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L’INFORMATIQUE ET L’ORDINATEUR
- les informations utiles doivent être disponibles pour l’ordinateur, donc être collectées,
clairement codifiées, saisies et enregistrées sur un support informatique (une « mémoire ») ;
- le problème à résoudre doit avoir été analysé avec précision, la façon d’en obtenir la solution
doit avoir été traduite sous la forme d’un programme. L’ordinateur est une machine
électronique qui inclue des dispositifs optiques, électromécaniques ou électromagnétiques et dont
le fonctionnement est guidé par des programmes réalisés par l’homme :
- l’ordinateur est un outil complexe. Il est encore nécessaire d’en connaître le fonctionnement
pour bien l’utiliser.
L’ordinateur fonctionne aujourd’hui comme à ses débuts. C’est une machine qui travaille sur des
données binaires (représentées symboliquement par des suites de 0 et de 1) de manière
séquentielle et au rythme d’une horloge interne :
- dans l’ordinateur, toute information est représentée par une suite de bits. Un bit (abréviation de
- à chaque « top » d’horloge, il y a modification d’une série de bits représentant les données en
cours de traitement ;
Le terme informatique fut crée (en 1962 par Philippe Dreyfus) par la réunion des deux termes
information et automatique. Il s'agit du traitement automatique de l'information.
L'automatisme
L'une des traditions dans lesquelles l'informatique puise une partie de sa force est celle de
l'automatisme. Un automate est une machine imitant les mouvements, les fonctions ou les actes
d'un corps animé.
L'information
L'information analogique a comme support un signal continu, une oscillation dans une ligne
électrique par exemple.
L'information digitale désigne l'information codée de façon symbolique par des chiffres (par
exemple, décimaux). Les ordinateurs traitent des informations digitales codée en base 2 (binaire).
Le message transmis est alors constitué par des successions (ou paquets) de chiffres, sous forme
de signaux binaires.
Ce que l'on appelle la théorie de l'information, (Claude Shannon, 1948), fournit une mesure de
quantité d'information dont l'unité est le "le bit" (Binary digIT ; digit = nombre d'où digitaliser
veut dire « numériser »). Le Bit, c'est la quantité d'informations contenue dans le choix
élémentaire entre deux possibilités également probables, comme dans le cas du lancer d'une
pièce de monnaie pour obtenir pile ou face.
L'une des premières utilisation du code binaire par une machine fut le métier à tisser de Jacquard.
Joseph Marie Jacquard (1752-1834) construisit en 1804 le premier métier à tisser entièrement
LEÇON I
EVALUATION I
R:
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4- C’est quoi le « 0 et 1 » ?
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Ordinateur, définition :
Automatique, définition :
Le terme « donnée » , en anglais (data) est souvent preferee au terme « information ». Ces deux
(2) sont synonymes et on les utilise comme deux (2) concepts distincts :
Elément constitutif d'un logiciel ou un ensemble d’opérations destinées à être exécutées par un
ordinateur.
Bit, définition :
Codification, définition :
C’est le rassemblement de plusieurs éléments selon un ou plusieurs critères afin de les organiser,
classer ou encore les regrouper.
Binaire, définition :
Est dit binaire tout élément qui n'existe qu'en deux états : 1 ou 0, vrai ou faux. On
LEÇON I
- d’un « boîtier unité-centrale » qui contient les mémoires de l’ordinateur (mémoire vive ou «
RAM », mémoires mortes ou « ROM », disques) et son organe actif, le processeur central ou
microprocesseur (par exemple PENTIUM 4), ainsi que divers circuits électroniques nécessaires
au fonctionnement de l’ensemble;
Les disques (disque interne, disquette ou disque optique -CD-) permettent de conserver données
et programmes entre deux utilisations de l’ordinateur ou de les transférer d’une machine à
l’autre.
Au plan logiciel (les logiciels sont constitués de programmes), l’ordinateur dispose d’un système
1. L'unité arithmétique et logique (UAL) ou unité de traitement : son rôle est d'effectuer
les opérations de base, un peu comme le ferait une calculette.
2. L'unité de contrôle (UC). C'est l'équivalent des doigts qui actionneraient la calculette.
3. La mémoire qui contient à la fois les données et le programme qui dira à l'unité de
contrôle quels calculs faire sur ces données. La mémoire se divise entre mémoire vive
(programmes et données en cours de fonctionnement) et mémoire permanente
(programmes et données de base de la machine).
4. Les entrées-sorties : dispositifs qui permettent de communiquer avec le monde extérieur.
Unité de contrôle
L'unité de contrôle, ou UC, prend ses instructions dans la mémoire. Celles-ci lui indiquent ce
qu'elle doit ordonner à l'UAL et, comment elle devra éventuellement agir selon les résultats que
celle-ci lui fournira. Une fois l'opération terminée, l'unité de contrôle passe soit à l'instruction
suivante, soit à une autre instruction à laquelle le programme lui ordonne de se brancher.
L'unité de contrôle facilite la communication entre l'unité arithmétique et logique, la mémoire
ainsi que les périphériques. Il gère la plupart de l'exécution des instructions dans l'ordinateur.
Mémoire
Au sein du système, la mémoire peut être décrite comme une suite de cellules numérotées
contenant chacune une petite quantité d'informations. Cette information peut servir à indiquer à
l'ordinateur ce qu'il doit faire (instructions) ou contenir des données à traiter. Dans la plupart des
architectures, c'est la même mémoire qui est utilisée pour les deux fonctions. Cette mémoire peut
être réécrite autant de fois que nécessaire.
Entrées-Sorties
Les dispositifs d'entrée/sortie permettent à l'ordinateur de communiquer avec l'extérieur (clavier,
écran, imprimantes, etc.).
Le point commun entre tous les périphériques d'entrée est qu'ils convertissent l'information qu'ils
récupèrent de l'extérieur en données compréhensibles par l'ordinateur. À l'inverse, les
périphériques
de sortie décodent l'information fournie par l'ordinateur afin de la rendre compréhensible par
l'utilisateur (voir chapitre 3).
1) Les mainframes (en français ordinateurs centraux), ordinateurs possédant une grande
puissance de calcul, des capacités d’entrée-sortie gigantesques et un haut niveau de
fiabilité. Les mainframes sont utilisés dans de grandes entreprises pour effectuer des
opérations lourdes de calcul ou de traitement de données volumineuses. Les main frames
sont généralement utilisés dans des architectures centralisées, dont ils sont le coeur.
– Les ordinateurs de bureau (en anglais desktop computers), composés d’un boîtier renfermant
une carte mère et permettant de raccorder les différents périphériques tels que l’écran.
– Les ordinateurs portables (en anglais laptop ou notebooks), composé d’un boîtier intégrant un
écran dépliable, un clavier et un grand nombre de périphériques incorporés.
– Les tablettes PC (en anglais tablet PC), composées d’un boîtier intégrant un écran tactile ainsi
qu’un certain nombre de périphériques incorporés.
– Les centres multimédia (en anglais Media Center), représentant une plate-forme matérielle,
destinée à une utilisation dans le salon pour le pilotage des éléments hifi (chaîne hifi, téléviseur,
platine DVD, etc.)
PC de bureau
PC portable
Tablette PC
Mainframes
Le boîtier
Le boîtier renferme la carte mère, celle-ci est un circuit imprimé et elle est le coeur de
l’ordinateur. C’est sur la carte mère que se greffent tous les autres composants suivants :
Le microprocesseur est l’élément principal de l’ordinateur, il traite et fait circuler les données.
Plus cette circulation d’information est rapide, plus l’ordinateur sera jugé performant.
La mémoire vive, mémoire centrale ou RAM (Random Access Memory) est l’endroit où
l’ordinateur entrepose temporairement les données et les programmes qu’il est en train d’utiliser.
L’entreposage dure tant que l’on ne coupe pas le courant. La taille de la mémoire peut être
augmentée par ajout de RAM sous forme de barrettes. Plus il y a de
mémoire, plus l’ordinateur est rapide.
La mémoire cache est une petite zone de mémoire ultrarapide où sont conservées les
instructions et données qui reviennent le plus souvent. Cette mémoire interne est de petite taille.
Les connecteurs d’extensions sont des emplacements disponibles sur la carte mère destinés à
recevoir des cartes d’usages divers.
Les cartes vidéo permettent de décharger le microprocesseur des calculs de l’affichage. Elles
sont indépendantes, car elles sont placées sur un connecteur d’extension.
Les cartes son permettent d’Enregistrer et de reproduire du son, et de piloter un lecteur de CD-
LEÇON I
ROM. Elles se branchent sur un connecteur d’extension.
La souris
La souris (en anglais « mouse ») est un périphérique de pointage servant à déplacer un curseur
sur l’écran et permettant de sélectionner, déplacer, manipuler des objets grâce à des boutons.
La souris est généralement branchée à l’arrière de l’unité centrale, sur la carte mère, sur un
connecteur
PS/2 de couleur verte ou sur un port USB.
Le clavier
Le clavier (en anglais « keyboard ») permet, à la manière des machines à écrire, de saisir des
caractères (lettres, chiffres, symboles, etc...), il s’agit donc d’un périphérique d’entrée essentiel
pour l’ordinateur, car c’est grâce à lui qu’il nous est possible d’envoyer des commandes.
Le terme « AZERTY » (en rapport avec les 6 premières touches alphabétiques du clavier)
désigne un type de clavier, équipant la quasi-totalité des ordinateurs des pays francophones. Il
Les claviers sont généralement branchés à l’arrière de l’unité centrale, sur la carte mère, sur un
connecteur PS/2 de couleur violette ou sur un port USB, On rencontre des claviers filaires ou
sans fils (présence d’un module de transmission en association avec la souris).
1. Les écrans à tube cathodique (noté CRT pour Cathod Ray Tube), technologie qui tend à
disparaître. Il s’agit de moniteurs volumineux et lourds, possédant une consommation
électrique élevée.
2. Les écrans plats (notés parfois FPD pour Flat panel display ou LCD pour Liquid Crystal
Display) équipant la totalité des ordinateurs portables, smartphones, les appareils photo
numérique, ainsi que la quasi-totalité des ordinateurs de bureau. Il s’agit d’écrans peu
encombrants en profondeur (d’où leur nom), légers et possédant une faible consommation
électrique et n’émettent pas de rayonnement électromagnétique.
EVALUATION II
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7- Que signifie « PC » ?
R:
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abort, to – abandoner
account – compte
add-on - complémentaire/d’extension
commit – validation
compatibility – compatibilité
LEÇON I
SIGLES ET ABREVIATIONS
RECHERCHE
1) écran
2) la carte-mère
3) le processeur
4) la mémoire vive
5) la carte graphique
Ces 10 éléments composent l'architecture de votre ordinateur. Si l'un des éléments numérotés 1 à
8 vient à manquer, l'ordinateur ne sera pas fonctionnel.
LA CODIFICATION BINAIRE
Le choix du binaire résulte du fait que de nombreux phénomènes physiques admettent deux états
stables et faciles à distinguer.
Dès lors, le développement de l’algèbre de Boole (une algèbre définissant diverses opérations sur
Codage d’information Les informations traitées par les ordinateurs sont de différentes natures :
nombres, texte, images, sons, vidéo, programmes, … Dans un ordinateur, elles sont toujours
représentées sous forme binaire (BIT : Binary digIT) une suite de 0 et de 1
Codage de l’information : permet d’établir une correspondance qui permet sans ambiguïté de
passer d’une représentation (dite externe) d’une information à une autre représentation (dite
interne : sous forme binaire) de la même information, suivant un ensemble de règle précise.
EXEMPLE A DECRIRE
Le système métrique est organisé sur une base décimale : 1 kilogramme = 1000 grammes, 1
décagramme = 10 grammes, ... .
Des préfixes permettent d’abréger l’écriture des valeurs. Par exemple kilo pour un facteur 1000
(103), méga pour un facteur 1000 000 (106 ) ou giga pour un facteur 1000 000 000 et terra pour
Il en va de même en informatique, avec une nuance car il est d’usage de compter en puissances
de 2. Le kilo vaut alors 210 soit 1024 et non 1000. Dans cette convention, 1 kilo (K) = 1024 , 1
méga (M) = 1024 x 1024 = 220 , 1 giga (G) = 1024 x 1024 x 1024 = 230 et 1 terra = 240 .
La capacité des mémoires et des disques est par ailleurs mesurée en octets (un octet est une suite
de 8 bits qui permet de stocker un caractère codé en ASCII). Ainsi par exemple 1 Ko = 1 kilo
octet = 8192 bits.
( RECHERCHE)
Le « PC » (personal computer) est un outil individuel, en ce sens qu’il n’est utilisé directement et
à un instant donné que par un seul utilisateur.
Pour autant, en entreprise, l’utilisateur du PC n’a pas toute liberté pour équiper et aménager ce
poste de travail :
- un ordinateur individuel peut parfois être utilisé par différentes personnes, en raison de
l’absence de son principal utilisateur ou en cas de travail en équipe. Chacun doit alors pouvoir
s’en servir sans avoir à rechercher le sens d’innombrables « astuces » imaginées par le «
propriétaire » précédent .
En règle générale, le poste doit être maintenu en bon état d’utilisation par la personne à qui il est
confié. Ce qui impose une connaissance suffisante de la composition et du fonctionnement de la
machine.
Dans les petites organisations, un utilisateur pourra même être chargé de choisir lui-même son
ordinateur et ses caractéristiques et d’en piloter l’acquisition, d’y installer de nouveaux
composants matériels ou logiciels, d’effectuer un premier diagnostic en cas de panne afin
d’orienter les techniciens spécialisés et de réduire les coûts d’entretien.
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3- VRAI ou FAUX :
« Dans un réseau « poste à poste », où chaque machine laisse certaines de ses ressources
accessibles aux autres ».
R:
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5- A quoi cela implique quand le poste est maintenu en bon état d’utilisation par la
personne à qui il est confié ?
R:
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LA CARTE-MERE
La théorie de l'information développée par Claude Shannon en 1948, fournit une mesure
de quantité d'information. Son unité est le "le bit" (Binary digIT ; digit = nombre, d'où digitaliser
=
numériser).
Le Bit est la quantité d'information contenue dans le choix élémentaire entre deux
possibilités 0 ou 1, comme c’est le cas du lancé d'une pièce de monnaie pour obtenir pile ou
face.
La carte mère, par définition, est un circuit imprimé qui supporte divers composants.
Elle intègre le réceptacle du processeur, appelé SOCKET. Chaque socket est défini pour
recevoir un type de processeurs.
Les sockets sont nommés par les constructeurs.
Au cours de son évolution, la carte-mère a intégré de plus en plus de fonctions, qui auparavant,
s'obtenaient en rajoutant des cartes supplémentaires. Par exemple, carte son, carte USB, ou la
carte réseau et même parfois la carte graphique sont devenues partie intégrante de la carte-mère.
Pour interconnecter toutes ces fonctions la carte-mère utilise des circuits spéciaux appelés
Chipset. Ces derniers ont pour rôles de faire dialoguer le processeur, la RAM, les disques durs et
tous les périphériques ensembles.
Certains des périphériques d'un ordinateur demandent à être configurés. Pour cela, la carte-mère
dispose d’un BIOS (Basic Input/Output System), un programme de démarrage qui permet de
tester le matériel et le périphérique présent et de leur appliquer des paramètres de configuration.
Si pour une raison quelconque un périphérique, la RAM, ou une carte d’extension est
défectueuse ou ne s’initialise pas, la carte-mère émet un certain nombre de «bip» pour indiquer le
dysfonctionnement, en fonction du modèle du BIOS. Chaque séquence de «bip» correspond à
une erreur.
Par exemple, sur certaines cartes-mère, trois «bips» brefs et consécutifs indiquent que les
barrettes de mémoires ne sont pas détectées... Les correspondances de ces codes dépendent de
votre BIOS. Outre, le socket, la carte-mère incorpore aussi différents éléments d'importance:
La ZONE X en jaune, regroupe tous les connecteurs externes de la carte mère: les ports usb,
ceux pour le clavier et la souris, la carte son si elle est intégrée, pareil pour la carte réseau, le port
LTP de moins en moins utilisé pour les imprimantes...
2) Les slots mémoires: Ils sont de couleurs différentes car cette carte mère peut faire fonctionner
deux barrettes identique en dual Channel (meilleures performances). A savoir que certaines
cartes mères peuvent accueillir deux générations de mémoires différentes.
6) Le slot PCI-E (express) est un slot graphique beaucoup plus performant que l'agp.
7) Les slots pci: pour connecter tout type de périphériques supplémentaires, (par exemple un
tuner tv ou tnt).
9) Connecteurs sata pour lecteur cdrom et disque dur (bande passante plus rapide que l'ide).
MICROPROCESSEUR ou processeur
En binaire, une information élémentaire est appelé bit et ne peut prendre que deux valeurs
différentes : 0 ou 1.
Une information plus complexe sera codée sur plusieurs bit. On appelle cet ensemble un mot.
Un mot de 8 bits est appelé un octet.
Attention !! :
Le concept de microprocesseur a été créé par la Société Intel. Cette Société, créée en 1968, était
spécialisée dans la conception et la fabrication de puces mémoire.
C’est aussi l’élément qui, comparé aux autres composants électroniques du PC, est le plus
coûteux et dont les performances évoluent le plus. Le premier microprocesseur, le 4004 a été
fabriqué en 1971.
Parler de processeur est un raccourci de langage, puisqu'il s'agit en fait d'un microprocesseur :
une puce de silicium contenant des millions de circuits intégrés miniaturisés. Chaque processeur
est conçu pour être fixé sur un socket.
Voici les supports de processeur que l’on trouve sur les cartes mère actuelles :
- Le socket 370 qui possède 370 contacts en quinconce pour recevoir un Pentium III.
- Le Socket 462 souvent appelé Socket A est destiné aux Athlon et Duron d’AMD
- Le socket 423 a été le premier type de socket pour Pentium 4, il a été remplacé en
2001 par socket 478 lui aussi en fin de carrière
- Le socket LGA 775 existe depuis 2004 et reçoit aussi bien les Pentium 4 que les Pentium D
(Dual Core) ou les Core 2 Duo les plus récents
- Du côté d’AMD, les Athlon 64 se trouvent en version socket 754 et 939
- Le socket AM2 (940 broches) convient aux derniers processeurs d’AMD : Sempron, Athlon 64
Le FSB (Front Side Bus) ou le QPI (Quick Path Interconnect) : c' est la quantité de données que
le CPU peut recevoir et envoyer dans un intervalle donné.
C ' est la partie du processeur qui vient se logé dans le socket de la carte mère par l' in-
termédiaire de picots.
Le nombre de picots correspond au nom du socket (socket 754, 939, 771, 775, etc..). Petite
exception pour le socket AM2 (940 picots). Pour un processeur socket 775, il vous faut une carte
mère socket 775.
Le FSB (Front Side Bus) ou le QPI (Quick Path Interconnect) : c' est la quantité de données que
le CPU peut recevoir et envoyer dans un intervalle donné. La fréquence du processeur découle
du FSB car elle est égale au FSB multiplié par un coefficient propre au processeur. Par exemple,
LES BUS
La performance d’un bus est conditionnée par sa capacité de transport simultané (16, 32, 64 bits
…) et par l’électronique qui le pilote (le « chipset »).
Exemples : Bus IDE (Integrated Drive Electronic) qui gère en standard disque dur, disquette et
CD-ROM, bus PCI (Peripheral Component Interconnect) destiné aux périphériques rapides
(disques SCSI notamment), bus AGP (Accelerated Graphics Port) destiné à la vidéo.
On peut classer les différents bus en deux catégories : les BUS internes à l'unité centrale et les
BUS externes.
BUS internes
Ils servent à connecter entre-eux les différents composants internes de l'unité centrale. Au sein
même de cette catégorie la distinction peut être faite entre les bus "système" qui interconnectent
la mémoire centrale et les contrôleurs des périphériques au microprocesseur, et les bus qui
connectent les différents périphériques à leurs contrôleurs. Dans le cadre de cette formation nous
ne retiendrons que ces derniers comme bus internes.
Les BUS internes les plus connus sont, dans leur ordre d'apparition sur le marché :
Le Bus PCI
Le Peripheral Component Interconnect (PCI) est un standard de BUS interne permettant de
connecter des cartes d'extension sur la carte mère d'un ordinateur. Deux cartes PCI peuvent
communiquer entre elles sans passer par le processeur. Exemples de PCI : la carte son, la carte
graphique (actuellement, on utilise plutôt le PCI-Express), la carte réseau …
Le Bus AGP
Le Advanced/Accelerated Graphics Port, ou Port Graphique Avancé/Accéléré, est un port interne
destiné uniquement aux cartes graphiques. Bien plus rapide et performant que le PCI .
SATA
Le standard Serial ATA (S-ATA ou SATA) est un BUS permettant la connexion de
périphériques de stockage haut débit sur les ordinateurs de type PC. Dans les PC actuels, le
SATA a remplacé la norme ATA parce que les nappes de type ATA n'étaient pas faites pour
supporter de trop hautes fréquences, ce qui en limitait les performances.
BUS externes
• Définition
• Le Bus USB
L'Universal Serial BUS, autrement dit l'USB, est un BUS informatique dit « à transmission série
», servant à connecter des périphériques informatiques à un ordinateur. Le BUS USB permet de
connecter des périphériques à chaud, et en bénéficiant du Plug and Play (brancher et allumer, en
français).
Le Bus FireWire
Le FireWire a été mis au point (à la fin de l'année 1995) pour fournir un système
d'interconnexion à haute vitesse, et nommé ainsi par Apple. Il s'agit d'un port permettant de
connecter des périphériques tels que des caméras ou des disques durs externes à très haut débit. Il
n'a pas rapporté le succès des clefs USB, bien qu'il soit plus performant
Le fonctionnement des bus et du processeur est cadencé par une horloge interne placée
sur la carte mère.
TEST
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La mémoire RAM
La mémoire RAM: (Random Access Memory). Ce type de mémoire est volatile, cela veut dire
que les données qu'elle contient seront perdues si l'alimentation en électricité s'arrête. La
mémoire RAM est utilisée dans les ordinateurs pour le traitement des données car elle est
beaucoup plus rapide, elle permet donc de meilleures performances pour l'ordinateur.
La mémoire vive, mémoire système ou mémoire volatile (RAM (Random Access Memory
mémoire à accès aléatoire) ou RWM (Read Write Memory mémoire en lecture écriture) est la
mémoire dans laquelle un ordinateur place les données lors de leur traitement. Les
caractéristiques de cette mémoire sont :
* sa rapidité d'accès (cette rapidité est essentielle pour fournir rapidement les données au
processeur) ;
* sa volatilité (cette volatilité implique que les données sont perdues dès que l'ordinateur cesse
d'être alimenté en électricité).
La mémoire Virtuelle: Elle est stockée sur le disque dur d'un ordinateur et permet l'échange de
les barrettes au format SIMM (Single Inline Memory Module) : il s'agit de circuits imprimés
dont une des faces possède des puces de mémoire. Il existe deux types de barrettes SIMM,
selon le nombre de connecteurs :
Les barrettes SIMM à 30 connecteurs (dont les dimensions sont 89x13mm) sont des
mémoires 8 bits qui équipaient les premières générations de PC (286, 386).
Les barrettes SIMM à 72 connecteurs (dont les dimensions sont 108x25mm) sont des
mémoires capables de gérer 32 bits de données simultanément. Ces mémoires équipent
des PC allant du 386DX aux premiers Pentium. Sur ces derniers le processeur travaille
avec un bus de données d'une largeur de 64 bits, c'est la raison pour laquelle il faut
absolument équiper ces ordinateurs de deux barrettes SIMM. Il n'est pas possible
d'installer des barrettes 30 broches sur des emplacements à 72 connecteurs dans la mesure
les barrettes au format DIMM (Dual Inline Memory Module) sont des mémoires 64 bits, ce
qui explique pourquoi il n'est pas nécessaire de les apparier. Les barrettes DIMM possèdent
des puces de mémoire de part et d'autre du circuit imprimé et ont également 84 connecteurs de
chaque côté, ce qui les dote d'un total de 168 broches. En plus de leurs dimensions plus
grandes que les barrettes SIMM (130x25mm) ces barrettes possèdent un second détrompeur
pour éviter la confusion.
Compte tenu de leur vitesse de transfert élevée, les barrettes RIMM possèdent un film thermique
chargé d'améliorer la dissipation de la chaleur.
Une barrette de RAM se caractérise par sa forme, le type de mémoire RAM utilisé, sa fréquence
de fonctionnement et sa capacité (quantité d’octets pouvant être stockés).
La mémoire vive se présente sous la forme de barrettes DIMM (Dual Inline Memory Module).
Physiquement, les différents types de RAM se distinguent par une encoche les empêchant de se
monter sur une carte mère qui ne les supporte pas.
Un des éléments d'un ordinateur est l'unité centrale de calcul (en anglais : Central Processing LES BASES DE L’ORDINATEUR
Unit). Cette unité centrale reçoit des informations via des périphériques d'entrée (clavier, lecteur
de code barre, souris, ...), les traite et envoie les résultats sur des périphériques de sortie (écran,
imprimante, hauts-parleurs, ...). Pour ces traitements, l'unité centrale a besoin d'espace de
stockage "immédiat", la mémoire RAM (Random Access Memory).
Le CPU est extrêmement rapide (de l'ordre du giga-hertz, GHz) mais il va chercher ses
informations dans la mémoire RAM qui est trop lente. Les différents fondeurs de puces ont alors
La mémoire cache de niveau 1 (L1 pour level 1 ou Internal Cache) est gravée dans le circuit du
processeur, elle est directement en relation avec le CPU et travaille à la même vitesse que lui. Sa
capacité actuelle est souvent de 512 ko. C'est là où seront stockées les informations auquelles le
CPU devra accéder souvent et/ou rapidement.
Si l'information cherchée ne se trouve pas dans la cache L1, le CPU va la chercher plus loin,
dans la mémoire cache externe (External Cache). Sa capacité actuelle est souvent de 512 ko à 2
Mo. Mais, comme elle n'est pas dans les circuits mêmes du processeur, la vitesse d'accession à
ses informations est moins rapide.
Finalement, si l'information n'est toujours pas trouvée, le CPU peut aller la chercher dans
la mémoire RAM, beaucoup plus lente mais également beaucoup imposante en termes de
capacité (actuellement entre 128 Mb et 1 Gb).
Lorsque l'information doit être déplacée d'un type de mémoire à un autre type, le CPU utilise
la technique de paging : il déplace des blocs d'informations, dont l'information dont il a besoin.
En effet, il assume qu'il aura bientôt besoin d'autres informations et que ces dernières se trouvent
aux alentours de l'information dont il a besoin pour le moment.
Entre les différents types de mémoires et le CPU, les "chemins" sont appelés des bus. La vitesse
d'un bus peut etre différente entre les mémoires. Elle tourne autour des 200 MHz. Ainsi, on dira
que la mémoire cache L1 est rapide car elle ne passe pas par un bus pour communiquer avec le
CPU.
Certains programmes de Microsoft sont bien connus pour occuper de plus en plus de mémoire
(par exemple, Internet Explorer), suite à des fuites de mémoire : le programme laisse des bouts
de mémoire dont il n'a plus besoin en RAM et les oublie. Mais le système d'exploitation sait
qu'ils existent toujours et doit essayer de faire de la place pour les nouvelles fonctionnalités
demandées par l'utilisateur. Le système d'exploitation va swapper tout seul et meme s'il est tout
seul.
La mémoire ROM ou « mémoire morte » contient le BIOS (Basic Input Output System), un
micro-programme chargé de contrôler et de reconnaître les différents éléments de l’ordinateur et
d’initialiser son fonctionnement lors du démarrage (notamment en assurant la fonction de «
bootstrap » ou amorce, qui consiste à commencer le chargement du système d’exploitation en
RAM).
LA ROM Elle est programmée par le fabricant et son contenu ne peut plus être ni modifié., ni
effacé par l'utilisateur. ƒ
Structure : Cette mémoire est composée d'une matrice dont la programmation s’effectue en
Programmation : La PROM , c’est une ROM qui peut être programmée une seule fois par
l'utilisateur (Programmable ROM). La programmation est réalisée à partir d’un programmateur
spécifique. ƒ
Structure : Les liaisons à diodes de la ROM sont remplacées par des fusibles pouvant être
détruits ou des jonctions pouvant être court-circuitées.
ƒ Avantages :
idem ROM
Claquage en quelques minutes
Coût relativement faible ƒ
Les principaux critères à retenir sont : f capacité f vitesse f consommation f coût 3.5 Notion de
hiérarchie mémoire Une mémoire idéale serait une mémoire de grande capacité, capable de
stocker un maximum d’informations et possédant un temps d’accès très faible afin de pouvoir
travailler rapidement sur ces informations. Mais il se trouve que les mémoires de grande capacité
sont souvent très lente et que les mémoire rapides sont très chères. Et pourtant, la vitesse d’accès
à la mémoire conditionne dans une large mesure les performances d’un système. En effet, c’est
là que se trouve le goulot d’étranglement entre un microprocesseur capable de traiter des
informations très rapidement et une mémoire beaucoup plus lente (ex : processeur actuel à 3Ghz
et mémoire à 400MHz). Or, on n’a jamais besoin de toutes les informations au même moment.
Afin d’obtenir le meilleur compromis coût-performance, on définie donc une hiérarchie
mémoire. On utilise des mémoires de faible capacité mais très rapide pour stocker les
informations dont le microprocesseur se sert le plus et on utilise des mémoires de capacité
importante mais beaucoup plus lente pour stocker les informations dont le microprocesseur se
sert le moins. Ainsi, plus on s’éloigne du microprocesseur et plus la capacité et le temps d’accès
des mémoire vont augmenter.
Différentes mémoires de type ROM contiennent des données indispensables au démarrage, c'est-
à-dire :
Le Setup CMOS, c'est l'écran disponible à l'allumage de l'ordinateur permettant de modifier les
paramètres du système (souvent appelé BIOS à tort...).
Etant donné que les ROM sont beaucoup plus lentes que les mémoires de types RAM (une ROM
a un temps d'accès de l'ordre de 150 ns tandis qu'une mémoire de type SDRAM a un temps
d'accès d'environ 10 ns), les instructions contenues dans la ROM sont parfois copiées en RAM
au démarrage, on parle alors de shadowing (en français cela pourrait se traduire par ombrage,
mais on parle généralement de mémoire fantôme).
Les ROM ont petit à petit évolué de mémoires mortes figées à des mémoires programmables,
puis reprogrammables.
ROM
Les premières ROM étaient fabriquées à l'aide d'un procédé inscrivant directement les données
binaires dans une plaque de silicium grâce à un masque. Ce procédé est maintenant obsolète.
PROM
Les PROM (Programmable Read Only Memory) ont été mises au point à la fin des années 70 par
la firme Texas Instruments. Ces mémoires sont des puces constituées de milliers de fusibles (ou
bien de diodes) pouvant être "grillés" grâce à un appareil appelé « programmateur de ROM »,
EPROM
Les EPROM (Erasable Programmable Read Only Memory) sont des PROM pouvant être
effacées. Ces puces possèdent une vitre permettant de laisser passer des rayons ultra-violets.
Lorsque la puce est en présence de rayons ultra-violets d'une certaine longueur d'onde, les
fusibles sont reconstitués, c'est-à-dire que tous les bits de la mémoire sont à nouveau à 1. C'est
pour cette raison que l'on qualifie ce type de PROM d'effaçable.
EEPROM
Les EEPROM (Electrically Erasable Read Only Memory) sont aussi des PROM effaçables, mais
contrairement aux EPROM, celles-ci peuvent être effacées par un simple courant électrique,
c'est-à-dire qu'elles peuvent être effacées même lorsqu'elles sont en position dans l'ordinateur.
Enfin la densité de la mémoire Flash est plus importante, ce qui permet la réalisation de puces
contenant plusieurs centaines de Mégaoctets. Des EEPROM sont ainsi préférentiellement
utilisées pour la mémorisation de données de configuration et la mémoire Flash pour du code
programmable (programmes informatiques).
Tous les composants de votre ordinateur travaille ensemble, et la mémoire est l'un des joueurs de
cette équipe les plus essentiels. Elle est sollicitée dès que vous allumez votre ordinateur et
jusqu'à ce que vous l'éteignez. Voici un bref aperçu de ce qui se passe:
Vous allumez votre ordinateur. L'ordinateur charge alors les données de lecture simple (ROM) et
effectue alors un power-on self-test (POST ou test automatique d'allumage) pour s'assurer que
Ensuite, l'ordinateur démarre le système d'exploitation à partir du disque dur et le stocke dans la
mémoire vive aussi longtemps que l'ordinateur est allumé. Cela permet au procésseur d'accéder
directement au système d'exploitation sans transition, ce qui permet un fonctionnent plus rapide
et efficace du système.
Lorsque vous démarrez une application tel que votre navigateur web ou un jeu, ses données sont
stockées par la mémoire vive.
Ce stockage n'est que temporaire. Lors de la sauvegarde de données, elles seront inscrite dans
l'un de vos périphériques de stockage. La mémoire vive ne conserve pas ces informations de
manière permanente.
Comme vous pouvez le constater, la mémoire vive est sollicité chaque fois qu'un programme est
ouvert ou fermé, et que ses données y sont stockées afin de faciliter leur traitement par le
procésseur.
Le tableau suivant présente les principales différences entre Random-accès et de lecture seule
1.
2.
Normalement ROM est en lecture seule mémoire et il ne peut pas être écrasé. Cependant, les
EPROM peuvent être reprogrammées
3.
4.
RAM est une mémoire volatile. Cela signifie que les données dans la RAM seront perdues si
l'alimentation est coupée
ROM est une mémoire permanente. Les données de ROM resteront comme il est, même si on
enlève le bloc d'alimentation
5.
Il existe plusieurs types de mémoire ROM; ROM effaçable, ROM programmable, EPROM, etc.
6.
RAM stocke toutes les applications et les données lorsque l'ordinateur est en marche
ROM stocke habituellement des instructions qui sont nécessaires pour le démarrage (démarrage),
l'ordinateur
7.
9.
Le contenu de la ROM sont généralement d'abord transférées vers la mémoire RAM, puis
accessible par le processeur. Ceci est fait afin d'être en mesure d'accéder au contenu de la ROM à
une vitesse plus rapide.
10.
RAM et ROM sont toutes deux partie intégrante d'un système informatique moderne. Voulez-
vous savoir quand ROM fonctionne et quand la RAM est en jeu? Eh bien, lorsque vous allumez
votre ordinateur, vous pouvez voir un écran noir avec du texte blanc. Ce texte provient de ROM.
Les instructions ROM contrôlent l'ordinateur pour la première quelques secondes lorsque vous
allumez. Au cours de cette période , des instructions comme " la façon de lire à partir du disque
dur", "comment imprimer sur l' écran" sont chargés de la ROM. Une fois que l'ordinateur est
capable de faire ces opérations de base, le système d'exploitation (Windows / Linux / OSX etc.)
est lu à partir du disque dur et chargé dans la mémoire vive. La vidéo suivante explique RAM vs
concept ROM plus loin.
Le BIOS est une puce de l’ordinateur qui se trouve sur la carte mère, ressemblant à l’image sur la
droite. Cette puce contient un programme spécial qui permet au processeur de l’ordinateur
d’interagir et de contrôler les autres composants de l’ordinateur. Ces autres composants
comprennent les lecteurs de disques, cartes vidéo, cartes son, cartes réseau, lecteurs de
disquettes, ports USB, disques durs et autres. Sans le BIOS, le processeur ne saurait pas
comment intéragir ou se connecter avec les composants de l’ordinateur, et l’ordinateur ne serait
pas en mesure de fonctionner.
La configuration de la CMOS vous permet de modifier la date et l’heure et la façon dont les
appareils sont chargés au démarrage, comme les disques durs, les lecteurs de disques et les
lecteurs de disquettes. La configuration de la CMOS vous permet d’activer et de désactiver
divers matériels, y compris les ports USB, la carte vidéo intégrée et la carte son (si présente), les
ports série et parallèle, et d’autres dispositifs.
C'est l’élément qui contient vos données. Il s'agit d'une mémoire de masse dont la capacité n'a
cessé de progresser depuis 30 ans. Ils sont constitués de plusieurs éléments :
- un plateau (ou plusieurs), solidaire d'un axe sur roulements, et dont la vitesse de rotation est
comprise entre 5400 tours/min et 15000 tours minutes pour les plus rapides (la plupart étant à
7200
tours/min)
- d'une tête de lecture écriture,
- une carte électronique, permettant de traiter les opérations de lecture/écritures
- un connecteur d'alimentation
- un connecteur de bus (IDE ou SATA)
Les disques dur d'aujourd'hui ont une capacité allant de 320 Go à 3To.
BUS externes : Le Bus USB Il existe différents périphériques se connectant par USB : les
périphériques de stockage de masse et disques durs externes, les imprimantes, souris, claviers,
USB-IF (clefs USB permettant de se connecter à internet par WIFI), etc.
• L'USB 1.0
• L'USB 3.0 ou USB 3.0G : apportera une grande amélioration aux débits de transferts. Son
symbole est le suivant : Des Ports USB Le standard USB 1.0 propose deux modes de
communication : 12 Mb/s en mode haute vitesse, 1.5 Mb/s à basse vitesse.
Le standard USB 1.1 apporte quelques clarifications aux constructeurs de périphériques USB
mais ne modifie en rien le débit.
La norme USB 2.0 permet d'obtenir des débits pouvant atteindre 480 Mbit/s. Les périphériques
certifiés USB 2.0 portent le logo suivant : La compatibilité entre périphériques USB 1.0, 1.1 et
2.0 est assurée. Toutefois l'utilisation d'un périphérique USB 2.0 sur un port USB à bas débit (i.e.
1.0 ou 1.1), limitera le débit à 12 Mbit/s maximum.
De plus, le système d'exploitation est susceptible d'afficher un message expliquant que le débit
sera bridé. La norme USB 3.0G propose pour principale nouveauté un débit supérieur : 5
Gigabits/seconde. Alors que les 480 Mbps de l'USB 2.0 commençaient à se montrer, notamment
pour les derniers disques durs ou clés USB, le passage à l'USB 3.0 devrait donner un coup de
Les connecteurs
(PHOTOS)
La carte graphique
Sa principale fonction est de produire une image affichable sur un écran. La carte graphique
envoie à ce dernier des images stockées dans sa mémoire, à une fréquence et dans un format qui
dépendent de votre écran.
Depuis vingt ans, sa fonction première demeure, mais est complétée depuis quelques années par
deux autres fonctions :
-la décompression vidéo
-le calcul d'images en 3D pour les jeux et programme de création 3D
Dans ces deux cas, la carte graphique sert à alléger le travail du processeur en procédant elle
même à une partie des calculs.
C'est la norme PCI Express (PCIe)qui est utilisée dans les PC. Pour les PC un peu plus
anciens, le format était l'AGP.
La puissance des ces cartes entraine un dégagement de chaleur important qui souvent nécessite
l'adjonction d'un ventilateur et/ou d'un radiateur.
Une alimentation de PC est assez particulière. Elle doit fournir des tensions de +5, +12, -5 et -12
Volts.
Une telle alimentation, si elle devait fournir 300W, en consommerait environ 1000 (les 700
restants seraient dégagés sous forme de chaleur).Elle pèsesait aussi plus de 15 kilogrammes.
Devant ce dégagement de chaleur, donc ce rendement très faible, les fabricants utlisent une autre
méthode, l'alimentation dite à découpage.
L'alimentation à découpage utilise un autre procédé. En effet, elle transforme le 220 V en 380 V
continus et découpe cette tension en fines impulsions d'une fréquence de l'ordre du kHz, dont la
moyenne, filtrée, donne les basses tensions nécessaires.
AT, ATX
La transition du format AT vers le format AT X commença en 1998. ces alimentations ne
possédaient qu'un circuit de puissance délivrant "bêtement" les tensions comman-
dées par un simple interrupteur connecté juste derrière la prise d'alimentation.
Les alimentations AT X subissent 2 évolutions majeures par rapport au format AT. Tout d'abord,
c'est la carte mère qui commande l'alimentation et qui décide de mettre en route le circuit de
puissance, permettant ainsi des options de mise en marche tel que le "wake on lan" ou le
démarrage par le clic de la souris.
Ensuite, la seconde évolution, c'est l'apparition d'un circuit de veille, celui-ci alimente en
permanence les fonctions de démarrage et d'extinction de la carte mère (bien entendu, il faut que
l'interrupteur de celle-ci soit sur "ON")
5VSB : le 5vSB est une alimentation de 5V qui fonctionne en permanence (quelque soit l'état du
PS-ON). Ce PIN doit être capable de livrer 720mA. Ce courant étant né-cessaire pour des
applications tel que le "wake on lan".
PW-OK : Ce signal est à 5V uniquement lorsque les alimentations de 5V et de 3,3V sont bien
stabilisées. En cas de problème sur l'une d'elle, le PW-OK doit être mis à 0V immédiatement,
cela évite d'endommager la carte mère.
Ce connecteur permet de fournir plus de courant au processeur. Il est apparu avec les
alimentations AT X 2.03. Prévu au départ pour les cartes mères destinées aux proces-seurs
Pentiums IV, ce connecteur est maintenant utilisé également par certaines cartes mères pour
processeur AMD (par exemple la MSI K7D MASTER).
le connecteur molex :
Ces connecteurs sont prévus pour l'alimentation des périphériques tels que les lecteurs optiques,
Un ventirad est la fusion de deux composants informatique qui ont pour but de répartir et de
limiter la chaleur émanent de votre processeur. Venti pour ventilateur et rad pour radiateur.
Chacun a une utilité particulière qu'il ne faut pas négliger car ça a une influence directe sur l
Quand vos processeurs chauffent excessivement, il peut être utile de retirer votre ventirad et de
remettre de la pâte thermique.
Un radiateur n'a pas besoin d'occuper la moitié de votre tour pour être efficace.
Le ventilateur
iminuer la température
La chaleur est évacuée par les trous d'aération présents sur votre unité centrale.
PERIPHERIQUES
Les éléments externes à l’unité centrale sont appelés périphériques. Toutefois, il est possible de
connec-ter une grande diversité de périphériques sur les interface d’entrées/ sorties (ports séries,
port parallèle, port USB, port firewire, etc...)
La souris (en anglais « mouse ») est un périphérique de pointage servant à déplacer un curseur
sur l’écran et permettant de sélectionner, déplacer, manipuler des objets grâce à des boutons.
La souris est généralement branché à l’arrière de l’unité centrale, sur la carte mère, sur un
connecteur
PS/2 de couleur verte ou sur un port USB.
L’écran
On appelle écran (ou moniteur) le périphérique d’affichage de l’ordinateur. On distingue
habituellement
2. LE POST
Lorsque le système est mis sous-tension ou réamorcé (Reset), le BIOS fait l'inventaire du
matériel présents dans l'ordinateur et effectue un test (appelé POST, pour "Power-On Self Test")
afin de vérifier leur bon fonctionnement.
Le BIOS recherche sur la disquette, sur le CD-Rom, sur le lecteur DVD ou sur le disque dur s’il
y a un système d’exploitation (DOS, Windows, Linux…).
•Le BIOS est propre a un type d’ordinateur donne, contrairement au systeme d’exploitation
(Windows, Linux).
•Le BIOS lance le Système d’Exploitation (S.E.), (le S.E. est charge depuis le disque dur en
memoire RAM)
LE SETUP DU BIOS
La plupart des BIOS ont un "setup" (programme de configuration) qui permet de modifier la
configuration basique du système. Ce type d'information est stockée dans une mémoire auto
alimentée (à l'aide d'une pile) afin que l'information soit conservée même lorsque le système est
hors tension (la mémoire vive est réinitialisée à chaque redémarrage). Il existe de nombreux
BIOS dans chaque machine:
Le BIOS de la carte-mère
Le BIOS qui contrôle le clavier
Le BIOS de la carte vidéo
et éventuellement
• Le BIOS de contrôleurs SCSI qui permettent de booter sur le périphérique SCSI, qui
communique alors avec le DOS sans pilote supplémentaire.
• (Le BIOS de cartes réseau qui permettent de booter sur le réseau. Lorsque le système est mis
Architecture de la carte-mère
Question n° 8
Le bus PCI travaille avec quel type de carte ?
Des cartes ISA ou PCI
Des cartes PCI
Des cartes VLB ou PCI
Question n° 9
Quels sont les trois paramètres que l’on a besoin de configurer pour qu’une carte
d’extension fonctionne correctement ?
Question n° 10
Équivalence et multiples :
Multimètre:
Le multimètre demeure un outil
indispensable,mêmepourl'amateur.Ilexisteunegrandevariétédemodèlesdemultimètres,avecdescar
actéristiquesetdesperformancestrèsdiverses.Ontrouvedesappareilsdits"depoche"ou"depoing"(poc
ketouhandheld,enanglais),c'est-à-
direportatifs,etdesappareils"detable"(benchmetersoubenchtopmultimeters,enanglais),plusvolumin
eux,souventplusprécis,etdestinésàresteraulaboratoireouàpostefixe.
Lesmultimètressontanalogiques(àaiguille)ounumériques(affichageàcristauxliquides),quelquesmo
dèlescombinentlesdeuxtypesd'affichage.Lemultimètrenumérique(DMM,pourDigitalMultiMete
r)estdésormaislemodèleleplusrépandu,tantpourunusageprofessionnelque"grandpublic".
Voyonscommentseprésenteunmultimètrenumérique(DMM).Ils'agitdanscetexempled'unmodèletrè
sordinaire.Onreconnaitsurl'illustration,dehautenbas:
L'afficheurLCD,
Lecommutateurrotatifdesélectiondelafonction(voltmètre,ampèremètre,ohmmètre...)etducalibre
(de0à200mV,de200mVà2V,de2Và20V,etc...),
Mesurerunetension
Lepointimportantestlesuivant:unetensionsemesuretoujoursenparallèleaveclecircuit.Avanttoute
mesuredetension,ilestindispensabledeconnaîtresanature(continueoualternative).Al'aidedurotacteu
rcentral,onsélectionnelafonctionVcorrespondanteetlecalibreapproprié(valeurdirectementsupérieur
eàcelleàmesurer).
Sionsouhaitemesurerunetensioncontinuelecordon"noire"doit
êtreducôtédupointderéférence.Encasd'erreurdepolarité,si les pointes sont interverties, un
multimètre numérique affichera une valeur négative.
2 - Les diodes
Les transistors
L’INFORMATIQUE ET L’ORDINATEUR
LES COMPOSANTS DE L’ORDINATEUR INDIVIDUEL
LA CODIFICATION BINAIRE
LES MESURES INFORMATIQUES
APPS ACADEMY – SECTION PROFESSIONNELLE 81
Cours à distance