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SAMEDI 12 MAI 2018 - 27 IYAR 5778

MAYAN HAIM MAYAN HAIM MAYAN HAIM MAYAN HAIM MAYAN HAIM MAYAN HAIM

MAYAN HAIM
S’INVESTIR RÉSOLUMENT DANS L’ÉTUDE DE LA TORAH
Parachat
Rav Elie LELLOUCHE

Le ‘Amal HaTorah, que l’on pourrait traduire par un investissement intense dans l’étude,
Béhar n’est pas une disposition annexe embellissant la Mitsva liée à la connaissance de la Sagesse
Divine, elle en constitue l’essence même. Plus encore, la Paracha Bé’houkotay consacre
Bé’houkotaï l’importance primordiale du ‘Amal HaTorah en plaçant cette injonction au premier rang
des conditions permettant au peuple d’Israël de bénéficier de la bénédiction divine.     

Ainsi, en préambule aux Béra’khot déclinées dans cette Paracha, Hachem affirme: «Im
Bé’houkotay Télé’khou VéEt Mitsvotay Tichmérou Va’assitem Otam,VéNatatti Guichmé’khem
S’investir dans l’étude Bé’itam»: «Si vous allez dans mes décrets et que vous gardez mes commandements en
les accomplissant, Je vous donnerez vos pluies en leur temps» (Vayikra 26,3).
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Rachi, au nom du Midrach Torat Cohanim, explique le terme Bé’houkotay en référence
De la circoncision
avec la peine que l’on doit se donner pour l’étude de la Torah. En effet, ce terme ne
Page 2 peut se référer à l’accomplissement et à l’observance des Mitsvot dans leur ensemble,
Être ou ne pas être. ces dernières étant citées nommément dans la suite du verset. Par déduction, le terme
Bé’houkotay fait nécessairement écho au second pôle du service divin que constitue
Page 3 l’étude de la Torah.             
J’ordonnerais ma bénédiction..
Cependant, cette recommandation divine, porteuse de bienfaits pour le ‘Am Israël, ne
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se limite pas à un apprentissage purement formel ou occasionnel. L’étude de la Torah,
dans notre Paracha est appelée ‘Houka. L’acception courante de ce terme désigne, parmi
l’ensemble des Mitsvot, celles dont l’essence même relève de l’irrationnel, par opposition
aux Michpatim, les lois sociales, ou les ‘Edouyot, les témoignages, accessibles, au moins en
partie, à l’esprit humain. L’emploi de cette expression pour désigner l’étude de la Torah
n’est pas fortuit. La Sagesse Divine n’est pas une science ou une discipline universitaire
que l’homme pourrait espérer maîtriser et encore moins assujettir. «Ré’hava Mini Yam»;
«Plus étendu que la mer» s’exclame Iyov pour rendre compte de l’immensité de la Torah
ENTRÉE: 21H02 (Iyov 11,9).              

Kabalat Chabat : 20h20 Mais c’est justement parce qu’elle dépasse l’homme et ses aptitudes intellectuelles
que la Torah exige de celui-ci un dépassement. Le ‘Amal HaTorah est la traduction
de ce dépassement. Peiner dans l’étude de la Torah c’est, en quelque sorte, porter le
témoignage de l’origine divine de celle-ci et, ce faisant, se «connecter» avec Hachem.
SORTIE: 22H19 C’est cette connexion qui permettra l’ouverture des canaux de la bénédiction.           

Pour nos Maîtres ce ‘Amal peut emprunter plusieurs voies. Ainsi, pour le Kéli Yakar il se
traduira par la fixation de périodes journalières et régulières affectées exclusivement
à l’étude. En consacrant des moments invariables et immuables à la compréhension de
la Torah, nous ancrons en nous la dimension transcendante de la Loi Divine. C’est en ce
sens qu’il faut comprendre l’emploi du terme ‘Houka, qui se rapproche du verbe ‘Hakak,

aim Vec
graver, pour désigner l’effort dans l’étude. L’assiduité et la régularité «grave» en nous
l’essence divine de la Torah.                 
H
ha l

Pour le Ohr Ha’Haïm HaKadoch, il y a dans la notion de ‘Amal HaTorah une autre
Torat

exigence. Peiner dans l’étude c’est être à même de revenir constamment sur les textes
om

étudiés au point de se les approprier totalement et de les «graver» en soi. Or ce retour


constant suppose d’être animé d’un désir ardent pour la Torah. C’est pourquoi, explique
le Ohr Ha’Haïm, lorsque ce désir est défaillant, l’oubli s’installe naturellement en l’homme
Beth Hamidrach afin de l’amener à revoir ce qu’il a déjà appris. On le voit à travers ces deux exemples
le ‘Amal HaTorah, plus qu’une composante de l’étude, en constitue, comme le souligne le
Rav Dessler, l’objectif ultime. En conférant à la Torah sa dimension sacro-sainte, il en fait
l’arme la plus sûre du ‘Am Israël.
Article et contenu réalisés par TORAT HAIM VECHALOM - 35, rue Emile Lepeu 75011 PARIS - 01.44.93.51.50
Association reconnue d’utilité générale habilitée à recevoir les DONS et les LEGS. Directeur : Rav Elie LELLOUCHE
DE LA CIRCONCISION Yossef HARROS

Dans le traité Kiddouchin (29a) avait 8 jours . Nous ne pouvons nous indique que Avraham a
, la guemara nous enseigne donc pas déduire que c’est fait la mila a 8 jours donc d’où
a partir du verset « Vaymol  même après cette date jusqu’à le rambam sait il que le père
Avraham ete Yshak beno , la fin de sa vie que le père est a l’obligation de faire la mila
Berechit 21,4 » que le père soumis a cette obligation. jusqu’a 13 ans et que si cette
est ordonné de circoncire son obligation n’est pas accomplie
fils  ; Par ailleurs , du passouk Tosfot sur place vient , il ne pourra pas réaliser le
« Vearel zakhar acher lo nous ramener une preuve korban pessah
ymol , Berechit 17 ,14» , nous extraordinaire : Il pose la Nous ne pouvons prêter au
apprenons que l’homme a question , pourquoi a-t-on Rambam l’intention que
l’obligation d’accomplir la besoin d’apprendre du passouk lorsqu’il souligne, des enfants
mila si le père ne lui a pas fait. « Caacher tsiva oto Elokim , «  petits  », cela signifie des
Berechit 21,4 » que les femmes enfants de 8 jours exactement
Le Minhat hinoukh (R Yossef ne sont pas ordonnées de faire car d’après la lecture cela n’est
Natanson, célèbre rabbin la mila a leurs fils . On le sait pas précisé.
du 19ème siècle pour son par ailleurs du fait que la mila
commentaire sur le sefer est une « mitsva asé chazman Dans le traité de Yebamot
hamistsvot ) se pose la question, grama » , une mitsva qui , la guemara relate un cas
si lorsque le fils devient bar dépend du temps , dont on sait indiquant que dans les étapes
misva , le père est il toujours que les femmes sont dispensées. du korban Pessa’h , le père n’a
concerné par cette obligation pas de hiyouv mais arrivé a la
ou la misva incombe t’elle au Il répond que, puisqu’après consommation de ce dit korban
fils seulement ?! 8 jours , la misva n’a plus de , il a un hiyouv de faire la mila
limite dans le temps , le passouk ( si par exemple , le fils avait de
Plusieurs conséquences est nécessaire , sans quoi on la fièvre et il a guéri le jour du
halahiques découleraient de aurait pensé que les femmes korban ; Pendant la maasé , il
ce problème  : seraient aussi concernées  ; De n’était pas soumis mais pour la
cette explication on voit que la akhila , il devait faire la mila a
1. Si père et fils, sains mitsva incombe au père jusqu’a son fils pour pouvoir manger .
d’esprits, veulent tout deux la fin de sa vie sinon la réponse Nous voyons d’ici que même
accomplir la mitsva , dans le ne tiendrait pas puisque si lorsque la mila est repoussée
cas ou le père est encore hayav c’était un commandement a cause d’une maladie , le père
de circoncire son fils ,et ce jusqu’a 13 ans seulement , a l’obligation de faire la mila
même après qu’il ait atteint cela aurait été une « mitsva avant de pouvoir manger le
l’âge de 13 ans , alors le père asé chéazman grama » , une korban.
aurait préséance sur le fils mitsva liée au temps.
Pour répondre a l’interrogation
2. Le père devra il faire la Cependant , il est écrit dans le du Minhat Hinoukh , il est
bénédiction « léahnisso » ?! rambam sur les halakhots du vrai que du passouk nous
korban pesah que de la même ne pouvons déduire une
3. Un mohel qui exigerait un manière que sa mila l’empêche obligation que jusqu’au 8eme
salaire, serait ce au père ou au de faire le korban (s’il ne l’a jour , cependant d’après la
fils de le payer ? pas faite ) , la non-mila de ses guemara nous avons la preuve
enfants « petits » et de tous ses que la non circoncision du fils
Dans la même guemara , nous esclaves , grands comme petits , après le 8 jours , empêche la
apprenons le hiyouv du père de l’empêchera de faire le korban consommation du korban.
racheter son premier né male, Il ressort donc que selon Tosfot
de marier ses fils et de leur De ce rambam , nous apprenons , la misva de mila incomberait
apprendre la tora ainsi qu’un qu’une mitsva qu’il doit faire au père toute sa vie , et selon
métier . Chaque injonction se et qu’il n’a pas faite l’empêche Rambam , le père n’aurait cette
réfère a un passouk dans lequel de rapprocher le korban  ; En misva que jusqu’à ce que son
il est écrit « ben » sans précision précisant bien le mot « petits » fils ait 13 ans
de l’âge. On en déduit que ces le rambam montre bien qu’il
misvot perdurent même après doit effectuer la circoncision Chabbat chalom oumévorakh
la bar misva . uniquement sur les enfants et
donc pas après la bar misva.
Or pour le passouk qui traite de Le Minhat hinouh s’étonne ,
la mila , il est écrit que Itshak pourtant le passouk de Vaymol
ÊTRE OU NE PAS ÊTRE
Judith GEIGER HASSID

Être ou ne pas être ? révèle dans le monde.  dans la poche de droite


S’annuler ou s’affirmer ?  mettre un papier sur lequel
Comment pourrions nous ils écrirons: “Le monde était
Notre paracha Béhar nous recevoir quoi que ce soit crée pour moi» ( Sanhedrin
invite à une réflexion et à fortiori la parole de la 4, Michna 5), et dans la
fondamentale à laquelle tout Torah lorsque nous sommes poche de gauche ils écriront:
être humain est confronté remplis du sentiment de « Je ne suis que cendre  et
lorsqu’il se pose la question notre grandeur démesurée poussière « (Bérechit 18,27).
de l’estime qu’il a de lui que nous nous accordions si C’est à dire que les
même.  souvent ?  deux tendances doivent
constamment guidée notre
Dès le premier verset de la Pour pouvoir devenir
façon d’être dans le monde
paracha il nous est rappelé ce récipient recevant
dans nos relations aux autres,
que la Torah était donné sur l’enseignement de la Torah,
dans notre relation à   Hachem
le Mont Sinaï « Hachem parla il faut donc créer le vide à
et dans la relation à nous même. 
à Moshé sur le Mont Sinaï… l’intérieur de nous et il faut
» (25,1).  commencer par devenir et
Mais comment trouver cet
accepter que nous soyons «
Rachi précise « que toute la équilibre  entre ces deux
un rien ». 
Torah avec tous les détails tendances? Comment jongler
les plus minutieux étaient Mais force est de constater dans ce paradoxe?  Comment
donnés à Sinaï ».  que même si nous devons trouver la paix entre cette
nous annuler pour percevoir voix intérieure qui nous dit:
D’ailleurs, le Traité des Pères la Torah, le Sinaï est une « Je suis le meilleur, le plus
(Pirké Avot) commence aussi petite montagne, insignifiante doué,  le plus serviable, le
par nous rappeler ce détail certes, mais c’est un mont plus...» et l’autre qui pousse
géographique « Moshé reçut tout de même !  à l’auto critique «Je suis nul,
la Torah du Sinaï et l’a un vaurien , un incapable...?».
transmise à Yéhochoua… » Nous n’avions pas reçu la
(Michna 1).  Torah dans une vallée, ni dans Le Rabbi Simh’a Bonim
un puits.  de Pshih’a nous livre un
Et pourtant nous savons que enseignement profond, il nous
la Torah ne s’encombre pas Ainsi nous signifient ‘HAZAL, invite ainsi à ne pas trancher,
des détails géographiques, que de même que nous nous ne sommes  ni parfaits ni
alors quelle est l’utilité de devions mettre à distance nuls, il suffit d’être conscient
mentionner l’endroit précis ce sentiment d’orgueil, il est que ces deux pôles existent en
où était donné la Torah ? Que aussi nécessaire de ne pas nous,  au même temps, qu’à la
pourrions nous apprendre de s’oublier, de ne pas s’annuler fois «je suis quelqu’un» mais
cette précision ?  complètement.  à la fois pas «grand-chose».
‘HAZAL nous enseignent Si je ne suis pas l’« Everest
Et c’est justement la force
que le mont Sinaï avait » je suis toutefois un mont,
de l’enseignement de notre
cette chose particulière petit certes, mais un mont
paracha: c’est à l’aide des
qui le rendait adéquat pour qui a de la hauteur à l’instar
Mitsvot reçu sur ce petit mont
que Moshé Rabénou reçoit du mont Sinaï.
Sinaï à l’allure si modeste,
la Tora, c’était le fait qu’il Mais comment donc se que nous pourrions trouver
soit le moins haut parmi les retrouver entre ces deux l’équilibre entre ces deux
montagnes de la région.  pôles qui nous ballottent tendances, à trouver la bonne
Autrement dit, le caractère entre un narcissisme gonflé, mesure afin de se sentir
le plus évident de ce mont démesuré «Je suis tout suffisamment confiant dans
pour lequel il avait été choisi puissant» et son pendant, de nos capacités sans les négliger
pour recevoir la Torah, était nous sous estimer, «Je suis tout en restant humbles. 
qu’il soit le moins saillant, incapable, moins que rien?» En accomplissant les Mitsvot
d’où l’idée qu’il symbolise et en affinent nos midot nous
l’humilité, cette qualité que C’est le Rabbi Simh’a Bonim pourrions ainsi nous connecter,
Hachem exige de nous, afin de Pshih’a qui nous  montre chacun à son «mont», car
de devenir un « KELI », un le chemin, il disait à ses aussi petit qu’il soit, il tend
récipient à travers lequel élèves que chacun d’eux vers les cieux.
la présence de Hachem se devait avoir deux poches,
J’ORDONNERAIS MA BÉNÉDICTION LORS DE LA 6e ANNÉE
Y.K

Au début de notre paracha sont relatées elles ont également un lien conceptuel afin de bénéficier des bénédictions citées
les lois de la chémita (année sabbatique). ce qui nous amène à poser la question dans la paracha de Behoukotai .
suivante  : plus loin dans la paracha de La mitsva de Chemita comporte une autre
Rachi pose la question suivante  : «  Quel Behoukotai la Torah nous promet en ses singularité, c’est l’unique mitsva ou la
est le rapport entre ces lois et le mont termes  :  «  je donnerai les pluies en leurs Torah pose la question que chaque homme
Sinaï (dont la paracha porte le nom)? ». En saisons et la terre livrera son produit ,et voulant accomplir cette mitsva qui lui ai
effet, toutes les lois ayant été enseignées au l’arbre des champs donnera son fruit  » difficile se pose  :  «  Et si vous demandez
mont Sinaï, Quelle est la spécificité de la «  le battage de vos grains se prolongera que mangerons nous la septième année ? »
chémita ? jusqu’a la vendange, et la vendange durera dans aucune autre mitsva la torah anticipe
jusqu’à vos semailles, vous aurez du pain en notre interrogation bien au contraire
Rachi répond que les lois de chémita ont abondance… » Cependant, cette promesse elle nous laisse faire face aux épreuves
été enseignées dans les moindres détails, est conditionné par le fait que respections inhérentes à l’accomplissement de chaque
il en va de même pour toutes les mitsvots les décrets d’Hachem et accomplissions ses mitsva, et ceci car il n’existe pas de mitsva
reçues au Sinaï. mitsvots alors que dans la paracha de Behar dans la torah qui nous a été enjoint qui à
concernant la Chemita la bénédiction un but contraire a l’esprit et à la logique
Le Hatam Sofer répond également à promise (que la sixième année produise humaine .
cette interrogation, en citant des versets l’équivalent de trois années) par la torah
plus loin dans la Paracha (chap XXV n’est à priori soumise a aucune condition Le monde entier connait cet adage « ceux
v 20)  :  «  et lorsque vous demanderez de respect des mitsvots ? qui ont semé dans les larmes, puissent-t-ils
que mangerons nous la septième année récolter dans la joie » (Tehilim 126) mais si
si nous n’ensemençons pas la terre  …? La juxtaposition entre ces deux parachiots, il n’y pas de semailles, inéluctablement il
Alors, j’ordonnerai ma bénédiction lors nous amène à répondre que la bénédiction n’y aura pas de récolte c’est la une épreuve
de la sixième année et la terre produira mentionnée dans la paracha Behar est redoutable dans l’accomplissement
l’équivalent de 3 années de récolte » cette également soumise aux conditions de la de cette mitsva, il incombe a l’homme
certitude n’est fondée que si elle émane paracha de Behoukotai. En effet, seul celui l’obligation de croire fermement dans
que du Maitre du monde lui-même c’est qui garde toute la torah et accomplis ses l’assurance d’Hachem.
pourquoi il est dit ici «  au mont Sinaï  » mitsvots est à même de pouvoir respecter La gestion de l’écon
car nous ne pouvons nous appuyer sur la mitsva de Chemita et de bénéficier de omie comporte également de grandes
une telle promesse qu’a condition qu’elle la bénédiction qui y est associé, seul celui épreuves mais aussi de grandes incertitudes.
ai été dite au mont Sinaï et par le Maitre qui peine dans l’étude de la torah comme En effet force est de constater qu’en
du monde en personne c’est pourquoi il est l’explique Rachi sur la première phrase de dépit de tous les efforts des différents
question de chemita dans la parachat de Behoukotail «  im behoukotail telehou  » économistes pour essayer de promouvoir
Behar Sinaî. pourras jouir d’une grande bénédiction tel ou tel modèle économique efficace,
ce qui va lui permettre d’accomplir le résultat échappe à leur contrôle et
Une allusion a cette explication se retrouve facilement le mitsva de Chemita. parfois même a toute logique humaine.
également dans le livre des Proverbes (chap L’économie ne dépend pas uniquement
VIII,v 21): «en donnant a ceux qui m’aime C’est peut être la raison pour laquelle le d’arrangements financiers, elle comporte
des biens en partage, en remplissant leur Torat Cohanim explique le verset «  im toujours une part d’incertitude.
trésors » le mots « en partage » s’écrit en behoukotail telehou  » que vous peinez
hébreu yech, qui forme l’acronyme youd dans l’étude de la Torah et non pas si vous Du fait de l’incertitude de l’économie
pour yovel et chine pour Chemita pour vous adonnez à l’étude de la torah. En effet, une seule voie s’offre a nous celle de la
signifier que ceux qui respectent ces deux l’homme est comparé a l’arbre des champs véritable et profonde croyance en Hachem
lois sont assuré de voir leurs trésors se (Devarim XX v19) de la même manière des lors nous mériterons de nombreuses
remplir. que l’arbre pour grandir et se développer, bénédictions.
Comme nous le savons, les parachiots nécessite un effort important d’entretien,
Behar et Behoukotai sont le plus souvent d’arrosage etc… il en est de même pour Librement inspiré du Ele Hadevarim
mehoubarim (Attachées). Au-delà de leurs l’homme qui nécessite beaucoup d’effort
liens concernant la lecture hebdomadaire, dans la Torah pour atteindre la perfection

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