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TP.

BETON ARME

TP BETON ARME 2

.2006/2007.

ENCADRE Mr KETATA

REALISER PAR :
DERBEL NIZAR

FEKI AHMED

CHERIF INES

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TP.BETON ARME

TP1:Fabrication des poutres,de la dalle et des potelets

partie I: Introduction:

Le béton est un matériau composite aggloméré constitué de granulats durs de diverses


dimensions collées entre eux par un liant. Dans les bétons courants, les granulats sont des
grains de pierre, sable, gravier, cailloux et le liant est un ciment, généralement un ciment
portland. Les composants sont très différents: leurs masses volumiques vont, dans les
bétons courants de 1 (eau) à 3 (ciment) t/m 3. Si le type de liant utilisé n'est pas un ciment,
on parle alors, selon le liant utilisé, de béton de résine, de béton d'hydrocarboné, de béton
d'argile, etc.

La différence entre le béton et le mortier.

Les différents granulats forment le squelette granulaire du mortier ou du béton. Le


ciment, l'eau et les adjuvants forment la pâte liante. Lorsqu’il n’y a pas de squelette
granulaire, on parle de "pâte de ciment". La pâte est un élément unique et actif du béton
enrobant les granulats. L'objectif est de remplir les vides existants entre les grains. La pâte
joue le rôle de lubrifiant et de colle.

Dans le béton où une très grande compacité est recherchée (béton HP par exemple), la
dimension des éléments les plus fins peut descendre en dessous de 0,1 mm (fillers, fumée de
silice).

De même les granulats très légers ont des masses volumiques inférieures à 100 kg/m 3.

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Ordre de grandeur des proportions des constituants d'un béton courant, présentés dans le
tableau ci-dessous.

Tableau 6.1.1: La composition des constituants de béton en poids et en volume

Les divers stades de fabrication et de vie du béton

CONSTITUANTS D'UN BETON :

Les constituants du béton (Fabrication du béton frais)

partie II : - Préparation des pièces en béton:

I/Bétonnage
Une fois les colmposnats sont réuinis,et E/C fixé,on peut alors réaliser notre Gaché(Ici E/C=0.7
pour avoir une bonne maleabilité)
On prend par les proportions suivantes:
1300 Kg de gravier
600Kg de sable
350 Kg de ciment
245 L d'eau

Calcul:

1/Volume de Poutre

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2/Volume d'une dalle

3/Volume d'une eprouvette

4/Volume d'un potelet

Pour le nombre ed pièces précisés on aura


Volume totale = 0.373804

Ceci nous amène pour des raisons techniques a partager notre mélange en deux gachés
contenant:
240 Kg de graviers.
600Kg de sable.
70 Kg de ciment.
50 L d'eau.
II Ferraillage:

On se basant sur le plant du TP,On réalise le Ferraillage des pieces suivantes:


- 2 Poutres
-Une dalle
-4 Potelets
-6 éprouvettes cylindriques.
Les armatures transversales sont assemblées aux armatures longitudinales et aux crochets de
manutentions par le moyen de fil d'attache métallique

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TP.BETON ARME
Plan de feraillage des potelets

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TP.BETON ARME
Plan de feraillage de la dalle

III Malaxage
Cette opération permet d'homogeniser au maximum le mélange des composants du béton.
Après malaxage un test de consistance doit etre réalisé,Affaissement au Cône d'Abrams.
Ce test nous renseigne sur la consistance du mélange.

Affaissement au cône d'Abrams.

Cet essai (slump-test) est incontestablement un des plus simples et des plus
fréquemment utilisés, car il est très facile à mettre en œuvre. Il ne nécessite qu'un matériel
peu coûteux et peut être effectué directement sur chantier par un personnel non
hautement qualifié mais ayant reçu simplement les instructions nécessaires au cours de
quelques séances de démonstration. L'appareillage est complètement décrit dans la
norme NF P 18-451 et est schématisé sur la figure 6.5.1. Il se compose de 4 éléments: un
moule tronconique sans fond de 30 cm de haut, de 20 cm de diamètre en sa partie
inférieure et de 10 cm de diamètre en sa partie supérieure; une plaque d'appui; une tige
de piquage; un portique de mesure.

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Mesure de l'affaissement au cône d'Abrams

Les mesures sont évidemment quelques peu dispersées et il ne faut pas accorder à cet
essai un caractère trop rigoureux, mais on peut admettre qu'il caractérise bien la
consistance d'un béton et permet le classement approximatif indiqué au tableau

Appréciation de la consistance en fonction de l'affaissement au cône

Dans notre cas ,le béton preparé est assez plastique pour une bonne manipulation.

IV Moulage et coffrage:
Les moules sont les élements(coffrage) métalliques de mise en formes des pieces de béton.
Ils sont parfois solidaires à des vibreur mécaniques.
Dans notre cas lors du coulage on utilise une aiguie vibrante,sauf pour les dalles,on emploi une
table vibrante

Vibreur.
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Table Vibrante.

Etapes:
- Preparation :
Le moule doit etre recouvert par une huile speciale** qui nous permet un decoffrage facile
avec un bon etat de surface.(generalement on fixe des joints sur les bords des moules pour
eviter les fuites de laitence)

**Les huiles de demoulage sont necessaire pour obtenir un produit bien fini et pour l'entretien
des moules.
IL existe plusieurs types de décoffrants :
Les huiles synthetiques
Les huiles Vegetales
Les huiles hydrocarburées
Les savons
etc...
Leur emploi s’effectue par application à l’aide de brosse ou par pulverisation de fines couches
formant des pellicules sur les parrois des coquilles.
Le choix d’un bon décoffrant dépend de :
 La procedure de fabrication :
 Décoffrage immédiat.
 Décoffrage différé
 Fabrication avec étuvage ou non.

 Type de moules(Coffrage) :
 Metallique.
 En bois.
 Plasique.

-On fixe ensuite les armatures dans les moules en assurant la distance d’enrobage.
-On procède maintenant au coulage du béton dans les moules.

Coulage des éprouvettes.


-Vibration.
-Séchage.
-Démoulage.

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TP2:Essais des aciers en traction.

Partie I: BUT.

On se propose de determiner les caracteristiques mécaniques des aciers d’armatures utilisées


dans la fabrication de nos élements de béton.

Partie II: Manipulation.

Dans cette partie d’essais on effectura les operations suivantes dans l’ordre pour déterminer les
caracteristiques demandées.

 Eprouvettes : Deux échantillons d’acier :


 RL 6 de Longueur 30 cm.
 HA 8 de Longueur 30 cm.

 Mesure du diamètre des éprouvettes d’acier dans 3 sections différentes puis déterminer le 
moyen.

 Mettre l’éprouvette entre les mandarins de la machine de traction.

 Placer le cadran de charge approprié et régler de la machine selon ce dernier.

 Charger l’éprouvette en incréments des charges égales.

 A chaque incrément de charge, on notera l’allongement de l’échantillon.

 Distinction de la charge et la déformation correspondante du début de la plastification de


l’éprouvette, cela est constaté lorsque l’allongement continu à augmenter sans avoir
augmenter la charge.

 Continuer du chargement jusqu’au rupture.

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Machine de traction des aciers.

Partie III: Etude théorique.

Vu sa faible résistance a la traction le béton necessite parfois un renforcement qui sera assuré
dans ce cas par les armatures en aciers.
Ce choix se rapporte a la bonne resistance des aciers a la traction.

Théoriquement on a :
Les aciers rond lisse : Acier naturel brut du laminage ; fe =215 à 240 MPa.
Les aciers à haute adhérence : sont réparties en quatre types ; fe =400 à 500 MPa

Zone élastique :

La première partie de la courbe represente la zone élastique.


La déformation dans cette zone est reversible,et va en proportionalité avec le chargement.
La pente de cette zone represente Le module de YOUNG (ou module d’élasticité longitudinale).
Es=2.1 MPa.

Théoriquement

Zone plastique :

Zone de déformation non réversible.


Si on annule la contrainte,la tige reprend un état different de l’état initial.

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Zone de striction :

On observe un changement de section de la tige

Rupture :

On constate après un certain chargement un allongement continu avec une regression de la


contrainte.
A la fin on atteint le point de rupture.

Partie IV: Résultats :


ESSAI 1 :ø6

d=5,5mm
l0 = 20,8cm

P (KN) 0 4 6 8 10 12 14 14,3 14,3


∆l (mm) 0 1 3 3,5 4 14 35 73 76
SIGMA 0 168,3622539 252,5 336,7 420,9 505,1 589,3 601,9 601,9
DEFORMATION 0 0,004807692 0,0144 0,0168 0,0192 0,0673 0,1683 0,351 0,3654

ESSAI 2 :ø6

D=5,5mm
L0=22,3cm

P (KN) 0 4 6 10 12 13 14,5 14,5

∆l (mm) 0 1 2 4 13 33 61 66

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D6

700
contrainte

600
500
400
Série1
300
200
100
0
0 0,1 0,2 0,3 0,4
déf

ESSAI 3 :ø8

d=7,6
l0 = 21,6mm

P (KN) 0 6 12 18 24 30 31,7 31,7


∆l (mm) 0 3,5 5 6 13 28 56 59
sigma 0 132,2617256 264,5 396,8 529 661,3 698,8 698,8

def 0 0,015350877 0,0219 0,0263 0,057 0,1228 0,2456 0,2588

ESSAI 4 :ø8

d=8,4mm
l0 = 21,6mm

P (KN) 0 6 12 18 24 30 32 32

∆l (mm) 0 6 8 10 16 30 51 63

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Résultats graphiques :

Ascier RL6 : e = 420MPA

r = 698.8 MPA
E  0.22 x10 5 MPA

Ascier HA8 : e = 400 MPA

r =700 MPA

E  0.15 x10 5 MPa

Constations
 Les courbes obtenues et les allures observées correspondent eu comportement théorique
des aciers.
Cependant, quelques erreurs sont duent aux facteurs externes telsque les glissements aux
mandrains.
Les élements climatiques sont parrfois influants et peuve diminuer la resistance du métal.

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TP3:Essais du béton en compression.

Objectif de l'essai

L'essai a pour but de connaître la résistance à la compression du béton, qui peut être
mesurée en laboratoire sur des éprouvettes.

Principe de l'essai

Les éprouvettes étudiées sont soumises à une charge croissante jusqu'à la rupture.
La résistance à la compression est le rapport entre la charge de rupture et la section
transversale de l'éprouvette.

Equipement nécessaire

Une machine d'essai qui est une presse de force et de dimension appropriées à
l’éprouvette à tester et répondant aux prescriptions des norme NF P 18-411 et NF P
18-412.

Un moyen pour rectifier les extrémités des éprouvettes : surfaçage au soufre, ou


disque diamanté.

Rectification des extrémités des éprouvettes

L'essai de compression est effectué sur des éprouvettes cylindriques dont les
extrémités ont été préalablement rectifiées. En effet, si les éprouvettes étaient
placées telles quelles sur les plateaux de la presse, on ne serait pas assuré de la
planéité des surfaces au contact et de leur perpendicularité aux génératrices de
l'éprouvette. La rectification consiste donc à rendre ces surfaces planes et
perpendiculaires aux génératrices de l'éprouvette. Pour parvenir à ce résultat deux
méthodes peuvent être employées : le surfaçage au soufre et la rectification par
usinage des extrémités.

Conduite de l'essai de rupture

L'éprouvette, une fois rectifiée, doit être centrée sur la presse d'essai avec une erreur
inférieure à 1% de son diamètre. Pour des éprouvettes 16×32, cela signifie une
précision millimétrique qui ne pourra pas être obtenue sans l'emploi d'un gabarit de
centrage prenant appui sur l'éprouvette (et non sur le produit de surfaçage), comme
indiqué sur la figure

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Exemple de dispositif de centrage de l'éprouvette sur la presse

La mise en charge doit être effectuée à raison de 0,5 Mpa/s avec une tolérance de
0,2 MPa/s. Pour des éprouvettes 16×32 cela signifie une montée en charge de 10
KN/s ±4 KN/s.

Partie I: BUT.
Il est connu que le béton resiste bien à la compression,et pour ce fait,on cherchera à étudier ses
caracteristiques experimentalement.
On se propose d’effectuer un essai de compression sur une serie d’éprouvettes cylindriques.

Le béton est caracterisé par sa resistance à 28 jours,date ou il aitteint sa resistance maximale.


Pour déterminer cette resistance a un nombre de jours j donné,on procede de la sorte :

Pour des dates superieures à 28 jours,le béton garde plus au moin la même resistance qui
augmente légerement

La résistance caractéristique à la traction du béton à j jours est notée f tj ,:


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TP.BETON ARME
Celle-ci est prise avec :

Partie II: Manipulation :

Les éprouvettes prises sont coulées avant 7 jours.


On dispose d’éprouvettes 16cm x 32cm en béton.
On effectura les essai en placant les eprouvettes sur la presse,qu’on chargera par increment
constant,en notant parallelement les déformations.
On repetera cette operation jusqu'à la ruine de l’echantillon.

On notera que :

 
P
S ε=∆l/l Fcj=fm-k.
1. EPROUVETTE 1

charge[N] 0 25 50 75 100 125 150 175 200 75

MPa] 0 1,244 2,4881 3,7321 4,9761 6,2201 7,4642 8,7082 9,9522 3,7321
Déformation
mm x 0.01 0 12 39 63 79 89 106 136 178 265

ε‰ 0 0,375 1,2188 1,9688 2,4688 2,7813 3,3125 4,25 5,5625 8,2813

2. EPROUVETTE 2

charge[N] 0 25 50 75 100 125 150 175 111

MPa] 0 1,244 2,4881 3,7321 4,9761 6,2201 7,4642 8,7082 5,5235


Déformation mm
x 0,01 0 10 39 61 75 90 111 145 300

ε‰ 0 0,3125 1,2188 1,9063 2,3438 2,8125 3,4688 4,5313 9,375

3. EPROUVETTE 3

charge[N] 0 25 50 75 100 125 150 175 200 225 60

MPa] 0 1,244 2,4881 3,7321 4,9761 6,2201 7,4642 8,7082 9,9522 11,196 2,9857

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TP.BETON ARME

Déformation mm
x 0,01 0 22 40 74 89 111 138 165 190 215 345

ε‰ 0 0,6875 1,25 2,3125 2,7813 3,4688 4,3125 5,1563 5,9375 6,7188 10,781

D’après le graphe,on extrait les valeurs des fi.

fm 
 fi
n
On calculera ensuite fm,telsque :

f1 f2 f3 fm
10 9 11 10
 K : coefficient corrigé :

3.87
k  1.28  2

(n  1) 3
Avec n=3 (nombre d’eprouvettes)

K=3.717947232

  :Ecart type
18


 ( f i  f m )²
n 1
TP.BETON ARME

 =1

Fcj = fm - (K  x Pa (pour j = 7jours)

Ftj =0.6 + 0.06 x ftj = 0.9768 MPa

jours 7 19 26

fcj 6,28 14,76 17,3

En observant la continuité de la courbure on conclu que fc28 ≈ 17.5MPa

Le module d’élasticité théorique du béton est évalué par l’expression suivante :


E ij  11000 3 f cj E ij  20294.54099MPa

CONSTATION ET REMARQUES :
particularités de la rupture en compression

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TP.BETON ARME
Pour des résistances supérieures à 60Mpa, et suivant la presse utilisée, la rupture peut
être brutale et il est bon d'équiper la presse d'un système de protection pour se protéger
des éclats éventuels. En général l'éprouvette rompt de la manière indiquée sur la figure

Dans ce type de rupture, deux cônes apparaissent aux extrémités de l'éprouvette rompue.
En effet, la pression exercée par les plateaux de la presse à la jonction avec l'éprouvette
gêne les déformations transversales dans cette zone. Dans la partie centrale, la formation
transversale est libre ; elle résulte des contraintes de traction (symbolisées par les flèches
notées t sur la figure a) perpendiculaires à la compression (et à la fissuration). Ce sont ces
contraintes de traction qui aboutissent dans la zone centrale à la fissuration longitudinale
de l'éprouvette, puis à sa ruine. Les zones extrêmes, protégées par le frettage créé par les
plateaux, ne sont pas détruites voir figure b .

Mode de rupture des éprouvettes cylindriques en compression

Le frettage peut être limité en graissant les zones de jonction plateaux/éprouvettes ou en y


interposant des appuis en téflon. La rupture est alors du type de celle indiquée sur la
figure c. Elle se produit pour une charge (P 3) habituellement plus faible que celle obtenue
dans le cas général (P 2) : en protégeant ses extrémités de l'éclatement, le frettage permet
à l'éprouvette d'encaisser des chargements légèrement plus importants.

TP4: Essais d’une dalle en flexion.

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TP.BETON ARME

Partie I: BUT.

On cherchera ici à observer le comportement d’une dalle appuiée sur son pourtour et soumise à
un chargement uniforme.
On observera donc l’évolution des fissuration tout au long du chargement progressif.
On pourra donc définir le comportement d’un tel type de dalle vis-à-vis un chargement uniforme.

Une donnée dont nous disposons est l’xpression du moment dans la dalle :

D’apres les abaques de Pigeaut :


M=0.0416qL²

On pourra donc pour les differentes charges exeptionnelles calculer les Moments
correspondants.

Partie II:Manipulation.

Pour réaliser cet essai nous disposons d’un cadre metallique,servant comme appui,et d’une
surface interieure gonflable qui simule la charge.
On aura aussi besoin d’un manomètre pour quantifier la valeur du chargement ainsi que d’un
comparateur pour evaluer les déformations au cente de la dalle.
On pourra aussi observer l’evolution du réseau de fissuration avec l’augmentation de la charge.

Partie III: Calcul Théorique.

 Charge de 1ere fissuration :

Ftj=0.9768Mpa
H=0.07 m
Inf=bh3/12+(n-1)Ast(d-y1)² (Non fisserée).

n=Es/Eij =(2.1x10^5)/(20294.54099)=10.34

Ast=1.69 10-4m² (d’aprèsles plan de feraillage).


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TP.BETON ARME

Pas d’aciers en compression.Asc= 0 m².


La position de l’axe neutre est y1,quiest la solution positive de cette equation :

b 2 b
y1  (n  1) Ast ( d  y1 )  ( h  y1 )²
2 2

b=1 m d=0.055 m
h=0.07 m n=10.34
fcj=6.28Mpa.

1 2 1
y1  (10.34  1)1.69 * 10^ (4) * (0.055  y1 )  (0.07  y1 )²
2 2

► y1=3.61cm.

► Inf=2.86 10^(-5).

►Mf=0.825 KN.m/ml

►qf=(0.825)/0.0416 + (0.07*25)=21.58KN/m3.

 Charge de service :

Inf = by13/3+nAst(d-y1)² :inertie de la partie non fissurée


y1 : position de l’axe neutre,qui est solution de l’équation suuivante

b 2
y1  nAst (d  y1 )
2

n = 10.34
Ast = 1.69 10-4m²
b = 1m
d = 0.055m
y1= 0.0122 m

I nf  3.8 x10 6

la contrainte de service
 bc  0.6  f cj  3.76822
MPa
TP.BETON ARME

M ser 1.1736
M
q ser g
ser  1.1736KN/ml
 1.75  29.96 KN / m²
0.0416  l ² 0.0416  1²

 Charge ultime :

fe 1
y u  Ast  
1.15 0.8.b. f bu

Fe = 420 Mpa
Ast = 1.69 10^(-4) (mxm)
Fbu = 3.55MPa

0.85  f cj
f bu 
1.5

yu :position de l’axe neutre par rapport à la fibre la plus comprimé

y u  1.25 x(1  (1  2  ) )  d

 =Mu /(bxd²xfbu)

Pression Flèche Pression Flèche


d’eau x10- d’eau x10-
2 2
(cm) (mm) (cm) (mm)

10 0 180 9
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TP.BETON ARME
20 0 190 10
30 0 200 11
40 0 210 11
50 0,5 220 13
60 1 230 14
70 1 240 15
80 1 250 16
90 2 300 21
100 3 350 28
110 3 400 36
120 4 450 46
130 6 500 60
140 6 550 72
150 7 600 100
160 7 650 127
170 9 700 138
750 164
800 285
850 433
900 605

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TP.BETON ARME

Mode de fissuration
On remarque la forme du milieu presque carré.
La propagation s’effectue du centre vers l’exterieur dan le sens diagonal.

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TP.BETON ARME

TP5: Essais d’une poutre en Flexion.

Partie I: BUT.

On vise dans ce Tp à charger et observer le comportement de deux differentes poutres en béton


armé vis-àvis la flexion .
On pourra observer leur fissuration et déterminer le rôle de certaines armatures spécifiques.

Schéma de chargement de la poutre.

Travail Pratique
POUTRE 1

Charge Déformation C1 C2
(bar) 1 2 3 4
0 0 324 563 440 258 0 0
10 46 322 535 430 230 65 80
20 121 331 538 350 182 87 121
30 266 333 548 480 170 97 173
40 395 350 535 321 130 102 225
50 516 365 535 350 119 107 273
60 674 379 536 348 90 124 335
70 840 370 524 334 68 146 393
80 1020 400 543 313 92 220 483
90 1208 410 510 286 58 220 546
100 2328 538 422 177 -55 -130 521

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TP.BETON ARME
POUTRE 2

Charge Déformation C1 C2
(bar) 1 2 3
0 0 548 65O 483 0 0
10 76 551 638 472 25 54
20 118 569 662 498 32 70
30 228 632 654 482 41 115
40 330 631 636 479 49 148
50 435 644 616 500 65 188
60 600 639 524 496 98 262

Dans ce cas la fissuration se fait dans la zone tendue du béton,située entre les points de
chargement.

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TP.BETON ARME

Pour cette deuxieme poutre,ayant moint d armatures transversalles sur les


extremités(appuis),La biele au sein du béton provoque une fissuration inclinée comme l’illustre
la photo.

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