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MICROVISION Instruments
CE 1750 - Petite Montagne Sud
8, rue du Forez - 91047 Evry - France
Tél : (33) (0) 1 69 11 15 50
Fax : (33) (0) 1 69 11 15 51
Courriel : info@microvision.fr
7ème édition
S.A.S. au capital de 135 000 euros
Archimed 6.0
R.C.S. Corbeil - Essonnes : B 388 570 046
juillet 2010
Sommaire
1. Présentation 5
Licence d’utilisation 6
Les modules d’Archimed 7
Les images 7
Le portfolio 8
Les outils d’annotation 9
Propriétés graphiques 9
Propriétés de texte 10
Les outils de mesure 10
2. La base de données 13
Les bases de données d'Archimed 13
Création d’une base de données 14
Insertion des images dans la base de données 15
Modification des informations liées à l'image 16
Affichage de l'image 16
Outils de recherche 16
3. La vidéo numérique 19
Caméras et cartes d’acquisition 19
L’acquisition des images 20
Étalonnage de l’appareil 23
Objectifs prédéfinis 23
Définition d’un nouvel étalonnage 23
Grandissements 24
4. Le traitement d'images 25
Affichage des images 25
Acquisition des images 26
Etalonnage et grandissements 26
Etalonnage 27
Grandissements 27
Redimensionnement des images 28
Traitement des images 29
Mélange et fusion d’images 30
5. L'édition de rapports 33
Création d’un rapport 33
Insertion d’images, de courbes, de textes 35
Enregistrer, ouvrir, exporter un rapport d’Archimed 36
Consultation des rapports créés par d’autres applications 37
6. La cartographie 39
Affichage d’une cartographie 39
Création d’une cartographie 40
Le document imprimé 41
Nous vous remercions d’avoir choisi Archimed, l’intégré de la vision qui réunit dans un même envi-
ronnement tous les outils nécessaires pour amener les images vidéo du dispositif optique au rapport
imprimé, en passant par le traitement des images et leur archivage dans des bases de données rela-
tionnelles.
Presser le bouton “Licence d’évaluation” : tous les modules et options d’Archimed sont opération-
nels, sans aucune restriction.
Plus tard, mais de préférence avant l’expiration de cette licence, le numéro de licence définitive peut
être introduit :
• dans le menu “?” d’Archimed, activer l’option “Licence d’utilisation…”. La fenêtre ci-dessous ap-
paraît :
• noter le numéro de code qui apparaît dans la première case. Ce code est caractéristique du mi-
cro-ordinateur. Il est formé de chiffres (de 0 à 9) et des six premières lettres de l’alphabet (A à
F). Il n’y a ni lettre O, ni lettre I.
Les images
Les images sont bien évidemment omniprésentes. Certaines fonctions sont proposées dans presque
tous les modules, notamment :
• chargement et enregistrement de fichiers images : Archimed sait lire et créer les fichiers aux
formats Bitmap, Tiff et Jpeg.
Le portfolio
Le portfolio est une zone de stockage temporaire, que l’on peut afficher à droite de l’écran, et qui
reste visible quel que soit le module sélectionné.
Le portfolio s’affiche avec cette icône, présente dans la barre d’outils de tous les modules,
ou par l’article correspondant du menu “Présentation”.
Propriétés graphiques
1. Lorsque l’on clique dans cette case, une pe-
tite palette apparaît, dans laquelle on choisit
la couleur de remplissage des cadres. Les
textes, dates et graduations sont également
remplis avec cette couleur, si le bouton d’en-
cadrement est enfoncé (voir les propriétés de 3
texte).
1
2. Couleur de tracé des traits, des bordures de
4
cadre et des textes.
3. Choix de l’épaisseur du trait ou du cadre sé- 2
lectionné, ou qui va être tracé.
4. Choix du type de flèche du trait sélectionné,
ou qui va être tracé.
1 2
5
3
Presser le bouton “ok”. La base de données est prête à recevoir des images.
Lorsque plusieurs images ont été indiquées, les fiches sont intégrées directement dans la base de
données. Les rubriques doivent être remplies ultérieurement (voir ci-dessous, “Modification des in-
formations liées à l'image”).
Affichage de l'image
Les images référencées dans la base de données peuvent être affichées dans le module “Traitement
d’images” : cliquer sur la vignette, puis, en maintenant le bouton enfoncé, déplacer la souris vers
l’icône “Traitement d’images”. Activer ensuite ce module : l’image est affichée.
Les images peuvent être insérées dans un rapport ou une cartographie, en faisant glisser leurs vi-
gnettes vers l’un de ces modules. Lorsque l’on fait glisser une vignette vers le module “Vidéo numé-
rique”, l’image peut être utilisée dans les logiciels de mesure proposés par MICROVISION Instru-
ments.
Par ailleurs, une image peut être transférée vers tout autre logiciel : sélectionner la vignette, activer
l'article “Copier” du menu “Edition”. Basculer vers le logiciel voulu, et “Coller” l'image.
Outils de recherche
Les outils de recherche ont pour but de sélectionner un certain nombre d’images, pour n’afficher
que celles-ci à l’écran. On peut alors les identifier plus facilement, ou les transférer dans un rapport.
La première méthode, manuelle, consiste à “marquer” les images, en cliquant sur le rond blanc si-
tuée en bas et à droite des vignettes. On utilise ensuite l’article “Afficher les images marquées” du
menu “Recherche” : elles seules apparaissent à l’écran.
La seconde méthode consiste à rechercher dans la base de données les fiches dont le con-
tenu des rubriques répond à certains critères. C’est ce que propose la boîte de dialogue ci-
dessous, accessible par l’article de menu “Rechercher…” :
À de rares exceptions près, toutes les caméras proposent un réglage de la durée d’exposition.
Les expositions normales durent quelques dizaines de millisecondes. Des durées plus longues
peuvent être utilisées en fluorescence, mais pénalisent les performances du système. Des durées
plus courtes permettent d’observer des phénomène fugitifs, mais demandent un très bon éclai-
rage. Le bouton situé à droite de l’échelle restaure la durée normale pour le modèle de caméra.
Certaines caméras proposent des modes d’exposition adaptés aux images en fluorescence, ap-
pelés “binning” : la durée d’exposition est réduite, moyennant une perte de qualité. On utilise ces
modes pour effectuer les autres réglages, avant de restaurer le mode normal (1x1).
Dans cet exemple le microscope est connecté au micro-ordinateur. Sa roue de filtres et sa tou-
relle d’objectifs sont “motorisés” et peuvent être pilotées par cette boîte de dialogue. La platine
porte-objet est également reliée au micro-ordinateur : il s’agit d’une platine “indexée”,dont la
position est connue, le déplacement restant manuel. Par contre l’axe de mise au point, le dia-
phragme et l’éclairage de ce microscope ne sont pas connectés.
• “Régler le processeur” : quelques transformations peuvent être appliquées après l’acquisition de
l’image par la caméra, et avant que celle-ci ne soit affichée à l’écran. On les choisit avec la boîte
de dialogue ci-dessous :
Le premier traitement proposé convertit en noir et blanc l’image d’une caméra couleur. Avec un mi-
croscope équipé d’une roue de filtres, un second bouton apparaît pour colorer artificiellement une
image monochrome avec la couleur du filtre.
La correction de fond est un traitement particulièrement intéressant pour réaliser des cartographies
en éclairage fond clair : elle permet de s’affranchir des inégalités d’éclairement dans le champ d’ob-
servation. Pour la mettre en œuvre :
• au début de la session de travail, déplacer la platine vers une zone vide de tout objet
• cliquer sur le bouton “Acquérir le fond”
• ramener la platine vers la zone à analyser : le fond des images doit être d’une teinte homogène
sur tout le champ. Le bouton “Appliquer la correction” peut être utilisé pour estimer la qualité de
la correction.
image de fond, à acquérir en Une des images acquises sans La même image, avec correc-
début de travail correction : les objets sont visi- tion : le fond est homogène
bles, mais le fond n’est pas
homogène
L’acquisition de l’image de fond doit être effectuée à chaque démarrage de la source, donc en géné-
ral à chaque démarrage du logiciel.
Les fonctions “miroirs” appliquent des symétries à l’image, ou une rotation de 180° lorsque les deux
sont activées. Elles peuvent être utilisées sans restriction avec les sources non motorisées, mais leur
usage n’est pas recommandé lorsque la source est équipée d’une platine motorisée ou indexée.
Objectifs prédéfinis
Le sous-menu “Objectifs” du menu “Vidéo” propose une liste d’échelles correspondant aux diffé-
rents grandissements proposés par le système optique : objectifs du microscope ou position de
zoom de la loupe.
Ces échelles ont été définies à l’aide du logiciel de configuration Nazca. Il suffit donc de sélectionner
le grandissement voulu pour que le système soit étalonné. Ceci peut être contrôlé en plaçant une
règle ou un micromètre sous la caméra, et en vérifiant que ses graduations sont en concordance
avec les règles d’Archimed.
En haut à gauche de cette feuille est affichée la liste des échelles de distance déjà définies (1). Des
boutons et une zone de texte (2) permettent la création, la modification et la suppression des échel-
les. Chaque échelle est exprimée dans une unité de mesures (3), qui peut être modifiée : la conver-
sion est effectuée automatiquement.
Deux réticules verticaux et deux réticules horizontaux sont tracés à l’écran. Procéder de la façon
Grandissements
Le menu “Présentation” contient plusieurs options pour ajuster la taille apparente de l’image à
l’écran : le “facteur de zoom” est mentionné à gauche de la barre d’état située en bas de la fenêtre
d’Archimed. De ce facteur et de l’étalonnage de l’image Archimed déduit le grandissement avec
lequel l’image est affichée — il est lui aussi mentionné dans la barre d’état.
Le sous-menu “Grandissements” du menu “Présentation” propose une liste de facteurs de grandis-
sement avec lesquels on peut afficher l’image. Cette liste est définie par l’utilisateur, grâce à l’article
“Autres facteurs…”, et la boîte de dialogue ci-dessous :
Le grandissement choisi pour l’affichage ne concerne que le module “Vidéo”. Pour qu’il soit égale-
ment appliqué lorsque l’image est affichée dans le port-folio ou insérée dans un rapport, on utilise
l’option “Verrouiller le grandissement” du menu “Présentation”.
Le module de “Traitement d’images” occupe une position centrale dans Archimed. Il est le moyen le
plus simple d’afficher les images référencées dans la base de données, en respectant les grandis-
sements. Il permet de retoucher ou d’annoter les images avant de les utiliser, dans un rapport ou
tout autre document.
Etalonnage et grandissements
Une image est dite “étalonnée” si l’on possède des informations sur sa taille réelle, ou sur la taille
Etalonnage
Il est possible d’étalonner une image, si on connaît sa taille en unité réelle. On utilise alors l’article
“Taille du champ…” du menu “Traitement”. Dans la boite de dialogue qui apparaît, indiquer la taille
réelle de l’image, en millimètres (largeur ou hauteur, l’autre paramètre est calculé) :
Comme cela a été souligné, les images provenant du module “Vidéo numérique” sont étalonnées.
Archimed mémorise les facteurs correspondants, qui peuvent ici être appliqués à d’autres images
provenant de la même source optique — et acquises dans les mêmes conditions.
Grandissements
Une fois l’image étalonnée, Archimed est capable de déterminer le facteur de grandissement avec
lequel elle est affichée : il est indiqué en bas à gauche de la fenêtre, dans la barre d’état.
Dans ce cas, dans le menu “Présentation”, un sous-menu “Grandissements” devient actif. Il propose
une liste de facteurs de grandissement avec lesquels on peut afficher l’image. Cette liste peut être
modifiée par l’utilisateur, grâce à l’article “Autres facteurs…”, et la boîte de dialogue ci-dessous :
Le grandissement choisi pour l’affichage ne concerne que le module “Traitement d’images”. Pour
qu’il soit également appliqué lorsque l’image est affichée dans le port-folio ou insérée dans un
rapport, on utilise l’option “Verrouiller le grandissement” du menu “Présentation”.
Dans cette boîte de dialogue, l’information fondamentale est la taille (en pixels) de l’image. C’est
avec cette largeur et hauteur que l’image va être enregistrée. Le facteur d’agrandissement / réduc-
tion concerne la transformation qui va être effectuée : il est indépendant de l’affichage en cours.
Si l’image est étalonnée, le sous-menu des grandissements permet de calculer automatiquement la
nouvelle taille de l’image pour que celle-ci apparaisse avec le grandissement voulu dans toutes les
applications dans lesquelles elle pourrait être insérée.
Le redimensionnement détermine la taille occupée en mémoire par l’image : elle est indiquée en
bas de la boite de dialogue. Cette taille sera également celle du fichier si l’image est ensuite enregis-
trée aux formats bitmap ou Tiff. Le gain apporté par la compression Jpeg dépend du contenu de
l’image, et ne peut être prévu.
• apparaissent ensuite des filtres numériques pour adoucir ou au contraire accentuer les transitions
dans l’image.
• plusieurs articles permettent de tourner ou d’inverser le sens des images. Le dernier propose une
rotation fine, intéressante pour les images issues d’un scanner.
• les fonctions de conversion sont assez peu utilisées. Les conversions en niveaux de gris ou en
256 diminuent l’occupation des images en mémoire, au prix d’une perte d’information. A l’in-
verse, la conversion en vraies couleurs augmente l’occupation des images, mais est requise pour
la plupart des fonctions de traitement.
La première image apparaît en réduction dans la première ligne de la fenêtre. La ligne suivante est
vide : sélectionner la seconde image à l’aide du menu situé en haut de la ligne. La seconde image
apparaît alors, et le résultat du mélange est présenté en taille réelle dans l’espace de travail d’Ar-
chimed. Si nécessaire, ajuster les proportions de chacune des images et leurs positions respectives,
puis presser le bouton “Ok”.
Le résultat de la fusion est présenté en taille réelle dans l’espace de travail d’Archimed au fur et à
mesure des ajouts :
Comme les rapports d’Archimed, un rapport d’application peut être référencé dans la base de don-
nées d’Archimed, et ses éléments peuvent être glissés vers le port-folio ou d’autres modules. Il n’est
par contre pas possible d’y insérer des éléments extérieurs à l’étude.
Une cartographie est la représentation d’un échantillon, formée des images de plusieurs champs
vidéo, le plus souvent juxtaposés. Une cartographie comporte parfois plusieurs plans, par exemple
lorsque l’échantillon a été observé en fluorescence avec plusieurs fluorochromes.
Le plan ainsi créé n’a encore ni dimension ni unité réelle : celles-ci seront déterminées par les ima-
ges qui vont être insérées. Celles-ci sont normalement acquises dans le module “Vidéo numérique”
: il suffit de faire glisser successivement l’image des différents champs vers l’icône “Cartographie”.
Si le système optique est équipé d’une platine connectée au micro-ordinateur (platine indexée ou
motorisée), Archimed connaît les coordonnées exactes des images, qui prennent automatiquement
la bonne position dans la cartographie.
Lorsque la platine porte-objet n’est pas connectée au micro-ordinateur les coordonnées réelles des
images sont inconnues, et les images sont toutes insérées au même emplacement de la cartogra-
phie. Leur position doit être ajustée manuellement : activer l’outil “Déplacer les images” du menu
“Édition”, et utiliser la souris pour reconstituer la cartographie.
L’outil “Sélectionner” sert normalement à faire glisser les images vers le port-folio ou vers un autre
module. Cependant on peut également ajuster la position des images dans la cartographie, en
maintenant enfoncée la touche <Ctrl> du clavier.
Les outils de mesure et d’annotation sont disponibles pour relever des mesures, entourer des zones
significatives ou ajouter une échelle.
Enfin, il est possible de faire glisser l’ensemble du plan vers le port-folio ou un autre module : pour
cela, activer l’outil “Sélectionner” et cliquer dans la zone libre autour des images. Un plan de carto-
graphie peut être glissé vers le module “Rapport” ou vers le module “Traitement d’images” : il sera
dans les deux cas converti en un format adéquat. Il est par contre impossible de référencer un plan
seul dans la base de données.
Le document imprimé
Pour préparer l’impression d’une cartographie, sélectionner l’option “Document imprimé” du menu
“Présentation” (ou cliquer sur le bouton “Affichage” de la barre d’outils). Archimed affiche alors un
ensemble de feuilles juxtaposées (de typiquement 21 x 29,7 cm), contenant autant d’emplacements
que la cartographie compte de plans.
La taille et la position des emplacements peut être adaptée, grâce à l’article “Afficher les
réglages de mise en page…” du menu “Présentation” :
Lorsque le document imprimé est affiché, les outils d’annotation sont disponibles pour ajouter un
titre ou des informations diverses.
Avec l’outil “Sélectionner” un plan de la cartographie peut être glissé vers le port-folio ou vers un
autre module. Un plan de cartographie peut être transféré dans le module “Rapport” ou dans le mo-
dule “Traitement d’images” : il sera dans les deux cas converti en un format adéquat.
L’ensemble du document imprimé peut également être conservé dans le port-folio. Il peut de plus
être déposé sur l’icône “Base de données”, auquel cas la cartographie est enregistrée dans un fi-
chier, et référencée dans la base de données.
À l’inverse, les études effectuées manuellement produisent des cartographies avec plusieurs plans,
contenant chacun une image.
Le logiciel Cartograph est conçu spécialement pour construire des cartographies automatiquement
en pilotant la platine motorisée du microscope ou de la loupe.
Exemple Cartograph
Il existe également des cartographies dans lesquelles la position des images est imposée par une
grille au lieu d’être déduite de leurs coordonnées réelles :
Une pile multifocale est une collection d’images représentant le même objet, acquis avec une loupe
ou un microscope, à différents plans de mise au point. L’objectif est de reconstruire une image
nette, en combinant toutes les images de la pile.
Les images sont normalement acquises dans le module “Vidéo numérique”, en faisant varier la mise
au point de la loupe. Il suffit de les faire glisser vers l’icône “pile multifocale” : elles prennent place
automatiquement dans la pile.
Pour afficher simultanément toutes les images de la pile, activer l’option “Document imprimé” du
menu “Présentation”. La pile se présente alors de la façon suivante :
La disposition des images sur le document peut être modifiée, grâce à l’article “Afficher les réglages
de mise en page…” du menu “Présentation” et la palette représentée ci-dessous :
La construction de l’image nette nécessite parfois certains réglages, accessibles par l’option “Ré-
glages…” du menu “Focus”.
Un détail de l’image est présenté dans la partie supérieure de la boîte de dialogue : utiliser la souris
pour choisir une zone intéressante. La combinaison des images de la pile est effectuée à l’intérieure
du cadre blanc.
Trois options déterminent des corrections pouvant être apportées aux images avant qu’elles soient
combinées. La première, “Corriger les positions”, est recommandée lorsqu’on travaille avec une
loupe binoculaire, dont le trajet optique n’est pas vertical. Elle n’est pas nécessaire avec un micro-
scope. Les deux autres corrections sont rarement nécessaires.
Les réglages normaux des trois paramètres suivants donnent le plus souvent un résultat correct, et
lorsque ce n’est pas le cas, il faut d’abord acquérir plus d’images, avec des intervalles plus fins.
Veiller également à couvrir l’ensemble de la dynamique, des zones les plus élevées aux zones les
plus profondes de l’objet observé.
Si l’image reconstruite n’est toujours pas satisfaisante, on peut essayer d’augmenter la taille de la
”Zone d’analyse”, puis éventuellement de modifier la “Finesse”.
Archimed propose d’accumuler dans une séquence vidéo les images acquises par l’une des sources
d’images installées. La séquence est enregistrée dans un fichier unique, reconnu par les logiciels de
présentation ou multimédia.
Ce même module permet également de placer des images distinctes dans une séquence, alors ap-
pelée “diaporama”, ou de convertir en séquence vidéo les “sessions” acquises par le logiciel d’enre-
gistrement Replay.
Dans le cadre supérieur, sélectionner le type de séquence à créer : “Diaporama”, pour ajouter ma-
nuellement des images à une séquence; “Film vidéo”, pour acquérir une séquence à partir d’une
caméra.
Dans le second cas, Archimed enregistre les images provenant de la source démarrée dans le mo-
dule vidéo : l’option est grisée lorsque ce module n’a pas encore été utilisé.
Dans le cadre inférieur, choisir la taille (en pixels) des images à acquérir. Diminuer la taille permet
d’acquérir des images plus fréquemment et produit des fichiers moins volumineux.
Choisir ensuite la fréquence souhaitée : si les capacités de la caméra le permettent, une fréquence
élevée produit des films fluides, mais diminue la durée totale de l’enregistrement. Lorsque le phé-
nomène observé évolue lentement, diminuer la fréquence pour augmenter la durée du film.
Un algorithme de compression peut être appliqué au film au moment de son enregistrement sur le
disque dur. On le choisit ici, par l’intermédiaire de la boîte de dialogue ci-dessous, qui présente la
liste des composants installés sur le micro-ordinateur :
Lecture de la séquence
Les options du menu “Film”, ainsi que les boutons fléchés de la barre d’outils permettent de se dé-
placer image par image dans la séquence, ou de la lire complètement.
Ce bouton, ou l’article “Afficher les réglages” ouvre la palette ci-dessous, qui permet égale-
ment de se déplacer dans la séquence, en cliquant dans la barre des durées :
La lecture continue se fait à la même vitesse qu’à l’enregistrement (ou à la vitesse arbitraire de 1
image par seconde s’il s’agit d’un diaporama). La vitesse nominale est symbolisée par les deux
triangles de la barre inférieure. Elle peut être modifiée, en déplaçant ces triangles avec la souris.
Une image du film peut-être déplacée vers le port-folio ou vers un autre module. Le film lui même
peut être déplacé : cliquer dans le cadre entourant l’image.
Enregistrement de la séquence
L’article “Enregistrer le film…” du menu “Fichier” permet d’indiquer le nom du film et l’emplace-
ment où il doit être stocké. Le fichier est créé au format AVI (Audio Video Interlaced), format stan-
dard sous Windows : il peut être relu par un logiciel de lecture multimédia, ou intégré dans un logi-
ciel de présentation.
Le film est enregistré avec la vitesse nominale qui a été définie. Il est important d’en tenir compte,
car si Archimed permet d’accélérer ou de ralentir la lecture d’un film, ce n’est pas le cas de la plu-
part des logiciels multimédia.
Les films ainsi enregistrés peuvent être relus par Archimed, via l’option “Ouvrir un film…” du menu
“Fichier”.