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FORMATION POUR :

UN CERTIFICAT DE FORMATION
EN METIERS DE L’ENSEIGNEMENT
ET DE L’EDUCATION
« SE FORMER POUR ENSEIGNER »

INTERVENANT :

Mr Mostafa HAMSE

ANNEE UNIVERSITAIRE : 2015 - 2016


Formations Qualifiantes En Métiers
de l’Enseignement et de l’Education

Objectifs de cette formation :


 Préparer des professionnels dans le domaine
de l’enseignement
 Faire acquérir aux formés de manière progressive
et intégrée, un haut niveau de compétences
professionnelles, tant disciplinaires que didactiques
et scientifiques, ainsi que celles spécifiquement liées
au contexte d’exercice du métier.
Compétences acquises dans cette formation
 Faire partager les valeurs de la nation
 Inscrire son action dans le cadre des principes fondamentaux du système
éducatif et dans le cadre réglementaire de l’école
 Connaitre les élèves et les processus d’apprentissage
 Accompagner les élèves dans leurs parcours de formation
 Agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques
 Maitriser des langues
 Utiliser une langue vivante étrangère dans les situations exigées
par son métier
 Intégrer les éléments de la culture numérique nécessaires à l’exercice
de son métier
 Coopérer au sein d’une équipe
 Coopérer avec les parents d’élèves
 Coopérer avec les partenaires de l’école
 S’engager dans une démarche individuelle et collective de développement
professionnel
Référentiel de compétences des professeurs

 Maitriser les savoirs disciplinaires et leur didactique


 Maitriser la langue dans le cadre de son enseignement
 Construire, mettre en œuvre et animer des situations
d’enseignement et d’apprentissage prenant en compte
la diversité des élèves
 Organiser et assurer un mode de fonctionnement
du groupe-classe favorisant l’apprentissage et la socialisation
des élèves
 Evaluer les progrès et les acquisitions des élèves
Module de Formation :
Sciences et Techniques des Activités Physiques
et Sportives
ATHLETISME / SPORTS COLLECTIFS / GYMNASTIQUE
PRESENTATION DU FORMATEUR/FORMES
&
ATTENTES DES FORMES

• Présentation croisée

• Verbalisation des besoins et attentes


ATHLETISME
A- Définitions :

M. PRADET :
« l’athlétisme se défini comme une activité motrice,
sociale, compétitive et réglementée.
C’est une activité de production de performance
s’effectuant dans un milieu stable et codifié impliquant
des techniques gestuelles de type ‘ ferme’, elle vise
le développement maximum des potentialités physiques
et techniques de l’athlète et l’atteinte
de performances chiffrables dans le temps et l’espace
afin de se comparer à soi-même et à autrui ».
ATHLETISME
DÉFINITIONS :

P. SENERS :

l’athlétisme se défini comme une activité codifiée,


individuelle, qui se déroule dans un milieu stable.
Elle consiste à se déplacer en diminuant le temps
et à projeter son corps ou un engin en augmentant l’espace.
logique interne :

La logique interne, définie comme,


« le système des traits pertinents de la situation motrice »
PARLEBAS 1981

 l’athlétisme présente des activités strictement définies au niveau


fédéral s’effectuant dans un milieu stable et codifié.

 La logique de l’athlétisme est plutôt une logique de production


de performance.

 L’activité athlétique s’appuie sur des ressources (énergétiques,


physiques et techniques) fortement différentes selon les épreuves
réalisées (courses de vitesse ou de durée, saut vers le haut ou vers
l’avant….) et cherche à développer celle-ci.
Enjeux de formation:

Nous entendons par enjeux ce que l’activité


va apporter aux élèves qu’une autre activité
ne pourra pas développer aussi bien. Ils répondent
donc à la question : pourquoi faire cette activité
de l’athlétisme « ou encore » quel bénéfice
l’élève va-t-il en retirer ?
Enjeux de formation:

 Savoir produire des effets positifs sur l’organisme


par une production corporelle adaptée (maîtrise du corps
et développement foncier)
 Savoir réaliser un projet technique afin d’être performant
en utilisant les ressources présentes
 Assurer une variété de forme de production de performance :
- l’épreuve : seul
- la compétition : duels et / ou coproduction
- le record : le rapport à l’ensemble
 Assurer une production de performance maximale dans un espace
de jeu codifié déterminé par:
- 1 lieu d’appel = 1 planche, 1 zone d’efficacité –sécurité
- 1 zone d’élan = cercle…
- 1 zone de performance autorisée ou de validité = secteur de lancer
- 1 signal imposé = le départ
- 1 zone de validité = transmission du témoin
Problèmes fondamentaux :

Les contraintes des tâches athlétiques


s’organisent autour de 3 grandes classes
de contradictions :

 Production / Consommation d’énergie


 Actions d’équilibration / Actions de propulsion
 Durée d’action / Vitesse d’action
Les ressources sollicitées

• Bioénergétiques
• Biomécaniques
• Bio informationnelles
• Affectives
DEFINITION SPECIFIQUE A L’ACTIVITE :

Course de vitesse, haies, relais :


 Aller le plus vite possible sur une distance donnée
d’un point à un autre en franchissant ou non
des obstacles, en se relayant ou non à l’aide
d’un témoin.
 «c’est se déplacer d’un point à un autre avec
un souci de vitesse et d’économie, grâce
à une succession de bonds séparés par
des phases d’appuis unipodal».
HUBICHE ET PRADET
Course de durée :

« l’endurance est l’ensemble des ressources permettant


l’expression d’une motricité d’intensité quelconque
pendant la plus longue durée possible ».
Pradet (96)
« l’endurance est la faculté de résister à la fatigue,
quelle qu’en soit l’origine ».
Zatziorsky (67)

• Courir longtemps en visant la régularité


et l’optimisation de son rythme.
Sauts :
• Sauter une longueur ou une hauteur la plus
grande possible en liant élan-impulsion-
réception avec un seul ou plusieurs bonds.
• « consiste à se projeter dans l’espace en vue
de franchir un obstacle déterminant
une hauteur ou une longueur».
HUBICHE ET PRADET
Lancers :
Lancer consiste à projeter un engin le plus loin
possible, à l’aide de son propre corps.
• Le plus loin possible…en répondant:
- aux exigences du règlement
- aux exigences des lois physiques
• A l’aide de son propre corps…car :
- le corps est un intermédiaire entre le sol et l’engin
(notion de placement)
- Il sera entrainé pour répondre à la spécificité
du lancer considéré (notion d’entrainement)
PRADET
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour parcourir un espace dans


le temps le plus court possible ou parcourir un espace le plus
grand possible en un temps déterminé.
L’activité course longue consiste à utiliser la foulée
de course pour obtenir la meilleure place ou réaliser
la meilleure performance sur une distance ou une durée longue
dans un espace délimité, formalisé ou non, plat ou non
en confrontation directe et simultanée.
Problèmes fondamentaux : Contraintes
et exigences
Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte
en course longue :

 La distance et/ou le temps de course


 L’intensité de réalisation
 La manière de courir (technique, tactique)

Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut


que pour produire une performance toujours plus
importante,il faut courir vite (grande intensité) mais
qu’une intensité trop importante réduit le temps de course.
Règles sociales et culturelles minimales

 Au commandement « A vos marques » correspond


l’installation effective derrière la ligne de départ. Les deux
pieds devant être derrière la ligne de départ
 Au commandement « A vos marques » l’immobilité parfaite
est requise pour que le départ soit donné
 Le signal de départ est un signal bref,sonore pour
les coureurs, visuel pour les éventuels chronométreurs
 Le classement est déterminé par les juges selon l’ordre
de passage du buste des participants
 Les athlètes ne courent pas en couloir mais en peloton.
Connaissances techniques essentielles

 La foulée :
Contrairement aux coureurs sur distances courtes les coureurs
de demi-fond et de fond voient la reprise au sol davantage
s’effectuer par le talon.
Ne recherchant pas la vitesse de déplacement maximale
(impossibilité de tenir sur une distance prolongée),le coureur
de courses longues adopte une attitude énergétiquement plus
économique : son talon monte moins haut que celui d’un
coureur sur distances courtes.
La durée de l’appui et de la suspension sont plus longues ce qui
permet de mieux gérer la vitesse et d’augmenter le temps
de récupération entre deux appuis.
 La gestion de l’allure de course:
La véritable spécificité technique des courses longues
apparait plutôt au niveau de la gestion de la course. En effet
l’adoption d’une allure de course régulière semble être un
élément indispensable à l’utilisation la plus rationnelle des
ressources de l’athlète. cette adoption suppose une bonne
connaissance des vitesses de déplacement et des rapports
entre la durée et l’intensité de l’effort.

 La course en peloton :
Le coureur n’est pas « protégé » dans un couloir et doit
s’adapter à la motricité des autres concurrents.
Les changements d’allure sont plus fréquents, la perception
de sa propre allure moins aisée. Le bon coureur est celui qui
sait s’adapter au mieux à tous ces aléas et garder la meilleure
conscience de ses possibilités comme de ses limites, tout en
étant capable de prendre à sa charge la tactique de course
qui s’impose.
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour parcourir un espace


dans le temps le plus court possible.L’activité courses courtes
consiste à utiliser la foulée de course pour réaliser la meilleure
performance possible en ligne droite ou en ligne droite
et en virage dans un espace délimité en confrontation indirecte
(pas d’intervention sur la trajectoire de l’autre) et simultanée.
Problèmes fondamentaux : Contraintes
et exigences
Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte
en courses courtes :
 Le départ (réagir vite à un signal,se mettre en action)
 L’organisation des postures favorisant la propulsion (rapport
amplitude fréquence des foulées)
 La distance de la course

Le problème fondamental naiit donc du paradoxe qui


veut que pour produire une performance toujours plus
importante il faut augmenter l’amplitude des foulées mais
qu’une longueur trop importante diminue la fréquence
de ces mêmes foulées.Subordonnée à la position de départ
la performance naitra du meilleur compromis entre amplitude
et fréquence.Compromis corrélé au facteur temps.
Règles sociales et culturelles minimales
o Au commandement « A vos marques » correspond l’installation
effective derrière la ligne de départ. Une position quadrupédique,
avec un genou posé au sol est requise,les deux pieds devant être
en contact avec le sol
o A chaque commandement l’immobilité parfaite est requise pour
que le commandement suivant soit donné
o Au commandement « Prêt » une position quadrupédique en appui
sur les deux mains et les deux pieds est obligatoire
o Le signal de départ est un signal bref, sonore pour les coureurs,
visuel pour les éventuels chronométreurs
o Le classement est déterminé par les juges selon l’ordre de passage
du buste des participants
o Le chronométrage est indépendant du classement, le temps
est enregistré au centième de seconde près
o Un seul faux départ est autorisé par course. Ensuite tout faux départ
entraine la disqualification du coureur.
Connaissances techniques essentielles
 Le départ :
 Départ debout : ne pas se trouver à l’ample (pied gauche,main
gauche devant)
 Départ starting-blocks :
- Le bloc devant doit se trouver à environ deux pieds de la ligne
de départ
- Le bloc arrière doit se trouver à environ trois pieds ½
de la ligne de départ
- A la position « A vos marques! » les épaules se trouvent
au dessus des mains
- A la position « Prêt !» le bassin s’élève légèrement au dessus
des épaules et la jambe avant doit avoir une angulation de moins 90°
- Au signal de départ il ne s’agit pas de pousser le plus fort
sur les blocs mais d’enlever ses pieds le plus vite possible
 Les premières foulées doivent avoir des temps d’appuis «longs»
 Un genou qui monte trop haut induit une impulsion à dominante
verticale
 Lorsque l’on se rapproche de la ligne d’arrivée il faut veiller
à ne pas diminuer l’amplitude des foulées.

La foulée :
La foulée se décompose en quatre phases dont une concerne
la suspension et les trois autres l’appui.L’appui se décompose en :
- Une phase d’amortissement
- Une phase de soutien
- Une phase d’impulsion
Course Angle Vitesse Longueur Hauteur Temps Fréquence
(m/s) (m) (cm) (sec)
Vitesse court 7 10 2,4 7,3 0,24 4,1
Vitesse long 7 10 2,13 5,5 0,22 4,54
Demi-fond 15 6 2 14 0,33 <3
Footing 15 3,1 3 16 0,44 <3

Caractéristiques de la foulée en fonction de la spécificité athlétique


« Hubiche , Pradet »
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour parcourir un espace


dans le temps le plus court possible.L’activité courses
d’obstacles consiste à courir le plus vite possible d’un point
à un autre en ligne droite ou en ligne droite et en virage,
en franchissant des obstacles verticaux renversables ou non
placés sur le parcours à des distances égales et en situation
de confrontation indirecte et simultanée.
Problèmes fondamentaux : Contraintes
et exigences
Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte
en courses d’obstacles :
- Le départ
- Le franchissement de l’obstacle
- La course inter-obstacles

Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que


pour produire une performance toujours plus importante il faut
s’élever suffisamment pour franchir les obstacles mais
qu’une élévation trop importante au dessus des obstacles
augmente le temps de course.
Règles sociales et culturelles minimales

 cf. Course courtes


 Les obstacles sont renversables,
 Les deux pieds doivent passés au dessus
de l’obstacle,
 Le nombre d’appuis entre les haies n’est pas imposé,
 Tout obstacle renversé sans intention de la franchir
entraine la disqualification du coureur,
 Un obstacle renversé involontairement ne disqualifie
pas le coureur.
Connaissances techniques essentielles

1) Le départ :
Le coureur doit avoir sa position de course le plus
rapidement possible afin d’attaquer la première haie
dans les meilleures conditions. Les foulées doivent
être régulières (ne pas piétiner) ce qui implique
de respecter un nombre d’appuis optimal.
L’expert réalise huit foulées (huit appuis) entre
le départ et la première haie
2) Le franchissement :
- L’impulsion :
Le coureur doit attaquer les haies sans
ralentir.La distance d’attaque est fonction de la vitesse
et doit être optimale : trop longue ou trop courte
elle oblige le coureur à sauter.Plus l’impulsion
est proche de la haie plus elle est verticale et source
de perte de vitesse.
A l’attaque on doit observer une inclinaison
avant du grand axe du corps .Il ne faudra pas confondre
inclinaison du tronc (attitude de cassé à l’attaque, donc
« recul » du bassin) et inclinaison du grand axe
du corps (« avancée du bassin »)à l’impulsion
- La phase d’envol :
Le franchissement doit être aussi horizontal que possible.
La dissociation des deux jambes (jambe d’attaque et jambe
d’esquive) permettra une moindre élévation du centre
de gravité au dessus de l’obstacle.

- La reprise :
A la reprise derrière la haie le centre de gravité ne doit pas
être en arrière de l’appui et il doit être le plus haut possible.
3) La course inter-obstacles:

Elle permet au coureur de produire


ou de conserver de la vitesse. En raison
de la forme du franchissement, la foulée
précédant l’impulsion sera plus courte qu’une
foulée normale. Un expert réalise trois
foulées (quatre appuis) entre les haies.
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour faire parcourir


au témoin un espace dans le temps le plus court
possible.L’activité courses de relais consiste à utiliser
la foulée de course de plusieurs coureurs pour réaliser
la meilleure performance possible dans un espace
délimité,en ligne droite et en virage,en situation
de confrontation directe et simultanée.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences

Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte en courses


de relais:
- Se mettre en action pour recevoir le témoin de son partenaire
dans une zone définie
- Partir vite en réagissant au moment juste à un signal provenant
de l’arrière
- De se transmettre le témoin au maximum de leur vitesse
(problème lié à la manière de faire
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que pour
produire une performance toujours plus importante,il faut augmenter
la vitesse de course mais qu’une vitesse trop importante augmente
les risques de mauvaise transmission.Subordonnée à la manière
de se transmettre le témoin et à aux vitesses cumulées des coureurs
la performance naîtra du meilleur compromis entre vitesses
des coureurs et manière de transmettre.
Règles sociales et culturelles minimales

 La transmission du témoin doit se faire dans la zone prévue


à cet effet
 Les irrégularités de transmission sont déterminées par
les juges selon la position du témoin par rapport à la zone
 Le chronométrage est indépendant du témoin et est fait
en fonction du buste du dernier coureur
 La chute du témoin n’est pas disqualifiantes si elle ne gêne
pas les adversaires
 On ne peut se lancer le témoin
Connaissances techniques essentielles

 Départ starting-blocks : cf. Courses courtes


 Le donneur doit maintenir sa vitesse maximale jusqu’à
la jonction
 Le receveur doit se lancer pour n’être rejoint
que losqu’il a atteint sa vitesse maximale
 La transmission du témoin se fait de main droite à main
gauche ou de main gauche à main droite
 Chaque coureur (donneur,receveur) à une place dans
le couloir pour éviter les percussions.
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour franchir


un espace horizontal le plus grand possible.Il consiste
à franchir un espace horizontal le plus large possible
en prenant appel d’un pied au terme d’une course
d’élan.On a plusieurs tentatives pour agrandir cet
espace.Ces taches se réalisent en interaction avec
d’autres sauteurs par le mode de l’opposition
successive.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences

Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte au saut


en longueur :
- La vitesse et la précision de la course d’élan
- L’orientation vers l’avant et le haut de l’impulsion
terminale
- La manière d’organiser son corps pour franchir
cet espace et se réceptionner
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que
pour produire une performance toujours plus importante il faut
courir vite (grande intensité d’effectuation) mais qu’une
intensité trop importante nuit à l’orientation de l’impulsion
et à la manière d’organiser son corps pour franchir.
Règles sociales et culturelles minimales
 Les athlètes prennent leurs marques.Aucune marque sur la piste d’élan,
mais sur le coté de la piste
 L’appel se fait à partir de la planche.Immédiatement après la ligne d’appel
se trouve la plasticine (ou sable humide) afin de retenir l’empreinte du pied
quand il fait une faute
 Entre chaque essai le sable est remis en état
 Lorsqu’il y a plus de 8 athlètes, ils auront tous droit aux 3 premiers essais,
les huit meilleurs auront droit à trois essais supplémentaires
 Un concurrent fait faute s’il laisse une marque sur la plasticine
 Tous les sauts réussis sont mesurés à partir de la marque la plus proche
faite par la zone de chute,par une partie quelconque du corps
ou des membres,jusqu’à la ligne d’appel
 Classement : l’athlète ayant fait la meilleure performance est classé
premier, en cas d’ex aequo on considérera la meilleure deuxième
performance, ou la troisième,etc.
Connaissances techniques essentielles

1- L’élan :
Sa longueur doit amener le sauteur à une vitesse horizontale
optimale, c’est à dire à une vitesse qu’il pourra maitriser pour
trouver les meilleurs placements à l’impulsion finale.Cette course
doit être à dominante amplitude associée à une recherche
de relâchement.

2- La liaison course impulsion :


Elle se réalise sur les deux ou trois dernières foulées et doit
permettre à l’athlète de trouver l’angle d’envol optimal (20°).Pour
ce faire le centre de gravité s’abaisse sur l’avant dernier appui,tandis
que l’avant dernière foulée s’allonge.La dernière foulée est alors
plus courte.
3- L’impulsion:
Son orientation doit être vers le haut et l’avant.Le grand
axe du corps (alignement pied bassin épaules) doit osciller
de l’arrière vers l’avant.Les segments libres doivent avoir
un rôle d’allégement.

4- La suspension et la réception:
Elle fait apparaitre deux parties l’équilibration
et le ramené. Deux styles cohabitent aujourd’hui : l’extension
et le ciseau (et ses variantes).
Record du monde
Hommes

Femmes
Record national
Hommes

Femmes
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour franchir un espace


horizontal le plus grand possible.Il consiste à franchir
un espace horizontal le plus large possible en prenant appel
d’un pied au terme d’une course d’élan et de trois impulsions
successives.On a plusieurs tentatives pour agrandir
cet espace.Ces tâches se réalisent en interaction avec d’autres
sauteurs par le mode de l’opposition successive.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences

Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte au saut


en triple saut :
- La vitesse et la précision de la course d’élan
- L’orientation vers l’avant de l’impulsion
terminale
- La manière d’organiser son corps pour franchir
cet espace et se réceptionner
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que
pour produire une performance toujours plus importante il faut
courir vite (grande intensité d’effectuation) mais
qu’une intensité trop importante nuit à l’orientation
de l’impulsion et à la manière d’organiser son corps pour
franchir.
Règles sociales et culturelles minimales
 Les athlètes prennent leurs marques.Aucune marque
sur la piste d’élan, mais sur le coté de la piste
 L’appel se fait à partir de la planche.Immédiatement après
la ligne d’appel se trouve la plasticine (ou sable humide)
afin de retenir l’empreinte du pied quand il fait une faute
 Le saut s ’effectuera de telle sorte que le concurrent
retombe sur le pied avec lequel il a pris son premier appel
puis au second saut sur l’autre pied à partir duquel
le troisième saut est fait
 Lorsqu’il y a plus de 8 athlètes, ils auront tous droit
aux 3 premiers essais, les huit meilleurs auront droit à trois
essais supplémentaires
Règles sociales et culturelles minimales
 Un concurrent fait faute s’il laisse une marque sur
la plasticine
 L’athlète doit retomber dans la fosse de réception
 Un concurrent fait faute s’il touche le sol au cours
d’un saut avec sa jambe libre
 Tous les sauts réussis sont mesurés à partir de la marque
la plus proche faite par la zone de chute,par une partie
quelconque du corps ou des membres, jusqu’à la ligne
d’appel
 Classement : l’athlète ayant fait la meilleure performance
est classé premier, en cas d’ex aequo on considérera
la meilleure deuxième performance, ou la troisième,etc.
Connaissances techniques essentielles

- L’élan :
Sa longueur doit amener le sauteur à une vitesse horizontale optimale,
c’est à dire à une vitesse qu’il pourra maitriser pour trouver les meilleurs
placements à l’impulsion finale.Cette course doit être à dominante
amplitude associée à une recherche de relâchement.

- La liaison course impulsion :


Elle se réalise sur les deux ou trois dernières foulées et doit permettre
à l’athlète de trouver l’angle d’envol optimal (20°).Pour ce faire le centre
de gravité s’abaisse sur l’avant dernier appui,tandis que l’avant dernière
foulée s’allonge.La dernière foulée est alors plus courte.Cependant
l’abaissement du centre de gravité est beaucoup moins marquée qu’au saut
en longueur.
- Le premier saut (cloche pied) :
Son orientation doit être vers l’avant.Il se caractérise
par un passage rapide de l’athlète au dessus de son appui.
Le soulevé général du corps est moins accentué qu’au saut
en longueur.Les segments libres doivent avoir un rôle
d’allégement et sont davantage dirigés vers l’avant
Le sauteur effectue un ciseau complet de jambes afin
de se réceptionner sur le meme pied d’appel.A la réception
le genou de la jambe libre doit se trouver au meme niveau
que le genou de la jambe d’appel.L’axe général du corps étant
proche de la verticale.
- Le deuxième saut (foulée bondissante):

Le temps d’appui est relativement long pour permettre


au bassin de passer amplement au delà de l’appui.Cette action
est amplifiée par une action des segments libres vers le haut
et l’avant.L’athlete se réceptionne sur son autre pied.

- Le troisième saut (saut en longueur) :


Contrairement au sauteur en longueur,animé d’une vitesse
d’envol moins grande,le triple sauteur peut chercher à privilégier
l’élévation de centre de gravité à l’appel.L’angle d’envol sera
significativement plus important qu’au saut en longueur
Record du monde
Hommes

Femmes
Record national

Hommes

Femmes
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour franchir un espace


vertical le plus grand possible.Il consiste à franchir un espace
vertical le plus haut possible en prenant appel d’un pied
au terme d’une course d’élan.On a plusieurs tentatives pour
agrandir cet espace et cet agrandissement sont prévus
à l’avance.Ces tâches se réalisent en interaction avec d’autres
sauteurs par le mode de l’opposition successive.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences

Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte au saut


en hauteur:
- La forme et la vitesse de la course d’élan
- L’orientation vers le haut de l’impulsion terminale
- La manière d’organiser son corps pour franchir
la barre et se réceptionner
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que
pour produire une performance toujours plus importante il faut
courir vite (grande intensité d’effectuation) mais qu’une
intensité trop importante nuit à l’orientation de l’impulsion
et à la manière d’organiser son corps pour franchir.
Règles sociales et culturelles minimales
 Les concurrents peuvent s’abstenir de sauter à une hauteur
 Un athlète est éliminé quand il a trois échecs successifs
 Les concurrents ne devront prendre appel que sur un seul pied
 Un concurrent fait faute s’il fait tomber la barre
de ses supports, s’il touche le sol au-delà du plan des montants
sans avoir préalablement franchi la barre
 Classement : l’athlète ayant fait la meilleure performance
est classé premier. En cas d’ex aequo on considérera le plus
petit nombre de sauts à la hauteur à laquelle se produit
l’ex aequo, puis le plus petit nombre de sauts dans l’ensemble
du concours
Réglementation

a/ Piste d'élan
Longueur de piste illimitée mais au minimum 15m.
La piste devra avoir une surface horizontale.

b/ La zone de chute
Elle n'est pas codifiée, mais le tapis en mousse est
généralisé. Dans le cadre scolaire, il y a une
hyperréglementation.
c/ Le matériel
Les montants:
rigides, dépasse d'au moins 10cm la hauteur maximum à laquelle la
barre pourra être montée.
La barre:
de section circulaire, pèse au maximum 2Kgs, Long de 3m98 à
4m02. Faite de matériaux rigides ou semi-rigides.
Support:
plat, rectangulaire ne doivent pas être recouvert de matériaux
susceptibles d'augmenter l'adhérence. 4cm de large et 6cm de
long.
Concours et classement
 La montée de barre est prédéfinie avant le début du concours
et en fonction des participants. La barre minimale est également
déterminée en fonction des participants. Avant le concours, la feuille est
établie. A partir du moment où la première hauteur de barre,
les concurrents choisissent leurs premières hauteurs mais supérieures
à la hauteur minimum. Le sauteur peut choisir toutes les hauteurs, il gère.
 Le concurrent est éliminé après 3 échecs successifs quelle que soit
la hauteur de la barre. Sur la feuille de concours
0 = réussite, X = échec
 L'essai est compté nul quand:
-le concurrent fait tomber la barre
-si le concurrent ne saute pas dans les 90s après l'appel
de son nom.
-le concurrent dépasse sans tenter son saut le plan passant
par les poteaux.
 Le sauteur ayant franchi la plus haute hauteur est
gagnant.
 L'égalité, le sauteur qui a fait le moins d'essais
à la hauteur d'égalité est gagnant.
 Le sauteur ayant raté le plus petit nombre
d'essais est gagnant.
 Pour la première place uniquement, si l'égalité
subsiste, on donne un 4ème essai à la dernière
hauteur échouée. Si les 2 concurrents échoue,
la barre est descendue d'un cran ou plus
jusqu'à ce que un des sauteurs réussisse, si
encore égalité la barre est montée...
 Technique de saut: l'appel se fait à un pied
Connaissances techniques essentielles

- L’élan :
Pendant cette période le sauteur recherche une vitesse optimale
en relation avec ses qualités physiques.Cette course doit être à dominante
amplitude associée à une recherche de relâchement avec une augmentation
progressive de la fréquence.
L’élan est soit strictement rectiligne (ciseau,ventral,…) soit rectiligne puis
curviligne (Fosbury)

- La liaison course impulsion :


Elle se réalise sur les deux ou trois dernières foulées et doit permettre
à l’athlète de trouver l’angle d’envol optimal (50°-60°).Pour ce faire
le centre de gravité s’abaisse sur l’avant dernier appui,tandis que l’avant
dernière foulée s’allonge.Les appuis prennent de l’avance par rapport
aux épaules (inclinaison vers l’arrière du grand axe du corps).
- L’impulsion :
Son orientation doit être vers le haut.Le grand axe du corps
(alignement pied-bassin-épaules) doit osciller de l’arrière vers le haut.
Les segments libres doivent avoir un rôle d’allégement (action très
rapide des segments libres vers le haut).Les épaules doivent rester
perpendiculaires à la barre le plus longtemps possible.
- La suspension, le franchissement,
l’esquive et la chute :
Dans la phase ascendante l’athlète semble prolonger
le grandissement terminal de l’appel.Durant cette phase la rotation
longitudinale se poursuit puis l’athlète aborde la barre de dos.Suivant
le style utilisé les placements segmentaires seront différents :
au Fosbury le sauteur adoptera une position très arquée puis une fois
le bassin engagé rapprochera ses genoux de ses épaules
(U inversé),alors qu’au ventral le sauteur se «regroupera » autour
de la barre pour effectuer le franchissement.Avec l’arrivée
des nouveaux matériaux de réception,la chute n’est plus considérée
comme une phase importante du saut.Cependant son observation
demeure riche d’enseignements pour l’analyse du saut (continuité élan
saut).
Record du monde

Hommes

Femmes
Record national
Hommes

Femmes
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter le corps pour franchir un espace


vertical le plus grand possible.Il consiste à franchir un espace
vertical le plus haut possible en prenant appel d’un pied
au terme d’une course d’élan à l’aide d’une tige flexible.
On a plusieurs tentatives pour agrandir cet espace
et cet agrandissement sont prévus à l’avance.Ces tâches
se réalisent en interaction avec d’autres sauteurs par le mode
de l’opposition successive.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences
Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte au saut
à la perche:
- La longueur du levier (subordonnée à la vitesse
de la course d’élan)
- L’orientation vers le haut et l’avant de l’impulsion
terminale
- La manière d’organiser son corps pour aller franchir
la barre,franchir et se réceptionner
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que pour
produire une performance toujours plus importante il faut prendre
un levier de plus en plus grand (grande intensité d’effectuation)
mais qu’un levier trop importante nuit à l’orientation
de l’impulsion et à la manière d’organiser son corps pour
franchir.
Règles sociales et culturelles minimales
 Les concurrents peuvent s’abstenir de sauter à une hauteur
 Un athlète est éliminé quand il a trois échecs successifs
 Un concurrent fait faute s’il fait tomber la barre
de ses supports, s’il touche,avec son corps ou sa perche, le sol
au-delà du plan du fond du butoir sans avoir préalablement
franchi la barre; si au cours du saut la main inférieure
est passée au-dessus de la main supérieure
 Classement : l’athlète ayant fait la meilleure performance
est classé premier. En cas d’ex aequo on considérera le plus
petit nombre de sauts à la hauteur à laquelle se produit
l’ex aequo, puis le plus petit nombre de sauts dans l’ensemble
du concours
Connaissances techniques essentielles
- L’élan :
Pendant cette période le sauteur recherche une vitesse optimale
en relation avec ses qualités physiques.Cette course doit être à dominante
amplitude associée à une recherche de relâchement avec une augmentation
progressive de la fréquence.
Le port de la perche s’effectue sur le coté opposé au pied d’appel.La prise
de la perche s’effectue pouces vers l’arrière (perche à l’horizontale),l’écart
entre les mains correspond à la largeur des épaules du sauteur

- La liaison course impulsion : le présenté


Elle se réalise sur les deux ou trois dernières foulées et doit permettre
à l’athlète de trouver l’angle d’envol optimal (50°-60°).Pour ce faire
le centre de gravité s’abaisse sur l’avant dernier appui,tandis que l’avant
dernière foulée s’allonge.Durant cette phase particulière du saut le sauteur
doit amener sa perche dans une position favorable au saut c’est-à-dire
perche devant soi,parallèle à l’axe de déplacement embout dans le butoir
main supérieure au dessus de la tête (soulèvement maximum).
- L’impulsion :
Son orientation doit être vers l’avant et le haut.Tout le corps
du sauteur doit participer à l’action de flexion de la perche.
Les épaules doivent rester perpendiculaires à la barre le plus
longtemps possible.
- Le balancé:
Le perchiste cherche à prolonger l’appel.La jambe de poussée
semble trainer en arrière.Le genou de la jambe libre se trouvant
approximativement à la hauteur du bassin.
- Le groupé et le renversé :
Ils s ’effectuent autour de l’axe des épaules,le sauteur
demeurant éloigné de sa perche.Le genoux montent à la hauteur
des mains,le sauteur se trouvant dos à la barre.
- L’extension - retournement :
Au moment où la perche se détend,le sauteur accompagne
ce mouvement par une extension des jambes.Pendant ce temps
il effectue un demi-tour suivant l’axe longitudinal de façon
à se présenter ventre à la barre.
- Le franchissement, l’esquive et la chute:
Le sauteur semble catapulté par la perche.Il enroule
la barre en l’abordant par les pieds.Un reliquat de vitesse
horizontale lui permet de dégager plus facilement le buste
et les bras.Avec l’arrivée des nouveaux matériaux
de réception,la chute n’est plus considérée comme une phase
importante du saut.
Record du monde

Hommes

Femmes
Record national
Hommes

Femmes
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter l’engin pour faire franchir


un espace le plus grand possible au terme
d’un élan.L’espace à franchir est illimité,le nombre
d’essai pour y parvenir est limité à l’avance.
Ces tâches se réalisent en interaction avec d’autres
lanceurs par le mode de l’opposition successive.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences

Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte au lancer de javelot :


- Produire une accélération maximale sur le javelot
- Projeter sous un angle favorable qui optimise les propriétés
balistiques et aérodynamiques du javelot
- Déclencher le lancer après une course d’élan réduite le plus près
possible d’une limite à ne pas dépasser.
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que pour produire
une performance toujours plus importante il faut augmenter la vitesse
de projection du javelot mais qu’une vitesse trop importante diminue
l’angle d’envol et qu’un angle trop important diminue la vitesse de
projection.Quel que soit leur niveau,les pratiquants vont se trouver face à cet
ensemble d’exigences contradictoires dans une situation de pratique qui
sollicite une activité adaptative spécifique.A ces contradictions repérables
correspondent des conflits entre les systèmes fonctionnels que mobilise
le lanceur pour produire une performance.
Règles sociales et culturelles minimales
 Le javelot sera tenu à la corde de prise
 Le javelot doit être lancé par-dessus l’épaule,il ne doit pas être projeté par
un mouvement rotatif
 Le lancer ne sera pas valable si le concurrent,après qu’il ait commencé
à lancer,touche avec n’importe quelle partie de son corps le sol
à l’extérieur de la piste d’élan y compris les lignes la délimitant
 L’essai ne sera valable que si la pointe du javelot touche le sol avant
une autre partie quelconque du javelot à l’intérieur du secteur
 Le mesurage se fait à partir de la marque la plus proche faite par
la pointe du javelot (point zéro) jusqu’à l’intérieur de l’arc de cercle.Tendre
le ruban de telle sorte qu’il passe par le centre du secteur.La lecture
se fait sur le bord intérieur de l’arc de cercle et la mesure est annoncée
au centimètre pair inférieur
 Le classement : l’athlète ayant fait la meilleure performance est déclarée
vainqueur.En cas d’ex aequo on considérera la meilleure seconde
performance,ou la troisième,etc…
Connaissances techniques essentielles
- La course d’élan :
Elle est destinée à vaincre l’inertie de départ du système
lanceur-engin et à lui donner une certaine vitesse.Celle ci doit être
compatible avec la maitrise gestuelle du lanceur.Cette vitesse optimale doit
être obtenue progressivement.Pendant sa course, le lanceur tient son javelot
par la cordée,avec un seul de ses bras,horizontalement,main lanceuse
au dessus de l’épaule lanceuse.

- Le placement (1-2-3-4-5) :
Lors de cette phase,le javelot est porté vers l’arrière.Elle consiste
à amener le javelot vers l’arrière par un allongement du bras lanceur
et une rotation de la ligne des épaules vers la droite.Le buste se trouve
alors de profil par rapport à l’air de lancer,le bras lancer allongé vers
l’arrière ,la paume de main orienté vers le ciel,le javelot près du corps
au dessus des épaules.
- Le pas croisé (6-7) et le double appui (8-9-10) :
Le pas croisé permet une prise d’avance des appuis (inclinaison arrière
du grand axe du corps) qui entrainera la réalisation efficace de la phase
de double appui.
Cette phase débute avec la pose du dernier appui droit et se termine
au moment où le poids du corps est porté principalement sur le dernier appui
gauche.
- La phase finale (11-12) :
Pour que le jet soit réellement efficace,il faut que le tronc et les bras
répondent aux actions de jambes des phases précédentes,sans jamais
les anticiper.Le lanceur effectue un redressement du grand axe du corps vers
l’avant et un «dévissage du tronc ».La main lanceuse est portée le plus
rapidement vers l’avant et le haut et doit passer strictement au dessus
de l’épaule lanceuse (lancer en désaxé).
- Le rattrapé :
une fois le lancer de l’engin est terminé,l’athlète doit s’arrêter afin
de ne pas passer au-delà des limites permises.Le tronc revenant vite vers
l’avant et le bas,le lanceur stoppe son corps en ramenant rapidement son pied
droit en avant.Plusieurs appuis peuvent être nécessaires.
Record du monde
Hommes

Femmes
Record national
Hommes

Femmes
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter l’engin pour faire franchir un espace


le plus grand possible au terme d’un élan.L’espace à franchir
est illimité,le nombre d’essai pour y parvenir est limité
à l’avance.Ces tâches se réalisent en interaction avec d’autres
lanceurs par le mode de l’opposition successive.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences
Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte au lancer de poids :
- Produire une accélération maximale sur le poids
- Projeter sous un angle favorable qui optimise les propriétés
balistiques du poids
- Déclencher le lancer après un élan réduit le plus près possible
d’une limite à ne pas dépasser.
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que pour produire
une performance toujours plus importante il faut augmenter la vitesse
de projection du poids mais qu’une vitesse trop importante diminue l’angle
d’envol et qu’un angle trop important diminue la vitesse de projection.
Quel que soit leur niveau,les pratiquants vont se trouver face
à cet ensemble d’exigences contradictoires dans une situation de pratique
qui sollicite une activité adaptative spécifique.A ces contradictions
repérables correspondent des conflits entre les systèmes fonctionnels
que mobilise le lanceur pour produire une performance.
Règles sociales et culturelles minimales
 Le lancer de poids s’effectue de l’intérieur du cercle en commençant le jet
d’une position stationnaire
 Le poids est lancé d’une seule main en avant de l’épaule.Au moment
du lancer le poids doit toucher ou être très proche du menton
 Le lancer ne sera pas valable si le concurrent,après qu’il ait commencé
à lancer,touche avec n’importe quelle partie de son corps le sol à l’extérieur
du cercle y compris le dessus du butoir
 L’essai ne sera valable que si le poids touche le sol à l’intérieur du secteur
 Le mesurage se fait à partir de la marque la plus proche faite par le poids
(point zéro) jusqu’à l’intérieur de l’arc de cercle.Tendre le ruban de telle
sorte qu’il passe par le centre du secteur.La lecture se fait sur
le bord intérieur du butoir et la mesure est annoncée au centimètre inférieur
 Le classement : l’athlète ayant fait la meilleure performance est déclarée
vainqueur.En cas d’ex aequo on considérera la meilleure seconde
performance,ou la troisième,etc…
Connaissances techniques essentielles

- La position de départ:
Le lanceur est immobile et tient son poids avec un seul
de ses bras.Le poids est placé sur la naissance des doigts,lesquels
sont peu écartés.Le pouce soutient le poids.Le bras lanceur fait
un angle de 45° avec le tronc.

- La mise en action :
Elle est destinée à vaincre l’inertie de départ du système
lanceur-engin et à lui donner une certaine vitesse.Celle ci doit être
compatible avec la maitrise gestuelle du lanceur.Cette vitesse optimale doit
être obtenue progressivement.
- La double appui :
La mise en action permet une prise d’avance des appuis (inclinaison
arrière du grand axe du corps) qui entrainera la réalisation efficace
de la phase de double appui.Cette phase débute avec la pose de l’appui
droit au centre du cercle et se termine au moment où le poids du corps
est porté principalement sur le dernier appui gauche.Lorsque l’appui droit
doit revient au sol il doit se trouver à la verticale passant par le poids.

- La phase finale :
Pour que le jet soit réellement efficace,il faut que le tronc et les bras
répondent aux actions de jambes des phases précédentes,sans jamais
les anticiper.Le lanceur effectue un redressement du grand axe du corps
vers l’avant et un « dévissage du tronc ».La main lanceuse est portée le plus
rapidement vers l’avant et le haut et doit passée strictement au dessus de
l’épaule lanceuse (lancer en désaxé).
- Le rattrapé :

Une fois le lancer de l’engin est terminé,l’athlète doit s’arrêter afin de


ne pas passer au-delà des limites permises.Le tronc revenant vite vers
le haut,le lanceur stoppe son corps en ramenant rapidement son pied droit
en avant.La jambe droite et le tronc fléchissent alors, entrainant
un abaissement considérable du centre de gravité.
Vidéo analyse technique
du lancer de poids
Record du monde
Hommes

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Record national
Hommes

Femmes
Définition : Logique de l’activité

Il s’agit de projeter l’engin pour faire franchir un espace


le plus grand possible au terme d’un élan.L’espace à franchir
est illimité,le nombre d’essai pour y parvenir est limité
à l’avance.Ces tâches se réalisent en interaction avec d’autres
lanceurs par le mode de l’opposition successive.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences
Trois dimensions indissociables sont à prendre en compte au lancer de disque :
- Produire une accélération maximale sur le disque
- Projeter sous un angle favorable qui optimise les propriétés
balistiques et aérodynamiques du disque
- Déclencher le lancer après un élan réduit le plus près possible
d’une limite à ne pas dépasser.
Le problème fondamental naît donc du paradoxe qui veut que pour produire
une performance toujours plus importante il faut augmenter la vitesse
de projection du disque mais qu’une vitesse trop importante diminue
l’angle d’envol et qu’un angle trop important diminue la vitesse
de projection.Quel que soit leur niveau,les pratiquants vont se trouver face
à cet ensemble d’exigences contradictoires dans une situation de pratique
qui sollicite une activité adaptative spécifique.A ces contradictions
repérables correspondent des conflits entre les systèmes fonctionnels
que mobilise le lanceur pour produire une performance.
Règles sociales et culturelles minimales
 Le lancer de disque s’effectue de l’intérieur du cercle en commençant le jet
d’une position stationnaire
 Le lancer ne sera pas valable si le concurrent,après qu’il ait commencé
à lancer,touche avec n’importe quelle partie de son corps le sol à l’extérieur
du cercle y compris le dessus du butoir
 L’essai ne sera valable que si le disque touche le sol à l’intérieur du secteur
 En quittant le cercle,le premier contact avec le sol doit se faire en deça
de l’hémicycle avant
 Le mesurage se fait à partir de la marque la plus proche faite par le disque
(point zéro) jusqu’à l’intérieur de l’arc de cercle.Tendre le ruban de telle
sorte qu’il passe par le centre du secteur.La lecture se fait
sur le bord intérieur du butoir et la mesure est annoncée au centimètre
inférieur
 Le classement : l’athlète ayant fait la meilleure performance est déclarée
vainqueur.En cas d’ex aequo on considérera la meilleure seconde
performance,ou la troisième,etc…
Connaissances techniques essentielles
- La position de départ:
Le lanceur est immobile,dos à l’aire de lancer et tient son disque avec
une seule main.Le disque est placé sur les dernières phalanges
des doigts,lesquels sont peu écartés.Le pouce se trouve le long du disque
le poids.Le bras lanceur se trouve le long du corps

- La mise en action,le pivot initial (1-2-3-4 ) :


Elle est destinée à vaincre l’inertie de départ du système
lanceur-engin et à lui donner une certaine vitesse.Celle ci doit être compatible
avec la maitrise gestuelle du lanceur.Cette vitesse optimale doit être obtenue
progressivement.
Le mouvement du corps proprement dit commence par une orientation du
pied gauche vers la zone de lancer (pied toujours en contact avec le sol).
La main lanceuse et la ligne d’épaules devant toujours se trouver en arrière
de la ligne de bassin.Le lanceur appuie longtemps sur son pied gauche pour
aller le plus près possible de l’extrémité avant du cercle (inclinaison avant
du grand axe du corps).
- Le double appui (5-6-7-8) :
La mise en action et le piot permettent une prise d’avance des appuis
(inclinaison arrière du grand axe du corps) qui entrainera la réalisation
efficace de la phase de double appui.Cette phase débute avec la pose
de l’appui droit au centre du cercle et se termine au moment où le poids
du corps est porté principalement sur le dernier appui gauche.Lorsque
l’appui droit doit revient au sol il doit se trouver à la verticale passant
par l’épaule droite.
- La phase finale (9-10-11) :
Pour que le jet soit réellement efficace,il faut que le tronc et les bras
répondent aux actions de jambes des phases précédentes,sans jamais
les anticiper.Le lanceur effectue un redressement du grand axe du corps
vers l’avant et un « dévissage du tronc ».La main lanceuse est portée le plus
rapidement vers l’avant et le haut et doit passer le plus loin possible
du tronc.
- Le rattrapé (12) :
Une fois le lancer de l’engin termine,l’athlète doit s’arrêter afin
de ne pas passer au-delà des limites permises.Le tronc revenant vite vers
le haut,le lanceur continue sa rotation afin de rester dans le cercle.
Vidéo analyse technique
du lancer de disque
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Hommes

Femmes
Définition : Logique de l’activité

Le lancer consiste à projeter un engin le plus loin


possible à l’aide de son corps en répondant à l’exigence
du règlement et des lois physiques.
Le lancer du marteau consiste à lancer, le plus loin,
un boulet en acier fixé par un câble à une poignée. Lors
du lancer l’athlète ne doit pas sortir du cercle (diamètre
de 2,135 m).
Le marteau doit quant à lui sortir de la cage et atterrir dans l'aire
de lancer limitée à angle de 34,92°. Pour les hommes, le boulet
a un poids de 7,26 kg et 4 kg pour les femmes.
Problèmes fondamentaux : Contraintes et exigences

Les problèmes fondamentaux des lancers proviennent


de la contradiction qui existe pour le lanceur entre
la nécessité de trouver un angle d'envol correct
de l'engin et celle de trouver et/ou préserver une
vitesse optimum du couple engin-lanceur.
Règles sociales et culturelles minimales

Compétition
1. En position de départ, avant les balancements ou rotations préliminaires,
l’athlète est autorisé à poser la tête du marteau sur le sol, à l’intérieur ou à
l’extérieur du cercle.
2. Si la tête du marteau touche le sol à l’intérieur ou à l’extérieur du cercle,
ou le haut de la bordure pendant que l’athlète effectue les balancements ou
rotations préliminaires, le lancer ne sera pas considéré comme irrégulier.
L’athlète peut s’arrêter et recommencer le lancer, à la condition qu’aucune
autre règle n’ait été enfreinte.
3. Si le marteau se casse au cours d’un essai ou pendant qu’il est en l’air,
l’essai ne sera pas considéré comme une faute, à condition que par ailleurs
il ait été effectué conformément à cette Règle. Si l’athlète perd l’équilibre
et qu’en conséquence il commet une faute quelconque au regard de cette
Règle, cela ne sera pas non plus considéré comme une faute et, dans les
deux cas, l’athlète se verra accorder le droit à un nouvel essai.
Règles sociales et culturelles minimales
Marteau
4. Le marteau sera constitué de trois parties principales:
une tête métallique, un câble et une poignée.
5. La tête sera faite de fer ou de laiton massif
ou d’un autre métal pas moins dur que du laiton
ou d’une enveloppe d’un tel métal remplie de plomb
ou d’un autre matériau solide. Le Centre de Gravité
de la Tête ne doit pas être à plus de 6mm du centre
de la sphère, c’est-à-dire qu’il faut que la tête (sans
le câble ou la poignée) puisse rester en équilibre sur
un orifice circulaire horizontal à arête vive de 12mm
de diamètre .Si un remplissage est utilisé, celui-ci doit
être incorporé de façon qu’il ne puisse remuer et qu’il
soit conforme aux normes exigées pour le centre
de gravité.
Marteau
6. Le câble sera fait d’un seul morceau de fil d’acier droit
d’un diamètre d’au moins 3mm et ne devra pas s’allonger de façon
sensible pendant le lancer. Comme procédé d’attache, le câble
pourra être recourbé en anneau à une boucle à l’une ou aux deux
extrémités. Le câble sera relié à la tête au moyen d’un pivot simple
ou monté sur roulement à billes.
7. La poignée sera rigide et sans joints articulés d’aucune sorte.
La déformation totale de la poignée sous une charge de tension
de 3,8kN n’excédera pas 3mm. Elle devra être attachée au câble
d’une manière telle qu’elle ne puisse se combiner avec la boucle
du câble pour augmenter la longueur totale du marteau. La poignée
sera reliée au câble au moyen d’une boucle. Un pivot ne peut être
employé. La poignée doit être de conception symétrique et peut
avoir une prise courbée ou droite. La force minimale de rupture
de la poignée sera de 8kN.
Analyse technique du lancer
de marteau
TENUE ET POSITION DE DEPART

TENUE POUR UN LANCEUR


DROITIER

o LA MAIN GAUCHE TIENT


LA POIGNEE

o LA MAIN DROITE
RECOUVRE LA GAUCHE
POSITION DE DEPART

A l’ arrière du cercle dos à la direction de lancer


LES MOULINETS

Trajectoire du marteau pendant les moulinets :


1- Point bas 1er moulinet
2- Point bas 2e moulinet
3- Point bas à l’ENTREE
du 1er tour
‘’PRENDRE’’ le MARTEAU avec
les COUDES
PHASE DE PRISE DE VITESSE INITIALE
1er moulinet

2ème moulinet
Entrée

Illustrations reprises de Guy Guérin ‘’Spécial lancers’’ et Lothar Hinz ‘’Les lancers ‘’
2) LA PHASE DE PRISE D’AVANCE
Illustrations reprises de Guy Guérin ‘’Spécial lancers’’ et Lothar Hinz ‘’The throws’’
Illustrations reprises de Guy Guérin ‘’Spécial lancers’’ et Lothar Hinz ‘’The throws’’
Illustrations reprises de Guy Guérin ‘’AEFA Spécial lancers’’ et Lothar Hinz ‘’Les lancers’’
PHASES DE TRANSFERT ET D’EJECTION FINALE
Analyse technique du lancer
de marteau
Record du monde
Hommes

Femmes
Record national
Hommes

Femmes
Bibliographie
 Les courses , Ed. Vigot
 Les sauts, Ed. Vigot
 Les Lancers,Ed Vigot
 Les fondamentaux de l’ athlétisme, G. Goriot, , Ed. Vigot
 E.P.S au collège et athlétisme , R. Delhemes INRP
 1000 exercices d’athletisme, K. Murer, Ed.Vigot
 L’enseignement de l’athletisme en milieu scolaire, P. Seners, Ed. Vigot
 L’ athlétisme en EPS, P. Seners Ed. Vigot
 Comprendre l’athletisme Hubiche, Pradet, INSEP
 Jeux et exercices d’athletisme,Marschal, Amphora
 Apprendre à observer, J.Piasenta, INSEP
 L’éducation athlétique, J.Piasenta, INSEP
 Athlédidac, R.Gendre, CDDP, Corrèze
 La course d’endurance, G.Gacon, CRDP
Bibliographie
 Athletisme des 3 à 12 ans, A.M Havage
 Education Physique et Sportive, Athletisme, Inspection Académique du
Nord
 Les activités athlétiques à l’école, G.Guyotot, Ed E.Robert
 Tous « Athlète » F.P.C.E.P.S Ales
 E.P.S Contenu et didactique, SNEP
 Spirales n°1,3,4,7, STAPS Lyon Grenoble
 La fabuleuse histoire de l’athlétisme, R.Parienté ODIL
 Les sports athlétiques,Reichel, Mazzuchelli, EOLE 1895
 Techniques d’hier et d’aujourd’hui, Vigarello Ed. Revue E.P.S
 Le sport, l’émotion, l’espace, B.Jeu, , Ed. Vigot
Webographie
 http://www.athleconnexion.com/disque-et-marteau.php
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Athl%C3%A9tisme
MERCI POUR VOTRE
ATTENTION

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