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Construire un toit : l’essentiel à savoir avant

les travaux
Elément-clé d’un bâti, le toit joue un rôle-clé puisqu’il protège contre les intempéries et qu’il
remplit différentes fonctions : étanchéité, isolation et esthétisme. Son choix n’est donc pas
anodin. Avant d’entamer une construction de toiture, il convient de s’interroger sur le type de
toit dont vous avez besoin. Il existe ainsi différentes formes et matériaux, chacun présentant ses
avantages et ses inconvénients. Découvrez dans ce guide tout ce qu’il faut savoir de la
construction de toiture.

Construction de toiture : quelle forme choisir ?


Il existe différents types de toits dont le choix va se faire en fonction de différents critères.

La toiture en pente

C’est la forme la plus répandue. On la retrouve surtout dans les régions neigeuses et pluvieuses
car elle permet une bonne évacuation des eaux pluviales. Il existe plusieurs formes de toits en
pente, et le degré de pente va être déterminé par les dimensions du bâtiment, par la largeur du
toit, par le nombre de versants, par la hauteur du pignon et par le type de couverture.

La toiture arrondie

Elle est l’une des formes les plus écologiques. Sa surface extérieure étant moins importante que
celle d’un toit en pente, les déperditions thermiques sont donc moins importantes. Elle présente
plusieurs autres avantages :

• Esthétisme et originalité
• Des combles habitables plus importants

Elle existe sous forme de dôme, de flèche, de courbe…

La toiture plate

Comme son nom ne l’indique pas, la toiture plate (en savoir plus), aussi appelée toiture terrasse
lorsqu’elle est accessible, présente une pente entre 1 et 5% selon sa superficie. Cela permet
d’évacuer les eaux pluviales.

Elle peut être végétalisée et présente alors l’avantage d’isoler du froid et des intempéries et de
limiter ainsi les déperditions énergétiques.

Au-delà de ces trois formes, il existe également des formes spécifiques de toits (amovibles,
pergola…)

Chacun a son système d’isolation propre. Pour en savoir plus, nous vous conseillons la lecture de
notre article dédié à l’isolation du toit.

Quel matériau pour mon toit ?


Il existe une large gamme de matériaux de couverture propres à chaque forme. Le choix de ces
matériaux va dépendre des contraintes architecturales de la région et des conditions climatiques,
évidemment, mais va aussi se faire sur la base de critères esthétiques.

La couverture est en effet un élément visible de l’extérieur. Au-delà de ses performances


énergétiques, son choix se fait donc en fonction de l’esthétisme souhaité. Il existe ainsi
différentes formes, matières et couleurs de matériaux de couverture.

Pour votre couverture, vous pouvez choisir parmi les matériaux suivants :
• Tuiles de terre cuite
• Ardoises
• Zinc
• Tuiles en béton
• Shingle
• Chaume
• Brande
• Pierre
• Acier
• Bois
• Toiture végétalisée

Vous pouvez également équiper votre toit de panneaux solaires.

Pourquoi faire appel à un couvreur pour faire construire son


toit ?
De nombreux facteur sont à prendre en considération lors de la construction d’un toit, et ce type
de travaux ne doit pas être laissé au hasard. Il est donc essentiel, pour un toit efficace qui remplit
toutes ses fonctions, de faire appel à un couvreur professionnel.

Ce dernier saura vous conseiller sur la forme et le matériau de couverture les mieux adaptés à la
configuration de votre maison, mais également sur l’étanchéité à privilégier selon son degré
d’inclinaison ainsi que sur le système d’isolation à mettre en place pour réduire au maximum les
déperditions énergétiques.

Par ailleurs, la construction de toiture est soumise à un ensemble de normes complexes, les DTU
(documents techniques unifiés), dans lesquels on va aussi bien trouver des clauses techniques et
spéciales que des règles de calcul visant à déterminer le degré de la pente ou la surface du toit.
Ces travaux obéissent également à la réglementation édictée par le Plan Local d’Urbanisme.

Choisir une forme adaptée à ma région


Il existe différentes formes possibles pour la construction de votre toit : monopente, à deux
pentes, arrondie ou plate. Leur choix ne dépendra pas uniquement des considérations esthétiques
mais également des contraintes liées au climat et aux critères architecturaux énoncés par le PLU.
La toiture joue un rôle de protection du bâti.

Ainsi, la toiture monopente est particulièrement préconisée pour les régions enneigées car elle
permet un meilleur écoulement de la neige qui, sinon, viendrait affaiblir la charpente. La toiture
à deux versants, quant à elle, permet une surface beaucoup plus importante sous les combles et
favorise donc l’aménagement de ces derniers. C’est également le cas de la toiture arrondie, qui
présente par ailleurs l’avantage d’une esthétique originale. Enfin, les toits plats permettent
l’aménagement d’une terrasse ou la mise en place d’une toiture végétalisée.

Le choix du matériau de couverture


Le choix du matériau va être prépondérant pour le rendu final de votre toiture, il est donc
important de bien vous renseigner sur les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Mais, au-
delà de l’esthétique pure, il faut garder à l’esprit que la couverture est le principal élément de
protection de votre toiture, et qu’elle doit donc répondre à plusieurs exigences pour assurer
pleinement son rôle. Elle doit ainsi être à la fois imperméable, résistante au vent, résistante aux
chocs et suffisamment solide pour pouvoir accueillir une personne en cas de travaux.

La plupart des matériaux existants sont aujourd’hui conçus pour remplir ces différentes
fonctions, mais chacun possède ses caractéristiques propres. Vous aurez ainsi le choix entre une
grande variété de matériaux, les plus répandus étant la tuile en terre cuite et l’ardoise pour leur
aspect traditionnel, mais également le zinc pour ses propriétés esthétiques, ou les tuiles en béton,
qui, en plus d’une grande robustesse, peuvent être colorées à votre guise.
Les étapes de construction d’un toit

Envisagez-vous de faire ou de refaire votre toit ? Ceci vous intéressera certainement. Il s’agit de
découvrir le processus de création d’un toit. En effet, la construction d’une maison est et reste
une chose importante dans la vie. Cependant, la charpente, le toit et l’étanchéité ne doivent pas
être négligés. Pour ce faire, les étapes suivantes vous permettront d’avoir une idée sur le choix et
la pose d’un toit de qualité, et ce, avec une bonne étanchéité. Chaque étape conditionne à son
niveau non seulement cette étanchéité, mais aussi la zinguerie.

Phase préliminaire
Le premier élément à prendre en compte est la charpente, car elle constitue l’ossature du toit et
de la maison. Une charpente bien faite vous garantit une solidité de la toiture notamment la
couverture, donc un avantage à long terme. Ce faisant, il existe une large variété de charpentes
compte tenu de la diversité du besoin. Il importe donc que l’assemblage des pièces se fasse avec
grand soin. Il est également important de vous notifier que la création d’une charpente ne se fait
pas en un jour au risque de compromettre les travaux.

Sécurisation continue des travaux


Le deuxième point essentiel dans la construction d’un toit est la fiabilité des matériaux, c’est-à-
dire la protection des travaux en cours. Cela étant, il faudra prévoir des bâches imperméables
pour ne pas mettre en péril les matériaux, surtout la zinguerie en cas de pluies. En effet, une
bonne zinguerie est conditionnée par la qualité du zinc lui-même et des matériaux. Dans cet
ordre d’idée, il est recommandé que la zinguerie soit faite par un professionnel.

Phase finale
La troisième étape de la création du toit consiste en la pose de la couverture, comme les tuiles.
Cette pose dépend des tuiles, de leur forme et du matériau de composition. À chaque
caractéristique correspond une technique bien précise de pose. Ainsi, la réussite de la couverture
finale est fonction de la délicatesse mise en œuvre. Une négligence pourrait conduire à un
décollement des tuiles ou une infiltration suite à un vent ou une pluie. Enfin, il revient d’apporter
une touche finale à l’édifice ainsi réalisé. Cela consiste à revoir la couverture en vue de s’assurer
que l’étanchéité et la zinguerie sont fiables.

Trouver celui qui vous accompagnera


Si vous souhaitez faire des travaux relatifs à la construction d’une toiture, vous pourrez
simplement consulter l’annuaire des professionnels. Il vous permettra d’entrer en contact avec un
professionnel compétent qui vous apportera satisfaction en matière de couverture, de zinguerie
et aussi d’étanchéité.

https://moncouvreur.pro/construire-toit/

https://www.charpentier-couvreur.net/les-etapes-de-construction-dun-toit/

https://www.constructeurs-maisons.org/la-toiture.php

Maison : la construction du toit pas à pas

©
Terreal

Une toiture ne se construit pas à la légère. Il faut respecter les règles d’urbanisme et les
dispositions techniques, mais aussi connaître les règles de l’art, sans oublier les assurances et
garanties qui protègent la charpente et la couverture.

La toiture est primordiale dans la construction d’une maison. La bonne réalisation de la


« cinquième façade » est un enjeu décisif pour assurer le confort de ses habitants, notamment en
matière d’isolation et d’étanchéité. Elle dessine aussi l’esthétique de la maison tout en répondant
aux critères techniques obligatoires et de réglementation locale en matière d’urbanisme et
d’architecture.

Toiture et réglementation
Votre toiture doit répondre aux normes techniques de construction en vigueur (réglementation
thermique 2012) en utilisant des matériaux et procédures de mises en œuvre régis par les normes
des Documents techniques unifiés (D.T.U.), véritables « bibles » de la pose des éléments du
bâtiment.

Cette maison à toiture acier en forme


d'aile d'avion prend place dans un secteur aux règles d'urbanisme strictes.© Pierre
Guerville/Villasconcept.com/Villas La Provençale

Règles d’urbanisme. La toiture doit aussi respecter la réglementation locale des Plu (Plans
locaux d’urbanisme) que vous devez consulter en mairie, et le cas échéant, si votre projet est
situé dans un secteur sauvegardé autour des monuments historiques ou dans un périmètre
adjacent de 500 mètres, vous devez obtenir le feu vert de la part des architectes des Bâtiments de
France (ABF) dont l’avis prévaudra sur celui de la commune.

Un devis pour votre toit. Si vous faites appel aux services de professionnels (charpentier,
couvreur, etc.), demandez plusieurs devis détaillés pour comparer les solutions proposées et les
tarifs. N’hésitez pas à demander des précisions sur les plans qui vous seront remis : perspective
pour la vue d’ensemble, plans de coupe verticaux qui vous indiqueront les cotes et les
dispositions extérieures (niveaux des corniches, frontons, lucarnes, pignons, faîtage, etc.) et
intérieures de la charpente, du plafond des combles, de l’isolation thermique choisie et des
hauteurs intérieures.

Côté constructeur. Si vous signez un Contrat de construction d’une maison individuelle-loi de


1990 avec un constructeur, notez que les différents éléments de la toiture (charpente, couverture,
étanchéité, etc.) sont inclus dans le prix global, forfaitaire et définitif fixé par ce document. En
d’autres termes, le tarif n’est pas détaillé. N’hésitez pas à demander au constructeur quels sont
les produits et solutions techniques qu’il vous propose et quel est leur coût.

Zones climatiques et toitures


La France est divisée en 3 zones climatiques qui vont définir des contraintes de construction de
la toiture :

- la zone I comprend tout l'intérieur du pays avec une altitude inférieure à 200 mètres ;

- la zone II concerne toute la façade atlantique de la Bretagne au Pays basque et sur une étendue
de 20 km vers l'intérieur des terres, ainsi que les zones dont l'altitude est comprise entre 200 et
500 mètres ;

- la zone III regroupe les côtes de la mer du Nord et de la Manche (20 km à l'intérieur des terres),
une partie de la côte atlantique, la vallée du Rhône, la Provence, le Languedoc-Roussillon et la
Corse, ainsi que les régions avec une altitude supérieure à 500 mètres.

La zone climatique va conditionner


certains éléments du toit. En secteur de montagne, la pente de toiture doit tenir compte de
l'enneigement.© Honka Tonneire

Tenir compte du climat. Pour chacune de ces zones climatiques, la pente, la conception et les
matériaux des toitures vont devoir obéir à des règles précises. De plus, au sein de chacune de ces
zones, il faut tenir compte de la situation de la maison : soit en situation protégée du vent dans
toutes les directions potentielles (au fond d'une cuvette cernée de collines) ou au moins du côté
où les vents sont les plus violents, soit en situation normale en plaine ou sur des plateaux avec
peu de dénivellations, ou en situation exposée, sur le littoral maritime sur une profondeur de 5
km, ou dans des vallées étroites avec beaucoup de vent, ou en montagne.

Construction de la charpente
La couverture de votre toiture repose sur une charpente qui va donc en supporter le poids ainsi
que celui des installations éventuelles (cheminée par exemple), tout en tenant compte des
intempéries (chute de neige par exemple).

Bien charpenté. Souvent réalisée en bois (massif ou lamellé-collé) traité pour améliorer ses
performances et résister aux nuisances type champignons ou termites, la charpente revêt
différentes formes, notamment si vous décidez d’opter pour des combles aménageables ou non,
ce que ne permet pas la traditionnelle charpente à fermes (structure porteuse) et fermettes. La
pente de la charpente doit avoir une hauteur minimale de 1,80 mètre dans les combles pour qu’ils
soient aménageables.
Fermettes industrielles. Il s’agit de chevrons de faibles sections, assemblés en atelier à l'aide de
connecteurs métalliques. Les fermettes sont alignées proches les unes des autres pour supporter
le poids de la toiture et renforcées perpendiculairement par des pannes (barres transversales) dont
celle coiffant la structure, la panne faîtière. Des voliges et des liteaux vont compléter la structure
pour supporter la couverture. La forme de la charpente peut comporter des croupes, des pans en
biais qui, du côté du pignon, sont triangulaires en un ou deux pans inclinés dont l'un est un
triangle et l'autre un trapèze.

L'isolation et l'étanchéité du toit


Une bonne isolation de la toiture permet d’obtenir un gain thermique allant jusqu’à 5° selon les
matériaux choisis, et donc plusieurs centaines d’euros d’économies sur vos factures d’énergie.
Toujours selon les matériaux les modes d’isolation et d’étanchéité retenus, cela permet
d’améliorer le confort acoustique de la maison et de lutter contre l'humidité, pour éviter les
apparitions de moisissures.

Pose de l'écran de sous-toiture d'une


maison neuve, un élément qui assure l'étanchéité de la construction.© Monier

La mise en œuvre. Elle sera différente selon que vous avez réalisé une toiture à combles perdus
ou aménageables. L’isolation (laine de verre ou de roche, mousse ou ouate de cellulose projetées,
etc.) sera installée sur les plafonds dans le cas des combles perdus ou sous la toiture en sous-face
de rampants dans le cas de combles aménageables. Les toitures des maisons neuves sont très
rarement isolées par l’extérieur. Très efficace, cette solution nécessite une grande rigueur dans la
pose et elle reste bien plus chère que l’isolation par l’intérieur.
Le plus souvent, les toitures sont
isolées par l'intérieur. Economique, ce procédé est bien maîtrisé par les artisans poseurs.© Isover

Couverture et accessoires de toiture


Vous ne pourrez pas choisir n’importe quel type de matériau (tuiles, ardoises, bac acier, etc.) ou
d’accessoires (fenêtres de toit, gouttières) pour réaliser votre couverture. Vous devez tenir
compte de la forme de la charpente (plate, à pans, etc.), de l’inclinaison de la pente du toit ou
bien encore des contraintes techniques et réglementaires en vigueur.
Les fabricants proposent une large
variété de matériaux de couverture, pour s'adapter à toutes les situations.© Monier

Un projet bien préparé. L’ensemble des éléments nécessaires à la construction ou à la


rénovation de la couverture doit être anticipé pour pouvoir réaliser une pose complète et sans
défauts afin de limiter les risques de ponts thermiques, ou de prendre en compte les calculs de
charges par exemple, pour une fiabilité et une durabilité maximales.

Diaporama : la pose de la couverture pas à pas

Le toit, le droit et les garanties


En maison neuve, la pose de la toiture est une affaire de professionnel. Elle fait en effet partie du
gros œuvre et nécessite une vraie expertise technique. Il s’agit de bâtir un ouvrage solide et
durable dans le respect les règles de l’art, qui sont spécifiées dans les Documents techniques
unifiés, véritables manuels officiels de mises en œuvre.

Garantie décennale. Votre toiture fait partie du gros œuvre de votre maison. A ce titre, elle est
protégée par la garantie décennale dont vous bénéficiez obligatoirement lorsque vous faites
construire. Cette garantie couvre les désordres ou défauts qui affectent la solidité de l’ouvrage
et/ou qui rendent la maison impropre à l’habitation. Vérifiez que le professionnel est bien assuré
en responsabilité décennale.

Bien assuré. Pour faire jouer plus la garantie décennale, vous devez souscrire une assurance
dommages-ouvrage. Elle est obligatoire, comme le précise l’article L 242-1 du Code des
assurances. En cas de problème de nature décennale sur votre toiture, vous contactez votre
assureur en dommages-ouvrage. Il vous indemnise pour que vous puissiez financer les
réparations puis il se retourne contre les entreprises responsables. Sans dommages-ouvrage, c’est
à vous de prouver la faute des entrepreneurs, ce qui est plus long et plus difficile. Attention : la
dommages-ouvrage ne prend pas en compte les dégâts provoqués par la météo (tempête par
exemple). Ici, c’est votre multirisque habitation qui entre en jeu.

Toiture et contrat. Si vous signez un Contrat de construction-loi de 1990, le paiement de la


maison est échelonné au fur et à mesure de l’avancement du chantier. Vous devez avoir payé
60% du prix au moment de la pose de la toiture (mise hors d’air). Avant de procéder à cet appel
de fonds, vous visitez toujours le chantier pour vous assurer que les travaux ont été réalisés dans
les règles de l’art. Avec les autres types de contrat (maîtrise d’œuvre, marchés de travaux), les
modalités de paiement sont négociées entre les parties, tout comme le droit de visite.
Sophie Fichepain

https://www.construiresamaison.com/construire/toitures/maison-la-construction-du-toit-pas-a-
pas/a19623

https://www.vd.ch/fileadmin/user_upload/organisation/dinf/sipal/fichiers_pdf/116_Cathedrale_to
itures.pdf

DÉPARTEMENT DES FINANCES ET DES RELATIONS EXTÉRIEURES

SERVICE IMMEUBLES, PATRIMOINE ET LOGISTIQUE

1. Marcel Grandjean, « Notes sur le couronnement de la tour lanterne de la cathédrale de


Lausanne », Nos monuments d’art et d’histoire, 20, 1969, p. 125-136. Marcel Grandjean,
« La cathédrale actuelle : sa construction, ses architectes, son architecture », in La Cathédrale
de Lausanne (Bibliothèque de la Société d’Histoire de l’Art en Suisse 3), Berne : Société
d’histoire de l’art en Suisse, 1975, p. 45-174.
2. Jean-Michel Leniaud, « La cathédrale de Lausanne et Viollet-le-Duc », in Peter Kurmann
(dir.),
La cathédrale Notre-Dame de Lausanne. Monument européen, temple vaudois, Lausanne.
La Bibliothèque des arts, 2012, p. 270-277 (avec bibliographie exhaustive).
3. Claire Huguenin et Ferdinand Pajor, Cathédrale de Lausanne. Flèche de la tour du
beffroi.
Etude historique, Renens, juin 2000, ms dactyl. (ACV, SB 52, Nb 8/ 54).
4. Juste Olivier, Le canton de Vaud. Sa vie et son histoire, Lausanne 1837.
5. La datation des pièces est donnée par des mentions dans les archives (indiquée par la
lettre « a » après l’année), par une analyse dendrochronologique (indiquée par la lettre
« d » après l’année ou les années), par une inscription (indiquée par la lettre « i » après
l’année) et ou par la typologie (indiquée par la lettre « t » après l’année).
6. Les charpentes du transept, croisillon sud, du narthex et du vestibule et de la tour ina-
chevée n’ont pas encore été analysées.
Comprenant des passages de textes de Werner Stöckli †, datant de 2005.
7. Sur la base d’un texte de Werner Stöckli † et Ulrike Gollnick, datant de 2003.
8. Sur la base d’un texte de Werner Stöckli †, datant de 2001

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