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DROIT SOCIAL INTERNATIONAL ET EUROPEEN

La semaine juridique
Partie I : la protection des droits sociaux
Partie II :
Qu’est-ce que le DSIE ?
Le droit social c’est le droit qui regroupe à la fois le droit du travail et de la protection social.
Pour rappel, le droit du traxail reglemente les relations entre l’employeurs et le salariés il
reglemente aussi la reglementation entre les partenaire sociaux.
De faire face a la survenance de certains évènement.
La protection social vise a assurer les individu contre la baisse des ressources financière et
les augmentations des dépenses.
Autres question, tiens au adjectif international et européen que ces adjectif suscite une
certaines crainte chez les étudiants. Il sont assez méconnue. Par ailleurs, le DI et DE remette
en cause l’idée selon laquel le droit est produit par les autorités national.
La première difficulté consiste a identifié les organisation I et E. parce que ça nous permet de
savoir d’où vient le droit. = elle sont nombreuse et se superpose et s’affronte mais il faut les
identifier.
De quelle manière le droit national intègre le droit européen.

Deux grandes catégorie d’Etats :


 Elle se rattache à la théorie du dualisme : le droit international et le droit national
sont distinct, d’où une dualité. La norme international n’aura un caractère
contraignant dans le droit national que si ces règles sont transposé.
 La théorie du Monisme : en vertu de cette théo le droit I s’applique de façon
immédiate dans l’ordre juridique N, il est nécéssaire mais suffisant que l’E est
ratifié la normes I. pour la France c’est le cas articles 55 de C° et la Roumanie il
s’agit de l’art 11 $ 2.
Cela Etant il existe plusieurs façon de produire des normes international d’où une
troisième difficulté. En effet plusieurs méthode de production peuvent être mise en
avant.
La première et celle ou la norme international sera élaboré dans le cadre d’orga I. De
ce pt de vue les NI prendrons la forme de convention, les EM de ces org dispose de la
faculté de ratifier ces conventions. Les E reste libre. Donc peuvent s’engager ou non.
C’est la raison pour laquelle un E peut s’engager, car c’est un engagement politique
et juridique.
Les normes I peuvent aussi naitre par la négociation direct entre E. Pour schématisé
on peut mettre en avant des accords bilatéraux, mais aussi des accords multilatéraux.
La quatrième difficulté, ressort d’un constat de profusion de multitude de normes, il
en résulte des conflits de normes. En d’autre terme lorsque la normes inter national
est contraire à la normes national la norme national sera écarté, au profit de l’autre.
Le contrôle de conventional génère un dernière difficulté, en effet la question qui se
pose « la norme I peut être invoqué devant les juridiction interne » pourquoi cette
question ce pose ?
En premier lieu la NI est contraignante pour l’E, c’est lui qui doit ce conformé au
contenue de la NI.
La réponse est positive mais elle est conditionné, pour qu’une NI peut être invoqué il
est nécessaire quelle est un effet direct.
Trois conditions a remplir pour l’effet direct :
 Elle doit être claire et précise :
 Elle doit être inconditionnel : elle ne doit pas nécéssité l’intervention de l’E pour
être mise en œuvre
 Doit créer un droit au bénéfice des particules : un doit subjectif , droit a la vie
privée, le droit de grève…
Du pt de vue de la méthode s’il y a un effet direct et procède au contrôle de
conventionnalité.

Ce droit a pour vocation d’assurer un proction du droit sociaux fondamentaux, c’est


laa vocation humaine. Mais le DSIE a pour mission d’organiser les relations
international du W.

Partie I : la protection des droit sociaux


fondamental
Le droit fondamental : la limite à ce terme est très compliqué, en vérité les
droits sont fondamentaux lorsqu’il sont qualifier comme tel par les textes
internationaux. Les droit eco et culturel cad de la deuxième génération. Plus que par
leurs contenue ces droit ce distingue sur leurs rôle tenu par l’E dans leurs mise en
œuvre. et dans l’absolue tandis que les droit civil et politique suppose l’abstention de
l’E les droits sociaux sont conçu comme des droits qui nécessite l’intervention de l’E.
et cette action de l’E permet d’assurer l’effectivité. Et parmit cela, on peut cité la
liberté syndical, le droit de grève, un travail descend… la protection des DSF est très
complete et existe a différent niveau, de façon global (mondial et européen)
Parmis ces antités en matière social les organisation les plus actifs sont l’ONU
et OIT (institution spécialisé de l’onu)
Section 1 : la protection assurée par L’ONU

Organisation fondé en 1945, elle reprend la place de la société des nations. Le fonctionnement de
l’ONU est organisé par la charte des NU, et parmi ces missions il cherche a assuré le maintiens de la
paie et la sécurité ds le monde et de la mm façon, elle dével la coopération International en
encouragent le respect des droits fondamentaux.
L’ONU dével des activités, comme l’activité normative en d’autre termes l’onu élabore des textes
international qui on une grandes porté. Et parmi ces textes on va se concentré sur la DDHC et les
pactes internationaux de 1966.

La déclaration universelle des droits de l’homme : elle a débuté en 1946 et rédigé par une
commission de 12 membres qui est présidé par Eleanor Roosevelt. Elle porte avant tous sur
les droit civil et politique, des lors on y rencontre l’affirmation de la liberté d’expression, mais
aussi de la liberté religieuse. Elle protège également des droits et liberté à caractère social qui
figure au article 22 et suivant de la DUDH. Ou encore le droit à un niveau de vie suffisant.
Quelle est donc la valeur juridique de la DUDH, est ce qu’elle à un caractère contraignant
pour les EM de L’ONU ?
On peut faire une distinction entre la France et la Roumanie, la JP de la France n’as pas de
force obligatoire pour l’E. il s’agit d’une simple déclaration elle à uniquement une portée
moral et symbolique = elle ne constitut pas une convention international, elle ne contraint
donc pas l’E et n’as pas d’effet direct. Pour la Roumanie, elle représente plus d’effet en effet
le droit Roumain donne une portée juridique plus importante à la DUDH. Celle-ci ce
rencontre dans le cadre de l’interprétation des disposition roumaine. Art 20$1 : les
dispositions constitutionnelles relatif au droit et au liberté des citoyens seront interprété et
appliqué en concordance avec le droit roumain.
Pk est-elle dépourvue de force contraignante ?
Le contenu est transcrit dans d’autres texte comme les deux pactes I de 1966. Ce qui constitu
de véritable convention internationale et la France en 1980 et la Roumanie en 1974 ont signé
et ratifié les pactes.
 Pour le premier pacte : il est relatif au droit civil et politique, on peut cité
notamment la liberté d’association, interdiction d’esclavage, égalité F/H.
 Celui-ci est relatif au droit social éc.o et culturel : il vise spécialement les droit
sociaux fondamentaux. On peut cité le droit de bénéficié de conditions de travail
juste et favorable, ce qui donnera naissance à une nouvelle notion « travail
décent », le droit de bénéficier du meilleur E de santé physique et mental possible.
Les deux pacte énonces les mm droit, il sont complémentaire mais autonome. Pour chacun
des pactes il existe un organe de surveillance, qui est chargé de façon global d’assurer le
respect de la mise en œuvre.
Section 2 : la protection assurée par l’OIT
L’entité la plus anciennes existant dans les RI, elle est créer en 1919 :
 Elle est créer par le traité de Versailles qui met fin à la 1er GM. Pour amené a une
situation de paix complete, et apparait pour la première fois une notion central
celle de la représentativité et permet de donné certain pouvoir au représentant
sociaux prof. En réalité l’oit était un organe de l’encêtre de l’ONU, qui reprend ces
missions.

Les différentes attributions de L’OIT : elle est doté de certaine compétences, qui sont
définie par la C° de L’OIT. Elle fixe les modalité de fonctionnement de l’OIT. La C°
de L4oit fait partie d’un ensemble bcp plus vaste, les normes international de l’OIT.

Paragraphe 1 : les modalités de fonctionnement de l’OIT


De façon global il mène un certains nombres d’activité et pour mené à bien cellc-ci il
est doté de différents organes qui sont :
- La Conf inter du W
- Le Conseil d’adm
- Le Bureau I W
Les deux premiers on une caractèrisque propres a l’oit. Le tripartisme, donc en plus
des représentant gouvernemetaux il y aura les représentant des travailleurs et des
employeurs.
La conférence international du W, adopte le budget de L’OIT et détermine les
orientations général. Tous les trois ans la CIT procède à l’élection des membres de
l’administration.
La composition : regroupe les délégués de chaque EM de l’OIT. Et 185 Membres.
Conformément au tripartisme chaque E, pourra désigné 4 délégués, 2
gouvernementaux, 1 pour les employeurs et 1 pour les W.

Le Conseil d’administration , Il vas jouer le rôle de l’exécutif, il établit l’ordre du jour


de la Conférence international du travail. Il joue un rôle de supervisassions et
d’orientation de l’OIT.
La composition est conforme au principe du tripartisme, la moitié des membres ce
sont des représentants des gouvernementaux 28, des employeurs 14 et des travail 14.
Le Bureau international du travail : Il est composé d’un directeur général et de
fonctionnaire internationaux, le personnel est choisie et recruté par le directeur
général. Deux règles on été fixé pour le recrutement pour assurer une certaines mixité :
o Pour la diversité, il doit tenir compte de la nationalité
o La mixité, il doit respecter entre les fonctionnaires max/fem
Le DG est nommé pour un mandat de 5 par le conseil d’administration, sur les
missions, elles sont assez varié et de manière global le BIT joue le rôle d’une agence de
coopération technique : il assure la centralisation et la distribution de toutes les
information. La base de données qui s’appel NATNEX qui ressence toutes les législations
national de tous les E.
Il participe aussi à l’élaboration des normes de l’OIT. Et enfin, il assure la coopération
entre l’OIT et d’autres institutions. Comme avec le CE, ou L’UE….
La plus importantes des activités de l’OIT est la normative et elle à pour but d’élaborer
une législation international du travail. En effet il existe différentes catégorie de normes,
on à celle qu’on appel les normes C° et de l’Autre nous avons les normes produites par
l’OIT donc celle qui corresponde à son activité normative.
 Les Normes C° : se sont les normes fondamental, elle fixe le fonctionnement,
l’mission et les principes de l’OIT
o Elle énonce les lignes directrices de L’OIT elle exprime les valeurs qui
dirige L’OIT.
Selon l’OIT une paix universel et durable ne peut être fondé que sur la base de la justice
social. Il y a une urgence à améliorer les conditions de travail.
o La déclaration de Philadelphie de 1944, c’est une réaction au horreur de la
2GM, et elle réaffirme les principes fondamentaux de l’action de l’OIT. Le
travail n’est pas une marchandise. Parcequ’il constitut le prolongement
o La déclaration de genève de 1998, relative au principe et au droit
fondamentaux du droit du travail. Elle originel juridiquement, car tous les
EM de OIT s’engage de bonne foie à promouvoir et a réaliser Quatre
Principes essentiel.
 La liberté d’association : convention 87 et 98 sur la liber syndi
 Interdiction du travail forcé
 Interdiction de toutes les discriminations
 Interdiction du travail des enfants
a Priori on à affaire ici à une simple… en realité elle liee les E juridiquement et à une force
contraignante. En Effet techniquement à chaque principe corresponde deux conventions
élaboré par l’OIT, elle sont qualifié de fondamental. Or, la déclaration s’applique auto à tout
les EM de L’OIT. Donc par voie de conséquence les E sont tenus de respecté le contenue des
convention qui corresponde à chaque principe. Y compris si l’une ou l’autre n’as pas été
ratifier. Donc de façon indirecte, il permet de faire respecter le contenu de 8 convention
fondamental mm si elle non pas été ratifié par les E.
o La déclaration de 2008, sur la justice sociale pour une mondialisation
équitable. elle donne un certain nombre de précision sur l’adaptions des obj
de l’OIT au phénomène de la mondialisation. Il insiste sur la notion de
travail décent.

 L’OIT peut créer un certain nombres d’instrument international : Les conventions


et les recommandations, les règles de création pour chacune sont identique en
trois grandes étapes :
- La phase préparatoire : le CA inscrit une question a l’ordre du jour de la
Conférence international du W. En parallèle de cette inscription c’est le BIT qui
vas posé les base du projet, dans ce cadre le BIT vas préparer et analysé toute les
législation de toutes les pratiques de tous les EM.
- Les discussion et débat devant la CIT : qui vas formaliser le texte définitif
- La CIT vas voter le texte : pour être adopté le texte doit recueillir une majorité
qualifiée, 2/3 du suffrage.
L’adoption de ce texte ne suffit pas à le rendre obligatoire pour les E mais lorsque
c’est une convention, il sera nécessaire que chaque E procède à une ratification pour
l’intégrer dans sont ordre juridique interne.
En l’occurrence, les E ont à leurs charge une obligation de moyen et non de résultat. Il
sont tenu de déclencher leur procédure C° de ratification sans pour autant être obligé
de ratifier.
Quand est-il de la portée juridique de ces normes ?
- Les conventions : elles sont susceptibles d’être contraignante pour les E. on a 189
conv°, qui touche tout le domaine du droit social.
- Les recommandations : elles n’ont pas d’effet contraignant pour les E et elles ne
sont jamais soumise à la procédure de ratification. Elle constitut en réalité des
normes techniques, et des explications qui permette de compléter des conventions.
Donc par voie de conséquence, elle présente deux grands intérêts :
 En raison de leur caractère technique, elle permet de préparer le
terrain à un future ratification de convention.
 Elle joue un rôle complémentaire à celui des conventions ; les conv
énonce les principes, les recommandations précise les détails de
mise en œuvre.
L’Oit à mis en place des dispositifs de contrôle pour vérifier la bonne application des normes
édictées :
- La procédure de contrôle régulier
- Les procédures dites spéciales
Les procédures de contrôle régulier sont très basique, elle impose au E de rendre des rapport
periodique et il concerne des mesures prise à l’égard des conv° et de recommandations. En
schématisant, l’étude des rapport est réalisé par deux commissions, de l’expert et tripartite.
Tous ces rapports sont mis en ligne.
Pour certain auteurs ces rapports ont une portée assez faible, voir purement symbolique.
Pourtant il présente un intérêt indéniable en effet ils sont rendus public et c’est dans cela que
réside leurs forces. En effet il présente des moyens de pressions sur les E et effectivement les
E défaillant auront à cœur de mètrent en œuvre les mesures nécessaires. Ils sont extrêmement
importants pour détecter les failles d’un système juridique et pour anticipés les mouvements
dévolution du droit social.
….
Formellement parlant la procédure de nomination est identique pour la procédure de
réclamation
- La procédure spéciales sur la liberté syndical : elle est créé au des début des
années 50 et sera déclenché en cas de violation d’une convention relative à la
liberté syndicale. Cette procédure sera déclenché par les organisme prof,
d’’employeur ou de travailleurs.
Il entraine la saisine d’un commité, celui-ci met en œuvre des enquetes qui
aboutira à la rédaction de conclution et dans cette hypo si le commité conclu à la
violation, il pourrat présenté des négociation. En revanche dans le cadre de cette
procédure il existe aucun moyen de contrainte vis-a-vis de l’E déffaillant. Il sagit
d’un dialogue forcé. On peut relever que c’est la procédure qui compte le plus de
succès une centaine de déclenchement par an.
Cela permet de créer un saucle commun de droit des travailleurs au niveau mondial

Chapitre 2 : la protection des droit sociaux fondamentaux au niveau européen


A ce niveau il existe une distinction fondamental entre deux entités, qui s’affronte mais qui se
complète. On a ce qu’on appel communément l’ordre des droit de l’homme avec le conseil de
l’europe et de l’autre on à l’europe des marchands. On prend en considération la fidalité des
entités.
Section 1 : La protection mise en place par le conseil de l’europe
Le CE est institué en 1949, par le traité de Londres, il a un certains nombres d’objectif :

- Sauvegardé et promouvoir les idéaux démocratiques : évité les conflits armées


sur le territoire européen.
- Favoriser le progrès eco et social des EM : comment réalisé ces deux obj ? le CE
vas mener une activité normative intense, voir mm très intense, puisque a ce jour
le CE élabore plus de 200 convention international et ce dans tous les domaines du
droit. Comme en droit de la famille…. On doit au CE les premiere CI sur la
cybercriminalité et sur la bio. En matière social on peut mettre en avant une
15zaine de conventions. Parmi ces conventions l’une d’entre elle est consacré
entièrement à la SS, et une autres au statut juridique du travailleurs migrant. Et une
relative au jeune fille au paires.
En matière social on doit au CE deux textes efficaces :
- La Convention euro des droits de l’homme
- La charte social européenne
Paragraphe 1 : la CEDH

Elle est le 1er traité, élaboré par le CE, adopté en 1950, ratifié par la France en 1974 et par la Roumanie
en 1994. Ce texte est original, puisque le CE créer un organe juridictionnel chargé d’interprété et de
constater les violations a cette convention. La Cour EDH qui siège a Strasbourg, elle peut être saisi par
un E mais aussi par un particulier. Et cette notion est assez large puisqu’on vise les personnes
physique et moral. Il est suffisant de remplire deux conditions :
- Le particulier doit avoir épuisé les voies des recours interne
- Il devra la saisir dans un délais de 6 mois a compté de la décision définitif
La CEDH, elle garantit avant tous des droit civil et politique, elle n’intéresse pas en premier chef les
droit sociaux fondamentaux. Et pourtant cela existe dans le cadre de cette convention de deux façon :
- Il figure quand même des articles a connotation sociaux :
o L’interdiction de l’esclavage
o Art 11 : la liberté syndicale
- En appliquant les articles généraux dans le domaine social. Ex, il est assez courant que le
salarier invoque le respect de sa vie privé pour ce défendre.
A : application des articles sociaux
Art 4 : relatif à l’interdiction de l’esclavage et du travail forcé, et l’art 11 : relatif a la liberté syndicale.
Art 4, il faut retenir que cette disposition prévoit deux interdiction distinct. La premiere est absolue,
elle ne comporte aucune dérogation en revanche la deuxième est relative. L’esclavage, quest-ce que
l’esclavage, c’est le fait d’exercé sur un individu les attributs du droit de propriété, usus, frutus,
abusus, forcé de constater que dans la pensé commune le contentieux est réduit. Abolie en France en
1848. Cepdt résonner de cette façon reviendrais a niée l’émergence de certains phénomène et
effectivement de nouvelles formes d’esclavage sont apparu. Certains particuliers escploite la faiblesse
de certaine personne, jusqu’à les reduire à une forme d’esclavage, domestique et moderne. Arrêt rendu
le 26/07/05 par la Cour EDH, Siliadin, il été question d’une jeune fille qui fait un voyage et ce rend en
France et en travaillant en France elle vas remboursé les frais du voyage. Elle travail pour une famille
qui retient sont passeport et ne lui donne pas d’argent, elle a interdiction de tous. Lorsqu’elle
s’échappe elle engage les poursuite pénal, toute fois les infractions prévues par le Code Pénal sont
inapplicable et les employeurs ne subissent aucune condamnation. Elle saisi donc la Cour EDH, qui
constate la violation de l’art 4, la France est condamné tous simplement parce qu’il n’y avait pas
d’infraction concernant l’esclavage domestique. La France a tardé a réagir et elle à nouveau été
condamné en 2012. Il faudra attendre un an pour que la France intègre ces dispositions dans le code
pénal.
L’interdiction relative qui porte sur le travail forcé, elle est susceptible de dérogation. Le travail
forcé, évoque l’idée d’une contrainte, d’une menace physique ou morale qui vous force à travailler.
Dans l’art il y a 4 dérogations :
o Les réquisitions en période de crise ou de catastrophe naturel
o Le service militaire ou civil
o Pour les détenus, en prison. Le nettoyage des cellules, des cuisines, il a été jugé
que ce travail s’applique aussi au personne : arrêt Meiller,
o Obligation et l’exécution civique, comme la fonction de juré
L’art 11 : liberté syndicale qui se conçoit comme une extention de la liberté d’association :
o Le contenue de la liberté syndicale
On peut noter que la LS comporte deux aspects complémentaires en effet il y a tous d’abord un aspect
positif et négatif (de ne pas faire).
 Positif : fondé librement les syndicats mais aussi de s’affilier a ses
syndicats, but de défendre des intérêt collectif, propre a une communauté,
pour la France, ce qui est contraire a l’art 11, l’interdiction faite au
militaire de créer un syndicat. La France est condamnée en 2014
Adefrolin. Du coté roumain, on peut evoquer un arrêt rendu le 31/01/12
syndicat le bon pasteur. Il sagit de l’église orthodoxe et il été interdit de
créer un syndicat pour ces employés et il a été dit contraire par la CEDH.
 Négatif : liberté de s’abstenir, de ne pas faire. Elle consiste aussi à la
liberté de ne pas adhérer a un syndicat et cela englobe aussi le pouvoir de
ce retirer d’un syndicat. Arrêt rendu le 11/01/06 SONRENSEN il
intéresse la Suède les conventions collectives sont à la base, Close Shop.
Le but est de créer un monopole syndical d’embauche.
o L’extension du champ d’application de la liberté syndicale
La Cour européenne, à consacré des droits qui ne sont pas mentionné expressément par la convention,
ces droits sont reconnue par la cours parce qu’il sont des prolongement de la liberté syndicale, se sont
des composante essentielle. Ce qui signifie que sans ces droit la liberté syndicale ne pourrait pas être
respecté. On peut mettre en avant l’émergence du droit à la liberté collectif. Ce droit est apparu
progressivement. Le droit à la négociation collective consiste dans le droit de mener des négociations
et de conclure des conventions et des accords collectif de travail. En définitif ce droit est affirmé dans
un arrêt rendu par la Cour EDH, 12/10/08 DEMIR et BAYKARA.
Le droit de grève, arrêt du 21/04/09 ENERJI YAPI-YOL SEN.
o Les restrictions à la liberté syndicale
Le Convention prévoit de restreindre la liberté syndicale sous reserve de respester un certains nombre
de condition. Trois conditions cumulatives :
 Elle doit être prévu par une disposition légale = le code de la route
 Elle doit avoir un but légitime = assurer la sécurité routière
 La restriction doit être nécessaire dans une société démocratique = oui
c’est nécessaire d’empêcher de mettre à mal les moyens de circulation
Les restrictions doivent être mesuré, proportionné, il faut la justifié et montrer sa proportionnalité.
Dans un arrêt BARACCO, les opérations escargot, ces modalités son réprimé par le code pénal, pour
ce défendre il met en avant l’absence de conformité du code de la route vis-à-vis de l’art 11, donc
réprimer ce type de manifestation ça porterais atteinte à la liberté syndicale. L’atteinte ici est justifié
voir les lignes rouges.

B : l’étendu des articles généraux


La Conv EDH proclame pour l’essentiel les droit civil et politique, cepdt la plupart de ces droits sont
transposable en matière social. Et la encore la Cour EDH construit une JP très audacieuse.
Art6 $1 : « procès équitable » trois aspects complémentaire :
- Le droit d’accès au juge : l’E ne peut pas mettre en place un dispositif qui empêche l’accès
au juge.
- Le procès doit présenter un certain nombre de qualité :
Arrêt delgado, n’as pas une durée raisonnable le contentieux tranché définitivement au bout de 15ans.
Et le délais raisonnable ce conçoit de manière spécifique en droit du travail. En effet, en matière de
conflit du travail le contentieux doit être tranché avec une rapidité particulière. Les conflits du travail
sont d’une importance capitale pour la situation d’un individu.
- Le droit à l’exécution de la décision de justice, elle doit avoir lieu dans un délais
raisonnable toujours en fonction de la complexité de l’affaire.
Arrêt MICLICI, l’exécution avait pris 5 ans. Trop long.
Art 8 : « le domicile et la correspondance » il garantit une protection du travailleur contre les procédés
de surveillance de l’employeurs, qui sont de plus en plus technique et intrusif. Et parmi ces procédé, il
y à la géolocalisation, caméra de surveillance.
Dans un arrêt, un dispositif de surveillance avec la mise en place d’un logiciel espion. Et l’employeur
se rend compte de l’utilisation d’un compte personnel et licencie sont employer. La question est la
suivante, est ce que l’employeurs à le droit de recueillir ce type d’information. La Cour dit que
l’employeur ne peut pas utiliser ce type de preuve, hors l’art 8 protège les correspondance privé, mais
en vérité c’est que le salarié na pas été prévenue de l’existence du dispositif de surveillance. Il faut
informer l’employé.
Décision du 22/02/18 arrêt Libert, un salarié utilise sont ordi pro et créer un dossier privé. Cette
fouielle peut être restreinte et limité lorsque le salarié identifie comme privé les fichiers

Paragraphe 2 : la charte sociale européenne

C’est le complément naturel de la CEDH en matière sociale. A l’origine elle est adopté en 1961 à
Turin en Italie. Par la suite elle fait l’objet d’un certain nombre de transformation et cette charte
originel à été repensé, refondu en 1996. Le but de donné une meilleure visibilité. Actuellement elle
énonce 31 droit sociaux, et parmi cela :
- Une rémunération équitable
- Le droit des travailleurs à l’information et la consultation en entreprise
Sa valeur juridique, il s’agit là d’une véritable convention internationale, pour être complet sur sa
valeur il convient de mettre ne avant 3 éléments :
- La CSE, est une source de légitimité : ce texte se retrouve dans d’autres traité et
notamment les traités européens. Ce pdt le droit de l’UE fait référence à cette charte et en
particulier l’art 151 du TFUE, qui concerne la politique sociale. Dans l’absolue le contenu
des directives est conforme à la CSE.
- Elle est aussi une source d’inspiration : elle peut être utilisé pour interpréter des
règles/normes et c’est encore le cas pour le DUE. Ainsi, le contenu du DUE peut parfois
être interprété à la lumière de la CSE. Ex : arrêt du 20/09/07 SARI KIISKI, dans cette
décision la CJ interprête deux directive à la lumière de la CSE, et sur cette base elle
reconnait que le droit à un congés de maternité est un droit à part entière.
- La Cour EDH : juridiquement parlant cette est compétente que pour la CEDH mais ici,
l’arrêt du 21/11/08 Demir et Beykara, la CSE est …
Lorsqu’un E ratifie cette Charte il se pli au contenue du cette charte et normalement l’E doit mettre ne
conformité sa LN au regard de celle-ci. Comment Controler les E ? deux mécanisme mis en place :
- Système de Contrôle régulier :… le rapport est ensuite rransmit au commité euro des
droits sociaux qui vas analysé le contenue du rapport et vas rendre des decisions. Et le
CEDS va désidé de la conformité au sein de la charte. (prendre le cours à claire)
- Système des réclamations collective : cette procédure s’adresse aux organisations prof
inter et national. Mais aussi aux associations et aux organisations non-gouvernemental.
Relativement classique, la croix rouge. Une fois la procédure cela vas permettre de faire
constater la violation de la CSE, il portera sur une législation, soit sur une jurisprudence
soit sur les pratique institutionnelle. Dans ce cadre le comité européen des droit sociaux
vas statuer en droit.
Section 2 : la protection mise en place par l’UE
A l’origine, les droits sociaux font l’objet d’aucune protection particulière de la part de l’UE, qui est
de créer un marché eco commun et à l’origine on distingue entre l’eco et le social de l’autre.
Actuellement les droit sociaux fondemantaux sont consacré dans le droit de l’UE mais cette
consécration n’aurais pas pu se réalisé sans l’action de la Cour de ju UE. et sans la volonté des
institutions euro de créer une veritable déclaration des droits fondemantaux.
Paragraphe 1 : l’action des intitutions européenne
Il n’est pas pertinent d’intervenir dans le domaine des droits fondamentaux , pourtant la mise en œuvre
du DUE, touche des domaine sensible. Directement ou indirectement. Il c’est averé que la protection
des droit sociaux fondamentaux été nécessaire. La cour de justice est venu reconnaitre l’existence des
droit fondamentaux arrêt rendu le 12/11/69 STAUDER celon cette JP les DF font partie intergrante
des Principes généraux du droit comunautaire. Or, c’est la CJ qui confirme. Pour construire les
principes généraux de droit, la CJ c’est montré très novatrice et à prix en compte d’autre norme
international comme source d’inspiration et sans être exostif. La CEDH, la charte social euro, certaine
convention de l’organisation international du W. et enfin on a quelque référence sur les droits sociaux
éco et culturel. Et tous ceci permet à la CJ de dével un JP cohérente. On peut y voir plusieur intérêt :
- Symbolique : toujours bien d’y faire référence
- Juridique : plus intéressant, en effet le respect des PGD est une condition de la validité de
l’acte de droit dérivé. Donc par ricochet, cela va influencer les législations national.
Le contenue des PDG notamment le principe de non-discrimination, applicable en matière d’emploie
mais également celui d’égalité de traitement. Cependant, force est de constaté que les DG on une porté
relative en effet il ne peuvent pas avoir pour conséquence d’élargir les compétence de l’UE.
Art6 : du traité sur l’UE donne la faculté…
Cette faculté est relative, on est encore dans les phases d’acceptation à l’adhésion. Sans rentrer dans
les détails, il est nécessaire que la CJ doivent donner son accord. Dans un avis rendu en 2014, 2/13 la
CJ rfuse de donner son accord.
Paragraphe l’action des institutions européen :
Elle c’est décliné en deux temps, l’action consiste à élaborer des déclarations de droit :
Tout d’abord, la charte communautaire de 1989, l’appellation est CCDFTC= elle est dépourvue de
toute valeur normative. Sur le contenue de cette charte communautaire il n’y a pas de grande
nouveauté, mais en vérité, la charte n’est rien de moins qu’un copié de la charte social euro. Ce qu’on
pourrat quand mm reconnaitre c’est qu’elle à constituer un modèle pour la consécration des droits
fondamentaux pour l’UE.
Phase de la consécration : les institutions élabore un nouveau texte, la charte des droit fondemantaux
de l’UE. le but est de rendre réelle la présence de droit fondamentaux. Les travaux dure 1 an et
aboutissent à la fin de l’an 2000, et la charte et proclamé le 7/12/2000. Et il vont ajouté la charte au
traité de Lisbonne. Celon l’art 6 du traité sur l’UE, cette charte à la mm valeur que les traité européen.
En d’autre terme, la charte acquiere un portée contraignante, parce qu’lle devient un traité par
assignation. Donc les institutions europé mais aussi les EM sont subordonné à sont contenue. Qui est
relativement large, puisqu’elle compte 54 droit et liberté et ceux dans tous les domaines. Et ces droit
sociaux fondamentaux dénote et parmi ces droit et liberté on peut cité notamment le droit à des
conditions de travail équitable. le droit de grêve est mentionné dans cette charte. En effet la CJ de
l’union est venu limiter son application. Dans la plupart des arrêt rendu par la CJ, celle-ci refuse de
reconnaitre un effet direct au disposition social de la charte, Ex, arrêt du 15/01/14 association de
médiation social. Les salariés attaque la conventionalité du code du travail français en invoquant l’art
27 de la Charte, tous travailleurs à le droit à une information et une consultation dans son entreprise.
Alors selon la cour cette art n’as pas d’affectation.
En 2017, les IE on proclamé une nouvelle déclaration qui s’intitule le socle européen des droits
sociaux, il vas certainement connaitre le même destin que ça précédente.

Partie II : l’organisation de la communauté internationale des travailleurs


la première question est qu’elle champs de droit appliqué ?
le conflit de juridiction
Chapitre 1 : la détermination des règles de méthode applicable
Ces règles, vont nous permettre de résoudre 1er le conflit de droit et celui de juridiction compétente.
Section 1 : la détermination de la règle de droit applicable
Deux remarques, tous d’abord ont définit ce qui est un relation de travail en revanche il est plus
conpliqué ce qui fait qu’une relation de travail à un caractère international.
Celui-ci apparait lorsque la RT est affecté par un « élement d’extranéité » cela signifie que la RT est
susceptible d’être ratché à au moins deux Ordre juridique distinct. Sur le plan pratique la RT
international apparaitra notamment lorsque le salarié est mobile sur le territoire de plusieurs E,
simultanément, successivement, ou encore temporairement (au salarier détaché) dans ces cas de figure
c’est une RT international. Et lorsque l’employeur et le salarié ce trouve sur des territoire différent.
Il est nécessaire de savoir à quel texte il convient de se reporter. Et ici on peut mettre en avant
l’existence de deux texte :
- La convention de Rome, 19/06/1980 :
- Règlement européen, 17/06/2008, 593/2008.
L’avantage c’est que ces textes énonce de R identique, car c’est la CJ qui est compétente pour
l’interprétation de ces deux textes.
Ces deux textes pour être applicable nécessite la réunion de plusieurs conditions aux nombres de 4 :
- Relative aux champs d’application temporaire de chacun des deux textes : en effet le
texte applicable dépendra d’une part de la date d’entré en vigueur du texte sur un territoire
donné, et de la date de conclusion du contrat de travail. Pour la Roumanie, la convention
de Rome est entrée en vigueur en 2007. Donc lorsqu’un contrat est conclu postérieurement
à cette date. Pour la France, le 1/04/91 là tous les contrat conclu après cette date sont
soumis à cette convention.
- L’existence d’un conflit de droit : relation international de T
- L’existence d’une obligation contractuel : exclue tous ce qui ce raporte à la
résponsabilité civil
- Nécessité de saisine d’une juridiction d’une E signataire, ou la juridiction d’un EM :
Si ces conditions sont rempli il est possible de mettre en oeuvre les Conventions.
Quelques mots prévu pour avoir une vision globale, il prvoit que le principe c’est celui de la Liberté
Contractuel, elle permet aux parties de préciser le contenu du contrat. Ce qui signifie que les parties
sont autonome. « la loi d’autonomie » . Mais la liberté de contracté est aussi une liberté de ne pas
choisir, lorsque les parties non choisie aucune loi, des règles supplétive vont prendre le relais. Et donc
elle énonce des règles permettant de désigner la loi applicable à défaut. Cependt le salarié subit, donc
pour le protéger les textes internationaux on prévut des dispositions impérative relative. Mais dans
ce cadre, l’E bénéficie d’une protection qui apparait avec les disposition impérative absolue.
Paragraphe 1 : le choix de la loi par les parties
Ce sont les parties qui vont choisir une loi, le choix peut être implicite ou express.
Express : le choix est expressément formulé dans une clause du CT cepdt :
- Lorsque les parties choisisse une loi, il choisisse l’intégralité d’un droit
- Ils peuvent choisir n’importe qu’elle loi, en principe.
Implicite : dans cette hypothèse les parties non désigné aucune loi cpdt il est possible d’interprété la
volonté des parties et donc de mettre en avant tacitement le choix des parties. Pour cela le juge pourra
interpréter les circonstances de la cause, qui dans une certaine mesure la façon dont ce comporte les
parties peut être révélatrice de la volonté des partie.
En l’absence de ces choix il est nécessaire de derterminé le champs,
Paragraphe 2 : la loi applicable à défaut de choix
Selon les circonstance la Convention de Rome et l’autres, énonce trois règles supplétice de droit. Les
deux premières sont dite « objective » parce que normalement elle n’applique aucune application
particulière et la troisième est « subjectif » et là le juge aura une très grande marge de manœuvre.
Première règle : lorsque le W exécute sur un territoire de manière régulière, c’est la loi de ce
territoire qui va régir les conflits. « la règle de principe » parce qu’elle est considéré comme favorable
au travailleur. C’est la raison pour laquelle la CJ l’interprète de manière très large, dans deux
hypothèses :
- Celle du détachement : déplacement temporaire et ce détachement remet -il en cause le
caractère habituel de l’exécution du W ?
- Celle d’un travailleur mobil sur plusieurs territoire successif : la Cour à mis sur pied une
autre fixions juridique « le centre effectif des activité du salarié » c’est le pt de
convergence de la RT
Deuxième règle : elle sera applicable lorsque le W n’exécute pas de manière habituelle sont travail,
dans ce cas de figure se sera la loi du lieu ou se trouve l’établissement qui à procédé à l’embauche.
Troisième règle : effectivement parfois il arrive que la relation de travail présente des liens de
rattachement avec un territoire donné. On fait prévaloir la réalité, des liens de rattachement. C’est la
loi qui présente les liens les plus Etroit avec le contrat.
Paragraphe 3 : les dispositions impératives relative (on cherche a protéger le salarié)
Une disposition impérative c’est une dispo à laquelle il est impossible de dérogé par contrat. Ici, il
sagira des dispositions impératives de la loi qui serait applicable à defaut de choix. Donc c’est une loie
hypothétique. A quoi servent donc ces dispositions ? elle vont protéger le salarié, contre une loi
« choisie » dans le cadre du contrat de travail. On va donc procédé a une comparaison hypothétique
entre la loi choisie et la loi qui serai applicable. Tous ça pour retenir la loi la plus favorable au salarié.
Paragraphe 4 : les dispositions impérative absolue
Ce sont les Interêt de l’E qui vont être protégé. Il existe dans chaque OJ des règles crutial qui organise
l’éco et la société. Par voie de conséquence ces règles doivent être respecté en tous E de cause. Donc
la RI du travail ne peut pas porté atteinte à ces règles.
Donc les lois de police de cette E s’applique en tout état de cause.

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