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La différence entre société et association est la façon dont elle partage les
bénéfices.
L’activité économique est une activité basée sur la spéculation (la confiance).
Résulte d’une convention d’un contrat qui lie un commerçant ses partenaires.
Les solutions :
Opération effectuée par des intermédiaires : les individus qui vont avoir un
statut commercial. Courtage : est une activité commerciale d’un courtier.
Commissionnaire : est celui qui joue le rôle de propriétaire d’un bien par un
contrat caché avec le propriétaire réel.
Les actes de commerce par accessoire sont des actes de nature civile et qui
deviennent commerciaux parce qu’ils sont accomplis par un commerçant dans
le cadre de l’exercice de sa profession commerciale.
Acte civil par son objet : acte relatifs aux rapports de famille (contrat de
mariage), actes relatifs à la vie civile (achat de meubles pour un appartement
privé, de voitures pour un usage personnel, achat d’une maison destinée à
l’habitation, emprunt contracté pour l’achat d’une maison secondaire).
Acte civil par sa cause : quand il est à titre gratuit parce que le commerce n’est
pas désintéressé. Ne sont jamais actes de commerce : une donation, un
transport bénévole…
Actes mixtes : de nombreux actes sont passés par des commerçants avec des
non commerçant, c’est le cas pour les détaillants qui traitent avec une clientèle
civile. Ces actes font naître des obligations commerciales pour les
commerçants et non commerciales pour les non commerçants.
La lettre de change : est un écrit par lequel une personne « le tireur » donne
mandat à une autre « tiré », de payer à un tiers « porteur ou bénéficiaire » une
certaine somme à une époque fixée.
La lettre de change est réputée acte de commerce quelle que soit la personne
qui l’a signe. Lorsqu’un non commerçant signe une lettre de change, il est
soumis à la loi commerciale et aux tribunaux de commerce, sans que cela lui
donne la qualité de commerçant.
Le billet à ordre : est un titre par lequel une personne dénommée souscripteur,
s’engage envers une autre personne dénommée bénéficiaire, à payer à cette
personne ou à son ordre, une somme déterminée, à une date déterminée. Le
billet à ordre est un acte de commerce même s’il est signé par un nom
commerçant, à condition qu’il résulte d’une transaction commerciale.
En matière des actes mixtes, dont la nature est différente pour chacune des
parties à l’acte. Le tribunal compétent cherche qui est demandeur et qui est
défendeur ;
Si le procès est intenté par un nom commerçant, l’attaquant a le choix entre les
deux tribunaux (le plus souvent le tribunal civil qui est choisi).
La présomption de solidarité :
Supposant que deux personnes ont ensemble une dette vis-à-vis d’un
créancier (un créancier, deux débiteurs). S’il y a solidarité entre les débiteurs,
le créancier peut réclamer à un des deux la moitié de la somme, sinon il ne
peut réclamer à chacun que sa part.
Exemples :
La clause compromissoire :
La prescription :
Le délai pendant lequel une personne qui veut faire Valloire ses droit devant le
juge avait le droit d’agir.
D’après l’article 982 du code des obligations et des contrats (DOC) : La société
est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes mettent en commun
leurs biens ou leur travail, ou tous les deux à la fois, en vue de partager le
bénéfice qui pourra en résulter.
Dans une société, contrat de société, s’il arrive qu’il y ait un vice dans un
apport donné, le contrat va être annulé mais la société va continuer.
L’erreur :
La capacité :
Parmi les personnes de droit privé : les sociétés civiles sont considérées
comme étant des acteurs économiques des opérateurs civils.
Une société civile est ce qu’elle peut être associée dans n’importe quelle
société commerciale ?
Ça dépend du type de société, elle ne peut pas être partenaire d’une société de
personne d’une société en nom collectif. Cependant rien n’empêche une
société civile soit associée ou actionnaire dans une société à responsabilité
limitée ou dans une société anonyme.
L’Etat peut être actionnaire de même qu’elle peut être actionnaire majoritaire
dans une société « La RAM », l’ « OCP ».
L’objet :
Le gérant doit agir dans la limite de l’objet social, la société personne morale
ne sera engagée que par les actes ou les opérations du gérant effectués dans
cette limite, si le gérant dépasse cette limite il va engager la responsabilité
personnelle et non pas vis-à-vis de la société car il commet une faute il n’a pas
respecté la loi, la société continue.
L’objet social ne doit pas être confondu avec l’activité sociale car cette activité
est conjoncturée elle se fait dans un moment donné, c’est juste une tranche de
programme.
La cause :
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On peut aller d’un statut SARL (1à5personne) à Statut SARLAU (une seule
personne).
On dit SARL, la question qui se pose c’est : cette société est limitée à quoi ?
Elle est limitée à l’apport effectué ; c’est le capital social c'est-à-dire « moi en
établissant une entreprise unipersonnelle je sais que quelque soit X la pire des
choses qui va avoir arrivé c’est que je perdre l’argent que j’ai investis dans le
capital social, j’ai investis étant 10.000 DHS je sais que la catastrophe est de
perdre cette somme, de cette façon j’aurai préservé un patrimoine familiale.
Sauf qu’il y a des intérêts contradictoire ici ; il y a des intérêts des
entrepreneurs et il y a aussi des intérêts des créanciers sociaux.
SARLAU :
Les faiblesses
Les avantages :
En cas de vente la session de part sociale est moins lourdement imposée que
la vente d’un fonds de commerce.
C’est un impératif qui pèse sur toute personne voulant faire partie d’une
entreprise commune appelée société. Si l’apport est obligatoire chacun des
associés peut donner ce qu’il juge bon pour lui selon ses capacités, en
contrepartie des apports il peut y avoir soit des parts sociale dans les sociétés
de personnes et dans les société à responsabilité limitée soit des actions dans
les sociétés par action société en commandite par action société par action
simplifié, on constate qu’il n’ya aucune règle qui exige une égalité entre les
apports.
Vis-à-vis de la société :
Cela dépend de type de société, vis-à-vis des tiers, l’apport ne protège pas
toujours l’associé, dans la SARL, c’est l’apport qui va servir à payer les
créanciers sociaux.
3 L’objet de l’apport :
Apport en nature :
C’est tous les biens qui sont dans le commerce sauf l’argent, ça peut être un
bien meuble, un bien immeuble, un droit corporel comme ça peut être un droit
incorporel par exemple une clientèle, une marque de fabrique, un logiciel.
L’apport en nature peut être fait soit un apport en propriété soit en usufruit soit
en usage (utiliser une chose), je vais céder tous les droit sur une chose
désormais ce bien que je vais donner en nature va sortir de mon patrimoine.
L’apport en propriété ressemble au contrat de vente. En effet, quand il y a
apport en propriété, il ya cession de propriété et cession de risque qu’elle peut
subir ou causer cette chose. Le vendeur doit garantir la chose contre l’éviction
et les vices cachés, par exemple, j’ai fait un apport d’un fond de commerce à
une SA « restauration rapide » (c’est un apport en nature, un bien meuble
incorporel), autant que apporteur la loi dit, l’apporteur en propriété assume les
mêmes obligations que le vendeur ». Alors, les obligations de tous vendeurs
c’est garantir la société contre l’éviction et contre les vices cachés « moi
l’apporteur, une fois que j’ai fais cet apport, je suis venu juste à coté et j’ai
ouvert un autre restaurant proposant de la restauration rapide avec d’autres
petites activités ». Alors, c’est une éviction c'est-à-dire je suis entrain de
prendre la clientèle que je suis sensé avoir vendu avec ce fond de commerce
de restauration rapide.
Les vices cachés : par exemple j’ai vendu une marchandise qui est avariée ou
mauvaise, alors là j’ai caché le default.
Par exemple, j’ai donné comme apport en nature un brevet d’invention ; c’est
un bien meuble incorporel par détermination de la loi, c’est des formules
mathématiques, ou une combinaison chimique, alors que ce brevet a été
attaqué par quelqu’un d’autre qui prétend être lui-même le propriétaire.
Apport en numéraire :
Quand il y a sur évaluation, c’est la valeur réelle + X , ceux qui vont assumer la
responsabilité ce sont les autres associés, et encore les créanciers sociaux
parce que le capital social ne va pas correspondre à la vrai valeur des
éléments qui composent le capital social, on a sur estimé on a gonflé
artificiellement le capital social c'est-à-dire cette sur évaluation rompt
l’équilibre entre associés et coassociés, elle est néfaste aux intérêt de
créanciers sociaux sachant que ces derniers ont pour garantir le capital
sociale. Pour préserver et les droits des créanciers et les droit des associés et
pour mettre un équilibre saint au sein de la société, la loi dit : dans toutes les
sociétés anonymes chaque fois qu’il ya un apport en nature, l’apport en nature
doit impérativement être évalué par un commissaire aux apports. Le
commissaire aux apports est choisi parmi les experts comptables.
Dans la SARL, la loi dit : le commissaire aux apports n’est pas impératif. Sauf,
si l’apport dépasse 100.000 DHS ou que la somme des apports en nature
dépasse la moitié du capital social.
Apport en industrie :
4 Le capital social :
Pour les SA le capital social sera divisé en action d’une valeur nominale, les
actions par définition ce sont des titres cessibles et librement négociables (la
négociabilité tue l’écrit).
Les parts sociales dans les SARL les SNC ne sont pas des titres négociables et
librement cessibles, pas exemple dans une SNC, le consentement unanime est
impératif, leur apport doit être daté en écrit inscris au registre de commerce
parce que ce dernier exige la situation exacte de commerçant.
D’un point de vue comptable, le capital social s’analyse comme une somme qui
sera réinjectée dans l’entreprise puis à la fin de l’exercice, les bénéfices
restants pourront être soit distribués aux associés sous la forme de dividendes
soit être mis en réserves.
Le capital social est la somme des valeurs d’apport dont le caractère intangible
ou la fixité permet de bloquer à l’actif des valeurs d’un montant correspondant
Tout d’abord il est important de rappeler que sans apport il ne peut y avoir de
société car cette mise en commun de tous les associés est une condition
indispensable à la naissance de la société. Ces apports que l’on peut définir
comme un contrat par lequel chaque associé apporte un bien ou un droit en
échange de droits sociaux vont constituer le capital social. A la naissance de la
société ce dernier représente un véritable indicateur de la puissance, de la
capacité financière de la société c’est pourquoi son montant doit être précisé
dans les statuts ainsi que sur tous les documents administratifs et
commerciaux. Il s’agit du même principe que si l’on demandait à toutes
personnes de faire figurer sur sa carte d’identité ou sur sa carte de visite le
montant de sa fortune.
4) qui, de mauvaise foi, auront fait des pouvoirs qu'ils possédaient et/ou des
voix dont ils disposaient, en cette qualité, un usage qu'ils savaient contraire
aux intérêts économiques de la société, à des fins personnelles ou pour
favoriser une autre société ou entreprise dans laquelle ils étaient intéressés
directement ou indirectement. »
A rappeler que l’article 376 de la même loi stipulait que les dispositions
pénales de la loi sur les sociétés anonymes ne sont applicables que si les faits
qu’elles répriment ne peuvent pas
recevoir une qualification pénale plus grave en vertu des dispositions du code
pénal.
Cet article qui posait le problème de la loi applicable en matière d’abus de bien
sociaux de sociétés anonymes a été abrogé par la Loi n° 20-05 modificative de
la loi 17-95 promulguée par le Dahir n° 1-08-18 du 17 joumada I 1429 (23 mai
2008).
A signaler que le délit d'abus de biens sociaux peut être commis également par
les gérants et toute personne qui, directement ou par personne interposée, a,
en fait, exercé la gestion sous le couvert ou au lieu et place de leurs
représentants légaux dans la Société à responsabilité limitée et par les autres
formes juridique commerciale régie par la loi 5-96 telle qu’elle a été modifiée et
complétée par la loi 21-05.
1. les gérants qui auront, sciemment, opéré entre les associés la répartition de
dividendes fictifs, en l'absence d'inventaire ou au moyen d'inventaire
frauduleux ;
3. les gérants qui, de mauvaise foi, auront fait, des biens ou du crédit de la
société, un usage qu'ils savent contraire à l'intérêt économique de celle-ci, à
des fins personnelles ou pour favoriser une autre société ou entreprise dans
laquelle ils sont intéressés directement ou indirectement ;
4. les gérants qui, de mauvaise foi, auront fait, des pouvoirs qu'ils possèdent
ou des voix dont ils disposent, en cette qualité, un usage qu'ils savent
contraire aux intérêts économiques de la société, à des fins personnelles ou
pour favoriser une autre société ou entreprise dans laquelle ils sont
intéressés directement ou indirectement. »
Le dumping :
La loi dit que la concurrence doit être loyale, tous les coûts ne sont pas
permis, et elle sanctionne tout comportement déloyal. On peut parler de
comportement déloyal lorsqu’il y a :
La publication du RC :
1- Le registre chronologique :
2- Le registre analytique :
Il est constitué de deux recueils, l’un affecté aux personnes physiques, l’autre
aux personnes morales.
Le registre central :
OUI, il est commerçant puisqu’il assume toutes les obligations que la loi
impose sans qu’il puisse bénéficier des avantages des plus des droits donnés
aux commerçants ; « parmi ces plus, il ne peut pas bénéficier au droit de bail. »
Ce bail lui confère un certain nombre de droit tellement fort que ce droit a été
qualifié au droit au propriété, quels sont ces droits ?
Il doit payer les loyers à temps, il ne doit pas y avoir des chèques sans
provision, il doit éviter toute voie de fait envers le propriétaire. Pour se
déspécialiser complètement il doit obtenir l’autorisation du propriétaire des
murs, ce dernier peut accepter comme il peut refuser.
Cette indemnité d’éviction est ordonnée et calculée par le juge sur la base du
chiffre d’affaire. On convient alors que le montant va être très important
« lourd ». C’est pourquoi la loi sur le bail commercial aménage ce qu’on
appelle le droit au repentir « dans un délai de 15 jours ».
Le juge peut ordonner, dans le cadre d’un litige, soit la représentation des
documents comptables qui consiste à extraire de la comptabilité les seules
écritures intéressant l’affaire soumise au juge. Soit la communication qui est la
production intégrale des documents comptables. Elle ne peut être ordonnée
qu’exceptionnellement, lorsqu’il y a des intérêts communs « affaire de
succession, partage, redressement ou liquidation judiciaire ».
Le fonds de commerce :
1 La clientèle et l’achalandage :
L’achalandage : c’est juste une clientèle de passage qui est attirée par un
emplacement favorable mais n’effectuant pas des achats occasionnels.
La demande d’un certificat négatif : une attestation qui certifie que l’appellation
choisie n’est pas déjà utilisée par une entreprise concurrente.
Le certificat négatif est donné par le registre central du commerce. Parce que
c’est lui qui centralise toutes les informations des commerçants.
L’enseigne : c’est le fait de lumière attirant l’intention que cette société est là
(le M de McDonald’s), c’est un signe ou un logos OU même une couleur (rouge
pour méditel / move pour Inwi par exemple).
En droit marocain la franchise est un contrat innové, il n’y a pas un texte de loi,
il est réglé selon les dispositions contractuelles.
Brevet d’invention :
Une invention est une idée nouvelle qui permet dans la pratique de résoudre
un problème précis d’ordre technique. Elle peut se rapporter à un produit, un
dispositif ou un procédé.
A retenir :
Le brevet d’invention est un bien meuble par détermination de la loi, il peut être
donné en apport en nature.
Est une sûreté réelle constituée sur le fonds de commerce sans dépossession
du débiteur. Elle permet au propriétaire du fonds de le donner en garantie de
ses dettes. Est un gage particulier.
Une marque est un signe distinctif qui indique que des produits ou services
sont produits ou fournis par une certaine personne physique ou morale. Elle
peut être une marque de fabrique, de commerce ou de service. Elle est
protégée pour une durée de 10 ans, indéfiniment renouvelable.
La marque de fabrique : est apposée par un fabricant aussi bien sur un produit
intermédiaire que sur un produit fini.
A savoir :
Une marque qui n’a pas été exploitée pendant 5 ans est mise à la disposition
des autres, n’importe qui peut l’utiliser.
Le nom commercial je peux le faire exploiter par d’autre dans le cadre ce qu’on
appelle « un contrat de franchise ».
1-Les marchandises :
Les produits qui sont destinés à être vendus, la marchandise est ce qu’elle doit
donner une image exacte certaine sur la richesse du commerçant ?
Non, parce que tout simplement, il se peut que déjà les marchandises soient
déjà vendus, elles sont juste en instant d’être délivrées, et aussi, certaines
marchandises il se peut qu’elles ne soient pas en propriété parce que je ne les
ai pas encore payé ou payé intégralement, et pour lesquels les vendeurs
avaient signé ce qu’on appelle « une clause de réserve de propriété » ; c'est-à-
dire je me réserve « moi vendeur » la propriété de certaines choses jusqu’à
paiement intégrale du prix, donc les marchandises ne doivent pas donner une
image exacte de la richesse du commerçant.
A coté des marchandises, le commerçant peut avoir des stocks des matières
premières » chose qu’il ne risque pas de les utiliser dans l’immédiat »
comment ? Au moment de besoin de crédit, le stock dont il n’a pas besoin, il
peut l’utiliser pour garantir la personne qui lui a avancé de l’argent, dans le
cadre de ce qu’on appelle le warrantage ; c’est un gage. Comment fonctionne
ce warrantage ? Ce stocks de marchandise il va l’affecter pour garantir la
personne qui lui a avancé de l’argent, et ce stocks il va le déposer dans un
magasin général, le responsable de ceci, il va établir ce qu’on appelle « un
reçu à ordre » appelé aussi un warrant, ce warrant doit être établi en trois
exemplaire : 3 personne : le commerçant débiteur, la personne qui a avancé de
l’argent, et le gérant de la salle. L’original serait donné au créancier. Le
créancier qui aura l’original aura ce qu’on appelle un reçu à ordre qui va être
circulé.
1ere hypothèse :
Le commerçant peut être locataire avec une option d’achat : il peut avoir
acheté le matériel dans le cadre d’un « crédit bail » = « une location avec une
option d’achat ».
Quand il ya crédit bail il exige toujours une clause de réserve de propriété ;
l’établissement financier qui a avancé de l’argent il se réserve de la propriété
de la chose tant qu’il n y a pas encore un paiement de loyer, pourquoi est ce
qu’elle réserve de la propriété de la chose ? Parce que la garantie de la
banque c’est la machine jusqu’à l’échéance du terme contenu.
2eme hypothèse :
Parce qu’il est basé sur une clientèle autant qu’un élément essentiel, pas de
clientèle pas de statut de commerçant et donc pas de fonds de commerce,
parce que on acquiert le statut de commerçant en faisant les actes de
commerce.
Le droit au bail.
Dans l’exercice de mon activité j’ai besoin de crédit, je l’ai demandé au niveau
de la banque et celle-ci m’a demandé ce que je vais lui donner comme garantie,
je lui dis que je vais vous donner mon nantissement « un gage qui n’entraine
pas la possession » de fonds de commerce, qu’est ce que vous pensez de cette
garantie ? Est ce qu’elle est très suffisante ou elle ne l’est pas vraiment ?
Il y a un risque parce que les murs ne font pas partie du fonds de commerce.
En cas de saisie la banque peut prendre ce qu’elle veut mais pas le local, parce
que le local c’est ma propriété, et la garantie c’est le nantissement du fonds de
commerce.