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Journal de bord
Travail présenté à
Mme. Morin
ROBILLARD, Simon
Musique
4ISMUS2-81 - Groupe 81
2) Le septième degré est toujours abaissé d’un demi-ton si rien n’est spécifié
4) Elle découle de la gamme mineure naturelle, dont le 3e, 6e et 7e degrés sont abaissés
d’un demi-ton (bémols)
8) 1, 3b, 4, 4#, 5, 7b
9) Trois phrases contenant chacune 4 mesure (ce concept est démonté visuellement par la
mise en page particulière des blues de 12 mesure)
11) Préférablement sur le 1er (fondamentale), le 3e (majeur) et le 5e degré dans le cas des
accords de septième, ainsi que sur le 4e et 7e degré dans le cas d’un accord mineur (celui
de la 9e mesure)
12) Les phrases doivent se terminer sur le 3e degré (majeur) ou sur le 7e degré par un
demi-ton
14) Car elle a été inventée par les esclaves noirs qui travaillaient dans les plantations afin
de « libérer leur chagrin » sous forme de chant tout en suivant le rythme du travail (ce qui
explique le tempo lent et swing ainsi que l’utilisation de la gamme mineure blues
, qui apporte ce petit côté triste)
2)
b)
c)
d)
Critère C
a)
b)
c)
d)
e)
Critère D
1) Oui, je crois que, en général, j’ai réussi à produire un résultat final cohérant et
intéressant, car je n’ai pas toujours suivi les instructions données. Par exemple, je ne
finissais pas toujours les phrases musicales sur les degrés suggérés afin de créer un
certaine « tensions », que je résolvais ensuite dans la phrase suivante. Aussi, je n’ai pas
uniquement utilisé la gamme mineure blues dans mon improvisation (car si elle est
utilisée abusivement, l’improvisation devient très répétitive et ennuyante), j’ai plutôt
favorisé la gamme majeure blues dans les mesures en I7 (C7 dans mon cas).
2) Oui, car j’ai remarqué que, suite à ce projet, j’avais beaucoup plus de plaisir à écouter
du blues. En effet, je pouvais écouter n’importe quelle chanson blues (que ce soit une
progressions de 12 mesures, 8 mesures, etc.) et quasiment prédire les notes que le
chanteur / improvisateur allait utiliser. Parfois, j’allais même jusqu’à chanter
spontanément (dans ma tête) une mélodie improvisée en arrière-plan lorsque j’écoutais
du blues
4) Oui, car je trouvais que, même si les improvisation blues avaient une sonorité
particulièrement agréable, ils étaient très peu flexibles dû aux nombreuses règles
imposées. J’ai donc fait des recherches et j’ai découvert ce qu’on appelle l’improvisation
modale (majoritairement utilisée en jazz), qui permettait à l’improvisateur d’être
beaucoup plus créatif, puisque celle-ci n’est pas « dépendante des changement d’accord »
(un improvisateur expérimenté est donc capable de faire une improvisation sur un seul
accord en utilisant plusieurs modes / gammes modales)
5) Oui, certaine personnes, tel que Annie Wang, m’ont impressionnées lors de leur
improvisation car, même si son improvisation n’avait pas une rythmique très complexe,
elle suivait cependant les règles à la lettre tout en ayant une certaines originalité (J’ai
surtout apprécié la manière dont elle utilisait la gamme mineure pour aborder l’accord
IIm de la 9e mesure car, personnellement, je n’arrive jamais à des résultats convaincants
en l’utilisant : je la remplace d’habitude par la gamme mineure blues, ce qui sonne un peu
plus répétitif