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CONVERTISSEURS ÉLECTRONIQUES

diM (t )
I-1) L’équation électrique du moteur est uM(t) = RiM(t) + L + E’.
dt iM
diM (t ) L
En valeurs moyenne, il vient <uM> = R<iM> + L< > + E’ R
dt uM
avec  <uM> = αE car uM est la tension de sortie d’un hacheur E
dévolteur ;
diM (t )
< > = 0 car iM(t) est une fonction périodique ;
dt
 E’ = kn.
Il vient donc kn = αΕ – R<iM>.
(0,8).(220) − (1,5).(10)
A.N. n = = 642 tr.min–1.
0,25
iM
2)  si 0 ≤ t < αT, H est fermé tandis que D est ouverte; en négligeant
L
la résistance devant les autres impédances, le circuit est le suivant : E E’
di (t ) E − E'
On a E − E ' = L M qui s’intègre en iM (t ) = t + A.
dt L
Comme E > E’ pour un hacheur dévolteur, iM(t) est croissante durant cette iM
E − E'
phase et l’on peut poser iM(0) = IMIN d’où A = IMIN et iM (t ) = t + I MIN . L
L E’
 si αT ≤ t < T, H est ouvert tandis que D est fermée ; le circuit est
le suivant :
di (t ) −E'
On a E ' = − L M qui s’intègre en iM (t ) = (t − αT ) + B .
dt L
Comme E’ > 0, iM(t) est décroissante durant cette phase et l’on peut poser iM(αT) = IMAX
−E'
d’où B = IMAX et iM (t ) = (t − αT ) + I MAX .
L
Le courant iM est continu quel que soit t car c’est l’intensité dans une branche contenant une
bobine. On a donc
 lim iM (t ) = lim iM (t ) ce qui entraîne ; I MIN = −
t →0 t →T
b g
E'
L
1 − α T + I MAX ;
t >0 t <T

E − E'
 lim iM (t ) = lim iM (t ) ce qui entraîne αT + I MIN = I MAX .
t → αT
t > αT
t → αT
t < αT
L

On obtient donc la relation I MIN = −


E'
L
b g
1− α T +
E − E'
L
E' E
αT + I MIN d’où 0 = − + α soit
L L
E’ = αE (relation de la question 1 en supposant R = 0) puis l’ondulation
∆I = I MAX − I MIN =
E'
L
b g E
b g
1 − α T soit ∆I = α 1 − α T . Pour obtenir la valeur (∆I)MAX, il faut donc
L

b g b g
E.T
avoir une inductance minimale LMIN = α 1− α
∆I MAX
(220).(10 −3
0,8b1 − 0,8g = 70,4 mH.
)
A.N. LMIN =
500 × 10 −3
Cette valeur peut être facilement obtenue par une bobine à noyau de fer placée en série avec
le moteur.
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II-1) Avec les orientations indiquées, on a i = ICC – gu. On en déduit la i
caractéristique suivante : I0
Pour U0 = 50 V, on trouve I0 = 10 – (0,1)×(50) = 5 A.
2) On a à chaque instant i(t) = ICC – gu(t). Il n’y a pas de dipôle imposant u
la continuité de i(t) donc, dans ce modèle, l’intensité s’établit de manière
instantanée. I0/g
u(t)
 pour t ∈ [0, a] : u = U0 + ∆U donc i = I CC − g U 0 + ∆U = I0 – g∆U; b g ∆U
 pour t ∈ [a, ∞] : u = U0 donc i = I0 . U0 t
On a donc une sous-intensité ∆I = g∆U pendant une durée a: la source a
I0 i(t)
de courant n’est pas idéale. Les chronogrammes sont les suivants :
∆I
A.N. ∆I = (0,1)(20) = 2 A.
t
3) On a à chaque instant les relations i (t ) = I CC − g. uS (t ) et a
di (t ) di (t ) L
uS (t ) − u(t ) = L . On obtient i (t ) = I CC − g. u(t ) − Lg soit i(t)
dt dt
di (t )
Lg + i (t ) = I CC − g. u(t ) . ICC
dt uS(t) u(t)
g
 phase t ∈ [0, a] : u = U0 + ∆U.

b g
t

En posant τ = Lg, on peut écrire i (t ) = I CC − g U 0 + ∆U + Ae τ ..
Comme i(t) est l’intensité dans une bobine, c’est une grandeur continue pour tout t donc
b g
i(t = 0 ) = i(t = 0–) ce qui se traduit par I CC − g U 0 + ∆U + A = I 0 . On en déduit A = I 0 − I 0 + g∆U
+

= ∆I avec les notations des questions précédentes. On a donc i (t ) = I 0


F I
− ∆I G1 − e J .

t

H K
τ

Comme ∆I > 0, i(t) est décroissante et sa valeur minimale est obtenu à l’instant t = a soit
F a
I . La variation de l’intensité est donc ∆I’ = I – I F a
I . On
GH JK GH JK
− −
I MIN = I 0 − ∆I 1 − e MIN = ∆I ' = ∆I 1 − e
τ τ
0

constate que ∆I’ < ∆I


t −a t −a
− −
 phase t ∈ [θ, ∞] : u = U0 donc i (t ) = I CC − gU 0 + A' e τ
= I 0 + A' e τ
.
La continuité de i(t) en t = a entraîne I 0 + A' = I MIN d’où A’ = IMIN – I0 = –∆I’. On a donc
t −a

finalement i (t ) = I 0 − ∆I ' e τ
dans cette phase. On vérifie que lim i(t) = I0. i(t)
t →∞

On a donc la courbe suivante : I0


∆I ∆I’
Il n’y a plus de discontinuité de l’intensité. La sous intensité est t
plus faible mais étalée sur une durée plus longue. Le comportement de la θ
source se rapproche ainsi de celui d’une source idéale de courant .

a
FG
∆I ' a IJ ∆I ' FG a IJ
On a e τ = 1 −
∆I H τ K
d’où − = ln 1 −
∆I
puis L = −
H ∆I ' K
.
FG IJ
g ln 1 −
∆I H K
(100 × 10 −6 )
A.N. L = − = 9,5×10–3 H soit L = 9,5 mH.
0,2 FG IJ
(0,1) ln 1 −
2 H K
Grâce à la bobine, on a divisé la perte d’intensité par 10.
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III-1-a) pour –T/4 ≤ t ≤ T/4, v(t) est positive. Lorsque les diodes sont conductrices, on a
1
v() = ri(t) + U0 donc i ( t ) = ( E cos ( ωt ) − U 0 ) ce qui n’est possible que si i(t) > 0 pour que les
r
diodes soient fermées. Les instants de commutation des diodes sont donc tels que cos(ωt0) = U0/E
1
soit t0 = arcos (U 0 / E ) .
ω
1
b) On a vu que i ( t ) = ( E cos ( ωt ) − U 0 ) pour
r i(t)
t ∈ [–t0, t0]. Sur [–T/4, –t0] et [t0, T/4] le courant est nul car la
tension aux bornes de chaque diode (Ecos(ωt) – U0) est négatif t
donc la diode est bloquée. L’allure de la courbe i(t) sur une
période est indiquée ci-contre. i(t) est donc périodique de période –T/2 –T/4 –t0 t0 T/4 T/2
T/2.
1 T
c) On ne peut calculer la valeur moyenne que par la définition i = ∫ i ( t ) dt
T 0
2 T /4 2 t0 1 2 1 
0 t
2 2 
= ∫ i ( t ) dt = ∫ ( E cos ( ωt ) − U 0 ) dt =  E sin ( ωt ) − U 0 t  =  E sin ( ωt0 ) − 2U 0t0 
T −T / 4 T − t0 r rT  ω  −t0
rT  ω 
4 E ωt 
=  sin ( ωt0 ) − U 0 0  car ωT = 2π.
r  2π 2π 
2E
Comme cos ( ωt0 ) = U 0 / E , on peut écrire i =
π r
( sin ( ωt0 ) − ωt0 cos ( ωt0 ) ) .
d) Si θ0 = ωt0 << 1, on peut faire les développements limités
3 5 2 4
sin(θ0) = θ0 + (θ0) /6 +o((θ0) ) et cos(θ0) = 1 – (θ0) /2 + o((θ0) ). Il reste donc
2 E  ( ωt0 ) + ...  −  ωt − ( ωt0 ) + ...   d’où i = 2 E θ 3 + o θ 4 .
3 3

i =   ωt 0 −
π r   6   0 2  3π r
0 (
( 0) )
   
2-a) La loi des nœuds s’écrit i(t) = iS(t) + iC(t) soit en valeur moyenne <i> = <iS> + <iC>. Or
1/ 3
 3π rI 0 
<iC> = 0 et <iS> = I0. Il reste donc i = I 0 . En reportant, on obtient θ0 =   .
 2 E 
U0 θ2 U0 θ2
Comme = cos ( ωt0 ) = cos ( θ0 ) = 1 − 0 + o ( θ0 4 ) , on peut écrire = 1− 0
E 2 E 2
2/3
1  3π rI 0  U0 2/3 3π r
= 1−   de la forme = 1 − ( αI 0 ) en posant α = .
2 2 E  E 4 2 E
2/3
b) Si U0/E = 1/2 alors cos(θ0) = 1/2 donc θ0 = π / 3 . On a alors ( αI 0 ) = 1/ 2 soit
1 2 E 2 24
I0 = = . A.N. I 0 = = 2 A.
2α 2 3π r 3π 2, 5
1
On obtient de même
0,8

θ0 0° π/6 π/4 π/3 0,6


I0 0 0,29 0,98 2
0,4
U0/E 1 3 / 2 = 0,87 2 / 2 = 0, 7 0,5
0,2

0
0 0,5 1 1,5 2

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IV-1) Si 0 < t < αT : uC = E ; si αT < t < T : uC = –E.
On a donc le chronogramme suivant :
La valeur moyenne de uC est
1
b gb g 1
< uC >= EαT + 1 − α T − E = 2 EαT − ET
T T
soit <uC> = (2α – 1)E.
Comme α varie entre 0 et 1, <uC> varie entre –E et E.
diC (t )
2) Quelle que soit la phase, on peut écrire uC (t ) = RiC (t ) + E '+ L . C’est une équation
dt
linéaire donc on peut passer à la valeur moyenne sur une période. On obtient
di (t ) iE(t)
< uC >= R < iC > + E '+ L < C > . La valeur moyenne de la
dt <iC>
dérivée d’une fonction périodique est nulle donc il reste t
(2α − 1) E − E ' αT T
< uC >= R < iC > + E ' soit < iC >= .3-a) Avec la – <iC>
R
commande indiquée pour les transistors, la tension uC(t) peut
changer de signe suivant la valeur de α donc le hacheur est réversible en tension. Par contre, le
courant iC(t) est toujours de même signe donc le hacheur n’est pas réversible en courant. Il n’y a pas
de blocage si <iC> ne s’annule pas c’est-à-dire si (2α – 1)E > E’.
b) Si 0 < t < αT : iE(t) = iC(t) ; si αT < t < T : iE(t) = –iC(t). Comme iC est constant, on
a le chronogramme suivant :
La valeur moyenne de iE est
1
b gb g
< iE >= IαT + 1 − α T − I soit <iE> = (2α – 1)I en notant I = <iC> .
T
c) La puissance instantanée reçue par la charge est PC(t) = uC(t)iC(t). Comme iC = I,
on peut écrire PC(t) = uC(t)I et, en moyenne sur une période, <PC> = <uC>I soit
(2α − 1) E − E '
< PC >= (2α − 1) E .
R
La puissance instantanée fournie par la source est PE(t) = –uE(t)iE(t). Comme uE = –E, on
peut écrire PE(t) = E.iE(t). et, en moyenne sur une période, <PE> = E<iE> soit
(2α − 1) E − E '
< PE >= (2α − 1) E . On constate que <PC> = <PE>. Le bilan de puissance est vérifié.
R

Avec les expressions précédentes, on peut écrire < PE >=


(2α − 1) 2 E 2 FG1−
E' IJ
.
R H (2α − 1) E K
E'
Comme on a vu < 1 en l’absence de blocage, on a <PE> > 0 dans ce cas : le transfert
(2α − 1) E
d’énergie se fait de la source vers la charge.
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V-1) Le schéma électrique équivalent des
trois enroulements du transformateur est le suivant,
dΦ C (t ) dΦ C (t )
avec e1 (t ) = − N 1 ; e2 (t ) = − N 2 et v1 e1 e3 v3 v2 e2
dt dt
dΦ C (t )
e3 (t ) = − N 1 car il n’y a pas de fuites
dt
magnétiques donc le flux magnétique ΦC(t) est le
même à travers chaque section du noyau.

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Avec les orientations des tensions indiquées, on a v1(t) = –e1(t), v3(t) = e3(t) et
N
v2(t) = –e2(t) d’où v2 (t ) = 2 v1 (t ) soit v2(t) = mv1(t), puis v3(t) = –v1(t) et v2(t) = –mv3(t).
N1
b) D’après la position des bornes homologues, le schéma des enroulements est le
suivant :
On peut appliquer le théorème d’Ampère sur le
contour orienté indiqué sur la figure. Avec les orientations
i3
des courants, on obtient C( H ) = N1i1(t) + N1i3(t) – N2i2(t).

z 
Or C( H ) = H .τdℓ = H(t).ℓ en considérant le module de
 C
i1 
⊗ nΣ
H uniforme sur tout le contour.
Le milieu magnétique étant linéaire, on a i2
 B (t ). ℓ
B(t) = µ0µrH(t) donc on peut écrire C ( H ) = .
µ 0µ r
 
Comme B(t) est uniforme sur une section, le flux commun s’écrit Φ C (t ) = B(t ). nΣ dS zz
Σ
 Φ (t ). ℓ ℓ
= B(t)S d’où C ( H ) = C . On peut noter R = et le théorème d’Ampère s’écrit
µ 0µ r S µ 0µ r S
b g
alors N1 i1 (t ) + i3 (t ) − N 2i2 (t ) = RΦ C (t ) .
Remarque : La grandeur R est appelée la réluctance du noyau ; on peut noter que
son expression est analogue à celle de la résistance électrique d’un conducteur cylindrique
de longueur ℓ et de section S en remplaçant σ par µ = µ0µr.
2-a) Dans cette phase, K est fermé donc la
tension à ses bornes s’annule et le schéma électrique E v1 e1 e3 v3
équivalent de la maille du primaire devient :
On a donc v1(t) = E et E = v3(t) – uD3(t). Comme uD3
on sait que v3(t) = –v1(t) = –E, il vient uD3(t) = –2E. La
diode D3 est donc bloquée puisque la tension à ses bornes est négative.
La maille du secondaire peut se dessiner ainsi, avec iD2 L
v2(t) = mv1(t) = mE > VC :
Le courant iD2 est donc positif ce qui entraîne que la uD2
diode D2 est passante. v2 e2
uD1 VC

On a alors uD2 = 0 d’où uD1(t) = –mE < 0 : la diode iD1


D1 est donc bloquée car la tension à ses bornes est i2 iCH
négatives.
Remarque : à cause de la tension de seuil de la diode D2, on n’a pas strictement
uD2 = 0 donc on n’a pas strictement vC = v2 = mE mais presque.
b) D’après ce qui précède, la diode D1 est bloquée donc i2(t) = iCH(t) et l’on a
diCH (t )
L = v2 (t ) − VC avec v2(t) = mE.
dt
mE − VC
On peut intégrer en i2 (t ) = t +a.
L
3-a) Dans cette phase, le théorème d’Ampère se réduit à N1i1 (t ) − N 2i2 (t ) = RΦ C (t )
car la diode D3 est bloquée donc i3(t) = 0.
Le courant magnétisant est le courant qui crée le même flux commun à secondaire
N
ouvert donc N1i0 (t ) = RΦ C (t ) d’où i0 (t ) = i1 (t ) − 2 i2 (t ) soit i0(t) = i1(t) – mi2(t).
N1

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dΦ C (t ) N12 di0 (t )
Par ailleurs, on peut écrire v1(t) = e1(t) = N1 = .
dt R dt
RE
Comme ici v1(t) = E, on peut intégrer en i0 (t ) = 2 t + b .
N1
b) D’après les questions précédentes, on peut écrire i1(t) = i0(t) + mi2(t) avec
RE FG
mE − VC IJ
i2(t) = iCH(t) donc i1 (t ) = 2 t + b + m
N1 L H K
t + a ce que l’on peut écrire

LMF R m2I OP
MNGH N JK mVC
i1 (t ) = + E− t + I0 .
1
2
L L PQ
4-a) Lorsque K est ouvert, le courant i1(t) s’annule. De plus, comme E = v1(t) + uK(t) avec
uK(t) > 0 puisque le transistor est bloqué, on a v1(t) < E d’où v2(t) < mE.
Comme on a vu VC ≈ mE, la tension uD2 est négative et la diode D2 se bloque ; la diode D1
devient passante pour assurer la continuité du courant dans la bobine L de la charge.
On a donc i2 = 0. La continuité du flux magnétique impose que le théorème d’Ampère s’écrit
maintenant N1i3(t) = RΦC(t) puisque i1(t) = 0 et i2(t) = 0 : le courant i3(t) est donc non nul et positif.
Cela force la conduction de la diode D3.
dΦ C (t )
On a alors v3 = E puisque uD3 = 0 car la diode est passante. Comme v3 (t ) = − N 1 , on
dt
N di (t ) RE
peut écrire E = − N 1 1 3 qui s’intègre en i3 (t ) = 2 (t − αT ) + d .
R dt N1
b) Si i3(t) s’annule, alors ΦC(t) s’annule d’après le théorème d’Ampère. Le flux
commun est donc nul dans le noyau : on dit qu’il est démagnétisé.
dΦ C (t ) dΦ C ( t ) E
5-a) Dans la première phase, on a v1 = E et v1(t) = –e1(t) = N 1 donc = ce
dt dt N1
E
qui s’intègre en Φ C (t ) = t + Φ C (0) .
N1
E
À l’instant t = 0, le flux est nul donc ΦC(0) = 0 d’où Φ C (t ) = t dans cette phase.
N1
dΦ C (t ) dΦ C ( t ) E
Dans la deuxième phase, on a v3 = E et v3(t) = e3(t) = − N 1 donc =− ce
dt dt N1
E
qui s’intègre en Φ C (t ) = − (t − αT ) + Φ C (αT ) .
N1
Comme le flux commun est une grandeur continue quel que soit t, on a
E
lim Φ C (t ) = lim Φ C (t ) ce qui se traduit par (αT ) = Φ C (αT ) . On peut donc écrire
t → αT
t < αT
t → αT
t > αT
N 1

E E E
Φ C (t ) = − ( t − αT ) + (αT ) soit Φ C (t ) = − (t − 2αT ) dans cette phase.
N1 N1 N1
On constate que ΦC(t) s’annule à l’instant t1 tel que t1 = 2αT. Comme il faut nécessairement
1
αT< t1 < T, on a nécessairement α < .
2
b) Lorsque la saturation se produit, le champ magnétique B est constant donc ΦC
aussi et les f.e.m. e1, e2 et e3 s’annulent. La tension E imposée aux bornes du primaire n’est plus
compensée par la f.e.m. d’induction e1 ou e3. Elle ne peut que créer la chute de potentiel dans une
résistance équivalente du primaire. Comme celle-ci est très faible, le courant dans le primaire
devient très important et peut entraîner la détérioration du transistor en mode passant.

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Ce phénomène ne peut se produire que dans la première phase pendant laquelle ΦC(t) est
EαT
croissante (c’est la phase de magnétisation). La durée αT est donc choisie telle que Φ MAX =
N1
< ΦSAT.
c) D’après ce qui précède, on a les chronogrammes suivants :
i1(t)

t
R
i0 + i3 = Φ C (t )
N1 t

v1(t)

v2(t)
mE

–mE
iD1(t)

t
vD1
mE

t
αT (α + β)T T

d) Comme VC = <vD1>, on a VC = z
1 αT
T 0
mEdt =
mEαT
T
soit VC = mαE .

La valeur de la tension constante délivrée par le convertisseur est donc variable en changeant
le rapport cyclique α alors que la tension d’entrée E est invariable.
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