Вы находитесь на странице: 1из 7

QUELQUES

PRoBIÈnnns
INTERNATIONAUX
lort
cle la naié-éanc€
c/u ?r 6Phàte
MUH AMMA D
par le Profesieu,Muhammad
HAMIDULLAH,

J'anit fait cettc catrerie, il -1ta me diqaine fan'


néàs, z(r noucmbre
es.le zg'nouembre tqsz.
tg5z, lort1a t.Lzse ànniuersaire
lors da r.4z5e annhtersairc
de Ia
dc k naissanee
nailsanæd* Probbètede
du Propltète de I'lrldrrî, daw le
I'Iilan. tldt$
I'Iilam, dads le hdtt-
bâti-
mcnt dc la Sociétë âs pmkers, Paris, Je
wkers. à Paris. ssit
fe sait
berîeflx de Pomtoir la htblier maiztenant, rdfi
preqile aucui changenent.- (M. H.)

N célèbre les fêtes chez les Musulmans cultute, ainsi que du progrès matériel n'avaient
sclon I'année lunaire, sans intercalation. rien qui pût leur permettre de se compa;tet avec
'voisins
C'cst ainsi qu'e le Maulid, anniversaire de leurs : lês Byzantins, les Pêrsans,- les
déplace. pour le
ance de Muhammad se déplace,
la naissance Contes et autres. Ils n'avaient même pas un Etat
comput grégorien, chaque année. Mais quelle particulier : il n'y avait que des triËus, pour la
est l'importance de cet anniversairedans I'his- plus gtande partie nomades.
toire humaine?
Mais lorsque Muhammad mourut, ses dis-
On sait que Muhammad nequit en 57o dans cipleset sesùiets étaientdéià considéréscomme
un pavs absolument désertique, la Péninsulc dËs rivaux darigereuxpour'les puissancesmon-
.\rabique. Lorsqu'il est né à La Mecque, dans la cliales d'alots. Quant â ses réfoimes sociales et
région du Hédiaz, le monde ignorait en général spirituelles, les Ârabes, déià désarabiséspour
I'ciistence même d'un groupement humain dans n-'êtreplus que de simplesMusulmans(soumis à
ce point rrerdu du globe. Les habitants de cette Dieu),^ humains, citoyens du monde, ptésen-
region, Ëomparativ-ementbien ardérés, prati- taient une védtable métamorphosc : les adora-
quâent toutel sortes de méfaits et de vices et, teurs de pierres non taillées d hiet s'assimilaient
du point de vue des lettres, des scienceset de la le monothéisme le plus pur, sans images, ni

11
parentsni autresassociésà côté du Dieu unique. son activité en Drêchant la réforme autour de
Ces gens qui, autrefois, n'avaient pas le moindre lui, et n'abandorinantce travail que vingt-trois
'respect pour la vie humaine chez les étrangers, ans plus tard, le jour oir il rendit son dernier
furent accueillisen <<libërateurt>>dansla Mésopo- soupir. Quels ont été la vie et I'ceuvre de cet
tamie et la Syrie, comme nous le dit l'Orienta- homme dont nous célébronsauiourd'hui l'anni-
liste hollandaisDe Goeje. De même, il y a tant versaire?
de peuples civilisés qui ont été conquis pat
des Barbares, mais jamais, dans I'histoire hu-
maine, un peuple barbareconquérantne fut plus CE QU'ON PBNSE DE MUHAMMAD
civilisé que les vaincus,comme le furent les dis-
ciples de Muhammad, comme nous I'assure à
son tour I'historien anglaisdu droit international, Je préfère laisserla parole d'aborcl à certains
de nos contemporainsconnus :
Walker.
Le Rév. Dorman a récemmentpublié cn r\mé-
D'ailleurs, Muhammacl a démontré qu'un rique une histoire des polémiilues cntrc les
désert, un climat défavorable et une pauïreté Musulmanset les Chrétiens,depuis le clébutde
absolue de ressourcesnaturelles,comÀre dans I'Islamjusclu'ànos jours.(let inti'rcssrlnt
()uvr:tqc,
l'Ârabie d'alors,n'empêchentpas un groupement bien documenté,s'appelle Ton,,trrls{ Iuit'r't/,tr:i/irt!
humain de devenir plus digne de ce nom que les Islarn(ers la compréhensionde I'Islam). Je fus
habitants de n'importe quel autre pays du agréablementsurpris d'y lire la constatationque,
monde plus favorisé par la nature. Il fallait d'aprèsce missionnairechrétien, il y a, du point
seulementchanger I'esprit et I'attitude de I'in- de vue du chdstianisme,dans le systèmeenticr
dividu quant à son but de vie, pour qu'il devînt de moralité prêchée par l'Islam, deux choses
plus puissant et plus noble que n'importe quelle gênantesseulement: le divorce et la poiygamie.
autre créatute dans I'univers. Raopelons que le divorce, défendu par Jésus,
a 6ni par être reconnu pârtout chez les peuples
chrétiens.Quant à la polygamie, nous y revien-
ON NE VOIT PAS SES PROPRES drons plus tard.
DÉFÀUTS Un grand penseur et historien anglais, Ie
ProfesseurToynbee, de I'Université de Londres,
L'histoire se répète, et il y a en effet dans les vient de publier la traduction françaised'un de
problèmesqui se posèrentà Muhammad et qu'il ses récents ouvrages, sous le titre La ciuilintion
arriva à résoudre pour le bonheur de sescontem- D'après cet auteu{, il y a des vertus
à l'épreaue.
porains, une actualité pleine de leçon pour les qui se retrouvent chez tous les pcuples civilisés
csprits réfléchis.-fc rnc pernr(:tsdc rapl:clcrr1r-rc c t r l a n s t { ) u t c s l c s c i v i l i s t t i , r r r s , l u l t i ( l L r c s( , L l
lcs pcrrplcs,nrônrclcs plus évolués,n'apcrçoivcnt nroclerncs,mais il y cn x t1r.rirtc s()nt cn('()rc (1.rc
pas quelquefoisles vices qu'ils pratiquent. Rien des particularités de certains groupe ments
ne manquait par exemple aux Grecs et aux d'hommes et qui n-réritent d'être généralisées
Romains, dans le domaine des sciences,du pro- comme le seul moyen de sauvegarder la civili-
grès matériel et de la puissancepolitique, mais sation dans les dangers internes de notre époque
il a fallu que des misérablesPalestiniensvinssent atomique. Dans un chapitre, vers la ûn de son
chez eux àpporter le messagedu Christianisme, livre, Toynbee pade de I'Islam ct ciit quc le
pour soustraireles habitants de la partie la plus monothéisme pur, l'égalité entre ies nations de
évoluée de l'Europe d'alors au mal dont ils races et de couleurs différentes, ainsi que I'interdit
souffraientet dont ils n'avaient même pas cons- absolu de l'alcoolisme doivent être emDruntés
cience,encore moins pensaient-ilsà y remédier. à I'Islam.
Et pourtant Jésus-Christn'eut pas le temps de Un autre historien anglais, H. G. \Wells, éga-
seprononcer sur un grand nombre de problèmes lement bien connu, mais qui vient cle nous
quotidiens de l'homme, et de nous guideg per- quitter, a dit qu'il était lvlusulman avec ccrre
sonnellement dans les affaires politiques et particularité qu'il reconnaissait tout i'enseigne-
sociales,là-dedansnous référant au César seu- ment de Muhammad sans reconnaître lui-même I
lement. '!7ells
ne connaissait pas l'arabe, pour puiser
Cinq cent soixante-dix annéessolaires étaient âux sources originales de la biographie de
révoluès après la naissancede Jésus, quand Muhammad, qui était pourtant le premier à
Nfuhammadnaquit à La Mecque. Celui-ci avait pratiquer ce qu'il enseignait à ses disciples.
quarante ans et six mois, quand il commença Encore une citation :

12
CE QUE PENSAIT LÉNINE DE MUHAM- ports russd-turcs étaient encore trop bons pour
\tAf) se laisser diriger par un rebelle contrc lv{oscou.
'furquie
f)'ailleurs la d'alors était peu disposée
\ Fiarachi (Pakistan), on publie en langue à patronner la religion du Chérif Husain, source
rrrriuc une importante tevtte .Histoire et,lcience de tant de ses malheurs.
.:.,:,iiij,trt. l)ans son numéro du mois d'aorit r952,
,'r'r vie nt cl'éditcr les mémoites cl'un célèbre
rr'l'.:rié politicluc <lu Pakistan, clui s'était rendu CE FIT MUHAMMAD
QUE
c: Russic lors cle la clomination anslaise sur
i ' l ' r , l c h r i t a n n i q r r c .T l a c o n n u p c r s o n n e l l e m e n t
Rcvenons à notre suiet propre. Comme nous
I , ninr:. l)'a;tri5 scs trtémoitcs, Lénine avatt
,'lclu, lors cle la révolution bolchevique,qu'il venons de le voir, Muhammacl ne crut pas que
r't:lait nas nossiblc ci'arrachcr I'homme défini- la réforme de la société, dans certains aspects
',.-.,.,,.r,t à là crovance en Dieu, qu'il fallait donc sculement de la vie, fut la solution complète
des problèmes humains. Ll s'efforça donc de
. : r r , i s i r u n c r el i q i o n q u i f û t l a p l u s p r o c h e d e l a
' . 1 i s , r lcr f t l u i p ù t s ' a c c o r d e ra v e c I ' a s p c c té c o n o - réorienter la totalité de notre vie, et cle réorga-
niscr tous les aspectsde cette vie dans un svstème
nrquc du c()mmunismc, afin cl'accélérerla révo-
:trtirirr monclialc ct de lui clonner un âvenir Dlus compréhensif et harmonieusement équilibré. Il
-ur. (.es mémoires précisent qu'après de lonfues n'excluait de son activité ni la reiigion, ni l'éco-
nomie, ni la politique . Il aperçut qù'une moraiité
.rnnécs d'ctucies ct de mrires réflexions, l,énine
.rrriva à la conclusion ctuc I'fslam était bien une sans pouvofu était aussi incomplète qu'un pou-
t c l l c r c l i g i ( ) 1 râ, v c c s c s a c l h é r c n t sd a n s l c s q u a t r e voir sansmoralité qr-riconstitue mêmc un dangcr
t , , r n s c l t r r r r o n r l c .l l c o n v o c t u ad o n c u n c r é u n i o n pouf l'humanité. La principale caractéristiqucde
lavic et de l'ceuvrc rlc l\{uhamrna<lcst. si ic nc nrc
t c r i ' 1 1 ' 1 1 1s 't ' s p r i r r c i p a r - rcr o l l a h o r â t c u r s ,e t l e u r
f r o m p e , l n l i a i s o n1 1 u ' icl r ( ' n( ' n r r ( 'l ( ' s, l t ' t r xq r : r r r t l t ' s
; r p 1 r r i 1 , ' p r o i t ' 1 . ( i l : r t r ( ' n t t n ( ' l ( ' t l l l ) a ' t tr'l t n s
tlivisions rlc notrc vic, I'asllcct spiritucl ct
I'asscnrbiclc,mais l,éninc leur dit calmement
I'aspect matériel.
qu'il faliait garder le sang-froid pour de si
qra\res décisions et ne pas se laisser déborder Ainsi, dans un passage bien connu du Coran,
par les pâssions et les sentiments au détriment nous apprenons I'idéal de I'Islam sur ce point :
des besoins pratiques. Et il ajouta : < Je n'ai
rien décidé ; je vous confie ce que je pense ; ... Mais il est des gers qui disent : <<Seigneur !
prenez du temps, réfléchissez, ce que ie feni donne-nousbelle part ici-bas ! - Pour ceax-là, pas
moi-même et, au bout d'un an, nous réglerons de part dans I'au-delà. Et il est desgens qai disent :
détlnitivement cette question. > Le mémorialiste < Seigneur ! donne-nousbelle part ici-bas, belle part
ajr.rute que le servièe secret britannique prit aussi dans I'au-delà ; et garde-nousdu cltâtinent ds
connaissancede.cet ér'énement, rédigea aussitôt Feu ! >>Ceax-là aurlnt ane part à ce qu'ils aat'ont
unc r-iolente âttâquc contre le bolchevisme, gagté.' Dieu est prorupt à compter. (Le Coran, II,
tléclarant son svstème économique absnlument 2OO-zO2).
opposé a i'Islam. On obtint les- signatures des Ne négliger ni ie coips ni I'esprit, mais cher-
rulc'mrde maints pavs musulmans, qui ignoraient cher à équilibrer les deux faces du même être
les détails et I'arrière-plan du fetwa ,, Made-in- et ies beioins des deux aspects de sa vie à la
l , r r L l l : r n t l> > ,c t l ' o n c r r d i s t r i b u a e n R u s s i e u n fois, tel était I'essentiel,la baseclc cc clue Muham-
gr.rrr,l nombrc rl'cxcml"rlaires.Lénine cléscspéra
mad enseignait.
t l t ç r c l r q i e u x m u s u l n r a n s ,c o m m e i l l e f i t d e c e u x
,lrs rr,.rtrcsrciiuions. La vie dc Muhammacl est oleine cl'événements
et de leçons pratiques. Nous-ne pouvons relever
\,rus n'avons pas ies moyens de vérifier lc
ici que quelques faits seulement, pour essaver
ricit rlc ccs nrémoircs, tnais - outre le fait
de donner une certaine idée de I'homme qu'ii
(lu'.)n p()ssi:rlclcs co1-licsclc cc stupiclefetwa, -
était.
n,/ur p(ruvons n()us rappclcr un fait, qui peut
r c l c r . t u c l c l u cl u m i è r c s u r c e t i n c i d e n t : O n s a i t
'I'rotskl',
quc I'un des principaux collaborateurs
dc l-cnine, âvait déclarê ." côtrversion à l'Islam, UNE COURTE BIOGRAPHIE DE
lorsclu'il s'était réfugié à Istanbul après avoir été MUHAMMAD
chassépar Stalinc ar 1929.On pense qu'il vou-
l . r r t r t ' n r ( ' t t r ( ' i l : r t ô t c t l u c o t n t t r u n i s m e< i s l a - Muhammad était habitant de la ville dc La
n1:( \ lorr l'lsl;tttr e()lllltullisé). Mais lcs rap- Meccluc, où il était clcpuis touiours bicn connu

13
pour sa charité
,et l,intégrité de son caractèrc. r\ussitôt Mnharrrmeclri,pontlit : <
I-orscJu'il lança
-dcl,attaque"contrc le folythéisme
'concitoyens,- fc rc nor.r,rllrc
le gouvcrncur rlc
et I'idolâtrie ses i[ ,..rco.tr^ -Lrt l\[..c,1t,c.,, l_"- i..,.,. nrênrc
<lc
jlry:ilog touio.r,rrs
croissantede la pan . l a c o n q u ô t c , l \ l r r h , r , r r r r i l . lc , . , n l i c 'l , , r , l n r i n i s _
T:^.habrtants de la
ctes
trâtron de la villc enncnric I un tle scs ancicns
ville,.excepté quelques -t. ildi_ adv.ersairesles plus achanrés,
vidus. Muhammad ne cherchiit ,ii ,^rts laisser un
pouvoir seul solclat méclinois cn qarnison, ",
ni l'arpçent dans cette (( entreprise > il se retirc
clésinté_ bicntrit à Nfétlinc.
ressée: mais au bout de treiie ans,
s,il put
.qagner y,n petit nombre de disciples, l. ,Ërt" Nous avons tous connu cc c1u'on tàit, lors
rlc
cle la vllle et des environs fut d-'accord clanslcs tlcrrx*rl"ir.r-.nôntliales,
pour flyry llctoircs,
mettre 6n une fois pour toutes à ce mouvement les ressorttssanrsdes pa1,s [c:s plus civrlisés
monothéiste et moraliste : I'on c.lécicla tlc:
-llurr"rrin".rt.
d. ," notre épo<1ue.Je n'ai pas bcsoin de vous
débarrasser de Muhammacl .., dire
ji,i.::"1TS"l:, gu.. Earclenr les r-aincuscl,aujour_
Nfuhammad parvint à quitter sa ville natale, cl'ltut, mats l'histoirc nous dit (luc,
et [râce i son
se réfugia à lvlédine, loà de pl".i."À cenraines geste au moment psycholo.rSicltre, Ies"vaincus cle
de kiloinètres. Les paiens cle^La ù..qrr., Muhammacl, les Àieiqu._,i.,îJ g;r.'iJ-:n,
,o., aucLrnc
seulement oiigèrenf des Méclinois, 'par
,.
moye ns diplomatiques, qu'ils fissent :il: ï "'.i:i':J:;'.Iî'îiî:îîJ ï.î;,::i'3:1î
les
:
r\lunammad de chez.eux, sans lui donner
encore moins une aide quelconque, mais
chasser
asile, 9{r.,
blièrent Le
":l
u'c rransfornlation .";;i;i.i;;' : ils .u-
ils confisquèrenr à l_a Meèque l.r'blt",
aussi _p_assé,et ,l.vinr".rt' 1., meilleurs
meubles souttens cle Muhammari contrc clui clue
ce soit.
et immeubles laissés par À{uham-J-..
Jr{usulmans tlui avaient émigré à Mlàine.
autres
,., ud.,",,
i.;: ùi' "
i,Tll
:J;:,.-;i;'ft'.,:,ï
V o i l à c o m m e n t M u l ' r n m n r r , l. , , . , . ^ , T ^ . ] - l '

lOls successlvementJes Mecquois entreprirent


Trois
"i ili 3
jour au lendemain, toutc la
:il;
des expéditions armées .orrtré t. prÀpfrèæ,-"i ù;;1"À" cle l_a
Mecque se convertit à I'Islam.'
: naturellement les pertes des deux côtèl
avaient
rs empolsonne teurs rapports, à tel point qu,une
réconciliation semblàii tout a tLit
-d.
Lors de son immigration à N{écline, À{uham_
macl y avait fondc
-une
t question. Le dernier épisode .fut que-côtés,
hol; une paftie de cette ville aâarc,hique, et
pedte Cit._bt"t a"n,
f"rrq";li
F
*
q!'g,n venair de conclure des deu'x -de
ta. tre".,
fui i.î:'::!i>r
all apris, ce MédinËfut ra c,,ptale
ct'un
violée. par les
,Mecquois. C'est dans ielles qe .emplre s'étendant sur quelqucs 3 miilions
que Muharnmad pawini à ,,rrpr..,ar. Ktronletres carrés --
::1*:t^""r 3 millions en dix ans
r.a rvrec(lueavec une puissante armée et l,ôccuper fait plus de 8zr kilomètles. ;;rrér-p;; jour en
sans coup férir.. I{uhammad ," ..ruu.À"i;-;i; moyenne ! - et I'on rr'avait versé 'c1ue'lc:
sarrg
i l ( . s l r ( . | l l c s ( . 1 (l c s rle rrroins rlc trris
. l x : r t ( . s t l r r ' n V a i c n ts O u l l r : r t c s Pcrs()11ncs 1..,"r,rr.ii,, .l-,"r'i...i
sillls ccssc lui ct ses cnnclnrs sur lc clrlrrrlr rlc li:rtaillc ct
-cornl)agnons depuis vin[i cn(:()rc
ans clc la part .tg .",, Mcc.iuôis. moins chez lcs Musul.rians.
II i. aiài"r,
pensons-nous,d'ordonner un,massacre """1, général j
il pouvait aussi bien commander à. *.,L.
,o,_,t.
la.popr.rlatronen esclavage; il pouvait LA CO-EXISTENCE
au moins PACIFIQUE .
DES
piller la
_ville, pour compenser ses pertes maté_ DIFFÉRENTES RELIGIONS---
rielles. Mais Mirhammad^ne fit rien âJ^ià,rt
..t".
,\u contraire, il rassemhla.la popuiatio.,-ir",r,.r'r.,
et après lui avoir rappelé ,.i *éf^itr, t]"::, na1ur9l, dirait-on, clue lcs reiigions,
il lui dii ,^ sens restrelnt dans
re dc ce mot, ne soieni pas tolé_
:11,|,l.T:lr_: di'grief
i:l"'en en paix, ."",'" aujour- rantes entre elles. Sinon, clles perdraieàt
e nu\ altez_vous vous êtes "àL' libérés ! > leur propre raison d,êtré. C"l"';à;;iËue
même
'drt aussi
Quelques instanrc avant le discours cleMuharn_ Dren a ta rctrgion biblique qu'à êeiie
Dat
mâo, url Kabiîal.
.Me"cquols murmura à l,oreille d,un
présentdansl,assemblê: <
:.l1"Iii: i _cote,
suls neureu* q.lg mon père Je ,L'enseignement rle Muhammacl mérite d,être
soit mort avanr ce rereve a ce sulet,- à ce problème international
iour nonteux d'humrliation,!. Il n'aurait pas pu cles,prus graves. lI ne cède sur aucun point
le supporter. > Lorsque M"h;;;'trermina de
son sa tnese, cle son enseignement,mais
il n,arra.lue
.d.iscours, cet individu fut t.tbÀ..rt touché plus,ii recorrnait
11l.-F:ri: t}"o1.te.qu'il'.'.nJi sponra- 1i:,i1.
1.', -i:ligi:l:.Biend,avant
orvrne, des
i'ortgin.
nemenrdevanr lur et lui dé.clar.a: < Je m,appelle .rehgions lui. Comme nous
'Âttâb, auons _levorr, la thèse du Coran est la
fils d'Asîd, et i'.*b."rse'-lT;ù*. D
suivante :
Dans Sa bonté, Dieu a non seulement
fouriu à
14
llrrnrrrrc lcs rnovcns dc vivrc : l'ait, I'eau, la vérité Je vous donnai excellence au-clessusdes
lumri'rc. lcs nourriturcs, ctc., mais aussi des mondes. > Parlant dc la personne cle Jésus-
curdc. nour unc rreillcure concluite de vic. et Christ, lc Coran (IV, r7r) cÎit :
trh cn pltrs <lc I'instinct et la raison innés chez
l J r r t r r r r r r c (. - ' c s t a i n s i c l u e D i c u a e n v o y é c l e s O geys du Lh're, n'exa.qëreypas darc t'olre rel|qion,
tnc<(;t{cr{, choisis <l'cntrc les hommes eux- eî rc dites de I)iet rltrc /a uéritë. Le Christ '[)iet,
-ftisut,
mdnrcc, à cliffércntcs époc1ucs,rrour rrrêchcr ce fls de ÀIarie, n'est .fauais 11/ur uesla1er r/e
rl'r c\t lc bicn, p.-,.'r .léFèn,lrc'lcmâl er pour ,1a parole qu'I/ jetà rert )[arit, m i::sprit r{e Sa
cn\c:{ncr cc rluc tout hon.rmc raisrrnnablc pcut parl. CroycT.rlonc u l)iu et at .Îe.r nt.rt,tgcrs. Ill
ne dites
i(inrcttrc: ct non pas des choses arbitrairei ou .pas Trois. Ç'tjtt< ! ce sera neilleur porr
r r r i s r i . l c s .. \ p r è s l c i d i f f i c u l t é sd u d é b u t e t d e l a t,ogt. I)*:u ett un seul Diet. Rim d'attre. I/ aitrait
'r.rnsition, utt enfunt? Puretd à Lil ! A Lui ap/>tirtienttout
.lc' pcuple visé acccpte cc mcssage, ce qù est daas /e.ccieux et tont ce qni eii trr /a terre.
. r t o u t v a b i c n < l a n sc e g r o u p e d ' h o m m e s p e n -
,lant t'1uc.lque tcmps. l)ans les-générationspôsté- l:t qur//e .rrr1ffs,tn/r
gtrartlir qrc Dit'tr .t .
r:curcs, lcs aclclitionscornmencent peu à peu à
Peut-être_ce passage réponcl-il à la qucstion
l c t i q u r c r c e r c n s c i q n c m e n t p u rd ' o r i g i n e c l v i n e ;
qtri pourrait se présenterà I'esprit : à-savoir,
. : c r t S a b o t t t é s a n s h , ' r r n c , - D j rer c n v o i c d c n o u -
si lcs ancicns prophètes, sont à suivrc, quelle
. ( au un n-lcssâ.gcrp()rrr rcn{)uvelcr Ia vérité
est clonc la raison ci'ôtre cl'un nouveau piopnet",
trcrncllc ct nour ruiclcr lcs hommes clans le
en la personne de Muhammad ? Noui volons
.lroit cl.rcrlin. Le (-oran s'aclrcsscà Muharnmad
clue I'Islam reconnaît toutes les vertus appârte-
lans un passagc-(Xi\Xv, z4) à cc propos :
. ( )tri, par la Vériti' Norrs t'avons crivoyé nant à_Moîse, à Jésus, aux Juifs et aux âtres,
f-()nrrc iurnoncl:ltcrrr ct âvcrtisseur, tantti.rqi'i/ rnais il nous fait rcmonter à-la source, à ce qui
t't ,r f21ç r/1 ro,ttiltttt,tn/ri ot't ttil (il)t,r/i.c.çctri,ai/
c s t v r a i m e n t c l ' o r i g i n c :d i v i n e , c t n o u s s o u s t r à i t
()tt ttttorc (XVl, l i c c q u i c s t h r - r n r a i nc t f n t r x . l \ l t r l r r . r r r n r l r sl r
/ t : r . r r tu. 1f,): " llt tri.sr.crtni. c r r t t s i t l i . r cc:t : . i ct k c l a r ( . t . t r ) r )l ) i l s c ( ) l n t ) l c/ c y t r , t
n c r l ' l ( . r 1N1o r r s r v o n s s t r s c i t Ér l a r r s c l r a q r r c c ( ) û r n t u -
nÀutc un lrlrètc, /.a mcssagcr clc l)icu,-rnais seulemeût ,ot
.r1ressa.qer,pour ccci : Âclorez l)ieu, prophète, an d,es messagersde Dieu, qui a été
cr écartez le Rebéllc (Satan) ! > Le Coran a p^rlé
chargé par Dieu d'apprendre aux hommes de
tic différcnts
C"!r divers passages,
_p_ro1-.hètes- nouveau la vérité éternelle. la volonté divine.
nraisunc fois (XL, 78), il s'aclresse à Muhamriad Il y a une lettre que Muhammad eflvoi-a à peine
por-rrlui dire : < Ijt très certainementNous avons
trols ans âvant Sa mort aux souverains voisins,
cnvove. avant toi cles messagers.I1 en est de qui
tcls que l'empereur Héraclius, lc Néqus d'Abr-s-
\or:s t'avons fait récit- Il n'èst pas d'un messager
sinie et le grand-chef copte d'Éllrr nie. pour les
tlc venir avcc un siqne, sauf permission'âe
inviter à eribrasser la reiieion dà'là s'oùmission
Dictr... > -|c vcux r.ous référer^ encore à un
à Dieu, I'Islam. La chancel-ieriecle N{édjne s'était
f.1.qs:rqctlu Coran.(Vl, 83-9o), oir unc vinstaine
servie clu même cliché, puisque lc but était le
tlc prophèrcs bibliclrrcs ont été cités par' leurs
même et que les trois souvérains étaienr tous
nonrs, tcls 11r.re Noé, r\braham, IsmaèI, fsaac,
chrétiens ; àe plus, on _les envova ie même jour
Tacolr,Àfoïsc ; on lit même dans cette liste ]ei
aux trois destinataires. I-e contenu est révéla-
nonis rlc. _fean-Baptistc et Jésus-Christi puis
teur de l'esprit qui animait Muhamn-rad. Voici
i.,)rlrsuit ic Coran : < C'est à eux que No.rs comment ces lettfes comrnenccnt :
a\-()nsapp()rti' ic l,ivrc et la saqesseei la fonc-
tion cltr prophètc. - Si ces autrès-là n'y croient Or je l'appe//e dc tortt /'appe/ rle /'lsltut :
l.âs, c'est ccrtainemcnt que Nous conhons ces enhrasle /'Isiiu et tr seras.raaf.'Enbratse l'Islant
clroscsà clcs qcns qui n'en sont Das mécréants. ct Dieu te disfensero tlouble niérite. l,Iafu si tu te
-- Voilà ccux que-l)icu a guidés : suis donc
{r', Iluhamrrracl) leur guidée i'r, Muhanrmad est /y'o!es, le crinie de ton petple f...) retonbera rur tui.
'. (Puis la lettre cite ce qui esCle-verset III, 64 du
c(,mrnân(l clc suivrC lcs révélations divincs Coran) : Et aou.r,ô .qensda Lit,re, r,ene<-enà ln dire
i.rrtcsà ccs-anciens propl'rètes.Ilvidemment les clut tott clnllliln cntre uoil,r et t,otts : rlue nous n'ado-
riccisionsdes conciles_'et des synodes, p^r rions que Dieu, sans rien Lti atsocier, el que pdrni
^les
r:rcntplc, n'auront pas Ia même vajeur que nguslyl n'en prenne d'ailres pour seignears'etdeltors
narolesdc Jésusou-de l\{oisc. de Dieu. Puii, s'i/.r tountent le dos,-elt bien, dites :
Ilais, chose srlrprenante, I'Islam va encore Soleq ténoins qae, oui, c'est nou.ç qui ranmet les
plus loin.. Signalons-ce que le Coran (II, Sàunis (Mssuinans).
+l
et r zz), clit : < O enfants d'IsraëI, rappelez-vous
\lon bienfait clont Je vous aj comblé lorsqu'en . On dirait Ou" .'.r, la religion de base, l'essen-
tief et le minimum .rincr1uaion de la religion, sur

15
la base duquel toutes les religions monothéistes sonne que pour les biens. Lcs jeux de hasarcl
peuvent se < fédérer >. appauvrissent les 99 o/o pour enrichir un seul, er
Si Muhammad conÇoit ainsi la tolérance reli- accentuent chaque iour <lavantage la disparité
gieuse, il - est impitoyable conrre les préiugés de la distribution dé Ia richcsse àationale ôarmi
stupicles <lc racc, de coulcur cntre lcs peuples. les membres cle la nati()n, s()Lrrceperpétueile de
D'après I'cnsciunemcnt cle Muhammacl, ious les n r i s i ' r ce t t l < 'c r l n l l i t ss ( ) ( ' i i u l \ .
hommes sont des clcscenclants dir mênre couple,
Muhatumar,n l c p o r . r v r r iP
t l t s r r o n p l r r s . r i r r r . . rl . r
Aclam et Ève, les différences de langues et dé
promiscuité, et i[ a imposci c]es rcstrictions eu\
couleurs de peau n'étanr que la maniféstation de
rencontres entre les pers()nncsde sexcs opposés.
la maîtrise du Créateur de I'univers, y compris
Mais cela n'en'rpêchà pas c1u'il amélic'tralè sort
l'homme, comme dit le Coran (XXX, zz).-Ce
de la femme, clui était tr,ujor-rrs un obiet cle
serait peut-êtrc trop long ici cle m'étendre sur
mépris chez les ancicr.rsclLri sont llltrs jrrsrlr-r':i
les moyens clue Muhammacl employa pour chasser
nicr I'existcncc cl'urrc inre clrcz c'llc. ( I'cst
cle tcls préjugés, et I'on reconnaîi volonticrs
M l t h a t n i r r a crl l u i a c l i t : < l . r : r r r r . i l l t ' r rl r) l u ' n l t\ ' ( ) u s
qu'ils sont allscnts chez les aclhérentscle I'Islarn
e s t c c l r - t ir l u i t r a r t e s a l c n r r r e l e r r r i . ' r r r ." ( I ' c s t
de tluclquepa)s quc ce sciit.
lui encore clui esf l'lirrtcLll tlc: I'i.nrotir';rntc
phrasc : < N{ême lc' Paradis se trouvc sor-rsles
p i c r l s t l c v o s n r è r c s . > I l r r c s c c ( ) n t c n r ep a s < l c s
RÉFORMES SOCI$LES p a r c r l e s: i I l c g i | t r a p o u r t l r , n n c r i i l a f c r r r r r r cr : c
dont eile avait besoin. IJn Isiam, on nc pcut pas
Après ces problèmes internationaux, padc.rns léguer par .testament ses biens en prir-ant ses
aussi un peu de ses réformes sociales.'Le Pro- proches parerts. Parn.riler; héritiets obliqrttoircs,
phète s'était aperçu qu'aider les pauvres par le nous relevons les épouscs, lcs nri,rcs, lcs tiilcs
moyen d'aumônes n'était pas unè solutioà elfi- et, dafls certains cas, aussi ir;s sceurs et les f;rnres
cace ou raisonnable du problème éternel. Il du défunt. D'après la légisiation coraniquc, la
voulait sauver l'amour-prôprc même chez le femme ne vit pas sous la tutellc de personne
plus pauvre. Il n'interdif pai ia charité, mais il quant à sa propriété ou à sa personne.
interdit de mendier, disant que c'était une chose
abominable. Le Coran contiênt des ordres orécis E-n ce qui concerne la propriétc, elle nc clc,pcnti
sur les dispositions budgétaires du gouverne- ni de son père, ni de son mari, ni de son fils,
ment.islamiclue;er nous y lisons (IXl 6o) que frère ou autre parent, pour disposer de ce
c'cst lc dcvoir de I'Fltat tl'imnoser une taxc sur c-1r,r'clle- possècle_, r.ruhéritc ou gaJ{nc: cllc clisposc
I t t l \ l u : , t r l r r r r r rl ')toss, s t l t l : r r1r 'tr l t i<s 1 r r lcc r r r i r r i r r r t r r r r r l c s t { : r r r t r r l rccl l c - n t ô r n c t, ( ) u f c ( ) l " n n r it r' n h o r n r n c .
vitrrl, ct ilc vcnir ainsi cn ilrlc tux-faqarl' (pauvrcs l , c t r t a r i a g cn ' e r r l ù v cl ) ( ) i r ' rcl c ( l r ( , i l : v i , : r r . i r
parrri lcs N.{usulmanstlLr pays) et aux')tastileîn t l c s t > n n r a r i , c l l c c s t u n c l r c r s ( ) n f - !ac b : solrrrr,cnt
(rauvrcs parmi les non-Musulmans). I,.n efièt, étrangèrc clrrant ri scs bicrrs.
c'cst non sculernent Ibn 'Abbâs, rnais aussi lé
'LJmar, l i n c e c 1 r . rci o l . r c e l r r cl l t 1 t c r s ( ) r r n c , , . ' l lr, l-(.) ' i i l ( '
grand calife parmi les compagnons ^cei du
Prophète, clui t>nt éxpliqLréainsi son consen_tement por-rrIe nruri..rrgc ri titrr-.tl'cg-:rlit.-,
rermes
coraniclues, dans la liste cles bénéficiaires des a v c c s o n f i a n c é . L e r i r a r r a g ce s t u n c ( ) n t r : i t a r l
dépcnses r'le l'Etat. I s l a m , d o n c s u s c c p t i b l cr l c c ( ) n ( l i t . i ( ) n(s. ( , n ) r : r i l c s
p a r l c s c l c u x p a r t i l s a u c ( ) n t r a t .( - t : l a a 1 ; , r l i tei ' r - r n
Le Coran va encore ph_rsloin, pour détruire seul coup la poli'gamic ' l . a - t i e n c é cparmi ccux clui nc li
les sources mêmes de Ià pauvrcié'artificielle et veulcnt plus : i - r c u tr c c l r r n r c r(ll L r e\ ( ) n
ér'itable, Il inrerdit fonnèllement I'intérêt sur nrari restera mono{rânrc 1'rç11111111 la .lr-ir...,.ie
l'argent prêté ; il interclit également les boissons leur mariage; la liancc<cpeut rciuser r-lcclr:',rnir
a,lcoolique.s ct
.lcs icux .le hasar.l, que ce soicnt la co-épouse d'un pulyuànre. Si la fenrrr-rcr..llc-
d r n s l e s l o t e n c s o L t a u x c o u r s c s h i p p i qu e s o u m ê m e r e n o n c e à s o n c l r o i t r l u c v o i c i , l a i el i r -
âutres. Combien de. nos tbyers se?âieÀt plus l a t i o n n ' a p a s l r c s , r i r r , l ' i r r r p i , : cLrl l ) ur . r , n . l L . i r , :
heureux auiriurd'hui si ces' deux sortes de c o n j u g a l t ' t ; r r i p c t r t t l : r r r sc t . r i , r i n sc ; l s ) c r r ( . n r a n r . . .
dépenses quotidiennes étaienr éliminées de leurs préju<liciable aux intérôrs s{)ciaux. l{apnc1,rn-ç
l:uclgets familiaux ! Probablement l,Islam est la q u ' r t i l t : , i l trt c( l i g i o n a v x n t I ' l s l e m n l i , r t . i . i r r l e
seule religion qui ait interdit I'alcool. A part ses polygamic, - ménrc pas lcs Ér'arrgile:s- et
eRèts sur _la santé, la morale et l'éconômie, il l'Islarn est même lc jrrcnrier à in\iroscr LrrlLl
faL't signaler aussi
_les conséquences quelquefois limite au nombre n'virirn,.rnr clcs è.,-ér',r,,.c,.
clésastreuses,lors de l'ivresse^,t"nt pôot la per- léqales.

16
L'ESCLAVAGE
I

l, o3;,':,,ilï,:":
lï:î.::hi.?îq+_î..:F;
à^raroi
#lt#:" f;î:',;^3ut utesclave
.nuo*.i;11-'
rt#in',|'
i, 1"?rrtiq
I et se
ennemi,.quise
conveni,,'
aËii.r,i

:i::
.rff:r;l'',,,
I rrrii;#iîî:n6g:;î1. ffi.n"llË;.^"î:1fiffil:
l:",5m,ni,+;
-iiË' mi,f,io::'-**''.,,
lg*,***ftiî;ffi li"*niF*1p,r,r;l
s
ntl?ru' Tïk *
n^ffif1i,ij',1,
î:iiîïE,.'if:,':,,ffip::
*i,iit'
q., tn;,,i
l,r,1i:ffifr CONCLUSIONS
qcnahrdesde
I'Inde.
i

';iry".j,J;J,:
i

II liiiË."n;i",1:;:
**;'1: ïrîiï;J
'Lï'i',;;;e"u'":ï"'
la < nationalité
",/tï,ru''
> basée
""""":ilfffiT:râ"::
l".'""'ai:"'::
r:r,i:1"1"' """
I Fi]ii;.1r,
ir"*-*lïl*il^.*"rÏS
T'ii,"i,'i
verset
suivant
p.;;-;é,"i."i:,i oïili Jfk'â :'jU:ii:fll d' c-tit' '"
t-o-Tgg îuÂiffi

Ii iÏ' Ëiii'
r;'*;:,,':i:'r;ffi
II ;iih; il:;#:iï
*ïi:i-îil,'rr.',^;rr^ ,:.'ijrj"'!,ï!i,,ï;,:;::;::,i,iii,iioi,i,,;,,,,)::i,
IIiii:ff:{;1ru**,nT*ï";::i"Ëi:î3.tî e! t?bttr, poar qae

!,ri!;!y;*: rsiji i i:i' ijiï!i'î{:i,3r


;
ur

I*,l::*
,.:i:ï...**,:îqd:ïî,;slfîl't:;'
-uù_,,rtr'rrorrnees, -^]-'égiltté
.rurrrru
r"!JJ'{T^K';: K::'^;,
une règle établie p"i
Ie
races,maisIa supériorirr,
;"i;,,,ï1,'^,I.des
voilà ce q;ù;"Ë;:"ï"t["'â1'"'o"elle lou
pieux,
I
I
II
I

17

Вам также может понравиться