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Les commentaires accompagnant cette projection ne sont pas retranscrits dans leur intégralité
Avant propos
Ce document a été conçu dans le but d’animer une conférence
Certains éléments qu’il contient ont été empruntés
à des sites Internet et Ouvrages,
il ne fera donc l’objet d’aucune utilisation commerciale.
Il s’agit d’ouvrages de soutènement présentant en général une hauteur
importante fonction de la dimension des navires (tirant d’eau, longueur)
et de la marée.
9 Remblai
densité sèche δ=18 KN/m3 densité déjaugée δ’=11 KN/m3
ϕ= 30° δ = 20° Ka= 0.3
8
P.H.E. Bassin P.H.E. Terre plein
P.H.E. Bassin 7
Concomitantes
avec PHE
Terre plein 6
P.B.E. Terre plein
P.B.E. Bassin 5
3
2
1
Efforts à marée basse
Charge verticale des blocs
On en déduit φ >41° Cette valeur est trop élevée, il faut donc augmenter
le poids de l’ouvrage par élargissement de sa base pour obtenir un angle
φ de 40° environ.
⎢1 − ⎥ 1− e B ⎥ + ⎢ max ⎨ ⎢1 − ⎥ ;0 ⎬ ⎥ .e B
⎣ 90 ⎦ ⎢ ⎥ ⎣ ⎩⎣ 45 ⎦ ⎭ ⎦
⎣ ⎦
Avec De : hauteur d'encastrement équivalente définie à l'annexe E2 du
fascicule 62
B : largeur comprimée de la semelle soit B-2e en cas de
chargement excentré
⎡ ⎡ d⎤⎤ ⎡
2
β' = 45.⎢1 − Ψ ⎢β, ⎥ ⎥ ⎡ d⎤ ⎧⎡ d ⎤ ⎫⎤
avec Ψ ⎢β, ⎥ = 1 − 0,9.tanβ.⎢max ⎨⎢1 − ⎥ ;0⎬⎥
⎢⎣ ⎣ B ⎦ ⎥⎦ ⎣ B⎦ ⎣ ⎩⎣ 8B ⎦ ⎭⎦
Il convient d'appliquer ce coefficient de réduction de façon critique. Les
présentes règles applicables à un sol de fondation homogène et à un
talus indéfini conduisent en effet à une minoration trop sévère lorsque
l'épaisseur de l'assise talutée reste faible devant la largeur comprimée
de la semelle.
Il reste à définir l’armature de la poutre magistrale en fonction des
efforts horizontaux d’accostage et d’amarrage.
9Le quai peut se réaliser à sec dans des fouilles asséchées par pompage.
9On dispose de moyens de manutention puissants ou astucieux
permettant la mise à l’eau, puis la mise en place définitive d’éléments de
murs suffisants à l’économie du projet.
EXEMPLE
Dans tous ces cas, une attention particulière sera apportée à l’enrobage
des armatures passives à la protection des armatures actives de
précontrainte et à la limitation du taux de travail des armatures en
fissuration très préjudiciable.
Le franchissement comporte un viaduc d’accès sur chacune des berges
et l’ouvrage principal au centre. Sa longueur totale est de 2883m.
L’ouvrage principal est un pont multihaubanné à quatre fléaux de 560m
chacun, de longueur totale 2252m
Le Rion-Antirion « Plan des installations de chantier »
Ces appuis sont
les plus gros
jamais réalisés
pour un pont.
Embase
circulaire Ø90m
et hauteur
variable
de 9m à 13.50m
La dalle sous les terres pleins ne doit pas être liée aux palplanches;
cela engendrerait une flexion des palplanches plates qu’elles ne
pourraient supporter.
Cette dalle doit donc être conçue comme un piston qui s’appuie sur le
sol inclus dans l’ouvrage. Les sols dans lesquels ce type d’ouvrage est
le plus souvent retenu étant compressibles, le piston devra être réalisé
avec une marge permettant le tassement de celui-ci sous l’effet des
surcharges. Dans le cas ou la marge est trop importante, on peut
réaliser un compactage du sol (en général par vibration d’un profilé
vertical et ajout éventuel de matériau pierreux) ces compactages
complémentaires peuvent se traduire par des effets de silos qui donnent
de fortes tractions dans les serrures (des essais sont le plus souvent
nécessaires pour définir les efforts de poussée).
L’ensemble de la gabionnade comporte 29 gabions de Ø 24.20m dont
les centres sont espacés de 30.78m.
Remblaiement des gabions
par camions
Niveau supérieur du quai :+6.00 CM
Marées entre :+0.00 et 4.00 CM
Fond de bassin :-6.00 CM
Rocher :-8.00 CM
Largeur équivalente :16.20m
L’ouvrage est battu depuis la terre ferme puis sera dragué en face coté
bassin
Dessin du gabion
On dessine un gabion comportant un nombre entier de palplanches et
une géométrie compatible avec un équilibre des forces.
Dans ce cas un rayon de 6.68m permet de disposer (13 +2 demi)
palplanches sur les arrondis et (29 +2 demi) palplanches sur les
cloisons rectilignes
L’angle entre 2 palplanches (possibilité de battre le rideau en cercle) est
de 60° /14 = 4.28 < 4.5 °
L’orientation des 3 branches des palplanches spéciales est de 120°; ce
qui correspond à des efforts équilibrés.
Stabilité d’ensemble
METHODE DE BRINCH HANSEN / Détermination de la position des pôles des spirales logarithmiques (voir figure VII)
Remarque :
Une simplification entraînant peu d’erreur dans le calcul consiste à
déjauger le poids des terrains se trouvant sous la nappe dans le gabion,
et donc à ne pas tenir compte des sous-pressions d’eau le long de la
ligne de rupture. Cela revient à admettre comme hypothèse
simplificatrice que la résultante des sous-pressions régnant sur la ligne
de rupture, passe par le pôle de la spirale (et a donc un moment nul par
rapport à celui-ci).
Dans le cas de gabions fondés sur du sable, il existe deux modes de
rupture possibles : rupture de type X avec le pôle de la spirale sous le
gabion et rupture de type A avec le pôle intérieur au gabion (voir figure
VIII). On est donc conduit à effectuer ces deux types de vérifications en
appliquant la méthode exposée ci-dessus.
CALCUL DES EFFORTS INTERNES
Matériel
A terre : Les ateliers de préfabrication de béton, de pieux et de ducs
d'Albe ainsi que le matériel de soudure des pipes.
Sur l’eau : 2 barges auto-élévatrices de 37,5 x 24 avec pieux de 65 m
portant chacune une grue Manitowoc 4 100 W à ringer.
2 pontons de 60 x 19, 1 ponton à positionnement dynamique pour
déplacement des ancres et bétonnage des piles, divers remorqueurs.
Pour le viaduc : Poutres de lancement de 45 et 145 m.
Dél a i s
9 mois de travail sur le site.
Formule de Crandall : s=
M .H
−
Qb .D
P 2. A.E
Qb .F .(1 + )
M