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Techniques particulières

de démolition
par Yves MALIER
Professeur à l’École Normale Supérieure de l’Enseignement Technique (ENSET)

1. Découpage thermique à l’oxygène ..................................................... C 2 270 - 2


1.1 Principe......................................................................................................... — 1
1.2 Procédé......................................................................................................... — 1
1.3 Performances ............................................................................................... — 2
1.3.1 Caractéristiques de la coupe.............................................................. — 2
1.3.2 Vitesse de forage ................................................................................ — 2
1.4 Échauffement du béton............................................................................... — 2
1.5 Nuisances et sécurité .................................................................................. — 2
1.6 Domaines d’application .............................................................................. — 2
2. Éclateurs hydrauliques ........................................................................... — 3
2.1 Principe......................................................................................................... — 3
2.2 Procédé......................................................................................................... — 3
2.3 Performances ............................................................................................... — 3
2.4 Domaines d’application .............................................................................. — 3
3. Sciage et carottage par outils diamantés......................................... — 3
4. Étude de cas .............................................................................................. — 3
4.1 Premier problème........................................................................................ — 3
4.2 Deuxième problème .................................................................................... — 3
4.3 Troisième problème .................................................................................... — 3
4.4 Quatrième problème ................................................................................... — 4
4.5 Cinquième problème................................................................................... — 4
4.6 Sixième problème ....................................................................................... — 4
4.7 Septième problème ..................................................................................... — 4
5. Conclusion ................................................................................................. — 4
Pour en savoir plus........................................................................................... Doc. C 2 270

a démolition partielle et la modification locale des ouvrages en béton


L posent toujours d’importants problèmes du fait :
— des dimensions de l’élément, de sa résistance mécanique et de son
comportement hétérogène (béton et acier) sous l’outil de démolition ;
— des conditions strictes de sécurité liées, d’une part, à la stabilité de
la structure (risques de fissuration, concentrations de contraintes, etc.) et,
d’autre part, au voisinage du lieu de l’opération (proximité de canalisations,
11-1983

etc.) ;
— des conditions de nuisances (principalement le bruit, les vibrations et les
poussières).
Hors les techniques mécaniques traditionnelles et les explosifs, nous nous
proposons d’effectuer l’analyse des trois procédés pouvant être couramment
envisagés (découpage thermique à l’oxygène, éclateur hydraulique, sciage et
C 2 270

carottage par outils diamantés).


Nous examinerons ensuite, sous le double critère des délais et des coûts, des
exemples précis de travaux élémentaires où les choix de ces techniques peuvent
être recommandés.

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TECHNIQUES PARTICULIÈRES DE DÉMOLITION _______________________________________________________________________________________________

1. Découpage thermique
à l’oxygène
1.1 Principe
Il consiste, pour l’ensemble des procédés, à utiliser les chaleurs
de combustion des métaux préchauffés dans l’oxygène pour
atteindre localement la température de fusion du matériau à
découper et le transformer ainsi en un laitier suffisamment fluide
pour pouvoir être évacué. En effet, 1 g de fer brûlant dans l’oxygène
dégage de 4,8 kJ (FeO) à 7,2 kJ (Fe2O3 ) ; 1 g d’aluminium délivre
30 kJ [1] [2].
De façon plus particulière, le procédé dit à génération
d’eutectiques, élaboré à l’École normale supérieure de
l’enseignement technique (ENSET), permet d’établir, par adjonction
de fondants au matériau à découper, des compositions dont les
températures de fusion sont proches des points eutectiques. Il en
résulte une optimisation de l’usinage en fonction de la composition
du béton et de la nature des constituants (granulats siliceux ou
calcaires notamment) [3].

Figure 1 – Forage thermique : profondeur de pénétration

1.2 Procédé
de 0,35 à 0,90 m2/ h et peut être considérée, pour un même ouvrage,
Dans la pratique, les métaux (fer, aluminium, magnésium, etc.) comme constante durant le temps de l’opération. Cette dernière
et les minéraux (dans le procédé à génération d’eutectiques ) sont propriété permet, chose exceptionnelle en matière de démolition,
conditionnés en fils et poudres dans un tube de fer (appelé lance de rationnaliser les calculs de délais et de prix.
thermique dont la longueur varie de 1 à 4 m) alimenté en oxygène
(pression : 7 à 12 bar).
Après amorçage, cette lance brûle en forant un trou cylindrique 1.4 Échauffement du béton
(3 à 4 cm de diamètre). Une coupe plane peut être engendrée par
juxtaposition de trous tangents.
Pour le cas de modifications délicates d’ouvrages importants
(béton précontraint, coques, voisinage de canalisations, etc.), les
élévations de température dans le béton et dans les armatures au
1.3 Performances voisinage de la coupe ont fait l’objet d’études précises [2] [3]. À
titre d’exemple, nous avons représenté sur la figure 2 les fuseaux
Nota : on se reportera utilement en [Doc. C 2 270] à la référence [3].
probables des températures maximales atteintes dans un voile de
béton de granulats silicocalcaires en fonction de l’éloignement à
une coupe plane (fuseau A 2 ) et à forage cylindrique (fuseau A 1 )
1.3.1 Caractéristiques de la coupe réalisés par découpage thermique.
De telles courbes, déterminées dans un grand nombre de cas
Le diamètre du trou Dt est déterminé en fonction du diamètre de différents, permettent de prévoir, avec une bonne précision, les
la lance D  par l’expression : altérations éventuelles que pourrait entraîner le découpage
thermique sur la partie de l’ouvrage conservée. Dans la plupart des
D t ( mm ) = 2 D  ( mm ) + 5 mm cas, à l’exception de prescriptions très précises, ces altérations
sont négligeables dès que la distance à la coupe devient supé-
Dans le cas d’une coupe plane la précision géométrique est rieure à 5 cm.
généralement comprise entre 10 et 15 mm.

1.3.2 Vitesse de forage 1.5 Nuisances et sécurité


Ce procédé permet de découper tous les matériaux (métaux,
roches, bétons, etc.) jusqu’à plusieurs mètres d’épaisseur. Le découpage thermique utilise l’oxygène comme seul gaz et ne
Retenons, à titre d’exemple (figure 1), les profondeurs de nécessite, évidemment et à l’inverse d’autres procédés, ni eau, ni
pénétration obtenues dans des bétons à granulats siliceux B1 et énergie électrique. Après avoir remarqué qu’il est une technique
dans des bétons à granulats calcaires B 2 dans les deux cas de totalement silencieuse et ne créant aucune vibration, il doit être
coupes utilisant les procédés thermiques usuels (courbe I) et le précisé, au plan de la sécurité, que les dégagements d’étincelles
procédé à génération d’eutectiques (courbe II). (importants en début et fin de coupe) nécessitent une protection
(simple) de l’opérateur. Les fumées, généralement réduites et
Notons que la présence d’armatures (cas des bétons armés et pré- négligeables en opération extérieure, peuvent devenir plus
contraints) accélère largement la coupe (le fer contribuant à importantes dans le cas de découpages de bétons à granulats très
l’augmentation des chaleurs de réaction). calcaires (ou imprégnés d’huiles, de bitume, etc.) ; éventuellement,
Par ailleurs, plutôt que la vitesse de forage, il est plus utile à elles peuvent être aisément captées à la source (une aspiration de
l’ingénieur, pour le calcul des temps et des coûts de découpage, 1 500 W est suffisante) dans le cas d’interventions à l’intérieur d’un
d’exprimer la vitesse surfacique correspondant à la surface plane local opérationnel (hôpitaux, commerces, etc.).
engendrée par le forage de trous tangents. Dans les conditions d’un
chantier bien organisé, elle varie suivant la nature du béton armé
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2.3 Performances

La force d’éclatement est mesurée par l’effort engendré par


l’éclateur sur les deux demi-coquilles disposées entre les plateaux
d’une presse.
Cet effort varie entre 600 et 3 500 kN suivant les appareils. Afin
d’éviter toute perte d’effort, les avant-trous (dont les diamètres
varient de 30 à 60 mm suivant les cas) doivent être calibrés avec
précision (tolérance 2 mm) et être parfaitement rectilignes. Ils
peuvent être réalisés par une perforatrice pneumatique ou une
lance thermique montées sur guide.

2.4 Domaines d’application

Destiné initialement à l’abattage des roches, l’éclateur a un


rendement équivalent dans les bétons (de 1 à 5 m3/ jour suivant la
nature des granulats et les conditions de chantiers). Par contre,
Figure 2 – Températures maximales atteintes dans un voile de béton l’efficacité se réduit dès que la proportion d’armatures croît (béton
de granulats silicocalcaires armé) ; encore possible pour des densités d’armatures très faibles
(10 kg d’acier par mètre cube de béton), il devient inefficace pour
des densités courantes (de l’ordre de 25 à 30 kg d’acier par mètre
cube de béton).
1.6 Domaines d’application Enfin, remarquons que le système mécanique étant très simple,
il peut être utilisé occasionnellement par une main-d’œuvre non
La nature du matériau à découper n’imposant aucune limite spécialisée (sa fiabilité résulte en fait de celle de son système
d’utilisation, le découpage thermique trouve un large champ hydraulique).
d’application dans les projets de démolition, ou plutôt de
modification d’ouvrages lorsque les travaux doivent être conduits
avec rapidité, précision, sans vibration ni bruit et un respect très
strict des conditions de sécurité [2] [4]. 3. Sciage et carottage
Sa simplicité, sa faible technicité et le caractère constant de sa
productivité (délais et consommations sont proportionnels à la sur-
par outils diamantés
face découpée) sont le plus souvent des éléments déterminants
lors du choix. De nombreux exemples de réalisation ont montré Nota : on se reportera utilement à l’article Outils coupants [BM 7 115] dans le traité
même que, à la condition d’une étude préalable sérieuse des Génie mécanique.
phases de découpage en fonction des techniques de levage, les La large utilisation de ces procédés [6] [7] [10] rend inutile leur
coûts de démolition pouvaient, pour des structures de béton armé, présentation ; on se contentera de rappeler les éléments techno-
s’avérer inférieurs à ceux des méthodes traditionnelles. logiques suivants :
Enfin, dans le cas de modification de structure en béton pré- — la très bonne précision géométrique (tolérance 1 mm) et
contraint, il permet un démontage rationnel de la précontrainte en l’excellent état de surface obtenus ;
respectant la stabilité de l’ouvrage et la sécurité du voisinage. — la non-altération du matériau dans le voisinage de la coupe ;
— la limite d’utilisation des procédés de sciage : profondeur
limitée à 40 cm environ ;
— la nécessité d’une projection d’eau constante dans la zone
2. Éclateurs hydrauliques d’usinage ;
— la chute du rendement (vitesse réduite, usure des diamants)
lors du découpage de matériaux hétérogènes tels que bétons de
2.1 Principe granulats silicocalcaires et, a fortiori, bétons armés (l’opération
reste techniquement possible mais devient lente et coûteuse) ;
Il consiste à créer et à propager des fissures dans le matériau à — la nécessité d’un guidage (ou d’un support) particulièrement
partir d’un forage cylindrique de faible diamètre préalablement rigide et fixe (risques de rupture des disques ou des couronnes)
réalisé [5] [8] [9]. Les positions géométriques relatives des forages souvent incompatible avec certaines conditions de chantier.
initiaux peuvent conduire, suivant l’objectif recherché, à des
découpages sensiblement plans (débitage en gros blocs à géo-
métrie régulière) ou, au contraire, sans direction privilégiée
(éclatements en petits éléments). 4. Étude de cas
2.2 Procédé Notre propos est d’examiner une série de problèmes concrets
généraux et de déterminer, pour chacun d’eux, la solution optimale
en fonction des critères de délais et de prix [2] [4] [8] [9] [11].
L’éclateur est généralement constitué d’un piston animé par un
système hydraulique enfonçant un coin à faible pente entre deux
demi-coquilles disposées dans le trou préalablement réalisé dans
le matériau (procédés Gullick Dobson, Darda, Roc Pac, etc.).

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4.1 Premier problème Solution (autre que procédés mécaniques traditionnels) : le


découpage thermique (§ 1) s’avère une solution extrêmement
Découpage très précis (tolérance 2 mm) d’une série d’ouvertures rapide (mais qui ne permet pas de conserver d’armatures en
(1 × 2 m) dans des dalles horizontales et des voiles verticaux attente pour une liaison ultérieure avec la structure).
constitués d’un béton faiblement armé (15 kg / m 3 ) d’épaisseur
200 mm.

Solution : sciage par disques diamantés (§ 3), le bâti de


4.6 Sixième problème
machine étant fixé sur les voiles et dalles par vérins ou par
Forage d’une grande série de trous de petits diamètres dans un
ventouses.
ouvrage en béton armé (épaisseur 0,5 m) immergé (profondeur
12 m).

4.2 Deuxième problème Solution : découpage thermique à l’oxygène (§ 1).


Découpage d’une ouverture (3 × 4 m) dans un voile de 1 m
d’épaisseur constitué de béton de granulats calcaires très peu armé
et situé dans un local très sensible aux risques d’incendies et non 4.7 Septième problème
protégeable.
Découpage partiel d’une structure précontrainte par post-tension.
Solution : réalisation de la coupe périphérique par carottages
tangents (§ 3) (diamètre des couronnes diamantées : Solution : les conditions de stabilité de l’ouvrage durant les
70 à 160 mm), exécution d’une maille de trous (100 environ) sur phases intermédiaires et les conditions de sécurité du chantier
l’ensemble du bloc, éclatement hydraulique (§ 2) à partir de nécessitent la connaissance de l’évolution de la distribution des
chacun de ces trous, découpage mécanique des armatures sollicitations lors de l’opération. La qualité mécanique de
rencontrées et enfin évacuation des blocs (20 kg environ). l’injection joue alors un rôle fondamental et doit être
recherchée. En effet :
— si elle est faible (ou nulle), le découpage des câbles peut
4.3 Troisième problème conduire à des projections de tronçons sur le voisinage et à des
redistributions brutales et dangereuses des efforts (créations
de rotules plastiques, etc.) ;
Découpage d’une ouverture (3 × 4 m) dans un voile d’épaisseur
— si, au contraire, la résistance mécanique de l’injection est
0,60 m, moyennement armé (30 kg d’acier par m3 de béton), type
suffisante, elle va permettre, à une certaine distance de la
paroi moulée, situé à l’air libre en un lieu difficile d’accès (échafau-
coupe du câble, un nouvel ancrage et conduire ainsi à la
dages).
définition d’un nouveau système précontraint... qu’il faudra
continuer de réduire.
Solution : par découpage thermique à l’oxygène (§ 1), Un tel raisonnement, conduit de proche en proche sur la
exécution de la coupe périphérique et d’une maille de trous structure, à partir des deux hypothèses extrêmes concernant
(distants entre eux de 25 cm environ), alésage rapide des trous des qualités d’injection susceptibles d’être rencontrées, permet
par perforatrice pneumatique (pour calibrage), réduction du de calculer avec précision les positions géométriques et chrono-
bloc par éclatement hydraulique (§ 2), découpage thermique logiques des coupes garantissant la sécurité de l’opération.
des armatures et évacuation. Ces calculs étant effectués, pour des raisons évidentes
(nombre de changements de postes de travail, densité
d’armatures, sécurité, délais, etc.) l’opération devra, selon nous,
être réalisée par découpage thermique (§ 1).
4.4 Quatrième problème
Découpage dans un voile d’épaisseur 1,50 m en béton très armé
(armatures de gros diamètre et profilés métalliques).
5. Conclusion
Solution : découpage périphérique puis réduction en L’importance des investissements que représentent les grandes
éléments (de dimensions compatibles avec les moyens de structures de génie civil, la rigueur des délais d’intervention et des
levage et d’évacuation) par découpage thermique uniquement. conditions de sécurité rendent nécessaire la connaissance de
l’optimisation des technologies actuellement opérationnelles pour
localement adapter, modifier ou réparer une partie d’ouvrage.
4.5 Cinquième problème Le recours aux trois méthodes présentées ne doit plus être
exceptionnel. Au contraire, il est souvent montré, dans les
Découpage d’une grande série de poteaux (ou pieux de démolitions des ouvrages en béton armé et béton précontraint, que
fondations) en béton très armé de 0,5 m de diamètre. ces solutions (à la condition que les opérations de levage aient fait
l’objet d’une étude très rationnelle) peuvent s’avérer les plus
rapides et les plus économiques. Ainsi débordent-elles désormais
largement de l’étroit marché qui leur était, jusqu’alors, le plus
souvent réservé.

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Techniques particulières R
de démolition
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par Yves MALIER
Professeur à l’École Normale Supérieure de l’Enseignement Technique (ENSET)
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École Normale Supérieure de l’Enseignement Technique (Laboratoire de
mécanique et technologie) (ENSET).
European Demolition Association.
Doc. C 2 270

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