: ce prineipe mystirieux, on avait concede tun instant ee etlébrer en termes pré-védantiques (au gence neutre et avec des texpeessons comme af, yak, anantardpa, ete.) mais e'éait pour mieux faire ressortit Te Uoctrine » «Cela en reallé c'est Projapall lai-néme » qui est essence des fonctions cosmiques,dhiman, ef. 50-0}, incarnées en des divinités comme Agni ow VOyu {retdrence inpliite sun facultés de homme elles aussi désignées comme des divinit agri = ve, nyu — prdna, le); plus encore Pr, c'est (a vie elerelle (a-mpta «no fore, c'est Fabwrtt brakman), west ka substance méme de Univers (symbolisée pr fs Ewuz au sein desquelles naquit le Geeme cf. cidessous, 28 et 25) 2516 Ici Prajipati, en tent qu'dme dv monde, est nommé « Byprif» (paruga) en. retérence eu Geant cosmnique de Pyne HS 10. Personnalite mythique dont sont Issues les diferentes parties de TUnivers (le temps n'y est pas nommé sav une allusion fugitive nue selsons!. Ein eéalite, au niveau de "Up, diman (Narayana), bréhman im 10-28 (Prajapatd) et purusa ne font qu'wn =i ak done rapporter 18-16 aussi Bien que 17-18, 4 Prajgpati maluré la mention de puvuya. Des lors tou séeaire« Année (~ le temps) est Pr» (crtte formule liturgique se retrouve dans [Up en 268 et en S31); ef. he sujet L. Silburn «Instant et Cause» (p. 50 @ 108), image de Téelair est une reference 8 Tatmon souvent compare dn les Up & kx Ineur chlouissante de Ie foudre surgieeant du nuage noi et e-dessous, 257), 178 Lingencement da ternps est donne comme Peavre de Prajapat (& vrai dine, Vimperatit eat fet mattendn, time formule comme ee'est par Ini que wagencent.. serait pis naturelle, Le deusieme tenaticke (18) et encore plus énigmatiqn il faut Y voir tne allusion sm mythe dela Véngj (AW 80 eL8,10) ta Vache Cosmique que tent ‘eux veaus dont Pun est Ie Brahman (AV 89,1 et 7); fii semble que le Cosmos tout ‘entier (le cans origineles, fe monde...) sit la Virbj et que Pr en tee leat fentondons: essence, rasa ou bréhman), qu'il diuse ensuite dans Univers. Mais en démnitive, celle royaute disperste (sens premier de vé-raj), ees tovjonrs Prajépath (ef. 37 iL ee oie,» C6260), 19.20 cite strophe qui se retrouve dans la Sv-Up prociame ta tulespuiseance du ‘Seigneur {dont le nom est indirectement évoqué par le verbe ie) i n'est pas, comme les cieux de In eréation stoondaire, soumis & un statut », & une norme fonetionnel {dhiman), ik n'a pos ew A rechereher 1 point dap (el. Sh), ete. West pournuok ton nom (Westies) le symbole eoneret de son éter veritable) est glove (le mot yadae connote Ia eonsidération dont om entoute le vainquetr, fe souvernin, ete). Transoene Sant, Fe diet ne pest re ist la facon eum objet que on prend par un bout ow par fun autre In racine IAI (variante de GIRALT-) evoqne avec. precision apprehension du wel par les onzones des sens que Yon appelle dan i B.R.U. (3,1 89) dee sisinceuns» (gra) 21-92 Reprenant avec foree co qu'évoqualt li président, cate strophe allrme que seule Ia vision intirieure permet approche de Dieu : prenons gunle eopendant qu ‘agit el de la connaissance intelletuelle, de la realisation comme on dira plus tard de Palma cosmique (Nariyaga|. On veut d'aflirmer (200) ce quest sot nom, om exp que maintenant que on forme (rapa) est isaisisable par les noyens habituels: Vhomme dlone construiralulméme, annera fre son intuition de élan-brdkman. tuition dont Vorgane est Pinteriorte, sas autre précison, ear les termes hyd manta manasd constituent une séquence uailaire presque adverbiale (FInstrumental vie faclement ‘aYadverbo, vn tout cas certainement pleowsstique Elle a sin otivine dans le Rg-Veda bo les poetes Putiisent pour indiquée que ke haute parole le truhman) ne peut ‘Sincarner on hymues bien consteuits que si les inspirés parvlennent 4 en informer [lo jailssement tumultueax (Lorent, eouiees, aeean, ste)» par le ecru, par lx pense, por Vesprit =. Sur tout eek on se reporters a ME tude generate & paraitre a wane De 28. BA sont données in exten les 8 strophes que le texte de Up wévorqu selon usage que pur un prsitke c'est-d-dire par s0 propre puissance (ef. 7 ‘sitdt a6 iL est devenu te poi de Punivers=). De Narayana, ip dita également (260, ‘qui est un Fol gui ne ent son pouvir que de Inimdime (Sai) 82-88 Loe lstrations s'ouvrent par la constcration préalable dela poiznse Wherbe arog (panieusn daetyton t) que le penitent tendra en main durant tout le bain, Pour tc faite, trois mantra sont resis (diroaphimantrana-mantrdn dha. 80 4 97 Second moment du rite: consieralion (abhimantrane) dune fli) dont le péaltont se (rtters le corps avant dentrer dans Te bain, Des forsiles sembabes celles-e se relrouvent en quelques textes (les plis proches dtu notre seront eltes dans tude générale, au ome II), Tous onten commen diteorser a Terre eu des termes dont Vorigine es rechercher dans Ihymne AN: 12.1 Aisi idee ‘tue la Tepe soullent le monde se retsnve en In srophe 6, Pidee quelle est nouricire ‘str 12), 4 la fagon d'une vache latiee (str. 42 et 59), qu'elle protige (ste 14) et ‘onstamament, qu'elle puri (st. 12.29.3027), y compris a w8férenice & Vena ate Se lanote de L. Renow Hynes spiel) [Le sangliee noir du verset 2 est Vignt qu en son 3 aralara ramen ty Teere& 88 place veritable, la soutenant (ef. Menuet 1,103); c'est aussi, selon Je TT, Praji ‘ul, au commencement, souleva audesans des ots i tere submengée (Manuel 1,670 ‘Mame remarque & propos de Kasyaps + sit Viso, 2 avaldra, st Prajipat, selon ‘$8 (Manel 11037), soit meme an BH conn dans Te Vesa, ow encore une classe de genes sais (AV 191.28 et of TAN. 18) te argite 98 8 12L Iv ponitent, sur Is henge ds firtha, tinge Indra, Ia Teree et diverses lvinites (Pagan. Tarkgya, shaspai, Som le Venn}, implorant lene protection contre Tes demons. Ine In meme fagon Up insinera en 200-208 une prve 4 Agni Cueur de semons» (raso-ghna) at cours autres lustrations {Les divers mantra qui, presque lou, ont leur onigine divs fe Veda (RS ow 1S) ont {46 cholsis en raison we Vambivaleuce de leur vocabuloive : winsi portire (118,119) Signi la fos = tre Soma «et » moyen de purification + (orinte Ow geste) dg-hta ‘st simultanément + mauvaise passe, Geue» et «miéait» popman designe avs bien le péche» que +le malheur » ete, De mame évidemmn ‘adversates, «eux qut nous veulent du mal » qui sont fei les demons tes que MauvaisSort » (112), «I lmpreterituelle = 117). Comme a Vordinoire dans les strophes de ce gente, on évaque fe geste mytbique du dieu, garant de son wotion presente: = ping, 0 Tdea, tw as Que Te déman Veen — 149 — 11-148 i est certain que tu vas maintenant esterminer mes adversaires « (0,100,114,120), aque tn possédes Te eouraue, tu nous rndeus courage » (99,101,104, « puis'on n'a pu Uabuser, tu nous accereras le don dle disearner Tee ruses du denon « (105), ee ‘A co propos remarquons que, dans notre contexte, le versot LL est inacheve A faut entendre vde miéme que les diewx ont vaiaen grtce & leurs ehants;puiste valnre les mauvaisgenies grdce a ees manlea que je réite = 1224129 Entre dans Peau du trina, lo pénitent savance jusqu'e c€ que Ie niveau ew nttelgne son nombel: i reite alors & vot basse les manna donnes tei 899 = ab. Aaghnajateathited japya mantra invocation stadrsse dirvotement aux Kans diviists, utilisant tes 3 premiéees strophes un hymne rg-vedique qui tour est de 126-126 o1 126-127 ne présentent pas do liolté interpretation (mints dolls voguent le Sdina toujours eclebre Comme uae buisson au réconforte et donne ta puissance, comme un sue bienfaisant, un lai, qul est nutee que Ambrosi, le reuse smoraie, Par contre la strophe 3 (ici 188429) est ardue. Nous Yavons trauite selon tes Indications dont M. Louis Reno a bien vou nous fate bénéteie. ie sens ence st {e suivant (eonsuller Gebiner 3,192 note): «ous sumnaes pareils es ehatae= Sapprétent a se rendre chez un vice saerifant, leur hits ; pean am ha histone avant le depart, nous sommes en quelque sorte ineile par vous, Eau, mons ber ters 4 demeure, por vous qul nous engendres (a nouveau) eest-ardite nous nigeneree ek hous purtiant.. sipnileatn qu wascarte bien avec Forpait a suntente 120 4 142 Dans Yaw du boin fe pénitent murmure des mantra qul, en quelque, sorte, jouent Ie rile dune confession des péehés avant absolution, laquelle ntervient Immédiatement apris (113-148), Les invocations watressent & Varuna, lerol squires fons les ear (140): lq lie Te pécheur et dalivee le pénitent, lui qu lave de toe sovittare vt acconde & Ul se repent lo stjour dans le monde au tritan (L8), om le pre deftucet les fautes, toutes “Uesignces comme des aetesimpurs, avec racrence & livers intends (136,196). 1°Up en dlontiers par ailleurs une liste plus detalle 4 Toccasion d'autres lustratios (et ei ‘dessous on $17 et shiv, en 46 ets, et. Les eaus ot 1s rivieres (141-142) sont, comme ise doit, asociges & Varuna, sist qu Indra ot agai. On remarquera en 134 une mention furtive dela paride du dieu Varupl, ittéralement elle de Varna » 143 4 148 es tris mantra eicltés ici, & voi Dnsse (otk peut-etre : mentolement) par le pénitent, caccompagnent de protevctions uu soue (prdadyima), Yee deus Dpératns eeatisant Fexplation des pits faghonargana’ mest done parvenu au moment essentiel site: 4 parlie de L49,Vabsohution ayant ft obtenue faghamarsanant ht), le penitent sortira di han, Que ce sat la réitation ‘lene ae e4s formmles ul opere In purification, on et aura la peeuve dans. te Vaiki-Sin8 quia preserit avant une loture da Vela (18) on en expat (prdgascila) ‘We Fate commise dans une tele lecture (6,17) est temps de die que ces trots stroptes constituent en reli Pbyaane pg édique 10,190 en enter, Ge eourt poome eélebre le tapas, comme principe cosmreoniie au commencement, P-Ardeur allumee (par Peajapati ?) donna naissanee aux prineipes brats (ordre, eile, onde urignele, puis, yar vole de eunstquenee, aw Femps, ar tres viounts ne dea nares, enfin ax trois mondes avoe en quatricine (eesti part des precedents) le ele de amir, le séjour ds brdkovan. Ihymne a sans doute ete Lenu pour lsteataire en raisons rle qu'il accord at — 150 — uas-212 tapas, car, ci-dessous en 196, "Up cllebrora & nouveau cette miéme Ardeur dans un endo similaee (ablations & fine puriiateies papakgaya-homa}. 149 4 168 En conclusion des lustrations, VelTacement des soullures de Vimpureté ayant 646 elfectné (aghamorsanarh hylnd, Sky), e penitent, au sortie da bain rluel, cite de nouvelles prieres 4 Varuna ‘Queiques formulee ne font que reprendse ce qui avait été dit précédemment (149 4 152}, les autres insistent sur Tidée do lumieee, wlilisant, non seulement le terme attends gots, mais aussi celui de star qui coneerne plus prvsistment le ciel de Tumigee, un des nnns lex mens attestes div paradis bethmanique (avarge-toke 201-202 Strophe introduction en laquelle sont réunis Ie élsments de Be doetrie 0 va don divin (en 39, Drajipati était momme dtmada« dieu) qui donne Ptme s) Viton a 68 depose (niita) dans le secret, cesta-dire dan le cour ‘cf, ‘caessnus & partir de 247) de Uhomine. Mais Ame, eet le Seneut (16a) li-méme, 1 trkman qui est entre sans le corps de sa propre erenture (junta) pour ¥ faire sa Alomeur, tnéme conn de TAthurva-Veda (spéciatement hymne 11). Alms se trou: vent alludées a ta fois Léquation aman — trahman et Véquivalence aman done Drdlmman dieu souverain (Prajapati ou Narayaya). Gei pos, sntervient Venselguement concernant fa délivrince : on Tobtiendra en contemplant PAme-Seigneur, ce qui est ‘conform & ce que preserivait dij le verset 22. Avee Ia nuance importante que seuls parviennent au risuitat crux qul, deliv du tourment (cesta-dite les Henongants, ‘f. @28), bénéfcient de ta gree de Dieu {uomane dhaty » eeu fixe I statu, dhaman, the eljue Ole es ey e139), 203-206 Mappel du role eelateur de [Prajipatil-Nariyana de qui émanent toutes hoses, y compris Jes sues let denombrés sept, par allusion aux sept ammes du series (ef, RS 1,146.1. Voir J Filliorat Hex, Philos, 1993, 410 et sulv, (at les notes de Jacquetine Muay ad Mund.'p) 207-208 Sirophe qui dans le Ru-Veda exalte te Séma presente comme ta qualité féminente de chaque espice sous ke forme de son representant le plus digne + par les dieu il est fe Brahman Prajipatl, Narayana}, pari les postes act) lest Te wide, ‘esteire celui qui cunnalt Ie pada pada est & la fois le pe [done te ehensin} ot fe mot ‘do Venigme), epithete«’Agni (BS 23), Le mot sanskrit stadhittrompt Vhaeionie fon te (raduit comme & Pordinaire par ‘ache ¥; avee plus de lovique SAy (ad TS) y voit un nom d'arbre. Quant 8 Gelder (3,02 note) 1 propose «puissance », sraddlé tqnivatent alors & seadhi pour designer 1a caracteristique esenticlle de Tespece » arbre « oumnme dr] est calle dey plantes et raya celle des eaux). Cette acception spi 4 pour ele BS 5,2,10 et Jal. Br 1,7 convient perfaitement & notre contexte, 208-210 + La strophe déclare que In substance nowspictuelle, Is substance spirituetle ot fe suprémo brdkman se distingneat essentiellentent par leurs cordiions Fespeotives objet dexpérience retsibutive, de sujet de entte mime experience, et de Matte universel» (Ramiauja, Sebhasys, 212: trad. O. Lacoube, pose 141 trois couleurs sont le signo des trois gu du Sankhya affectant ta pray, substance nonspinituele- mais ctemelle. Les ‘deux males éternels sont venisembleblement ‘Vaimare encore engagé dans le monde et, par oppastion, aman dégage (et. viladokat 202}, qui, parla grace de 'Instaurateur, contemple Je Seigneur souverain, 2U-212 Comparables & 207-208, ce mantra rg-védique exalte Agni (ieldner 1,472 note); «is des pistes «doit done e’entenre du feu jailissat des slew, lei — 151 — ae-248 it sagt, non de panthéisme, mats pluto, selon le mot de Mircéa Eliade, d'un panone tisme » qui voit en tout ce qui est séelement, en tout ep qui existe dune maniere absolue, Ia manifestation du Principe divin» (Traite, page 392 ou cette strophe est cite & V'appui de Ia démonstration). L'atman (Volseau harhea en est ume image peivi- legite dans VInde) est au eceur du Cosins et. de chaque individu comme ce qu en constitue 1a valeur essentiela: ainsi te solell dans Vattosphére, le prétre dans Pale sacrticelle, ela, tel Agni, tel le Sora (Le lat), test YOrdre mime bien qu'il en soit apparemment le fils (ainsi, dans ta cosmogonie initiate, Prajapatt bien qu'identiné fu Brahman était appel «Io peemier-né de TOedre» 218.4222 Cos cing strophes célebront le Berrevituel(ghpla, cf tome Tt) eest-d-diro, fen fal, 1Ambroisie (ama ef 215), sigue coneret de Ia vie étemnelle obtenue par ceux ‘qui ont decouvert son nom secret (215-216), #4 forme each (281-222), lesqueles ne sont autees, évidemment, que le brakman, e'estaire Je Seigneur (220) dont la connaissance délivre de 14 mort (reprise de 22 et 202}. Pour le detail des images ‘mythiques on se reportera aux notes de Louls Renou Hymnes specu, (ad BS 4,38), 229-994 fei nommé Rudra (o'est-i-dire Siva), te régent de P'Univers ext aude des dieu, parce qu'il ne relove pas eomme eux ie Id eréation seconde oispti): iv était présent tors de apparition du germe d'or (ef 49) en leque t pénstrera ensuite Pour attr et se diffuser dans Vunlvers entier (doctrine de In cosmogonie initiate), priére pour obtenir une memoire Adele so retoe a assimilation de hiranyegarbha (. Toutetois, Verientation générale de FU paniced suggéee pliiat un rite mental une pad «intorienre » comme en eontalt, aatasament te tantra 27 4 290 Gos formes sont prononoécs & voix basse pour alder la méditatio f¥afin Woblenie ta connaissance (;ang-utpidann . Dédies& Siva-Tundra on les orn dana te brahmanisme recent, panceaabakia!-manirit «formles ies einy vious sauxpicieus » (ousentendu : do Siva Mudra}. On observera comment, en 236, le nom de Brahmén (masculin, e'est-airy, ici te Brahund de Ua trimaelt) est glove pagent dit rahman (neutre) « : est repeendee Ia détintion védique. du peetre teatime, uiet hhommé parce qwil est le porteur du bran (at, 200-808 Les demons : rugosa (300), yatu (90%) sont eomiparés a des adversaies, 4 des ennemis (asmitra, 305 ra, 18) que te dew eonubat ta fagon dn rot (209) hhabie a manierVare (300, 309) ; mais, conte si souvent dans Ie Veta, d'autres images sont utilisées et métont leurs éléments cele dels chasse au let (2, 300), celle surtout stu fou de savano ou de Foret, moyen de debusquee Padversane, dele freer Aa retraite sous les traits des stoners, Conduite de concert aver tes deux autres, c'est cette deruidre image qui reste fssentvlle, Lorsgu'an allume Vincente, Agul «sort» de foyer (209) comme un rol {qui s'en vai ta chasse Hest In fois Te piege que on jelte on avant ste ehaseeur qu Sélaner ila suite dw ile et frappe son eibier — 153 — Une fois allumé, Agni est bro de tous lens (302), ses Nammes volont ot bedlont eruelloment (201); lee bouquets @’tincses cont comme des fgches enflammées (302), comme des espions (epasat, 803). Nul ne peut le détourner de ca route (804), car il tonsume tout ge qui sy présente (306), a fagon d'un guerrior qui tue, déearme (308), fou posse (807) ses enneris, Ges verlus «divines + (907) a’Agni sont énumértes pour soutenir la priére de demande : «oi qui brites les broussilles, brie de méme nos ennemis + (906); dens notre contexte, les ennemis sont les demons, lex incitations mauvaises, tes acles ralfsisants, les trates, 300-811 La divinit fei invoquse sous te wom «Adit est Ia Terre-Mare, comme te smontront expressément les Litres qui Tui sont décemnés, notamment mahi (310) et prikil (211) noms habituels de In terre, En 210 cependant les allusions & la GAyate ctlebrée par 1a suite sont si insstontes que Yon pourrait penser & une interpolation Si n'elait evidente dans ce pnsage la volonté de ressembler en Aditi le Cosmos tout fnlier: non seulement tes diewy, les démony lex hommes, les «tres» en yenérah mais “hus les substances sbstrates (L. Tenou ENP 2,100) amyl, siya, ee. Une volonts Similaires exprimait, non moins ambitieusement, dans Phymone a Ia Terre ee PA aR¥ Veda, ‘312-816 Exaltation des Baur: v naire, avee référence & Tondo oviginelle, 4 Tccen cosmogonique ou Nottait wut du ‘monde & venir (ef, dans "Up, 1 64), ‘Par un ystime de cortlations dont les termes annoncent le madu-khand les eaux, sont traditionnellement Pambroisie, 'est-dedre le miel) on identifi les F et 8 son principe. En eflet 812-818 concemnent fe monde duns son ensemble (tari saronm) et dans ‘shgcin do aes elements (stdnam): ce qi vit (le bell par exemple) et ee qu fait vivre lu nourrture dans ce monde, Vambroisie dans Vautee), eependant que 814 xe refero a trahman incarné en Prajapati auuel, en 64 dja, on avait discern Ie titre de sear ‘Vide est que le dieu régne sur Univers fe qu’exprime Ia racine RAJ) et qui est & la fois rassemblé sur lu-mme (peeverbe sam) et autonome (sea®), se diftusont pourtant Ipreverbe vio) dans le Cosmos et en ehcune de es parties (doeteine fondamentale dy poeme inital. 315 dentine vroisemblablement Jes Eaux aux trois Veda (chandos = stman? ot jyolis = 722), mais les deux premiers termes sont inoltes, 816 «ensemble des diviniés » non pas» Lous les dieux » (om aurait «vise death); lu sogit possiblement des divintes qui tont dans Vhomme (Agni dans la houche, SOrya dans Toil, ete}, cesLaire des Tecultés essentielles de individu [appelées aussi indrigi «cles Indra B17 & 326 Hon nombre des manira ici mentionnés se retrouvent dans fe textes reprnduits en Appendices et qui (raitent di préndgnitotr. On peut done suppose, soit que leur place viritale Cait & Vorigine vers 170 (introduction de YObtation eu Soules, el-dessous p. 115}, soit que des oblations mentales& earactére lustratoire et plnitentiet trouvent ei leur place en Kinison aveo is samba. Cette dernéee hypothese st vraisembablement la meilleur, puisque es prites de purification reviennent {aiverses repriees au eoure de Iv eflebration dela Gayatel et i Ait ‘340-942 Apris avoir és donné comme'e bran lui-méme (827), comme la Formule pr excellence (330), enfin eornme la Gayate, ke monosyltabe OA et ie assimalé& Urals — 154 — ma2878 ‘mantra souvent utilsés dans le rituel: les rydhyli (Bhar, Bhueah, suoar), la Sovitet (BS 3,62,10), enfin le sir-mantra (Formule de lo Tete) dont c'est ii (842 ov, i Yon préfere Taitt-Ar 10,97 dr) la premiére apparition dans te litérature bréhmapique {es egal sont normalement liste dans les ablations privées, Ia Svite ext rite 4 cheque samndiya, lo mantra de la Tétes'uecompagne obligatoirement de protractions 4u soutte (pranayama). La Manu-Smpi en recoramande Yemploi aux Renongants (6,70 et autres), 50 4 873 Le nom de trsuparnamantra (Triple Formule de PAigle) peut se roterer tw groupe BS 10,114,3 4 8 ou A Tensemble ch-dessus $50 8 $73 (= Taltilya ‘Rranyak 10,48 860 recension drdvida}, C'est de ce dornige qu'il sagt il a reltation fn est proscrite afin d'éearter les obstacis sur le chemin de la connaissanes (jAzna- Drolitandhoka); ceux sont dds 4 Vaccomplissement de favles (papacnirli) qui, om fe remanguera, sont parm es plus graves qui solent (meurtee d'un brahmane, par exemple}. Simullangment on assure que eaux qui réeient ces mantra obtiennent. Te Soma, c'eat-ndite 'Ambroisie (le brehman, le Mic, la Sagesse, ee. Cotte mention ‘du Soma explique peut-éire 1e nom de es formules, pulsque suparne (Aigle) est un ‘dee noms de Garuda dont le mythe est essentilloment lé au Soma — 155 —

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