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Atelier de machines
Electriques
TP 1
OBJECTIFS DU TP :
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1- RAPPEL THEORIQUE
1-1- Introduction
Lors de la mise sous tension d'un moteur asynchrone, celui-ci provoque un fort
appel de courant qui peut provoquer des chutes de tension importantes dans une
installation électrique. Pour ces raisons et autres, il faut parfois effectuer un
démarrage différent du démarrage direct.
Remarque: Cette étude ne tient pas compte des possibilités offertes par les
variateurs électroniques de fréquence.
Le choix d’un démarreur est guidé par des critères économiques et techniques
qui sont :
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Démarrage direct,
Démarrage étoile triangle,
Démarrage statorique,
Démarrage rotorique,
Démarrage par autotransformateur,
Démarrage électronique.
Ce type de démarrage est réservé aux moteurs de faible puissance devant celle
du réseau, ne nécessitant pas une mise en vitesse progressive. Le couple est
énergique, l’appel de courant est important (5 à 8 fois le courant nominal).
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o La puissance du moteur est faible par rapport à la puissance du
réseau (dimension du câble)
o La machine à entraîner ne nécessité pas de mise en rotation
progressive et peut accepter une mise en rotation rapide,
o Le couple de démarrage doit être élevé
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Les équations des courants et des tensions sont données par les relations
suivantes :
Lors du couplage étoile, chaque enroulement est alimenté sous une tension 3
fois plus faible, de ce fait, le courant et le couple sont divisés par 3.
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Les deux vitesses sont obtenues par deux bobinages séparés logés dans les
encoches du stator. La figure 1 donne les deux modes de couplage pour la petite
vitesse et la grande vitesse.
Pour la petite vitesse, le réseau est connecté sur les 3 bornes correspondantes
(1W -1V-1U) les autres bornes (2U-2V-2W) ouverts. Ce mode de couplage
correspond à un couplage triangle série comme indiqué sur la figure 5.
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Pour La grande vitesse, le réseau est connecté sur les 3 bornes correspondantes
(2U -2V-2W) et les autres bornes (1W -1V-1U) court-circuités. Ce mode de
couplage correspond à un couplage étoile parallèle comme indiqué sur la
figure6.
2- PREPARATION
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3- Travail Pratique
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D’après le schéma de la figure précédente :
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TP 2
OBJECTIFS DU TP :
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1- RAPPEL THEORIQUE
2- PREPARATION
Le glissement du rotor
Les pertes Joule rotoriques
Le rendement
Donner les caractéristiques mécaniques et électriques de la machine mise
à votre disposition.
3- TRAVAIL PRATIQUE
Durant cette séance de TP, on se propose d’effectuer les essais suivants sur la
machine :
Cet essai à pour but de déterminer les valeurs des pertes à vide P0 et du courant
à vide I0 en fonction de la tension appliquée à la machine. Pour réaliser cet essai
on aura besoin de :
3 Ampèremètres
1 Voltmètre
2 wattmètres
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On rappelle que
P0
P0 = P13 ± P 23, Cos (ϕ 0) =
3.U .I 0
b- Remplir le tableau suivant :
N0 : Vitesse de rotation du moteur
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d- Déduire les valeurs de P0, I0 et Cos(ϕ ϕ0) correspondant à la tension
nominale du moteur.
Pour séparer les pertes fer des pertes mécaniques, on doit tracer la courbe P0
= f(U2) et déduire ces deux types de pertes comme indique la figure 2.
Figure 2 : Séparation des pertes fer et des pertes mécaniques au cours de l’essai à vide.
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Ce n'est que lorsque l'on maintient bloqué le rotor que l'on annule la puissance
mécanique engendrée, et par là également la résistance équivalente; dans ce
cas, le rotor est en parfait court-circuit électrique sur lui-même.
Il est bien de commencer l'essai par les valeurs plus élevées de courant, sur la
machine à température ambiante. De cette façon, en effectuant rapidement les
lectures, on à la certitude que le réchauffement limité des enroulements est
pratiquement constant pour toute la série de lectures de courants plus élevés à
ceux plus réduits; ainsi on ne cours pas le risque d'altérer l'allure des
caractéristiques, étant celles-ci liées à la résistance équivalente et donc à la
température.
Le blocage du rotor est effectué par des dispositifs et souvent il peut être
effectué avec les mains. En effet la basse tension d'alimentation est presque
totalement employée pour dépasser les chutes de tension ohmiques et à produire
flux de dispersion. Le flux d'enchaînement stator-rotor et, de conséquent, le
couple moteur développé, résultent pourtant très réduits.
L'essai de court-circuit devrait donc être effectué en bloquant le rotor dans une
position intermédiaire entre celles d'intensité du courant d'utilisation maximale et
minimale, mais cette opération présente des difficultés extrêmes, car le rotor tend
à se mettre en position de courant minimal. On fait alors recours à un artifice
commode: au lieu de maintenir bloqué le rotor, on le laisse tourner très
lentement, de manière uniforme.
Les aiguilles des instruments oscilleront ainsi automatiquement autour d'une
indication moyenne, de lecture facile. La très faible vitesse du rotor n'aura pas la
moindre incidence sur le fonctionnement, puisqu'il est tout à fait négligeable par
rapport à celle du champ tournant.
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b- Remplir le tableau suivant :
c- Tracer sur le même graphique les courbes Pcc = f(Icc), Ucc = f(Icc) et
ϕcc) = f(Icc).
Cos(ϕ
d- Calculer les paramètres équivalents de la machine à tension réduite:
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π Pa Pu
Pa = P13 + P 23, Pu = Tu.Ω = Tu. .N , Cos(ϕ ) = ,η=
30 3.U .I Pa
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TP 3
OBJECTIFS DU TP :
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1- RAPPEL THEORIQUE
2- PREPARATION
3- TRAVAILPRATIQUE
Durant cette séance de TP, on se propose d’effectuer les essais suivants sur la
machine :
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a- Réaliser le schéma de connexion donné par la figure 2.
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b- Alimenter le variateur et porter la machine à sa vitesse nominale de
rotation (vitesse de synchronisme), exciter la machine synchrone et avec
la charge déconnectée disposer la valeur de tension nominale en réglant
soigneusement le courant d'excitation à sa valeur nominale.
c- Connecter la charge résistive et remplir le tableau de valeurs suivant :
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b- Alimenter le moteur et porter la machine a sa vitesse nominale de rotation
(vitesse de synchronisme).
c- Régler le courant d'excitation de la machine synchrone à travers la
régulation de l'alimentateur variable en c.c. jusqu'à obtenir la tension
nominale aux terminaux de la machine synchrone quand la charge
électrique n'est pas connectée.
d- Connecter la charge résistive et remplir le tableau suivant :
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TP 4
OBJECTIFS DU TP :
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1- RAPPEL THEORIQUE
2- PREPARATION
3- TRAVAILPRATIQUE
Durant cette séance de TP, on se propose d’effectuer les essais suivants sur la
machine :
Rm : Résistance mesurée,
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Enroulement principal (U1-U2) Enroulement axillaire (Z1-Z2)
I U Rm I U Rm
0,2.In 0,2.In
0,4.In 0,4.In
0,6.In 0,6.In
0,8.In 0,8.In
In In
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U I0 P0 ϕ0)
Cos(ϕ N0
Figure 3 : Séparation des pertes fer et des pertes mécaniques au cours de l’essai à vide.
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3-3- Essai à en charge de la machine asynchrone monophasé avec frein
électromagnétique
Cet essai permet la mise en évidence du comportement de la machine dans les
conditions de travail effectif et est donc nécessaire une charge mécanique a
appliquer à l'arbre du moteur en preuve.
La charge mécanique est composée, dans le cas spécifique, du frein à courant
parasite qui permet une régulation graduelle de l'effet freinant, à travers la
régulation du courant continu qui coule dans ses électro magnétos.
π Pu
Pu = Tu.Ω = Tu. .N , η =
30 Pa
f- Tracer les courbes Tu=f(N), I =f(Pa), Cos(ϕ)=f(Pa) et η =f(Pa). Interpréter
les courbes obtenues.
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TP 5
OBJECTIFS DU TP :
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1- RAPPEL THEORIQUE
A) LE ROTOVAR
Le rotovar est un variateur de vitesse dont le domaine d’emploi est la commande des
mouvements verticaux d’engin de levage ; ( Pont roulant, grues …).
Le rotovar est employé avec des moteurs asynchrones triphasés à rotor bobiné ( à
bagues).
- Trois diodes et trois thyristors qui insérés dans le point neutre de la résistance
rotorique, permettent d’en faire varier la résistance apparente.
- Un ensemble électronique qui comprend
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B) LE STATOVAR
Il peut être utilisé pour commander et contr8ler des engins, ponts roulant, grues ...
Le réglage de la vitesse est obtenu en ajustant sur le couple moteur au moyen d’un
pont à thyristor. Ceux ci, en fonction de leur angle de conduction, font varier la valeur
de la tension d’alimentation appliquée au stator du moteur.
La résistance rotorique qui, comme dans les démarreurs rotoriques conventionnels,
est partagée en un certain nombre de sections court-circuitées par des contacteurs
est sélectionnée automatiquement à une valeur convenable dépendant du
glissement.
C) L’ALTIVAR
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RAPPEL SUR LES MOTORISATIONS
Bien que dans des cas très simples, il soit possible d'utiliser une commande de
puissance tout ou rien par contacteurs déterminant des paliers de vitesse, cette
solution a très vite ses limites. La solution la plus fréquente consiste à utiliser les
variateurs électroniques.
d'un redresseur qui, connecté à une alimentation triphasée (le réseau), génère
une tension continue à ondulation résiduelle (le signal n'est pas parfaitement
continu). Le redresseur peut être de type commandé ou pas,
d'un circuit intermédiaire agissant principalement sur le "lissage" de la tension
de sortie du redresseur (améliore la composante continue). Le circuit
intermédiaire peut aussi servir de dissipateur d'énergie lorsque le moteur
devient générateur,
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d'un onduleur qui engendre le signal de puissance à tension et/ou fréquence
variables,
d'une électronique de commande pilotant (transmission et réception des
signaux) le redresseur, le circuit intermédiaire et l'onduleur.
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2- MATERIEL NECESSAIRE
3- TRAVAIL DEMANDE
Il s’agit d’un variateur de vitesse qui nécessite une alimentation monophasé de 230V.
Ce variateur est destiné de piloter un moteur asynchrone triphasé.
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Un voltmètre pour afficher la valeur approximative de la vitesse de
rotation.
Un potentiomètre pour faire varier la vitesse de rotation,
Un voyant rouge pour signaler un défaut.
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