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Abdoulkarim MOHAMED YASSIN

05/02/17

Introduction

Les relations publiques sont une branche de la communication des organisations privée ou publique marchande ou
associative qui traite leur relation avec leur publique. Lorsqu’on ajoute l’expression « internationale » c’est tout
simplement lorsqu’une organisation aura des relations à l’internationale.

En interne ou en externe, les R.P on une vocation à traitées la quasi-totalité des actions de communication d’une
organisation. Elles sont assimilées à une simple fonction de contact fortement professionnalisé.

Le métier du relationniste est également bouleversé par la généralisation des réseaux sociaux (Facebook, Twiter…) lié à
l’émergence des relations publiques 2.0 par une exigence renouvelée de dialogue avec les interlocuteurs de
l’organisation (l’avènement des nouvelles technologies va amener à l’organisation à faire une adaptation).

1.) Les relations publiques : essaie d’une définition.

Les R.P sont en effet pratiquées sur tous les continents et constituent un ensemble multiforme et variées de pratique. Il
existe de multitude d’expression linguistique à travers le monde. Par exemple ;

- L’expression américaine va être : gestion des relations avec le publiques.


- En Angleterre : gestion de relation avec les medias.
- La traduction littéralementallemandeva être : travail public.
- L’expression française et italienne est : relation publique

Appréhender les R.P devient plus complexe à travers l’interaction entre cette expression et d’autres, qui définissent
parfois le même domaine à savoir la communication stratégique, le management de la communication, la
communication des organisations ou organisationnelle etc.…

Rex Harlow avait identifié en 1976, 472 définition des R.P depuis le 20eme siècle.

La 1ere assemblée mondiale de l’association des R.P. au Mexique en 1972 définissait les R.P comme « art et science-
sociale qui visent à analyser les tendances à prédire leurs conséquences, à conseiller les leaders des organisations et à
implanter des programmes planifier d’action qui serviront en même temps l’organisation et l’intérêt public.

En 2012, la ‘’Public Relations Socity of America’’, a publiée sur son site la définition qui dérive d’un vote publique en ligne
organisé auprès des professionnels américains (1400 votant) : les R.P sont un processus de communication stratégique
qui construit des relations mutuellement bénéfique entre l’organisation et leur publique.

2.) Les éléments clé des R.P

Selon A. Theacker, tous ses définitions des R.P. ont une vision large, c'est-à-dire qu’elle découle plusieurs domaines et
techniques (parce que chaque organisation).

Pour les anglo-saxon la vision des R.P. est large et inclusive (à l’intérieur) d’où l’expression ‘’relation publique’’ indique :
un ensemble de management stratégique de la communication d’organisation en excluant seulement la publicité.

Dans le cas d’une communication interne, les R.P. englobe les politiques et actions de communication adressée aux
membres de l’organisation.

Cette vision anglo-saxonne n’est pas partager partout dans le monde. D’autres utilisent, d’autres expressions expression
pour identifier ce domaine.

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12/02/20

Chapitre 1 : Les relations publique : des gestions de communication

La compréhension entre acteurs sociaux passe par la communication. Nombreux sont les personnes qui sont confronter
à l’incommunicabilité. Cela est due à la confrontation des opinions adverses et les tensions entre les interlocuteurs en
présence, ceux-ci provoque souvent les replis des organisations dernier, un mur symbolique donnant l’impression des
organisations de trouver un abri contre les interprétations malveillantes, la concurrence déloyale.

Ce type de replie contribue à maintenir l’homéostasie des organisations et le sentiment de sécurité intellectuelle du
groupe humain et l’interlocuteur qui travail dans ses organisation. L’incompréhension s’installe, de même que
l’incommunicabilité progressive entre les organisations et ses interlocuteurs.

Ces relations de confiance renvoi à la définition du travail de relationniste dans l’exercice de leurs fonctions. Les
fonctionsdu relationniste renvoi à une fonction de direction, de gestion et de communication, à caractère permanant,
grâce a laquelle un organisme public ou privée vise à maintenir et à promouvoir des relations de confiance fondées sur la
connaissance et la compréhension mutuelle entre cet organisme et ses publiques (interne-externe) on tenant compte de
leurs droits, besoins et attitudes le tout conformément dans l’intérêt publique.

Sans ce climat de confiance, chacun demeure renfermé à l’intérieur de ce paradigme qui forme un mur symbolique entre
les individus et l’organisation. Ce mur symbolique peut-être l’imperméabilité de la communication humaine. Dans ce
contexte, loin de pouvoir manipuler l’opinion, les relationnistes peuvent tout au plus tenter de crée un climat de
confiance entre les interlocuteurs en préséance aussi institutionnel qu’individuel.

En tant que gestionnaire de communication interne-externe, les relationnistes participent aux prises de décision dans les
organisations, ou du moins les influencent, pour la mise en place d’une position communicationnelle plus ou moins
ouverte, transparente (cad que les travaux de l’org sont transparente) et bidirectionnelle (du public vers l’org et vice-
versa). Sure la base de cette confiance, l’information peut contribuer à établir des brèches (couloirs) dans les murs
symboliques et paradigmatique (le fait de suivre un modèle) des récepteurs acteurs de la communication (celui qui est
dans l’org).

I- La gouvernance de la communication

Dans une société ou tout est soumis à la gestion privée et publique, les stratégies font l’objet de débat notamment sur la
légitimité des interventions conçu par les relationnistes au nom des organisations qu’ils représentent. Cette gouvernance
de communication institutionnelle par les R.P. participe à la régulation de flux d’information dans l’environnement
sociale et au milieu de travail.

Sur la scène publique ou elle est en constante représentation, l’organisation développe des prises de position
correspondant à ses valeurs (code langage, tenu vestimentaire…). Dans ce contexte, pour réussir à établir des liens entre
les divers interlocuteurs en présence les R.P. apparaissent comme l’un des modes de communication de régulation de
communication. Que ce soit sur la scène locale, national ou international les relationnistes participent à l’élaboration du
discours et des interventions de toute les catégories d’organisation dans la société.

II- La position du relationniste dans une organisation.

A la fois gestionnaire de communication et conseiller stratégique, les relationnistes occupent une position complexe
souvent inconfortable dans la structure organisationnelle. Qu’ils soient employés, cadres ou consultants, ils doivent à la
fois intervenir et critiquer. La gestion de l’organisation par les R.P. peut prendre divers forme :

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 Les relationnistes participent aux processus décisionnel selon qu’ils contribuent à la gestion des enjeux
stratégique et à la structuration de mode de communication avec le public interne et externe au sein de divers
organisations (entreprises, syndicats, groupes de pressions, organisme sans but lucratif, ministère, organisme
publique et par-publique).
 De l’association humanitaire opérant sur la scène locale à l’organisme international tout regroupement de
citoyens, individuel ou institutionnel, peut recourir aux services d’un relationniste pour des interventions dans
l’environnement publique, sociale, culturel et économique.
 Face à l’émergence des débats dans la société civile, l’importance accordée à la réception active doit ramener à
des proportions plus modestes les visées d’influence des relationnistes. Les publiques sont, en effet, de plus en
plus critiques et autonomes dans leurs mode de construction très personnel de message à partir des données
diffusées par les relationnistes. Les publiques participent de plus en plus activement, à l’élaboration de message
construisant l’image basée avant tout sur une représentation médiatisée.

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Chapitre 2 : Les R.P. : une vision internationale et interculturelle.

I- Cadre conceptuel des R.P.I

Plusieurs approches ou cadres théoriques sont proposées dans différents écoles de pensée de R.P.

19/02/17

 La grille d’analyse LESCANT peu servir de repère pour les relationnistes qui désirent valider leur mode
d’intervention à l’international. Avec le modèle LESCANT, David Victor identifie plusieurs préoccupations
culturelles qui doivent être prises en compte lors de l’élaboration des stratégies des relations publiques,
notamment dans l’établissement des relations avec les médias, les Etats, les touristes, les populations locales,
etc. LESCANT est l’acronyme qui présente, sous sept catégories, les éléments à analyser pour cerner les
spécificités des communications internationales. L'acronyme signifie :

Langue : première barrière aux échanges, mais surtout une forme d’expression de la richesse culturelle locale.

Environnement : le contexte politique, religieux, économique, etc., propre à chaque pays.

Société : l’organisation sociale structurant les rapports sociaux.

Contexte (au sens de conjoncture) : plus ponctuel, le contexte concerne les caractéristiques de la situation qui
prévaut au moment d’une intervention dans un pays.

Autorité : les modes formels et informels de l’expression de l’autorité dans chaque pays, notamment l’exercice
du pouvoir, qu’il soit coercitif, démocratique, intégriste, théocratique, etc.

Non-verbal : la communication paraverbale, et la codification non verbale des échanges, propres à chaque
culture et sous-culture.

Temps : la conception du temps fluctue considérablement d’une culture à l’autre et influe sur les modalités de
communication entre les personnes.

La communication auprès des populations locale peut-être analysée selon la grille de LESCANT pour cerner les
diverses composantes interculturelles des stratégies des relations publiques.

 J.W. Salacuse met en évidence l’importance de tenir compte des différences culturelles propre à chaque
contexte national ou l’on intervient. Salacuse souligne entre autre l’importance de :
- Clarifier les butes en particulier les objets communs.
- Tenir compte des attitudes propres à chaque groupe culturel relativement aux questions débattus.
- Ne pas oublier les styles de communication qui varient d’une culturel à l’autre.
- Ne pas oublier la conception de temps qui varie selon les pays.

L’approche Salacuse inclue également les considérations sur les émotions, leurs modes d’expression dans le
cadre des négociations sur les formalités d’entend ainsi que sur leur processus d’élaboration séquentielle
préalable à la conclusion d’entend officielle.

Autre chose, Salacuse rappel, l’organisation de l’équipe de travail qui peut varié d’un pays à l’autre, ainsi que
l’attention devant être apporter à la capacité de gérer le stress ingérant à la prise des risques souvent élever
lorsqu’on intervient sur la scène international.

II- La mondialisation et l’impact sur les R.P.I.


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Les R.P. se complexifie par les barrières culturelles qui l’a module. Sur la scène internationale les principales défit des
R.P.I. est d’abord d’ordre culturel. Donc une obligation s’impose pour les relationnistes de créer des liens de
compréhension mutuelle qui s’élèvent entre divers environnements politiques, économiques et religieux.

Le bute de ses travaux est de gérer l’incommunicabilité et de créer des réels compréhensions entre l’interlocuteur
internationaux. Bien qu’il existe de closement (quelque chose de fermé), le but des R.P.I. est de se déployer dans un
monde ou se consolide les barrières identitaires. Pour les relationnistes, cette situation est complexe dans un mode ou
chaque geste est scripter à la loupe mondialisé des médias, de groupe de pression et de la concurrence. Les
relationnistes doivent tenir compte dans l’exercice de leurs fonctions des différences culturelles, raciales, ethniques et
religieuses.

Chacune de ses spécificités recouvrent des multitudes d’obstacle à la communication asymétrique (communication
directes ou les deux interlocuteurs on la même croyance et qui se comprennent)surtout dans sa dimension médiatique.

Par conséquent, les relationnistes doivent tenir compte des considérations politico-légales, scientifiques, religieuses,
culturelles, locales et internationales, s’ils veulent être en mesure d’apporter une contribution professionnelle à leurs
organisations (employeurs ou clients) pour positionner mondialement sa préséance institutionnelle.

Cette présence s’exprime pour les actes et le discours de l’organisation incluant la communication interne qui peut elle
aussi revêtir une dimension internationale.

Une des erreurs commis pour les relationnistes, le plus souvent à leurs insu est le faites qu’ils soient prisonnier d’une
méconnaissance culturelle qui entraine une vision stéréotypé de l’autre (fausses préjugées véhiculé par les medias)
lorsqu’ils entrent en relation avec des interlocuteurs étrangers.

Par exemple le relationniste, en entrant en relation avec les autres, il a ses clichés dans sa tête mais lorsque la
communication se déclenche il se rend compte que les idées qu’il avait étaient fausses et là il fait perdre un chiffre
d’affaire a l’organisation.

Ils peuvent alors être tenté de procéder par généralisation sommaire (parler d’une façon générale sans entrer dans les
détails).

 A défaut d’une école de R.P.I., l’apprentissage par la pratique est souvent la seule formation que
reçoivent les relationnistes pour développer les connaissances et les habilités qui leurs permettent
d’intervenir efficacement sur la scène mondiales.

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III- La représentation internationale d’une organisation.

Que ce soit par l’organisation de mission à l’étranger, de conférence de presse, d’interview ou par la réalisation de
compagne de promotion ou des publicités institutionnelles, destiné à des publique internationaux, les relationnistes
doivent travailler sur deux plan complémentaires. Plan du relationniste :

 D’une part les relationnistes doivent eux-mêmes mené des activités de communication internationale et de
relations de presse à l’étranger. Ils gèrent les relations avec les medias et les agences de presse internationale
mais aussi avec les groupes de pressions, les clients et leurs propres fournisseurs.
 Et d’autre part, ils sont appeler a appuyer leurs organisations dans es communications internationales. Par
exemple : le relationniste doit soutenir les activités d’affaire de son entreprise à l’étranger et jouer un rôle de
conseil auprès du personnel de l’organisation dans leurs relations avec les interlocuteurs internationaux.

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Cette collaboration des R.P. à l’atteinte des objectifs institutionnels :

- Des missions humanitaires (coopération internationale)


- De démarche de négociation
- De développement d’affaire et de nouveau marché
- De l’établissement des relations avec la presse et le groupe de pression internationaux
- De communication avec les employer qui travaillent partout dans le monde.

Il arrive également que les relationnistes doivent ouvrir aux membres de leurs organisations des séances de formation
sur le protocole les relations avec les medias ou l’organisation de mission a l’étranger.

Ces activités se déploient selon le type d’organisme représenté :

le relationniste peut intervenir au nom d’une entreprise, d’un groupe de pression, d’un syndicat, d’un
gouvernement, d’un organisme non gouvernementale.

Dans ce contexte, il n’est donc pas exact de considérer les R.P comme étant uniquement au service des entreprises. Mais
qu’il s’agit pour l’un ou l’autre des divers types d’organisations.

Les relationnistes ont d’abord à définir une position institutionnelle qui tienne compte des réalités régionales et
nationales des pays ou leur organisation interviennent ce qui est particulièrement évident lorsqu’ils travaillent pour une
organisation internationale.

Si le relationniste doit adapter sa façon de travailler aux spécificités du pays visé il lui faut tenir compte certains règles
pour baliser ses activités d’ordre commerciale.

IV- Le double fracture : numérique et culturelle.

Le nouveau défit des R.P.I passe par la prise en compte de la fracture numérique (différence entre les pays avancé en
matière de connexion et les autres), même les infrastructures de communication plus traditionnel (téléphone...)
permettant la distribution du courrier postale ou encore de réseau de téléphonie ou de télécopie pose encore problème
dans plusieurs pays.

Par ailleurs on doit tenir compte de la sensibilité de l’organisation au grand courant des enjeux mondiaux qui émergent
en même temps des renforcements des cultures locale.

L’instantanéité des activités mondiale fait en sorte que les tendances se mobilisent, sensibilisant les organisations aux
problématiques vécues dans le pays le pays avec lequel l’organisation traite. Dans ce contexte, les situations locales
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doivent être considérer du point de vu des citoyens de chaque culture. Le travail des relationnistes s’effectue en
fonction des valeurs marquantes du respect des cultures locales et des idéologies mondiales selon leur mode de
participation au grand réseau virtuel de la communication.

En effet la mondialisation déstabilise certains Etats, renforce les inégalités entre pays riche et pays pauvre, bouleverse les
polarités économique. Dans ce contexte la fracture entre les peuples n’est pas seulement numérique elle est surtout
culturelle, écart dont-il faut tenir compte dans la communication que les relationnistes entretiennent avec les pays en
voient de développement.

Par conséquent, les nouvelles réalités des R.P.I subissent les effets de l’occidentalisation des communications créant des
défis nombreux et complexe.

V- Diplomatie et code de comportement.

Les relationnistes sont tous, plus ou moins, confronté un moment ou un autre de leur carrière a la diplomatie et les
aspects protocolaires des communications internationaux.

La diplomatie : concerne en premier chef les diplomates, bien qu’elle touche certains aspects des pratiques
relationnistes. Le protocole fessant aussi parti du quotidien de tous les relationnistes qui travaillent à l’étranger. Les
règles dans ce domaine sont surtout une codification des comportements reconnus comme acceptable dans les
différents contextes culturels d’intervention.

Ainsi le protocole peut-être considérer comme un instrument des R.P notamment dans l’organisation de mission à
l’étrangers. Dans ce secteur d’intervention, il est important que les relationnistes développent sa culture des cultures
afin d’éviter toute approche tenté d’impérialisme culturel.

De ce fait, les relationnistes ont intérêt à apprendre de l’intérieur la culture des pays ou ils doivent intervenir pour mieux
comprendre et surtout pour la respecter.

Si les codes formels et informels des communications comportementales varient d’un pays à un autre, certains usages
sont quasi universels telle l’importance du drapeau qui occupe une place d’honneur dans toutes les salles de réunion ou
de cérémonie officielle.

Les relationnistes doivent tenir compte aussi du symbolisme culturel, de l’agir communicationnel variante d’un pays à un
autre.

Comme tout communication réaliser dans les pays d’origines, les échanges internationaux doivent repasser sur des
principes de transparence d’honnêteté et d’écoute active mais en tenant compte d’une discrétion plus formelle dans les
cas de négociation d’affaires, de diplomatie international ou de coopération international.

Ainsi les signaux para-verbaux prendront toute leur importance dans les interactions entre les participants à un échange
dans le cadre R.I

Les relationnistes prêteront attention même au lieu informel d’échange avec les interlocuteurs de divers pays. Ils doivent
adapter leur pratique communicationnelle au cadre spécifique dans lequel se déroulent les repas prit en compagnie de
convive internationaux. La table étant un lieu de rencontre par excellence avec les interlocuteurs organisationnelle.

Naturellement, les relationnistes qui travaillent à l’étranger on intérêt à se familiariser avec les exigences du protocole
pour démystifier les coutumes en vigueur dans les différentes cultures.

VI- La société mondiale : entre le locale et le régionalisme.

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Que le relationniste travail pour Amnesty international ou pour un fabriquant des logiciels, l’accès au grand réseau de la
communication international est incontournable.

Dans le secteur politique, socio-économique, industriel ou commercial, les activités de R.P. se réalisent dans le cadre de
la mondialisation que l’on peut contester mais qui prend des nouvelles perspectives communicationnelles en fonction
d’une opinion publique planétaire plus mobilisée.

L’émergence d’une société mondiale civilisée et paradoxalement la montée du régionalisme dans un marché polariser en
grandes bloque économique caractérise la scène d’intervention des relationnistes qui contribue à la mise en place des
flux d’informations.

12/03/17

Les développements des moyens de communication au sens large du terme des télécommunications de moyens de
transport en passant par la communication interpersonnelle, n’abolit pas de manière significative de manière
significative les contraintes géographiques et temporels ( même si il y’a l’internet…les pays du nord seront de plus en
plus avancés que ceux du sud). Les déréglementations contribuent à assoupir ses contraintes bien que l’accès au moyen
de communication n’est pas universel et ne rend pas nécessairement les interactions entre les peuples.

Pour les R.P. se développement de communication international crée une voix d’évolution de la profession (cad que les
R.P. des années précédentes exemple les années 2000 ne seront pas le même que ceux des années 2010 et vont
d’avantage profité des moyens de communication).

Il existe présentement un plus grand besoin d’expert sur les questions international qui soient capable de travailler sous
toutes les latitudes (sur toutes les contraintes) qui métrise plusieurs longues et qui soit préoccupé par les enjeux
mondiaux de l’heure.

De plus, les relationnistes doivent pouvoir intervenir en coopération international sans ingérence dans les politiques et
les pratiques dans les pays ou ils interviennent, de même qu’on politique extérieur ou en développement de marché.

Dans l’un ou l’autre de ce champ de pratique, les relationnistes sont amené à pratiquer une veille international constante
afin d’être en mesure de tenir compte des spécificités ethnoculturelles, économiques de chaque pays.

Pour les R.P, la mondialisation comporte plusieurs mythes des réalités. Il on entendu que la régionalisation du globe en
grande bloque économique (ensemble économique régionale) permet aux relationnistes de développés leur expertise
dans tout contexte planétaire.

Que ce soit pour les organisations internationales ou au sein d’organisme internationaux l’ONU, Greenpeace ou Amnesty
International, les R.P on dorénavant a tenir compte des nouveaux défis inhérent a la communication internationale entre
les humains et leurs organisations posant la question du respect de l’autre.

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Chapitre III- Les Relations trans-publique et transnationale.

I- Code de conduite du relationniste

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