L’OuLiPo et Georges Perec.

Selon le prof et traducteur Ana Alencar de l’Université Federal do Rio de Janeiro et Ana
Lúcia Moraes, chercheur et doctoresse en Littérature pour l’Université Stendhal, Grenoble
III :
Georges Perec a participé d’une association fondée en 1960 par l’écrivan et poète Raymond
Queneau et le mathématicien François Le Lionnais dont nom est OuLiPo, un acronyme
d’« ouvroir de littérature potentielle ». Ils se définissaient comme des « rats qui
construisent eux mêmes de labyrinthe dont ils se proposent de sortir ». Le grand écrivain
italien Italo Calvino et le toujours surprenant artist Marcel Duchamp ont participé aussi
d’OuLiPo.
L‘OuLiPo se maintient jusqu’à aujourd’hui et il a une grande activité dans les millieu
littéraire. L’objective principal d’OuLiPo est faire une ècriture à contraintes ; les
contraintes artistiques voluntaires qui peuvent être théoriques, plastiques, thématiques ou
formelles. Pour les oulipiens « ècrire est imiter, refaire, traduire », donc il y a quatre type de
texte oulipien : textes que utilisent une estructure déjà existant; textes formés après
l’applications des contraintes ; textes qui sont exercises de style, comme les pastiches, e
pour fin, textes qui sont de littérature combinatoire. Le lipogramme, l’anagramme, le
palindrome et le tautograma sont très utilisés pour les écrivains oulipiens.
Perec est entré à l’OuLiPo dans le même année, 1967, que « Un homme qui dort » a été
publié. Mais cet œuvre n’est pas encore une œuvre typique d’Oulipo ; un bon exemple
d’une œuvre de Perec dont contrainte génératrice est appliqué est le livre « A Disparition »
de 1969 ; il l’a écrit sans faire usage de la lettre e (lipogramme). Il y a encore un livre de
Perec plus radical dont les applications de contraintes suivent les règles mathématiques,
c’est « La vie mode d’emploi » de 1978.
Aujourd’hui les oulipiens sont dediés notamment à une littérature informatisé, d’autant que
en 1981 Jacques Roubaud et Paul Braffort ont créé le group ALAMO (Atelier de Littérature
Assistée par la Mathématique et les Ordinateurs) qui a réuni les écrivains, les chercheurs,
les professeurs, les linguistes, les pédagogues et les checheurs en intelligence artificielle.
Plusiers travaux peuvent être recherchés à l’Internet.

Résumé : « Um homme qui dort ».

Le livre de Perec décrire un homme qui n’a pas interésse par la vie ; il agit sans agir : il
mange, il boit, il marche, mais il n’a pas passion ou gôute par rien. Il vit sans vivre : il
traîne : « Tu traînes, tu traînes, tu traînes. Tu marches. Tous les instants se valent, tous les
espaces se ressemblent » (page 84), affirme le écrivain.