Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
passe-t-il après la
mort ?
Bibliographie : p. 101
2
Préambule et note des auteurs
Voici plus d’une quarantaine d’années que tous les deux nous nous interrogeons sur
la mort et l’au-delà. Confrontés très tôt (comme la plupart d’entre nous ici-bas) au
décès d’un être cher, nous nous sommes posé des questions : que se passe-t-il après
la mort ? Est-ce que tout est fini ? Est-ce que nous ne reverrons plus jamais cet être
aimé ? Est-il réduit à ce tas d’os au fond de sa tombe ? Est-ce que la vie se résume à
un « passage » sur Terre et puis basta ?
« Cela n’aurait aucun sens et serait bien triste », nous sommes-nous dit… Alors,
nous avons cherché, lu des tas d’ouvrages, nous avons ouvert les portes de
l’Invisible, nous avons consulté des médiums et reçu des messages de nos êtres chers
et ces messages étaient authentiques, nous le savions, nous le sentions et le contenu
de ces messages recoupait et corroborait ce que nous « savions » déjà par nos
lectures.
Nous avons cherché encore plus loin parce que nous comprenions que ce cycle de la
vie et de la mort des êtres s’inscrivait sans doute dans un plus vaste « plan » qu’il
nous fallait découvrir. Nous avons continué à lire, à chercher, à expérimenter de
façon à ce que tout ce « mystère » devienne plus clair à nos yeux…
Nous nous sommes cependant rendus compte que nous ne pouvons tout savoir sur
l’après-vie même si nous en « connaissons » déjà un petit bout. Nos êtres chers ne
peuvent pas tout nous dire car nous devons expérimenter par nous-mêmes, nous
devons chercher à réussir seuls les épreuves qui jalonnent notre existence afin de
devenir plus « sages », plus aimants, plus tolérants, plus compassionnels, bref, afin
de retrouver notre identité divine, afin de remonter à la « Source » dont nous nous
sommes séparés depuis des temps immémoriaux…
3
Il y a de nombreux plans, de nombreuses sphères dans l’au-delà : celui-ci est bien
plus « vaste » que notre petite planète Terre car le monde de l’esprit est infini,
intemporel comme « la source de toutes choses ».
Dans ce petit fascicule sans prétention, nous avons repris pas mal de textes émanant
de nos lectures et assez représentatifs de ce qu’il nous est permis de connaître sur
l’au-delà et son fonctionnement. Nous y avons ajouté certaines réflexions
personnelles et relaté certaines expériences vécues.
Nous avons souligné en vert ce qui nous paraissait important pour le lecteur afin
que lui aussi se fasse une idée plus précise de l’au-delà et de l’après-vie mais nous
sommes bien conscients qu’avec ce petit « résumé », nous ne sommes encore qu’au
tout début de la connaissance, cette connaissance que nous retrouverons tous
lorsqu’à notre tour nous franchirons le portail de la mort….
4
Pour comprendre et accepter la mort, il faut d’abord
comprendre la Vie, et le sens de celle-ci
Suis-je heureux dans mon existence ou bien est-ce que je vis ma vie
comme une fatalité ?
Est-ce que je connais mes objectifs ou est-ce que je tourne en rond sans
pouvoir les identifier ?
5
Notre âme a soif d’apprendre, et pour étancher cette soif, l’expérience de
la vie dans la matière, pour difficile qu’elle puisse être, est effectivement
la meilleure école qui soit.
Pourquoi nos enfants nous quittent-ils un jour ? Pourquoi mon bébé n’a-
t-il pas vécu ? Pourquoi mon mari ou ma femme est-il (elle) parti(e), me
laissant seul(e) avec mon chagrin ? Pourquoi tant d’injustice ?
Il n’y a aucune injustice ! Tout a été planifié par l’âme de mon enfant
(bébé, mari, femme, etc…). Il (elle) avait décidé avec ses guides de venir
vivre un jour ou 99 ans sur cette Terre, tout comme moi. Je l’ai oublié
mais moi aussi, j’ai choisi le nombre d’années que je voulais vivre sur
terre, en fonction de ce que j’avais à apprendre, à régler, à améliorer…
Nous sommes avant tout des êtres spirituels qui avons à cœur de nous
améliorer sans cesse, de devenirs meilleurs, plus « sages », de balayer
notre ego et ainsi d’aimer mieux et plus.
6
La mort : une fatalité ?
La mort ! Voilà bien une notion inséparable de la vie. En effet, elles sont
toutes deux intimement liées. Il est impossible d'évoquer l'une sans
penser à l'autre. Elles sont d'une complémentarité indissociable.
Cet événement qui nous attend tous, puisque nous devons tous sans
exception mourir un jour, qui que nous soyons, quelles qu'aient été notre
destinée, notre position sociale, la couleur de notre peau, que nous
fussions spirituels ou pas, croyants en telle ou telle religion ou
totalement athées, est le second moment, avec la naissance, le plus
important de notre passage sur terre, et il mérite à ce titre d'être
particulièrement bien préparé. En effet, cela ne sert à rien de tenter de
l'ignorer, de le repousser avec l'énergie du désespoir, de connaître la
panique à sa seule évocation, car même si toutes ces réactions sont
parfaitement légitimes, la mort vient à nous quoi que nous fassions.
Dès que nous sommes conçus, nous souffrons tous d'une maladie
incurable qui est la mort. Pourquoi le futur passage à travers la mort est-
il si redouté et vécu comme un moment de grande tristesse alors que la
naissance est fêtée à l'inverse comme un événement joyeux ?
7
L'approche spirituelle de la mort.
La mort, comme la naissance d'ailleurs, est une porte qui s'ouvre sur un
autre monde.
L'existence en tant qu'êtres incarnés n'est pas éternelle. Nous sommes ici
pour apprendre, mais l'écolage n'a qu'un temps, nous devons repartir :
comment ? En franchissant le portail que nous appelons mort, de la
même manière que pour pouvoir nous incarner, nous avons dû franchir
le portique de la naissance.
8
Chapitre 1 : Que se passe-t-il au moment de la mort ?
Werner Schiebeler dans son ouvrage " La vie après la mort terrestre "
explique que, de son vivant déjà, l’homme possède un second " corps "
connu sous le nom de corps astral ou éthérique. Ce corps astral est
enfoui au sein du corps physique et relié à celui-ci par une fine corde très
extensible : c’est la corde d’argent. En cas de mort, le corps astral quitte
le corps physique et la corde d’argent se rompt définitivement au
contraire de ce qui se passe dans un voyage astral ou le corps éthérique
est toujours relié au corps physique par cette fameuse corde.
Mort violente
9
projeté hors de mon corps, apparemment sans évanouissement
intermédiaire … Essayez de vous mettre à ma place ! A l’instant même,
j’étais en vie, au sens terrestre du terme, je regardais par-dessus la
fortification d’une tranchée, le plus tranquillement et le plus
naturellement du monde, et cinq secondes plus tard, j’étais hors de mon
corps et j’aidais mes camarades à transporter ma dépouille jusqu’à un
poste de secours, dans l’enchevêtrement des corridors… » (Werner
Schiebeler, la vie après la mort terrestre, p. 52, voir fiche
bibliographique en fin de fascicule).
- Qu’avez-vous ressenti ?
- Et bien, je ne sais pas à vrai dire. Tout ce que je sais, c’est que j’ai vu
des tas de gens se pencher sur quelque chose qui gisait à terre. Je suis
allé jeter un coup d’œil, comme les autres, et j’ai vu un être humain
allongé, qui me ressemblait comme un frère jumeau. Je n’ai pas compris
tout d’abord que cet homme, c’était moi. (…) Puis j’ai vu que ma femme
était là, elle aussi. Elle pleurait comme une madeleine. Elle ne semblait
pas se rendre compte de ma présence à ses côtés… » (Récit de Ted Butler
dans Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la vie, extrait des pages 47 et
48, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
12
charge, assisté … » (Ce témoignage a été recueilli le 18 mars 2003 chez
Pascal RIOLO, voyant-médium de la région liégeoise).
13
2. Le tunnel
Je croyais en fait que j’étais toujours vivante et lorsque j’ai compris c’est
quand certaines personnes disparues me sont apparues. Quel choc de se
retrouver da la vie à la mort en quelques secondes ! » (Paroles de M-L
chez le médium, contact médiumnique du 28 novembre 2006).
14
3. Quand les proches déjà décédés viennent chercher le
mourant…
Nous avons tous des parents ou amis déjà dans l’au-delà. Ce sont bien
souvent eux qui viennent nous « chercher » lorsque l’heure est là. Il y a
nos parents, bien sûr, mais il y a aussi nos guides spirituels qui peuvent
venir également. En ce qui concerne les jeunes enfants qui n’ont
personne connu par eux dans l’au-delà, ce sont souvent des Etres de
Lumière », des « anges » en quelque sorte qui viennent les chercher…
15
Le curé est entré et est allé s’asseoir à son bureau. J’ai remarqué que
rien n’était solide. Si je m’asseyais sur une chaise, j’étais d’une certaine
manière assis et pourtant je ne l’étais pas, je ne sentais rien sous moi.
Assis à son bureau, le curé écrivait des lettres. Je me suis mis à lui
parler. Il n’a pas fait attention à moi ! (…) je lui ai tapé sur l’épaule ; il
s’est retourné comme s’il avait senti une présence derrière lui et j’ai
pensé que j’allais rester là un petit moment. (…) Puis il s’est levé et s’est
comme secoué. J’ai cru alors qu’il frissonnait. C’était pourtant une
matinée tout à fait normale ; je ne voyais pas pourquoi il aurait eu froid.
Enfin ! Il n’ pas du tout senti ma présence dans la pièce, et je me suis dit :
ça ne sert à rien de rester ici. » (Récit de George Hopkins dans Nevill
RANDALL, La mort ouvre sur la vie, extrait de la page 44, voir fiche
bibliographique en fin de fascicule).
16
Oh, dites-moi comment peut-on se tromper à ce point sur ce qu’est la
vie ? »
« Puis il y a eu l’enterrement. J’y suis allé, bien sûr. J’ai pensé en moi-
même : que de dépenses et de remue-ménage pour rien puisque je suis là,
moi. J’ai trouvé tout cela très touchant, mais cela me paraissait en
même temps stupide puisque j’étais là, présent. Personne n’a fait
attention à moi… » (Récit de Ted Butler dans Nevill RANDALL, La mort
ouvre sur la vie, page 48, voir fiche en fin de fascicule).
17
Alfred Higgins a émis ce vœu auprès de son guide. Voici l’échange qui
s’ensuit:
- Pourquoi ça ?
- Parce qu’ils ne peuvent pas te voir. Et ils ne t’entendront pas non plus,
si tu leur adresses la parole.
- A toi de décider.
- D’accord, allons-y.
18
7. Quand les défunts « errent » sans savoir où aller…
J’ai constaté ensuite que tous les gens qui prenaient ce tramway-là ne
payaient pas leur place, eux non plus. L’une des premières
conversations que j’ai eues fut avec une femme, assise à côté de moi. Elle
avait l’air très gentille. Elle m’a dit :
- Qu’est-ce que vous faites là ? (j’ai pensé que c’était une drôle de
façon d’engager la conversation et je lui ai répondu) :
- Que voulez-vous dire par « là ». Je pourrais être aussi bien ici
qu’ailleurs.
- Je sais, m’a-t-elle dit, mais vous devriez faire autre chose que de
monter et descendre des tramways et des autobus, et que d’aller
constamment embêter votre femme. Vous n’avez pas le droit d’agir
ainsi.
- Vous avez peut-être raison. Mais…et vous, où allez-vous ?
- En fait, m’a-t-elle dit, j’ai pris moi aussi des tramways et des
autobus ; j’ai cessé de monter, de descendre comme vous… mais
vous n’avez certainement pas remarqué ma présence, jusqu’à
maintenant. J’attendais le moment propice pour vous tendre la
main. »
(Récit de Ted Butler dans Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la vie,
pages 49 et 50, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
C’est une voix un peu sèche qui a lancé cette interrogation. Elle provient
d’un vieillard qu’aucun de nous n’avait vu arriver. Avec son chapeau de
paille tressée et son vieux costume de coton gris clair élimé, il semble
presque pitoyable. Le dos légèrement courbé, le sourcil épais, il se tient
maintenant face à nous, l’air anxieux mais aussi inquisiteur. « Vous
aussi vous êtes morts alors ? »
« Ah…faudra qu’on m’explique. Je veux bien être mort, moi aussi, mais il
y a des choses… » (…)
Nous sommes en présence de l’âme d’un vieil homme qui ne parvient pas
à s’extraire du monde terrestre…Son regard que nous percevons
maintenant clairement, reflète une sorte d’hébétude mêlée d’entêtement.
Sait-il seulement depuis combien de temps il est là ? Hors du corps,
lorsque la chair s’en est allée, les jours et les mois ne sont souvent plus
que des mots. (..)
Nous l’avons vu, en général, les personnes décédées sont accueillies dans
l’au-delà par des membres de leur famille, des amis très chers ou par des
êtres spirituellement très élevés. Commence alors pour certains, surtout
ceux qui sont morts de maladie, une période de " convalescence " qui
dure apparemment quelques mois (de notre temps terrestre). Après
l’arrivée dans l’au-delà, il semble que pour certains une période
d’adaptation est nécessaire. C’est à ce moment que les amis ou parents
proches font visiter les lieux au nouvel arrivé et s’appliquent à répondre à
toutes ses questions.
Nous retrouvons dans cet extrait Elisabeth, qui vient de mourir, qui a
assisté à son enterrement et qui vient de passer dans le fameux tunnel
dont il a été question plus avant. Elle est accueillie par ses proches dans
l’au-delà et notamment sa maman.
- Ils sont tous là, tous. Ils attendent juste que tes yeux se reposent un
peu, que tu sentes l’herbe sous tes pieds, et que tu reconnaisses la
lavande,… la maison.
21
- La maison ? Mais c’est là que nous habitions…J’en reconnais toutes les
fenêtres avec leurs rideaux (…)
- (…) Regarde, tu la retrouves parce que ton cœur la gardait en lui (…).
- Ici ? Mais ici, c’est encore la Terre, Elisabeth… c’est l’âme de la Terre…
(…)
22
Bill me parlait :
« Eh bien, quand j’ai compris ce qui m’arrivait, j’étais allongé sur une
berge surplombant une rivière. Je n’y comprenais rien. Je n’arrivais pas
à savoir où j’étais. Je ne reconnaissais pas l’endroit et ne comprenais
pas comment j’avais bien pu arriver là. Puis j’ai vu quelqu’un venir à ma
rencontre. Vêtu comme un moine, semblait-il ; Mais je n’ai compris que
plus tard que ce n’était pas un moine. L’homme portait une longue
chasuble et semblait chaleureux, serviable, très jeune. J’ai pensé qu’il
était bien jeune pour être moine. En fait, tout à fait sincèrement, j’ai
pensé à ce moment-là qu’il ressemblait à Jésus. Du moins aux images de
lui que j’avais vues. Mais j’ai, bien sûr, compris après coup, qu’il n’en
était rien. Il s’est approché de moi, s’est assis à mes côtés et m’a parlé.
- Ainsi tu es arrivé.
- Arrivé ? Je ne vois pas très bien ce que vous voulez dire.
- Tu ne sais donc pas où tu es ?
- Non. Tout ce que je sais c’est que je ne reconnais pas l’endroit.
C’est très beau ici.
- Tu es mort ; tu le sais ?
- Quoi,
- Oui, tu es mort.
- Je ne suis pas mort. Comment serait-ce possible, je ne serais pas
capable de voir. Regardez, je ne suis pas mort. Je suis bien solide.
- Ah, des tas de gens croient qu’une fois morts, ils ne sont plus rien
et vont au paradis ou en enfer. Le paradis n’existe pas, l’enfer non
plus. Tu vis une vie aussi réelle, comme tu peux t’en rendre
24
compte, que celle que tu as connue. La vie, au-delà de ce que tu
appelles la mort, est un état d’esprit…
Terry Smith s’est noyé dans les eaux de l’Atlantique Nord. Nous le
retrouvons fraîchement arrivé dans l’au-delà en conversation avec un
guide :
- Tu te noyais…
- Oh !
- Des centaines et des centaines de jeunes gars sont arrivés ici.
- Ah ?
- Oui et chacun a trouvé quelqu’un pour s’occuper de lui. Certains
ont leurs parents ou leurs amis. Moi, je suis celle qui a pour
mission de s’occuper de toi. Tu ne t’en rends pas compte mais tu as
été dirigé. Tu croyais que tu avançais sur cette route, comme ça,
tout seul En fait, tu y étais aidé par l’inspiration d’une âme dont le
travail est d’aider les gens qui meurent aussi brusquement que
toi. »
(NDLR : en effet Terry, juste après sa mort s’est retrouvé,
marchant dans une rue bordée de maisons. Au portail de l’une
d’entre elles l’attendait une femme, son guide…).
25
L'arrivée dans l'au-delà.
« Pendant de longs moments qui auraient pu être des mois pour vous,
j’ai été pris en charge, assisté… » (Message d’Etienne du 18/03/2003).
26
Tout était beauté et clarté … Nous sentions combien l’atmosphère était
apaisante. Elle pénétrait les nouveaux arrivants d’une force vivifiante,
de sorte que, très vite, chacun pouvait se reposer et retrouver son ancien
équilibre spirituel. » (Werner Schiebeler, La vie après la mort terrestre,
p. 59, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
« … Celui qui arrive ici, d’un certain âge, par maladie ou par mort
naturelle, est toujours reçu par un membre de sa famille qui l’a
accompagné dans ses derniers instants terrestres. Il arrive très souvent
que ces personnes perçoivent dans leur chambre la présence de ceux qui
sont venus les chercher ; au pied du lit, près des portes, au plafond…
Ainsi au moment du dernier soupir, ils sont tranquilles parce qu’ils ont
perçu ce qui se passait et la transition est parfaite. Les explications sur
ce que chacun ressent sont variables mais souvent ils ont une sensation
de tournis et ils aperçoivent cette belle lumière qui brille sans éblouir.
27
Toutes ces personnes ne ressentent jamais la peur parce qu’elles sont
avec des familiers, mais parfois elles hésitent en voyant la douleur de
ceux qui restent ; ressentir la douleur et pleurer sont des sentiments
normaux, mais il ne faut pas s’accabler à l’excès, surtout quand on sait
le mal que cela nous fait. Au contraire, il faut nous souhaiter un bon
chemin vers la lumière. Le décès par accident ou assassinat sont
différents parce qu’on se trouve projeté dans l’autre monde, sans
comprendre ce qui nous arrive. Ce n’est pas un être familier qui vient, à
cause de la violence de la séparation, mais il y a des âmes qui ont choisi
cette mission. C’est plus difficile que de faire la transition de manière
naturelle car on est toujours vivant, on parle, on entend, on voit et sur le
moment on ne comprend pas pourquoi la famille et les autres personnes
crient et pleurent. Tous n’acceptent pas si facilement de suivre leur
guide vers l’au-delà : c’est une réaction logique. Il n’y a que deux
solutions : accepter les explications de notre guide, car on ne peut pas
faire marche arrière, ou se rebeller et rester entre les deux vies. Cela
provoque des confusions auprès des personnes qui perçoivent des
manifestations d’âmes perturbées qui ne sont pas encore parties vers la
lumière et qui ne sont pas en paix… » (Message de Karine dans Karine
après la vie, p.110, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
29
2. Les centres d’accueil/hôpitaux de l’au-delà
Ouvrons donc une petite parenthèse pour expliquer ce que sont les corps
subtils : Il y a déjà quelques milliers d'années que s'est développée en Orient et en
Extrême-Orient une approche de l'être humain considérant que son corps physique
est le prolongement d'autres corps subtils situés à l'intérieur de lui-même. Selon
cette approche, l'homme, contrairement à son apparence physique est un système
complexe, dont le corps de chair, visible à nos yeux, n'est qu'une des manifestations ;
ce corps de chair est le prolongement de six corps subtils imbriqués l'un dans l'autre,
à la manière de " poupées russes " ou " poupées gigognes ", en commençant par
l'enveloppe physique. L'être humain a donc une constitution septuple ; son Corps
physique d'abord, ensuite les différents véhicules subtils, c'est-à-dire le Corps
éthérique qui est, lui, uni au corps physique, le Corps astral (ou émotionnel), le
Corps mental (monde de nos pensées), le Corps causal (support enregistreur de nos
expériences), le Corps de vitalité divine et enfin le Corps d'esprit divin.
30
de l’arrivée dans l’au-delà. Voilà pourquoi un « séjour » dans un
« hôpital » de l’au-delà est nécessaire…
Alf Pritchett vient d’arriver dans l’au-delà. Il est guidé par un de ses
anciens camarades mort quelques mois auparavant :
« … Nous avons pris cette jolie route qui menait à la ville, nous sommes
arrivés sur une espèce de colline. Devant moi se dressait ce qui avait
l’air d’être un somptueux bâtiment. Il … comment le décrire ? Pareil à
quelque chose que j’avais déjà vu dans la City, à Londres, mais en plus
blanc et en plus beau.
32
Second contact avec Germaine la nuit du 11 au 12 mai 2010
« Vers la moitié du mois de mars 2010, une de nos amies, Germaine, une
dame d’un âge très avancé nous a quittés pour l’au-delà.
Une quinzaine de jours plus tard, il m’a été permis d’avoir un premier
contact avec elle mais voici l’histoire du second contact : en ce début de
nuit du 11 au 12 mai 2010, je suis profondément endormi, lorsque tout à
coup, je me retrouve dans un état de conscience que je commence
maintenant à connaître suffisamment pour pouvoir le distinguer du
simple rêve avec lequel il n’a aucune commune mesure.
Je suis hors de mon corps physique, je n’en ressens plus les limites
matérielles, tout me semble léger et fluide, les lourdeurs de notre
dimension ont disparu. Me voici devant une porte maintenue
entrouverte par un personnage que je distingue à peine tant ses formes
sont évanescentes ; ses contours changent constamment, il me paraît
être composé de fumée et est quasiment transparent. A mes côtés, se
trouve une autre personne, que je reconnaîtrai bientôt comme étant
mon épouse Marie-Hélène. Sans avoir prononcé un seul mot, notre hôte
entrouvre plus encore ce qui me semble être une porte de pierre, et nous
invite à pénétrer à l’intérieur d’une pièce ressemblant à une grotte. La
porte se referme et nous voici devant un sentier que nous empruntons
pour nous retrouver quelques mètres plus loin sur une petite
plateforme.
J’aperçois alors à ma gauche, une table de pierre dont une partie semble
dissimulée par de la roche, et à ma droite un petit banc, de pierre
également, constitué d’une dalle épaisse posée sur deux petites colonnes
rondes. Sur la table, il y a un personnage étendu, dont je reconnais
immédiatement le visage ; c’est celui de Germaine. Elle est couchée sur le
dos, la tête tournée vers nous, les yeux clos. Son corps est pudiquement
recouvert d’un tissu qui me semble de couleur brunâtre. Elle paraît
plongée dans un profond sommeil. Marie-Hélène et moi nous asseyons
sur le petit banc face à la table sur laquelle Germaine est couchée. Un
silence extraordinaire règne dans cet endroit, une sérénité bienfaisante
émane de l’ensemble de la grotte, qui ressemble, vue de la petite
plateforme, à l’intérieur d’un cocon. Aucune source agressive de lumière
33
n’est visible ; la luminosité ambiante, assez faible mais néanmoins
suffisante, semble sortir des parois de la cavité elle-même.
Nous sommes assis là, dans un endroit qui évoque, toutes comparaisons
gardées, une chambre d’hôpital sur la Terre. Germaine paraît en
convalescence, dans une quiétude totale, sous une surveillance que je
devine bien présente, mais très discrète. Sans avoir la possibilité de le
distinguer, j’ai l’impression qu’un tableau de commandes destiné à
gérer et à contrôler les soins dispensés à Germaine, se trouve sur l’autre
côté du rocher au bout de la table.
1. Où se situe l’au-delà ?
35
« L’au-delà se trouve au milieu de vous, parmi vous et ailleurs. Il n’y a
pas de commencement ni de fin. C’est difficile pour vous de
comprendre. » (Isabelle dans Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-
delà, p. 39, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
« Notre monde n’est pas matériel, et pourtant, il est malgré tout réel, il
est palpable et se compose d’une substance d’une fréquence beaucoup
plus élevée que la matière qui constitue votre univers. C’est pourquoi
notre esprit peut agir sur la substance de notre monde mais d’une
manière différente de vous sur la matière du vôtre. Notre condition de
vie est à l’image de notre esprit. L’environnement des bons est beau,
celui des méchants, affreux. » (Contact médiumnique avec une entité
désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre,
p. 156, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
Non, nous ne vivons pas dans un univers de rêve ; comme je l’ai déjà dit,
nous vivons dans un monde réel, palpable, bien que les atomes qui le
constituent soient différents de ceux qui constituent votre sphère. Notre
esprit peut agir sur cette substance palpable d’une manière selon
laquelle votre esprit ne peut pas, lui, agir sur votre monde. Vous vivez
dans un monde aux vibrations plus lentes. »
« Tous ceux qui se trouvent au même stade, peuvent voir et toucher les
mêmes choses. Si nous regardons un champ, c’est bien un champ que
tout le monde aperçoit. Tout est identique pour ceux qui se situent au
même niveau d’évolution spirituelle. Ce n’est pas un rêve. Nous pouvons
nous asseoir ensemble et profiter de la compagnie des autres comme
vous sur terre. Nous avons des livres et nous pouvons les lire. Nous
avons les mêmes sentiments que vous. Nous pouvons faire de longues
36
promenades dans la campagne ou rencontrer un ami que nous n’avons
pas vu depuis longtemps.
Nous cueillons des fleurs comme vous. Tout est palpable, mais d’une
beauté d’un degré supérieur à tout ce qui se trouve sur la terre. Ici, les
fleurs et les champs ne se flétrissent pas comme chez vous. Quand la vie
végétale cesse sa croissance, elle disparaît tout simplement. Elle se
dématérialise. Il n’y a ici qu’une seule chose comparable à ce que vous
appelez la mort. Nous, nous la nommons, " transition ". Quand nous
nous sommes suffisamment développés, nous passons à un autre stade,
d’où il n’est plus aussi facile de revenir sur la terre. C’est ce phénomène
que nous baptisons " la seconde mort ". Ceux qui ont subi ce deuxième
passage peuvent revenir et nous rendre visite dans notre sphère, mais
nous ne pouvons pas accéder à leur niveau tant que nous n’avons pas à
notre tour franchi le pas… » (Contact médiumnique avec une entité
désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre,
p. 161, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
37
arriver sans avoir à revivre une vie. » (Anne-Marie LIONNET, Lumières
de l’au-delà, pp. 33-34, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
38
4. Description des sphères : enfer, bas-astral, sphères
intermédiaires et sphères supérieures.
Le bas-astral ou l’enfer.
« On dit que l’enfer n’existe pas. Il est vrai qu’il n’y a pas dans les
sphères spirituelles, un endroit tel que cela a souvent été décrit, avec le
Diable et des flammes… Mais il y a de toute façon, une sorte d’enfer :
c’est une existence très dure, où l’on souffre d’une privation totale de
bonheur. Pourtant, on peut toujours " sortir de là "…..et cela par la
prière et le désir sincère de s’améliorer. Et je sais aussi qu’il existe
également une sorte de Purgatoire : dans ces sphères plus supportables,
l’âme se purifie…..les guides des plans supérieurs pénètrent dans ces
atmosphères très pénibles, pour y apporter leur aide. » (Axel à sa
maman le 14/04/1984 dans Monique SIMONET, Images et messages de
l’au-delà, pp.95-96, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
« Question : que sont les mondes " obscurs " ou " inférieurs " dont tu
parles dans le livre ?
39
« Le jour qui a suivi mon passage, je suis descendu dans la sphère
terrestre en compagnie d’Oncle F et d’Oncle C. Pas pour venir chez vous
mais pour aller là où règnent les conditions de vie du niveau le plus bas.
C’est pire qu’un asile d’aliénés où chacun serait atteint d’une forme
particulière de folie. Vous ne pouvez imaginer l’enfer que c’est… »
(Contact médiumnique avec W.Y. chez le Dr Wickland dans Werner
SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, p. 120, voir fiche
bibliographique en fin de fascicule).
40
« Maman, je voudrais que tu puisses voir comme c’est beau ici. Il y a
tellement de lumière ... tout est lumineux et resplendissant… » (Axel à sa
maman dans Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà,
p.56, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
« Il est impossible, pour une âme de décrire les sphères plus avancées.
Les sphères proches de la terre peuvent être abondamment évoquées.
Mais les âmes qui ont atteint une atmosphère et un mode de vie très
éloignés de la terre, ne peuvent plus jamais traduire par des mots le lieu
où elles demeurent. »
(Paroles d’Ellen Terry dans Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la vie,
p. 204, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
41
5. La vie « quotidienne » dans l’au-delà. Les missions
« Nous avons des ruisseaux et des montagnes pas très hautes, nous
avons des vallées et des collines où les âmes peuvent se promener
tranquillement. Il y a peu de bruit et ceux que nous entendons sont ceux
de la nature. Tout est beau et bien vert et les fleurs sont magnifiques
mais on ne les coupe pas.
Nous n’avons pas besoin de dormir mais nous pouvons nous relaxer
dans les jardins. La fatigue n’existe pas, il y a encore beaucoup de chose
que je dois apprendre… Non maman, pas plus que sur terre, tu ne
pourras voir Dieu ici, on croit et c’est tout. Toutes les âmes sont dans
l’amour de Dieu. Certaines gardent quelques coutumes de leur religion,
on apprend comment gérer notre vie, sans temps, sans espace. On
apprend vite la façon de se déplacer, de voir, d’entendre, de se
manifester, mais ce n’est pas facile au début… » (Paroles de Karine dans
Karine après la vie, p. 107, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
« Ma vie dans les sphères de lumière est celle de tous les guides. Il n’y a
pas de temps, ni de sensation de durée, je ne sais même plus depuis
quand j’ai quitté la terre. Je suis tellement heureux qu’il me semble que
j’ai toujours été dans cette paix, dans ce sentiment d’épanouissement,
dans ces ailes déployées d’oiseaux d’or qui vont de monts en monts, de
cimes en cimes, de planètes en planètes. Parfois je suis sur telle ou telle
autre planète suivant les voyages de guides instructeurs qui nous
42
emmènent et moi-même j’en reviens, chargé d’ondes, d’enseignements et
de richesses. » (CHRISTOPHE dans Paroles de Lumière, p. 41, voir fiche
bibliographique en fin de fascicule).
« Dans le monde de l’esprit, l’être humain est libre à tous égards, libre de
travailler ou de ne rien faire, libre de faire le Bien ou le Mal, d’attirer
bénédiction ou malédiction. Mais il vivra dans la sphère qui lui
correspond, où il recevra l’aide pour accéder à une autre sphère plus
élevée. Ainsi le Bien n’a besoin d’aucune protection contre le Mal,
chacun occupant un niveau différent, ce qui équivaut à une barrière
insurmontable. Ceux du niveau supérieur ont toujours la possibilité de
descendre pour aider ceux du dessous, mais entre eux se trouve un
énorme fossé infranchissable pour les seconds… » (Message de Farnese
dans Pierre JOVANOVIC et Anne-Marie BRUYANT, L’explorateur de
l’au-delà, p. 64, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
« Question : votre temps libre est-il occupé à cent pour cent et de quelle
manière ?
44
puisse paraître. Ils sont dans une situation qui ne leur permet pas
d’autre comportement que celui qu’ils adoptent.
46
7. Dans l’au-delà, on avance, on progresse à son rythme, sans
être forcé
« - Pourquoi n’irais-tu pas plus loin ? (NDLR : aller plus loin dans ce
cas signifie progresser spirituellement, avancer toujours vers la
Lumière).
« Mais la mort n’existe pas ici. Vraiment bizarre. On dirait que cela
peut continuer indéfiniment. Quand vous en avez assez, quand vous
pensez que vous savez tout ce qu’il y a à savoir, vous pouvez alors
vous en aller en fermant les yeux… et vous vous retrouvez dans une
sphère différente… Bien sûr, j’ai rudement peur de cela. Je ne veux
pas m’en aller, vous savez. Plusieurs de mes amis disent que je
devrais, mais je ne vois aucune raison à cela… » (Témoignage de
Rose dans Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la vie, page 144, voir
fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
47
8. Passage dans une sphère supérieure
Nous avons bien compris à présent que lorsque qu’une personne décède,
elle se retrouve dans une sphère (un plan) qui correspond à son degré
d’élévation spirituelle. Au bout d’un temps plus ou moins long (rappelons
que le temps n’existe pas dans l’au-delà), cette personne aura envie de
progresser, d’évoluer : l’appel des sphères supérieures se fera sentir car
l’âme, tôt ou tard, veut rejoindre la Lumière, la vraie Lumière.
Voici ci-après le témoignage de Rose (qui nous a expliqué déjà pas mal de
choses sur la vie quotidienne dans l’au-delà) qui « avait fait le tour » du
plan dans lequel elle vivait et qui voulait « monter plus haut » mais
... lisez plutôt, vous allez comprendre…
Je pense que tout cela vient en écoutant ceux qui sont plus expérimentés
que vous (NDLR : des sortes de guides-instructeurs sont préposés à
chaque sphère pour inciter et aider les décédés à progresser), en faisant
attention, en essayant de suivre leurs conseils ; Vous atteignez ensuite
un certain stade et vous saisissez que l’environnement dans lequel vous
vivez est bien pour ce qu’il est, mais qu’il n’est pas suffisant ( NDLR :
Pendant très longtemps Rose s’est contentée de vivre dans une sphère
encore relativement proche du plan terrestre).
« Il existe des lois que personne ne peut transgresser. Le fait est que
nous pouvons aller aussi loin que nous le permettent notre
48
développement et nos actions. Mais nous ne pouvons atteindre une
sphère supérieure tant que nous ne sommes pas prêts à y accéder. Bien
sûr, nous pouvons nous rendre dans les sphères inférieures, mais nous
ne pouvons accéder à une condition supérieure tant que nous ne la
méritons pas… »
49
Retrouve-t-on sa famille dans l’au-delà ?
« Pour la famille, c’est différent, nous ne vivons pas ensemble bien sûr,
nous pouvons nous voir quand nous voulons mais chacun vit dans un
endroit différent. Papy a retrouvé sa famille et il est heureux … Nous
sommes répartis par niveau. Je suis avec un groupe de jeunes, comme
moi, qui avons les mêmes affinités… » (Paroles de Karine dans Karine
après la vie, p. 105, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
« Ici, dit Rose, la marchande de fleurs, seuls ceux qui sont attirés les uns
vers les autres, qui s’aiment, sont ensemble… Un mari et une femme qui
se détestent, dans votre monde, ne sont tout simplement pas faits l’un
pour l’autre. Ils ne seront pas ensemble ici. » (Témoignage de Rose dans
Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la vie, page 113, voir fiche en fin de
faascicule).
50
« Les gens n’arrivent pas à comprendre que, selon votre accoutumance
ou votre comportement, vous trouvez, ici, les choses en accord avec vos
besoins. Si, lorsque vous arrivez pour la première fois, vous jugez
nécessaire d’avoir telle ou telle chose, on y pourvoit pour vous. Mais ce
n’est que provisoire. Jusqu’à ce que vous compreniez que vous n’en avez
absolument pas besoin.
Je ne bois pas de thé, normalement. Mais étant donné que vous êtes
mon invité et que vous ne pouvez pas vous habituer tout de suite au
nouvel ordre des choses, j’ai pensé que cela vous aiderait. »
51
- Non. Nous pouvons quand même voir le jour tomber, si nous le
désirons. Si nous sentons le besoin de nous reposer, nous pouvons,
en fermant les yeux, créer une espèce de crépuscule. Difficile
d’expliquer cela.
Boisson et nourriture
52
premiers temps et dans les premiers plans de l’après-mort mais lisez
plutôt….
« Ils m’ont entraîné à l’intérieur (de la maison), m’ont fait asseoir. Tout
reluisait comme un sou neuf, comme un jour de printemps. Cela m’a
brusquement rappelé quelque chose. J’ai pensé : si c’est une journée
d’été, je ne sens pas la chaleur ; pourtant c’est comme une journée d’été.
Je ne vois pas le soleil et pourtant il y a cette jolie lumière. Et je leur ai
dit mes impressions là-dessus.
Elle est sortie aussitôt et est revenue avec une théière ; c’était la même,
celle dont je me souvenais.
53
- Non mais j’ai été tout aussi surprise que toi quand je l’ai trouvée
ici. Bien sûr, tu peux emporter avec toi tout ce qui te paraît
important, tout ce qui a de la valeur à tes yeux. Tant que tu y
penses très fort du moins. Si tu cesses d’y penser, si tu cesses de
croire que ces choses te sont nécessaires, alors elles cessent
d’exister pour toi. Elles existent aujourd’hui parce que tu es là, que
tu repenses au passé, aux jours où tu venais nous voir et où nous
prenions le thé ensemble…(…) et puisque tu venais, nous nous
sommes dit que cela te mettrait à l’aise, que tu te sentirais chez toi.
Mais dès que nous cesserons d’y penser, nous n’en aurons plus
besoin »
(Témoignage de M. Biggs dans Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la
vie, extrait des pages 75 et 76, voir fiche bibliographique en fin
d’ouvrage).
« …La faim est une chose matérielle. Cela n’existe pas ici, car le besoin
de manger se perd très vite.
54
Dort-on dans l’au-delà ?
« - Vous dormez ?
55
« Vous vivez dans une maison Rose ?
« Un peu après elle (le guide de Terry Smith) m’a emmené. Ce qui
semblait être le soleil brillait. Elle m’a dit, plus tard, qu’il n’y avait pas
de soleil, que c’était une lumière dont nous pouvions tous…dont toute
vie était capable de tirer sa puissance…Drôle de lumière ! Cela peut
sembler bizarre mais elle ne faisait pas d’ombres. Il n’était pas
nécessaire de s’en protéger, car elle était plaisante et chaleureuse, mais
pas trop chaude. On ne la sentait pas. Elle ne vous brûlait pas… »
56
(Témoignage de Rose dans Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la vie,
page 142).
L’enfer et le purgatoire
57
Il me semble qu’Il est tout ce qui réside au-delà de l’émerveillement, de
l’émotion, de la pensée et de l’amour humain. Il est… tout ce que je ne
saurai jamais dire et que pourtant je sais parce que j’en reconnais la
présence en moi ! Il est enfin bien au-delà des religions et de tous les
dogmes que nous avons inventés avec mille prétextes. »
58
Sa vison des choses change peu à peu et elle change donc sa façon
de s’habiller.
- Que portez-vous en ce moment Rose ?
- Je ne sais pas si cela veut dire quelque chose pour vous, mais je
porte une très belle robe blanche, une longue robe avec une
bordure dans le bas. Des manches longues et très amples et une
espèce de ceinture d’or, qui ressemble à de la corde tressée, autour
de la taille.
- Quel est le tissu ?
- Je crois que le tissu le plus ressemblant serait la soie… »
« …Et nous avons des théâtres et des salles de concert. Tout ce que vous
avez sur terre mais à un degré bien supérieur. Tout a un but, une raison
d’être. Il n’y a rien de frivole dans tout cela. Oui bien sûr nous rions
Nous avons aussi des pièces de boulevard, vous savez. Nous n’avons pas
perdu notre sens de l’humour, parce que nous sommes là !(…)
Oh, nous avons de grandes écoles, des musées où vous pouvez aller
admirer l’histoire de tous les individus et de toutes les nations. Nous
avons des tas d’endroits merveilleux. Rien n’est perdu, vous savez… »
« …Je suis toujours très intéressé par le théâtre. Nous donnons des
représentations. Tout ce que nous faisons ici a un motif. Toute pièce
produite, tout spectacle réalisé a un but véritable. Ce n’est pas fait
uniquement pour distraire et amuser. Nous jouons, par exemple, des
pièces, que vous appelleriez moralisantes, dans les sphères inférieures
et nous reproduisons la vie de certains individus que nous apercevons
parmi les spectateurs. Cela les aide à se voir tels qu’ils sont. Alors, ils se
mettent à réfléchir plus sérieusement : cela leur permet de faire le point
sur eux-mêmes et de désirer une existence meilleure. »
59
(Témoignage de Lionel Barrymore dans Nevill RANDALL, La mort ouvre
sur la vie, page 152, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
Anita est partie d’un grand éclat de rire en m’écoutant dire cela tout
d’un trait.
60
savoir qu’on parle d’hologrammes. Et bien, c’est un peu cela. Jusqu’à
présent, comme la plupart de ceux qui viennent en ce monde, tu n’as pas
pu faire autrement. Alors, ceux que tu aimes et qui t’aiment ont joué le
jeu de ce décor. (…)
C’est alors qu’elle terminait ces mots que je me suis rendu compte de la
disparition de la petite fille de mon enfance ; Anita était devenue devant
moi une belle jeune femme rousse…
Réponse : j’ai un corps qui est la réplique de mon corps terrestre, avec
les mêmes mains, les mêmes jambes, les mêmes pieds, qui se meuvent
comme les vôtres. Ce corps éthéré que j’avais déjà sur terre, pénétrait
mon corps physique. Le corps éthéré est le vrai corps et c’est une copie
absolument conforme de notre corps terrestre. Au moment de la mort,
nous nous détachons de notre enveloppe charnelle et poursuivons notre
vie dans le monde éthéré ; nous agissons au travers de notre corps subtil
exactement comme sur terre nous agissions au travers de notre corps
physique. Pour nous, ce corps éthéré possède actuellement autant de
substance qu’en possédait notre corps physique lorsque nous vivions
encore sur terre. Nous avons les mêmes sensations. Quand nous
touchons un objet, nous pouvons le sentir ; quand nous regardons
quelque chose, nous pouvons le voir. Bien que notre corps ne soit pas
matériel, au sens où vous l’entendez, il a pourtant une forme, des traits
du visage et une expression. Nous nous déplaçons de lieu en lieu, comme
vous, mais beaucoup plus vite que vous. » (Témoignage d’une entité
désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre,
p. 160, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).
61
Le suicide.
Lorsque nous comprenons le sens général de notre vie sur terre, il nous
devient plus facile d’accepter les aléas et souffrances que l’on peut
rencontrer dans celle-ci. On sait que ces épreuves ont été choisies par
nous-mêmes avant de nous incarner. On est conscient que les difficultés
rencontrées nous permettent de mettre à l’épreuve nos potentiels
d’amour afin que celui-ci finisse par occuper la place essentielle dans
notre vie, quoi que nous ayons décidé de subir. Car là est le but de toute
incarnation : faire grandir notre amour afin de retourner plus
rapidement vers notre divinité. Les difficultés les plus diverses (maladie,
souffrance, solitude, pauvreté etc, etc) sont placées volontairement par
nous-mêmes sur notre parcours parce que nous avons décidé, avant, de
les dépasser, de les réussir, de gagner.
Cela peut se faire notamment en lui prêtant un livre qui va peut-être faire
changer son optique des choses, cela peut se réaliser au cours d’une
62
conversation (plusieurs dialogues sont souvent nécessaires), cela peut
survenir simplement par notre propre attitude confiante et de
compréhension du sens de la vie qui peut inspirer une réflexion profonde
à cette personne sur ses propres buts dans la vie. Sachons cependant que
nous ne réussirons pas toujours à convaincre tel ou tel de vivre, nous lui
aurons au moins fourni des pistes de réflexion. Chaque être humain a et
conserve toujours son libre arbitre et la décision finale lui appartient.
Lorsqu’il arrivera dans l’au-delà, il réfléchira longuement avec l’aide de
guides spirituels à son expérience avortée. Il décidera sans doute de
s’incarner à nouveau rapidement car il sera soucieux d’achever ce
pourquoi il était descendu dans la troisième dimension. Durant la courte
période suivant le suicide, il est important aussi d’aider l’âme en
partance à trouver à nouveau rapidement la Lumière. Celle-ci en effet
peut se trouver désemparée, ne plus savoir où elle se trouve, ne pas
vouloir quitter son corps physique, ayant pris soudainement conscience
de ce qu’elle a fait. Cette aide peut se réaliser par nos propres envois de
lumière à son égard, par nos " prières ". Des êtres de Lumière se
présenteront immanquablement à cette âme pour l’accompagner : ce sera
alors à elle et à elle seule de décider de les suivre avant d’entamer un
processus de réflexion intense et de revoir ce qui a freiné sa progression.
En tout cas, en ce qui concerne ceux qui vivent le suicide d’un de leurs
proches, ils ne doivent le condamner ni se culpabiliser de n’avoir pu
l’empêcher.
« Les vies antérieures que l’on a pu avoir influencent-elles celle que l’on
a actuellement ?
Bien sûr, mais comme on les oublie ! Les enfants très jeunes s’en
souviennent mais on ne les croit pas. On s’en souvient aussi au moment
du passage et on comprend tout ! Tu es, actuellement, ce pour quoi tu es
revenue. Tu es dans une évolution où tu ne pourras pas régresser, mais
évoluer encore si tu le veux. Ainsi, tu en auras moins " à baver ".
63
Réincarnation, karma, épreuves.
64
Question de Farnèse à son guide :
Je ne considère pas que ce soit une loi absolue à laquelle tous les esprits
sont soumis mais je crois que la réincarnation conditionne la
progression des esprits. »
« La réincarnation est bel et bien une réalité et non une chimère, comme
on le croit trop volontiers dans le monde où tu es né. Seuls en rient les
ignorants, ceux qui n’ont pas cherché ou refusé de voir clair. Non, elle
n’est pas quelque chose de monstrueux et d’absurde, ainsi que la
majorité actuelle des humains le pensent ; voilà plutôt la plus belle loi
cosmique pour l’égalité parfaite et l’affinement de tous les corps, de
toutes les énergies. Ce lieu (NDLR : ce lieu se situe dans l’au-delà) n’est
autre que le point de départ des êtres qui s’apprêtent à retourner vers
un monde de matière dense , vers un monde où ils prendront d’autres
apparences , une autre personnalité, d’autres qualités… et d’autres
défauts quelquefois, hélas. Tout cela n’a qu’un but : multiplier au
maximum le nombre des expériences, fortifier chaque âme afin de la
rendre invulnérable à tout ce qui revêt une forme foncièrement
négative. La vie des hommes sur la terre d’aujourd’hui n’est que
momentanée, bien que ce moment-là s’étende sur des milliards d’années.
Un autre type d’existence viendra un jour prendre le relais… » (Paroles
d’un guide spirituel à Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN dans Terre
d’Emeraude, p. 70, voir fiche bibliographique en fin de fascicule).
65
Chapitre 4 : les expériences de mort imminente (les
NDE)
(NDLR : Il va sans dire que nous parlons bien ici d’un modèle théorique
et si l’on s’attache à un témoignage en particulier, il peut diverger
légèrement ou ne pas relater l’entièreté de l’expérience du modèle
théorique. Ce que nous pouvons en tous cas affirmer, c’est que la grosse
majorité des témoignages convergent vers ce modèle théorique. Il faut
dire également que tous " les morts cliniques " réanimés ne rapportent
pas forcément un souvenir d’une expérience telle que celle dont il est
question ici).
67
Une expérience aux frontières de la mort hallucinante, celle de Ned
DOUGHERTY !
Ned se retrouve alors face à son vieil ami Dan mort au Vietnam : « Dan,
je te reconnais ! Tu as été tué au Vietnam ! Que fais-tu ici ? Du calme,
tout va bien … Je suis ici pour t’indiquer le chemin ! » (p. 25). C’est alors
que son ami lui révèle la mission qu’il aura à accomplir. Il est impératif
que Ned se souvienne de chaque détail de l’expérience qu’il va vivre
lorsqu’il reviendra sur terre. Ils entrent alors dans le tunnel pour une
traversée fantastique jusqu’au moment où, le tunnel étant à présent
derrière eux, Ned perçoit une immense source d’énergie devant lui. « Je
sus immédiatement que j’étais en présence de Dieu » (p. 27). Après cette
extraordinaire rencontre racontée dans le livre, Ned revoit alors des
proches et des amis décédés puis se retrouve à analyser, toujours en
présence de Dieu dit-il, le film de sa vie, plaçant sur la balance ses "
bonnes " et " mauvaises " actions. Il se sent ensuite propulsé dans un
magnifique jardin lorsqu’une lumière brillante lui apparaît. Il se
retrouve en présence d’une créature étincelante, vêtue de blanc. Cette
femme se présente comme " la femme de Lumière." Celle-ci entreprend
alors de montrer à Ned des scènes de son avenir qui se déroulent comme
dans un film puis lui révèle l’avenir du monde, lui montrant les grandes
catastrophes à venir et les régions du monde menacées... D’autres
rencontres et faits extraordinaires émaillent la suite du livre qui nous
donne également de précieux enseignements spirituels.
68
Dans les bras de … la Lumière !
Betty J Eadie décrit également très bien dans son ouvrage " Dans les
bras de la Lumière " cet instant où à la suite de son opération, elle fit
l’expérience de sa mort. Une hémorragie importante la fit sombrer dans
l’inconscience. C’est à ce moment précis qu’elle sentit subitement une
montée d’énergie. Elle raconte que son âme sortit par sa poitrine et
s’éleva. Betty se retrouva ainsi à planer à hauteur du plafond éprouvant
une sensation de liberté sans limites. Quelle ne fut pas sa surprise en se
retournant de voir, là en bas, son corps physique étendu, inerte sur le
lit. De nombreuses questions l’assaillaient quand trois hommes
apparurent à ses côtés. Vêtus de robes brunes, âgés apparemment de 70-
80 ans, ils se présentèrent à elle comme ses " anges gardiens ", guides de
sa vie actuelle et lui dirent qu’elle était morte prématurément,
cependant elle n’avait pas à s’inquiéter car tout se passerait bien.
Inquiète tout de même pour ses proches qu’elle " laissait sur terre ",
Betty voulut (avec son corps éthérique) se rendre compte sur place et
entreprit un voyage à une vitesse fulgurante jusqu’à sa propre maison
pour s’apercevoir que là-bas, tout se passait bien. Son mari était assis
dans son fauteuil et lisait tranquillement le journal tandis que les
enfants s’étaient joyeusement lancés dans une bataille de polochons.
Betty les observait mais eux, ne se doutaient évidemment pas le moins
du monde de sa présence. C’est à cet instant qu’elle eut une sorte de
prémonition concernant leur avenir et prit conscience que chacun d’eux
avait bel et bien également son propre parcours à effectuer sur terre. «
Ils étaient à mon égal des âmes indépendantes dont l’intelligence s’était
développée bien avant leur apparition en ce monde. On leur avait
accordé la liberté d’agir à leur guise … L’existence de mes enfants avait
son programme et à la conclusion de celui-ci, ils achèveraient aussi leur
séjour ici-bas … » (p.41).
Elle lâcha un moment son étreinte et plongea ses yeux dans le regard du
Christ qui lui dit avec une infinie bonté que son heure n’était pas encore
venue, que sa mort était prématurée. Betty se lança alors dans une série
de questions auxquelles Jésus apporta des éclaircissements et
notamment à la question essentielle du sens de notre vie sur terre…
(Betty J. EADIE, Dans les bras de la lumière, voir fiche bibliographique
en fin d’ouvrage).
Chaque détail de ces vingt années d’existence était là pour être vu. Le
bon, le mauvais, les points forts, les fuites. Avec ce spectacle qui
englobait tout, se posait une question : elle était implicite dans chaque
scène et, comme les scènes elles-mêmes, paraissait provenir de la
Lumière vivante à côté de moi : « Qu’as-tu fait de ta vie ? » A l’évidence,
ce n’était pas une question dans le sens où Il cherchait une information :
ce que j’avais fait de ma vie apparaissait en pleine vue. En tous cas, ce
rappel général, parfait et détaillé, venait de Lui et non de moi. Je
n’aurais pu me souvenir du dixième de ce qui était là jusqu’à ce qu’Il me
le montrât. …
71
Chapitre 5 : les signes de l’au-delà
Bien sûr, nous sommes tous médiums à des degrés divers. Il n’est
cependant pas nécessaire d’être clairvoyant ou clairaudient pour recevoir
et percevoir les signes que nous font parfois les personnes décédées.
Celles-ci, lorsqu’elles en ont l’autorisation, peuvent se manifester à nous
de plusieurs façons. Nous reprendrons ici la liste qu’élabore James Van
Praagh dans son livre " Dialogues avec l’au-delà " car elle nous semble
assez complète. Les morts utilisent donc des éléments de notre vie
quotidienne pour se manifester et par exemple :
72
- Les horloges : on a déjà vu des horloges s’arrêter au moment précis
de la mort d’un être cher. En ce qui nous concerne, nous dirions que c’est
plutôt l’inverse : il s’agit d’une horloge se remettant à fonctionner.
- Les appareils électriques : c’est ici une façon courante pour les décédés
de se manifester à nous. Soudain, un appareil électrique se met en route,
sans qu’on y ait touché…
73
l’ordinateur produisait un bruit ressemblant à une sonnerie. Des
dizaines de messages se présentaient à une allure vertigineuse. Bref, j’ai
cru un instant que l’engin allait exploser tant ce remue-ménage était
impressionnant et franchement inhabituel. Je fis appel à Vincent qui
accourut et constata ce que je vous raconte.
Jean Riotte (Ces voix venues de l’au-delà) a eu la surprise très tôt d’une
manifestation de son fils. Pascal Riotte est décédé en 1988. Il était pilote
de chasse et mourut dans un accident d’avion le 7 juin 1988. Le
lendemain des obsèques, Jean (son papa) était assis dans son salon. Il eut
une vision très nette pendant quelques secondes. Sur la vitrine d’un
meuble situé en face de lui apparut une image en couleur, une photo
représentant Pascal. Cette représentation montrait cependant Pascal
" dans une pose grave et le regard insistant ". De plus il semblait plus
jeune que lors de son décès. Ceci interloqua quelque peu Jean Riotte. Sa
surprise fut alors immense lorsque quelques semaines plus tard, un de
ses amis, s’étant procuré les journaux relatant le crash d’avion, lui
présenta une photo absolument identique à sa vision du 11 juin.
75
Les matérialisations. Apparitions.
Se montrer aux proches restés sur terre est également possible. Ceci se
fait apparemment dans certaines conditions et en tous cas avec
l’autorisation des guides de l’au-delà.
Monique Simonet dans son livre " Images et messages de l’au-delà "
raconte une histoire semblable qui est arrivée à sa fille. Alors que celle-ci,
se rendant au cimetière, s’était arrêtée pour acheter des fleurs, elle se
figea subitement car là à quelques pas, Axel, son petit garçon décédé
venait de se matérialiser pendant quelques secondes. Il était vêtu de
blanc, il souriait. Là aussi, sa maman ne vit que le haut de son corps.
Quelques jours plus tard, nous avons rendez-vous chez notre ami
médium pour un contact avec mon frère et lors de ce contact, je lui pose
la question : « c’était toi le cœur ? »
Il ajoute qu’il aime beaucoup nous faire des signes et qu’il en fait
souvent (je confirme !).
(Témoignage de Marie-Hélène)
77
Les animaux… messagers de l’au-delà
Il est donc parti de l’autre côté du miroir le 10 août. Durant les jours où
son corps reposait au funérarium, nous sentions très fort sa présence «
joyeuse », en effet, nous ressentions une forme de légèreté émanant de
lui, invisible à nos yeux de chair mais tellement présent «
vibratoirement » parlant.
78
ayant planté son regard droit dans nos yeux. Je le fis remarquer à
Marie-Hélène qui confirma mon ressenti : « c’est un signe de l’oncle
Jules, c’est certain ! ». Le pigeon continuait à roucouler, perché à
l’extrême bord du toit, son regard rivé sur nous. Il avait l’air de nous
dire « coucou, oui c’est bien moi, Jules, qui utilise mon ami des airs
pour vous manifester un signe de ma présence ! ». Nous avons remercié
l’oncle Jules et le joli oiseau de ce beau cadeau et sommes repartis le
cœur encore plus léger…Soyez attentifs vous aussi aux signes des
oiseaux, humbles et merveilleux messagers de l’au-delà…
(Témoignage de Vincent)
- Une plume d’oiseau qui atterrit devant nous alors que l’on pense à
une personne chère décédée…
- Un nuage qui prend une forme qui nous rappelle l’être aimé ou qui
dessine un symbole alors que l’on pense à notre cher disparu, etc,
etc,
Nos défunts ont de multiples possibilités de nous faire des signes : il nous
incombe d’être attentifs, d’avoir l’esprit et le cœur ouverts sur ces
manifestations subtiles ou parfois plus flagrantes…
Il semble que les jeunes enfants ont cette faculté de voir des êtres
désincarnés que nous, adultes, ne discernons même pas … nous serions
tentés de dire « que nous ne discernons plus ». A ce sujet, Monique
Simonet (Images et messages de l’au-delà) raconte cette très belle
histoire dont elle a été témoin peu de temps après la mort de son petit-fils
Axel. C’était le 2 janvier 1984, soit deux semaines après le décès d’Axel.
Son frère Frédéric fête son anniversaire en compagnie de la famille. Le
temps est assez doux pour cette période de l’année et tout le monde est
sur le pas de la porte lorsque la petite sœur d’Axel (3 ans) s’écrie
79
joyeusement : « Maman, Néné est là ! » (Néné, vous l’avez compris, c’est
Axel). Elle montre du doigt un endroit dans la cour et s’y précipite en
disant : « Je vais lui faire un mimi » (l’embrasser). C’est alors que toute la
famille voit cette petite fille tendant ses bras qui paraissent réellement
toucher quelqu’un. Elle retourne ensuite vers sa maman, contente d’avoir
" vu " son grand frère.
Souvent, des personnes nous posent cette question car elles viennent de «
perdre » un être aimé et sont dans un désarroi total, une tristesse infinie
(que l’on comprend facilement, bien sûr). « Pourquoi mon mari ne me
fait-il pas un signe ? » ; « Pourquoi mon enfant ne se manifeste-t-il pas ? »
; « Pourquoi les autres ont-ils des signes et pas moi ? » ; « Cela veut-il
dire qu’il n’y a rien après la mort ? »
80
Pourquoi donc alors certaines personnes reçoivent-elles des signes et
d’autres pas ? Quelle est donc cette injustice qui semble frapper certains
d’entre nous ?
1°) Tout simplement parce que nous ne voyons pas le signe qui nous est
envoyé. Il faut savoir que les personnes décédées, n’ayant plus de corps
physique, ont très difficile de se manifester de façon ostensible. Elles
choisissent donc des signes plus « subtils ». A ce propos, je me souviens
que mon frère Etienne me disait un jour à propos des signes qu’il me
faisait : « Je déplace parfois des objets mais tu ne le vois pas ». Vous
voyez ? Il faut être très attentif et même moi qui suis aguerrie aux signes
de l’au-delà, et bien, je ne vois pas tous les signes que mon frère m’envoie
par exemple.
2°) Dans le cas d’une personne morte d’une longue maladie, il faut savoir
que chaque personne décédée de cette façon doit lors de son arrivée dans
l’au-delà « régénérer » ses énergies qui ont été très perturbées. Cela
prend du temps avant qu’elle soit apte à faire un signe (on compte en
général six mois de notre temps terrestre, mais rappelons-le, il n’y a
aucune généralité dans l’au-delà, tout se passe au cas par cas, et certaines
personnes peuvent régénérer leurs énergies plus vite que d’autres, bien
entendu). Lors de son arrivée dans l’au-delà, la personne morte de
maladie est prise en charge et « conduite » dans ce que l’on pourrait
appeler ici-bas un « hôpital » où d’autres âmes vont s’occuper d’elle
pendant un certain temps…
81
3°) Parfois, il n’est pas bon pour notre propre évolution du moment de
recevoir un signe d’une personne aimée. Cette épreuve du deuil, si
terrible soit-elle, doit en principe être vécue, acceptée et dépassée afin
que nous évoluions vers plus de sagesse et parfois, si nous recevons un
signe, nous risquons de stagner, de nous accrocher à ces éventuels signes
et d’en devenir dépendants et donc au final de ne plus progresser, car,
rappelons-nous, nous sommes incarnés pour nous améliorer sans cesse
et nous avons choisi de vivre certaines épreuves, parfois très difficiles
comme celle de la mort d’un proche. Nos guides veillent sans cesse à
favoriser notre évolution et s’ils jugent qu’il n’est pas opportun qu’un
proche nous fasse un signe, celui-ci sera invité à ne pas en faire… jusqu’à
ce que nous comprenions et acceptions l’épreuve et jusqu’à ce que nous
lâchions prise. Alors, sans doute, au moment où nous nous y attendrons
le moins, un joli signe viendra nous « récompenser » pour notre épreuve
réussie.
Voilà donc quelques raisons pour lesquelles parfois, malgré nos prières
et nos demandes, nous ne recevons pas de signe de nos chers disparus. Il
y en a sans doute d’autres, bien sûr. Il ne faut cependant pas désespérer
si vous ne recevez pas un signe dans l’immédiat, continuez à parler à vos
proches dans l’au-delà et continuez à leur envoyer des pensées positives,
de la force pour qu’ils continuent eux aussi leur parcours vers la
Lumière. Et rappelez-vous ce que nous disions plus haut, il y a toujours
une raison pour que nous ne recevions pas dans l’immédiat ce que nous
demandons. Si nous ne le savons pas, notre âme, elle, le sait !
82
Chapitre 6 : comment contacter l’au-delà ?
Pratiquer le spiritisme ?
83
- Le verre à pied : c’est encore une fois le même principe que le Oui-ja
mais il s’agit ici d’utiliser un verre à pied retourné comme pointeur.
On utilise une grande feuille de papier absolument lisse sur laquelle
sont inscrits les différents caractères de l’alphabet, les chiffres, le mot
" oui " et le mot " non ". Les participants, toujours accompagnés d’un
médium expérimenté posent alors très légèrement leur index sur le
pied du verre…
85
Quelles sont les diverses formes de médiumnité ?
87
6°) La clairvoyance : « Le médium clairvoyant dit qu’il reçoit des
informations sous forme d’images qu’il voit dans son imagination. Le
channel croit pourtant que l’imagerie en question ne relève pas de
l’imagerie mentale mais prend sa source à l’extérieur de celle-ci. Ces
images peuvent se présenter comme des photos en deux dimensions, des
hologrammes à trois dimensions ou des séquences animées. Elles
peuvent montrer des objets concrets, des dessins de lumière abstraits, ou
des schémas énergétiques… Comme le channel clairaudient, le
clairvoyant peut en principe faire la différence entre le matériel issu de
son esprit et celui qui vient de l’extérieur… » (Jon KLIMO, op.cit., p. 188).
(NDLR : Nous parlons, nous, dans ce cas d’un contact avec notre " soi
supérieur ", que l’on peut appeler " âme " si vous voulez….).
88
Le voyage astral (ou " sortie hors du corps ").
89
« Je me rappellerai toujours cette fameuse soirée d’avril où, m’étant
abandonné à cet état qui est à la frontière de la veille et du sommeil, je
me vis soudain étendu sur mon lit. Comment décrire les impressions
d’un être qui se voit pour la première fois de l’extérieur ? Non, je ne parle
pas d’une projection sur un écran de cinéma, cela, chacun en a déjà fait
l’expérience, elle n’est pas, d’ailleurs, toujours très agréable : n’est pas
photogénique qui veut !
(Ce moyen) peut être considéré comme une technique et j’en ai décrit les
premiers effets ci-dessus. Ce qui fut accompli un soir d’avril,
accidentellement, peut être répété à souhait, et a effectivement été
répété …Cela s’apprend de la même façon qu’on apprend à lire ou à
rouler à bicyclette, c’est-à-dire avec un peu de volonté et de patience. Ce
livre relatera donc une série de sorties astrales qui, espérons-le,
lèveront quelque peu le voile qui couvre certains problèmes cruciaux
pour l’Humanité, ou plus simplement pour l’homme lui-même. »
(Extraits du témoignage de Daniel MEUROIS dans A. et D. MEUROIS-
GIVAUDAN, Récits d’un voyageur de l’astral, pp. 19-20, voir fiche
bibliographique en fin d’ouvrage).
90
La TCI : transcommunication instrumentale.
Petit historique.
91
Comment se déroule une séance.
Effectivement, deux jours plus tard, son image se formait peu à peu sur
l’écran de téléviseur de Klaus Schreiber ! Les précisions sur cette image
n’ont pu venir que progressivement. Un autre expérimentateur
allemand, qui n’a que très peu de résultats personnellement, passe une
bonne partie du temps qu’il consacre aux recherches de TCI à démontrer
que les autres sont des faussaires. Il faut bien alors, pour réfuter ses
accusations, pousser les études plus loin. C’est ainsi qu’il avait repéré que
cette image de Romy Schneider correspondait à un passage du film " La
jeune fille et le commissaire ". Une comparaison minutieuse des images a
donc été entreprise à Vienne. Il en ressort que l’image reçue par Klaus
Schreiber ne peut venir directement du film ni même de ses chutes. Dans,
ce film, Romy est en plein mouvement, et un certain angle blanc que l’on
aperçoit derrière son profil ne se trouve que sur une seule photo. A Aix-
la-Chapelle, Romy ne bouge pas mais cet angle glisse légèrement derrière
sa chevelure. La largeur du visage n’est pas tout à fait la même. Il semble
que l’angle de prise de vue ait été un peu différent. Mais surtout, sur
l’écran de Klaus Schreiber, l’image ne se forme que lentement, en partant
d’une masse blanche très confuse où le profil de Romy ne devient
93
reconnaissable que tardivement. Aucun cadreur ne garderait son emploi
avec une mise au point si défectueuse. Enfin, répétons-le, Klaus
Schreiber travaillait en circuit fermé, ce qui tout de même exclut en
principe toute interférence. Redisons-le aussi, tous ceux qui ont connu K.
Schreiber sont absolument formels. Il était au-dessus de tout soupçon.
Martin Wenzel, ingénieur en électronique, qui l’a bien connu pendant des
années et a pu contrôler son travail, me l’a confirmé plusieurs fois. Il n’y
a aucun doute là-dessus.
Mais alors, d’où vient cette image où Romy apparaît toute jeune encore,
dans tout son éclat ? Probablement de Romy elle-même dans l’au-delà,
puisqu’elle s’était annoncée à Klaus. Mais comment expliquer à la fois,
cette extraordinaire ressemblance avec le film jusqu’à ce détail de cet
angle blanc derrière sa chevelure, et la différence qui rend possible
d’admettre une provenance directe ? Et bien, il est fort possible que
Romy ait puisé elle-même dans ces fameuses archives akashiques, dans
les ondes rémanentes du temps où elle tournait ce film, pour nous
envoyer une image d’elle-même qui lui plaisait particulièrement. Peut-
être voulait-elle par là nous faire comprendre qu’elle avait aujourd’hui
retrouvé sa jeunesse, comme au temps où elle tournait ce film. »
(François Brune).
94
Prier pour les défunts : est-ce utile ?
Avant d’en faire réellement l’expérience, nous pensions que prier pour
les défunts était une action certes louable et bénéfique envers ceux qui
nous ont quitté mais nous ne doutions pas à quel point nos défunts
pouvaient en retirer un bénéfice considérable voire une aide colossale et
le terme est faible…
1er contact
« … Depuis ce que vous appelez trois années, mon âme est en paix mais
j’ai besoin de vous pour que vous puissiez m’envoyer de la lumière…
95
A la fin du message…
« …Je ne sais pas par où commencer. Est-ce que cela relève du miracle,
est-ce que cela relève dela Foi, moi-même je ne sais pas. Grâce à notre
dernier entretien me concernant, je ne sais pas comment vous le dire :
TOUT a changé !
96
2e contact
Voici un deuxième contact, cette fois avec une amie, une jeune femme qui
est morte brutalement d’un accident. Voici ce qu’elle nous dit lors du
premier contact que nous avons avec elle, à peu près six mois après son
décès :
« …Du jour au lendemain, les choses peuvent basculer et je n’y étais pas
préparée. Si tu veux me rendre un grand service, prie pour moi Vincent.
Je ne vois même pas à qui je peux demander cela… »
« … Mes enfants, merci ! Merci à tous les deux pour la Lumière que vous
m’avez envoyée. Je tiens à vous dire que grâce à vous, j’ai pu remonter à
travers le royaume céleste. Aujourd’hui je suis bien, je suis heureuse ma
vie s’est améliorée de façon considérable grâce à vous. Vous m’avez
envoyé de la Lumière. Jamais vous ne pourrez comprendre à quel point
vous m’avez permis d’évoluer. Vous avez en vous énormément de
potentiel, énormément de force car si j’avais dû évoluer à mon rythme, il
m‘aurait sans doute fallu cinq à six années avant de pouvoir évoluer vers
la Lumière. A cause de cela, grâce à vous, je vous serai à jamais, à jamais
reconnaissante. Vous m’avez fait un précieux cadeau, vous m’avez offert
un bien inestimable… »
97
Réponse : Mon Dieu, Vincent, mon Dieu, bien sûr que oui ! J’ai peur que
vous ne réalisiez pas tous les deux à quel point vous m’avez été d’un
énorme secours !... »
3e contact
Le troisième contact émane d’un homme, qui lui aussi, demande notre
aide. Il faisait partie également de notre entourage familial. Voici ce qu’il
dit :
« … Je suis bien, je vais bien depuis que je suis rentré au Royaume des
morts. Cependant j’ai beaucoup de mal à évoluer parce que trop de
choses me manquent et m’empêchent d’avancer dans ma propre
évolution spirituelle. Il va me falloir du temps, beaucoup de temps. Si tu
es d’accord, j’aimerais te demander de l’aide… »
Un peu plus loin dans le message, il nous fait part de ses difficultés à
oublier sa vie sur terre et ses attaches matérielles. Voici ce qu’il dit
encore :
« …En principe lorsque vous rentrez là-haut, vous ne devez plus avoir ce
genre d’état d’âme. Il faut avancer et ne pas régresser. Et moi
aujourd’hui, je stagne ! Peut-être que ce n’est pas un hasard si tu es venu
près de moi avec Marie-Hélène. Peut-être que tu as reçu mon message.
J’ai besoin de votre aide et de votre énergie… »
Voilà, on le voit ici au travers de ces deux contacts, il semble que prier ou
envoyer de la Lumière est un moyen important qui nous est donné à tous
pour aider nos défunts à évoluer dans l’au-delà. En effet, certains défunts
98
ont véritablement besoin de notre aide, de notre soutien pour « accepter
» leur nouvel état, ou pour dépasser certaines difficultés liées sans doute
à leurs actes passés.
Il n’y a pas une seule façon de prier, ni une seule façon d’envoyer de la
Lumière et nous serons tentés de dire que chacun doit trouver sa propre
méthode. Il y a la prière classique, celle qui est récitée et qui s’adresse à
Dieu, ou au Christ, ou à la Vierge ou aux Anges. Elle est toujours
bénéfique mais nous pensons qu’il y a des moyens plus efficaces comme
le fait « d’envoyer de la Lumière ». C’est d’ailleurs toujours ce que les
défunts que nous contactons nous demandent : « Envoyez-moi de la
Lumière. »
100
Bibliographie
Remarque : ceci est une liste non exhaustive d’ouvrages sérieux sur le
sujet de la mort et de l’au-delà. Il est bien entendu qu’il existe une
multitude d’ouvrages sur le sujet, mais nous avons choisi ici ceux que
nous avons personnellement lus…
Biographie de l'auteur
Karine a 21 ans. C’est une jeune fille d’aujourd’hui qui vient d’obtenir son
diplôme de commerce et s’apprête à partir en vacances avant d’entrer
dans la vie active. Un accident de voiture en décide autrement. Ses
parents qui pensent que tout s’arrête après la mort physique, sont brisés
par le drame. Jusqu’au jour où ils commencent à recevoir des messages.
Du magnétophone à l’ordinateur, de l’écriture automatique à la
matérialisation de son image, Karine Dray semble utiliser tous les
moyens mis à sa portée pour continuer de faire entendre sa voix, avec
l’énergie, le rire et les impatiences qui émanaient d’elle sur terre…
103
Grof, de Capra, de Pribam, de Bohm et étudie la nature de la conscience
humaine. Il suit la voie des Yogis des Himalayas et des Tibétains et nous
offre une perspective d’unification entre la vision scientifique occidentale
et la tradition spirituelle orientale. Patrick Drouot cherche ici à mieux
comprendre le phénomène de la réincarnation. Après dix ans de travaux
où il a effectué quelque trois mille plongées dans le passé, il est en
mesure de faire des révélations étonnantes sur les vies antérieures, le
passage de la mort et la période prénatale. Il a lui-même " revécu " le
voyage avant la vie. Hors des sentiers battus, Patrick Drouot réussit une
étonnante synthèse de ces visions nouvelles. Il donne un certain nombre
de réponses à ces questions fondamentales et ouvre d’ores et déjà la voie
de la pensée du XXIe siècle.
« Mourir est déménager dans une maison plus belle. C’est tout
simplement abandonner son corps physique de même que le papillon
sort de son cocon ». Ces mots de joie sont ceux que prononçait chaque
104
jour le docteur Elisabeth Kübler-Ross au chevet de ses patients. Docteur
honoris causa de plusieurs universités dans le monde, ce médecin suisse
était reconnu par ses pairs comme faisant autorité en matière de
thanatologie. En effet, elle avait compris que les êtres qui sont au seuil de
la mort " n’hallucinent " pas quand ils voient des personnes décédées
venir les chercher. Les expériences scientifiques du docteur Kübler-Ross
permettent de confirmer l’existence d’une vie après la mort…
105
expérience réalisée ici, apporte à cette question une réponse résolument
positive…
Cet ouvrage raconte l’histoire d’une maman ayant perdu son enfant de 10
½ ans, emporté par la maladie. Dès ce moment, la fillette (Lina) entre en
contact avec sa mère et lui transmet régulièrement des messages lui
permettant d’accepter son départ et de voir la mort différemment.
Nevill RANDALL, La mort ouvre sur la vie, Editions France loisirs, 2006.
106
Jean RIOTTE, Ces voix venues de l’au-delà, Editions France loisirs, 2002.
107
Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, Editions du Rocher,
1991.
L’auteur est né en 1949. Il est journaliste. La source noire est un livre qui
fait découvrir au lecteur que la mort cacherait une clarté à l’éblouissante
beauté, pleine de vie, pourrait-on dire.
James VAN PRAAGH, Dialogues avec l’au-delà (les preuves d’une vie
après la mort), Editions J’ai lu, collection aventure secrète, 2004.
Depuis douze ans, Sarah Wilson Estep explore l’au-delà. Armée d’un
magnétophone, elle interroge les entités susceptibles de l’entendre dans
l’autre monde. Elle partage ici avec nous leurs messages relatifs à la mort
et l’expérience de mourir, la vraie nature de l’au-delà, la prémonition et
la voyance, la réincarnation, les mondes autres que celui que nous
connaissons, y compris l’origine des ovnis.
108
Bibliographie de Vincent et Marie-Hélène CHEPPE-
DOURTE
Changer notre vie en 100 jours – cahier pratique, paru chez Lanore (Paris)
en 2013 et qui nous a été inspiré par nos guides spirituels et de l’au-delà
pour aider les lecteurs à mieux comprendre le sens de leur vie et qui leur
donne par de « simples recettes » le moyen d’améliorer leur vie pour être
heureux quotidiennement. C’est un ouvrage de développement personnel
pratique et facile à lire et à en appliquer les conseils.
109
Animal, mon ami, qui es-tu vraiment ? qui nous explique et nous fait
découvrir qui sont nos animaux familiers, quelle est leur mission de vie
auprès de nous, où ils vont lorsqu’ils meurent, ce qu’ils font dans l’au-
delà, les signes qu’ils nous font par-delà la mort… le tout émaillé
d’exemples nombreux de communications avec eux réalisées par Vincent…
Des PDF sur divers sujets (radiesthésie, fleurs de Bach pour animaux,
communication animalière, les couleurs, etc, etc, à découvrir sur
www.laboutiquedelarcenciel.be
Groupes FB :
Mails : mariehelene.dourte@scarlet.be
vincent.cheppe@scarlet.be
110
NOTES PERSONNELLES
111
112
113