Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
But :
Le but de la cinématique est de modéliser les mouvements des pièces d’un système mécanique, sans s’intéresser aux
causes qui les produisent. On cherchera les relations entre ces mouvements, en vue de vérifier les performances d’un
système et/ou choisir des caractéristiques des actionneurs.
Introduction :
Le mouvement d’un solide peut être caractérisé par le déplacement (ou variation de position) de ce solide au
cours du temps. Il est donc nécessaire de définir :
ce qu’on appelle un solide
des repères liés à chaque solide afin de quantifier les variations de position
une base de temps pour observer les variations de position de ces repères entre eux.
Le repère R0 se note R0 O, x, y, z . k
Convention :
La convention de sens pour un angle dans l’espace est la suivante : le sens positif de rotation autour de l’axe
( A, u ) est le sens trigonométrique lorsque l'on regarde l’angle balayé avec le vecteur n sortant (c’est à dire
vers soi).
Plan perpendiculaire Vue de face
0
Sens +
A r A
r r r
n n n n
r r
n sortant n rentrant
On parle indifféremment de sens : positif, direct, trigonométrique, voir tout simplement de sens plus,
et dans le cas opposé, de sens : négatif, indirect, horaire, voir tout simplement de sens moins.
3. Système de référence
Base de temps :
Une position est définie à un instant donné t. On définit l’origine des temps t=0 comme l’instant à partir
duquel on observe le mouvement.
L’écoulement du temps s’exprimera en secondes.
durée t = t2 – t1
passé futur
t=0 instant t2 vers les t > 0
instant t1
instant initial
Système de référence :
Le référentiel, appelé aussi système de référence, est la combinaison d’un repère d’espace et d’un
repère de temps. Il permet à deux observateurs différents qui adoptent ce référentiel de décrire le
mouvement de la même manière.
Référentiel z
R0
ou O y
Système de x
Repère Repère de
référence
d’espace temps
En mécanique classique, on utilisera un référentiel lié à la terre, ou lié à un solide immobile par rapport à la terre.
Lycée Vauvenargues PTSI Cinématique page 2 / 30
4. Position d’un solide par rapport à un autre solide
Cela revient à positionner, à un instant donné, un repère R1 par rapport à un autre repère R0.
z1 z1
y1 y1
O1 O1
x1 x1
O O
Système Paramétrage Schématisation
réel
Il faut donc :
positionner O1 dans R0
Dans le cas général on a besoin de 3 coordonnées
On peut choisir des coordonnées cartésiennes, cylindriques, ou sphériques selon la nature des
déplacements possibles de O1
(Voir annexe 1 coordonnées d’un point)
orienter R1 / R0
Dans le cas général on a besoin de 3 angles (angles d’Euler par exemple)
(Voir annexe 2 angles d’Euler)
Dans le cas général, 6 paramètres, appelés paramètres de position, sont nécessaires. On dit qu’il y a 6
degrés de liberté entre les 2 solides.
5. Cas particuliers
C’est le cas des liaisons pivots, d’axe par exemple ici (O,x0)
z0
z1 y1
y0
x0 = x1 O
C’est le cas des liaisons pivots, d’axe par exemple ici (O,x0)
C’est le cas des liaisons pivots glissants, d’axe par exemple ici (O,x0).
Le paramétrage d’un système consiste à associer à chaque solide ou ensemble cinématique un repère et de
situer ces repères les uns par rapport aux autres selon la nature des liaisons en introduisant les paramètres de
liaison associés de type translation(s) ou rotation(s).
On commence par repérer ces différents solides, puis on identifie les mouvements possibles entre 2 solides
en liaisons (reliés entre eux par des surfaces de contact).
On donne une représentation schématique des solides sous forme de traits, reliant les symboles des liaisons
définies précédemment. Il faut respecter la position des points caractéristiques des liaisons, et les directions
caractéristiques de ces liaisons.
Souvent ce paramétrage est réalisé sur le schéma cinématique du système lorsqu’il le permet. Il est ensuite
généralement complété des figures planes permettant de définir tous les axes et points caractéristiques du
mécanisme.
cette représentation
normalisée du système
s’appelle le schéma
cinématique
La loi entrée/sortie d’un système est la relation entre le(s) paramètre(s) d’entrée et le(s) paramètre(s) de sortie
du système. Elle s’obtient par une écriture vectorielle (à choisir) projetée dans une des bases (à choisir, souvent
la base du repère fixe associé au référentiel terrestre), afin de mettre en relation le(s) paramètre(s) d’entrée et de
sortie.
Les paramètres d’entrée sont généralement les rotations des moteurs ou les translations des vérins. C’est ce
qui provoque les mouvements. Les paramètres de sortie sont les mouvements recherchés pour par exemple
valider les performances d’un système.
- une fermeture vectorielle du type O0O0 0 O0O1 ... Oi Oi 1 ... ON O0 qui relie les paramètres
de déplacement des liaisons et les grandeurs caractéristiques des ensembles cinématiques,
et / ou
La fermeture géométrique vectorielle, projetée sur 3 directions (ou 2 directions si les mouvements s’effectuent
dans un plan), donne des équations scalaires qui permettent de trouver des relations entre les paramètres
géométriques, et notamment la loi entrée-sortie géométrique.
ANNEXE 1 : Coordonnées
Les angles d'Euler définissent le passage entre deux repères R0 O, x0 , y0 , z0 de base B0 (i0 , j0 , k0 ) précession
et R1 O, x1 , y1 , z1 de
u
base B1 (i1 , j1 , k1 ) placés en un même point O par l’intermédiaire de trois rotations successives.
k0
Soient U la droite d'intersection des plans (O, x0 , y0 ) et (O, x1 , y1 ) et
k1
u un vecteur unitaire de U. j1 x0
z0 w
U
Etape 1 : angle de précession, rotation de autour de k0
y0
O, x0 , y0 , z0
.k
O, U , V ,vz0
0
z0 z1
z0
v
Etape 2 : angle de nutation, rotation de z1 autour de u précession
y1 nutation
O,U ,V , z0 O,U ,W , z1
.u u
w w
O i1
Etape 3 : angle de rotation propre, rotation de autour de k1
O,U ,W , z1 O, x1 , y1 , z1
.k v
1
x0
z0 j0v
i0 u
O x1
j0 k0 w u
v z0 k1 j1
z1
yprécession nutation rotation propre
1 w y 0w
x0 u i1
u
v
i0
k0 v u
u k1
O x1
w
z0
z1 y1
rotation propre
nutation y0
w x1
u
v
u
v z1
u
x1
w
y1
rotation propre
x1
u
z1
OM (t )
Important :
Remarque :
Il n’est pas forcément nécessaire de donner les coordonnées de ce vecteur dans R0. Il est souvent
plus simple de l’exprimer vectoriellement dans un repère mobile.
Définition :
La trajectoire d’un point M dans son mouvement par rapport à un repère R est l’ensemble des
positions prises par ce point au cours du temps, dans le repère R.
d
V ( M ,1/ R0 ) OM (t )
dt R0
Propriété : le vecteur vitesse V ( M ,1/ R0 ) est à chaque instant tangent à la trajectoire T(M,1/R0).
Lycée Vauvenargues PTSI Cinématique page 7 / 30
3 Dérivation vectorielle et vecteur rotation
3.1 Dérivée d’un vecteur, exprimé dans B0, par rapport à R0 un repère fixe ou mobile
Soit le vecteur u (t ) , exprimé dans B0, tel que u (t) = a(t) i0 + b(t) j0 + c(t) k0 . La dérivée de u (t ) par
rapport à R0 est telle que :
du (t ) da db dc
dt dt i0 dt j0 dt k0 = a i0 b j0 c k0 .
R0
Dans ce cas, il suffit de dériver les composantes du vecteur par rapport au temps.
3.2 Dérivée d’un vecteur, exprimé dans B1 base d’un repère mobile, par rapport à R0 un
repère fixe ou mobile
Soit le vecteur u (t ) exprimé dans B1, tel que u (t) = a(t) i1 + b(t) j1 + c(t) k1 .
formule de
du (t ) du (t ) dérivation
dt dt ( R1 / R0 ) u (t ) vectorielle
R0 R1
où :
- ( R1 / R0 ) est le vecteur vitesse de rotation (ou vecteur rotation) de R1 par rapport à R0,
( R1 / R0 ) , appelé vecteur vitesse de rotation de R1 par rapport à R0, définit à l’instant t la vitesse de
rotation du repère R1 par rapport au repère R0. L’unité de la norme du vecteur vitesse de rotation est le
rad/s.
Exemple : Dans le cas de la figure ci-dessous, on passe du repère R1 au repère R0 par rotation autour de l’axe
(O, z0 ) d’un angle . On définit le vecteur rotation par :
Ω R1 / R0 =
Alors :
Ω R1 / R0 =
Ω R1 / R0 =
3.3 cas particuliers: dérivée d’un vecteur d’une base mobile par rapport à un repère R0 fixe
En cinématique, le vecteur position ou vecteur vitesse d’un point s’exprime souvent comme une
somme de vecteurs qui ne sont pas les vecteurs directeurs du repère R0 par rapport auquel on étudie
le mouvement. Il est donc très courant de devoir dériver un vecteur unitaire d’une base mobile par
rapport à un repère R0 fixe.
3.4 Propriétés
d d2
( M ,1/ R0 ) V ( M ,1/ R0 ) 2 OM (t )
dt R0 dt R0
Propriété : le vecteur accélération (M ,1/ R0 ) traduit à chaque instant la variation instantanée du vecteur
vitesse.
(M ,1/ R0 ) at .t an .n
accélération tangentielle
accélération normale
avec
t est le vecteur unitaire directeur tangent à la trajectoire, donc colinéaire et de même sens que
V ( M ,1/ R0 ) ,
- à chaque instant t, toute portion de la trajectoire autour du point M peut être assimilée à un cercle
dans le plan ( M , t , n ) . Le rayon de ce cercle, noté R, est appelé le rayon local de giration.
dV V2
at et an
dt R
Sens +
u
w
u
Sens +
v v
w
a d
- si u b et v e sont exprimés dans une même base B(i , j , k ) , les composantes de w dans
B
c B
f
B(i , j , k ) sont :
a d b. f e.c
w u b v e d .c a. f
B
c B
f B
a.e d .b
Pratique :
Objectifs :
V ( B, Si / R j ) V ( A, Si / R j ) ( Si / R j ) AB
Relation de moment, encore appelée
formule de changement de point, ou
formule de Varignon
3 Cas particuliers
31. mouvement de rotation de R1 / R0 autour de Oz0
y0 On a : V(O,1/0) =
y1
B’ x1 OA = a V(A,1/0) =
B
A
OB = b V(B,1/0) =
O
z0 z1 x0
OB’ = b V(B’,1/0) =
y0 y1 V(A,1/0)
Supposons V(A,1/0) connu
A
B Alors V(B,1/0) =
1
O O1
z0 z1 x0 x1
Translation rectiligne : Si la trajectoire d’un point par rapport à un repère (donc de tout point) est
une droite.
M M
y0
x x
T(M, Ro)
Instant t1 Instant t2
x0
O z0
Translation circulaire : Si la trajectoire d’un point par rapport à un repère (donc de tout point) est
un cercle.
Translation quelconque :
Instant t2
M T(M, Ro)
Instant t1
y0 M x
x
x0
z0
O
Exemple : portes de métro : la trajectoire est donnée par une rainure au sol incurvée pour la
fermeture.
Le mouvement quelconque d’un solide i par rapport à un solide j est alors modélisé par le
torseur cinématique { V i/j }.
A tout instant t, tout point M lié au solide Si possède une accélération par rapport à Rj notée :
( M , Si / R j ) .
L’ensemble des vecteurs accélération ( M , Si / R j ) pour tout point M de Si constitue le champ des
vecteurs accélération du solide Si par rapport à Rj.
Soient A et B deux points liés au solide Si en mouvement par rapport à Rj. A partir de la relation de
moment, et après dérivation, on démontre que :
d
dt
( B, Si / R j ) ( A, Si / R j ) ( Si / R j ) AB ( Si / R j ) ( Si / R j ) AB
Rj
Cette formule est peu aisée d’application. En pratique, pour calculer une accélération en un point, on
calculera d’abord le vecteur vitesse (en utilisant par exemple la relation de moment), puis on dérivera
par rapport au temps.
Remarques :
Pour un mouvement de translation, la formule ci-dessus donne pour :
Alors soit :
d’un vecteur (donc indépendant du point d’écriture du torseur) appelé résultante du torseur :
Notation : Représentation :
Eléments de réduction du
torseur M(A)
R
R
Centre de réduction du
torseur
A
Soient 2 torseurs exprimés en un même point. Si ce n’est pas le cas, on applique la relation de
changement de point pour l’un des 2 torseurs :
et
Alors
et (avec a réel)
Torseurs particuliers
Propriété de l’équiprojectivité
Objectifs :
• Établir les relations entre les différents mouvements des divers solides au sein d’un mécanisme
• Définir une vitesse de glissement et un roulement sans glissement
1 Points coincidents.
On considère deux solides 1 et 2 en mouvements par rapport à Ro (liaison glissière 2/0 de direction
z0 et liaison pivot 1/0 d’axe Ox0). Ces deux solides sont également en contact entre eux en un point B.
B1 : le point B lié à 1
B2 : le point B lié à 2.
Cette relation est une relation de Chasles. Elle peut s’écrire en faisant intervenir autant de solides
intermédiaires que voulus, à condition de respecter l’ordre relatif des indices. Toutes les vitesses sont
calculées au même point.
De même, pour les vecteurs rotation, nous pouvons écrire la relation suivante :
Les 2 relations précédentes peuvent être synthétisées par une relation sur les torseurs cinématiques :
Application :
Alors
peut se décomposer en :
On montre que :
où :
(M , S / R0 ) est l’accélération absolue du point M dans le mouvement de S par rapport à R0,
(M , S / R1 ) est l’accélération relative du point M dans le mouvement de S par rapport à R1,
d
entraînement (O1 , R1 / R0 ) ( R1 / R0 ) O1M ( R1 / R0 ) ( R1 / R0 ) O1M est l’accélération
dt R0
On montre que :
d’entraînement du point M supposé attaché au repère R1 par rapport à R0, notée aussi (M , R1 / R0 ) ,
Cette formule est peu aisée d’application. En pratique, pour calculer une accélération en un point,
on calculera d’abord le vecteur vitesse (en utilisant par exemple la composition des mouvements
et/ou la formule de changement de point), puis on dérivera par rapport au temps.
Problème posé : A partir d’un cahier des charges ou des performances souhaitées d’un mécanisme, il nous
faut calculer les mouvements moteurs, ainsi que les mouvements dans les différentes
liaisons afin de justifier certaines solutions techniques.
Dans ce graphe, les sous-ensembles cinématiques sont schématisés par des cercles, les liaisons sont
représentées par des arcs ou traits entre les cercles.
Il convient de préciser la
désignation (nom +
caractéristiques) associée à
la liaison selon le repère de
contact.
Résoudre le système.
Remarques :
- S’il y a plusieurs boucles, on répète les opérations précédentes pour chaque boucle.
Ces mouvements forment un système plan si les vecteurs rotations des différents mouvements
observables sont colinéaires.
Une autre façon de le vérifier est de constater que toutes les trajectoires des points par rapport à
n’importe quel repère se situent dans des plans parallèles (ou confondus).
Lorsqu’un mécanisme est plan, on peut alors adopter les méthodes de résolution graphique qui
suivent.
vitesse AI10
• A un instant donné, le mouvement de 1/0 peut être assimilé à une rotation plane de centre I10.
• La positon de I10 peut être variable au cours du temps, d’où le nom de centre INSTANTANE
de rotation.
Considérons un solide 1 mouvement plan par rapport à un repère Ro. Supposons connu et le CIR I10
On souhaite tracer
32. Equiprojectivité
C’est la traduction graphique de la relation de changement de point des vecteurs vitesses. Pour un solide
(1) en mouvement par rapport à Ro, on a :
Soit :
Conclusion :
Dans le mouvement de 1/0, les vitesses en deux points quelconques A et B ont la même
projection sur l’axe AB.
33. Remarques
Ce tracé n’est exploitable que si on dessine les vecteurs vitesses avec une échelle clairement
indiquée. Il suffit alors de mesurer V(B,1/0) pour en connaitre sa valeur numérique.
La détermination de cette vitesse n’est valable que pour la position du tracé. Pour une autre
position, il faut refaire tout le tracé.
Cas 1 : Cas 2 :
Alors on en déduit et .
Direction
B
B
Direction
5 Base et roulante
On appelle base du mouvement plan de 1 par rapport à 0, les lieux, au cours du temps, du CIR de 1/0 dans
le repère R0 lié à 0.
On appelle roulante du mouvement plan de 1 par rapport à 0, les lieux, au cours du temps, du CIR de 1/0
dans le repère R1 lié à 1.
Propriétés :
- la base et la roulante sont deux courbes qui roulent sans glisser l’une sur l’autre au cours du temps,
- la base et la roulante sont donc de tangente commune au point de roulement sans glissement,
- les distances parcourues sur la base et sur la roulante pendant un intervalle de temps sont les
mêmes.
L1 L2
1. Liaison équivalente 1 2 3
Ci-contre un extrait du graphe de liaison d’un mécanisme. L4
L3
Afin de simplifier l’étude de ce mécanisme, on veut remplacer
l’ensemble des liaisons L1 à L4 par une seule liaison, appelée liaison 4
équivalente.
Remarque : cette liaison équivalente n’est intéressante à déterminer que si elle correspond à une liaison
normalisée du tableau.
Pour déterminer cette liaison équivalente, il nous faut distinguer les cas de liaisons en série ou en
parallèle.
2. Liaisons en série
L1 L2 L3 Léq.
1 2 3 4 1 4
2
3 1 x
A B
3. Liaisons en parallèles
La liaison équivalente correspond aux mouvements communs possibles des différentes liaisons. Cela se
traduit par l’égalité suivante :
Application 2 :
2 B
A x
Une liaison entre deux solides est réalisée par un ensemble de surfaces de contact aussi appelées
surfaces fonctionnelles. Ces éléments de contact seront considérées de forme parfaite, indéformables,
et de nature simple (point, droite, cercle, plan, cylindre, sphère).
Pour chacune des solutions suivantes, on distingue les surfaces fonctionnelles qui réalisent la Mise en
Position (MIP) des pièces et les éléments technologiques « classiques » (écrous, circlips…) qui réalisent
le Maintien en Position (MAP) des pièces.
Certaines surfaces de contact pourront-être prépondérantes par rapport à d’autres. On les hiérarchisera
en les nommant MIP1, MIP2, …
L
On peut distinguer 2 cas types de montage :
Liaison : Liaison :
Bague extérieure
La bague intérieure, donc l’arbre, peut s’incliner de 1 à
Bague intérieure
5° selon les roulements par rapport à la bague
extérieure (donc le logement). Cela s’appelle le rotulage
Arbre des roulements. Un roulement est donc modélisé par
Logement une liaison rotule si ses bagues sont bloquées en
translation, linéaire annulaire si une des bagues est libre
en translation.
On est dans la même problématique que dans le cas d’un contact cylindrique.
MIP :
MAP :
diminution du
frottement par ajout
d’une pièce
intermédiaire en bronze.
MIP :
montés serrés
MAP :
dans l’alésage
remplacement du contact
frottant par un contact
roulant pertes diminuées.
MIP : MAP :
remplacement du contact
frottant par un contact roulant
pertes diminuées.
centrage long prépondérant (L > 1,5 Ø) + appui-plan + arrêt rotation + circlips ou écrou