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Procédés de dessalement

en cours de développement

Réalisé Par: Encadré par:


IMOUDROG Ali Pr. SEMLALI
HIKMAT Mohammed
EL HAOUSSI Mostapha
SOMMAIRE
Introduction .................................................................................................................................................. 2
Généralités .................................................................................................................................................... 2
Répartition de l’eau douce sur la planète:................................................................................................ 2
L'eau sous différentes formes ............................................................................................................... 2
Répartition de l'utilisation de l'eau : ..................................................................................................... 3
Répartition inégale de l'eau dans le monde ......................................................................................... 3
Le Dessalement: ........................................................................................................................................ 4
Demande en dessalement ........................................................................................................................ 4
Les techniques actuelles de dessalement ..................................................................................................... 5
La distillation ............................................................................................................................................. 5
L’électrodialyse ......................................................................................................................................... 5
L’osmose inverse....................................................................................................................................... 6
Les techniques en cours de développement ................................................................................................ 6
Une puce électronique pour dessaler l’eau de mer :................................................................................ 6
L’électrodialyse De Choc: .......................................................................................................................... 8
Dessalement par nano filtration : Graphene ............................................................................................ 9
Le Graphène : ...................................................................................................................................... 10
Avantages ............................................................................................................................................ 12
Problèmes ........................................................................................................................................... 12
Conclusion ................................................................................................................................................... 12
Bibliographie ............................................................................................................................................... 14
Introduction
L’eau douce est une matière essentielle dans notre vie quotidienne.
Bien que la surface de la Terre soit constituée de 70% d'eau, elle est très abondante à la surface
du globe car l’eau douce ne représente que 2,5 % du volume total d’eau sur la planète.
Et sa disponibilité dans le monde diminue sous l’effet de la croissa nce démographique et du
changement climatique.
Face à une répartition inégale de l'eau potable sur la planète, une demande de plus en plus forte
pour le dessalement de l'eau de mer a été recensée ces dernières années. Le développement
démographique, la haute concentration de la population mondiale dans une même zone où
l'activité humaine s'accroît, et les progrès techniques qui ont menés à une réduction des coûts

D’investissement, sont autant de facteurs qui ont contribu é à cette hausse de la demande.

Généralités
Répartition de l’eau douce sur la planète:

L'eau sous différentes formes

L'eau couvre environ 70% de la planète, c'est-à-dire environ 1.4 milliards de km³.Dans toute cette
eau, 97.2% est de l'eau salée et seulement 2.8% est de l'eau douce.

Les 2.8 % d'eau douce se répartissent de la façon sui vante :


2.15% de glace polaire
0.63% d'eaux souterraines
0.02% d'eaux de surface (lacs, fleuves, rivières…)

0.001% d'eau atmosphérique


Répartition de l'utilisation de l'eau :
Utilisation des prélèvements mondiaux en eau :

Agriculture : 70 %
Industries : 22 %
Consommation domestique : 8%

L'agriculture consomme énormément d'eau. Au cours du 20ème siècle, l'irrigation a été multipliée
par 5. Depuis 1960, les agriculteurs ont augmenté de 60 % le prélèvement d'eau pour leurs terres.
L'irrigation est nécessaire pour avoir de bons rendements dans l'agriculture et pour pouvoir ainsi
nourrir la population. Elle est évidemment plus importante dans les pays arides ou semi -arides où
les précipitations sont peu abondantes. Ainsi, la plupart des pays en voie de développement
utilisent 90 % de leur eau douce pour irriguer leurs terres alors que les pays industrialisés n'en
utilisent que 40 %. De plus, ces pays en voie de développement subissent souvent une forte
croissance démographique, ce qui entraîne un e augmentation des cultures et donc de l'eau utilisée
pour irriguer ces cultures. A titre d'exemple, l'Asie à elle seule monopolise plus des 2/3 des terres
irriguées, car la culture du riz a été intensifiée pour faire face à l'augmentation de population.

Répartition inégale de l'eau dans le monde


L'eau est très inégalement répartie sur notre planète. Actuellement, 1.1 milliards de personnes
n'ont toujours pas accès à l'eau salubre et un tiers de la population mondiale est privée d'eau
potable, c'est-à-dire celle que l'on peut consommer.

Neuf pays détiennent 60 % des ressources naturelles renouvelables d'eau douce du monde : le
Canada, la Colombie, le Pérou, le Brésil, la Russie, les Etats -Unis, l'Indonésie et l'Inde.
Environ 80 pays, c'est-à-dire 40 % de la population souffrent de pénurie d'eau. Parmi eux, certains
pays n'ont quasi pas de ressources en eau : le Koweït, Bahreïn, Malte, Gaza, les Emirats Arabes
Unis, Singapour, la Jordanie, la Lybie

Le Dessalement:
Le dessalement peut être effectuée selon plusieurs principes physiques: la distillation qui repose
sur un changement de phase eau-vapeur, une séparation sel-eau faisant appel à des membranes
semi-perméables où le moteur est soit la pression (osmose inverse), soit un champ électrique
(électrodialyse).

Demande en dessalement
. Trois facteurs principaux expliquent la demande de plus en plus forte pour le dessalement d'eau
de mer constatée ces 15 dernières années :
 le développement démographique et son amplificateur : une migration des populations
rurales vers les villes et principalement vers les villes les plus grandes ;
 le fait que plus du tiers de la population mondiale et plus de la moitié des mégalopoles
(ville de plus de 5 millions d'habitants) soient concentrés dans une bande côtière de
150 km de profondeur où s'exerce donc une demande rapidement croissante de tous les
secteurs de l'activité humaine : eau domestique, industrielle, touristique, agricole... Alors
que les fleuves qui l'abreuvent y arrivent de plus en plus pollués et ayant déjà subi des
prélèvements (surtout pour l'irrigation agricole) de plus en plus impor tants ;
 par ailleurs, les progrès techniques des deux technologies utilisées en dessalement d'eau de
mer se sont traduits par une réduction des coûts d'investissement (taille croissante des
unités construites, amélioration des membranes utilisées en osmose inverse (cf.
perméabilité et passage de sel)...) et surtout des coûts de fonctionnement réduits en
particulier pour le procédé d'osmose inverse dont la demande en énergie spécifique
(kWh/m 3 d'eau produite) a décru de 40 % en 15 ans... Tout cela concourant à rendre l'offre
plus attrayante.

Les techniques actuelles de dessalement

La distillation

C’est le premier procédé qui a été employé. On chauffe de l’eau, et la condensation par
refroidissement de la phase vapeur qui ne contient plus de sel produit de l’eau douce.
Une technique, couteuse en énergie.
le système multi flash et la distillation multi-étages (100kwh/m3)

L’électrodialyse

L’eau s’écoule dans un réacteur soumis aux forces d’un champ électrique. Les ions de sel sont
accélérés parallèlement au champ électrique et sont capturés par des membranes placées entre
deux électrodes. L’eau purifiée ne contient presque plus d’impuretés.
Mais la nécessité du passage de l’eau au travers de membranes les filtres finissent par se colmater,
ce qui limite la capacité du système et la période durant laquelle il peut fonctionner sans
interruption.
L’osmose inverse
(OI) est née de la réversibilité de l’osmose naturelle. C’est le transfert de solvant à travers une
membrane semi-perméable sous l’action d’un gradient de concentration.
Cette technique est un système éprouvé ayant montré sa fiabilité avec un cout énerg étique moyen
≈ 4-5 kWh/m3,
Les inconvénients: le cout des membranes qui se dégradent et les pertes en eau,

Les techniques en cours de développement


Une puce électronique pour dessaler l’eau de mer :

L’accès à l’eau potable reste un problème majeur: un tiers de la population mondiale vit dans des
régions victimes de stress hydrique selon l’Onu, qui prévoit un doublement de ce chiffre d’ici
2025. D’où des millions de morts attribuées chaque année à des problèmes d’accès à de l’eau
douce consommable.

Les populations les plus pauvres, lorsqu’elles disposent d’eau de mer en abondance, n’ont pas les
moyens financiers nécessaires pour la dessaler. D’où l’intérêt d’une nouvelle technologie
développée par l’université du Texas, à Austin, et l’université de Marburg, en Allemagne, en
collaboration avec une Start-Up, Okeanos Technologies, en charge du développement
commercial.
L’originalité de la solution réside dans son caractère chimique et son action au niveau des atomes
via une puce électronique. La technique, baptisée désalinisation d’eau de mer par électrochimie,
est décrite dans un article paru dans le journal Angewandte Chemie.

Elle présente des avantages très importants: grande simplicité et très faible consommation
d’énergie. Le système peut prendre différentes dimensions, depuis l’installation portable
individuelle jusqu’à, potentiellement, l’unité de production de grandes quantités d’eau potable.

Le procédé fait passer l’eau salée dans des micro-canaux de 22 microns de large. Chaque canal
se sépare en deux. Au point de séparation, une électrode bipolaire applique une différence de
potentiel de 3 Volts au canal principal. Cette tension oxyde certains des ions chlorure chargés
négativement. La baisse du nombre de ces derniers engendre un gradient de champ magnétique
qui oriente les ions chargés positivement vers la dérivation.

Pour conserver l’électro-neutralité de l’ensemble, imposée par les lois de la physique, les ions
négatifs (anions) suivent les ions positifs dans la dérivation. Dans le canal principal coule alors
une eau partiellement dessalée.

La quantité d’énergie nécessaire est si faible que le système peut fonctionner avec des piles du
commerce. On imagine qu’il pourrait être alimenté par des panneaux photovoltaïques.
Avant de se réjouir, il faudra que les chercheurs améliorent sensiblement leur procédé. Pour
l’instant, le taux de désalinisation obtenu ne dépasse pas les 25%. Or, il faut atteindre 99% pour
que l’eau devienne potable. Richard Crooks, de l’université du Texas, et Ulrich Tallarek, de
l’université de Marburg, se déclarent néanmoins confiants. Même si, en plus de l’efficacité du
procédé, il leur faut démontrer son aptitude à traiter de grande quantité d’eau.

Malgré ces étapes critiques, il est remarquable qu’un nouveau procédé de désalinisation
apparaisse. On peut en effet s’étonner que les innovations soient si rares dans un domaine aussi
vital pour le tiers de la population mondiale, même s’il s’agit de la plus pauvre.

L’électrodialyse De Choc:

Une équipe de chercheurs du MIT a développé un nouveau système qui fonctionne au moyen
« d’une onde de choc de nature électrique poussant l’eau salée d’un côté et l’eau douce de
l’autre, ce qui permet de les séparer aisément », selon le communiqué du MIT. On a donné le
nom « d’électrodialyse de choc » au nouveau procédé. Une fois les deux courants d’eau séparés,
ils peuvent être acheminés dans des conduites différentes.

Ce qui rend ce système meilleur aux autres, c’est son mode de fonctionnement. Il utilise un
matériau poreux obtenu par frittage de particules de verre. On place de part et d’autre du
matériau des membranes ou des électrodes qui vont favoriser l’application du courant électrique
dans le système. La principale différence entre ce procédé et l’électrodialyse classique est que
l’application du courant électrique sur le débit d’eau va pousser les ions de sel d’un côté de la
conduite, entraînant une concentration de sel plus élevée dans une certaine région et une
concentration moins élevée, dans une autre.

L’augmentation de l’intensité du courant amène la création d’une onde de choc entre ces deux
régions qui relâche la tension électrique accumulée et sépare physiquement le débit d’eau en
deux parties pouvant être collectées facilement. Il faut noter que même si le matériau poreux est
couvert de membres, l’eau s’écoule parallèlement à la membrane, pas au travers, ce qui rend ce
procédé dans les faits « sans membranes » comme l’affirment les auteurs. Cette caractéristique
réduit les risques de colmatage et les coûts de fonctionnement.
« L’onde de choc (ligne rouge) est générée dans l’eau salée qui s’écoule le long d’un matériau
poreux en appliquant une tension aux membranes (en vert) de chaque côté de la cuve. L’onde de
choc pousse les ions de sel d’un côté, ce qui laisse de l’eau douce de l’autre côté. Il ne reste alors
qu’à procéder à la séparation. »

De la même façon, les sels extraits n’ont pas à passer au travers de membranes; ils ne sont que
tassés sur le côté. L’utilisation de courant électrique aussi fort comporte un autre avantage : la
possibilité de purifier et de stériliser l’eau en éliminant d’autres contaminants, comme les
bactéries, qui ne sont pas résistants aux courants de forte intensité.

Les tests effectués en laboratoire jusqu’à maintenant ont démontré que ce nouveau procédé
pouvait enlever le sodium, les chlorures et d’autres ions dans des proportions allant de 99 % à
99,99 % de la concentration initiale pour diverses concentrations d’électrolytes (1, 10,
100 mmol). Les auteurs sont d’avis que ce procédé, une fois mis à l’échelle, conserverait des
coûts de fonctionnement faibles pour la désalinisation ou le traitement de l’eau.

Il est possible qu’initialement ce procédé ne soit pas compétitif face aux procédés
d’électrodialyse à échelle industrielle. Toutefois, il pourrait être utilisé sous forme d’appareil
portatif dans les zones de sinistres ou les zones éloignées qui n’ont pas de système de distribution
d’eau potable.

Dessalement par nano filtration : Graphene


Le phenomene de d’osmose inverse est actuellement le plus utilisé puisqu’il représente à peu près 60%
des installations. Il correspond au transfert d’un fluide (eau) à travers une membrane semi-perméable sous
l’action d’une différence de concentration. Dans l’osmose classique, l’eau passe de la solution diluée vers
la solution concentrée ; dans l’osmose inverse, qui se déclenche grâce à une augmentation de la pression
appliquée à la solution au-delà d’un certain seuil, l’eau passe de la solution concentrée vers la solution
diluée.

Il existe plusieurs grandes installations de dessalement à travers le monde, qui utilisent des
membranes à base de polymères pour filtrer le sel, mais le processus est très coûteux et encore
largement inefficace. Par conséquent, trouver un moyen de le rendre plus rapide, plus facile et moins
cher est un important challenge pour les chercheurs.
Le Graphène :
C'est un matériau bidimensionnel cristallin, forme allotropique du carbone dont l'empilement
constitue le graphite.
 Sa grande résistance mécanique et chimique laisse augurer une bonne durée de vie :
 Des mesures ont établi que le graphène possède une résistance à la rupture deux cents fois
supérieure à celle de l'acier et qu'il est six fois plus léger.
 La finesse des feuilles de graphène assure une grande surface d'échange
 Le graphène peut être produit de plusieurs manières :

 CVD : le graphène est produit par la décomposition catalytique à haute température


d'un gaz carboné (méthane, éthylène, etc.) sur un métal, en général, du cuivre, du
nickel ou encore de l'iridium. La température optimale de réaction dépend du type de
gaz et de métal.
 Chimie : Le principe consiste à oxyder du graphite dans un milieu acide (par
exemple acide sulfurique et permanganate de potassium) puis utiliser de l'hydrazine
comme solvant réducteur pour purifier le graphène.
la réalisation de membranes évolutives avec une taille de pore uniforme à l’échelle atomique est un
grand pas en avant et ouvrira de nouvelles possibilités pour améliorer l’efficacité de la technologie
de dessalement

À gauche, de l'eau contenant un colorant rouge et à droite, de l'eau qui en est dépourvue. Entre les
deux, une membrane en graphène prouve son efficacité en empêchant le passagedes molécules de
colorant mais pas celles d'eau.

Une image illustrant le dessalement de l'eau de mer avec une membrane de graphène. Sur la droite,
on voit des molécules d'eau (en rouge) avec les atomes issus du sel en solution (en vert). La
membrane de graphène au centre ne laisse passer que les molécules d'eau sur la gauche.
Les membranes ont été développées au National Graphene Institute de l’Université de Manchester, au
Royaume-Uni. Auparavant, les membranes d'oxyde de graphène avaient montré de bonnes capacités pour
la séparation des gaz et la filtration de l'eau, entre autres pour filtrer les petites nanoparticules, les
molécules organiques et même le gros sel dans l’eau. Jusque-là cependant, elles ne pouvaient pas être
utilisées pour filtrer le sel de l’eau de mer, une opération qui nécessite de plus petits tamis.
En fait, lorsque les sels communs sont dissous dans l’eau, ils forment une sorte de «sphére » de
molécules d’eau autour d’eux-mêmes. « Les molécules d’eau peuvent passer individuellement, mais
le chlorure de sodium ne peut pas. Il a toujours besoin de l’aide des molécules d’eau. La taille de la
sphere d’eau autour du sel est supérieure à la taille du canal, donc il ne peut pas traverser

Non seulement cette technique permet à l’eau de mer d’être transformée en eau potable, mais les
molécules d’eau s’écoulent aussi plus rapidement à travers la barrière de la membrane, ce qui est
idéal pour le dessalement.

Avantages
C’est une technique plus économique qui coûte moins cher en énergie. 3,1 kWh par m3.
le prix varie, pourdes capacités allant de 10 000 à 100 000m3/j, d'environ 2000 à 2700 euros par m3/j
laproduction est de 300 000m3 d’eau par jour pour une grande usine
La filtration permet de supprimer 99.4% des sels minéraux et organiques. Une eau de mer concentrée
à 35.000 ppm peut ainsi ressortir selon l’effort de pression réalisé sur la membrane Ol, à moins de
200 ppm. Le seuil de potabilité des eaux distribuées en réseau est généralement admis à 500 ppm.
L’eau peut ensuite être reminéralisée, ajustée en Ph ou subir des post-traitements UV, osmose, ou
une légère chloration afin d’être déclarée comme potable.

Problèmes
Il reste tout de même deux problèmes à résoudre. Le premier est de parvenir à produire du
graphène de façon massive et peu coûteuse.
Le second est que l'on ne sait pas encore fabriquer des feuillets de graphène avec des pores aussi
petits.
Le test de durabilité des membranes lorsqu’elles sont utilisées pendant de longues périodes n’est pas
relalisé

Conclusion

Avec une capacité journalière de production de 75 millions de mètres cubes par jour en 2015, on peut
dire que le dessalement des eaux de mer et saumâtres est une activité industrielle mature. Chaque
année, la capacité installée s’accroit de 10%, ce qui représente un marché de plus d’un milliard de
dollars. Le coût des usines et de l’eau produite dépend de multiples facteurs et en particulier de celui de
l’énergie, thermique et électrique, utilisée pour le dessalement. Pour les grosses installations produisant
plusieurs centaines de milliers de mètres cubes par jour, le prix de l’investissement peut descendre en
dessous de 1000 dollars par mètre cube par jour tandis que le prix de l’eau produite peut descendre
entre 0.5 et 1 dollar le mètre cube.

Si quelques procédés tiennent la quasi-totalité du marché, principalement l’osmose inverse - qui est en
très forte progression - et la distillation, la recherche sur de nouvelles méthodes est très active.

Le challenge technique est de mettre au point des procédés toujours plus économes en énergie, si
possible renouvelable, en cherchant à se rapprocher de l’ultime limite de l’énergie minimum de
dessalement, cela en étant respectueux de l’environnement. L’ambition économique est que l’eau
dessalée devienne enfin accessible aux populations pour qui les technologies actuelles restent encore
hors de portée pour des questions de coût d’investissement. De ce point de vue, des technologies
solaires de petite capacité de production, éventuellement peu performantes mais à très faible coût
d’investissement, peuvent tout à fait avoir leur place à côté de l’énorme marché des très grosses usines.
Bibliographie

https://www.techniques-ingenieur.fr

https://www.futura-sciences.com
https://www.techniques-ingenieur.fr
http://sciencepost.fr
la revue Nature Nanotechnology

Molecular Sieves for Desalination and Purification(book)


Physics behind Water Transport through Nanoporous(book)

A new approach to water desalination (book)

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