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Richard Philippe. Les charges de transport dans des exploitations agricoles de divers types. In: Économie rurale. N°51, 1962.
pp. 13-21.
doi : 10.3406/ecoru.1962.1735
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ecoru_0013-0559_1962_num_51_1_1735
LES CHARGES DE TRANSPORT
DE DIVERS TYPES
des organismes
Directeur
par de
Philippe
gestion
la Fédération
RICHARD
agricolenationale
(F.N.O.G.A.)
INTRODUCTION
de 1952 à 1959, la production de véhicules agricoles Mais le transport, actuellement, s'est amélioré.
de 'tous genres a été multipliée par quatre : Pour joindre le bourg voisin il ne faut plus une ou
1952 : 4 029 1956 : 12 933 deux heures, mais 10 minutes. Premier point d'une
1953 : 7 248 1957 : 13 994 accélération du mouvement des activités de l'exploi
1954 : 7 336 1958 : 18 562 tant, dont le temps maintenant est devenu le fac
1955 : 8 964 1959 : 16 082 teur rare qu'il faut valoriser.
Pour transporter ses produits il utilise un matériel
(estimation) qui lui coûte cher, qu'il devra choisir en -fonction
de l'utilisation la plus pratique. A combien va lui
améliorations
M. Piel Desruisseaux
techniques apportées
souligne de: charge
son côté
et vo
les revenir cette activité importante et dissimulée ? Quel
lume des véhicules accrus ; remplacement du bois va être le coût des transports dans son exploitation ?
par le métal, ce qui diminue le poids mort ; motor Voilà une question à laquelle nous voudrions répond
isation des transports qui diminue la main-d'ccuvre re.
utilisée et mécanisation qui diminue sa peine ; Devant l'importance de ce poste, au moment de
amélioration du roulement par pneumatique. choisir une orientation de sa production, l'exploi
Autrefois, l'agriculteur dans une exploitation sou tant se posera la question : Pour telle culture quel
vent très dispersée, équipée de moyens de déplace va être le coût du transport ? Pour telle autre...,
mentslents, passait une très grande partie de son le travail disponible dans l'exploitation sufFira-t-il à
temps à transporter, que ce soit les produits de sa combler les besoins en main-d'œuvre de charge
ferme qu'il portait à l'extérieur ou les substances mentet de déchargement de telle ou telle culture ?
qu'il utilisait pour la production. C'était une activité Pour l'exploitant qui doit choisir ses bâtiments,
normale, imbriquée dans sa vie. Cette part de son ses véhicules, son matériel et organiser leur emploi,
temps qu'il passait sur les routes, lui donnait le pour le constructeur qui le sert, il est devenu indi
loisir de penser longuement à chaque parcelle qu'il spensable de savoir plus précisément quel est le
traversait, de remarquer l'aspect plus humide ou coût des transports nécessaires à telle culture, quel
plus lourd de la terre tel jour. Le coût de ce temps est le coût du transport de la tonne de tel produit,
passé ?. Nul n'y pensait. C'était la vie de l'agri quelle est en somme la place de cette charge imbri
culteur. quée dans tous les éléments de son exploitation.
L'ENQUETE
Tableau 1
A) Conditions de l'enquête. Répartition des exploitations analysées
Système
1) Les limites de représentativité. d'exploit
Nombre
Région Je culture Superficie
ations
Le questionnaire a été envoyé à quelques Centres
de gestion possédant des enregistrements de temps Aube Céréales 60 ha
aussi bien pour les travaux que pour les transports, Aube Céréales-plantes sarclées 52 ha
et aux Centres régionaux d'étude de la rentabilité
du matériel agricole (C.R.E.R. M. A.) spécialisés dans Aube 1 , Charente 2,
le problème de la mécanisation de l'exploitation. Angoumois I , Eure 2 6 Céréales-fourrages 21 à 151 ha
Charente (Angoumois) 1 Fourrages-céréales 40 ha
Ces organismes étant répartis dans les différentes
régions de France, nous aurions pu espérer nous Landes 3 Plantes sarclées 10 à 65 ha
trouver en possession d'une cinquantaine d'enquêtes
remplies, présentant les résultats de systèmes de
culture différents. Mais la complexité de l'enquête Le classement des systèmes de culture que nous
n'a permis qu'à huit Centres départementaux de avons adopté est celui proposé par M. Poitevin
répondre dans les courts délais qui nous étaient (Economie rurale n° 38, décembre 1958).
fixés. Le petit nombre d'enquêtes, la dispersion des
conditions d'exploitation vont limiter beaucoup la
En fait nous n'avons donc pu analyser que 12 portée des résultats.
exploitations dont voici la répartition (tableau 1). C'est donc une étude globale de l'ensemble des
— 15 —
coûts, pour l'ensemble des exploitations, par culture l'exploitation très extensive céréalière à la petite
et par produit transporté que nous allons présent exploitation de monoculture de maïs, nous allons
er, analysant la part respective des différents agents voir
de transport : main-d'œuvre, matériel. a) quel est le coût global des transports ;
Nous verrons aussi comment varient ces éléments b) quel est le coût de transport de chaque pro
en fonction de la structure de l'exploitation, du sy duit, récolté ou approvisionnement ;
stème de culture et du degré d'intensité de l'exploi c) quel est le coût ties transports que nécessitera
tation. Autant de points auxquels nous ne pouvons chaque culture.
donner qu'une réponse très globale.
B) Résultats de l'enquête.
2) Limites dues à l'enquête elle-même.
Les forfaits : Pour le calcul du coût des trans 1) RESULTATS GLOBAUX
ports, nous avons choisi certains forfaits. Ils per a) Coût global de transport par ha.
mettent la comparaison des exploitations, éliminant
ainsi un facteur supplémentaire de disparité. Le coût global tiendra compte des transports de
Mais, ils dissimulent : matériel ; des transports de produits nécessaires à
la production ; des transports de productions.
a) l'avantage du meilleur amortissement dans les Pour l'établir, nous avons convenu de considérer
grandes exploitations, du coût supérieur dans les les postes suivants :
petites ;
a) coût du tracteur (heures de tracteur x coût
b) l'importance des salaires plus élevés pour les horaire) ;
exploitations situées près des vallées. b) coût de la main-d'œuvre spécialisée (heure de
Ces forfaits différencient aussi la main-d'œuvre main-d'œuvre spécialisée x coût horaire) ;
spécialisée et la main-d'œuvre non spécialisée, alors
que bien souvent l'ouvrier dit spécialisé qui a con c) coût de la main-d'œuvre non spécialisée (heures
duit le tracteur, décharge la remorque qu'il trans de chargement et de déchargement x coût horaire
portait, jouant le rôle d'un ouvrier non spécialisé. de la remorque) ;
Pour pouvoir comparer les exploitations, nous d) coût du matériel roulant.
avons choisi pour l'ensemble des enquêtes des for D'après notre enquête, le coût du transport par
faits concernant les coûts suivants : ha SAU va de 20 NF à 237 NF alors que les char
a) la main-d'œuvre : 250 F l'heure pour l'ouvrier gesglobales sont de 480 à 2 260 NF (4 % à 10 %).
non spécialisé (156 F SMAG + 35 % charges socia La moitié des exploitations ont un coût compris
les+ avantages) ; entre 70 NF et 120 NF alors que les charges global
350 F l'heure pour l'ouvrier spécialisé (186 F es vont de 700 à 1 250 NF, soit 10 %. Bien entendu,
SMAG + 35 % charges sociales + avantages). Tableau 2
b) le tracteur : 400 F l'heure pour le tracteur léger
35 CV pour 700 h/an ; Classement des exploitations
550 F l'heure pour le tracteur lourd 45 CV pour par ordre décroissant des coûts.
600 h/an. Coût/ha Superficie Système (*)
c) les animaux de trait : 180 F/heure. Calculé
pour un animal travaillant au moins 100 h/an (Cf. 480 4,1 maraîcher
Les petites exploitations de la vallée de la Seine doi 237 11,6 PS
vent se mécaniser. CRERMA de l'Aube, 1959, 228 10,3 PS
p. 4 et 5). 176 53,2 CF
d) la remorque -: 150 F/heure. Le S.N.C.V.A. 172 61 FC
119 • 52 CPS
donne 200 F pour les remorques semi-portées — 5 t ;
50 F pour les remorques l ,5 t ; 150 F pour les 116 32 FPS
remorques 3 t. 109 93,5 CF
Malgré l'abondance et la précision des renseigne 101 21 CF
ments demandés, certaines données vont rester 87 66 CF
imprécises. En particulier : les frais de voitures ont 76 39 FC
été estimés différemment suivant les enquêteurs. 71 83,1 CF
69 t 30 CF
Aussi en tiendrons-nous compte dans le coût global
des transports, mais nous ne les ferons pas inter 57 65 PS
.
il est inutile de vouloir établir, une moyenne qui ne par ha des transports intérieurs varie en raison
servirait à rien. inverse de la superficie de l'exploitation. Plus celle-
Relation avec la superficie : classons les exploi ci augmente, plus ce coût diminue et la relation qui
tations selon le coût décroissant et mettons en parall les lie est assez étroite.
èleles superficies (tableau 2). Les deux exploitations où les coûts intérieurs sont
Nous constatons que les exploitations les plus les plus élevés, présentent des points particuliers :
petites ont les coûts par ha les plus élevés et que l'une couvre quatre ha et est une exploitation
le coût/ha le plus bas est celui de l'exploitation la maraîchère ;
plus grande. l'autre couvre 61 ha dont 60 % sont en prairie
Mais on ne peut en conclure que le transport temporaire, d'où des transports de foins énormes,
coûte d'autant moins cher que la superficie aug où la main-d'œuvre nécessaire est très importante.
mente. Peut-être l'utilisation de forfaits cache-t-elle Cette relation est-elle due à des pratiques cultu-
l'effet de la superficie sur le coût total/ha des trans raies diverses qui modifient le tonnage transporté ?
ports. Par exemple, le coût de l'heure de tracteur (enfouissement des pailles dans les plus grandes
dans Ta grande exploitation est en réalité inférieur exploitations) ou à l'extensivité des systèmes
à celui de la petite exploitation, car le tracteur y est d'exploitation des plus grandes exploitations ? Nous
mieux employé (étalement des charges fixes). avons trop peu de données pour estimer cette exten-
Par ailleurs, les exceptions à cette corrélation sivité et nous permettre de conclure.
inverse que l'on observe dans le tableau 2, sont soit
le cas des exploitations où la distance entre les par Tableau 4
celles et les lieux de livraisons est la plus forte, soit
Je cas où la différence est due aux transports exté Interférence du facteur distance des parcelles
rieurs. dans la relation
En effet, la part des transports extérieurs varie coût des transports intérieurs<-superficie.
énormément à cause de l'enlèvement et de la livrai
sondes produits à domicile, et par suite de diff
érences d'estimation des kilomètres de voiture. Distance Coût des transports
Pour pouvoir les étudier et les comparer, il aurait des parcelles/km intérieurs /ha
fallu détenir beaucoup plus d'exploitations présen
tant les mêmes conditions de transport extérieur. 0,2 80
Précisons donc, par l'étude des transports inté 0,6 137
rieurs uniquement, le sens de la tendance. Cette 0,67 38,5
0,7 96
étude sera plus partielle mais aussi plus précise. 1 119
b) Coût par ha du transport intérieur. 1,2 16,8
Notons tout d'abord que les distances moyennes 1,5 60,5
de l'exploitation aux champs varient dans notre 1,8 38
enquête entre 110 et 2 000 m. 2 51,8
Le coût des transports intérieurs par ha SAU 2,04 19,6
varie de 16,8 à 174 NF, soit 3 % à 8 % des charges 2,3 50
globales de l'exploitation. 2,5 35,6
Y a-t-il une relation entre ce coût des transports 2,8 87,6
intérieurs et la superficie de l'exploitation ? Le coût 3,3 37,5
3,4 56
Tableau 3 4,2 50,5
Variation du coût du transport intérieur
et superficie de V exploitation. On ne peut rien conclure de l'allure du graphique
que l'on construit à partir de ces points. La dis
tance des parcelles n'est donc pas un élément déter
Coût/ha Superficie Coût/ha Superficie minant du coût des transports de l'exploitation.
Tout au moins, son influence est donnée par celle
16,8b' 151 60 53,2 d'autres facteurs : superficie en particulier.
19,6 50 62,9 66
35,6 65 85-
70,5 29,6 Le morcellement de l'exploitation et le coût des
37,5 . 39,5 10,5 transports intérieurs.
38 83 87,6 52 Pour 10 exploitations sur 14 (qui nous donnaient
38,5 60 96 11,6 le nombre de parcelles de l'exploitation), la surface
50 32 119 21,2 moyenne des parcelles va de 50 ares à 1 ,5 ha.
51,8 93,5 ' 174
137 4 Cette similitude des exploitations sur ce point
56 39.8 61 limite beaucoup l'étude de l'influence du morcelle-
— 17 —
Tableau 10
Coût des transports par culture à l'hectare
Donc, pour un hectare de céréales, le transport « Lorsqu'un produit unique est cultivé sur une
coûtera de 43 à 50 NF. Pour un hectare de plantes surface assez grande, le coût des transports concer
sarclées, il coûtera 250 NF. nantce produit est relativement bas (maïs en monoc
Le coût du transport pour le maïs se rapproche ulture ; une ou deux espèces de céréales sur grande
beaucoup de celui des céréales, lorsque le maïs est surface).
cultivé en monoculture sur une grande superficie.
Nous pouvons classer les cultures dans l'ordre En polyculture, au contraire, plusieurs catégories
décroissant des coûts du transport à l'ha : bettera de plantes sarclées, plusieurs espèces de céréales,
ves ; maïs ; céréales ; cultures fourragères ; prai entraînent les coûts de transport par hectare les plus
ries. élevés.
Sans pouvoir établir une corrélation exacte entre Constatant que le coût du transport par hectare
le coût du transport par hectare de culture et tel pour une culture baisse lorsque sa superficie aug
système de production, à cause du nombre restreint mente, il serait intéressant de fixer l'unité optimum
de nos enquêtes, nous pouvons tout de même dire dans tel ou tel système de production, en ce qui
ceci : concerne la charge de transports ».
— 20
CONCLUSION
première
Nous vous
enquête
avons sur
donclesprésenté
transports
les résultats
de l'exploitat
d'une coût. Mais les limites de cette première enquête, le
peu de renseignements qu'elle donne et l'intérêt que
ion, étudiés par leur coût. présenteraient des bases précises pour tout calcul
Nous avons essayé de situer le coût des trans- . suivi, nous engagent à la prolonger en l'élargissant.
ports dans le contexte global de l'exploitation, puis Aussi, des résultats que nous donneront une cen
de l'analyser dans le but de découvrir dans la taine d'enquêtes, pourrons-nous tirer des bases plus
structure du coût lui-même, et celle de l'exploitat précises, et établir plus sûrement des modèles d'ex
ion, les principales causes de modification de ce ploitation en ce qui concerne le temps de transport.
DISCUSSION
M. Coutière. — A-t-il été possible de différencier les douze systèmes de culture, types de parcellement, dimension des exploit
exploitations étudiées selon que l'on enfouit ou non les pailles? ations...
Car une exploitation où l'on enfouit toutes les pailles doit avoir
des frais de transport beaucoup moins élevés, étant donné la En fait, même si vous multipliez les observations sur échant
charge du transport élevée représentée par le transport du fumier. illons, vous n'aurez jamais que des nuages de points sur les
quels, pour chaque paramètre isolé, il vous sera difficile de tracer
Mlle Richard. — Aucune des exploitations de notre échantillon la ligne de tendance. Alors je vous pose la question. Ne vaut-il
n'enfouit les pailles. pas mieux pousser I'anaPyse, la décomposition des coûts globaux
en coûts élémentaires (l'exemple, cité tout à l'heure, des coûts
M. Clerc. — N'aùrait-il pas été intéressant de distinguer entre respectifs de transport proprement dit et de la manutention est
le coût des transports d'une part et le coût des opérations de significatif), puis, une fois établi ce catalogue de coûts élément
chargement et de déchargement, d'autre part, et même de ne aires, définir des modèles sur lesquels, par le calcul, vous recom
considérer que les premiers dans l'étude entreprise ? En effet, poseriez ces coûts. Il me semble qu'en appliquant cette méthode,
le coût des opérations de chargement et de déchargement relève nous pouvons — sans qu'il soit besoin de recourir à des calculs
d'autres facteurs : équipements mis en œuvre (presse-ramasseuse, sophistiqués —, mieux voir l'influence de tel ou tel paramètre
grue, par exemple), agencement des bâtiments. sur les variations des charges de transport, dégager ainsi des
relations fonctionnelles que l'observation des ensembles statistiques
M. Richard. — Dans le questionnaire, très analytique, de' notre • lestplus riches ne pourra jamais donner.
enquête, cette distinction a été faite. Mais dans le rapport Ici Donc nous voici devant le choix : mesures sur échantillons enri
présenté, nous avons regroupé les coûts. chis ou calculs synthétiques sur modèle ? Je serais heureux d'avoir
votre avis de praticien et de théoricien.
M. Dayre. — Je voudrais faire deux remarques : l'une con
cerne le contenu des transports agricoles, l'autre se rapporte à la M; Richard. — En réponse à fa première remarque faite par-
méthode. M. Dayre, je préciserai que les transports d'outils et les dépla
cements des agriculteurs et de leurs familles, sont inclus dans nos
,
distance moyenne des parcelles aux bâtiments. Cette remarque d'approfondir un point : le coût du transport suivant la nature
non essentielle pour des exploitations plus ou moins remembrées, du véhicule et l'état de l'infrastructure.
le deviendra sans doute dans le cas d'exploitations pour le Dans l'ouvrage de Nogaro et Oualid sur les transports, je note
squel es le parcellement est un mal chronique. Pour un seul tra par exemple l'énorme différence de coût de transports commerc
itement (sulfatage, poudrage), if n'est pas rare de constater que iauxde blé, suivant l'évolution technique/ Avant la révolution,
la distance parcourue au terme de l'opération est supérieure a le coût du transport .dépassait 2 NF par tonne kilométrique, pour
50 kilomètres, dans le cas d'une exploitation viticole d'une dizaine le transport du blé, en fardier, sur les mauvais chemins d'Europe
d'hectares mais comprenant 20 à 30 parcelles : sans aucun doute, Centrale. Sur les chemins de fer français, il tombait, en 1914.
l'importance du kilométrage parcouru provient autant des par à 0,06 NF...
cours (de plus en plus nombreux) d'une parcelle à l'autre que N'y aurait-il pas des différences — sinon aussi grandes, du
de la seule distance moyenne entre les parcelles et les bâtiments moins appréciables — entre les divers types de moyens de trans
de l'exploitation. ports à la disposition des agriculteurs ?
R. P. de Farcy. — Si M. Richard avait, un jour, la possibilité M. Richard. — Dans nos centres de gestion, seules sont uti
de continuer cette étude, je me permettrais de lui demander lisées les techniques modernes de transport !