Biologie Cellulaire
QCM classés par chapitre
Noyau page 36
Techniques page 60
Cytosquelette page 76
QCM 4 : A. Hypotonique.
C. 50 lipides pour 1 protéine. D. Il varie d’une cellule à l’autre, autour de 1.
QCM5 : C. L'organisation en micelles n'est trouvée que lorsqu'il n'y a qu'une chaîne d'acides
gras. Les PL (2 chaînes d'acides gras) s'organisent en liposomes.
QCM 6 : B. La MP est perméable pour certaines substances comme les gaz (O2, CO2)
C. Liaisons hydrophobes de faible énergie.
QCM 7 : A. 20000 à 250000 Da. B. Elles ne sont pas visibles au MO mais au MET.
E. Les protéines totalement hydrophobes n’existent pas !
QCM 12 : A. Ils s’agrègent par leur pôle hydrophobe. B. Le volume d’un cylindre.
E. Le volume d’un cône.
QCM 22 : B. Il se produit 400 fois/sec/cellule, donc on peut facilement l’observer, même s’il est
rare pour un lipide (1 fois/mois/molécule).
QCM 23 : A. Dans les cellules procaryotes, les eucaryotes régulent la fluidité par la quantité
relative de cholestérol. D. Versant hyaloplasmique.
QCM 27 : B. pas exclusivement; elle est aussi liée à la diminution progressive du nombre de
translocases fonctionnelles.
QCM 31 : C. Elles compensent par la présence d’une paroi bactérienne, voire d’une capsule.
QCM 36 : A. Ils sont synthétisés dans le réticulum endoplasmique puis remaniés dans le Golgi.
B . 50 molécules lipidiques pour une protéine (avoir un ordre d’idée).
C. Elles sont très mobiles.
E. C’est le contraire : hydrophobe dans la bicouche / hydrophile hors de la bicouche.
QCM 38 : A. C’est une membrane interne (et non MP) qui délimite les organites.
B. Les PL de la MP ont 2 AG au pôle hydrophobe.
D. Seuls les liposomes sont organisés en bicouche (et pas les micelles).
QCM 43 : D. Vrai car en effet pour les hématies l’externalisation de phosphatidyl sérine
déclenche le processus d’élimination par phagocytose.
QCM 45 : C. C’est utilisé pour les protéines qui sont amarrées à la membrane plasmique par
un AG ou un GPI.
QCM 48: C. Les AG sont surtout saturés. D. Les scramblases ne nécessitent pas d’énergie.
QCM 49 : A. Les gangliosides sont plus abondant dans les neurones. Attention ne pas oublier
que les hépatocytes sont des cellules du foie alors que les entérocytes entrent dans la
constitution de l’épithélium intestinal (la confusion est fréquente).
B. Ils représentent 5 à 10% des lipides.
QCM 52 : A. C’est le mosaïque fluide (flip-flop = passage des PL d’une hémi couche à l’autre).
B. C’est le contraire. D. Elles fonctionnent dans les 2 sens. E. Et des SP.
QCM N°28 PERM : A propos de la coordination des activités des protéines porteuses :
A. On retrouve au niveau des microvillosités de l’intestin des transporteurs GLUT et des co-transporteurs
glucose/Na+.
B. On trouve au niveau des entérocytes des pompes Na/K sur toute la surface de la MP.
C. Le co-transporteur Cl-/HCO3- joue un rôle fondamental au niveau du pôle basal des cellules gastriques,
dans la synthèse de l’acide chlorhydrique du suc gastrique.
D. Les ions H+ de l’acide chlorhydrique sont amenés dans la cellule gastrique par des transporteurs actifs
primaires et secondaires.
E. La pompe NA+/K+ ATPase peut être inhibé dans le cas d'une insuffisance cardique par la digoxine.
QCM N°29 PERM : A propos de la coordination des activités des transporteurs à glucose :
A. La régulation de la glycémie dépend d’un mécanisme de rétro-inhibition.
B. Le pancréas joue un rôle très important dans la régulation de la glycémie par la production d’une
hormone hypoglycémiante et d’une hyperglycémiante.
C. Cette régulation fait intervenir les transporteurs GLUT et les co-transporteurs Glucose/Na+.
D. En cas de jeûne, les entérocytes capturent le glucose sanguin.
E. La glycémie est régulée également par une plus ou moins grande réabsorption du glucose de l’urine
primaire.
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QCM 30 : Transport trans-membranaire actifs secondaires :
A. L’absorption de glucose est possible même pour des concentrations de glucose 30 000 fois plus faible
que la concentration intra cellulaire.
B. La présence d’ouabaïne extra cellulaire perturbe le fonctionnement du co-transporteur Glu./Na
C. Les co-transporteurs glucose/Na des entérocytes existent sous 2 états différents : A et B.
D. Le transporteur Glu/Na au niveau des cellules rénales permet la réabsorption de glucose et l'expulsion
de Na.
E. Ces transporteurs sont directement dépendant de l'hydrolyse de l'ATP.
QCM 6 : A. Les ions et le glucose nécessaires ont un coefficient de perméabilité trop faible.
B. Au contraire, vu qu’ils sont hydrophobes.
C. Faux : elle est perméable à l'eau
QCM 13 : D. Il existe des inhibiteurs compétitifs des protéines porteuses, réversibles ou non.
QCM 24 : A. Ils n’ont pas d’activité ATPasique intrinsèque mais sont ATP-dépendants de part l
a nécessité du maintien du gradient de Na+ par la pompe Na/K qui hydrolyse de
l’ATP.
QCM 27 : A. Il est plus efficace par l’injection dans la cellule d’ions HCO3-.
B. Uniquement dans certaines cellules nerveuses.
C. Cl- dépendant ! D. Lutte contre l’alcalinisation du cytosol.
QCM 33 : A. Il est indirectement ATP dépendant car il fonctionne avec la pompe Na/K ATPase
qui est directement dépendante de l'ATP.
E. Le pH diminue.
QCM 36 : A. Protéine canal = canal ionique. Protéine porteuse passive = pour grosses molécules
non chargées.
B. Uniport signifie un seul type de port pour un type de molécule mais le plus
souvent en plusieurs exemplaires (ce qui augmente l’efficacité).
C. Faux : les ions ne peuvent pas diffuser.
D. Un canal ionique est le plus souvent fermé ce qui maintient la différence de
concentration ionique transmembranaire. Son ouverture n’est que transitoire.
QCM 40 : C. Même si c’est de façon indirecte, le transport secondaire utilise aussi une ATPase.
Elle sert à créer le gradient de l’ion qui servira au fonctionnement du co-transport.
D. Les canaux sont en général fermé. L’ouverture est déclenchée par un stimulus et
est de courte durée.
E. La phrase est vraie ; cependant, les ATPases à protons peuvent être présente sur la
membrane plasmique ; elles sont en revanche proportionnellement beaucoup moins
nombreuses qu’à la surface de la membrane lysosomiale.
QCM 44 : A. Ce sont des transporteurs « Glucose/1Na » sur les cellules rénales. Les
« Glucose/2Na » sont localisés dans le tube digestif.
B. C’est l’inversion du sens de fonctionnement des transporteurs GLUT (diffusion
facilitée) qui permet la libération de glucose dans le sens.
C. Les cellules rénales présentent des GLUT qui laisse filtrer le glucose dans les
urines. En revanche, elles présentent aussi des pompes Glu/Na qui permettent sa
réabsorption quasi-totale ! L’urine primaire à une concentration en glucose identique
à celle du sang.
E. Elle est indirectement dépendante de l'ATP.
QCM 30 : Le noyau :
A. La transcription de l'ARNr se fait par la ARN polymérase II.
B. Les protéines qui s’associent transitoirement pour participer à la maturation des sous-unités sont dites
des protéines pré-ribosomales.
C. Les pores nucléaires constituent l’un des plus gros assemblage multimoléculaire des cellules appelé
complexe de pore.
D. Le complexe de pore laisse transiter passivement des cellules de PM inférieur à 100kDa.
E. Des filaments émanent du complexe de pore de manière symétrique du côté nucléaire ainsi que du côté
cytoplasmique.
1 : BD 2:E 3 : CE 4 : AC 5 : ACE
6 : AD 7 : BC 8 : BCE 9 : ACE 10 : AC
11 : CD 12 : Aucune 13 : E 14 : ABE 15 : A
16 : CE 17 : AC 18 : BC 19 : ACE 20 : BE
21 : CD 22 : AB 23 : BE 24 : ABDE 25 : BCDE
26 : B 27 : ABE 28 : CDE 29 : BC 30 : BC
31 : ACE 32 : ACD
QCM 3 : A. La proposition est vraie sauf que l’euchromatine apparaît claire en ME.
B. Les lysines peuvent être acétylées mais pas les arginines.
D. Au contraire, les molécules d’ADN occupe un territoire qui leur est propre au sein
du noyau.
QCM 10 : B. Il est transporté sous la forme d’un complexe précurseur (un demi protéasome20S)
D. Seul le NLS est riche en acides aminés basiques.
QCM 13 : A. Ce sont les histones qui subissent ces modifications et non pas l’ADN.
B. Elle possède une faible densité en gène mais constitue la région la plus tardivement
répliquée.
C. Elle possède une organisation en rosettes.
D. Les lamines ne sont pas des microfilaments mais des filaments intermédiaires.
QCM 14: B. Vrai : c’est à cause justement du fait que les molécules d’ADN ne sont pas
distribuées au hasard dans le noyau. C. Le nucléole est également observé sous
microscopie optique.
D. Il est constitué de zones granulaires périphériques et de zones fibrillaires centrales
hétérogénes (avec des parties denses cerclant des zones plus claires).
QCM 16 : A. Le diamètre des complexes de pore n’est pas constant. En effet il existe plus de 30 t
ypes de nucléoporines qui peuvent être présentes en 16 ou 32 exemplaires au niveau
de chaque pore.
B. En majorité, c’est exact. Mais il ne faut pas oublier que les petites molécules de
taille inférieure à 50 kDa se déplacent grâce à un transport passif.
D. L’interaction se fait entre les transporteurs de la cargaison (importines ou
exportines, …) et les domaines de répétition du dipeptide Phe-Gly de certaines
nucléoporines (et non le granule central).
QCM 17 : B. La protéine Ran-GTP est beaucoup plus concentrée dans le noyau, ce qui explique
son rôle dans le déplacement des importines et des exportines vers le cytosol, et ce qui
explique la nécessité de la protéine NTF2 pour pouvoir ré-importer la Ran dans le
noyau.
D. Les importines sont liées au Ran-GTP ! (le Ran-GTP se trouve toujours dans le
noyau et accompagne importines et exportines vers le cytosol. Le Ran-GDP se trouve
dans le cytoplasme.)
E. C’est l’interaction de Ran-GTP avec une importine qui entraîne la libération de sa
cargaison.
QCM 18 : A. Cela n’est valable que pour les ARN messagers (et seulement les ARNm matures).
Parce que les ARN ribosomiques sont transportés au sein des sous-unités 60S et 40S
grâce à des exportines.
D. Chaque ribosome possède 2 signaux d’export nucléaire puisque les sous-unités 60S
et 40S sont transportées séparément !
E. Le transport nucléocytoplasmique ne doit pas impliquer la dénaturation des
cargaisons !!
QCM 24 : C. 50 kDa.
QCM N°2 CYC CELL : A propos du cycle cellulaire et des acteurs de sa régulation :
A. Les cellules atteignant une taille suffisante à l’issue de la phase de croissance (G2) initie une phase de
division cellulaire.
B. Les mécanismes du contrôle de ce cycle participent au vieillissement cellulaire (sénescence) et à la
mort cellulaire programmée (apoptose).
C. Le franchissement des différentes étapes du cycle cellulaire est sous le contrôle de complexes
protéiques à activité tyrosine kinase.
D. Les complexes kinases qui régulent la progression du cycle cellulaire sont composés de deux sous
unités : l’une catalytique (cdk) et l’autre régulatrice (cycline).
E. L’activité des sous unités catalytiques cdk, dont la concentration varie au cours du cycle cellulaire,
dépend de leur liaison aux cyclines.
QCM N°3 CYC CELL : A propos des acteurs de la régulation du cycle cellulaire :
A. Le MPF (Mitosis promoting factor) a été le premier complexe identifié de cette régulation. Il est
constitué de l’association cdk1/cycline E.
B. Le MPF est spécifique à l’espèce humaine, bien que les protéines jouant le même rôle chez les autres
eucaryotes en soient structurellement très proches.
C. Le complexe cdk2/cycline E est requis pour assembler la « machinerie » nécessaire à l’entrée en phase
S.
D. De nombreuses combinaisons sont possibles en ce qui concerne les complexes régulateurs du cycle,
puisque certaines cdk peuvent s'associer avec plusieurs cyclines, et certaines cyclines peuvent s'associer
avec plusieurs cdk.
E. La phosphorylation exercée par les complexes cdk/cycline se fait grâce à la créatine kinase.
QCM N°4 CYC CELL : A propos des points de contrôle du cycle cellulaire :
A. La prolifération des cellules in vitro nécessite des facteurs de croissance.
B. La durée d'incubation avec des facteurs de croissance, nécessaire à l'atteinte du point de restriction, se
caractérise comme la durée entre le début de cette incubation et l'entrée en phase S.
C. En fin de phase G1, il existe un point de restriction nommé R à partir duquel les cellules sont
« programmées » pour se diviser.
D. Les facteurs de croissance stimulent la synthèse de cycline B qui se lie à cdk4 et cdk6 lorsqu’elle se
trouve en concentration suffisante dans la cellule.
E. Le contrôle de la transition G1/S est assuré par le complexe cdk2/cycline E.
QCM N°5 CYC CELL : A propos des points de contrôle du cycle cellulaire :
A. Le complexe cdk2/cycline A permet la transition S/G2 en contrôlant la présence d’ADN non répliqué
ou de lésions de l’ADN.
B. Le passage métaphase/anaphase est permis par l’attachement correct des kinétochores, donc par
l’assemblage correct du fuseau mitotique.
C. Le point de contrôle permettant la transition G2/M est dépendant de l’activation de la protéine p63.
D. Lorsque les dégâts cellulaires sont trop importants, la cellule meurt par apoptose si les systèmes de
contrôle du cycle ne sont plus fonctionnels.
E. Le complexe cdk1/cycline B permet la transition G2/M.
QCM N°7 CYC CELL : A propos de la régulation de l’activité des complexes cdk/cycline :
A. La protéine p53 est un facteur de transcription présent dans toutes les cellules normales sous forme
active mais à un taux très faible et constant dans les conditions physiologiques.
B. La protéine p21 est considérée comme un inhibiteur universel de l’activité kinase des complexes
cdk/cycline, elle est donc très efficace pour bloquer la prolifération cellulaire.
C. L’activation de la protéine p16 provoque l’arrêt du cycle en G2.
D. La protéine p53 est capable de détecter de très nombreuses conditions de stress cellulaire et de bloquer
transitoirement ou définitivement le cycle dans n’importe laquelle de ses phases.
E. La p53 est capable d’induire la transcription du gène codant pour la p21.
QCM 12 :
A. La régulation de l’activité des hétérodimères cdk/cycline ne dépend que de la concentration en cycline.
B. p16 est un inhibiteur spécifique du cycle cellulaire n’agissant qu’en phase G1 tandis que p21 est un
inhibiteur universel pouvant agir sur plusieurs phases du cycle.
C. L’expression de p21 est sous le contrôle de la protéine p53.
D. L’activation de la protéine p53 aboutit systématiquement à la mort cellulaire par apoptose.
E. La mutation du gène p53 peut être responsable de l’apparition de nombreux cancers.
QCM 13 :
A. La sénescence réplicative s’accompagne de modifications morphologiques et d’expression génique tels
que l’inhibition de l’expression de p16 et l’activation de p53.
B. Le marquage des SA-β-galactosidase par technique d’histoenzymologie permet, sur une coupe de tissu
humain, d’en évaluer l’âge.
C. Les cellules souches adultes, tout comme les cellules de la lignée germinale, ont un potentiel
prolifératif théoriquement illimité.
D. p16 agit en se fixant de manière compétitive avec la cycline D sur le site actif du complexe catalytique.
E. La plupart des cellules tumorales ont subi 2 processus: l’inactivation de p53 et la réactivation de la
télomèrase.
QCM 14 :
A. Les cyclines ne peuvent s’associer de manière spécifique qu’à une cdk.
B. Le contrôle de la transition G1/S est assurée par le complexe cdk 2 /cycline E.
C. Le contrôle de lésions de l’ADN à la transition G2/M est dépendant de la présence de la protéine P53.
D. L’activité des complexes cdk/cycline subit des variations notamment grâce à des modification de type
phosphorylation.
E. La synthèse des différents cdk est principalement régulée de manière transcriptionnelle et leur
dégradation par ubiquitination ce qui permet un dosage précis de leurs concentrations respectives au cour
du cycle.
QCM 15 :
A. Les protéines P16, P21, P53 ou CKI (cyclin kinase inhibitors) sont des protéines de contrôle du cycle
cellulaire.
B. P16 est un inhibiteur compétitif contrairement à P21 qui est un inhibiteur non compétitif des
complexes kinases spécialisés.
C. P53 est une phosphoprotéine nucléaire qui détecte de très nombreuses conditions de stress cellulaire et
dont l’activation entraîne une augmentation de sa durée de vie.
D. La protéine P53 contribue au maintient quantitatif et qualitatif de l’information génétique en
empêchant le déclenchement de division cellulaire lorsque la cellule est en état de stress cellulaire.
E. Les lésions de l’ADN vont stimuler l’expression de P53 ce qui permettra à la cellule de réparer ces
lésions ou d’induire la mort cellulaire dans le cas où ces lésions sont trop importantes.
QCM 17 :
A. En phase G1, dite « phase de contrôle », les cdk6 et la cycline D permettent l’assemblage de la
machinerie de réplication de l’ADN ce qui permet l’entrée en phase S.
B. Le MPF ou Mitosis Promoting Factor constitué par l’association cdk2-cycline E permet le contrôle de
l’entrée en mitose.
C. La p53 est un facteur transcriptionnel qui peut induire un blocage transitoire ou définitif du cycle
cellulaire si la cellule est endommagée.
D. Le phénomène de sénescence réplicative est un arrêt transitoire du cycle d’une cellule ayant subit des
dommages.
E. Les télomères sont des séquences d’ADN situées aux niveaux des centromères des chromosomes
impliquées dans l’horloge cellulaire.
QCM 18 :
A. Une transcription non régulée de la télomérase peut participer à l’acquisition de l’immortalité
théorique de la cellule.
B. Dans 90% des tumeurs, la transcription de la télomérase est réactivée.
C. La barrière p53-télomérique correspond à l’activation de p53 après un certain degré d’érosion des
télomères.
D. Les facteurs de croissance peuvent induire une synthèse de cdk et de cycline.
E. Les mutations du système de contrôle du cycle ont toujours un effet inhibiteur.
QCM 19 :
A. La télomérase en raccourcissant les extrémités des chromosomes réduit et régule le nombre de division
que la cellule pourra effectuer avant d’entrer en sénescence réplicative ou en apoptose.
B. p21 active la fonction kinase des complexes cdk-cycline
C. Les cyclines D sont présentes essentiellement en phase G2.
D. L’activation de p53 consiste d'une part en une augmentation de sa durée de vie et d'autre part à la mise
en fonction de son activité de facteur transcriptionel.
E. La SA-β-galactosidase est un très bon marqueur de l’apoptose.
QCM 20 : A propos du cycle cellulaire :
A. Le cycle cellulaire doit permettre le maintien quantitatif et qualitatif de l’information génétique,
comme c’est le cas dans la méiose.
B. Les mécanismes de contrôle du cycle cellulaire participent au vieillissement cellulaire (apoptose).
C. La plupart des cellules tumorales peuvent se multiplier de manière « autonome », anarchique,
inadaptée aux besoins de l’organisme : cela peut être dû à des anomalies de contrôle du cycle cellulaire.
D. La phase G1 est une phase de croissance, alors que la phase G2 est une phase de contrôle.
E. Après la phase G1, lorsque les cellules ont atteint une taille suffisante, elles initient le processus de
division cellulaire.
QCM 29 :
A. Chaque transition entre deux phases est contrôlée par des complexes kinases spécialisés.
B. Un complexe kinase est un complexe protéique hétérodimérique composé d’une sous-unité catalytique
ou cycline et d’une sous-unité régulatrice ou cdk.
C. Les cdk ont une concentration constante tout au long du cycle mais ne sont actives que lorsqu’elles
sont associées aux cyclines (qui ont une concentration variable).
D. Le MPF est le complexe protéique cdk2/cyclineE. C’est lui qui permet l’entrée en mitose de la cellule.
E. Si on supprime les facteurs de croissance à une population cellulaire précédemment incubées pendant
quelques heures, les cycles cellulaires seront bloqués.
QCM 30 :
A. Si à la fin de la phase S, tout l’ADN n’est pas répliqué, l’entrée en phase G2 est retardée.
B. La quantité de complexes cdk/cycline dans une cellule dépend principalement du taux de cycline.
C. La p16 est un CKI: une protéine inhibitrice universelle des complexes cdk/cycline.
D. La p21 est un inhibiteur spécifique des complexes cdk/cycline mettant en jeu cdk4 et cdk6. Elle inhibe
l’activité kinase de ces complexes lorsqu’elle s’y lie.
E. Dans les conditions physiologiques, p53 est présente dans les cellules normales sous forme inactive et
en faible quantité.
QCM 32 :
A. Les télomères sont les extrémités des chromosomes. Ils sont constitués de la séquence TTAGGG
répétée de nombreuses fois.
B. A chaque réplication, ces télomères se raccourcissent, ce qui bloquera finalement le cycle cellulaire et
mènera la cellule à la sénescence réplicative.
C. Ce sont les cellules souches adultes qui ont le potentiel prolifératif le plus important.
D. La télomérase est une enzyme composée d’une polymérase et d’un ARN complémentaire de la
séquence télomérique.
E. La télomérase est exprimée dans tous les types cellulaires adultes, y compris dans les cellules
germinales.
QCM 33 :
A. La télomérase est fortement exprimée pendant l’embryogenèse.
B. Il est plus que courant d’avoir la transcription de la télomérase réactivée dans les cellules tumorales
humaines.
C. La crise est une mort cellulaire massive. C’est une seconde barrière au développement des tumeurs.
D. Il existe un modèle de développement tumoral où la p53 est inactivée simultanément à la réactivation
de la télomérase.
E. Si on inactive la télomérase, les cellules tumorales perdent leur capacité à se diviser indéfiniment.
1 : ABD 2 : BD 3 : CD 4 : ACE 5 : AB
6 : ACE 7 : BD 8:D 9 : CE 10 : AD
11 : ABE 12 : BCE 13 : BDE 14 : BCD 15 : ABCD
16 : C 17 : C 18 : ABC 19 : D 20 : CDE
21 : ACDE 22 : CDE 23 : ABE 24 : BCDE 25 : ABCDE
26 : BCD 27 : BDE 28 : ABCE 29 : AC 30 : ABE
31 : CD 32 : ABD 33 : ABCE
QCM 1 : C. Elle est aussi primordiale lors du renouvellement tissulaire chez l’adulte.
E. La plupart des cellules tumorales, pas toutes.
QCM 7 : A. p53 est sous forme inactive dans les conditions physiologiques.
C. En G1.
E. Elle est capable d’activer (et non d’induire) la transcription de ce gène. NB pour
les perplexes: il faut différencier l'activation de l'induction: l'activation est un
phénomène direct, alors que l'induction indique une cascade d'évènements.
QCM 8 : A. La plupart des cellules atteignent leur différenciation terminale avant d’avoir
épuiser leur potentiel prolifératif.
B. La taille du noyau augmente comme celle de la cellule.
C. C’est l’inverse (plus l’individu est âgé plus on trouvera de cellules sénescentes).
E. L’induction de la SA-β-galactosidase.
QCM 14: A. Une cycline peut s’associer à plusieurs cdk et vice versa.
E. La concentration des cdk est plus ou moins constante au cour du cycle, item vrai
avec les cycline.
QCM 16 : A. Elle peut aussi juste faire un blocage transitoire le temps de réparer.
B. Préférentiellement, dans les cellules tumorales, les mutations du système de
contrôle sont inhibitrices et favorisent alors la prolifération mais on peut avoir des
mutations activatrices qui favorisent l’apoptose.
D. Le complexe protéique à activité kinase comprend la sous unité cdk et la cycline.
Seule la cycline est présente de manière cyclique (d’où son nom)
E. La cycline est la sous unité régulatrice.
QCM 18 : D. Cycline mais pas cdk dont le taux est constant dans le cycle.
E. Une mutation peut être activatrice ou inhibitrice.
QCM 26 : A. C’est le cas des cellules de la lignée germinale, qui via la fécondation s’expriment
au travers des générations. Les cellules souches adultes ont un potentiel de
multiplication très important, mais que l’on ne peut pas actuellement évaluer
précisément.
E. Si p53 est inactivée on observe une multiplication de la cellule.
QCM 30 : C. P16 est inhibiteur spécifique car il ne se lie qu’aux complexes mettant en jeu cdk4
et cdk6.
D. P21 est un inhibiteur universel des complexes cdk/cycline.
QCM 32 : C. On considère que les cellules de la lignée germinale ont un potentiel prolifératif t
héoriquement illimité.
E. Chez l’adulte, elle ne persiste que dans les cellules souches et les cellules
germinales.
QCM N°13 TECH : A propos du microscope confocal et de la GFP (Green fluorescent protein) :
A. La GFP est une petite protéine naturellement fluorescente en forme de tonneau qui être couplée à des
protéines sans modifier leurs fonctions.
B. La plupart des composants biologiques ont des coefficients d’absorption élevés dans le domaine du
visible et de l’infra rouge.
C. Le microscope confocal permet d’obtenir des images de la gastrulation beaucoup plus précises qu’avec
un microscope à fluorescence classique.
D. La GFP ne peut être utilisée dans des cellules vivantes car elle est très toxique et les détruit
rapidement.
E. La GFP est une protéine fluorescente de 70kDa nottament utilisée pour suivre le développement de
nombreux organismes .
1 : ACD 2 : CE 3 : BD 4 : AC 5:B
6 : ABCDE 7 : AE 8 : BC 9 : ACD 10 : B
11 : AD 12 : BDE 13 : AC 14 : supprimé 15 : ACE
16 : BCDE 17 : supprimé 18 : ABCE 19 : BD 20 : ACD
21 : CE 22 : ACE 23 : ADE 24 : ABC 25 : AC
26 : B 27 : BE 28 : CDE 29 : CD 30 : BCD
31 : ACD 32 : ACDE 33 : BDE 34 : DE 35 : supprimé
36 : aucune 37 : ADE 38 : BCE 39 : ACE 40 : supprimé
41 : BD 42 : BCD 43 : CD 44 : ABE 45 : B
46 : AD 47 : ACD 48 : AE 49 : ACD 50 : BD
51 : ABD 52 : ABDE 53 : BE 54 : ADE 55 : BCE
QCM 2 : A. La plupart aboutissent à la mort cellulaire mais pas toutes. Par contre, on utilise
en grande majorité des techniques sans coloration pour observer des cellules vivantes
en MO.
B. La modification du spectre de la lumière transmise correspond au principe de la
coloration.
D. ayant une apparence de relief.
QCM 3 : A. Le métal est vaporisé verticalement, de manière à ce que la couche soit homogène.
C. Les faisceaux d’électrons sont synchrones.
E. Le pouvoir de résolution est plus faible que celui du MET.
QCM 8 : A. Non, il y a également des Ac qui étaient présents avant le contact avec l’Ag.
D. Les MP fusionnent de cette façon, mais les noyaux fusionnent à la mitose suivante.
E. IgG, IgM... donc pas toutes identiques.
QCM 21 : A. La M.O. sans coloration utilise les décalages de phase ou la réfraction de la lumière
sur les objets à observer.
B. La lumière incidente est latérale.
D. La microscopie interférentielle donne une apparence de relief, par contre on peut
observer un vrai mouvement grâce à cette technique.
QCM 30 : A. La GFP est naturellement produite par une petite méduse du zooplancton :
Aequorea Victoria.
E. La GFP peut être utiliser avec la technique du FRET pour observer les
interactions moléculaires in vivo.
QCM 39 : B. Cette technique est réalisable sur chromosome métaphasique mais aussi sur des
cellules en interphase (pas directement.
D. Les chromosomes homologues sont marqués avec le même fluorochrome.
QCM 41 : A. Il est possible de produire des anticorps monoclonaux contre un antigène non
identifié par immunisation avec un extrait protéique total d’un tissu et procéder à la
caractérisation ultérieure.
C. Le contraste de phase ou interférentiel est basé sur la visualisation du décalage de
phase de la lumière transmise et donne une image en relief.
E. Les matériaux anisotropes (biréfringents) sont composés préférentiellement de
particules sub-microscopiques asymétriques ordonnées.
QCM 43 : A. Le site de reconnaissance de l’antigène est situé sur le fragment Fab (antigen
binding) de l’anticorps et non sur son Fc (fragment cristallisable).
B. Dans la proposition, les termes Biotine (petite molécule fixée initialement sur le Fc)
et Avidine (réalise le pontage entre quatre molécules de Biotine) sont inversés.
E. Pour effectuer un double marquage, on utilise consécutivement sur la même cellule
deux anticorps portant des signaux différents.
QCM 46 : B. Les anticorps anti- immunoglobuline sont produits par immunisation d’un animal
d’une autre espèce.
C. SEM désigne la microscopie à balayage classique qui nécessite la fixation préalable
de l’échantillon ; contrairement à la microscopie à balayage environnementale ou
ESEM.
QCM 48 : B. C’est vrai pour le microscope confocal mais le microscope biphotonique n’utilise
pas de diaphragme car il n’y a pas de fluorescence parasite.
C. Jusqu’à 50µm.
D. Le principe même du microscope confocal est l’utilisation d’un diaphragme
malgré cet inconvénient.
QCM 49 : B. Dans le cône d’éclairement du laser, la densité photonique est trop faible pour
qu’ait lieu une excitation biphotonique.
E. La microscopie biphotonique a une longueur d’onde d’émission de fluorescence
due à l’excitation biphotonique égale environ au double de la longueur d’onde
d’excitation.
QCM 54 : B. Dans la technique de SKY par exemple, 3 fluorochromes différents sont hybridés
avec les chromosomes.
C. C’est aussi réalisable sur des chromosomes métaphasiques.
QCM 55 : A. Au contraire, l’OPT peut produire des images 3D à haute résolution de spécimens
jusqu’à 15mm d’épaisseur.
D. le faisceau laser se trouve à l’extrémité du cantilever et est détecté par la
photodiode.
QCM N°24 CSQ : A propos des protéines associées aux microfilaments (MF) :
A. La tropomyosine est une protéine stabilisante qui se fixe le long des microfilaments..
B. La tropomoduline bloque la dépolymérisation en se fixant sur Arp2/3 et en empêchant qu’il ne se
détache de l’extrémité -.
C. La tropomyosine empêche la fragmentation du MF par la cofiline.
D. La gelsoline est la protéine déstabilisante la plus abondante, et fragmente les MF en réponse à une
activation par Mg2+.
E. La gelsoline, accélère la dépolymérisation en favorisant l’hydrolyse de l’ATP.
QCM N°27 CSQ : A propos des protéines associées aux microfilaments (MF) :
A. Les myosines présentent 2 chaînes lourdes et un nombre variable de chaînes légères.
B. Les myosines non conventionnelles peuvent se lier à des membranes, permettant ainsi le transport
vésiculaire sur les MF.
QCM 2 : A. Ils peuvent s’organiser à partir d’autres structures, tel que le cinétosome.
B. 25 nm de diamètre, 8 à 10 nm pour les FI.
C. Sa composition biochimique est commune à tous les types cellulaires.
QCM 21 : B. GTPases.
QCM 23 : A. Doublement faux ici : les formines possèdent 3 domaines; FH1 lie la profiline, GBD
assure la régulation et FH2 assure la nucléation de l'actine in vitro.
B. Par Rho également ! C. Liées à l’extrémité +.
D. RhoA induit la formation de fibres de stress, Cdc42 de filipodes.
QCM 40 : A. Ils ne naissent pas directement des centrioles, mais de sites de nucléation, composés
notamment d’anneaux de tubuline γ.
B. Chaque centriole est un cylindre creux constitué de 9 triplets de microtubules.
QCM 41 : B. Les microfilaments et les microtubules sont polarisés alors que les filaments
intermédiaires ne sont pas polarisés.
C. Cela correspond aux anneaux contractiles lors de la cytodiérèse qui sont aussi un
assemblage transitoire (comme les fibres de tension).
E. Unité de base = monomère d’actine.
QCM 47 : B. La longueur totale des micro filaments d’actine représente environ 30 fois celle des
microtubules.
C. C’est l’anneau contractile transitoire qui permet la cytodiérèse, alors que la
ceinture d’actine est une structure permanente.
D. Les micro filaments d’actine ne sont jamais sous forme isolés mais forment un
réseau complexe.
QCM 48 : D. Cdc 42 est impliquée dans la mise en place de filipodes alors que Rho c’est des
fibres de tension.
QCM 56 : B. Ils sont très variable c’est le domaine central qui très semblable.
C. Les dimères sont des assemblages parallèles.
E. La déphosphorylation a lieu à l’extrémité N terminale.
CELLULAIRE
(50 QCM)
QCM N°2 DIV CELL : A propos de la division et des étapes du cycle cellulaire :
A. La durée de la phase G1, pendant laquelle les cellules somatiques des vertébrés possèdent 2n
molécules d’ADN, est très variable d’un type cellulaire à l’autre.
B. Le doublement de la quantité d’ADN se fait pendant la phase S (pour « synthesis »). La réplication de
l’ADN est conservative.
C. Au cours de la phase G1, chaque molécule d’ADN liée à des protéines constitue une fibre de
chromatine correspondant à une chromatide.
D. A l’issue de la phase S, on obtient 4n molécules d’ADN : chaque chromatide s’est dédoublée pour
donner 46 paires de chromatides homologues (soit en tout 92 chromatides).
E. C’est pendant la phase G1 que la majorité des histones sont synthétisés en grande quantité dans le
cytoplasme. Par contre les centrioles se répliquent en phase S.
QCM N°3 DIV CELL : A propos de la division et des étapes du cycle cellulaire :
A. Un complexe multiprotéique composé d’au moins 4 sous-unités différentes appelé cohésine permet
d’assurer la liaison entre deux chromatides sœurs, qui constituent un « futur chromosome mitotique ».
B. En phase G2, la quantité d’ADN est égale à 4n, et la réparation d’éventuelles lésions subies par les
chromosomes est facilitée par la présence des complexes cohésines.
C. Les fibres de chromatine se condensent pour former des chromosomes mitotiques au cours de la phase
M, qui est la phase de division proprement dite.
D. La cytodiérèse ne concerne pas les cellules plurinucléées.
E. La condensation des chromosomes n’est pas indispensable pour permettre la séparation des
chromatides sœurs entre deux cellules filles.
QCM N°4 DIV CELL : A propos de la division et des étapes du cycle cellulaire :
A. Dans un noyau interphasique, les fibres de chromatine sont invisibles in situ.
B. La phase G2 à une durée comprise entre 6 et 8 heures.
C. Lors du cycle cellulaire, les intégrines sont activées par phosphorylation.
D. La phase S est la seule phase du cycle où peut se dérouler la réplication de l’ADN.
E. La traduction de protéines est impossible en phase M.
QCM N°5 DIV CELL : A propos de la division et des étapes du cycle cellulaire :
A. En général, une cellule adhère à son substrat pendant l’interphase et tend à s’en détacher pendant la
phase M.
B. L’iodure de propidium est un agent intercalant radioactif qui se lie à l’ADN de manière saturable et qui
permet de mesurer la quantité d’ADN dans le noyau d’une cellule.
C. Le cytofluorimètre est capable de détecter les cellules en phase M d’une population cellulaire. Si on le
couple avec un trieur de cellule, on est capable d’obtenir une population « pure » de cellules en phase M.
D. Il est possible de distinguer des cellules en G1 de cellules enG0 à l’aide d’un cytofluorimètre.
E. Lorsque l’intensité de fluorescence d’une population cellulaire est comprise entre X et 2X, cela signifie
que la majorité d'entre elles sont en cours de réplication d’ADN.
QCM N°12 DIV CELL : Concernant les acteurs et les évènements de la prémétaphase :
A. La rupture de l’enveloppe nucléaire sous l’effet des complexes dynéines/kinésines correspond au début
de la prémétaphase.
B. L’enveloppe nucléaire, à la suite de sa rupture qui s’est effectuée par de multiples orifices, va se
transformer en vésicules membranaires.
C. Les complexes de pores nucléaires sont phosphorylés par le MPF, et se dissocient.
D. Les vésicules issues de l’enveloppe nucléaire, transportées vers les pôles du fuseau par des complexes
dynéines/dynactine, contiennent des lamines B, A et C phosphorylées.
E. La vitesse de phosphorylation des composés nucléaires augmente à l’issue de la rupture de
l’enveloppe, sûrement car le MPF peut alors entrer massivement dans le noyau.
QCM N°13 DIV CELL : Concernant les acteurs et les évènements de la prémétaphase :
A. A ce stade, les microtubules hémi-polaires du fuseau mitotique remplacent en quelque sorte
l’enveloppe nucléaire en emprisonnant les chromosomes, évitant ainsi leur dispersion dans le
hyaloplasme.
B. Les kinétochores sont des structures trilamellaires formées par 3 plaques : une interne, une moyenne, et
une externe.
C. L’ADN centromérique (constitué de séquences répétitives) est lié sur toute sa longueur à des protéines
de liaison aux microtubules. Lorsque la chromatide se condense, elles se regroupent au même niveau et
participent à la formation des kinétochores.
D. Les kinétochores sont impliqués dans certaines maladies auto-immunes comme la sclérodermie.
E. La plaque externe des kinétochores a la forme d’une couronne sur la quelle on trouve des Kin N, C et
MCAK.
QCM N°14 DIV CELL : Concernant les acteurs et les évènements de la prémétaphase :
A. Les protéines kinétochoriales ne s’attachent à l’ADN centromérique qu’en tout début de phase M :
elles s’activent grâce à leur phosphorylation par le MPF.
B. La rencontre des microtubules et des kinétochores ne serait pas possible sans la rupture de l’enveloppe
nucléaire.
C. Lorsqu’un microtubule pénètre dans la couronne d’un kinétochore, il est capturé latéralement par son
extrémité + grâce à un complexe dynéine/dynactine.
D. Une fibre kinétochorienne est constituée de 20 à 40 microtubules provenant des deux pôles du fuseau.
E. Un chromosome capturé par une fibre kinétochorienne va se disposer perpendiculairement à l’axe du
fuseau mitotique.
QCM N°15 DIV CELL : Concernant les acteurs et les évènements de la prémétaphase :
A. Les microtubules kinétochoriens sont totalement protégés de la dépolymérisation.
B. Les chromosomes sont soumis à une force de répulsion astrale provenant des microtubules
kinétochoriens en croissance, inversement proportionnelle à la distance des chromosomes au pôle du
fuseau.
C. La polymérisation des microtubules est permises par les kinétochores, car les points d’attache aux
microtubules sont latéraux.
QCM N°20 DIV CELL : Concernant les acteurs et les évènements de l’anaphase :
A. Les dynéines, qui agissent toujours associées aux dynactines, sont localisés aussi bien au niveau du
cortex cellulaire que des kinétochores. Ce sont des acteurs essentiels de l’anaphase.
B. L’anaphase B peut être bloquée par le taxol qui inhibe la dépolymérisation des microtubules.
QCM 44 :
A. Il est possible de mesurer in vitro la durée totale d’un cycle cellulaire sur des critères purement
morphologiques.
B. Des microtubules continues d’un aster à l’autre constituent le fuseau achromatique mis en place en
prophase à partir de microtubules astériens.
C. Les dynéines interviennent en prophase, en pré métaphase, en métaphase, et en anaphase A et B.
D. Il est possible d’isoler, au sein d’une population en prolifération, les cellules en phase G1, par
cytofluorométrie et couplée à un système de tri cellulaire.
E. Le raccourcissement des microtubules astériens à l’anaphase est associé à l’action de protéines à
polarité (-).
QCM 45 :
A. Des kinésines de type Kin I sont présentes au niveau des kinétochores.
B. Un fibroblaste humain en métaphase contient autant de fibres kinétochoriennes que de molécules
d’ADN génomique soit 92.
C. La reconstitution de l’enveloppe nucléaire et la cytodiérèse dépendent de l’activité de phosphatases.
D. La destruction de la cycline B entraînant la disparition du MPF aboutit à des déphosphorylations par
des phosphatases constitutives.
E. Le MPF phosphoryle les lamines ce qui fragilise la lamina nucléaire.
QCM 48 :
A. Les chromokinésines agissent par une liaison au chromosome et sur les microtubules.
B. MCAK, des Kin N et des complexes dynéine/dynactine sont présents au niveau des kinétochores.
C. La condensation des chromatides et leurs raccourcissement est maximal au début de la prémétaphase
c'est-à-dire au moment de la rupture de la membrane nucléaire.
D. Les microtubules hémipolaires jouent un rôle de « cage à chromosome » en empéchant leurs
dispersion dans le hyaloplasme mais aussi certain seront captés par des kinétochores pour donner les MT
kinétochoriens.
E. La dépolarisation catastrophe d’un MT kinétochorien provoqué par sa rupture à l’aide d’une micro-
aiguille montre le rôle stabilisateur du kinétochore sur le MT.
QCM 49 :
A. L’anaphase A met en jeu des dynéines et des kinésines N.
B. En G2, la transcription et la traduction se déroulent normalement.
C. La cellule en interphase possède un centrosome qui contient deux diplosomes qui vont se dupliquer en
phase S pour donner 2 centrioles.
D. La cellule donne toujours deux cellules filles identiques car le fuseau mitotique détermine la position
centrale du sillon de clivage.
E. Pendant la phase M la transcription et la traduction sont impossible.
QCM 50 :
A. Les cellules ayant perdu l’activité de la myosine II vont donner au lieu deux cellules filles, une cellule
multinuclée.
B. La cytodièrèse se déroule de manière concomitante à la télophase.
C. La télophase associe la réinsertion des complexes de pore, la déphosphorylation des histones, le
compactage de l’ADN et la réapparition du/des nucléole(s)
D. Le sillon de clivage se développe perpendiculairement à la partie restante du fuseau mitotique : le
manchon de substance dense.
E. La myosine II est nécessaire à la télophase.
1 : ACE 2 : AC 3 : BCD 4 : AD 5 : AE
6 : CD 7 : ABE 8 : AE 9 : BC 10 : D
11 : ABE 12 : CE 13 : ABD 14 : BE 15 : CE
16 : A 17 : BD 18 : ACD 19 : B 20 : AE
21 : BD 22 : ACDE 23 : AE 24 : BCD 25 : AE
26 : BCDE 27 : BD 28 : ACE 29 : AB 30 : BCD
31 : BDE 32 : BCD 33 : BD 34 : ACD 35 : AD
36 : A 37 : CDE 38 : ABC 39 : CDE 40 : AD
41 : ACD 42 : AD 43 : C 44 : ACDE 45 : ABCDE
46 : ADE 47 : ACE 48 : ABDE 49 : B 50 : ACD
Pourquoi certaines réponses sont fausses :
QCM 1 : B. La phase M est différente de la mitose : la mitose désigne la division du noyau, elle
est donc incluse dans la phase M qui désigne le phénomène général de division
cellulaire.
D. L’ordre est G1, S, et G2.
QCM 8 : B. En G2 il n’y a qu’un seul MOTC, mais celui-ci est composé de 2 diplosomes (4
centrioles) noyés dans du matériel péricentriolaire.
C. Le trafic intracellulaire est interrompu.
D. Les microtubules astériens sont plus courts que les interphasiques.
QCM 13 : C. Ces protéines ne sont liées que localement sur l’ADN centromérique, pas sur toute
sa longueur.
E. Il n’y a pas de Kin C mais des complexes dynéines/dynactine.
QCM 14 : A. Elles sont liées à l’ADN centromérique pendant toute la durée de l’interphase et ne
sont pas phosphorylées par le MPF.
C. Ce n’est pas le bon ordre : le microtubule est d’abord capturé latéralement, puis il
pénètre dans la couronne.
D. 20 à 40 microtubules provenant d’un seul pôle du fuseau.
QCM 15 : A. Ils sont protégés d’une dépolymérisation catastrophe, mais ils subissent une
dépolymérisation « contrôlée ».
B. Cette force provient des microtubules astériens en croissance.
D. Essentiellement aux pôles +, mais pas uniquement.
QCM 20 : B. L’anaphase A.
C. La distance entre le pôle et la zone décolorée ne diminue presque pas.
D. Les asters se rapprochent du cortex cellulaire.
QCM 24 : A. C’est la déphosphorylation des sites inhibiteurs de la myosine par une phosphatase
qui l’active.
E. Le sillon de clivage se déplace est redevient perpendiculaire à la nouvelle position
du fuseau.
QCM 26 : A. Elles sont également accolées en de très nombreux sites le long des fibres.
QCM 31 : A. Ils sont plus instables (par phosphorylation des MAP d’assemblage par le MPF).
C. Kin N pour éloigner, kin C pour rapprocher (activités antagonistes).
QCM 33 : A. MT kinétochoriens.
C. On a une dépolymérisation lente au pôle – et polymérisation lente au pôle +.
E. C’est le contraire.
QCM 39 : A. Le début de la phrase est juste, mais attention à ne pas confondre la phase G1 et la
phase GO, qui ne fait pas partie du cycle cellulaire, et qui peut durer pendant des
années.
B. Au contraire, au cours de la différentiation, la durée de la phase G1 augmente
progressivement.
QCM 40 : A. Vrai : elle s’arrondie et tend à se détacher de son support. C’est sur cette
modification morphologique que repose le principe de la microcinématographie.
B. Elle est due à la phosphorylation des lamines.
C. Il s’agit de la lamine B.
D. Vrai : les points d’attache du kinétochore au MT sont latéraux, laissant l’extrémité
(+) libre.
E. Il s’agit d’un équilibre dynamique (polymérisation et dépolymérisation
continuent).
QCM 46 : B. La lamine B reste ancrée dans la membrane et n’est donc pas soluble.
C. Tri lamellaire car en plus plaque moyenne.
QCM 49 : A. L’anaphase A n’a pas besoin de Kin N, item vrai avec anaphase B.
C. Les 2 centrioles vont se dupliquer en deux diplosomes.
D. Il peut y avoir division asymétrique.
E. La traduction reste +ou- possible car il reste un peu d’ARN transcrit avant le
début de la mitose.
NB : pour les QCM 5, 6 et 7 (entre autres) certains items peuvent faire appel à des connaissances qui
seront ou qui ont été vu dans d’autres chapitres.
QCM N°14 SYS ENDO : A propos de l’oligosaccharide à 14 sucres fixé par N-glycosylation :
A. L’oligosaccharide à 14 sucres est composé de 3 glucoses, de 2 molécules de N-acétylgalactosamine et
de 9 mannoses.
B. Sa fabrication comporte plusieurs étapes. Elle est réalisée par un gros complexe de la membrane du
RE, et se déroule uniquement du côté cytosolique.
C. Il est d’abord fixé sur une molécule de dolichol, qui est un lipide très particulier de la membrane du
RE.
D. La fixation de ce type de résidu glucidique favorise l’obtention de la conformation correcte de la
protéine.
E. le bon repliement des protéines qui ont subi la N-glycosylation est contrôlé par les calnexines et
calréticulines dans le cytosol.
QCM N°15 SYS ENDO : A propos des protéines ancrées par le GPI (Glycosyl Phosphatidyl Inositol) :
A. Elles possèdent entre autre un peptide signal clivable classique, dont on peut trouver la séquence en
étudiant les acides aminés de la protéine mature.
B. Le segment hydrophobe de la protéine est situé à son extrémité NH2 terminale.
C. Le clivage de leur peptide d’ancrage inverse est simultané au transfert de la protéine sur le GPI.
D. Le groupement GPI est transféré en bloc sur la protéine.
E. La protéine à ancre GPI est exporté vers la membrane plasmique, son extrémité NH2 terminale flottant
dans le milieu intracellulaire.
QCM N°45 SYS ENDO : A propos des vésicules d’endocytose et du tri moléculaire :
A. Le processus de pinocytose est toujours, au niveau de la MP, précédé de l’apparition de petites
dépressions appelées puits recouverts (PR) où la MP apparaît épaissie.
B. Des récepteurs permettent, au niveau des PR, de concentrer certaines molécules qui leur sont
spécifiques.
QCM 76 : Contrôle qualité des protéines du RE et élimination des protéines mal repliées :
A. La BIP a de l'affinité pour les domaines hydrophobes.
B. Si la mannosidase I du RE intervient alors que la protéine n'a pas été bien repliée, elle va être
directement retransloqué dans le cytosol.
C. Toutes les protéines sont repliés à la fois par la BIP et par les lectines.
D. Environ 80% des protéines du RE néosynthétisés doivent être éliminés.
E. Le protéasome va extraire les protéines trans-membranaire ubiquitiné via le translocon de manière ATP
dépendante.
QCM 77 : La sortie du RE :
A. La sortie du RE se fait par bourgeonnement de vésicules du côté du RE lisse par des vésicules de type
COP I recouverte d'un manteau.
B. Les protéines qui reviennent depuis le Golgi au RE sont pour la grande majorité des protéines
résidentes du RE et des protéines qui servent à faire les vésicules.
C. Le transport antérograde peut se faire après concentration; dans ce cas, le relargage des protéines dans
le ERGIC ou dans l'appareil de Golgi se fait par des enzymes qui libèrent les protéines de leurs récepteurs
à ce niveau.
D. Les protéines qui doivent résider au RE possèdent un signal de retour KDEL qui interagit avec le
manteau de COP II.
E. Parfois il y a un retour de protéines mal repliés, celles-ci reviennent par des récepteurs non KDEL.
QCM 3 : A. La distribution des lipides est symétrique entre les deux hémicouches de la
membrane du RE. C. Distribution des lipides se fait au hasard au niveau du RE.
D. Les protéines du pancréas exocrine produisent beaucoup de protéines et peu de
lipides.
E. Il n’ y a pas de ribosomes au niveau du RE lisse mais il y a quand même des
protéines (celles qui servent au transport vésiculaire par exemple).
QCM 12 : B. Un peptide signal, quel que soit sa nature, peut être reconnu par le complexe SRP
dans la mesure où il est traduit en premier.
QCM 20 : B. Cette procédure de stress est appelée l’UPR (pour « Unfolded protein response »).
C. C’est l’inverse : le site de régulation est côté luminal et le site actif côté cytosol.
QCM 35 : A. Ils sont transloqués par des protéines transmembranaires spécifiques du Golgi.
D. La quasi totalité, pas tous.
QCM 36 : C. Dans les cellules non polarisées les signaux d’adressage restent différents.
QCM 38 : C. La phosphotransférase ajoute des phosphates aux mannoses déjà existant sur les
oligosaccharides, elle n’ajoute pas de mannose.
D. si ils peuvent !
QCM 39 : A. Les vésicules COP I permettent le retour par voie rétrograde à partir de n’importe
quelle citerne du RE.
C. Les vésicules de la voie de sécrétion constitutive vers la parie baso-latérale de la
MP.
E. La reconnaissance de la protéine par son récepteur permet de recruter une
protéine adaptatrice qui elle va recruter la clathrine pour former la vésicule .
QCM 57 : A. C'est l'inverse, le translocon est chargé + au niveau de la partie cisternale donc
l'extrémité chargée + du peptide signal va se placer en regard du cytosol.
C. Ce ne sont pas les acides aminés hydrophobes constituants le peptide signal qui
sont chargés mais les quelques acides aminés hydrophiles adjacents.
QCM 58 : B. Le peptide signal sort du translocon par son ouverture latérale, dans le plan de la
membrane. Ce n'est qu'une fois dans la membrane du RE qu'il est clivé par la signal
peptidase.
C. Le translocon peut fonctionner dans les deux sens, également pour la
rétrotranslocation en dehors du RE de protéines mal conformées.
D. Les protéines BIP sont des chaperonnes permettant le repliement des protéines
traduites au niveau du RE.
E. L'apparition de la séquence en hélice alpha du peptide signal induit la fixation de
SRP qui stoppe l'élongation en empêchant la fixation des facteurs d'élongation.
QCM 64 : A. C’est le contraire : les protéines qui quittent le Golgi ont un signal d’adressage, les
autres restent dans le Golgi par défaut
B. Les triskélions induisent la courbure de la membrane
QCM 65 : C. La N-glycosylation se fait par l’attachement d’un bloc de 14 sucres en une seule
fois sur le groupement NH2.
D. Ils sont situées dans l’espace extracellulaire.
QCM 67 : B. Ce sont des ubiquitine-ligases transmembranaires avec leur site actif coté cytosole
qui ubiquitine les protéines anormales et ensuite le protéasome extrait la protéine.
D. Trop de protéines anormales entraînent une saturation du système de protéolyse
qui en retour va bloquer le RE.
QCM 68 : B. Les protéines doivent être bien conformées ce qui implique qu’elles ne sont pas
attachées à des protéines chaperonnes.
C. Il existe un second mode de sortie du RE qui implique une interaction des
protéines du manteau de la vésicule COP II grâce à des signaux présent sur les
protéines c’est un mode de concentration avant la sortie.
E. Il s’agit de la séquence KDEL et ce processus implique le manteau de COP I.
QCM 69 : B. Il faut de plus qu’il y ait une bonne conformation de la protéine sinon la séquence
peut être indisponible au complexe enzymatique.
D. Il est fabriqué en plusieurs étapes au niveau de la membrane du RE côté
cytosolique puis côté luminal.
E. Ce mécanisme ne fait pas intervenir le dolichol : le mécanisme est inconnu.
QCM 73 : C. Les ponts intra chaines sont très importants pour une bonne conformation.
D. D’une Asparagine.
QCM 74 : C. Elle est capté par l’UGGT qui lui rajoute un glucose.
D. Actif côté cytosolique.
QCM 75 : A. Il n’y a que deux glucosidases: la I qui enlève les deux premiers Glu et la II qui
enlève le troisième.
B. C’est le contraire. Si la protéine est reconnue par un UGGT, il va lui retransférer
des glucoses mais sans son mannose elle sera reconnue comme anormale par les
lectines qui l’orienteront vers la dégradation.
D. Cela induit plus que la sénescence! Ça induit la mort cellulaire programmée.
QCM 76 : B. Non avant d'être retransloqué elle sera reconnue par UGGT qui va la reglycosiler
mais elle sera reconnue comme anormale par une la lectine car il lui manque un
résidu mannose enfin elle sera retransloqué et détruite dans le cytosol.
C. Ce n'est pas tout le temps les deux il peut y avoir que la Bip ou que les lectines ou l
es deux.
D. 30%
QCM 84 : B. Les ostéoclastes ne phagocytent pas, ils libèrent le contenu de leur lysosome dans
l’espace extracellulaire.
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Sauf autorisation, la vente, la diffusion totale ou partielle de ce polycopié sont interdites 132
QCM 85 : B. Même chez les sujets normaux la silice ne peut être dégradées par les lysosomes,
elle détruit la membrane des lysosomes, c’est ce qui entraîne la silicose.
D Deficience du transfert du cis-golgi vers les lysosomes.
QCM 87 : C. C’est l’inverse, la fixation de l’insuline stimule l’activité tyrosine kinase et c’est
cette activité enzymatique qui induit la fixation aux adaptines.
E. Ces vésicules sont issus des endosomes précoces périphériques.
QCM N°9 CYT : A propos de la structure des protéines et des protéines chaperonnes :
A. La conformation d’une protéine, bien que déterminée par sa séquence d’acides aminés, n’est pas
toujours la même selon les conditions dans lesquelles on se trouve.
B. Les molécules chaperonnes, en se liant à certains domaines protéiques spécifiques, généralement
hydrophobes, permettent de piloter l’acquisition de la conformation de cette protéine.
C. Les Hsp (Heat Shock Proteins), aussi appelées protéines de stress, ont été découvertes en soumettant
des cultures cellulaires à une température élevée.
D. Les protéines chaperonnes ne sont pas conservées entre les différentes espèces végétales et animales.
E. Les Chaperons moléculaires Hsp70 se fixent sur le polypeptide en cours de traduction.
QCM N°10 CYT : A propos de la structure des protéines et des protéines chaperonnes :
A. Le repliement correct d’une protéine se fait grâce à des cycles successifs d’hydrolyse de l’ATP.
B. Une protéine mal conformée expose des zones hydrophobes, ce qui permet à la protéine chaperonne de
la reconnaître.
C. Il n’y a pas de coopération entre les différentes protéines chaperonnes, elles agissent indépendamment
les unes des autres.
D. La Chaperonine Hsp60 like se fixent sur le polypeptide en cours de traduction.
E. L’hyperthermie a tendance à faire perdre la fonction des protéines, et donc met en péril la vie
cellulaire.
QCM 34 : Le cytoplasme :
A. Le cytosol est l’équivalent du hyaloplasme.
B. Le cytosol est la partie soluble du cytoplasme qui peut être obtenue après ultracentrifugation.
C. Le cytoplasme contient des systèmes de dégradation des protéines.
D. Le cytoplasme contient de l’ADN.
E. Le cycle de Krebs se déroule dans le cytosol.
1 : ABDE 2 : BC 3 : CD 4 : DE 5 : ABE
6 : ABCDE 7 : ACE 8 : BCE 9 : ABCE 10 : ABE
11 : ACE 12 : AD 13 : DE 14 : BCD 15 : AE
16 : AB 17 : BDE 18 : ACD 19 : BCE 20 : AC
21 : CD 22 : BE 23 : ABDE 24 : AE 25 : B
26 : ACD 27 : BD 28 : BCDE 29 : ACE 30 : BCDE
31 : ABCD 32 : ABD 33 : ABDE 34 : ABC 35 : ACDE
36 : A
QCM 13 : A. Les marqueurs d’un mauvais repliement, puisque les zones hydrophobes sont en
théorie au cœur de la protéine.
B. Une protéine qui doit être exportée aura plutôt en Nter un acide aminé
déstabilisant.
C. Induit le phénomène d’ubiquitinylation.
QCM 14 : A. A l’inverse des protéases cytosoliques simples.
QCM 18 : E. En peptides.
QCM 22 : A. Les ARNr ne sont jamais traduits. Ils s’assemblent avec des protéines pour former
le ribosome.
C. Pas strictement. Certains codons n'ont pas la meme signification chez les
mitochondries, par exemple.
D. Traduit et non transcrit (désolé piège minable mais important à retenir)
QCM 26 : E. Dépendante.
QCM 28 : A. La Met fait partie des acides aminés stabilisants, à demi-vie supérieure à 20h, d’où
leur caractère protecteur contre la protéolyse des protéines nouvellement
synthétisées.
QCM N°4 DIFF CELL : A propos de la différenciation terminale des kératinocytes épidermiques :
A. La régénération des kératinocytes épidermiques a lieu uniquement à partir de l’assise cellulaire basale.
B. Le stade ultime de cette différenciation est constitué par le cornéocyte, cellule « momifiée », anucléée,
et métaboliquement très active qui protège l’organisme vis à vis de son environnement.
C. Comme pour les entérocytes, la division d’une cellule basale produit deux cellules filles dont l’une,
identique à la cellule mère, régénère le compartiment basal.
D. La couche épineuse des kératinocytes épidermiques est située au dessus de la couche granuleuse.
E. La différenciation terminale des kératinocytes n’intervient pas dans la réparation du tissu épidermique
lésé.
QCM N°5 DIFF CELL : A propos de la différenciation terminale des cellules sanguines :
A. La population des hématies est relativement constante. Une hémorragie entraîne la stimulation de
l’érythropoïèse afin de reconstituer le stock.
B. Toutes les cellules sanguines dérivent d’une même cellule multipotente différenciée qui se trouve au
niveau de la moelle osseuse hématopoïétique.
C. Des cellules comme les hématies, les plaquettes, ou encore les polynucléaires ont perdu la capacité de
se diviser, ce qui n’est pas le cas des lymphocytes B.
D. Le plasmocyte constitue le stade ultime de la différenciation du lymphocyte B.
E. Au contact d’un antigène spécifique, un lymphocyte B subit un processus de prolifération. La totalité
des cellules ainsi produites (des clones cellulaires) se transforme en plasmocytes.
QCM N°8 DIFF CELL : La thérapie cellulaire régénératrice peut biologiquement s’envisager :
A. A partir de cellules embryonnaires humaines pluripotentes induites in vitro à proliférer puis à se
différencier en cellules-souches spécifiques du tissu à remplacer.
B. A partir de cellules-souches du patient provenant du même type de tissu que celui à réparer.
C. Pour soigner les lésions des grands brûlés.
D. A partir de cellules souches fœtales humaines spécifiques du tissu à remplacer.
E. A partir de cellules-souches du patient provenant d’un autre tissu que celui à réparer.
QCM 1 : C. Toutes les cellules nucléées renferment tous les gènes de l’individu dans leur
noyau, mais elles n’en n’expriment qu’un ensemble spécifique et répriment les autres.
E. Remplacer traductome par protéome.
QCM 3 : A. Dans des situations pathologiques il peut y avoir des stimulations ponctuelles de
certains gènes non exprimés dans les conditions physiologiques (par exemple).
D. La plupart mais pas tous (Coeur, encéphale par exemple).
E. Faux (cellules précurseurs des entérocytes par exemple).
QCM 7 : B. Elle peut servir avec des tissus naturellement incapables de se régénérer (neurones,
cellules myocardiques…).
C. Pas encore parfaitement.
E. Le « clonage thérapeutique » est interdit par la loi.
QCM 9 : C. Les gamètes ne sont pas exploités dans ce type de technique. Il nous faut une
cellule avec 2n chromosomes.
QCM 10 : A.[VRAI] Elle est biologiquement envisageable, en revanche ce n'est pas faisable
légalement, car la loi interdit le clonage thérapeutique.
E. C’est justement le but de la technique ! Régénérer des cellules qui ne sont plus
capables de se régénérer naturellement ou d’assurer la survie du tissu.
QCM 12 : E. Cela ne concerne pas toutes les cellules du clone, puisque certaines vont devenir
des lymphocytes B mémoires.
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QCM 14 : A. Pas dans tous les tissus par exemple dans le cerveau.
C. Que le compartiment des cellules de l’assise basale.
E. Des stimuli physiologiques comme les hormones peuvent modifier l’expression
génique d’une cellule.
QCM N°7 MA : A propos des pathologies impliquant les cadhérines et les caténines :
A. Une mutation au niveau de la E-cadhérine n’a pas d'autres conséquences que la perte de l’inhibition de
contact.
B. L’expression des cadhérines est en lien direct avec le pouvoir métastatique des cellules tumorales.
C. Une mutation de la β-caténine favorise la prolifération cellulaire.
D. Une mutation des cadhérines peut être la cause d'un carcinome.
E. Le complexe ubiquitine-protéasome permet la dégradation de la β-caténine non phosphorylée.
QCM 16 : Le desmosome :
A. Est une structure asymétrique.
B. Est un point de résistance localisé, qui se connecte aux filaments intermédiaires grâce à la kératine.
C. Il est présent dans tous les épithéliums.
D. La nature biochimique des filaments intermédiaires qui s’attachent au desmosome est variable selon
les tissus.
E. Les desmosomes sont abondants dans les épithéliums simples non stratifiés.
QCM 1 : A. La notion d’adhérence cellulaire fait aussi référence à la cohésion entre les cellules
et la matrice extracellulaire.
C. Certaines mais pas toutes.
QCM 2 : B. CAM est l’abréviation de Cell Adhesion Molecules, elles permettent l’adhérence
intercellulaire (et non au collagène), tandis que les SAM (Substrate Adhesion
Molecules) permettent l’adhérence à la matrice extracellulaire).
C. Pour les SAM on ne parle pas de liaisons homo ou héterotypiques puisque
l’adhérence ne se fait pas entre deux cellules.
D. Elles sont calcium-dépendantes.
QCM 6 : A. Elles ont au contraire une très forte homologie, et ne forment pas le même type de
liaison.
D. Faux, les desmosomes ne font pas de jonction étanche.
E. Extracellulaire (glycocalyx à l'extérieur).
QCM 12 : A. L’épithélium est en général lié à la membrane basale par les SAMs.
C. Il existe des CAMs calcium indépendantes : les immunoglobulines.
QCM 14 : A. NCAM est exprimée dans de nombreux autres tissus, comme par exemple le tissu
pulmonaire.
C. L'acide sialique est aussi présent sur les formes 120 et 140 kD.
D. Interactions homophiles.
E. On la retrouve à l’âge adulte dans les neurones du bulbe olfactif.
QCM 15 : B. CAM.
C. Micro filaments d’actine.
D. Les caténines sont les protéines de couplage, pas les cadhérines (qui se lient au
cytosquelette).
QCM 24 : A. Vrai : En effet, on peut donner l’exemple entre un leucocyte et une cellule
endothéliale (liaison hétérotypique) et entre ICAM1 (Ig) et une β2 intégrine (liaison
hétérophilique).
B. La liaison se fait par leur extrémité COOH terminale.
D. Ceci n’est vrai que pour les glycoprotéines transmembranaire mais pas pour les
protéines de plaques qui ne sont pas glycosylées et sont donc synthétisés dans le
cytoplasme.
E. Les cadhérines desmosomales se lient aux filaments intermédiaires.
MITOCHONDRIE
(14 QCM)
QCM 5 : A. 17 kpb.
B : Il code aussi pour les ARNr 16S et 12S.
C. Seulement 13 protéines sont codées par le génome mitochondrial, les 63 autres le
sont par le génome nucléaire.
D. 2 origines de réplication : OH + OL. E : Il n’existe pas de gène codant pour la DNA
polymérase mitochondriale.
QCM 7 : C. Les maladies mitochondriales génétiques liées au génome nucléaire ont une
transmission mendélienne.
E. Pas de FEMMES de Néanderthal en tout cas.