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Intitulé
Données du problème :
Les adoucisseurs sont actuellement basés sur des vannes manuelles. En absence de
technicien et lorsque le TH augmente il y aura des problèmes au niveau de chaudière .
Travaux à faire :
- Etude bibliographique
- Rapport
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Présentation de l’entreprise et de station de traitement d’eau
Introduction
Ce premier chapitre est consacré à la présentation générale de l’entreprise
« Sotipapier» et la description de son processus de fonctionnement. Dans un premier lieu,
on présente le groupe de la société. Dans un second lieu, on passe à la description de deux
la station de traitement d’eau.
I. Présentation de l’organisme
1. Définition
La société SOTIPAPIER « Société Industrielle du Papier et du Carton » créée en 1981 est
spécialisée dans la production de papier Kraft et de papier Testliner et cannelure en
Tunisie. SOTIPAPIER est un acteur de référence sur le marché du papier en Tunisie. Aux
cotés de ses activités industrielles, SOTIPAPIER produit également de l’énergie à travers
un système de cogénération installée depuis 2007. A ce titre la société a été la première
unité industrielle en Tunisie à avoir mis
2. Ces activités
Fabrication de papier Kraft à partir principalement de pate à papier destiné aux
sacheries pour la fabrication de sacs grande contenance, pour l’emballage du
ciment notamment
Fabrication de papier Testliner et Cannelure destiné aux cartonneries pour la
production de carton ondulé
Production d’électricité par le biais de la cogénération
Recyclage des déchets en papier
3. Historique de la Société
La société a été créée en 1981 sous forme de société à Responsabilité limitée (SARL) par
Monsieu Abdelkader HAMROUNI, fondateur du « groupe » du méme nom La société a
été principalement dévelopée et gérée par feu Monsieur Abderaaouf HAMROUNI .
Ligne de
production
Fournisseurs Pâte à
étrangers papier
PM2 Clients
Papier Kraft
Collecteurs
ECRT
Indépendant
Vieux Achat
Groupement
de collecteur papiers
Co-générateur
Vente
Industriels
Ligne de
Autres production PM3
Autres
fournisseurs consommables Clients
locaux TestLiner&
cannelure
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5. La fabrication de papier
6. Le processus de production
Une feuille de papier-carton est un support fabriqué à partir de fibres de cellulose (la pâte à
papier). Ces fibres sont principalement extraites de deux sources :
Le bois (fibres vierges) provenant essentiellement des coupes pratiquées en forêt, ainsi
que des chutes de sciage du bois d’œuvre destiné à la menuiserie, l’ameublement ou la
construction….
Papiers et carton recyclés (fibres de récupération) provenant de source industrielle
(chutes de transformation, emballages industriels et commerciaux, journaux invendus,
produits se bureaux...) et ménagère (vieux journaux, emballages ménagers…).
7. Le système de cogénération
Aux côtés de deux activités industrielles de production de papier (kraft et test liner), la
SOTIPAPIER dispose de revenus provenant de la vente d’énergie à la STEG. En effet, afin de
maitriser sa facture énergétique, la SOTIPAPIER a investi en 2007 environ 6MDT dans
l’installation de deux turbines à gaz de puissance totale 10 MW et de deux chaudières de
récupération de vapeur de capacité totale de 20 T/heure de vapeur saturé. A ce titre, la
SOTIPAPIER est la première société industrielle à avoir mis en place un système de
cogénération en Tunisie. L’objectif de cet investissement est de couvrir simultanément les
besoins énergétiques de l’usine, et diminuer les émissions de gaz à effet de serre .
L’investissement dans les deux unités garantit à la société une plus grande autonomie en
matière de production énergétique, et une réduction de la facture énergétique pour l’électricité
et le gaz comparativement à un approvisionnement classique intégral auprès de la STEG.
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II. Station de traitement d’eau
On va décrire les étapes de traitement des eaux utilisées dans les chaudières pour les
transformer en vapeur afin de sécher les papiers produits par cette usine.
1. Chaudières
Machine thermique qui permet d'élever la température de l'eau et de la transformer en eau
chaude ou en vapeur nécessaire pour sécher les papiers.
La vapeur d'eau alimente un processeur et elle est condensée après utilisation (eaux de
retour de condensats).
Une partie de cette vapeur est perdue et il est donc nécessaire d’alimenter régulièrement la
chaudière en eau dite eau d’appoint.
Augmentation progressive de la salinité de l’eau dans la chaudière (concentration).
Risques de précipitation de sels minéraux dans la chaudière.
Nécessité de procéder à une purge de la chaudière encore appelée purge
déconcentration.
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L’eau entré au chaudière doit avoir des caractéristique spécifique pour que les tubes
intérieurs de chaudière ne peuvent pas être endommagés
2. Caractéristique d’eau
pH
Conductivité
Dureté TH
Alcalinité TA TAC
L'unité de base normalisée pour la chimie de l'eau est le milligramme par litre (mg/l).
On trouve aussi le ppm (partie par million), dans le cas de l'eau dont la masse volumique est
pratiquement égale à 1.
Une solution relativement diluée de quelques grammes par litre d'un acide fort
comme l'acide chlorhydrique ou sulfurique a un pH voisin de 1.
Les solutions d'acides faibles comme l'acide citrique ou acétique ont des pH
variants entre 2 et 5.
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2.3.Dureté
Le TH indique la teneur globale en sels de calcium et de magnésium qui sont responsables de
la dureté de l'eau. Dans la plupart des eaux naturelles, le calcium contribue au TH dans la
proportion de 70 à 90 %.
L'unité de mesure du TH est le degré français (°f) : 1°f = 4 mg/l de calcium ou 2,4 mg/l de
magnésium, ou encore 10 mg/l de CaCO3 (carbonate de calcium ou plus communément
appelé « le tartre »)
Pour fixer les idées on considère que :
2.4.Alcanité TA/TAC
Ces deux valeurs permettent de connaître les concentrations en bicarbonates, carbonates et
éventuellement en hydroxydes (bases fortes) contenues dans l'eau.
Le TA dose la totalité des hydroxydes et la moitié des carbonates qui sont alors entièrement
transformés en bicarbonates à un pH de 8,3.
Le TAC correspond à la totalité des bicarbonates et des carbonates.
Le TA et le TAC s'expriment généralement en degré français (°f).
3. Sondage
D’où vient l’eau ? Où est-il stocké ?
Cette usine utilise deux puits et deux sondages pour avoir de l’eau. Pour le stockage, des
cuviers sont réservés dont un cuvier qui couvre 500m3 lié avec 3 pompes en accord avec
l’usine et un autre de 1000m3 lié à deux pompes 24 et 24’ l’un pour l’utilisation et l’autre
réserve pour passer au traitement : filtrage, adoucissement.
L’eau passe au traitement à l’aide d’une pompe centrifuge Caprari de type MEC
A2/65CD[2]
Tableau 1: caractéristique de pompe
Débit : Q 60 m3/h
Hauteur : H 45 m
Vitesse : N 3000 tr/mn
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Figure 4: pompe centrifuge de filtre
4. Filtrage
Cette station de traitement d’eau contient deux filtres avec sables. La filtration par le sable est
l'une des méthodes de traitement de l'eau les plus anciennes.
Un filtre à sable est constitué par une couche de sable de qualité adéquate, à travers laquelle
l'eau circule à vitesse relativement faible. Le filtre à sable purifie l'eau de trois manières
différentes :
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5. Régénération adoucisseur
5.1. Régénération
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5.2. Analyse fonctionnel SADT
Consigne Programme Réglage Alimentation
Eau dure
TH=40°F Diminuer la dureté de l’eau Eau adoucie
TH=0°F
Sels A-0
Résine Rejet
Sable
Automate+ pupitre
Eau adoucie
Eau dure
Régénérer l’eau
Sable A1
Résine Rejet
Adoucisseurs
Aspirer le sel
Eau salé
Sels A2
Agitateur A0
Adoucisseur 1
Régénérer l’eau
A12
Adoucisseur 2
A1
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5.3. Informations générales
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Videz 12 sacs de sel dans la citerne d’agitateur sel et remplissez-la avec de l’eau (Pour se faire
ouvrez la vanne de remplissage d’eau, une fois la citerne se remplie fermez la vanne).
5.5. Mesure du TH
Réactif d’analyse :
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Cycle d’un adoucisseur :
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Macro étape M0 :
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Macro étape M1 :
Conclusion
Dans ce chapitre on a étudié le principe de fonctionnement de régénération adoucisseur mais
comment faire l’automatisation ?
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Etude des matérielles
Introduction
Dans ce chapitre, on étudiera les différents composants du processus et les différents
logiciels utilisés et le choix de coffret armoire. Dans un premier lieu, on va faire une
présentation détaillée sur les composants utilisés. Dans un second lieu, on va faire la
programmation.
1. Choix de matérielles
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Alimentation CPU Module TOR et analogique
Figure 12: S7-300
Mémoires
Mémoire de travaille intégrée uniquement 256Ko Taille maximale
Mémoire de chargement intégrée 48 Ko de RAM, 48 Ko d’EPROM
Mémentos
Nombre 2048 bits
Rémanence : réglable par défaut De MB 0 à MB 15
Mémentos décadence Un octet de mémentos
Bloc de données
Nombre Maximum 1024
Taille Maximum 64 Ko
Rémanence : réglable par défaut Oui
Blocs
Bloc d’organisation (OB) 41, Taille : Maximum 8Ko
Bloc fonctionnelle (FB) 1024, Taille : Maximum 64Ko
Fonction (FC) 128, Taille : Maximum 8Ko
Temporisations/compteurs
Compteurs s7 256
Rémanence par défaut Z0 à Z7
Plage de comptage 0 à 999
Temporisation s7 256
Rémanence par défaut Aucune temporisation permanente
Rémanence réglable T0 à T7
Plage de comptage 10ms à 9990s
Sauvegarde
Présent Oui (garantie par la micro-carte
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mémoire sans maintenance)
Le dossier bloc, contient les blocs que l’on doit charger dans la CPU pour réaliser la tâche
d’automatisation, il englobe :
- Les blocs de code (OB, FB, SFB, FC et SFC) qui contiennent les programmes,
- Les blocs de données DB d’instance et DB globaux qui contiennent les
paramètres du programme.
Le bloc OB1 est généré automatiquement lors de la création d’un projet. C’est le
programme cyclique appelé par le système d’exploitation.
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Les blocs fonctionnels sont des blocs de code à données statiques. Le FB disposant d’une
mémoire, il est possible d’accéder à ces paramètres depuis n’importe quelle position du
programme utilisateur.
Les fonctions sont des blocs de codes sans mémoire. De ce fait, il faut que les valeurs
calculées soient traitées aussitôt après l’appel de la fonction.
Ces blocs de données servent uniquement à stocker des informations et des données mais
pas d’instructions comme les blocs de code. Les données utilisateurs stockés seront utilisées
par la suite par d’autres blocs.
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1.2.3. Vanne à commande pneumatique avec boitier de fin de course
Le montage de l’actionneur est du type arcade + entraîneur en inox selon norme EN 15081.
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Figure 16: Boitier fin de course
1.2.4. Electrovanne
Une électrovanne est un dispositif commandé électriquement, permettant d’autoriser ou
d’interrompre par une action mécanique, la circulation de fluide dans un circuit.
C’est un actionneur électromagnétique TOR, appelé souvent bobine ou solénoïde.
L’état change suivant qu’elles soient alimentées électriquement ou non. Il existe deux sortes
d’électrovannes tout ou rien :
- Les électrovannes dites normalement ouvertes qui sont entièrement ouvertes en
l’absence d’alimentation électrique (absence de tension) et qui se ferment lorsqu’elles
sont alimentées électriquement.
- Les électrovannes dites normalement fermées qui sont entièrement fermées en
l’absence d’alimentation électrique et qui s’ouvrent lorsqu’elles sont alimentées.
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Structures de l’électrovanne :
L’électrovanne est constituée principalement d’un corps de vanne où circule le fluide et d’une
bobine alimentée électriquement qui fournit une force magnétique déplaçant le noyau mobile
qui agit sur l’orifice de passage permettant ainsi, ou non le passage du fluide. La bobine doit
être alimentée d’une manière continue pour maintenir le noyau attiré.
L’électrovanne choisi est :
Le Type 6511 comprend une électrovanne pilote flipper Type 6144 et un siège de vanne. Le
principe du flipper permet une commutation de pression élevée avec une faible consommation
électrique et un temps de commutation rapide. Toutes les électrovannes sont équipées d'une
commande manuelle verrouillable. Type 6511 est modulaire et avec un connecteur au dos de
l'îlot de vanne, Type 8640, et avec un connecteur à l'avant dans l'actionneur pneumatique de
contrôle. Type 6511 peut être connecté à...
• Construction compacte
• Faible puissance
Tension de service 24 V DC
Puissance nominale 0.8 W
Temps de réponse [ms] Mesuré selon ISO 12238 <10ms
Ouverture / Fermeture
Montage Position indifférente, de préférence avec le
système magné- tique vers le haut
Connexion électrique sur la vanne Connecteur rectangulaire 2 pôles
avec trame 5.08 mm
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1.3. Contrôleur de dureté
On va choisir un contrôleur de dureté pour l’installer au niveau de sortie d’eau adoucie
Principe de fonctionnement :
Le BAMOSOFT comporte deux électrovannes qui laissent passer successivement l’eau brute
puis l’eau adoucie sur une électrode spécifique Ca++ /Mg++. Grâce à un algorithme dédié au
fonctionnement des adoucisseurs l’appareil mémorise les pentes d’activité, les compare,
procède à des vérifications plus ou moins espacées dans le temps et délivre ses informations
(mesure ok, alarme, vanne défectueuse, passage de saumure etc...) L’eau servant à
l’échantillonnage est rejetée sans pression. Le déclenchement des échantillonnages est géré
par le BAMOSOFT toutes les 15 minutes lorsque les résultats des premiers contrôles sont
stabilisés. On peut provoquer des contrôles ponctuels par sollicitation externe (compteur
d’eau avec impulsion, contact externe).
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Avantages
Compatible avec tous les adoucisseurs
Contrôle et surveillance en ligne
Unique, simple, écologique
Sans réactif
Electrode sélective ions calcium/magnésium
Montage aisé, sans maintenance ou réglage
Alarme à 10 % de la dureté d’entrée
Contrôle continu par autotest
Signalisation / Diodes
Il s’agit d’un interrupteur à flotteur, en nylon, totalement étanche et neutre pour nos
aquariums.
Le flotteur est constitué d’un cylindre, qui coulisse librement le long de la tige principale.
Par un jeu d’aimants, la position de ce cylindre permet d’ouvrir ou de fermer le circuit
électrique enfermé dans la tige principale.
En butée contre la tête du capteur, le courant passe. Dès que le flotteur s’éloigne de la tête, le
courant ne passe plus.
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Figure 20: sonde de niveau à contact
Ce type de capteur s’installe verticalement, de manière fixe, dans la cuve que l’on souhaite
piloter. La position « tête en haut » ou « tête en bas », permet de choisir le mode de
fonctionnement « normalement ouvert » ou « normalement fermé ».
La sensibilité lors des mouvements, est tout à fait adaptée à nos besoins. Un léger clapotis en
surface, n’entraîne pas un cycle d’ouverture / fermeture intempestif.
De plus, la marge de débattement du cylindre autour de la tige, permet également son
utilisation en aquarium d’eau de mer. Dans une certaine mesure, l’accumulation de sels ne
bloquera pas le cylindre, mais un entretien régulier reste indispensable.
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Il existe de très nombreux modèles de relais de ce type.
Le principe de base est toujours le même : il s’agit d’un interrupteur, piloté par une tension de
commande.
Le but est de commander le passage d’un courant fort, à partir d’une faible tension.
Par la suite, nous verrons que malgré leur mode de fonctionnement très basique, les relais
peuvent également être combinés entre eux, pour donner naissance à de véritables circuits
logiques.
Ce type de relais a une entrée de commande en 12 V de tension continue, et permet de piloter
un appareil électrique en 220 V jusqu’à 300 W de puissance.
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Programmation et supervision
Introduction
La programmation est un moyen pour automatiser des opérations des machines et des
installations. Après la configuration matérielle et avec l'exploitation de la table des
mnémoniques, la programmation sous STEP 7 est la troisième étape à réaliser pour créer un
programme S7. La compilation et le diagnostic des programmes réalisés sont effectuées après
le chargement dans la CPU pour chercher les erreurs dans le programme.
La simulation est un moyen final pour contrôler un programme en produisant un
environnement réel avant son implantation dans le processus de fabrication.
Dans ce présent chapitre, je vais dans un premier temps faire le gemma de système. Ensuite,
je vais faire la programmation et finalement je vais créer une interface Homme-Machine
(IHM) pour la supervision du système.
I. GEMMA
(Acronyme de : Guide d’Étude des Modes de Marche-Arrêt.)
Le GEMMA est un guide graphique structuré qui propose des modes de fonctionnement
types. Selon les besoins du système automatisé à étudier on choisit d'utiliser certains modes
de fonctionnement. Le guide graphique GEMMA est divisé en "rectangle d'état". Chaque
rectangle d'état a une position précise sur le guide graphique. Chaque rectangle d'état est relié
à un ou plusieurs autres rectangles d'états par des flèches orientées. Le passage d'un rectangle
d'état à un autre s'effectue un peu à la manière du franchissement d'une transition de grafcet.
Le guide graphique GEMMA n'est pas un outil figé, il est modulable à volonté suivant les
spécifications à obtenir.
L'étude faite avec un Gemma est très importante dans l'élaboration du fonctionnement d'un
système automatisé. Elle va permettre de structurer le fonctionnement du système. Si
généralement on souhaite que le système automatisé soit en production automatique, il est
nécessaire de connaître précisément tous les autres comportements. Ce n'est pas en appuyant
sur l'arrêt d'urgence que l'on "découvrira" le comportement du système dans cet état...
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Les grafcets de GEMMA
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Figure 26: Grafcet d'initialisation
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Figure 27: Grafcet de production normal
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Première adoucisseur Capteur ouverture Capteur fermeture
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J’ai réalisé ce gemma et le pupitre de commande à l’aide de logiciel automgen 8.102
II. Programmation
La ci-dessous représente les blocs du programme S7 que j’ai réalisé, qui permet
d’avoir une commande isolé pour l’unité de traitement d’eau adoucie.
Ils constituent l’interface entre le système d’exploitation et le programme utilisateur. Ils sont
appelés par le système d’exploitation et gèrent le traitement de programme cyclique et
déclenché les alarmes.
Dans mon programmation on a utilisé un bloc d’organisation OB1 est généré
automatiquement lors de la création d’un projet, il représente le programme principal, il
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contient l’appel de tous les blocs fonctions du programme (FC) ce bloc est appelé
cycliquement par le système d’exploitation.
Les blocs fonctionnels :
Un bloc fonctionnel (FB) est un bloc de code qui contient des données statiques, (exemple
programmation de graphe SFC dérivé du grafcet)
2. Configuration matérielles
Pour utiliser l’automate de simulation, on sélectionne le PLC puis on clique sur« démarrer la
simulation » alors la fenêtre de simulateur s’ouvre.
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Deuxièmement, on va charger notre programme dans l’automate en cliquant sur l’automate ci
dessous :
Charger
Ensuite on clique sur RUN-P pour mettre en marche notre automate.
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http://philippe.berger2.free.fr/automatique/cours/gemma/le_gemma.htm
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