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Dissertation :  

Comment penser l’expérience d’une œuvre d’art à l’ère numérique


Master 1 Esthétique et Études Culturelles
Professeur : Christophe Genin
Élève : Gabriel Jiménez  Olivares
étudiant étranger
Introduction et définitions :

Quand nous parlons de l’ère numérique, nous parlons effectivement de la phrase à la


mode des quinze dernières années. Depuis le début d’internet (fin du siècle XX et début
du siècle XXI) et en plus avec l’arrivée du « web 2.0 »1 (deuxième période de l’internet)
notre société et sa façon d’interagir a changé complètement. C’est grâce à ce
bouleversement que les théoriciens et les experts essayent avoir une définition, la plus
affirmative possible, sur un phénomène qui évolue constamment (selon les théoriciens
nous sommes aujourd’hui dans le période « web 3.0 » ou « web sémantique »2 ) et qui
aujourd’hui devient une thématique à analyser pour les experts de l’art qui constatent que
les publics sont parfois imprévisibles.

Mais comment devons-nous comprendre le concept de l’ère numérique ?

Afin d’utiliser ce concept de la façon plus claire possible, nous devons développer une
analyse de “l'ère numérique” qui soit adaptée et liée forcément à notre champ de travail
(l’art/les sciences humaines/la communication). Avec une idée plus cadrée sur notre
thématique nous pourrons développer la suite de notre travail.

D’abord nous pourrions définir le concept de “l’ère moderne” dans dans une multitude
d’axes différents. Par exemple, d’un côté plus industriel nous pourrions avoir la vision de
l’ingénierie robotique, et comment l’évolution technologique des machines s’est
transformée en une intégration et une interaction des machines avec les humains. Cette
analyse sera forcément plus liée aux aspects techniques du champ technologique.

Nous devons aussi l’analyser d’une façon plus reliée aux sciences humaines et aux
comportements sociaux pour après rentrer dans le champs de l’art et pouvoir analyser
l’interaction de l’art avec les publics. Quand nous parlons d’ère, nous devons comprendre
que nous faisons référence à un période donnée aussi connue comme époque
(normalement avec une date de début et un date du fin), dans l’Histoire nous trouvons
différentes ères de l’humanité définies, par exemple l’ère moderne (plus connue comme

1Web 2.0 : désigne l'ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages qui ont suivi la forme originelle du web, www ou World Wide Web 1,
caractérisée par plus de simplicité et d'interactivité (sociabilité)” - Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Web_2.0

2Web 3.0 : Définition Tim Berners-Lee : “… une toile de données qui peuvent être traitées directement et indirectement par des machines pour aider leurs
utilisateurs à créer de nouvelles connaissances …” - Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Web_sémantique
l’époque moderne), constatée par les historiens à partir de la fin du Moyen-Âge (VI siècle)
et se finissant dans dans le XV siècle (pour uns c’est avec la chute de Constantinople,
pour les autres c’est avec l’arrivée de Christophe Colomb -Cristobal Colón- en Amérique.
Pour les historiens français c’est avec le début de la Révolution Française (ou la
proclamation de la Première République3 ). Et chaque ère ou période aura différentes
caractéristiques et comportements sociaux liés à des facteurs politiques, technologiques
et d’interaction sociale.

L’ère numérique n’a pas une date exacte pour son début, mais les experts sont d’accord
qu’elle a une liaison avec “l’ère de l’information”, qui commence grâce à la “révolution
digitale (ou numérique)” qui date de la fin des années 1950 et 1970 avec l’invention et la
massification des ordinateurs numériques, capables de garder des quantités
d’informations jamais vues et faire des tâches humaines de manière automatique et
indépendante. Cette “révolution” est venu changer la perception des machines de la part
de l'homme qui a, en lui, trouvé un outil pour faire, de manière plus efficace et vive, des
tâches qui pouvaient être complexes et inimaginables.
Nous pouvons également nous demander, comment la communication à savoir: avoir les
informations en direct, en images, vidéo, etc. d’un événement de l’autre côté du monde se
fait ? Un exemple serait celui des attentats du 13 novembre 2015 au Bataclan à Paris. Cet
accès à l’information presque immédiat est devenu aussi une réaction immédiate: pendant
l’ère numérique les gens ont la capacité de réagir et de partager publiquement un avis
face à un événement précis.
Dans ce point je dois m’arrêter pour essayer comprendre un mot clé dans notre question :
l’expérience. De son origine latine : « experientia », de « experiti », faire l’essai4, nous
trouvons dans le dictionnaire Larousse cinq définitions différentes qui sont applicables à
différents contextes et situations. avec des Je vais vous en montrer deux:

3 https://fr.wikipedia.org/wiki/Époque_moderne

4 http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/expérience/32237
1. La mise à l'épreuve de quelque chose, un essai tenté sur quelque chose pour en
vérifier les propriétés ; expérimentation : Faire l'expérience d'un médicament.5 


2. L’action d'essayer quelque chose, de mettre à l'essai un système, une doctrine, etc.
; tentative : Tenter une expérience de vie commune.6 


Grâce à ces deux exemples nous pouvons comprendre qu’il y a différentes dimensions et
différents contextes de compréhension pour le mot expérience et je dois vous rapprocher
le plus possible de celle qui nous servira dans l’évolution de cette dissertation. Mais on
doit comprendre de manière globale ce que veut nous dire ce mot clé : quand nous
parlons d’expérience, nous parlons d’une certaine interaction, transmission ou preuve liée
toujours à la connaissance, à une situation, à un avis. Voyons un exemple : grâce aux
dispositifs portables et la “révolution numérique” pendant les attentats du Bataclan, on a
pu suivre et regarder en direct via la télévision, internet et les réseaux sociaux tout le
processus de l’attaque. L’information venait des différentes sources : bureaux officiels,
témoins, personnes inconnues qui expriment des sentiments de soutien et d’opposition.

Toute expérience va être liée à une interaction. Il est important de remarquer dans ce
travail l’importance de l’époque dans laquelle nous nous trouvons au moment de la
transmission de l’expérience. Les manières et ressources pour communiquer et élargir
une expérience personnelle, communautaire, ou globale sont importantes afin de
commencer à chercher une réponse à notre question principale. Il me semble donc plus
logique qu’une situation ou une expérience sera conditionnée par l’époque dans laquelle
elle a eu lieu.

Est-ce que le monde de l’art a pu s’adapter à tous les changements liés à l’ère numérique,
ou, est-ce que l’art doit s’adapter à cette nouvelle façon d’interaction de notre ère ?

5 http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/expérience/32237

6 http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/expérience/32237
Dans les prochains paragraphes, je vais formuler deux hypothèses qui cherchent à trouver
une solution à cette problématique en analysant comment les entreprises, les médias, les
politiques, les sociétés, et enfin, toute cette génération, et même ceux qui viennent des
générations précédentes ont créé des nouvelles manières de communiquer et d’interagir.

Dans une premier temps nous allons poser la question de savoir est-ce que le monde de
l’art est indépendant des innovations et des expériences liés au monde digital et l’ère
numérique? Nous continuerons ensuite l’analyse sur est-ce que le monde de l’art est
obligé à s’adapter aux comportements sociaux des publics dans l’ère numérique?

1. Je suis une œuvre d’art

Nous pourrions trouver de diverses définitions possibles afin d’encadrer le processus et le


soi d’une œuvre d’art. Nous pourrions argumenter notre vision ou au contraire argumenter
sur la vision de l’autre. Je souhaite commencer cette première partie en essayant de
comprendre qui doit/peut définir qu'est-ce qu’une œuvre d’art ? Quand quelque chose
(objet/idée) devient-il une œuvre d’art ? De quelle source pourrait venir la perception
“correcte” afin de définir une œuvre d’art ?

À travers l’histoire nous trouvons différents acteurs dans le monde de l’art via des
perspectives et essais essayant de répondre à ces questions. Les avis sont très différents:
nous aurions, par exemple, la perspective d’un artiste qui peut voir l’œuvre d’art d’une
façon :
“…Donc, art, c'est tout ce qui est fait avec la main, et généralement par un individu. Ce qui
rend la chose bien différente de ce que l'on appelle le goût et l'acquiescement de toute
une époque envers certains tableaux, certaines choses, n'est-ce pas…”7
Marcel Duchamp - 1960
 

7Marcel Duchamp - sa définition de l’art - 1960 http://www.larousse.fr/encyclopedie/sons/Marcel_Duchamp_décembre_1960_sa_définition_de_lart/


1101882
Mais Aussi, nous aurions une vision plus philosophe : ici une exemple de la vision
d’Emmanuel Kant sur la perspective du goût :

“Le goût est donc la faculté de porter un jugement social sur des objets externes, à
l’intérieur du domaine de l’imagination. Là l’esprit éprouve sa liberté dans le jeu des
images (donc la sensibilité) : car le rapport social avec autrui présuppose la liberté ; et ce
sentiment est un plaisir” 8

Mais, comment pourrions-nous définir ou savoir quelle est la vraie essence d’une œuvre
d’art si chacun de nous avons différentes perspectives et visions de la fonctionnalité de
l’art et ses valeurs dans la vie? Mon travail ici n’est pas de questionner ou de chercher
quelle vision est la plus proche de la réalité. Sinon de démontrer qu’autour du monde de
l’art il existe des visions différentes, ainsi que des façons différentes de comprendre
« qu’est-ce l’art? ». Visions et perspectives qui ont changé à travers l’Histoire. Malgré tous
ces différents concepts qui cherchent à trouver une définition des origines de l’art, il a
toujours survécu et est devenu un élément clé pour toutes les sociétés avec un langage
propre et indépendant. Ce langage interprété et compris de manière différente parle
monde de l’art ainsi que par les différents “publics" et sociétés.

L’art a évolué avec les sociétés et la valorisation des œuvres d’art ont changé avec
l’histoire de l’humanité. Nous avons plusieurs exemples des artistes et des œuvres que
ont été reconnues (valorisées) longtemps après sa création (je pourrais nommer Vincent
Van Gogh par exemple). Les changements sociaux et les enjeux de la perception par
rapport à une œuvre d’art peuvent être des guides pour l’époque dont nous faisons
l’analyse, et la qualification positive ou négative de l’œuvre même pourrait changer (par
exemple l’Inquisition a poursuivi et fait disparaître différentes œuvres d’art qu’ils ont
considéré comme hérétiques). Mais l’art, comme origine, comme moyen de
communication, d’interaction, de perception, restera là, inamovible, comme une partie
essentielle de notre société.

8 Emmanuel Kant - Anthropologie d’un point de vue pragmatique, II, B, 67 (trad; Michel Foucault, Paris , Vrin, 1979, pp. 100-103
Malgré toutes ses différentes définitions, expériences, encadrements et changements
dans l’histoire, l’art a suivi sa propre route. Les dimensions personnelles, globales,
professionnelles ne vont être que descriptions des différentes expériences au sein de
différents cadres sociaux. Mais l’art est resté et va rester de la même façon : comme une
témoin privilégié de l’histoire des sociétés humaines. Ce qui peut changer est la façon de
percevoir, comme dit Walter Benjamin : “La manière dont opère la perception - le médium
dans lequel elle s’effectue - ne dépend pas seulement de la nature humaine, mais aussi
de l’histoire.”9

L’histoire a démontré que l’art s’est vu confronté à différents changements sociaux et


historiques. Il a confronté guerres, changements d’époques, manières de penser ou
comprendre le monde et ainsi que des changements technologiques. Mais l’art est resté
là, sur son essence basique et peut importe si l’époque numérique est arrivée, ou si la
renaissance revient. L’art sera toujours une partie importante de notre façon de voir et
expérimenter la réalité, d’analyser notre entourage et de percevoir. Même si il existe
différentes réflexions et expériences de qu’une œuvre d’art.

2. Je suis là (à coté d’une œuvre d’art)


Malgré tout “l’indépendance” que nous pourrions donner au monde de l’art pendant
l’histoire, nous devons rentrer plus a l’intérieur des raisons de comment l’art a survécu et a
changé pendant l’histoire de l’humanité. D’abord car dans la première partie nous avons
dit que l’art sera toujours lié forcément à l’évolutions des sociétés. Ces changements nous
donnent une approche aux techniques et découvertes dans lequel l’art a du s’adapter.

Par exemple dans l’ère de la Révolution Digitale, que nous avons nommé au début de cet
texte, nous pourrions énumérer comment en 50 ans, la technologie a évolué de telle
manière que les communications et les formes d’interagir entre les gens ont changé
comme jamais nous avons vu dans l’histoire : L’évolution de les communications, Après
l’invention de l’imprimerie en 1450 par Johannes Gutenberg10, la radio, le téléphone, la
télévision, la presse, la façon de se communiquer socialement et massivement a été

99 Walter Benjamin - L’œuvre d’art à l’ère de sa reproductibilité technique (1938) (Paris, Gallimard /Folio, 2000, pp 274-285)

10 http://www.cvm.qc.ca/encephi/Syllabus/Histoire/Passecompose/inventionimprimerie.htm
analogique ou mécanique. L’interaction avec ces éléments ont donné à la société un
accès à l’information qui d’une certain maniéré a été aussi limitée car dans cette époque là
le contenu pouvait être modéré pour les pouvoirs de la société et les publics n’avaient pas
accès à tous les points de vue.

Mais la société actuelle a changé et change encore chaque jour la façon de communiquer
et interagir, mais est-ce que l’essence de l’être humain a changé vraiment ? Le sentiment
d’appartenance, d’appropriation et d’expérience de sentiments sont-ils les mêmes?

Les nouvelle générations ont pris le pouvoir et aussi ils ont de l’accès à l’information libre
et immédiate sans limitations. Donc, est ici où l’art doit comprendre, que les
méthodologies de médiation, interaction et d’expérience avec d’œuvre d’art ne seront pas
les mêmes. Aujourd’hui si nous allons à un musée nous regarderons le public (une
majorité) plus préoccupé de prendre la photo de l’œuvre d’art que de la contempler elle
même (Effet de la Gioconda de Leonardo Da Vinci au Musée du Louvre)

Si nous analysons le phénomène du selfie (se prendre une photo de soi même ou avec
des amis et la partager dans un ou plusieurs réseaux sociaux). Ce phénomène aussi lié à
la phrase trop utilisée dans cette ère : « Je suis là » (montrer une position géographique,
une événement spécial,etc. normalement est lié a une photo, et cette photo peut être un
selfie). C’est la façon actuelle de partager (autre mot trop utilisé dans cette époque
numérique), une expérience, un sentiment ou simplement un instant. Mais si nous
revenons aux origines des systèmes et théories sociales, pour appartenir à un certain
groupe je dois me sentir identifié. Dans ce groupe nous aurons une langage en commun
et des certaines règles communes dans lesquelles nous pouvons nous communiquer.

Aujourd’hui dans l’ère numérique nous pouvons dire que il y a la même logique mais
multipliée mille fois. L’accès à l’information nous permet d’être partie des différents
groupes sociaux au même temps, même si eux n’ont aucun relation (je peux appartenir à
un groupe des fanatiques du PSG, être membre d’un société des curieux de l’astrologie, et
aussi partie d’un groupe nazi au même temps).
Cette facilité pour se connecter avec des autres gens de toute la planète est née dans
cette époque (numérique)et a commencé grâce au connu « P2P »11 (Peer to Peer -
Personne à Personne en français). Phénomène qui a eu lieu entre les utilisateurs
d’internet: s’agit de l’interaction entre personnes/utilisateurs directement, sans avoir un
médiateur.

Cette façon de se communiquer a changé toutes les règles du jeu dans l’interaction,
expérience et communication sociale. Aujourd’hui; tous peuvent avoir accès à l’information
immédiate, différents angles et points de vue de cette information et percevoir et voir
différentes expériences de la part des protagonistes d’un fait. Revenons au exemple du
Bataclan :

Les images des CRS (Forces spéciaux de la Police française) dehors le bâtiment, les
négociations pour libérer les otages, etc. Mais aussi, nous avons d’informations directes et
instantanées créées par les mêmes otages a l'intérieur du Bataclan à travers ses réseaux
sociaux (Twitter et Facebook principalement) . Si nous reprenons le mot clé, nous avons
reçu “l’expérience” vécue par des acteurs principaux à l’instant, comment aussi nous
avons des témoins qui ont été des “participants secondaires” de l’histoire. Eux nous ont
transmis (et à toute le monde) certains avis et expériences, même s’ils ont été dehors le
lieu de l’attentat :

"Elle essayait de se garer mais avec difficultés", raconte-t-il. Il décide alors d'aller parler au
conducteur pour signaler qu'il bloque la sortie d'un garage. "Ils m'ont regardé froidement,
sans ouvrir la fenêtre. Ils avaient des têtes vraiment bizarres, avec des yeux qui
ressortaient [... ] Ça m'a bloqué, ça m'a refroidi"", confie Mohamed.12
BFMTV - 23/11/2015

Je vous pose la question : Pourquoi quelqu’un qui lutte pour survivre décide de
communiquer à travers ses réseaux sociaux quand la logique ou l’instinct de survie nous
indique que clairement cela n’est pas l’alternative la plus sage pour réussir s’échapper ?

11 https://techterms.com/definition/p2p

12 http://www.bfmtv.com/societe/il-a-vu-le-commando-stationne-deux-heures-a-proximite-du-bataclan-ils-avaient-des-tetes-bizarres-932199.html
Je ne veux pas faire une critique de valeurs et vous donner mon avis personnel si la
réaction a été bien ou mal. Sinon pour que vous pouvez voir que dans la réponse il y a
une comportement formé dans la génération de l’ère numérique. Il y a des codes et des
formes de vivre chaque expérience. Cette expérience peut être dans une attentat, une
fête, un acte de la vie quotidienne ou n’importe quel moment de la vie. C’est avec ces
codes comment aussi va être l'interaction avec une œuvre d’art.

Et c’est l’art qui doit comprendre que les formes de penser des publics ont changé, et
probablement dans un avenir vont changer aussi, et l’art comme le reflet d’un moment
actuel, à une radiographie sociale (comme nous avons regardé dans le premier point), doit
forcément s’adapter afin de se communiquer avec les publics, d'interagir avec eux avec un
langage commun.

3. Réflexion finale :

L’expérience c’est une terminologie difficile a comprendre, mais mettre dans le contexte de
l’ère numérique actuelle nous pouvons la définir comme une instant, un moment à
partager. Et ce moment à partager a fait que la conception de l’œuvre d’art a changé
complément les derniers 40 ans.

C’est le travail de nous, les professionnels du monde de l’art et la culture,de briser la


politique ancienne lié à l’art et comprendre que nous pouvons aller aussi à chercher notre
public comment eux peuvent venir nous chercher aussi. Aujourd’hui la relation art-public
est devenue un dialogue constant, qu’il faut le nourrir, comprendre et aussi approcher à
tous. Mais l’histoire nous a montré que le concept de l’art est fort pour soi même et que
l’être humain a eu toujours besoin de se contacter et transmettre des expériences. Nous
pouvons l’appeler art, autre communication, mais l’essence et notre nature humaine nous
permet de partager, créer, analyser et penser notre expérience et les transformer en un
objet, un tableau, une pièce, un roman, un film ou en un Tag.

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