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). En revanche, en raison des pertes diverses dont tient compte le facteur efficacité
Lorsque , et .
c. (iii) : Toujours pour le réseau du b., si alors l’effet du réseau n’existe plus (les deux antennes isotropes
sont trop éloignées l’une de l’autre), et la situation revient à la situation d’une seule antenne isotrope :
.
d. (ii) : On sait que pour le dipôle replié de longueur ,
,
et :
D’où :
Question 2
a. On connaît le champ électrique rayonné en espace libre (dans le plan E), alors on connaît le champ électrique
rayonné (dans le plan E) en présence de la plaque électrique parfaitement conductrice.
En effet, d’après le principe d’équivalence, la situation {plaque électrique + distribution de courant magnétique
sur le plan } est équivalente à la situation {pas de plaque + distribution de courant magnétique sur le
plan }.
Dans la situation équivalente, l’optique géométrique prédit que le champ électrique rayonné sera :
%QUESTION 2.a.
%Diagramme de rayonnement normalisé
clear all
clc
for k=1:100
F(k) = 2*(1-0.08*cos(4*(theta(k)-pi/4)))/2.16;
end
%Coordonnées cartésiennes
plot(theta,F);
axis([0 pi 0 1.2]);
set(gca,'XTick',[0 pi/2 pi]);
set(gca,'XTickLabel',{'0','pi/2','pi'});
title('Diagramme de rayonnement normalisé : FGO(\theta)');
xlabel('\theta');
ylabel('FGO(\theta)');
- La plaque, qui génère les rayons diffractés, est considérée comme un coin d’ouverture nulle, mais les 2
bords de la plaque, qui est finie dans sa dimension x, vont être sources de diffraction :
o Bord I :
o Bord II :
- L’incidence est rasante sur la plaque ( est selon la direction dans le plan ). Alors le
champ diffracté obtenu par la théorie GTD doit être multiplié par le coefficient ½ (on peut aussi considérer
pour champ incident le champ incident donné pour le rayonnement en espace libre…).
- Pour les diffractions aux 2 bords, le coefficient de diffraction est nul : .
r2
r r1
s’Bord II s’Bord I
x
Bord II
Bord I
10λ
- Le coefficient de diffraction est égal à (S&T, 12-59 avec (coin d’ouverture nulle)) :
- Le coefficient de diffraction est égal à (S&T, 12-59 avec (coin d’ouverture nulle)) :
.
Alors
On peut approximer :
alors
(phase)
(phase)
(amplitude)
Finalement,
Note : Les rayons diffractés sont présents dans l’ensemble du plan E : on déduit les rayons diffractés dans le demi-
aucun plan de masse, mais où les distributions de courant magnétique et électrique équivalentes seraient :
Avec : *
Donc
La puissance rayonnée est donc (on approxime l’onde rayonnée comme plane en champ lointain) :
b. On considère maintenant les 2 fentes espacées de : on peut traiter le problème comme un réseau de 2
éléments colinéaires et alignés selon z, uniformément excitées (même amplitude, même phase), d’espacement
d et de diagramme d’élément non normalisé où
est le facteur d’un tel réseau (S&T, formule 3-4):
On a donc :
c. On a :
CODE MATLAB
%QUESTION 3.c
%Ratio de puissance
ratio = zeros(100);
for i=1:100
ratio(i)=3*quad(@(theta)integrande(theta,distance(i)),0,pi,tol);
end
%Graphe
plot(distance,ratio);
axis([0 5 1.5 4.5]);
set(gca,'XTick',0:5);
title('Ratio de puissance Ptot/P0(d/\lambda)');
xlabel('d/\lambda');
ylabel('Ptot/P0');
On voit, d’après la formule et le graphique, que :
d. On a pour la directivité :
Avec
Alors
On voit qu’on obtient le maximum de directivité pour la valeur qui correspond donc à une
directivité .
CODE MATLAB
%QUESTION 3
%Directivité maximale
Dmax = zeros(200);
for i=1:200
Dmax(i)=2*cos(pi*distance(i)/sqrt(2)).^2/
quad(@(theta)integrande(theta,distance(i)),0,pi,tol);
end
%Graphe
plot(distance,Dmax);
axis([0 5 0 3.1]);
title('Directivité maximale Dmax(d/\lambda)');
xlabel('d/\lambda');
ylabel('Dmax');
f. Pour le cas de 2 fentes rayonnantes, on a calculé l’expression de la fonction de U, et on sait que le maximum de
rayonnement est obtenu dans la direction , alors on connaît :
D’où
Question 4
a. On a ,
alors où
Si alors
Si alors l’illumination aux bords du réflecteur est nulle, et ça n’a pas de sens d’exprimer en
fonction du paramètre C (qui est nul).
Donc
Remarque :
Où est le gain de l’antenne source (en fait il s’agit de sa directivité, car les pertes ohmiques de la source sont inclues
dans un facteur global incluant les pertes ohmiques dues à l’ensemble du système {source+réflecteur}) :
On pose et .
Dans la suite du problème, seul le cas d’une illumination non nulle aux bords est traité (en effet, la question c. considère
des valeurs de alors on choisit de ne plus envisager le cas ).
* Calcul de l’intégrale J :
Cette expression pourrait se traiter en distinguant les 2 configurations possibles pour :
si
Ce cas correspond à
sinon et
c. On trace alors
CODE MATLAB
%QUESTION 4
%Efficacité d'illumination
clear all
clc
degRad = pi/180;
theta0 = 53.13*degRad;
a = @(c) (1-c)/(1-cos(theta0/2));
for k=1:100
theta(k) = min(pi/2,abs(2*acos(1-1/a(valC(k)))));
theta1 = min(pi/2,2*acos(1-1/a(valC(k))));
epsilon_i(1,k) = 8*a(valC(k))^2/(tan(theta0/2)^2)*((1-
1/a(valC(k)))*log(abs(cos(theta0/2)))+1-cos(theta0/2))^2/(2*(1-
a(valC(k)))^2*sin(theta1/2)^2+8/3*a(valC(k))*(1-a(valC(k)))*(1-
cos(theta1/2)^3)+a(valC(k))^2*(1-cos(theta1/2)^4));
end
plot(20*log10(valC),epsilon_i);
title('Efficacité d illumination');
xlabel('CdB');
ylabel('epsilon_i');
Et alors
CODE MATLAB
%QUESTION 4
%Diagramme de rayonnement
clear all
clc
degRad = pi/180;
for k=1:100
F(k) = 1+6*(cos(theta(k)/2)-1);
end
%Coordonnées cartésiennes
plot(theta,F);
axis([0 pi 0 1.2]);
set(gca,'XTick',[0 pi/2 pi]);
set(gca,'XTickLabel',{'0','pi/2','pi'});
title('Diagramme de rayonnement : F(\theta)');
xlabel('\theta');
ylabel('F(\theta)');
Question 5
a. La présence du muret conducteur va induire une diffraction du rayon issu de Tx et reçu par Rx.
On assimile ce muret à un plan conducteur semi-infini (la dimension « verticale » du muret est prolongée par
l’immeuble n°2 dont la hauteur est suffisamment grande pour effectivement considérer cette dimension comme
semi-infinie).
On traite le problème de diffraction par l’approche heuristique vue en cours (section 6-4-1), en supposant la
structure du champ issu de Tx suffisamment plane (R>>1) au niveau de la diffraction par le muret pour
considérer une incidence normale au muret.
Où et et le champ issu de Tx
Pour que la diffraction soit constructive, il faut que les champs diffracté et direct soient en phase, cela arrive
On a alors
Et
Alors
On veut donc
On sait de plus que pour s’affranchir du problème des grating lobes (pour avoir un seul lobe principal en
direction de Rx), il nous faut vérifier (S&T, 3-48) :
On aura donc :
Figure 4 : Discrimination de Nmin
CODE MATLAB
%QUESTION 5
%Directivité de Tx
clear all;
clc
for n=2:15
x=0;
for m=1:n-1
x=x+(n-m)*sin(2*pi*m*(1-1/(2*n)))/(pi*m*(1-1/(2*n)));
end
denomDirect(1,n-1)=1/n*(1+1/n*x)-0.19815;
end
%Graphe
plot(N,denomDirect,N,zeros(14))
axis([1 16 -0.2 0.2])
title('Critère de discrimination de Nmin')
xlabel('N')
ylabel('Critère(Nmin)<0')
On voit que .
Pour déterminer l’espacement optimal , on prend et on trace en fonction du paramètre
( ).
(*) : Principalement pour des raisons de facilité de design : si un gain maximal est atteint pour 2 valeurs
distinctes et acceptables d’espacement, on préfèrera l’espacement maximum qui facilite la conception, et évite de plus
tout problème d’interférence entre les éléments.
On voit que .
En résumé :
CODE MATLAB
%QUESTION 5
%Espacement optimal
clear all;
clc
N=4;
Direct=zeros(1,250);
for i=1:250
x=0;
for m=1:N
x=x+(N-m)*sin(4*pi*m*distance(i))/(2*pi*m*distance(i));
end
Direct(1,i)=1/(1/N*(1+1/N*x));
end
%Graphe
plot(distance,Direct,distance,ones(250)*5.0466)
axis([0 0.5 0.5 6.5])
title('Directivité maximale DTx(d/\lambda) pour N=4')
xlabel('d/\lambda')
ylabel('DTxmax')
c. On a trouvé
d. Et dans ce cas,