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Cours 2 Analyse 4ème année

1 – La forme composée de deux parties :

C’est une forme où les parties s’exposent dans une forme simple de deux ou trois
parties, ou bien l’une d’elle peut présenter une période. Par rapport à la forme
composée de trois parties, cette forme est peu utilisée dans la musique, car elle se base
sur le contraste entre les deux parties, qui doit être équilibré par un résumé suivant à
titre d’une reprise, qui ne vient pas à la fin de l’œuvre. Cependant, la répétition de la
première est un achèvement de trois parties. C’est pourquoi on la trouve partout dans
l’art musical.

A son tour, si on va comparer la forme composée de deux parties avec la forme et avec
le même nombre de parties, on trouvera que le contraste entre les deux parties dans la
dernière n’est pas très fort ce qui ne demande pas un résumé à la différence de la
forme composé.

De là, vient son utilisation large dans la musique de différents styles et genres au
même degré comme la forme simple de trois parties.

De plus, parmi les formes simples de deux parties, on a distingué une forme avec la
reprise et avec un milieu dans la 2ème partie, assez petite, qui ne porte pas un contraste
fort entre elle et la 1ère partie. Par contre, dans une forme composée de deux parties,
ces conditions n’existent pas. Un exemple assez rare est trouvée dans la Sonate n15, C-
Dur (andante) de Mozart.

La forme composée de deux parties (sans la reprise) est surtout utilisée dans la
musique vocale (dans les airs d’opéras, duos, etc.) où le texte et l’action scénique sont
réunis avec les intonations vocales qui suivent le développement des intonations
verbales dans le déploiement du sujet. On observe cette forme aussi dans les romances
(Glinka, Tchaikovski et d’autres), ou par exemple la 2ème partie donne un changement
immédiat de l’état psychologique d’un personnage à cause de quoi le retour au premier
état, montré dans la 1ère partie devient impossible.

Alors on constate que la forme composé de deux parties n’est pas répandue dans la
musique instrumentale, car elle porte l’impression d’une structure inachevée
(l’absence de la reprise) et non symétrique, tandis que tous ces paramètres nécessaires
se présentent dans la forme composée de trois parties.
2 – Les formes intermédiaires entre les formes simples et composées :
Parmi ces formes, la forme Adagio sort en premier plan qui se figure aussi comme la
2ème forme du rondo. Son schéma : ABCA, nous le trouvons à la base des œuvres
musicales de Mozart, Beethoven, Brahms, Chopin, Tchaïkovski, Webern, et surtout
dans les mouvements lents des cycles.

La partie A est une période ou bien la forme simple de deux ou trois parties, ce qui
permet de classer la forme Adagio comme un type intermédiaire de la construction
musicale. Parfois, elle s’appelle la « Sonate » avec l’absence du développement, où la
partie A est traitée comme le thème principal à l’intérieur de l’exposition de la forme
sonate B-comme le thème de liaison, C- le thème secondaire et puis A la reprise
diminuée.

On dit que c’est une forme modulante qui commence comme la forme de Sonate
« ABC » mais après elle se transforme vers la forme de trois parties (les nocturnes de
Chopin, Variation op.30 de Webern, etc.)

3 – La forme concentrique :

(Schubert, Schuman, Chopin, Tchaïkovski, Rimski-Korsakov, la musique du XXème


siècle)

C’est une forme qui compte les cinq parties et plus, qui se disposent par le principe de
la symétrie du miroir : a b c b a.

Le nombre des parties peut-être augmentée jusqu’à 7 et 9 parties.

Le principe concentrique, qui se trouve à la base de cette forme particulière, est assez
ancien, car il existe dans l’art musical à partir du XVII siècle (L’opéra, la musique à
programme) et se caractérise par le haut degré de l’organisation structurelle, exprimé à
travers l’harmonie esthétique au niveau constructif. Ce principe convient parfaitement
pour la logique du développement d’une action dans l’opéra (l’attente d’un
personnage, partie, réaction émotionnel), ainsi que pour la représentation des sujets
fantastiques, de légende etc. Avec un mouvement alogique dans la 2ème moitié de la
forme.

Dans les romances, le principe concentrique se fait connaître dans les limites d’une
forme simple de trois partie avec une conclusion basée sur le matériel de l’introduction
(L’introduction – A b a – conclusion (le même thème).
Il se présente également dans la forme de Sonate avec une reprise du miroir (1èr thème
(a) – 2ème thème (b) – le développement (c) – 2ème thème (b) – 1èr thème (a).
(Tchaïkovski « La dame de pique », la scène de lise.)

Souvent cette forme s’intègre avec d’autres formes musicales en composant les
structures mélangées en particulier, avec les formes simples de trois parties (Webern, 6
pièces, op6, n3, ab, c, ba).

Ainsi qu’avec les formes composées de trois parties (Prokofiev – Sonate n4, andante,
AB/C/BA) et même avec les formes intermédiaires entre les simples et composées,
comme dans une Impromptu A-moll A/BCB/A, sans parler de tels cas spécifiques
comme l’alliance de la forme concentrique avec la forme de rondo-sonate (le principe
de miroir dans l’exposition des thèmes dans la reprise du final de la sontate n6 de
Prokofiev ; avec la forme cyclique (Bartok, quatuor n4, 5, ABCBA, les cycles des 5
mouvements, si la passage vers la nouvelle qualité du déploiement musical à
l’intérieur d’une œuvre musical devient irréversible, la reprise ne vient pas et la
structure reste au nombre de deux parties, ou la parole au lieu de la reprise joue le rôle
d’un soutien des rapports entre les parties, enrichies par les procédés de genre, tonal
etc. Donc, les formes comparées se caractérisent toujours par un contraste vif entre les
parties. C’est pourquoi les exemples les plus signifiants de la forme composée de 2
parties, nous les trouvons dans la musique vocale avec sa tendance générale dans le
développement intérieur – à partir d’un mouvement assez modéré vers un mouvement
actif, dynamique etc. Ou les fonctions des parties sont égales comme par exemple dans
la Cavatine de Rosina de l’opéra le Barbier de Séville (Rossini), ou la 1ère partie est
plus importante par rapport à la 2ème qui la complète (Arioso de Lise de l’opéra citée
de Tchaïkovski.

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