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A propos Aujourd'hui la plupart des providers (free, alice, wanadoo..) fournissent dans leur offres un modem wifi (livebox,
freebox, neufbox, aol-box..)
Malheureusement la plupart (pour ne pas dire toutes) de ces box wifi appliquent le cryptage wep par défaut si on active
le sans fil m�me si le WPA tend à se démocratiser
Or il est reconnu que cette protection est dépassée, faible et facilement craquable.
Quelques minutes suffisent à craquer une clé wep 128 (capture de paquets + crack clé wep) et guère plus pour une
clef wep 256 surtout avec aircrack-ptw.
Mysql Tutorial
Now with partitioning Get new MySQL Enterprise
5.1 now
www.mysql.com
La chanson qui tourne en fond sur la vidéo semble vous perturber beaucoup tant je reçoit de mail de
personnes qui n'en dorment plus ;), il s'agit de moskau
Le piratage est un fait grave et ce tutorial n'est en aucun cas destiné à cette utilisation, il est simplement là pour vous
sensibiliser à la sécurité de votre réseau.
Je le rappelle pour les boulets qui veulent à tout pris hacker leurs voisins:
Vous devez avoir une autorisation du proprio pour pénétrer, utiliser son reseau.
Sinon vous encourez de fortes peines de prison et amendes.
Rappelez vous de quels noms vous traitez le créateur du dernier virus qui se pointe sur votre ordi et dites vous
bien que vous ne vallez pas mieux si vous n'avez pas assez de moralité pour suivre des règles simples de civilité.
Sommaire: Annexes
Aircrack-ng:
Pour tester la sécurité de votre réseau wifi, nous avons besoin de la suite aircrack-ng anciennement aircrack.
Par abus de language, on utilisera parfois la dénomination aircrack m�me pour aircrack-ng et ses composants.
Cette suite fonctionne sous windows et linux mais certaines fonctionnalités quasi indispensables sont impossibles sous Windows
(l'injection de paquets par exemple) c'est pourquoi nous utiliserons une suite linux live (pas d'installation et aucunes connaissances
requises): Backtrack, une distribution spécialisée dans les tests d'intrusion.
Il existe biensur d'autre distributions comme whax ou encore troppix (toutes ces distrib sont particulièrement adaptées au cracking
wep mais une ubuntu ou autre fera très bien l'affaire)
Par contre, toutes les cartes wifi ne sont pas supportées, en gros cela dépend de leur chipset, voici une liste non
exhaustive des cartes et de leurs possibilités:
Liste de cartes wifi compatibles mode monitor + aircrack-ng
Pour des raisons de confidentialité tous les noms des réseaux (ESSID) ont été masqué mis à part celui dont on s'occupe.
Les adresses mac (BSSID) ont-elles aussi été censurées partiellement, j'ai laissé affiché que la première partie des adresses mac qui
correspond au constructeur du matériel. (liste des adresse mac qui donne le constructeur)
Prelude
La suite aircrack-ng comprend plusieurs programmes dont les 3 principaux sont
* airodump-ng, le logiciel de capture de paquets, c'est lui qui scan les réseaux et conserve les paquets qui serviront à décrypter la
clef.
* aireplay-ng, un logiciel dont la principale fonction est l'envois de paquets dans le but de stimuler le reseau et capturer plus de
paquets.
* aircrack-ng, le logiciel de crack de clef, c'est un logiciel qui à partir des informations capturées à l'aide d'airodump va nous donner la
clef (si biensur on en a un nombre suffisant).
Pour de meilleure chances de réussite, il est recommandé d'avoir un ordinateur connecté en wifi sur le point d'acces cible
et qu'il généère du traffic (téléchargements ...).
M�me s'il existe des methode d'injections de paquets sans stations, elles sont d'une part plus complexes mais
possèdent aussi un plus faible pourcentage de réussite nous detaillerons donc plus precisement la methode avec station
car plus fiable.
1:// Backtrack :
Bon on rentre un peu dans le vif du sujet maintenant :
Procurez vous backtrack (prenez la dernière version, actuellement backtrack 2 finale)
Gravez la distrib sur une belle galette mettez la de coté 2 secondes. En parallèle, je vous conseille de créer une partition FAT32 de 2
ou 3 giga.
L'avantage du FAT32 c'est qu'il est lisible par windows et linux.
Cette partition va en fait servir à stocker les paquets capturés et les différents fichiers nécessaires pour le crack de la clé wep.
Cette partition n'est pas indispensable mais recommandée si vous ne disposez que de peu de RAM (128 ou moins) car la distrib
backtrack est un live cd donc les fichiers de capture sont stockés dans la ram.
Le fait d'avoir une partition fat32 vous permet aussi d'arrêter le pc et de redémarrer sans perdre tous les paquets déjà capturés par
airodump-ng !!! (il y a aussi les clef usb ;) )
Par contre votre partition ne portera pas le même nom sous linux que sous Windows, mettez donc un fichier
particulier dedans pour pouvoir la reconnaître.
Apres avoir booté sur backtrack vous tombez sur un écran de login.
Le login est root, le mot de passe est toor et pour lancer le mode graphique tapez startx (il faut taper sqrtx car le clavier est
anglais
Vous tombez ensuite sur cet écran : (clic pour agrandir)
l'interface est KDE donc pour ouvrir c'est simple clic partout, suffit juste de s'y habituer ;)
Ici on voit que la carte est correctement reconnue et que le mode monitor est directement activé. Le mode monitor permet de capter
tous les paquets qui transitent même ceux qui ne vous sont pas adressés. (aussi appelé mode promiscuous)
Si vous avez une carte à chipset atheros la gestion est très légerement différente, en effet avec une unique carte, vous pouvez en
créer plusieures dites virtuelles. Elles ont toute le m�me père noté wifi0
Lorsque vous passer votre carte en mode monitor, vous utilisez le père: airmon-ng start wlan0.
Il va ensuite vous créer une interface athX (X allant de 0 à 4) et vous afficher qu'il la passe en mode monitor. A partir de ce moment la
vous utiliserez cette interface (athX) pour toutes les commandes suivantes.
Ici ath1:
Si vous avez une carte wifi à chipset ralink (comme dans ce tuto) il se peut que vous ayez à démarrer au préalable votre interface
avec la commande:
ifconfig rausb0 up
C'est une zéro, pas un Ho majuscule.
Si vous utilisez déjà une autre distribution linux ou si vous souhaitez installez la dernière version de la suite aircrack
pour bénéficier des nouvelles fonctionnalitées (dont aircrack-ptw) reportez vous à la partie 4BIS du tuto.
2:// Airodump :
Maintenant nous allons commencer à scanner les réseaux wifi avec airodump qui fait partie de la suite aircrack-ng :
Les paramètres sont:
l "--write tuto" --write indique que l'on souhaite enregistrer la capture, il est suivis du nom du fichier dans lequel on enregistre
justement.
l "--channell XX" Indique sur quel channel on scan
Pour choisir de scanner tous les canaux ne precisez pas "--channel XX" et le scan se fera sur tous les channel, 1 par 1.
Voir la documentation airodump-ng pour plus de details
Si vous avez choisi de d'utiliser une partition FAT32, vous devez vous placer dans cette partition avec la console afin d'y enregistrer
vos fichiers de capture et autres. (mini tuto navigation sous linux)
Une fois lancé airodump vous obtenez ceci:
Je suis en résidence étudiante donc y a pas mal de monde :D.
La colonne BSSID correspond à l'adresse mac des points d'accès (AP)
La colonne ESSID correspond au nom du réseau (monRezoWifi, Wanadoo-XXXX, WiFI-freebox.)
La colonne power donne une indication de la puissance de reception, cette information peut foirer (-1) cela n'influ en rien la puissance
de reception réelle , une bonne indication est la vitesse de défilement des beacons
La première partie correspond aux points d'accès et la seconde partie aux stations (en gros les ordinateurs qui se connectent aux AP).
La colonne qui nous intéresse est la colonne des IVs, la colonne #data, c'est ces "bouts de fichiers" qui vont nous permettre de
cracker notre clef wep aucun rapport avec la colonne beacons completement inutile pour le crack.
Pour arrêter la capture et pouvoir entrer des commandes faites Ctrl+C.
Vous êtes également obligés de stopper la capture si vous souhaitez copier une adresse mac car l'écran se rafraichi.
Pour plus de détails sur airodump tapez uniquement « airodump-ng » dans la console et l'aide apparaîtra (idem pour aircrack et
airplay et toutes les commandes linux) ou consultez la documentation airodump-ng.
Une fois que l'on a des stations dont une qui est connecté à l'AP qui nous intéresse on doit voir les #data augmenter s'il y a du traffic et
airodump nous indique dans la colonne ENC le cryptage utilisé (WEP, WPA, OPN).
Certains point d'acces (livebox ...) possède un mode dit d'association, en clair un filtrage sur les adresses mac (collonne STATION).
Il peut donc �tre necessaire de connaitre une adresse mac d'un ordinateur (station) déja accepté par le point d'accès car toutes les
autres sont automatiquement rejetées.
Pour aireplay, le programme qui va envoyer des paquets, on a justement besoin de cette adresse mac, en fait on se fait passer pour
l'ordinateur qui a le droit d'accès à l'AP en spoofant son adresse mac pour pouvoir par exemple injecter des paquets ensuite.
Maintenant que l'on sait que le cryptage est WEP, qu'une station est présente et qu'il y a du trafic (quelques data en peu de temps), on
va lancer aireplay, un injecteur de paquets pour accélérer le trafic et surtout stimuler les IVs
Il faut savoir que pour cracker la clef wep d'un réseau wifi, il est préférable qu'il y ai un minimum de trafic. Par expérience la capture
de IVs est beaucoup plus rapide, et de plus ils sont plus diversifiés car le crackage de la clef wep nécessite moins de IVs.
3:// Aireplay :
3.1:// Fake authentication
Pour lancer aireplay, ouvrez une nouvelle console, la première servira pour airodump-ng (laissez tourner airodump).
On va en premier lieu tester l'association avec le point d'acces avec une attaque "-1" dite de fake authentication.
La synthaxe est la suivante:
Les paramètres sont:
l "-1 0" -1 indique une fake authentication et 0 indique le temps a laisser entre 2 tentatives (ici nul).
l "-e ESSID" ici il faut remplacer ESSID par le nom du reseau colonne ESSID.
l "-a adresse-mac-de-l'AP" colonne BSSID.
l "-h adresse-mac-de-la-station" colonne STATION.
l "interface" a remplacer par le nom de votre interface (rausb0, ath1 ...)
Cette étape n'est pas indispensable, elle peut servir à tester si le point d'acces possède un filtrage d'addresse mac, mais le protocole
n'est pas super fiable, il arrive que m�me avec une bonne adresse mac on obtienne une erreure ou pas de reponse.
Certain AP n'ont pas de filtrage d'adresse mac et vous pouvez en mettre une au hasard.
Il se peut que si vous ne captiez pas très bien le signal (si le power est bas) que l'authentification succesful et l'association ne soient
pas instantanées :
Et là l'exemple est court mais vous pouvez facilement en avoir 40 lignes .
Voici un petit schéma qui vous montre les relations entre les paramètres d'aireplay et la capture de airodump :
3.2:// Injection de paquets :
L'injection de paquets est la clef pour réussir un crack wep rapidemment. En effet il est necessaire de capturer beaucoup de Ivs pour
trouver la clef wep (conseillé 1 000 000 pour une 128 les plus courantes) donc si on ne veut pas y passer la semaine il faut mieu
stimuler le reseaux.
On utilise aireplay là encore pour injecter des paquets. On modifie et on ajoute simplement quelques paramètres.
On peut ajouter le paramètre "-x XXX" ou XXX représente la vitesse d'injection. Par defaut 600 paquets/s.
Il est conseillé d'augmenter ou de diminuer cette valeure en fonction de la qualité et de la puissance du signal de l'AP.
Dans certains cas, si vous injecter trop vite, vous pouvez faire planter l'AP aussi !
Pour airodump, les IVs sont importants mais notez que pour aireplay lors d'une attaque par réinjection, les ARP le sont
tout autant, se sont eux qui vont vous permettre d'augmenter la production de IVs.
Aireplay vous sauvegarde donc les arp capturés dans un fichier qu'il créé à chaque fois qu'il est lancé.
Ce fichier se trouve dans le répertoire à partir duquel vous avez lancé airplay.
On peut réutilisez les anciens ARP en ajoutant le paramètre "-r" suivi du nom de fichier cité précedemment ou le fichier de capture
(celui de airodump).
Ce paramètre indique dans quel fichier lire pour voir s'il contient des ARP. Ce sont ces arp justement qui vont nous permettre
d'influencer le trafic en les réinjectant.
N'oubliez pas de vous placer dans le même répertoire.
Pour vous éviter de tout taper, vu que la syntaxe est quasiment identique qu'avec le paramètre -1 appuyé sur la flèche
haute pour retrouver ce que vous aviez entré précédemment.
Les arp sont obtenus en lisant le fichier indiqué et/ou en écoutant le réseau comme le fait airodump.
Et c'est la cas ils augmentent, regardez la colonne IVS/s qui indique le nombre de Ivs par seconde:
Si l'injection se déroule bien, les Ivs augmentent mais les ARP capturés dans aireplay également: (image issue d'un autre crack)
Si vous ne parvenez pas à capturer un ARP, une bonne manière d'un générer un est de déconnecter puis reconnecter la station ou à
partir de la station de pinguer une adresse du reseau non atribuée.
On peut forcer une station à se déconnecter avec aireplay et une attaque de des-authentification (ne fonctionne pas toujours) lien
Comme je disais tout à l'heure il existe d'autres attaques pour générer des Ivs et qui ne necessitent pas forcement la presence d'une
station.
Notamment les attaques chopchop et par fragmentation
4:// Aircrack :
Sachant qu'il faut environ 300 000 IVs pour cracker une clef wep 64bits
Et environ 1 000 000 pour une clef wep 128 ça va assez vite :D.
Il est donc conseillé de lancer une première fois aircrack des que l'on a 300k paquets si on suppose que la clef peut être
de 64 bits.(beaucoup plus courant que l'on ne le croit ...)
aircrack-ng -x fichier_capture
Le paramètre -x permet de ne pas bruteforcer les 2 derniers bits. (ça accélère le crack en principe)
Ensuite le dernier paramètre est le nom du fichier de capture de airodump.
Vous pouvez également utiliser la syntaxe « *.cap » et « *.ivs » pour ouvrir tous les fichiers .cap et .ivs.
Ce qui donnerais :
« aircrack-ng -x *.cap *.ivs »
La, il vous suffit de laisser tourner et la clef wep devrait apparaître d'elle même si le crack fonctionne.
En gros ça fonctionne statistiquement par rapport aux IVs et par un systeme de vote, plus un bit a de vote par rapport au autres bit du
meme rang, plus il a de chances d'etre le bon.
Et après un petit temps d'attente:
Si jamais cela ne fonctionnait pas, augmentez le fudge factor de aircrack en rajoutant un paramètre « -f chiffre en 2 et 10 »
Exemple :
« aircrack-ng -x -0 *.cap *.IVs -f 4 »
Par défaut le fudge factor est à 2.
Aircrack utilise 17 type d'attaques statistiques crées par Korek.
Vous pouvez choisir de désactiver l'une d'entre elles les une apres les autres si jamais vous avez bcp de IVs mais que le crackage
foire (je vous conseil plutot de repartir de 0 ;) )
Exemple :
« aircrack-ng -x -0 *.cap *.IVs -k 4 »
« aircrack-ng -x -0 *.cap *.IVs -k 12 » ...
Si jamais vous avez + de 3M de IVs que vous avez capturé alors qu'il y avait du trafic (bcp) et que l'attaque foire il peut y
avoir plusieurs raisons :
-Le réseau a changé de clef mais bon ça vous devriez le savoir puisque vous en êtes le proprio
-Le fichier de capture est corrompu
-Z'avez trop pas de chance :s
...
Or depuis peu, un nouvel algorithme de crack a vu le jour et il est REDOUTABLE, on peut cracker des clef wep avec 40 000Ivs (au lieu
de 1 000 000 !), il s'agit d'aircrack-ptw dont les fonctionnalités sont implentées dans les dernière version d'aircrack-ng
Pour installer justement la dernière version sur backtrack, il faut soit la télécharher à partir de backtrack, soit la placer sur une clef
usb au préalable. Pour la télécharger, utilisez la synthaxe "wget URL".
Les clefs usb sont montées automatiquement sous backtrack qui vous ouvre une fen�tre vous demandant de parcourir votre clef.
Copiez le fichier .tar.gz d'aircrack sur le bureau puis ouvrez une console.
On va maintenant l'installer. Pour ce faire, on dois d'abord se placer sur le bureau(cd Desktop/) puis décompresser l'archive (tar zxvf
aircrack-ng-0.9.tar.gz) puis se placer dans le dossier decompressé (cd aircrack-ng-0.9/) et enfin, on compile et on instale ("make"
puis "make install")
aircrack-ng -z *.cap
Par contre aicrack-ptw utilise uniquement les fichiers de capture .cap et non .ivs, et il n'utilise pas tous les .ivs
Ce topic sur aircrack-ptw contient un peu plus d'info et des exemples de crack ;)
5://Configuration de la connection :
Bon maintenant c'est bien beau vous avez la clé wep, vous la connaissiez surement en ascii, ici, vous l'avez en hexa.
Ne confondez pas les 0 (zéros )avec des o (HO) majuscules car le codage est hexadécimal, les seules possibilités
sont zéro à 9 et A à F.
Bon maintenant on a la clef wep, il ne nous manque plus que le plan d'adressage du réseau. Cependant, il est bien souvent inutile
car la quasi-totalité des réseaux utilisent dhcp, c'est-à-dire ip automatique : vous vous connectez à l'accès point et il vous attribut une
ip.
Vous pouvez donc tenter de vous connecter avec windows (attention sous windows, il faut enlever les « : » entre les parties de la clef et
si il y a un filtrage d'adresse mac : Changer son adresse mac sous windows ) ou alors avec backtrack qui intègre un module de
connection wifi.
Les commandes du mode console sont :
Tout les paramètre de votre configu wireless s'affichent en tapant :
iwconfig ath0
Passage en mode managed :
« iwconfig ath0 mode managed »
Configuration de la clef wep :
« iwconfig ath0 key xx :xx :xx :xx :xx :xx »
Vous pouvez parfaitement combiner les paramètres :
« iwconfig ath0 mode managed key xx :xx :xx :xx :xx :xx »
Et si vous souhaiter repasser en mode monitor pour la capture de paquets il vous suffit de mettre : « iwconfig ath0 mode monitor »
Si l'AP applique un filtrage d'adresse mac changez votre adresse mac et remplacez la par celle d'une station qui s'est
connectée a l'AP :
Ensuite pour ouvrir l'assistant, allez dans le menu démarrer puis choisissez « Internet/wireless assistant » et configurez pépère votre
réseau. (si dhcp ne fonctionne pas essayer sous windows ou voir plus bas pour trouver l'adressage du réseau)
Le module vous dira si la connection est réussie ou non.
Et vous pouvez toujours tester par une commande de type :
« ping www.google.fr »
Pour se faire vous devez en premier éteindre le périphérique wifi :
ifconfig ath0 down
Puis pour changer l'adresse mac :
« ifconfig ath0 hw ether xx :xx :xx :xx :xx :xx » (remplacer xx :xx. par l'adresse mac de la station : son bssid)
Dernière étape : activation de dhcp :
« dhcp ath0 »
Si vous avez le retour de console c'est que c'est réussi pour dhcp (si dhcp ne fonctionne pas essayer sous windows ou voir plus bas
pour trouver l'adressage du réseau)
Ensuite faite un « ping www.google.fr » pour vérifier que tout fonctionne.
Lancez le choisissez l'interface reseau dont vous voulez changer l'adresse physique puis entrez l'adresse mac de remplacement :D Et
voila ;)
Si le réseau ne possède pas de dhcp ou si le dhcp est désactivé vous devez trouver le plan d'adressage du réseau.
Dans la plupart des cas il s'agit de
192.168.1.xxx avec le point d'accès 192.168.1.1 et le masque de sous réseau 255.255.255.0
Cependant il existe un moyen simple rapide et sur de connaître l'ip du point d'accès grâce à wireshark un sniffeur de réseau.
Vous devez obligatoirement posséder la clef wep pour trouver l'ip
Configurer wireshark pour qu'il décrypte les paquet avec la clef wep que vous venez juste de trouver (sinon vous n'aurez pas les ip) :
Faites : « Edit/préférences/protocols/IEEE 802.11 » (pour ouvrir protocols cliquez sur le petit triangle ensuite appuyez sur
la touche i pour tomber directement sur IEEE 802.11)
Et configurez la clef wep :
Cochez bien « Assume packets have FCS »
Confirmez avec ok puis commencez la capture :
Faites « capture/options »
Choisissez l'interface (ath0)
Cochez la case (capture paquets in promiscuous mode)
Cochez la case enable network name résolution
Cliquez sur capture et la capture commence :D.
Vous allez vous retrouvez avec un sacré paquets de paquets :P :
Pour n'afficher que ceux qui vous intéressent appliquez un filtre dans la case filter.
En fait vous choisissez de voir que les paquets transportés par protocole TCP et dont le bssid est celui indiqué :
Et là : Bingo, on trouve l'ip.
Si vous laissez tourner un peu on peu même avoir d'autres information et confirmer l'ip :
Et voila le boulot est terminé, vous avez l'adressage du réseau, l'adresse mac de la station, et la clef wep il vous reste plus
qu'a vous connecter sur votre reseaux (tout ca pr ça ;) ) et passer en WPA ;).
Annexes :
exemple d'un reseau OPN (non crypté) :
Pour les cartes à chipset Prism:
FAQ AIRCRACK en français Documentation aircrack
Fichiers :
l Tous les driver et tout les patch anciennement publiés pour aircrack, des patchs pour les drivers, des drivers recents.
l Les dll peek.dll peek.dll, peek5.sys et cygwin1.dll
l Winaircrack une interface graphique pour aircrack sous windows codé par hexanium : Winaircrack
l Utilitaire pour tout connaitre sur votre adaptateur wifi ou adaptateur reseau Wlandrv par Hexanium également ;) Wlandrv
l Drivers windows Xp supportant le WPA pour les chipset Prism 2 avec support du WPA
LIENS
Ce didacticiel a été réalisé en particulier grâce à la vidéo de Christophe Devine et surtout l'aide de aircrack. Ces sites m'ont
également aidé (en anglais) :
L'aide de aircrack::
http://www.cr0.net:8040/code/network/
Tutoriaux photoshop
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Déclaré à la cnil: Dossier n° 1142196
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