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Les néoclassiques reprennent la théorie des monétaristes. Le père de ce courant était Milton Friedman
prix Nobel 1976.
Les néoclassiques reprennent comme fondement cette théorie des monétaristes et surtout la conception
de la monnaie des libéraux.
Ils considèrent que la monnaie n¶est pas demandée pour elle-même, mais simplement demandée pour
effectuer des transactions. C¶est un instrument qui permet de faciliter les échanges.
Dans c¶est conditions, la monnaie ne perturbent pas les équilibres sur les différents marchés.
On parle de neutralité de la monnaie.
On dit aussi qu¶il y a dichotomie (séparation) entre la sphère monétaire et la sphère réelle.
Les monétaristes développent une analyse qui s¶appuie sur l¶étude suivante :

Ä Lorsque dans l¶économie, 


  
 fortement, la demande de crédit a
tendance à s¶élever ce qui encourage la consommation et l¶investissement. Dans ces
conditions la demande globale à tendance à augmenter. Si l¶offre, la production, n¶arrive pas à
assouvir cette demande, c¶est le risque inflationniste (hausse des prix). Cela engendre un
risque de l¶arrêt de la consommation, de réduction de la demande & donc le risque d¶entrer en
crise économique.

Ä Si 
   fortement, cela réduit les demandes de crédit, et la
consommation et l¶investissement. C¶est la demande globale qui s¶affaiblit. Dans ces
conditions, l¶offre de biens & services aura tendance à baisser. C¶est le risque de récession &
de chômage.

Dans le 1er cas, la baisse des taux d¶intérêts provoque l¶augmentation de la masse monétaire.
Dans le 2nd la masse diminue.
Pour les monétaristes, il ne faut pas qu¶il y ait ni trop, ni pas assez de monnaie en circulation dans
l¶économie.

Le 1er cas peut s¶illustrer en construisant l¶équation quantitative de la monnaie appeler aussi équation
de Cambridge.

 M = masse monétaire


V = Vitesse circulation de la monnaie
P = niveau général de prix
Y = Production

Les néoclassiques & les monétaristes considèrent également que la vitesse de circulation de la
monnaie est assez stable à court terme. Ils démontrent également qu¶a court terme, les quantités
produites varient peu.

Ĺ M . V = Ĺ P. Y
On retrouve ici, la dichotomie entre la sphère monétaire et sphère réelle. La hausse de la masse
monétaire se traduit par de l¶inflation.

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La Loi de Walras est le fondement de la théorie néoclassique contemporaine. Elle est à l¶origine de la
théorie de l¶équilibre générale. Cette loi permet de montrer qu¶il y a équilibre au niveau global de
l¶économie, c'est-à-dire sur l¶ensemble des marchés, même si il y a déséquilibre sur certains marchés.
La loi de Walras est fidèle au principe de  
 
 . En effet, Walras à
commencer par analyser les comportent des agents individuels sur l¶ensemble des marchée (B&S,
monétaire, travail).
Chaque agent individuel formule ses offres et ses demandes sur ces 3 marchés. Il peut acheter les
quantités qu¶il désire au prix courant en fonction de sa contrainte budgétaire.
Dans tous les cas, la somme de toutes les demandes de chaque agent doit être égale à la somme de ses
ressources. Lorsque qu¶on additionne les excès de demandes et les excès d¶offres individuelles cette
somme doit être nulle en raison de la contrainte budgétaire.
Si un agent à un excès de demande sur N-1 marché, il doit avoir un excès d¶offre sur le Nième marché
afin de pouvoir financer ses achats. Ce Nième marché peut être le marché du travail.
Walras étend son raisonnement de la Micro à la Macro économie. Si la somme des excès d¶offres et de
demande est nulle pour chaque agent, elle doit être aussi pour l¶ensemble des agents.
Un déséquilibre sur un marché peut être compensé par un déséquilibre sur un autre marché.
Mais dans tous les cas, chaque marché, s¶équilibrera automatiquement grâce à la flexibilité des prix.

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L¶analyse néoclassique repose sur une représentation en termes de marché. Ces marchés fonctionnent
simultanément et s¶équilibre automatiquement.
Les marchés macroéconomiques sont des abstractions construites sur la base des hypothèses
Suivantes :

1. Êous les Consommateurs ont des contraintes et des comportements d¶optimisations
identiques.
Idem pour les producteurs. On peut par agrégation, construire un agent
consommateurs représentatif et un agent producteur type.

2. Il existe 1 seul bien dans l¶économie.

3. Ce bien est produit grâce à la combinaison du facteur Êravail et facteur capital.

4. Nous sommes à court terme, on peut considérer que le volume du capital (K) est
donné.

5. Le facteur Êravail (N) est variable. Il se fixe sur le marché du travail ou la variable
d¶ajustement est le salaire réel (W/P).

6. La monnaie est émise par les autorités monétaires (Banque centrale). C¶est donc une
donnée. L¶offre de la monnaie est donc exogène.
7. La monnaie est uniquement demandée pour assurer la circulation du bien produit.
L¶égalité entre l¶offre et la demande de monnaie s¶effectue à travers l¶ajustement du
niveau général des prix (P).

8. L¶épargne est totalement transformée en investissement grâce à la flexibilité du taux


d¶intérêt réel.

! % Le modèle néoclassique retient 4 marchés :

- Êravail qui fixe le niveau de l¶emploi


- Le marché de la monnaie qui détermine le niveau général des prix
- Le marché de l¶offre et demande global de Bien
- Le marché qui égalise l¶épargne et l¶investissement

Les marchés de la monnaie et des biens sont redondant car tous 2 fixent le niveau des prix.

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