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Les idées d’Antoine Meillet ont été négligées pendant des nombreuses
années. On considère que la sociolinguistique appartient à la science americaine.
En France c’était Paul Lafargue qui a observé que la langue française avant
et après la révolution française avait des différences dans le vocabulaire. Dans
un article consacré à la langue française il a annalisé comment le vocabulaire est
changé et il a inregisté des mots nouveaux.
La nouvelle discipline nous vient des Etats Unis, à partir de 1960 quand dans
ce pays on a introduit une nouvelle discipline « Antologie de la parole » =
sociolinguistique. On étudie dans ce cas les rapports entre les formes
linguistiques et les classes sociales.
Le fondateur de la sociolinguistique americain est consideré William Labov
qui a developpé ces diciplines au niveau méthodologique et sur le plan théorique.
Au début il a eu une formation structuraliste européenne.
Objectifs de la sociolinguistiques
Cette interpretation n’est pas acceptée par tous linguistes. Pour les uns c’est
seulement la sociolinguistique qu’importe. Les autres considèrent que la
sociolinguistique est située à la frontière de ces deux sciences.
Le linguiste brise l’unité de message pour analyser ses éléments pour établir
le code dont il rélève.
Je le lui ai dit.
En ligne générale on peut dire que la sociologie est le résultat d’une activité
humaine dont le rôle principale est de remplir l’éspace vide de la societé.
1. Elle mette l’accent soit sur la logique du système, soit sur les projets
de l’acteur.
2. Elle insiste soit sur l’integration de champs sociaux, soit sur le conflit
qui existe dans cette societé.
La sociologie française est orientée toujours sur l’image d’une domination pur
reproduire le controle sociale.
Les niveaux d’analyse proposés par Benveniste sont : les phonemes, les
morphemes, les lexemes et les phrases, le sens et le discours.
2. Langue et classe sociale
Le dialecte
1. Un dialecte régional est une forme distincte d'une langue parlée dans une
zone géographique particulière. Il est également connu sous le nom de
regiolect ou topolect.
2. Un dialecte social est l’ensemble de termes et de règles linguistiques
utilisés dans un groupe social donné.
3. Une langue nationale est une langue considérée comme propre à une
nation ou un pays.
4. Une langue officielle est une langue qui est spécifiquement désignée
comme telle, dans la constitution ou les textes de loi d'un pays, d'un État
ou d'une organisation quelconque.
1. Le système phonologique ;
2. Le système grammatical
3. Le système lexical ou le vocabulaire.
De la même façon on croit qu’une langue est une entité bien définie et on
considère que c’est une homogénéité d’une société voisine mais quand mpeme les
sociétés ne sont jamais homogènes. C’est pourquoi on parle d’ue langue
hétérogénéité linguistique.
Cette variété est considéré comme modèle comme la forme correcte appellé
langue standart (langue littéraire). La différence entre une langue standard et
une langue classique est qu’une langue classique ne peut pas être la langue
maternelle d’aucun group de locuteurs, mais qui a été normalisée il y a des
siècles et qui est appropriée par le système éducatif.
La classe sociale
1. Le concept réaliste pour lequel les classes sociales existent en soit même ;
2. Le concept nominalistz pour lequel c’est le résultat d’une construction
intellectuele.
Le premier groupe est répresenté par Karl Marx qui disait que l’appartenance
de classe d’un individu est définie par sa place dans le processus de production.
Les membres d’une même classe ont en commun des intérêts économiques et un
certain nombre d’autres traits (modes de vie, conditions de travail etc). Les
classes sont toujours antagonistes. C-à-d que la lutte des classes est le principal
moteur de l’évolution sociale.
De nos jours il existe un troisième concept sur les classes sociales. Il a été
proposé par Pierre Bourdieu sociologue français qui a proposé une théorie « néo-
marxiste wébérien ».
La sociolinguistique décrit la langue dans ces emplois et ces usages. Cet usage
compte plusieures variations linguistiques c-à-d que le locuteurs peut faire un
choix de la langue qu’il possède en fonctiond de : son statut social ; le style
utilisé ; la situation de communication.
1. Survée (soutenu)
2. Familier (le discours cotidien)
3. Le discours spontané (on tient compt des émotions qui apparssent dans la
communication)
Les variétés de la langue peuvent être appellé encore les registre de langue.
On peut conceovir les registres de langue comme une variété linguistique
superposée. Entre les registre de langue il y a des différences formels. Chaque
memebre d’une communauté sociale possède plusieurs régistre.
On peut envisager la langue comme un tout qui présent des rêves et qui depend
toujour de la situation de communication. Quand on élabore une grammaire ou un
phonologie il faut tenir compte des règles variables parce que cetains formes
linguistique sont employées des façons différentes.
Les critères qui sont utilisé ne depend pas uniquement du group social auquel il
appartient réellement, mais ils peuvent prevenir d’un groupe sociale dont il n’est
pas memebre. On appelle se group – group de référence.
Le changement linguistique
La norme
Dans le langage on reget les régistre populaire et familier pour utiliser les
régistres distingué. On obtien alors une norme d’usage. Une norme statistique
qui répresente le régistre des habitudes linguistiques et sociales qui sont
dirigés par la vie en société.
Cette formule est ambïgue parce que « on » n’est jamais identifie. Ce qui est
prsenté comme une conception en réalité est un imperatif. Ce qui est frappé
d’interdiction est quad même utiisé. On dit « se reppeler d’un détail » à la place
de « se rappeler un détail ».
Cet économie génétalisé n’est pas toujours reconnu. Parfois on dit ce n’est pas
une langue, c’est un dialecte.
Les variétés des usages de la langue se rapportent à des varités qui sont liée :
1. L’origine géographique
a) Le lexique
b) La syntaxte
c) La phonetique
a) Lexicales
b) Differences syntaxiques
c) Differences phonetiques
On parle souvent des régistres de langue. C’est les dictionnaires qui indiquent
ces usages.
On dirait que :
Bon usage
Le francien dialecte parlé par un tribou gérmanique est selon une fomule
célèbre un dialecte qui a réunni.
Le dialecte est utilisé ici dans un sens historico-géographique. C’est une variété
de langue issu du latin et parlé dur une certaine partie du territoire. L’année
1599 marque un premier tournant dans l’usage du francais Francois I er a signe
l’Ordonnance de Villers-Cotterêt selon laquelle tous les actes notarielles et le
régistre de l’Etat civil seron désormais en langue française au détriment de la
langue latine. Il s’agit d’un dialect royal parce que les dialectes en cette période
c’était très vivante.
La langue que les français parlent aujourd’hui est liée à l’histoire du pouvoir
politique. La langage ancien n’était pas encore enseigné ni littéraire. Du Bellay a
publié n 1949 so oeuvre « défense et illustrqtion de la langue française ».
Défendre le français en cette période signifiait revendiquer le statut de langue
littérire et digne d’être étudie.
Les premieres grammaires apparaissent et avec elles les nations de bon usage et
mauvais usage.
Henriette Walter dans son oeuvre « Le français dans ous les sens » nous donne
des exemples de ces régles. Par ex, on décrit que le nouveau tèrme d’urbanité
ne doit pas être employe plus de 2-3 fois par mois. Les pourristes de xiiv siècle
considerait comme vulgaire la prononciation du « r » dans nom mouchoir.
En même temps cet usage est resté encore longtemps à une petite élite
socioculturelle.
En xviii siècle il existqit déjà une trentaine environ de langue et de parlé bien
viviant aussi la France a fait apprendre à ses citoyens la langue française par la
publications de la déclaration de droit de l’Homme et du citoyens (22 .05.1789).
Les études sur les femmes en France sont très recent. C’est seulement dans la
deuxième moitié de xx siècle on a commencé cet étude. C’est sourtout le
mouvement feministe qui a declanché cet étude. En France le première ouvrage
dedié a ce problème c’est Marina Yaguello avec « les mots et les femmes » et
aussi dans la littérature c’est Beauvoir avec son livre « La déuxieme sexe ».
Pour les linguiste ces questions n’avaient aucune importance. Les premières
études de ces questions venqient de lq théorie mqrxiste pqrce que cette théorie
considerait que lq femme menagère n’apporte pas du capitale dans la famille,
alors l’homme explote le travaille de la femme.
Le genre en français entretient avec le sexe des relations complexe parce que
le sexe ne peut rien expliquer pour object inanimé. Parfois il y a des noms
masculin qui designes des femmes ex : un manequin. Parfois il y a des nommes
feminines qui s’applique à des hommes. Il s’agit des noms des fonctions
militaires ex : une ordonance, un sentinelle, une vedete. On designe aussi les
homosexuel : une folle, une tante, une tapète.
Le problème la plus interessant est posé par les relation entre le sexe et le
genre en parlant des fonctions profesionelles qui à l’origine était estiné aux
hommes.
Le problème de relation entre le sexe et le genre montre une évolution de la
langue. Premierement on s’adresse au peuple français avec la
formule : « Français » de nos jours on dit « Français et Française ».
Parfois on dit que tout ce qui est verticale est masulin et ce qui est horizontale
est feminin. Ou les grands objets sont masculins et les petits sont feminins.
Les mots qui indique du couples : le ciel/la terre, le jour/la nuit, le soleil/la lune,
le feu/l’eau.
Le problème de savoir s’il existe des registres différent selon le sex a des
résultats contradictoires. On a observé qu’en France les femmes on la tendance
à utiliser le français commun, tandis que les hommes utilisent les dialectes
locaux. On peut faire plusieur distancion entre la langage d’un home et le
langage d’une femme.
Le discours feminin
Marina Yaguelle dans son oeuvre « les mots et les femmes » tente une approche
sociolinguistique de la langue des femmes ; se plaçant sur le terrain idéologique,
elle mets l’accent sur la condition feminin plutôt que sur le sexe cad elle adopte
une point de vue social plus que celui biologique. Elle refuse donc les explications
psychologistes fondées sur la « nature feminin », l’éternel féminin.
La variation diffère d’un langue à l’autre ce rapport s’explique aussi par sa place
dans la société. Parmi les plusieurs variations ont tient compte de la classe
sociale, du group éthnique, de l’âge de la proffesion, de la région, il n’y a pas de
cas concret pour dire qu’il y a un code masculin et un code feminin concrete
parce que les femmes et les hommes appartient à même group social.
Cette conception n’est pas soutenu par tous les linguistes, mais la majorité des
hommes disent que le bavardage est une distinctive du parle feminin.
Le sens du mots bavardage pour caracterisé le parlé des femmes n’est jamais
claire. On ne peut pas le definir parce que il est toujourss adopté au necesité du
moments.
Dans la littérature on a aussi plusieurs exemples on dit que « les femmes ont
toujours qqch à dire ». parce que si un femme ne parle pas on peut croire qu’elle
est malade ou elle a des très grandes problèmes.
Oscar Wild disait : « les femmes sont un sexe decoratif, elle n’ont jamais rien à
dire mais elle le disent de façon charmant ».
6. La communication
Parmi les multiples systèmes des changes linguistiques auxquelles participent les
membres d’une société, la sociolinguistique a décidé d’analyser le terme
conversation.
1. Un intérêt exclusiv pour les productions écrites à une prise en coup des
réalisations orales de la langue.
2. Une perspective monologale passé à une approche dialogale.
3. Une perpective structurale d’une approche de type communicatif.
Les participant à la communication sont les personnes : l’ego ou sujet parlant qui
produit l’énoncé ; l’interlocuteur ou allocuteur à qui le sujet parlant s’adresse.
La conversation n’est pas considéré comme une unité linguistique. Pour décrire la
conversation il faut tenir compte de plusieurs situations.
Tous les autres types de coordonation comme le tour de parole, le chois des
thèmes de la conversation, le deroulement de l’histoire ou de discours sont
toujours au service de la coordonation la plus fondamentale entre la
signification et le comprehension.
L’analyse de la conversation
On propose un modèle organisé autour de deux comosantes (la construction de
tours et d’allocation de tours et d’une ensemble ordonné de règles.
Modèle de la communication
Le contexte
Le destinateur Le message Le destinataire
Le contact
Le code
Le model de jackobson developpe une reflexionsur le message dans la
communication verbale. Ce modèle est composé de six facteurs :
1. Référencielle – contexte
2. Expresive – destinateur
3. Poétique – message
4. Connative – destinateur
5. Phatique – contacte
6. Métalinguistique – code
Les fonctions
La notion de discours
Le discours est une entité complexe ayant une dimention linguistique, une
dimention sociologique (il est produit dans un contexte) et une dimention
communicationelle (en tant qu’interaction finalisée).
Types de discours
Formes de discours
Le discours est dit politique quand il présente une forme de la discursivité par
laquelle un locuteurs (individual ou colectif) poursuit l’obtention du pouvoir.
Mais d’un point de vue plus large, le discours politique peut être approché
tout simplement comme une parole publique sur la chose publique.
Le discours politique est un genre très ancien qui semble avoir vu le jour
dans la Grèce classique et qui prit son essor dans la Rome cicéronnienne à une
époque où la parole publique était devenue un instrument de délibération et de
persuasion juridique et politique.
Sous le règne de Louis XIV, le français demeurait encore une langue de classe
sociale et n’était pas juridiquement réglementé. C'était certes une langue
officielle dans les faits, mais essentiellement courtisane, aristocratique et
bourgeoise, littéraire et académique, parlée probablement par moins d'un million
de Français sur une population totale de 20 millions. C’était une langue avec un
vocabulaire «choisi» et «élégant».
Désormais, la langue devint une affaire d'État: il fallait doter d'une langue
nationale la «République unie et indivisible» dont la devise était «Fraternité,
Liberté et Égalité pour tous». Les révolutionnaires bourgeois déclarèrent la
guerre aux patois. On appelle cette période la terreure linguistique. Le terme
de langue était utilisé seulement en parlant du francais. Tout ce qui n'est pas
français s'appelle patois ou idiomes féodaux: Ce sont pour Grégoire le breton, le
normand, le picard, le provençal, le gascon, le basque, etc.
Un peu après le milieu du XIXe siècle (en 1863), on comptabilisait encore 7,5
millions de Français ignorant la «langue nationale». La France commença son
véritable «génocide culturel» dans les régions françaises, particulièrement en
Bretagne.
Tout au cours du XXe siècle et jusque dans les années 1960, les gouvernements
ont adopté pas moins de 40 lois concernant surtout l'enseignement, la presse,
l'administration et l'orthographe. En 1926, le grammairien Ferdinand Brunot
écrivit dans son Histoire de la langue française dans laquelle il affirmait que les
patois étaient encore bien vivants dans les campagnes.
Mais le discours antipatois est toujours resté très profond chez les dirigeants
politiques. Par exemple, en 1972, Georges Pompidou, alors président de la
République, déclarait: «Il n'y a pas de place pour les langues et cultures
régionales dans une France qui doit marquer l'Europe de son sceau.»
Il est vrai que, depuis plus d'entre trentaine d'années, le discours sur cet
épineux sujet a beaucoup changé en France.
Le français est également couramment parlé dans une poignée d’autres pays
comme l’Algérie, le Maroc, la Mauritanie, l’île Maurice ou la Tunisie, sans qu’il y
bénéficie toutefois du statut de langue officielle. C’est aussi l’une des trois
langues officielles de travail au sein de l’Union européenne, et la seule qui soit
utilisée lors des délibérations de la Cour de justice de l’UE. Enfin, c’est l’une des
langues de travail reconnues des Nations Unies. En résumé, la langue française
dans le monde occupe une place encore importante.
Le rôle de la Délégation
Pour le gouvernement français, le rôle de la Délégation générale est avant tout
de favoriser la coordination et la concertation pour sensibiliser ceux qui ont des
responsabilités à l'égard de la langue française et pour accroître les synergies
en vue de la promouvoir. Pour ce faire, la Délégation travaille en collaboration
avec les organisme suivants:
Objectifs
Missions
Selon Jean Dubois le linguisme est la situation linguistique dans laquelle les
sugets parlants sont conduits à utiliser alternativement selon les milieux ou les
situtions de langues differents.
Dans les pays vivants ensemble des communauté des langue différents le
bilinguisme et l’ensemble de problèmes linguistiques, psychologique et sociaux
qui s’oppose au locuteur conduit à utiliser dans un partie de leur communication
une langue ou une parole qui n’est pas accepté à l’exterieur. C’est plutot le cas
des familles des emmigrants qui ne sont pas encore integré dns la nouvelle
société.
Le bilinguisme est un mouvement par lequel on veut généralisé par des messures
officielles et par l’enseignemen l’usage courant d’une langue étrangère en plus
de la langue maternelle. Dans ce cas cet un mouvement politique fondé sur un e
idiologie selon laquelle l’emprentisage d’une langue étrangère doit permettre de
donner aux idividus des comportement et de penser de nouveau et faire ainsi
disparraître les oppositions nationales et les guerres.
Le bilinguisme sustractif c’est le cas quand une des langues n’est pas condidéré
au même niveua par l’entourage et emprene une competence limité et une
démotivation pour cette langue.
Tout ceci lui permet de définir la diglossie comme« une situation linguistique
relativement stable dans laquelle, outre les formes dialectales de la langue(qui
peuvent inclure un standard, ou des standards régionaux), existe une variété
superposée très divergente, hautement codifiée (souvent grammaticalement
plus complexe), véhiculant un ensemble de littérature écrite vaste et respecté
[...],qui est surtout étudiée dans l’éducation formelle,utilisée à l’écrit ou dans un
oral formel mais n’est utilisée pour la conversation ordinaire dans aucune partie
de la communauté »
Alors on peut dire que le terme de diglossie est un terme plus riche que le
terme bilinguisme parce que le bilinguisme signifie l’usage de deuc langues
différents tandis que le terme de diglossie inclut cette signification mais il
possède encore une signification de deux variété differents d’une langue –
variété basse et variété haut. De façon plus générale on peut dire que l’histoire
nous montre très souvent l’avenir de variété basse et le décline de la variété
haute.