http://www.najah.

com 

Sujet n° 9
Première partie :
A/ Les items suivants comportent chacun une ou deux réponse(s) exacte(s). Relevez sur votre
copie le numéro de chaque item et écrivez la (ou les) lettre(s) correspondant à la (ou aux)
réponse (s) correcte (s).
1) Les structures du testicule ayant une fonction endocrine sont :
a- les cellules de Sertoli.
b- les cellules de Leydig
c- les tubes séminifères.
d- l’épididyme.
2) 2) la fécondation entraîne :
a- la régression du corps jaune.
b- la chute du taux plasmatique des hormones ovariennes.
c- la formation d’un œuf à 46 chromosomes.
d- la suspension du cycle sexuel.
3) Le placenta a pour rôle de :
a- secréter la HCG.
b- secréter l’oestrogènes et la progestérone.
c- protéger le foetus contre tous les microbes pathogènes.
d- maintenir le corps jaune durant toute la grossesse.
4) Chez une femme ménopausée, le taux plasmatique de la LH est élevé car :
a- le taux plasmatique de la GnRH est très faible.
b- le taux des hormones ovariennes est très faible.
c- il y a rétrocontrôle négatif des ovaires sur l’hypophyse.
d- il y a rétrocontrôle négatif des ovaires sur l’hypothalamus.
5) La progestérone est secrétée par :
a- le placenta
b- le follicule
c- l’utérus
d- le corps jaune.
6) La FIVETE nécessite :
a- la capacitation et la sélection des spermatozoïdes.

DOC4SESVTCS0001  Page 1 
 http://www.najah.com 

b- la stimulation artificielle du développement de plusieurs follicules ovariens.

c- l’insémination des spermatozoïdes dans les voies génitales femelles.
d- le transfert d’embryons dans les trompes.
7) L’apparition du 2ème globule polaire au cours de l’ovogenèse indique :
a- l’évolution de l’ovocyte I en ovocyte II .
b- l’achèvement de la division réductionnelle de méiose.
c- l’achèvement de la division équationnelle de méiose.
d- une fécondation.
8) La prise régulière de la pilule combinée :
a- stimule la folliculogenèse.
b- stimule la sécrétion des gonadostimulines.
c- empêche les menstruations.
d- agit par rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamo – hypophysaire.

B/ 1) Chez la femme, la fonction reproductrice fait intervenir différentes hormones. Selon

votre choix de trois hormones, complétez le tableau suivant :
Nom de l’hormone Cellules sécrétrices Cellules cibles Effets

2) La FIVETE est une technique qui peut palier à la stérilité chez un couple.
a- Nommez deux causes à l’origine de la stérilité.
b- Enumérez les étapes de la FIVETE.

Deuxième partie :
A/ Pour montrer le rôle de l’hypophyse dans la régulation de la fonction reproductrice
féminine on a réalisé les expériences suivantes :

1ère expérience : L’ablation de l’hypophyse antérieure d’une rate pubère provoque la

régression de ses ovaires et la diminution du poids de son utérus. Les cycles sexuels
s’arrêtent.
1) Analysez ces résultats.

DOC4SESVTCS0001  Page 2 
 http://www.najah.com 

2) Quelles hypothèses pouvez-vous formuler concernant l’action de l'hypophyse sur les

ovaires et l’utérus.

2ème expérience : Si on injecte quotidiennement de petites quantités d’extraits hypophysaires

à cette rate hypophysectomisée , les ovaires redeviennent actifs et l’utérus retrouve son poids.
2) Analysez cette 2ème expérience et déduisez la nature de la relation entre hypophyse ovaire
et utérus.

3ème expérience : On injecte quotidiennement de petites quantités d’extraits hypophysaires à

des rates adultes castrées et hypophysectomisées . L’utérus reste atrophié.
3) a- Quelle information apporte cette expérience.
b- Précisez la quelle des hypothèses proposées en 1° est à retenir.
4) En utilisant les informations apportées par les questions précédentes et en vous basant sur
vos connaissances, représentez par un schéma annoté les corrélations entre ovaires,
hypophyse et l'utérus.
B/ On suppose l’existence chez la drosophile de 3 couples d’allèles contrôlant chacun un
caractère : G1 (j+, j) : contrôlant le premier caractère à l’origine des phénotypes [J+] et [J].
Avec l’allèle w+ dominant l’allèle w.
G2 (w+, w) : contrôlant le deuxième caractère à l’origine des phénotypes [w+] et [w] avec
l’allèle w+ dominant l’allèle w.
G3 (r1, r2) : contrôlant un troisième caractère à l’origine des phénotypes [r1] ; [r1] ; [r1r2] ;
avec une codominance entre les allèles r1 et r2.
Les représentations ci-dessous, montrent la localisation des trois couples d’allèles sur les
chromosomes, déterminée à partir de croisement tests.

1) En considérant les couples d’allèles (w+ , w) ; (J+ , J) et les phénotypes parentaux [w+, j ] ;
[w, j+ ] , déterminez
a- le phénotype et le génotype du mâle et ceux de la femelle du croisement test. justifiez

DOC4SESVTCS0001  Page 3 
 http://www.najah.com 

b- les génotypes, les phénotypes de la descendance résultant du croisement test et leurs

proportions en considérant un effectif de 2000 individus, dans un échiquier de croisement.
c- schématisez le comportement des chromosomes qui au cours de la méiose a permis
d’obtenir la descendance du croisement test.
2) En considérant les couples d’allèles (j+ , j) et (r1, r2), prévoyez les phénotypes et leurs
proportions théoriques d’une descendance issue d’un croisement entre deux hybrides.

Sujet N°1 :
Première partie :
A/
1:c 2 : b, c 3 : b,c 4:c 5:d 6:c 7:b 8 : b,c

B/
1) Macrophages Interleukines (IL1)
Lymphocytes T cytotoxiques Perforine
Plasmocytes Anticorps
2)

ƒ Macrophages :
• Présentation antégenique
• Activation des LTh par IL1. (participent à la coopération cellulaire et l’induction de la
réponse immunitaire)

ƒ Lymphocytes T cytotoxiques : Production de la perforine et lyse des cellules infectées

(du soi) et du « non-soi » (interviennent à la phase effectrice d’une RIMC)

ƒ Plasmocytes : Production d’anticorps pour neutraliser les antigènes( formation du

complexe immun) ( interviennent pendant la phase effectrice d’une RIMH)
3) La mémoire immunologique et la transférabilité.

9 La mémoire immunologique : est la propriété du système immunitaire de garder en

réserve pendant une période plus ou moins longue un certain nombre de lymphocytes
(T et B) mémoires spécifiques sensibilisés une 1ére fois par des antigènes.
Lors d’un second contact avec les mêmes antigènes les lymphocytes (T et B)
mémoires réagissent plus rapidement et plus amplement. Cette propriété a été
exploitée dans la vaccinothérapie.

DOC4SESVTCS0001  Page 4 
 http://www.najah.com 

9 La transférabilité : est la propriété de transférer l’immunité spécifique d’un individu

immunisé à un patient par l’intermédiaire des sérums qui contiennent des anticorps
spécifiques permettant un soin immédiat mais non durable et non actif.
Cette propriété est exploitée dans la sérothérapie

DOC4SESVTCS0001  Page 5 
 http://www.najah.com 

Deuxième partie :
A/
1) - La mort de A est due à la virulence de BK et à l’incapacité du système immunitaire de A
à résister et à lutter contre le BK.
- La survie de B est due à l’acquisition d’une immunité spécifique contre le BK suite à la
vaccination de B par le BCG : il a acquis une résistance contre le BK et une mémoire
immunologique par le BCG.

2) Le transfert du sérum de C vacciné à D n’assure pas une immunisation de D contre le BK

alors que le transfert de Lymphocytes vivants de C à E assure la survie de E. donc la réaction
immunitaire contre le BK est de type cellulaire et non de type humoral : il s’agit d’une RIMC.

3) F est vacciné contre le BK et non contre le pneumocoque, ceci explique la non résistance
de F contre le pneumocoque et par conséquence sa mort.
La vaccination par le BCG fait acquérir une immunité contre le BK et non contre le
pneumocoque : on parle de spécificité de l’immunité acquise.
4) a- Le lot n°1 est celui qui est immunisé contre le BK : le module d’inflammation développé
est dû à une réaction de type cellulaire contre les antigènes du BK ( la tuberculine), c’est une
réaction locale qui résulte d’une mémoire immunologique spécifique suite à l’immunisation
contre le BK.
b- Ce test pratiqué chez l’Homme permet de savoir si le sujet a été préalablement vacciné
ou non contre le BK.
En cas de cuti-réaction négative, le sujet reçoit une injection de BCG, après quelques
temps pour s’assurer que le vaccin a pris il est possible de refaire le test à la tuberculine.
5) Schéma légendé d’une RIMC contre le BK.

B/ 1) Analyses des données du tableau :

9 Les analyses sanguines de Monsieur X indiquent :

Un nombre global de Leucocytes (11.800) >> à la normale (10.000) proche de celui
qui est atteint de mononucléose, mais très différent de celui qui est atteint du SIDA
particulièrement faible (5.600).

DOC4SESVTCS0001  Page 6 
 http://www.najah.com 

9 Des % de granulocytes, de Lymphocytes et de monocytes voisins de ceux qui sont atteints

de mononucléose et différents de ceux qui sont atteints du SIDA et de ceux d’individus
sains.
@ La maladie de Monsieur X = la mononucléose.

2) a- Les cases 1 et 3 montrent l’agglutination il s’agit d’une réaction de type (Antigène-

Anticorps).
Les antigènes du virus fixés par les hématies du cheval sont agglutinés par les anticorps
spécifiques du sérum formant un complexe-immun.
b- Le virus de la mononucléose déclenche une RIMH chez Monsieur X.

DOC4SESVTCS0001  Page 7